Alice en gite nudiste
Récit érotique écrit par Momonique [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2025 dans la catégorie Plus on est
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Alice en gite nudiste
« Cette histoire a été écrite avec l'aide d'Anne, qui m'a fourni le fil conducteur. Certaines scènes ont été réellement vécues. »
Depuis un certain temps, mon mari me proposait de passer des vacances dans un petit village naturiste d'un grand bâtiment comprenant des gites et de plusieurs chalets qui entouraient une belle piscine J'avais toujours refusé. Finalement, à force de persévérance, il avait réussi à me convaincre. C'était début juin, et nous avions loué une chambre naturiste. Etant les deux retraités nous préférons partir hors des vacances scolaires. La propriété se situait près de la célèbre ville échangiste, dans le sud de la France.
Après avoir reçu les clés, nous voilà en possession de notre gîte. L'intérieur du gîte est à la fois chaleureux et accueillant. Le salon spacieux, avec ses grandes fenêtres, est baigné de lumière naturelle et offre une vue imprenable sur les environs. La décoration, avec des meubles modernes et des touches de couleurs vives, apporte une ambiance conviviale. La cuisine ouverte est entièrement équipée. Les deux chambres confortables sont décorées avec soin, offrant un espace de repos idéal avec des lits king size
Nous avions rangé nos affaires, nous étions enfin prêts à plonger dans cette nouvelle expérience. Mon mari, avec un sourire encourageant, me demanda si j'étais prête à vivre toute nue. Je répondis avec une hésitation palpable, un simple 'oui' qui trahissait mes doutes. Il avait insisté pour ces vacances. J’assumais mon corps, malgré mes rondeurs et mes bourrelets que je trouvais difficiles à montrer en plein air. Néanmoins je me mis nue et lui aussi.
Avec une certaine appréhension, je sortis timidement du gîte pour aller sur la terrasse. Mon cœur battait la chamade, et je sentais une légère rougeur monter à mes joues. La brise légère caressait ma peau, mais ne parvenait pas à apaiser mon anxiété. A 62 ans, c'est pas facile d'exposer un corps de femme mure qui a quelques rondeurs et surtout une poitrine assez dense. Mon mari, qui a déjà 75 ans, toujours à mes côtés, me lança un regard rassurant, et je tentai de puiser du courage dans son soutien. Il semblait plus à l'aise dans sa nudité, malgré ses poils gris et son léger ventre.
La terrasse surélevée offrait une vue magnifique sur le paysage environnant, mais je peinais à m'y attarder, trop préoccupée par mon apparence. Pourtant, en voyant d'autres personnes se promener en toute décontraction près de la piscine je commençais lentement à me détendre. Peut-être que cette expérience m'apprendrait à accepter mon corps tel qu'il est, pensais-je, tout en prenant une profonde inspiration. J'étais assise sur un fauteuil de plage, observant les couples, jeunes et vieux, ainsi que des hommes seuls qui passaient devant moi. Je lançais des 'bonjour' timides, et à ma grande surprise, tout le monde répondait avec un sourire chaleureux. Personne ne semblait prêter attention à mon apparence physique, ce qui me rassurait. D'ailleurs, beaucoup avaient des rondeurs comme moi, ce qui me faisait sentir moins seule et plus acceptée.
Le soleil réchauffait doucement ma peau, je pouvais vraiment être moi-même, sans jugement. Mon naturel espiègle me rattrapa rapidement, et mon regard se focalisait sur les sexes des hommes qui passaient. Je ne pouvais m'empêcher de les observer discrètement, intriguée par leur diversité, grandes ou petites, courtes et joufflues, les scrotums que j’imaginaient avec leurs testicules bien remplis . Certains étaient jeunes et athlétiques, d'autres plus âgés et sereins, mais tous semblaient à l'aise dans cet environnement. Cette observation ajoutait une touche de piquant à mon expérience, je sentais mon vagin s’humidifier et mes tétons durcir.
Tout à coup je vis la porte voisine à notre gîte s'ouvrir et un homme sortit du gîte en face. Je me sentais maintenant tellement détendue que j'étais assise confortablement, les jambes légèrement écartées, sans être gênée. Je remarquai son regard sur moi et compris ce qu'il regardait. Avec une pointe de malice, je décidai de bouger, le laissant en observer d’avantage, lui divulguant discrètement la raie de ma vulve imberbe. Son regard se posant sur moi avec une assurance tranquille. Il me regardait directement, sans détourner les yeux, son expression affichant une curiosité ouverte et confiante. Ses gestes étaient détendus, et il semblait parfaitement à l'aise dans cet environnement. Il me sourit légèrement , m’exhibant aussi ses attributs car il était aussi nu, ce qui reflétait une certaine complicité et une absence totale de gêne car il commençait a avoir une érection. Cette assurance me fit me sentir plus à l'aise, et je lui rendis son sourire, appréciant cette interaction silencieuse mais pleine de compréhension mutuelle.
Je me levai et m'approchai de la rambarde de la terrasse, m'accoudant avec nonchalance, laissant pendre mes gros seins aux tétines durcies.
Je lui dis bonjour et demandai :
-Vous allez bien ? Il se leva lui aussi pour s'approcher et répondit :
-Bonjour, oui, et vous ? Vous venez d'arriver ? Vous semblez déjà dans l'ambiance.
Nous étions également venus ici, car avec l’âge, mon mari rencontrait des problèmes d’érection. Nos relations intimes se limitaient alors à de rares positions classiques.
Il espérait que je puisse peut être trouver un épanouissement sexuel en ayant des relations avec d’autres partenaires sous son regard.
Mon mari était derrière moi visiblement gêné car il bandait mou, et aussi épaté par ma décontraction à faire connaissance. Il me murmura :
-Déjà, tu ne perds pas le nord espèce de salope.
Puis, il salua également notre voisin avec courtoisie :
-Bonjour.
Je répondis :
— Oui, pour nous c est première, ce n’est pas évident.
Il me répondit, un sourire en coin :
— Ah, vu votre aisance, j’aurais pu croire le contraire.
Je ris légèrement et rétorquai :
— D’habitude, je fais cela un peu plus habillée.
— Je vous préfère comme ceci, dit-il, son regard pétillant.
Je rougis légèrement en le remerciant, car d’après ce que j’avais observé auparavant, je ne lui étais clairement pas indifférente.
Je murmurai à mon mari :
— Je l’invite ou pas ?
Celui-ci, en bon voisin, me répondit :
— Oui, vas-y.
Je me tournai alors vers notre voisin :
— Vous voulez venir prendre un café ? Ce serait l’occasion de faire connaissance et de discuter de plus près.
— D’accord, j’arrive, répondit-il avec un sourire.
Il traversa alors la terrasse commune qui séparait les gîtes pour nous rejoindre.
— La vacancière d’avant n’était pas aussi charmante, dit-il en souriant. Je me présente, Marc, enchanté.
— Alice, enchantée, et voici mon mari, Florent.
