Alice chez les nudiste suite 2

- Par l'auteur HDS Momonique -
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Alice chez les nudiste suite 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-01-2025 dans la catégorie Plus on est
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Alice chez les nudiste suite 2
Je n’avais pas réussi à m’endormir tout de suite cette nuit-là. Je repensais à mon comportement, si inhabituel pour moi. J’avais osé me lâcher, abandonnant mes retenues, me laissant aller entièrement, et cela m’avait fait un bien fou.
Mais la nuit était étouffante. L’air, lourd et moite, collait à ma peau,encore désireuse de caresses. Dehors, l’orage grondait au loin. La moindre couverture m’était insupportable, et pourtant, sans elle, je me sentais vulnérable.
Je caressais mes seins, encore un peu gonflés, et finis par sombrer dans le sommeil.

Au matin, l’orage grondait encore, les éclairs zébrant parfois le ciel sombre. La pluie ne faiblissait pas, tombant en trombes incessantes.
Malgré cette météo déchaînée, je décidai tout de même d’aller chercher du pain. J’enfilai un poncho en plastique transparent que j’avais acheté spécialement pour ce genre d’occasion, bien qu’il soit loin d’être élégant il laissait voir mon corps nu en dessous. Sous la lumière grise du jour, il semblait presque fantomatique, collant légèrement à ma peau à cause de l’humidité ambiante. Je pris une profonde inspiration et me lançai dans ce rideau de pluie.
Arrivée à la petite supérette, où le vendeur semblait bien seul derrière son comptoir, il me lança avec un sourire :
— Bonjour, vous êtes la seule courageuse à braver ce temps !
Je répondis en souriant :
— Oui, ça tombe bien, j’avais besoin de pain.
Il ajouta avec une pointe de malice :
— Que désire cette jolie dame ?
— Un pain et deux croissants, bien dorés, il me semble, répondis-je.
Il s’exécuta rapidement, posant les viennoiseries et le pain devant moi avec une certaine fierté.
Je me penchai pour fouiller dans mon sac à la recherche de mon porte-monnaie. Les gouttes d’eau perlaient encore sur mon poncho transparent. Mes seins lourd, légèrement humides, ballotaient, pendant ma quête un peu laborieuse. Le vendeur, patient, observait la scène avec un sourire amusé.
— Et voilà pour vous… Mais je dois dire que vous avez de jolies miches, ajouta-t-il avec un clin d’œil, visiblement content de son jeu de mots.
Un peu amusée, je répondis : Et vous une jolie baguette.
À ses mots, il se redressa fièrement.
— Trois euros vingt, s’il vous plaît, annonça-t-il en posant l’appareil devant moi.
Je glissai ma carte dans le terminal, sous son regard encore marqué d’un brin de satisfaction.

Je payai, glissai mon pain et mes croissants dans mon sac, puis me dirigeai vers la porte. Alors que je m’en retournais au gîte, je sentis son regard insistant dans mon dos, me suivant tandis que je m’éloignais sous la pluie.
Un sourire se dessina sur mes lèvres. Je décidai d’en profiter et ralentis légèrement, prenant soin de marcher en dandinant mes fesses avec le poncho qui collait à ma silhouette. Chaque pas semblait calculé, laissant subtilement transparaître mes atouts.
Sous le crépitement de la pluie, je jetai un dernier coup d’œil en arrière. Son regard, à peine dissimulé, confirma ce que je pressentais : il m’observait encore. Flattée, je poursuivis mon chemin, le bruit de mes pas dans les flaques accompagnant ma satisfaction discrète.
Contraints par ce déluge, nous prîmes le petit-déjeuner à l’intérieur, le bruit des gouttes martelant les fenêtres rythmant notre petit déjeuner.

S’il y avait eu du soleil ce matin-là, peut-être aurais-je pu apercevoir Marc rôder autour du gîte. Cependant, je reçus un SMS de sa part, m’informant qu’il avait une proposition à me faire. Cela piqua ma curiosité.
Le déluge s’arrêta enfin en début d’après-midi, et les nuages s’effilochèrent pour laisser place à de belles éclaircies. Déjà, le climat méridional reprenait le dessus, réchauffant doucement l’atmosphère et faisant oublier la matinée orageuse.
Assise sur la terrasse nue comme un ver, un crayon à la main, je me concentrais sur des mots fléchés, bercée par la brise tiède qui annonçait un retour au beau temps. C’est alors que j’entendis une voiture se garer devant le gîte. En levant les yeux, je reconnus Marc. Il sortit du véhicule avec son sourire habituel et lança d’un ton léger :

— Hé ! Comment va ma jolie aujourd’hui ?

