Alice au Château - Histoire écrite par Janus01869 - (suite de l'épisode précédent N°1196)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Alice au Château - Histoire écrite par Janus01869 - (suite de l'épisode précédent N°1196)
Alice au Château - Histoire écrite par Janus01869 - (suite de l'épisode précédent N°1196 et texte amélioré par MDE) -
- Mets-toi debout la chienne…
Je m’exécute avec promptitude et le Majordome m’attache les poignets en l’air et m’ordonne d’écarter les cuisses et de garder la bouche entrouverte. Il ne me dit plus rien et me laisse ainsi. Je ne sais pas s’il est reparti ou s’il est encore à côté de moi. Je tends mes oreilles mais je n’entends rien si ce n’est le bruissement du vent dans les feuilles des arbres au-dessus de ma tête. Seul dans ces feuillus, un oiseau apeuré prend un subite envol… Le soleil me caresse légèrement le corps à travers le feuillage et me réchauffent la peau. J’ose demander timidement,
- Monsieur ?.... Etes-vous toujours là ?
Aucune réponse… Soudain, je sens que des mains se posent sur mon postérieur. Je ne peux retenir un cri de surprise. Mon cœur, après avoir manqué un battement, cogne à grands coups dans ma poitrine. Je suis à la fois inquiète et excitée. Une main met un doigt dans mon cul et mon corps réagit immédiatement, j’ai tellement envie ! Puis plusieurs doigts m’élargissent maintenant mon œillet par des va-et-vient lents et dilatants et je presse mon postérieur sur cette main salvatrice… Cette dilatation anale par ce traitement digital dure quelques longues et délicieuses minutes, ensuite elle fait alors place à une Verge de très, très bonne taille qui se présente contre mon anus pour forcer mon petit trou élargi et sans plus de préambule, elle me pistonne à une cadence folle après avoir donné le temps à mes muqueuses anales de s’adapter à sa taille. Les mains de la personne passent autour de la taille pour aller me malaxer les seins, me pincer, vriller, étirer mes tétons dressés, elles me caressent ensuite le ventre avant de prendre possession de mon mont de vénus. C’est alors que je sens qu’une deuxième Verge me force l’entrée du vagin ! Surprise, j’écarte un maximum les cuisses pour faciliter cette double pénétration qui me fait augmenter mon excitation déjà bien présente. Les deux bites vont et viennent en moi de manière synchronisée. C’est un véritable délice après mes envies frustrées ! L’homme derrière moi, me susurre à l’oreille :
- C’est un cadeau du Maître, tu auras le droit de jouir après nous !
Les deux hommes, après m’avoir besogné un long moment n de grands coups de reins puissants et profonds, se lâchent au fond de mon ventre et la vague de fond de jouissance déferle en moi à mon tour, j’enserre les deux phallus avec les muscles de mes entrailles, les délestant des dernières gouttes qui s’épanchent en moi. Ils me serrent, m’enlacent et me caressent le corps, m’embrassent et mordillent la peau, les oreilles, la nuque, les seins. Je sens même la Verge de l’homme derrière moi qui se redresse à nouveau et caresse encore mes fesses. Ils veulent remettre le couvert ! Le premier qui m’a possédée par l’anus a une idée subite :
- Attends, sa rondelle est suffisamment élastique pour nous accueillir tous les deux !
En prononçant ses mots, il malaxe de nouveau avec trois doigts ma rosette, lubrifiée par ma mouille et par son sperme qui ressort un peu de ma cavité anale. Je m’accroche aux cordes qui me maintiennent debout et me mords les lèvres avec mes dents, tellement j’ai envie de me sentir bien remplie, bien possédée par le cul. Je sens alors leurs deux glands violacés venir forcer mon fondement et les voilà profondément en moi à me pistonner avec précision et maîtrise. Je ne reçois pas l’ordre de jouir mais que c’est dur de rester sur la corde raide ainsi ! Au bout d’un long et délicieux moment à être ainsi saillie, les deux hommes se déversent une nouvelle fois dans mon cul de chienne en lâchant de nombreux râles de mâles en rut. Ils restent ensuite bien plantés en mon fondement en coït anal profond sans bouger durant quelques minutes pour ensuite se retirer… Après m’avoir observée un long instant, c’est sans un mot qu’ils s’en vont comme ils sont venus... Alors que je reprends mon souffle, deux nouvelles mains me touchent le ventre et remontent sur mes seins.