— Enchanté, répondit-il chaleureusement.
— Installez-vous, dis-je en lui désignant un fauteuil.
— Chéri, tu nous fais un café ? ajoutai-je en me tournant vers Florent.
Nous prîmes place sur le salon de la terrasse, face à Marc, prêts à faire plus ample connaissance.
— C’est votre première fois en gîte naturiste ? demanda-t-il.
— Oui, et comme je disais, ce n’est pas toujours évident, répondis-je.
— Pourtant, vous me semblez très à l’aise, fit-il remarquer en me regardant.
J’étais assise face à lui, les jambes croisées, et répondis avec un sourire :
— Oui, mais finalement, je m’y fais vite.
— Oui, j’ai cru le remarquer, dit-il en souriant. Visiblement, vous allez vite vous faire des amis.
À ce moment-là, mon mari arriva avec les tasses de café et demanda :
— Et vous, ça fait combien de temps ?
— Ça fait presque dix ans que je pratique le nudisme, répondit Marc. Et pendant tout ce temps, que de belles rencontres.
Florent retourna ensuite à la cuisine, nous laissant seuls.
Marc, qui devait avoir la cinquantaine, dégageait un charme certain. On voyait qu’il s’entretenait bien, et je devais admettre que je n’y étais pas insensible.
Il était grand et athlétique, avec une silhouette qui trahissait une attention particulière à son apparence physique. Malgré son âge, il était visiblement bien conservé, son teint hâlé témoignant d’heures passées au soleil. Sa peau lisse, sans un poil, révélait un corps soigneusement épilé, ce qui ajoutait à son allure soignée et élégante. Son sexe aussi était bronzé, au repos, il me paraissait d’une bonne taille, tombant naturellement sur deux grosses boules fermes, témoignant d’une certaine virilité maîtrisée. J’espérais secrètement que je lui plaisais tout autant qu’il attirait mon regard.
Alors que Florent était encore dans la cuisine, Marc murmura avec un air malicieux :
— Je préférais vous voir dans la posture de tout à l’heure.
Je souris, amusée par sa remarque, et compris alors que je ne le laissais pas indifférent.
— Coquin, répondis-je doucement, un brin provocatrice.
Puis, dans un geste nonchalant, je posai une cuisse sur l’accoudoir, lui offrant une vue sans détour sur ma vulve désormais désireuse et rebondie.
— Vous me semblez très accueillante, dit Marc avec un sourire en coin, son regard pétillant de malice.
— Oui, c’est un petit nid douillet et délaissé, répondis-je avec un sourire complice.
— J’y mettrais volontiers mon petit oiseau, ajouta-t-il, son ton volontairement espiègle.
Je ris doucement, entrant dans son jeu.
— Et peut-être y déposeriez-vous vos œufs ?
Il haussa un sourcil, un sourire amusé au coin des lèvres.
— Et pas que, murmura-t-il avec une pointe de provocation.
Sentant l’atmosphère devenir plus intime, je proposai, le regard planté dans le sien :
— Si nous allions à l’intérieur ? Ce serait plus… tranquille.
Il acquiesça sans un mot, me suivant avec un mélange d’assurance et de curiosité.
Mon mari, qui avait perçu que la situation devenait un peu chaude, préféra rester discret dans la cuisine.
— J’ai le sens de l’hospitalité, répondis-je en soutenant son regard. Vous voulez visiter ?
Étonné par ma spontanéité, Marc répondit :
— Volontiers… mais votre mari ? demanda-t-il, légèrement inquiet.
— Ne vous inquiétez pas pour lui, dis-je avec assurance.
Il me précéda dans le salon, tandis que mon mari, toujours debout dans la cuisine, nous regardait silencieusement. Je m’installai sur le canapé, et Marc s’assit à côté de moi. Il m’embrassa doucement, ses mains parcourant délicatement mes seins. Du coin de l’œil, j’apercevais Florent, toujours immobile, nous observant depuis la cuisine et bandant déjà.
Je stoppai un instant et demandai à Marc, un peu hésitante de franchir le pas :
— Vous avez des préservatifs ? Nous n’avons pas encore eu le temps d’en acheter.
Il me regarda et répondit avec un sourire :
— Tutoyez-moi, Anne. Non, je n’en ai pas… je n’avais pas prévu.
— Je regrette, mais nous ne pourrons pas aller plus loin, dis-je en le regardant avec une pointe d’hésitation.
— Mais tu ne peux pas me laisser comme ça, répondit-il avec insistance.
Je baissai les yeux un instant avant de murmurer :
— Moi aussi, j’en ai envie… mais ce n’est pas raisonnable.
Un sourire malicieux éclaira son visage.
— Alors, laissez-moi au moins vous goûter, dit-il doucement.
Sans attendre ma réponse, il se mit à genoux devant moi et glissa sa tête entre mes cuisses et lécha mon abricot juteux avec une attention qui me fit frissonner.
Je ne pouvais pas non plus le laisser ainsi, son désir étant évident. Il bandait bien, et, à mon tour, je m’approchai pour le sucer avec la même attention qu’il m’avait accordée. Je dégustais son gland qui avait un bon gout de bite. Je m’étonnais moi-même de mes réactions, moi qui avais toujours été si réservée et pudique. Pourtant, je prenais l’initiative avec une aisance déconcertante, comme si cela avait toujours été dans ma nature.
La tête en arrière, ses yeux mi-clos, Il laissait échapper des légers soupirs, il savourait visiblement mon traitement. Encouragée par ses réactions, je continuai un moment, prenant soin de bien pomper sans précipitations, lui léchant bien le tour du gland, l’enfonçant bien au maximum de ma cavité buccale.
Cependant, un mélange d’appréhension et de retenue me poussa à ralentir. Je décidai alors de terminer en utilisant ma main, mes mouvements restant délicats et mesurés. Il se laissa aller complètement, son corps se tendant peu à peu. Il éjacula d’un jet puissant précédant de multiples spasmes, un soupir d’abandon échappant à ses lèvres. Je continuai lentement mes gestes afin de bien l’essorer. Son spermes chaud coulait sur mes phalanges et j’avais envie de me lécher les doigts. Je ne m’étais pas trompée en l’observant auparavant : le volume était impressionnant, et ses testicules semblaient bien affirmés, témoignant d’une certaine virilité.
Je ne fis rien de plus et pris du sopalin pour m’essuyer rapidement. En me relevant, mon regard croisa celui de mon mari, resté dans l’embrasure de la cuisine. Il avait l’air tout penaud, et je compris qu’il n’était pas resté indifférent à ce qui venait de se passer, car lui aussi ayant “spermer quelques gouttes dans l’évier”.
L’instant aurait été propice pour une douche de jute entre ses deux mâles, mais nous n’en eûmes pas eu l’idée.
On entendit la voix de Marc :
J’aurais bien tout fait à l’intérieur.