Surprise et flattée, je répondis en rougissant légèrement :
— Bien, et toi ?

Il hocha la tête en souriant :
— Bien, bien. Je me déshabille et j’arrive !

Visiblement, Marc n’avait pas passé la matinée au gîte, et sa mine légèrement hâlée et son air détendu trahissaient une matinée bien occupée ailleurs. Intriguée, je l’observai rentrer, me demandant quelle était cette fameuse proposition qu’il avait à me faire.
Il réapparut sur la terrasse, en tenue d’Adam. Sans hésiter, il s’assit directement dans le fauteuil face à moi, croisant les jambes avec une nonchalance assumée.

Intriguée, je levai les yeux de mes mots fléchés et demandai :
— Alors, tu voulais me dire quoi ?
Il me lança un regard sérieux, mais teinté de malice, avant de répondre :
— Appelle ton époux, ça le concerne aussi.
Surprise, je fronçai légèrement les sourcils, cherchant à deviner où il voulait en venir. Le ton qu’il avait employé laissait entendre que ce qu’il s’apprêtait à dire était important… et peut-être inattendu.
— Florent, peux-tu venir ? lançai-je en direction du gîte.

Mon époux nous rejoignit sur la terrasse et s’installa à nos côtés. Il nous regarda tour à tour, intrigué, tandis que Marc semblait légèrement nerveux.

— Bien, commença Marc en se raclant la gorge, visiblement un peu embarrassé. Comment dire… euh, voilà…

— Eh bien, vas-y, dis-nous ! l’encourageai-je, impatiente, un sourire amusé aux lèvres devant son hésitation.

Il prit une profonde inspiration, fixa un instant la table, puis releva les yeux vers nous.

— Ça vous dirait si, pour le reste de votre séjour… nous formions un trouple ?

Un silence s’installa, lourd et chargé de tension, tandis que ses mots résonnaient encore dans l’air chaud de l’après-midi. Je jetai un regard à Florent, cherchant une réaction sur son visage, mais lui aussi semblait surpris, déconcerté par cette proposition inattendue. Quant à Marc, il restait assis, tentant d’afficher un calme apparent, bien qu’un léger sourire trahisse son audace.
Un long silence s’installa, seulement troublé par le chant des cigales et le bruissement léger du vent. Finalement, mon mari brisa le silence :

— Ta demande, bien audacieuse, mérite réflexion, dit-il d’un ton posé.

J’acquiesçai en ajoutant :
— Oui, cela se discute…

Marc, semblant soulagé par nos réponses mesurées, se redressa légèrement et déclara :
— Bien, je vais vous laisser en discuter entre vous. Sachez simplement que, même si votre réponse devait être négative, j’espère qu’elle ne brisera pas la confiance et la complicité qui se sont installées entre nous.

Il se leva, nous adressa un dernier regard presque hésitant, puis se dirigea vers son gîte. Nous en fîmes de même, regagnant le nôtre en silence, chacun perdu dans ses pensées.

À peine la porte refermée, mon mari éclata soudain :
— Whaouuu ! C’est dingue ! Mais attends, là… je vais vraiment me sentir cocu, moi !
Je le regardai, interloquée.
— Je n’ai encore rien accepté, répliquai-je en croisant les bras. Mais je dois avouer que, dès que Marc a parlé… quelque chose en moi voulait dire oui.
— S’il te plaît ! lâcha-t-il, presque en plaisantant, mais avec une pointe de sincérité.
Je le fixai, exaspérée :
— Hey, tu te rends compte que tu parles de moi et de mon corps, là ?
Il esquissa un sourire enfantin, joignant les mains en signe de prière :
— Allez, Alice…
Je le regardai longuement, pesant mes mots, avant de déclarer d’un ton résolu :
— Très bien. Tu l’auras voulu.
Un mélange d’excitation et de nervosité bouillonnait en moi, comme une colonie de fourmis s’agitant dans mon ventre faisant mouiller mon vagin. L’envie d’aller l’annoncer à Marc devint irrésistible. Sans plus attendre, je sortis du gîte, presque en courant, telle une écolière pressée, et frappai à la porte-fenêtre de son gîte.