- La chienne, j’ai enfin un peu de temps pour m’occuper de toi et … de ton superbe cul !, ponctue le Majordome d’une claque sur mon derrière.
Il me déplace pour qu’une de mes jambes puisse prendre appui sur le tronc de l’arbre où je suis accrochée
-Tu sens comme ma bite renifle ton abricot, femelle ?, me questionne Walter alors que l’extrémité de sa queue dressée se loge à l’orée de mon oeillet.
- Oui Monsieur.
Cette question et cette attente m’excite. Je ne bouge pas d’un millimètre et en une poussée vigoureuse, il me possède. Le Majordome me pistonne avec un tel savoir que c’est une torture pour moi de me retenir de jouir. Il lâche sa purée dans mon fondement en long jets chauds et épais qui s’écoulent ensuite sur mes cuisses. Il ne me dit rien, mais sa dernière caresse sur mon corps, un peu trop appuyée est d’une telle douceur qu’il me fait comprendre ainsi qu’il a apprécié. Je le remercie de m’avoir offert son précieux nectar. Walter me détache de la branche et enlève le bandeau qui m’aveugle. Il m’ordonne de récupérer le sperme sur mes cuisses et de me nettoyer, ce que je fais avec une dévotion non feinte. J’ai tout juste le temps de pisser à nouveau contre un arbre qu’on entend au loin le gravier crisser sous les pneus d’une voiture qui arrive à faible allure. Le Majordome me presse de secouer les dernières gouttes et nous nous activons pour retourner vers le Château et nous voilà sur les marches du perron pour attendre les nouveaux invités. J’ai peine à croire que je ne suis arrivée qu’hier tant la journée a été riche en événements. Je me prosterne de nouveau et cette fois-ci mon cul est orné de la queue de paon, cadeau de Maîtresse Céline à son ami le Marquis d’Evans. Mon cul doit encore briller de tout le sperme que les hommes ont laissé sur mon corps. Ma cyprine coule le long de mes cuisses en longs fils épais et blancs. Je dois former un sacré tableau ! Etant le dos tourné, je ne vois pas les nouveaux venus
- Bonjour Walter ! Comment allez-vous ce matin ?, demande une voix forte d’homme aux accents chantant du Sud de la France… Mais qu’avez-vous là ?, poursuit-il après la réponse des plus cordiales du Majordome. - Une nouvelle acquisition de mon ami Monsieur le Marquis d’Evans ?
- Non pas, non pas ! Il s’agit de la chienne d’une amie de Monsieur le Marquis, Maîtresse Céline.
- Hmm, un morceau de premier choix, commente-t-il tout en me touchant les fesses avec une main.
Celle-ci est incroyablement chaude et son toucher m’électrise surtout lorsque son pouce qui caresse doucement mes petites lèvres vient se nicher contre mon clitoris. Ce doigt en fait le tour et le frôle de plus en plus jusqu’à carrément le branler…
- Mais elle a déjà été bien utilisée, dites-moi ! … (puis s’adressant à une autre personne) … Tiens ma chienne, viens lécher mes doigts !
J’entends le bruit d’une petite langue agile. L’ami du Noble, continue
- Walter, seriez-vous d’accord pour que ma chienne lèche celle-ci pour lui nettoyer le cul et la chatte ?
- Mais bien-sûr, faites-donc ! La chienne !, m’apostrophe-t-il en donnant un coup sec sur la laisse. Tu as interdiction de jouir, m’entends-tu ?
- Oui Monsieur.