Mais cela me semble plus raisonnable d’attendre, dis-je avec un sourire en coin. Je suis certaine que nous aurons d’autres occasions durant notre séjour. (Au fond de moi, j’en brulais d’envie. J’aurais voulu me laisser aller complètement, et recevoir ce liquide chargé de vie et de désir.)
Marc acquiesça, un éclat complice dans le regard, tandis que mon mari proposa avec légèreté :
- Si nous prenions un café ? Il est déjà prêt.
- Excellente idée, répondis-je.
Nous nous sommes installés autour de la table pour discuter, et le temps fila. Pendant près d’une heure, les conversations furent animées, glissant peu à peu vers des sujets plus audacieux. Mon mari évoquait avec une certaine fierté son côté à vouloir être candauliste, tandis que Marc partageait quelques anecdotes de ses expériences au Cap, visiblement à l’aise avec ce genre de confidences.
L’atmosphère était légère, amusée, et marquée par cette complicité naissante qui laissait présager des moments encore plus intéressants à venir.
— Il est déjà tard, je vais devoir y aller, dit Marc en se levant. Vous avez pris la demi-pension ?
— Oui, nous dînons ici ce soir, répondis-je.
— Alors, pourrions-nous dîner ensemble ? proposa-t-il avec un sourire chaleureux.
— Bien sûr, 20 heures, ça vous irait ?
— Parfait, à ce soir, alors, répondit-il. Le propriétaire des lieux est un vieil ami à moi, vous verrez, il est très sympa… et il cuisine à merveille.Et inutile de trop vous habiller pour ce soir !
Tout le monde éclata de rire.
Sur ces mots, il nous salua et quitta le gîte, nous laissant avec l’excitation discrète mais palpable de cette nouvelle rencontre.
Le soir venu, Marc nous attendait déjà, confortablement installé à la table. Le gérant apparut alors, vêtu seulement d’un tablier de cuisine, ce qui me fit légèrement sourire, et il remarqua mon regard étonné.
— Bonsoir messieurs-dames, dit-il d’un ton enjoué. Le tablier, c’est juste pour éviter que ma bistouquette traîne partout dans la nourriture !
Je ne pus m’empêcher de rire, et nous lui répondîmes en chœur :
— Bonsoir !
Nous nous installâmes autour de la table avec Marc, un peu amusés par cette scène un peu décalée, mais prêts à profiter de la soirée.
Le gérant, avec un sourire, demanda :
— Ça vous dérange si je dîne avec vous ce soir ? Nous serons que tous les quatre.
— Pas de souci, répondit mon mari.
Autour de la table : Marc était en face de moi, mon mari à côté de moi, et le gérant s’installa à la deuxième place en face de moi.
— Allez, je paie l’apéro, lança-t-il avec enthousiasme. J’ai un Muscat, vous m’en direz des nouvelles !
Un air de complicité s’installa rapidement, et l’odeur du vin commença à envahir l’espace, promettant une soirée agréable.
Au fil du repas et du vin, l’atmosphère devint de plus en plus festive. Chacun se détendait, les sourires devenaient plus larges et les conversations plus animées. L’alcool semblait briser toutes les barrières, et tout le monde se lâchait, riant et échangeant dans une ambiance chaleureuse.
Robert, le propriétaire du gîte, un homme de 60 ans, semblait cacher un côté bien plus espiègle qu’on ne l’aurait cru au premier abord. Au fur et à mesure de la soirée, il devenait de plus en plus détendu et osait des remarques un peu plus personnelles. On avait l’impression que Marc lui avait peut-être raconté ce que nous avions fait, car Robert n’hésitait pas à poser des questions un peu plus directes.
Je répondais avec décontraction, laissant entendre que j’avais une personnalité curieuse, prête à participer à des échanges légers et sans tabou, tout en restant respectueuse et dans l’esprit de la convivialité qui régnait autour de la table.
Soudain Marc osa, et je sentis son pied remonter le long à l’intérieur de mes mollets.
J’étais en plein dilemme, tiraillée entre l’envie de tout arrêter et celle de me laisser aller. Je n’arrivais pas à croire mon comportement de tout à l’heure, si éloigné de ce que j’avais toujours été. Mais après des années de routine et de monotonie dans ma relation avec mon mari, une partie de moi se disait qu’il était peut-être temps de lâcher prise. Finalement, je décidais de me laisser faire.
J’ouvrai mes cuisses en signe d’approbation et je sentai ses orteils essayant de fouiller les lèvres ma chatte. pour lui faciliter la tache, je basculai légèrement le bassin, j’étais désormais au bord de la chaise.
Robert, avec son expérience et son esprit observateur, sembla rapidement deviner qu’il se passait quelque chose d’un peu particulier. Il lança un regard discret vers Marc et remarqua le mouvement léger de sa jambe.
Mon mari, complètement absorbé dans la conversation, ne sembla pas du tout remarquer les gestes discrets de Marc. Il était trop occupé à discuter pour prêter attention à ces détails subtils.
Il finit par dire, un peu distrait :
— Bon, je vais aux toilettes.
Alors Robert glissa discrètement un bras sous la table, et à ce moment-là, je compris que ces deux-là semblaient bien se connaître, comme de vieux complices, car il branla son pote.
Il n’en resta pas là, il alla sous la table, et je pensais qu’il allait sucer son compagnon de jeux. Pas du tout, il poussa la jambe de Marc et il se mit à me lécher.
Surprise, je l’ai laissé faire impuissante et excitée.
« Tu exagères, Robert, » dit Marc en se levant pour venir vers moi, le bite raide, prête à être sucée. Il se trahissait dans ses paroles, révélant une situation déjà planifié « Va doucement, je t’ai dit qu’elle n’était pas habituée, » lança-t-il, comme pour justifier la situation ou calmer les ardeurs.
Il se trahissait dans ses paroles, révélant plus que ce qu’il aurait voulu. “Va doucement, je t’ai dit qu’elle n’était pas habituée,” lança-t-il, un brin agacé, comme pour justifier la situation ou calmer les ardeurs.
Je n’avais vécu une situation semblable, et pourtant, à cet instant, c’est comme si une autre voix en moi s’exprimait. Sans même réfléchir, je dis : “Non, non, allez-y,” avec une assurance qui me surprit autant que les autres.
Robert, la bouche pleine, dit : « Cette chatte novice est vraiment délicieuse ! » slurp, slurp, faisait sa langue.
J’ouvris la bouche en grand et pris Marc par la bite pour l’inviter à entrer. Je le guidai doucement à l’intérieur de ma bouche et je le suçai délicatement savourant sa queue.
Tout en continuant à laper mon clito, Robert inséra son index dans ma chatte, faisant des allers-retours. Je mouillai comme une pute, puis je sentis deux doigts, et rapidement trois doigts. Il faisait des mouvements de va et vient tournant en même temps son poignet.
Mon mari réapparut, un brin étonné par la scène qui se déroulait sous ses yeux. Il sembla hésiter un instant, avant de finalement afficher un léger sourire, comme s’il approuvait ou s’amusait de la tournure des événements. Il lança:
— Alors, on n’attend pas Patrick ?