Il ouvrit presque immédiatement, visiblement surpris de me voir là, si rapidement. Avant qu’il ne puisse dire un mot, je lâchai dans un souffle :
— C’est oui.
Ses yeux s’écarquillèrent sous le coup de la surprise, mais un sourire éclatant illumina aussitôt son visage.
Sans lui laisser le temps d’ajouter quoi que ce soit, je lui sautai dans les bras, mes jambes s’enroulant autour de sa taille et mes bras autour de son cou. Il vacilla légèrement, mais me serra fort contre lui.
La vitesse de notre élan nous emporta, et dans un mouvement spontané, Marc tourna sur lui-même pour retrouver son équilibre. Avant que je ne réalise ce qui se passait, je me retrouvai assise sur la table de la cuisine, mes jambes toujours enroulées autour de sa taille. Par contre Marc étant tres vigoureux eut une érection. Pendant tout cet instant ma vulve ouverte frottait contre son pénis. Son gland qui avait durci rapidement se retrouvait aux portes de mon vagin. D’un coup de rein sans forcer il entra en moi. Je me laissai faire, nous venions de franchir une frontière invisible, nous formions un trouple, ce qui lui octroyait le privilège de me prendre à cru.

Le bois frais de la table contrastait avec la chaleur de nos corps. Il posa ses mains de chaque côté de moi, me maintenant en place, il me faisait l’amour, son regard ancré dans le mien. L’instant semblait suspendu, chargé d’un mélange d’audace, de malice et d’une excitation. Le moment était si intense, si profond, que Marc ne pouvait plus controlé ses émotions. Il éjaculait abondamment dans ma chatte assoiffée de son jus. Il m’embrassait a pleine bouche restant au fond de moi.
Mon mari arriva, un sourire moqueur accroché aux lèvres.

— Déjà ? Vous n’avez pas perdu de temps, lança-t-il. Je me demandais ce que vous faisiez.

Marc, visiblement agacé, lui répondit :
— Tiens, vas-y, prends ma place.

Il se retira brusquement, avec un soupir frustré. Je restai immobile, observant la scène avec un mélange d’amusement et de désapprobation.

— Hey, les matous, ne vous chamaillez pas déjà, dis-je avec un sourire en coin, essayant de détendre l’atmosphère.

Mon mari haussa les épaules et s’installa à la place de Marc, attrapant mes jambes d’un geste assuré. Sans perdre une seconde, il examina ma chatte, puis me lécha, plongeant immédiatement sa tête entre mes cuisses.Son cuni appuyé me faisait jouir du clito. Il se régalait du mélange de mouille et de sperme.
Marc, de son côté, se contenta de croiser les bras en observant, son regard oscillant entre irritation et amusement face à cette dynamique naissante.
Florent se releva barbouillé « mmm délicieux » lança t’il , fier de m’avoir nettoyé . Il pénétra dans ma zezette engluée du jus de l’amant et dit:
-Trop bon, ça glisse tout seul, je me sens vraiment cocu.
- va s’y baise moi mon cœur.
Surexcité il s’affairait comme un diable et lâchait la purée mettant quelques dernier lents coups de reins appuyés.
Je descendis delà table avec un sourire satisfaite. Jamais encore je n’avais reçu deux spermes différents dans mon vagin, et ce détail, aussi simple soit-il, me comblait d’une joie presque jouissive.
Prenant un ton à la fois sérieux et taquin :
— Bon, messieurs, il est temps de faire une mise au point. Je ne veux pas de jalousie, et c’est moi qui décide qui me sert à boire.
Les deux matous, un peu pris de court, se regardèrent un instant avant de répondre en chœur :
— Ok !
Un éclat de rire échappa à tous les trois, et l’atmosphère redevint légère.
Florent prit une décision qui surprit un peu, mais qui, au fond, semblait naturelle pour lui : il choisit de rester en retrait, préférant laisser à Marc la liberté d’explorer cette nouvelle proximité avec moi.
Ce choix, réfléchi et respectueux, me convenait également. Il allégeait les éventuelles tensions et me permettait de vivre pleinement cette expérience, tout en sachant que Florent était là, en soutien silencieux, toujours attentif.
Désormais dans un esprit détendu et complice, nous avons décidé d’aller profiter de la piscine. La chaleur de l’après-midi appelait à la fraîcheur de l’eau, et chacun semblait prêt à savourer ce moment, laissant derrière nous les tensions et les maladresses des premières dynamiques du trouble.
La journée continua sans trop d’extravagance, bien que Marc ne me lâchât pas d’une semelle. Toujours collé à moi, il affichait une affection presque envahissante. Pour tempérer un peu ses ardeurs et rééquilibrer les choses, je pris la décision de dormir dans le lit avec mon mari cette nuit-là. Cela me permit de retrouver une certaine sérénité.