La langue et les lèvres expertes de l’esclave femelle me prodiguent un plaisir irrésistible. Je me sens monter vers des délices vertigineux. Mon souffle devient plus court et rauque. Un coup qui ressemble à un coup de cravache s’abat sur l’esclave qui d’un coup de langue savamment appliqué me fait redescendre des nuages. esclave Harmonie (c’est le nom de la chienne femelle) passe alors devant moi, à quatre pattes juste derrière le Maître qui daigne l’éduquer. Elle est… éblouissante. Nue comme au premier jour, elle dégage une aura de lionne avec sa crinière flamboyante et sa démarche féline et emplie de grâce. Son corps est souple et élancé comme une liane et modelé comme une danseuse. Je peine à retenir ma mâchoire de tomber devant une si belle femme aussi somptueuse, qui irradie de bonheur. Ses yeux d’un bleu profond expriment toute son intelligence et leur couleur si intense leur confère une aura magnétique et envoûtante. Elle m’embrasse sur la bouche avec volupté et sa langue a encore le goût du sperme mélangé à ma cyprine. C’est un délice… Un coup sur la laisse me rappelle à l’ordre, et nous rentrons au Château, toutes les deux tenues en laisse en quadrupédie. Nos deux corps de femelles marchant côte à côte d’une démarche chaloupée où nos fessiers se balancent spontanément et en cadence. Parfois, nos peaux se frôlent et c’est une sensation de pur bonheur qui diffuse dans tout mon corps, l’impression d’être avec une sœur en soumission. En écoutant les Dominants, j’apprends que les nouveaux venus sont Maître Doc et donc esclave Harmonie.
Walter nous mène ensuite la pouliche Harmonie et moi-même dans une salle d’eau rudimentaire au vieux carrelage mal dégrossi. Il nous place au fond de la pièce et va prendre le tuyau d’arrosage et nous asperge d’eau froide pour nous récurer ! Le contact de ce jet puissant et presque glacé est… vivifiant ! Le Majordome nous place debout, jambes écartées et mains sur la nuque puis nous frictionne sans ménagement avec une serviette râpeuse en s’attardant sur nos parties génitales, ce qui me fait monter le rouge aux joues, d’être traitée ainsi et essuyée comme un cheval dans son box. Enfin, nous nous maquillons avec un simple trait de crayon et du mascara avant d’enfiler, sur notre collier et harnais respectif, une longue veste militaire noire rehaussée de liserés dorés sur chaque poignet nous arrivant jusqu’au-dessus du genou. Une laisse pend entre nos seins et nous avons obligation de garder notre veste ouverte. Le tombé parfait de la veste, le col montant, les épaulettes bien marquées par une bande de tissu fermé par un gros bouton, et notre taille cintrée nous embellissent la silhouette. Enfin des sandales à haut talon complètent notre tenue.
Le Majordome nous conduit par nos laisses jusqu’à une limousine noire rutilante garée devant les marches du perron. Nous montons en voiture, esclave Harmonie est placée au centre de la banquette faisant face à la route et moi sur l’autre banquette près d’une fenêtre. Nous avons pour ordre de poser nos fesses nues directement sur le cuir doux des sièges, jambes écartées, dos bien droit, sans s’appuyer au dossier et mains sur les cuisses paumes vers le haut en signe d’offrande. esclave Phryné MDE nous rejoint pour être placée à l’opposé de la banquette où je suis assise.
Le gravier crisse à nouveau sous les pas des trois Dominants accompagnés par le Majordome qui leur ouvre la portière. Maîtresse Céline entre la première et se place devant moi. Je suis si heureuse de la revoir ! Tout en gardant le regard baissé, je lui dis bonjour avec tout l’enthousiasme possible. La Maîtresse qui daigne me soumettre a revêtu sa tenue de chatte qui lui va si bien d’une couleur rouge profond. Maître Doc pénètre ensuite pour se positionner entre esclave Phryné MDE et moi-même, Le Maître des Lieux, Monsieur le Marquis d’Evans, s’installant quant à lui au côté d’esclave Harmonie et en face de sa propre esclave. Le Majordome prend le volant et la luxueuse voiture démarre avec souplesse sans un bruit de moteur dans l’habitacle.