Marc, avec un sourire taquin, lança :
— Si Patrick prend ma place, cette fois, je ne me contenterai pas me faire sucer.
Il alla chercher des préservatifs. Mon mari, amusé, prit le relais pour l’aider.
Je suçai cette bite, appréciant sa saveur familière tout en me rappelant combien de fois j’en avais avalé le jus.
ll revint avec un bol rempli de capotes. Je me doutais que ces deux-là avaient l’habitude de ce genre de situation.
— Allez, on la pose sur le canapé à côté , dit mon mari.
Robert répondit sous la table :
— Non, c’est dommage, j’étais à quatre doigts à l’intérieur. Cette grosse chatte molle et humide se dilate bien. On dirait qu’elle a l’habitude de se faire travailler.
J’étais assise au milieu de Marc et Robert, tandis que mon mari, désormais de l’autre côté, observait la scène. Les deux hommes étaient debout, et ma bouche passait de l’un à l’autre, alternant entre Marc et Robert, suçant l’un, branlant l’autre, et vice et versa en suivant leurs mouvements. C’était instinctif comme si j’avais déjà fait cela.
Marc se redressa et alla chercher un préservatif. Avec un sourire malicieux, il déclara :
— Cette fois-ci, je ne vais pas la rater ta chatte, je vais aller dedans.
Je restais assise jambes encartées, amusée par son assurance. Il entrouvrit mes lèvres vaginales avec précaution. À genoux, il enfonça son chibre d’un geste rapide et précis. Il me limait à bonne cadence et je sentais parfaitement sa queue épaisse dans mes entrailles.
Marc releva ses jambes avec détermination, ce qui obligea Robert à lui faire un peu de place et se pousser. Installée, écartelée sur le canapé, je subissais car Marc s’activait avec une énergie débordante, ses gestes devenant de plus en plus rapides et profonds. Il défonçait ma grosse chatte débordante de cyprine, qui n avait pas connu ça depuis longtemps.
Après cet élan d’énergie, Marc s’installa sur le côté pour reprendre son souffle. Robert, quant à lui, revint avec un tube de lubrifiant à la main et me lança avec un sourire :
— Tu aimes le fist ?
Je haussai les épaules .
— J’ai jamais pratiqué.
Il me proposa avec enthousiasme :
— Alors, tu voudrais essayer avec moi ?
Amusée, je répondis :
— D’accord, mais doucement, j’ai le bassin étroit.
— T’inquiète pas, je vais y aller doucement, dit Robert, concentré sur sa tâche.
Il prit le tube de lubrifiant et, avec une application presque artistique, commença à étaler une couche sur et dans ma chatte. Ses gestes étaient lents et précis, comme s’il expliquait une leçon à un élève.
— Tu vois, il faut bien répartir, dit-il en souriant. Il s’interrompit pour vérifier son travail, avant de continuer avec soin.
Ensuite, il en mit un peu sur ses doigts et s’attela à lubrifier l’intérieur avec une précision méticuleuse. Je sentai sa progression et mon vagin s’expancer.
— Là, comme ça. Pas trop vite, faut que ce soit parfait, ajouta-t-il en penchant légèrement la tête, concentré. Voilà, tres bien, tu vois j ai 4 doigts en toi.
Intriguée, je relevai un peu la tête pour mieux suivre ses gestes.
— C’est bon, oui fouilles moi, demandai-je, excitée par sa minutie.
Il recroquevillait ses rapidement à l’intérieur de mon vagin. Je gémissais.
— mmm, c’est normal, tu gémis, tu aimes répondit-il. Mais regarde, maintenant tu es bien dilatée, si tu fais comme ça, tout s’introduit parfaitement.
Puis dans un mouvement de rotation plus prononcé, il força légèrement probablement pour franchir l’obstacle créé par l’emplacement de son pouce.Il n’y arriva pas. Persévérant il continua à travailler méthodiquement ma chatte avant de tenter à nouveau. Cette fois cela passa, les lèvres de mon vagin s’ajustant parfaitement autour de son poignet, s’agitant désormais dans mon ventre.
Je ne pouvais pas dire que c’était une sensation extatique, mais elle avait indéniablement quelque chose d’agréable. Un frisson léger qui parcourait mon corps, éveillant une forme de plaisir subtil et inattendu.
Marc quant à lui s’affairait maintenant sur ma poitrine, me la pétrissant, suçant et mordillant mes grosses tétines érectiles.
Robert retira sa main encore collante de mon jus de chatte, observant un instant la texture entre ses doigts. Décidé, il se glissa entre mes cuisses, dont le trou était grand ouvert, laissant s’échapper une agréable bave. Sans perdre un instant, il enfourna délicatement sa bite, s’assurant qu’elle soit bien installée au fond pour commencer a cogner.
C’est incroyable de voir à quel point l’élasticité du vagin peut s’adapter parfaitement aux circonstances, épousant les contours de la queue de Robert avec une précision, revenant a une forme presque naturelle. Je pensais que je ne sentirais aucune pénétration après ce fist, mais ce ne fut pas le cas. Bien au contraire, une douce et apaisante valse émanait de ces coups de bites guidé par un maîtres du geste.
En pleine action, Marc lui fit remarquer avec une pointe d’amusement : « Tu n’as même pas mis de capotes pour vous protéger. » Pris de court, il s’arrêta immédiatement, se retirant avec précaution, et laissa la place libre, un sourire gêné au coin des lèvres.
Mon mari restait là, stoïque, mais je voyais bien qu’il bandait dur pour une fois , probablement excité par la tournure des événements. Marc, sans un mot, le dévisagea brièvement avant de lui faire un signe de tête, l’invitant à venir participer. Je n’avais pas bougé, figée par la tension et l’anticipation de ce qui allait suivre.
Finalement, mon mari s’installa entre mes cuisses, prenant place sans hésitation, et commença à me niquer à son tour. À ce moment-là, il devint clair qu’ils avaient décidé de ne pas me laisser le moindre répit. Tout semblait orchestré pour m’enchaîner, sans me permettre de reprendre mon souffle.
Robert, ayant pris soin d’enfiler une capote cette fois, se plaça de l’autre côté pour s’occuper de mon sein droit. Avec une certaine assurance, il se mit à les peloter à son tour, ses mouvements précis et fermes montrant qu’il savait exactement ce qu’il faisait. Pendant ce temps, Marc, concentré, continuait à s’occuper du sein droit, et à eux deux, ils formaient une équipe parfaitement synchronisée.
Mon mari ne s’attarda pas longtemps en moi. Après quelques instants, il se retira rapidement, laissant place à la suite des événements sans s’imposer davantage.Le connaissant je savais qu’ il était prêt d’éjaculer.
« Déjà dit, Marc, allons Alice, à quatre pattes ! » lança-t-il avec une assurance qui ne laissait aucune place à l’hésitation.