Le lendemain matin, nous nous retrouvâmes tous ensemble sur la terrasse pour le petit-déjeuner. L’air était déjà chaud, et la lumière douce annonçait une belle journée. Entre deux gorgées de café, Marc me lança :

— Ça te dirait d’aller en ville avec moi ? J’ai un ami qui tient un magasin, et j’aimerais acheter une ou deux babioles.

Sa proposition me fit sourire. Pour l’occasion, j’enfilai une robe légère qui dansait autour de mes jambes à chaque mouvement. Mon mari préféra rester au gîte, nous laissant partir tous les deux.
Nous prîmes la voiture, et après une courte route, nous arrivâmes devant le fameux magasin. Mais à ma grande surprise, ce n’était pas du tout la boutique chic que j’avais imaginée. C’était un sex-shop, un endroit un peu désordonné où l’on trouvait de tout : des vidéos, des objets improbables, des godes, et même des vêtements et déguisements.
Je lançai un regard à Marc, à la fois amusée et perplexe :
— Eh bien, je ne m’attendais pas à ça !
Il éclata de rire.
— Viens je vais te présenter Rachid, le gérant.
Nous nous approchions du comptoir.
-Rachid, je te présente Alice.
-Enchanté Alice.
-Enchantée, de même. Et bien je ne m’attendais à un tel magasin.
-Oui effectivement, c’est grand, et sur deux étages, il y a un sous-sol je vous laisse découvrir.
Nous nous baladions dans les allées et je demandais a Marc.
Nous flânions dans les allées, observant les objets improbables qui s’y trouvaient, quand une idée me traversa l’esprit. Avec un sourire en coin, je murmurai doucement à Marc :
— Tu crois qu’il est circoncit ?
Il me lança un regard malicieux, et avant que je ne puisse l’arrêter, il s’écria avec un éclat de voix qui résonna dans tout le magasin :
— Rachid ! Alice veut savoir si t’es circoncit !
Je rougis instantanément, incapable de dissimuler ma gêne. À quelques mètres, Rachid se tourna vers nous avec un grand sourire.
— Elle veut voir ? lança-t-il avec un ton aussi joueur que provocateur.
Je sentis mes joues s’embraser, et l’ambiance bon enfant du lieu me mit rapidement mal à l’aise. Prenant mon courage à deux mains et m’amusant de la situation, je répondis :
— Pourquoi pas !
Rachid éclata de rire et, sans hésiter, baissa son pantalon pour dévoiler son pénis au gland sans peau. Son sourire éclatant et la légèreté de l’instant firent disparaître ma gêne, et je me retrouvai à admirer ce chibre avec fascination.

Rachid contracta son sexe, faisant légèrement se lever. Curieuse, je tendis instinctivement la main, mais je l’arrêtai à mi-chemin, hésitant.

Avec un sourire encourageant, il dit simplement :
— Tu peux toucher, si tu veux.

Je m’approchai et effleurai doucement son gland circoncit du bout des doigts, suivant les lignes du casque avec attention. Puis, plus confiante, je suivai les veines , ressentant son pénis gonfler sous mes doigts.
Je pris le pris délicatement en main, comme pour explorer les détails de sa queue et de ses couilles. Il me regardait avec un sourire complice, un échange silencieux et détendu s’installant entre nous. Je le branlai avec application.
Voici une version enrichie et fluide :
Marc, resté silencieux jusque-là, me regardait bouche bée, visiblement surpris par la scène. Son expression oscillait entre étonnement et amusement, comme s’il ne savait pas quoi dire.