Les Dominants parlent gaiement alors que leurs mains vont et viennent sur nos appâts offerts à leurs caresses et désirs. Nos tétons sont pressés et vrillés fortement nous faisant nous cambrer et déclenchant l’érection de nos clitos. Bientôt, sous le regard amusé du Noble, la main de Maître Doc s’attarde sur le mien et le masturbe comme un sexe masculin. Je ferme les yeux de plaisir et je me concentre pour ne pas jouir. Maîtresse Céline embrasse esclave Harmonie et voir leurs langues danser un ballet sensuel ne calme pas mes ardeurs ! Nous entrons dans une ville et un motard s’arrête à notre hauteur sur mon côté. Maîtresse Céline demande au Majordome d’ouvrir la fenêtre à côté de moi et propose au motard de me toucher. D’abord surpris, ce dernier ne se fait pas prier, retire un de ses gants et me pétrie la poitrine. Donner ainsi des envies à des inconnus m’excite encore un peu plus…
(A suivre…)
- Mets-toi debout la chienne…
Je m’exécute avec promptitude et le Majordome m’attache les poignets en l’air et m’ordonne d’écarter les cuisses et de garder la bouche entrouverte. Il ne me dit plus rien et me laisse ainsi. Je ne sais pas s’il est reparti ou s’il est encore à côté de moi. Je tends mes oreilles mais je n’entends rien si ce n’est le bruissement du vent dans les feuilles des arbres au-dessus de ma tête. Seul dans ces feuillus, un oiseau apeuré prend un subite envol… Le soleil me caresse légèrement le corps à travers le feuillage et me réchauffent la peau. J’ose demander timidement,
- Monsieur ?.... Etes-vous toujours là ?
Aucune réponse… Soudain, je sens que des mains se posent sur mon postérieur. Je ne peux retenir un cri de surprise. Mon cœur, après avoir manqué un battement, cogne à grands coups dans ma poitrine. Je suis à la fois inquiète et excitée. Une main met un doigt dans mon cul et mon corps réagit immédiatement, j’ai tellement envie ! Puis plusieurs doigts m’élargissent maintenant mon œillet par des va-et-vient lents et dilatants et je presse mon postérieur sur cette main salvatrice… Cette dilatation anale par ce traitement digital dure quelques longues et délicieuses minutes, ensuite elle fait alors place à une Verge de très, très bonne taille qui se présente contre mon anus pour forcer mon petit trou élargi et sans plus de préambule, elle me pistonne à une cadence folle après avoir donné le temps à mes muqueuses anales de s’adapter à sa taille. Les mains de la personne passent autour de la taille pour aller me malaxer les seins, me pincer, vriller, étirer mes tétons dressés, elles me caressent ensuite le ventre avant de prendre possession de mon mont de vénus. C’est alors que je sens qu’une deuxième Verge me force l’entrée du vagin ! Surprise, j’écarte un maximum les cuisses pour faciliter cette double pénétration qui me fait augmenter mon excitation déjà bien présente. Les deux bites vont et viennent en moi de manière synchronisée. C’est un véritable délice après mes envies frustrées ! L’homme derrière moi, me susurre à l’oreille :
- C’est un cadeau du Maître, tu auras le droit de jouir après nous !
Les deux hommes, après m’avoir besogné un long moment n de grands coups de reins puissants et profonds, se lâchent au fond de mon ventre et la vague de fond de jouissance déferle en moi à mon tour, j’enserre les deux phallus avec les muscles de mes entrailles, les délestant des dernières gouttes qui s’épanchent en moi. Ils me serrent, m’enlacent et me caressent le corps, m’embrassent et mordillent la peau, les oreilles, la nuque, les seins. Je sens même la Verge de l’homme derrière moi qui se redresse à nouveau et caresse encore mes fesses. Ils veulent remettre le couvert ! Le premier qui m’a possédée par l’anus a une idée subite :
- Attends, sa rondelle est suffisamment élastique pour nous accueillir tous les deux !
En prononçant ses mots, il malaxe de nouveau avec trois doigts ma rosette, lubrifiée par ma mouille et par son sperme qui ressort un peu de ma cavité anale. Je m’accroche aux cordes qui me maintiennent debout et me mords les lèvres avec mes dents, tellement j’ai envie de me sentir bien remplie, bien possédée par le cul. Je sens alors leurs deux glands violacés venir forcer mon fondement et les voilà profondément en moi à me pistonner avec précision et maîtrise. Je ne reçois pas l’ordre de jouir mais que c’est dur de rester sur la corde raide ainsi ! Au bout d’un long et délicieux moment à être ainsi saillie, les deux hommes se déversent une nouvelle fois dans mon cul de chienne en lâchant de nombreux râles de mâles en rut. Ils restent ensuite bien plantés en mon fondement en coït anal profond sans bouger durant quelques minutes pour ensuite se retirer… Après m’avoir observée un long instant, c’est sans un mot qu’ils s’en vont comme ils sont venus... Alors que je reprends mon souffle, deux nouvelles mains me touchent le ventre et remontent sur mes seins.