Je n’allais donc pas avoir de répit. Il continua sur un ton légèrement taquin : « Tu n’es pas là par hasard, mais pour révéler ta véritable passion pour le sexe. Crois-moi, quand on en aura fini, on fera de toi une grosse salope ! »
Son regard amusé et son assurance m’arrachèrent un sourire nerveux. La promesse était claire, mais le chemin semblait déjà intense.J’avais toujours rêvé d’avoir plusieurs hommes. À cet instant, je voyais une occasion unique de réaliser ce fantasme.
Déterminée à tirer le meilleur de cette expérience, je suivais à la lettre chacune de leurs instructions, m’appliquant avec une précision presque docile. Je tendais mes fesses, appuyée sur mes coudes, dans l’attente de la suite. Marc me prit en levrette.
Marc me baisait avec énergie, mais au bout d’un moment, la fatigue me gagna, et je m’affaissai légèrement, incapable de maintenir le rythme. Voyant cela, Robert s’approcha pour m’aider à me redresser avec douceur.
Il prit alors sa bite dans ses mains, et dans un geste spontané, la porta à ma bouche pour me faire sucer
J’étais coincée entre les deux hommes, embrochée comme une truie, et il m’était impossible de reculer ou de faire une pause. Je devais me plier à leur rythme exigeant.
Sous la pression de leur cadence soutenue, je m’efforçais de suivre, l’assaut intense me faisait parfois lâcher de petits soupirs, témoins de ma jouissance et du plaisir que je mettais a me faire sauter.
Marc fit un sprint énergique avant de s’arrêter, essoufflé, pour déclarer avec un sourire : « À toi, Robert ! » Sans perdre un instant, les deux hommes échangèrent leurs places avec une synchronisation parfaite, comme s’ils avaient fait cela des centaines de fois.
Robert prit aussitôt le relais avec entrain, et ils reprirent de plus belle, leur enthousiasme et leur rythme ne faiblissant pas, toujours dans une dynamique fluide et intense.
Marc fit un sprint énergique avant de s’arrêter, essoufflé, pour déclarer avec un sourire : « À toi, Robert ! » Sans perdre un instant, les deux hommes échangèrent leurs places avec une synchronisation parfaite, comme s’ils avaient fait cela des centaines de fois.
Robert prit aussitôt le relais avec entrain, et ils reprirent de plus belle, leur enthousiasme et leur rythme ne faiblissant pas, toujours dans une dynamique fluide et intense.
Sous l’intensité de ces coups de bites, je finis par craquer, ressentant une jouissance aiguë dans mon vagin. Un cri long et strident échappa de ma gorge, mais, malgré cela, les deux baiseurs ne ralentirent pas. Ils poursuivaient leur coÏt avec une détermination inflexible, comme si il voulaient m’achever. Après plusieurs orgasmes je leur fis comprendre que je n en pouvais plus.
Il se retirèrent prenant soin d’enlever leurs préservatifs. Puis, sans un mot, Robert me fit signe de descendre du canapé. Je posai mes pieds au sol encore un peu tremblante, mais je compris immédiatement ce qu’il attendait de moi.
A genoux devant eux je relevai légèrement mon buste tenant fermement mais gros seins entre mes mains pour les présenter.
Mon mari se joignit à eux, et tous les trois se retrouvèrent debout devant moi, se masturbant. L’atmosphère était chargée de concentration, chacun d’entre eux me visant et me montrant la vigueur de leurs sexes .
Avec une densité presque brutale Marc éjacula, son jet incontrôlé atterrissa sur mon visage et mes cheveux. Quand a Robert il prit soin de se rapprocher pour tout faire sur mes seins.J’avais l’impression qu’il pissait du sperme tans son ejaculation fut longue. Mes seins étaient englués de son liquide de vie.
Le dernier, étonnamment, fut mon mari. Marc, avec un geste de la main, lui dit : « Vas-y, à toi. » Tous deux se tournèrent alors vers lui, attendant qu’il me souille. Marc tenait fermement mes cheveux, tirant ma tête vers l’arrière. J’avais la bouche ouverte attendant qu’il me nourrice. Le sperme chaud et épais de Marc coulait sur mon visage.
Soudain il cracha sa jute, sans se louper tout dans ma bouche. Marc poussa ma tête sur la bite de mon mari pour me faire pomper le reste.
Robert déclara avec un sourire : « Eh bien, pour une première, tu m’as étonné ! » Essuyant quelques traces de sperme ici et là, je répondis avec un léger rire : « Je m’étonne moi-même. »
Robert reprit, un brin malicieux : « Le séjour s’annonce chaud. » Je ne pus m’empêcher d’acquiescer : « Oui, et quand je vois ces bourses se promener bien juteuses, ça me donne envie de les goûter. »
Nous terminâmes la soirée autour d’un café, détendus mais déjà impatients de la suite. Ce séjour ne faisait que commencer, et il promettait bien des surprises.
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Depuis un certain temps, mon mari me proposait de passer des vacances dans un petit village naturiste d'un grand bâtiment comprenant des gites et de plusieurs chalets qui entouraient une belle piscine J'avais toujours refusé. Finalement, à force de persévérance, il avait réussi à me convaincre. C'était début juin, et nous avions loué une chambre naturiste. Etant les deux retraités nous préférons partir hors des vacances scolaires. La propriété se situait près de la célèbre ville échangiste, dans le sud de la France.
Après avoir reçu les clés, nous voilà en possession de notre gîte. L'intérieur du gîte est à la fois chaleureux et accueillant. Le salon spacieux, avec ses grandes fenêtres, est baigné de lumière naturelle et offre une vue imprenable sur les environs. La décoration, avec des meubles modernes et des touches de couleurs vives, apporte une ambiance conviviale. La cuisine ouverte est entièrement équipée. Les deux chambres confortables sont décorées avec soin, offrant un espace de repos idéal avec des lits king size
Nous avions rangé nos affaires, nous étions enfin prêts à plonger dans cette nouvelle expérience. Mon mari, avec un sourire encourageant, me demanda si j'étais prête à vivre toute nue. Je répondis avec une hésitation palpable, un simple 'oui' qui trahissait mes doutes. Il avait insisté pour ces vacances. J’assumais mon corps, malgré mes rondeurs et mes bourrelets que je trouvais difficiles à montrer en plein air. Néanmoins je me mis nue et lui aussi.
Avec une certaine appréhension, je sortis timidement du gîte pour aller sur la terrasse. Mon cœur battait la chamade, et je sentais une légère rougeur monter à mes joues. La brise légère caressait ma peau, mais ne parvenait pas à apaiser mon anxiété. A 62 ans, c'est pas facile d'exposer un corps de femme mure qui a quelques rondeurs et surtout une poitrine assez dense. Mon mari, qui a déjà 75 ans, toujours à mes côtés, me lança un regard rassurant, et je tentai de puiser du courage dans son soutien. Il semblait plus à l'aise dans sa nudité, malgré ses poils gris et son léger ventre.