Quant à moi, je ne me reconnaissais pas dans mon propre comportement. Quelque chose dans l’ambiance de ce lieu me poussait à lâcher prise, à agir d’une manière plus coquine, presque instinctive. C’était à la fois troublant et libérateur. Il appuya sur mon épaule pour que je m’agenouille.
Cachée derrière le haut comptoir, j’étais à l’abri des regards indiscrets. Marc, positionné légèrement sur le côté le pantalon ouvert, observait attentivement, son expression laissant deviner qu’il voulait, lui aussi, trouver un moyen de participer ou d’intervenir.
Je me transformai en vrai pute et je pipai Rachid activement. Comme une pro du sexe. Je sentai un goût âpre dans ma bouche du liquide pré séminal s’échappa de sa queue.
La clochette de la porte d’entrée tinta soudain, rompant l’atmosphère singulière qui s’était installée. Une voix énergique lança un chaleureux :
— Bonjour !
Rachid, visiblement surpris par cette arrivée inattendue, lâcha la purée et répondit d’un ton un peu hésitant :
— Bonjour…
Son salut était timide, bien loin de son habituel aplomb. Heureusement, le haut comptoir masquait ce qui se passait derrière, et le client, occupé à parcourir les rayons, ne sembla rien remarquer d’étrange. Surprise aussi j’avais avalé une pleine gorgé.
Je me relevai et m’essuyai discrètement, lissant machinalement ma robe pour me donner une contenance. Rachid ajusta son pantalon, tandis que Marc, toujours sur le côté, feignait de s’intéresser à une étagère remplie d’objets érotiques.
Tout le monde reprit rapidement un air naturel, comme si rien ne s’était passé. Le client, absorbé dans sa recherche, ne sembla pas prêter attention à notre petite mise en scène improvisée. L’ambiance du magasin retrouva son calme habituel, avec Marc nous regardions la gondoles avec les godes.
Marc se tourna vers moi avec un sourire malicieux et murmura :
— Tu es une sacrée salope.
Je laissai échapper un petit rire, secouant la tête.
— Oui, je ne me reconnais plus moi-même depuis le début de ce séjour, avouai-je, un peu surprise par ma propre franchise.
En continuant de flâner dans les allées, Marc s’arrêta soudain devant un rayon dédié aux produits ménagers. Il prit une boîte contenant des boules de geisha et les examina attentivement.
— Tu as déjà essayé ça ? me demanda-t-il en me tendant la boîte.
— Non, jamais, répondis-je en haussant les épaules, intriguée.
— Alors, je vais en acheter, juste pour voir ce que ça donne sur toi , dit-il avec enthousiasme avant de glisser l’article que le comptoir.
— Rachid, encaisse-moi ça tout de suite, dit-il avec un air déterminé.
Rachid, intrigué mais amusé, s’exécuta sans poser de questions. Une fois les boules payées, Marc les déballa avec soin et, en me tendant le paquet, déclara :
— Enfile-moi ça.
Je haussai un sourcil, un mélange de surprise et d’amusement sur le visage.
— Ici ? demandai-je, hésitante.
— Oui, mais fais ça discrètement, va au fond, répondit-il avec un clin d’œil.
Curieuse et un peu joueuse, je m’exécutai. Derrière un rayon, à l’abri des regards, je baissai ma culotte ,j’enfonçai les boules avec soin. De temps à autre, je laissais dépasser ma tête, amusée de voir Marc jeter des coups d’œil furtifs, devinant mes mouvements sans tout voir.

Une fois prête, je revins vers le comptoir sentant déjà les vibrations des boules, me tenant droite avec un petit sourire.
— Voilà, en place, déclarai-je fièrement.

Marc me détailla d’un regard satisfait, puis nous saluâmes Rachid avec légèreté avant de quitter la boutique, laissant derrière nous une atmosphère complice et légèrement espiègle.