- La chienne, j’ai enfin un peu de temps pour m’occuper de toi et … de ton superbe cul !, ponctue le Majordome d’une claque sur mon derrière.
Il me déplace pour qu’une de mes jambes puisse prendre appui sur le tronc de l’arbre où je suis accrochée
-Tu sens comme ma bite renifle ton abricot, femelle ?, me questionne Walter alors que l’extrémité de sa queue dressée se loge à l’orée de mon oeillet.
- Oui Monsieur.
Cette question et cette attente m’excite. Je ne bouge pas d’un millimètre et en une poussée vigoureuse, il me possède. Le Majordome me pistonne avec un tel savoir que c’est une torture pour moi de me retenir de jouir. Il lâche sa purée dans mon fondement en long jets chauds et épais qui s’écoulent ensuite sur mes cuisses. Il ne me dit rien, mais sa dernière caresse sur mon corps, un peu trop appuyée est d’une telle douceur qu’il me fait comprendre ainsi qu’il a apprécié. Je le remercie de m’avoir offert son précieux nectar. Walter me détache de la branche et enlève le bandeau qui m’aveugle. Il m’ordonne de récupérer le sperme sur mes cuisses et de me nettoyer, ce que je fais avec une dévotion non feinte. J’ai tout juste le temps de pisser à nouveau contre un arbre qu’on entend au loin le gravier crisser sous les pneus d’une voiture qui arrive à faible allure. Le Majordome me presse de secouer les dernières gouttes et nous nous activons pour retourner vers le Château et nous voilà sur les marches du perron pour attendre les nouveaux invités. J’ai peine à croire que je ne suis arrivée qu’hier tant la journée a été riche en événements. Je me prosterne de nouveau et cette fois-ci mon cul est orné de la queue de paon, cadeau de Maîtresse Céline à son ami le Marquis d’Evans. Mon cul doit encore briller de tout le sperme que les hommes ont laissé sur mon corps. Ma cyprine coule le long de mes cuisses en longs fils épais et blancs. Je dois former un sacré tableau ! Etant le dos tourné, je ne vois pas les nouveaux venus
- Bonjour Walter ! Comment allez-vous ce matin ?, demande une voix forte d’homme aux accents chantant du Sud de la France… Mais qu’avez-vous là ?, poursuit-il après la réponse des plus cordiales du Majordome. - Une nouvelle acquisition de mon ami Monsieur le Marquis d’Evans ?
- Non pas, non pas ! Il s’agit de la chienne d’une amie de Monsieur le Marquis, Maîtresse Céline.
- Hmm, un morceau de premier choix, commente-t-il tout en me touchant les fesses avec une main.
Celle-ci est incroyablement chaude et son toucher m’électrise surtout lorsque son pouce qui caresse doucement mes petites lèvres vient se nicher contre mon clitoris. Ce doigt en fait le tour et le frôle de plus en plus jusqu’à carrément le branler…
- Mais elle a déjà été bien utilisée, dites-moi ! … (puis s’adressant à une autre personne) … Tiens ma chienne, viens lécher mes doigts !
J’entends le bruit d’une petite langue agile. L’ami du Noble, continue
- Walter, seriez-vous d’accord pour que ma chienne lèche celle-ci pour lui nettoyer le cul et la chatte ?
- Mais bien-sûr, faites-donc ! La chienne !, m’apostrophe-t-il en donnant un coup sec sur la laisse. Tu as interdiction de jouir, m’entends-tu ?
- Oui Monsieur.
La langue et les lèvres expertes de l’esclave femelle me prodiguent un plaisir irrésistible. Je me sens monter vers des délices vertigineux. Mon souffle devient plus court et rauque. Un coup qui ressemble à un coup de cravache s’abat sur l’esclave qui d’un coup de langue savamment appliqué me fait redescendre des nuages. esclave Harmonie (c’est le nom de la chienne femelle) passe alors devant moi, à quatre pattes juste derrière le Maître qui daigne l’éduquer. Elle est… éblouissante. Nue comme au premier jour, elle dégage une aura de lionne avec sa crinière flamboyante et sa démarche féline et emplie de grâce. Son corps est souple et élancé comme une liane et modelé comme une danseuse. Je peine à retenir ma mâchoire de tomber devant une si belle femme aussi somptueuse, qui irradie de bonheur. Ses yeux d’un bleu profond expriment toute son intelligence et leur couleur si intense leur confère une aura magnétique et envoûtante. Elle m’embrasse sur la bouche avec volupté et sa langue a encore le goût du sperme mélangé à ma cyprine. C’est un délice… Un coup sur la laisse me rappelle à l’ordre, et nous rentrons au Château, toutes les deux tenues en laisse en quadrupédie. Nos deux corps de femelles marchant côte à côte d’une démarche chaloupée où nos fessiers se balancent spontanément et en cadence. Parfois, nos peaux se frôlent et c’est une sensation de pur bonheur qui diffuse dans tout mon corps, l’impression d’être avec une sœur en soumission. En écoutant les Dominants, j’apprends que les nouveaux venus sont Maître Doc et donc esclave Harmonie.