La terrasse surélevée offrait une vue magnifique sur le paysage environnant, mais je peinais à m'y attarder, trop préoccupée par mon apparence. Pourtant, en voyant d'autres personnes se promener en toute décontraction près de la piscine je commençais lentement à me détendre. Peut-être que cette expérience m'apprendrait à accepter mon corps tel qu'il est, pensais-je, tout en prenant une profonde inspiration. J'étais assise sur un fauteuil de plage, observant les couples, jeunes et vieux, ainsi que des hommes seuls qui passaient devant moi. Je lançais des 'bonjour' timides, et à ma grande surprise, tout le monde répondait avec un sourire chaleureux. Personne ne semblait prêter attention à mon apparence physique, ce qui me rassurait. D'ailleurs, beaucoup avaient des rondeurs comme moi, ce qui me faisait sentir moins seule et plus acceptée.
Le soleil réchauffait doucement ma peau, je pouvais vraiment être moi-même, sans jugement. Mon naturel espiègle me rattrapa rapidement, et mon regard se focalisait sur les sexes des hommes qui passaient. Je ne pouvais m'empêcher de les observer discrètement, intriguée par leur diversité, grandes ou petites, courtes et joufflues, les scrotums que j’imaginaient avec leurs testicules bien remplis . Certains étaient jeunes et athlétiques, d'autres plus âgés et sereins, mais tous semblaient à l'aise dans cet environnement. Cette observation ajoutait une touche de piquant à mon expérience, je sentais mon vagin s’humidifier et mes tétons durcir.
Tout à coup je vis la porte voisine à notre gîte s'ouvrir et un homme sortit du gîte en face. Je me sentais maintenant tellement détendue que j'étais assise confortablement, les jambes légèrement écartées, sans être gênée. Je remarquai son regard sur moi et compris ce qu'il regardait. Avec une pointe de malice, je décidai de bouger, le laissant en observer d’avantage, lui divulguant discrètement la raie de ma vulve imberbe. Son regard se posant sur moi avec une assurance tranquille. Il me regardait directement, sans détourner les yeux, son expression affichant une curiosité ouverte et confiante. Ses gestes étaient détendus, et il semblait parfaitement à l'aise dans cet environnement. Il me sourit légèrement , m’exhibant aussi ses attributs car il était aussi nu, ce qui reflétait une certaine complicité et une absence totale de gêne car il commençait a avoir une érection. Cette assurance me fit me sentir plus à l'aise, et je lui rendis son sourire, appréciant cette interaction silencieuse mais pleine de compréhension mutuelle.
Je me levai et m'approchai de la rambarde de la terrasse, m'accoudant avec nonchalance, laissant pendre mes gros seins aux tétines durcies.
Je lui dis bonjour et demandai :
-Vous allez bien ? Il se leva lui aussi pour s'approcher et répondit :
-Bonjour, oui, et vous ? Vous venez d'arriver ? Vous semblez déjà dans l'ambiance.
Nous étions également venus ici, car avec l’âge, mon mari rencontrait des problèmes d’érection. Nos relations intimes se limitaient alors à de rares positions classiques.
Il espérait que je puisse peut être trouver un épanouissement sexuel en ayant des relations avec d’autres partenaires sous son regard.
Mon mari était derrière moi visiblement gêné car il bandait mou, et aussi épaté par ma décontraction à faire connaissance. Il me murmura :
-Déjà, tu ne perds pas le nord espèce de salope.
Puis, il salua également notre voisin avec courtoisie :
-Bonjour.
Je répondis :
— Oui, pour nous c est première, ce n’est pas évident.
Il me répondit, un sourire en coin :
— Ah, vu votre aisance, j’aurais pu croire le contraire.
Je ris légèrement et rétorquai :
— D’habitude, je fais cela un peu plus habillée.
— Je vous préfère comme ceci, dit-il, son regard pétillant.
Je rougis légèrement en le remerciant, car d’après ce que j’avais observé auparavant, je ne lui étais clairement pas indifférente.
Je murmurai à mon mari :
— Je l’invite ou pas ?
Celui-ci, en bon voisin, me répondit :
— Oui, vas-y.
Je me tournai alors vers notre voisin :
— Vous voulez venir prendre un café ? Ce serait l’occasion de faire connaissance et de discuter de plus près.
— D’accord, j’arrive, répondit-il avec un sourire.
Il traversa alors la terrasse commune qui séparait les gîtes pour nous rejoindre.
— La vacancière d’avant n’était pas aussi charmante, dit-il en souriant. Je me présente, Marc, enchanté.
— Alice, enchantée, et voici mon mari, Florent.
— Enchanté, répondit-il chaleureusement.
— Installez-vous, dis-je en lui désignant un fauteuil.
— Chéri, tu nous fais un café ? ajoutai-je en me tournant vers Florent.
Nous prîmes place sur le salon de la terrasse, face à Marc, prêts à faire plus ample connaissance.
— C’est votre première fois en gîte naturiste ? demanda-t-il.
— Oui, et comme je disais, ce n’est pas toujours évident, répondis-je.
— Pourtant, vous me semblez très à l’aise, fit-il remarquer en me regardant.
J’étais assise face à lui, les jambes croisées, et répondis avec un sourire :
— Oui, mais finalement, je m’y fais vite.
— Oui, j’ai cru le remarquer, dit-il en souriant. Visiblement, vous allez vite vous faire des amis.
À ce moment-là, mon mari arriva avec les tasses de café et demanda :
— Et vous, ça fait combien de temps ?
— Ça fait presque dix ans que je pratique le nudisme, répondit Marc. Et pendant tout ce temps, que de belles rencontres.
Florent retourna ensuite à la cuisine, nous laissant seuls.
Marc, qui devait avoir la cinquantaine, dégageait un charme certain. On voyait qu’il s’entretenait bien, et je devais admettre que je n’y étais pas insensible.
Il était grand et athlétique, avec une silhouette qui trahissait une attention particulière à son apparence physique. Malgré son âge, il était visiblement bien conservé, son teint hâlé témoignant d’heures passées au soleil. Sa peau lisse, sans un poil, révélait un corps soigneusement épilé, ce qui ajoutait à son allure soignée et élégante. Son sexe aussi était bronzé, au repos, il me paraissait d’une bonne taille, tombant naturellement sur deux grosses boules fermes, témoignant d’une certaine virilité maîtrisée. J’espérais secrètement que je lui plaisais tout autant qu’il attirait mon regard.
Alors que Florent était encore dans la cuisine, Marc murmura avec un air malicieux :
— Je préférais vous voir dans la posture de tout à l’heure.
Je souris, amusée par sa remarque, et compris alors que je ne le laissais pas indifférent.
— Coquin, répondis-je doucement, un brin provocatrice.
Puis, dans un geste nonchalant, je posai une cuisse sur l’accoudoir, lui offrant une vue sans détour sur ma vulve désormais désireuse et rebondie.