Marc, visiblement pressé, m’attrapa par le poignet et me tira en direction de la sortie. Sa poigne ferme me força à accélérer le pas, et bientôt je me retrouvai à trottiner légèrement derrière lui, accélérant sous le coup de l’effet des boules.
— Mais où est-ce qu’on file comme ça ? lançai-je, amusée, en essayant de suivre son rythme.
Il ne répondit pas tout de suite, se contentant de me jeter un regard complice avant de m’ouvrir la portière de la voiture avec un sourire mystérieux
Il me regarda avec un sourire en coin, les yeux pétillants de malice.
— C’est pour ton bien, dit-il en m’ouvrant la portière. Puis, il ajouta, un peu plus taquin :
— Alors, quel effet ça te fait ?
— Je sens le frai entre mes cuisses je mouille !
Il démarra, et nous quittâmes la ville. Chaque cahot de la route, chaque vibration se répercutait aux boules de geisha stimulant mon vagin, amplifié par les irrégularités de l’asphalte. Marc, amusé, sembla rapidement deviner ce qu’il se passait. Avec une intention presque sadique, il prit un malin plaisir à accélérer brusquement à l’approche des dos-d’âne, secouant encore davantage la voiture.
J’écartai sur le siège, un sourire amusé aux lèvres je relevai ma robe a mi-cuisses, lui faisant comprendre que j’avais envie de bite.
Il vira soudainement sur la droite, s’engageant sur un petit chemin de terre escarpé sans ralentir. Les vibrations, s’intensifièrent à chaque cahot. Après quelques minutes de secousses, nous arrivâmes à l’orée d’un bois. Là, il stoppa brusquement, cherchant visiblement à nous mettre à l’abri des regards indiscrets, il se gara derrière un bosquet.

Nous descendîmes du véhicule dans un silence chargé d’émotion. Il semblait excité, ses gestes brusques trahissant son agitation. Avant que je ne puisse réagir, il attrapa mes poignets d’un geste ferme et me poussa contre le capot du véhicule. Mes mains et mon ventre pressés contre la surface du capot, je pouvais sentir la chaleur résiduelle du moteur mêlée à son souffle court et agité derrière moi.
Il leva brusquement ma robe. Sans un mot, il baissa ma culotte, révélant des fesses rebondies et mon abricot. Il se pencha ensuite, attrapa la fine ficelle qui maintenaient les boules, et les tira avec un mélange de force et de précision. Une à une, il les ôta, mon vagin épousant les formes des sphères au retrait . Il les mit dans sa poche.
Il ouvrit sa ceinture avec un mouvement rapide, puis fit glisser son pantalon aux genoux. Concentré, il sortit sa bite du caleçon et, d’un geste brusque, l’inséra dans ma chatte. Le mouvement fut sec, presque agressif, et il commença à me démonter avec une sorte d’acharnement. Je gueulait tout ce que je pouvait: « oh oui, oh oui, oh oui, ouiii »
Chaque coup de bite semblait porté par une rage contenue, tandis que ma mouille bruissait sous ses va et vient. Ses mâchoires serrées et son souffle court trahissaient une impatience nerveuse, comme s’il cherchait à canaliser sa colère dans ce coït délicieux mais brutal. Il appuyait ses coups laissant un un instant son gland contre mon col de l’utérus.

À chaque coup de reins, il laissait échapper des mots crus, prononcés entre ses dents serrées. Ses paroles étaient comme des éclats de colère, ponctuant le bruit de claquement contre mes fesses. “Putain, salope, sale chienne … t’aimes ça hein…”, grogna-t-il en cognant encore plus vite. Un cri strident trahissant ma jouissance se fit entendre. A cette clameur, son acharnement devenait presque mécanique, éjaculant finalement, ralentissant la cadence au fur et a mesure de ses spasmes phalliques jusqu’à l’arrêt au fond de moi. Il resta comme ça un instant me maintenant par les hanches.
Il se redressa enfin, la bite dégoulinante de sperme, le visage marqué par l’effort. Sans se presser, il s’essuya rapidement avec un kleenex qu’il avait tiré de la boîte à gants, avant de remettre son boxer et de relever son pantalon. De mon côté, je réajustai mes affaires, tentant de retrouver un semblant de contenance après ces instants tendus.
Nous montâmes dans la voiture, et cette fois, il roula doucement, savourant le calme retrouvé. Sa main passa autour de mes épaules avec une assurance tranquille, et je me laissai aller, penchant doucement ma tête contre lui. Un silence complice s’installa, ponctué uniquement par le ronronnement du moteur qui nous ramenait lentement vers le gite.
Voici une version corrigée et enrichie :
Nous arrivâmes enfin au gîte, où Florent nous attendait sur la terrasse, un grand sourire aux lèvres et l’apéro déjà prêt sur la table. “Hey, vous en avez mis du temps !” lança-t-il en riant.
Marc, sans se démonter, répondit avec un air faussement sérieux : “Ouais, on a été acheter des boules.”
Florent haussa un sourcil, intrigué, avant de s’exclamer : “Ah, parfait ! Justement, il y a un tournoi de pétanque cet après-midi !”
À ces mots, nous éclatâmes tous de rire, un fou rire contagieux qui laissa Florent perplexe. “Mais pourquoi vous rigolez ? Qu’est-ce qui se passe ?” demanda-t-il en nous regardant, un peu perdu.
Reprenant notre souffle, Marc finit par répondre : “Alors, on s’inscrit ?”
D’une seule voix, et sans hésiter, nous répondîmes à l’unisson : “Oui !” C’était décidé, l’après-midi serait placé sous le signe de la pétanque, de la convivialité et, sans aucun doute, de nouveaux éclats de rire.
Nous allâmes nous dévêtir, pour prendre l’apéro et déjeuner pour continuer notre journée de nudistes.
15 heures arrivèrent, et nous partîmes pour le tournoi de pétanque, l’ambiance légère et enjouée. Florent était dans son élément, affichant un enthousiasme débordant. Il se plaisait à rappeler qu’il avait toujours été un champion aux boules, une discipline où, il faut l’avouer, c’était avec les seules boules ou il excellait vraiment.