Walter nous mène ensuite la pouliche Harmonie et moi-même dans une salle d’eau rudimentaire au vieux carrelage mal dégrossi. Il nous place au fond de la pièce et va prendre le tuyau d’arrosage et nous asperge d’eau froide pour nous récurer ! Le contact de ce jet puissant et presque glacé est… vivifiant ! Le Majordome nous place debout, jambes écartées et mains sur la nuque puis nous frictionne sans ménagement avec une serviette râpeuse en s’attardant sur nos parties génitales, ce qui me fait monter le rouge aux joues, d’être traitée ainsi et essuyée comme un cheval dans son box. Enfin, nous nous maquillons avec un simple trait de crayon et du mascara avant d’enfiler, sur notre collier et harnais respectif, une longue veste militaire noire rehaussée de liserés dorés sur chaque poignet nous arrivant jusqu’au-dessus du genou. Une laisse pend entre nos seins et nous avons obligation de garder notre veste ouverte. Le tombé parfait de la veste, le col montant, les épaulettes bien marquées par une bande de tissu fermé par un gros bouton, et notre taille cintrée nous embellissent la silhouette. Enfin des sandales à haut talon complètent notre tenue.
Le Majordome nous conduit par nos laisses jusqu’à une limousine noire rutilante garée devant les marches du perron. Nous montons en voiture, esclave Harmonie est placée au centre de la banquette faisant face à la route et moi sur l’autre banquette près d’une fenêtre. Nous avons pour ordre de poser nos fesses nues directement sur le cuir doux des sièges, jambes écartées, dos bien droit, sans s’appuyer au dossier et mains sur les cuisses paumes vers le haut en signe d’offrande. esclave Phryné MDE nous rejoint pour être placée à l’opposé de la banquette où je suis assise.
Le gravier crisse à nouveau sous les pas des trois Dominants accompagnés par le Majordome qui leur ouvre la portière. Maîtresse Céline entre la première et se place devant moi. Je suis si heureuse de la revoir ! Tout en gardant le regard baissé, je lui dis bonjour avec tout l’enthousiasme possible. La Maîtresse qui daigne me soumettre a revêtu sa tenue de chatte qui lui va si bien d’une couleur rouge profond. Maître Doc pénètre ensuite pour se positionner entre esclave Phryné MDE et moi-même, Le Maître des Lieux, Monsieur le Marquis d’Evans, s’installant quant à lui au côté d’esclave Harmonie et en face de sa propre esclave. Le Majordome prend le volant et la luxueuse voiture démarre avec souplesse sans un bruit de moteur dans l’habitacle.
Les Dominants parlent gaiement alors que leurs mains vont et viennent sur nos appâts offerts à leurs caresses et désirs. Nos tétons sont pressés et vrillés fortement nous faisant nous cambrer et déclenchant l’érection de nos clitos. Bientôt, sous le regard amusé du Noble, la main de Maître Doc s’attarde sur le mien et le masturbe comme un sexe masculin. Je ferme les yeux de plaisir et je me concentre pour ne pas jouir. Maîtresse Céline embrasse esclave Harmonie et voir leurs langues danser un ballet sensuel ne calme pas mes ardeurs ! Nous entrons dans une ville et un motard s’arrête à notre hauteur sur mon côté. Maîtresse Céline demande au Majordome d’ouvrir la fenêtre à côté de moi et propose au motard de me toucher. D’abord surpris, ce dernier ne se fait pas prier, retire un de ses gants et me pétrie la poitrine. Donner ainsi des envies à des inconnus m’excite encore un peu plus…
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