— Vous me semblez très accueillante, dit Marc avec un sourire en coin, son regard pétillant de malice.
— Oui, c’est un petit nid douillet et délaissé, répondis-je avec un sourire complice.
— J’y mettrais volontiers mon petit oiseau, ajouta-t-il, son ton volontairement espiègle.
Je ris doucement, entrant dans son jeu.
— Et peut-être y déposeriez-vous vos œufs ?
Il haussa un sourcil, un sourire amusé au coin des lèvres.
— Et pas que, murmura-t-il avec une pointe de provocation.
Sentant l’atmosphère devenir plus intime, je proposai, le regard planté dans le sien :
— Si nous allions à l’intérieur ? Ce serait plus… tranquille.
Il acquiesça sans un mot, me suivant avec un mélange d’assurance et de curiosité.
Mon mari, qui avait perçu que la situation devenait un peu chaude, préféra rester discret dans la cuisine.
— J’ai le sens de l’hospitalité, répondis-je en soutenant son regard. Vous voulez visiter ?
Étonné par ma spontanéité, Marc répondit :
— Volontiers… mais votre mari ? demanda-t-il, légèrement inquiet.
— Ne vous inquiétez pas pour lui, dis-je avec assurance.
Il me précéda dans le salon, tandis que mon mari, toujours debout dans la cuisine, nous regardait silencieusement. Je m’installai sur le canapé, et Marc s’assit à côté de moi. Il m’embrassa doucement, ses mains parcourant délicatement mes seins. Du coin de l’œil, j’apercevais Florent, toujours immobile, nous observant depuis la cuisine et bandant déjà.
Je stoppai un instant et demandai à Marc, un peu hésitante de franchir le pas :
— Vous avez des préservatifs ? Nous n’avons pas encore eu le temps d’en acheter.
Il me regarda et répondit avec un sourire :
— Tutoyez-moi, Anne. Non, je n’en ai pas… je n’avais pas prévu.
— Je regrette, mais nous ne pourrons pas aller plus loin, dis-je en le regardant avec une pointe d’hésitation.
— Mais tu ne peux pas me laisser comme ça, répondit-il avec insistance.
Je baissai les yeux un instant avant de murmurer :
— Moi aussi, j’en ai envie… mais ce n’est pas raisonnable.
Un sourire malicieux éclaira son visage.
— Alors, laissez-moi au moins vous goûter, dit-il doucement.
Sans attendre ma réponse, il se mit à genoux devant moi et glissa sa tête entre mes cuisses et lécha mon abricot juteux avec une attention qui me fit frissonner.
Je ne pouvais pas non plus le laisser ainsi, son désir étant évident. Il bandait bien, et, à mon tour, je m’approchai pour le sucer avec la même attention qu’il m’avait accordée. Je dégustais son gland qui avait un bon gout de bite. Je m’étonnais moi-même de mes réactions, moi qui avais toujours été si réservée et pudique. Pourtant, je prenais l’initiative avec une aisance déconcertante, comme si cela avait toujours été dans ma nature.
La tête en arrière, ses yeux mi-clos, Il laissait échapper des légers soupirs, il savourait visiblement mon traitement. Encouragée par ses réactions, je continuai un moment, prenant soin de bien pomper sans précipitations, lui léchant bien le tour du gland, l’enfonçant bien au maximum de ma cavité buccale.
Cependant, un mélange d’appréhension et de retenue me poussa à ralentir. Je décidai alors de terminer en utilisant ma main, mes mouvements restant délicats et mesurés. Il se laissa aller complètement, son corps se tendant peu à peu. Il éjacula d’un jet puissant précédant de multiples spasmes, un soupir d’abandon échappant à ses lèvres. Je continuai lentement mes gestes afin de bien l’essorer. Son spermes chaud coulait sur mes phalanges et j’avais envie de me lécher les doigts. Je ne m’étais pas trompée en l’observant auparavant : le volume était impressionnant, et ses testicules semblaient bien affirmés, témoignant d’une certaine virilité.
Je ne fis rien de plus et pris du sopalin pour m’essuyer rapidement. En me relevant, mon regard croisa celui de mon mari, resté dans l’embrasure de la cuisine. Il avait l’air tout penaud, et je compris qu’il n’était pas resté indifférent à ce qui venait de se passer, car lui aussi ayant “spermer quelques gouttes dans l’évier”.
L’instant aurait été propice pour une douche de jute entre ses deux mâles, mais nous n’en eûmes pas eu l’idée.
On entendit la voix de Marc :
J’aurais bien tout fait à l’intérieur.
Mais cela me semble plus raisonnable d’attendre, dis-je avec un sourire en coin. Je suis certaine que nous aurons d’autres occasions durant notre séjour. (Au fond de moi, j’en brulais d’envie. J’aurais voulu me laisser aller complètement, et recevoir ce liquide chargé de vie et de désir.)
Marc acquiesça, un éclat complice dans le regard, tandis que mon mari proposa avec légèreté :
- Si nous prenions un café ? Il est déjà prêt.
- Excellente idée, répondis-je.
Nous nous sommes installés autour de la table pour discuter, et le temps fila. Pendant près d’une heure, les conversations furent animées, glissant peu à peu vers des sujets plus audacieux. Mon mari évoquait avec une certaine fierté son côté à vouloir être candauliste, tandis que Marc partageait quelques anecdotes de ses expériences au Cap, visiblement à l’aise avec ce genre de confidences.
L’atmosphère était légère, amusée, et marquée par cette complicité naissante qui laissait présager des moments encore plus intéressants à venir.
— Il est déjà tard, je vais devoir y aller, dit Marc en se levant. Vous avez pris la demi-pension ?
— Oui, nous dînons ici ce soir, répondis-je.
— Alors, pourrions-nous dîner ensemble ? proposa-t-il avec un sourire chaleureux.
— Bien sûr, 20 heures, ça vous irait ?
— Parfait, à ce soir, alors, répondit-il. Le propriétaire des lieux est un vieil ami à moi, vous verrez, il est très sympa… et il cuisine à merveille.Et inutile de trop vous habiller pour ce soir !
Tout le monde éclata de rire.
Sur ces mots, il nous salua et quitta le gîte, nous laissant avec l’excitation discrète mais palpable de cette nouvelle rencontre.
Le soir venu, Marc nous attendait déjà, confortablement installé à la table. Le gérant apparut alors, vêtu seulement d’un tablier de cuisine, ce qui me fit légèrement sourire, et il remarqua mon regard étonné.
— Bonsoir messieurs-dames, dit-il d’un ton enjoué. Le tablier, c’est juste pour éviter que ma bistouquette traîne partout dans la nourriture !
Je ne pus m’empêcher de rire, et nous lui répondîmes en chœur :
— Bonsoir !
Nous nous installâmes autour de la table avec Marc, un peu amusés par cette scène un peu décalée, mais prêts à profiter de la soirée.