“Ah, les gars, vous allez voir ce que c’est qu’un vrai tireur de précision !” fanfaronna-t-il, en ajustant fièrement sa casquette.
Nous rîmes de bon cœur, habitués à ses grandes déclarations, mais force était de reconnaître qu’une fois le cochonnet lancé, il faisait preuve d’une adresse impressionnante. Florent prenait chaque lancer avec un sérieux presque co
“Au moins, il est bon quelque part !” murmura Marc en riant, mais avec une pointe d’admiration. Et il avait raison : Florent était dans son domaine, et cela suffisait à donner à cet après-midi un charme tout particulier.

Florent faisait équipe avec Marc, un duo qui promettait autant de compétitivité que de chamailleries. Pendant ce temps, pour éviter que je ne m’ennuie sur le bord du terrain, l’animateur du tournoi m’avait confié une mission : l’assister dans l’arbitrage.

“Tu seras mes yeux et mes oreilles sur les terrains,” m’avait-il dit avec un clin d’œil, en me tendant un mètre pour mesurer les points.

La mission d’arbitrage me permit de rester au cœur de l’action tout en observant les dynamiques amusantes entre les équipes. L’après-midi promettait d’être aussi drôle que compétitive.
Voici une version corrigée et enrichie :
Je ne me privais pas de m’accroupir pour mesurer avec précision les distances entre les boules, écartant volontairement les cuisses pour mieux ajuster la position. Je m’assurais volontairement de prendre certaines positions pour qu’ils voient mes parties génitales. Par moments, je me penchais pour vérifier un angle ou ajuster le mètre, offrant aux compétiteurs une vue imprenable sur ma poitrine pendante, qu’ils ne manquaient visiblement pas de remarquer.
Quelques regards en coin et sourires amusés trahissaient leur distraction, mais je feignais de ne rien voir..

Un point provoqua un véritable dilemme. Les joueurs des deux équipes se disputaient pour savoir quelle boule était la plus proche du cochonnet. Chargée de trancher, je m’accroupis pour mesurer, m’appliquant à être la plus précise possible.
Je mesurais, puis remesurais, penchée au plus près du sol, entourée par les quatre hommes qui observaient la scène avec une attention presque exagérée. J’étais à hauteur de leurs bites, et malgré moi, c’était tout ce que je voyais. Des jambes bronzées, des bites qui pendaient à peine sur leurs scrotums chargés de sperme… autant dire que le cadre était difficile à ignorer. Je m’imaginais en gang-bang suçant toutes ses sexes.
Je relevai la tête, les joues légèrement rouges, mais gardant mon sérieux. “Oui, et c’est celle-là qui gagne,” déclarai-je en désignant la boule victorieuse. Un mélange de rires et de protestations accueillit mon verdict, mais je gardai mon aplomb. Ce tournoi ne manquait décidément pas de moments cocasses !
Finalement, Florent et Marc, après plusieurs manches disputées, réussirent à se hisser en finale.
Amusée par leur détermination, persuadée de leur victoire, je m’approchai discrètement d’eux et, avec un sourire taquin, leur glissai à voix basse : “Allez, motivation supplémentaire… Je suce les vainqueurs.”
ls échangèrent un regard complice, visiblement stimulés par ma promesse. Mais ce que je n’avais pas prévu, c’est que leurs adversaires, placés non loin, avaient tout entendu. L’un d’eux, un grand gaillard avec un sourire en coin, se retourna vers moi et lança : “Ah, ça change tout ! On va tout donner pour gagner maintenant !”
Florent, lui, ajouta d’un ton moqueur : “De toute façon, vous avez aucune chance, les gars. C’est dans la poche.”

La finale s’annonçait mémorable, entre rivalités bon enfant et une motivation qui avait soudainement grimpé en flèche des deux côtés !
La première manche fut serrée, chaque point âprement disputé, mais Marc et Florent finirent par l’emporter de justesse. Cependant, la deuxième manche fut un véritable cauchemar : une défaite cuisante de 13 à 3, presque une humiliation.

La tension monta d’un cran pour la troisième et dernière manche. Les choses s’annonçaient mal dès le début : 6 à 1, puis 8 à 1, et bientôt 9 à 1 en faveur de l’équipe adverse. Les mines de Marc et Florent se faisaient de plus en plus graves, et je tentais de les motiver : “Allez les gars, vous n’allez pas laisser passer votre lot du vainqueur ! Vous avez encore une chance !”

Mais en réalité, je commençais à me faire à l’idée que j’allais devoir sucer l’équipe adverse… et franchement, l’un des joueurs, avec son sourire éclatant et sa grosse bite, n’était pas une si mauvaise option.
C’est alors qu’un coup de génie changea la donne : Marc et Florent marquèrent 4 points d’un coup, faisant une remontée spectaculaire. La tension était palpable, et bientôt, le score se resserra à 10 à 10. Les adversaires reprirent l’avantage avec un 11 à 10, mais Marc et Florent ne lâchèrent rien. Avec une stratégie parfaitement exécutée, ils marquèrent 3 points décisifs, remportant le tournoi 13 à 11 dans une explosion de joie.
L’honneur était sauf : je n’avais pas à faire une fellation aux adversaires, même si, en jetant un dernier regard vers le joueur séduisant, je me surpris à penser que ça n’aurait peut-être pas été si désagréable de le déguster…

De retour au gîte, les vainqueurs, Marc et Florent, étaient gonflés d’orgueil, la coupe improvisée du tournoi en main et des sourires triomphants sur leurs visages. “Bon, on n’oublie pas ce que tu as promis !” lança Florent avec un clin d’œil complice, tandis que Marc acquiesçait en croisant les bras.
Amusée par leur insistance et leur fierté, je jouai le jeu. “D’accord, une promesse est une promesse,” répondis-je en souriant.

Je m’avançai d’abord vers Florent, qui tendait déjà sa queue raide avec un air exagérément satisfait. Je pipai d‘un air appliqué presque en gorge profonde, ce qui déclencha immédiatement des gémissements et un “Ah, ça c’est du service de qualité !” de sa part. Il éjacula au fond de ma bouche et j avalai avec gourmandise sa jute chaude.

Puis ce fut au tour de Marc, qui, lui, se pencha légèrement vers moi avec un sourire en coin, visiblement prêt à savourer son moment. Je répétai le geste, déposant ma bouche tout aussi appuyé sur son sexe gonflé. Sa bite volumineuse était un délice a sucer et a prendre entre les jambes. J’aspirai et je la tétai comme un sucre d’orge. Finalement sa succulente sauce jaillis inondant ma bouche. Il maintenait ma tête avec ses deux mains. M’obligeant ainsi a tout gober jusqu’à la dernière goutte. “Voilà, messieurs, récompense méritée !” déclarai-je en riant et m’essayant la bouche d’un revers de la main.

Ils se lancèrent un regard complice, et Florent ajouta en plaisantant : “C’est décidé, on rejoue l’année prochaine. Avec des récompenses pareilles, on ne peut pas passer à côté !”
Nous éclatâmes tous de rire, l’ambiance légère et libertine s’installant définitivement. La soirée, déjà bien animée, se poursuivit autour du barbecue que Florent avait allumé avec son habituelle assurance.

Les avis des lecteurs

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Superbe histoire qui mérite une suite car elle a encore des besoins il me semble.

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Belle suite mari compréhensif amant un peu moins et Alice qui veut profiter de tout la suite risque d’être chaude



Texte coquin : Alice chez les nudiste suite 2
Histoire sexe : Une rose rouge
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