Le gérant, avec un sourire, demanda :
— Ça vous dérange si je dîne avec vous ce soir ? Nous serons que tous les quatre.
— Pas de souci, répondit mon mari.
Autour de la table : Marc était en face de moi, mon mari à côté de moi, et le gérant s’installa à la deuxième place en face de moi.
— Allez, je paie l’apéro, lança-t-il avec enthousiasme. J’ai un Muscat, vous m’en direz des nouvelles !
Un air de complicité s’installa rapidement, et l’odeur du vin commença à envahir l’espace, promettant une soirée agréable.
Au fil du repas et du vin, l’atmosphère devint de plus en plus festive. Chacun se détendait, les sourires devenaient plus larges et les conversations plus animées. L’alcool semblait briser toutes les barrières, et tout le monde se lâchait, riant et échangeant dans une ambiance chaleureuse.
Robert, le propriétaire du gîte, un homme de 60 ans, semblait cacher un côté bien plus espiègle qu’on ne l’aurait cru au premier abord. Au fur et à mesure de la soirée, il devenait de plus en plus détendu et osait des remarques un peu plus personnelles. On avait l’impression que Marc lui avait peut-être raconté ce que nous avions fait, car Robert n’hésitait pas à poser des questions un peu plus directes.
Je répondais avec décontraction, laissant entendre que j’avais une personnalité curieuse, prête à participer à des échanges légers et sans tabou, tout en restant respectueuse et dans l’esprit de la convivialité qui régnait autour de la table.
Soudain Marc osa, et je sentis son pied remonter le long à l’intérieur de mes mollets.
J’étais en plein dilemme, tiraillée entre l’envie de tout arrêter et celle de me laisser aller. Je n’arrivais pas à croire mon comportement de tout à l’heure, si éloigné de ce que j’avais toujours été. Mais après des années de routine et de monotonie dans ma relation avec mon mari, une partie de moi se disait qu’il était peut-être temps de lâcher prise. Finalement, je décidais de me laisser faire.
J’ouvrai mes cuisses en signe d’approbation et je sentai ses orteils essayant de fouiller les lèvres ma chatte. pour lui faciliter la tache, je basculai légèrement le bassin, j’étais désormais au bord de la chaise.
Robert, avec son expérience et son esprit observateur, sembla rapidement deviner qu’il se passait quelque chose d’un peu particulier. Il lança un regard discret vers Marc et remarqua le mouvement léger de sa jambe.
Mon mari, complètement absorbé dans la conversation, ne sembla pas du tout remarquer les gestes discrets de Marc. Il était trop occupé à discuter pour prêter attention à ces détails subtils.
Il finit par dire, un peu distrait :
— Bon, je vais aux toilettes.
Alors Robert glissa discrètement un bras sous la table, et à ce moment-là, je compris que ces deux-là semblaient bien se connaître, comme de vieux complices, car il branla son pote.
Il n’en resta pas là, il alla sous la table, et je pensais qu’il allait sucer son compagnon de jeux. Pas du tout, il poussa la jambe de Marc et il se mit à me lécher.
Surprise, je l’ai laissé faire impuissante et excitée.
« Tu exagères, Robert, » dit Marc en se levant pour venir vers moi, le bite raide, prête à être sucée. Il se trahissait dans ses paroles, révélant une situation déjà planifié « Va doucement, je t’ai dit qu’elle n’était pas habituée, » lança-t-il, comme pour justifier la situation ou calmer les ardeurs.
Il se trahissait dans ses paroles, révélant plus que ce qu’il aurait voulu. “Va doucement, je t’ai dit qu’elle n’était pas habituée,” lança-t-il, un brin agacé, comme pour justifier la situation ou calmer les ardeurs.
Je n’avais vécu une situation semblable, et pourtant, à cet instant, c’est comme si une autre voix en moi s’exprimait. Sans même réfléchir, je dis : “Non, non, allez-y,” avec une assurance qui me surprit autant que les autres.
Robert, la bouche pleine, dit : « Cette chatte novice est vraiment délicieuse ! » slurp, slurp, faisait sa langue.
J’ouvris la bouche en grand et pris Marc par la bite pour l’inviter à entrer. Je le guidai doucement à l’intérieur de ma bouche et je le suçai délicatement savourant sa queue.
Tout en continuant à laper mon clito, Robert inséra son index dans ma chatte, faisant des allers-retours. Je mouillai comme une pute, puis je sentis deux doigts, et rapidement trois doigts. Il faisait des mouvements de va et vient tournant en même temps son poignet.
Mon mari réapparut, un brin étonné par la scène qui se déroulait sous ses yeux. Il sembla hésiter un instant, avant de finalement afficher un léger sourire, comme s’il approuvait ou s’amusait de la tournure des événements. Il lança:
— Alors, on n’attend pas Patrick ?
Marc, avec un sourire taquin, lança :
— Si Patrick prend ma place, cette fois, je ne me contenterai pas me faire sucer.
Il alla chercher des préservatifs. Mon mari, amusé, prit le relais pour l’aider.
Je suçai cette bite, appréciant sa saveur familière tout en me rappelant combien de fois j’en avais avalé le jus.
ll revint avec un bol rempli de capotes. Je me doutais que ces deux-là avaient l’habitude de ce genre de situation.
— Allez, on la pose sur le canapé à côté , dit mon mari.
Robert répondit sous la table :
— Non, c’est dommage, j’étais à quatre doigts à l’intérieur. Cette grosse chatte molle et humide se dilate bien. On dirait qu’elle a l’habitude de se faire travailler.
J’étais assise au milieu de Marc et Robert, tandis que mon mari, désormais de l’autre côté, observait la scène. Les deux hommes étaient debout, et ma bouche passait de l’un à l’autre, alternant entre Marc et Robert, suçant l’un, branlant l’autre, et vice et versa en suivant leurs mouvements. C’était instinctif comme si j’avais déjà fait cela.
Marc se redressa et alla chercher un préservatif. Avec un sourire malicieux, il déclara :
— Cette fois-ci, je ne vais pas la rater ta chatte, je vais aller dedans.
Je restais assise jambes encartées, amusée par son assurance. Il entrouvrit mes lèvres vaginales avec précaution. À genoux, il enfonça son chibre d’un geste rapide et précis. Il me limait à bonne cadence et je sentais parfaitement sa queue épaisse dans mes entrailles.
Marc releva ses jambes avec détermination, ce qui obligea Robert à lui faire un peu de place et se pousser. Installée, écartelée sur le canapé, je subissais car Marc s’activait avec une énergie débordante, ses gestes devenant de plus en plus rapides et profonds. Il défonçait ma grosse chatte débordante de cyprine, qui n avait pas connu ça depuis longtemps.
Après cet élan d’énergie, Marc s’installa sur le côté pour reprendre son souffle. Robert, quant à lui, revint avec un tube de lubrifiant à la main et me lança avec un sourire :
— Tu aimes le fist ?
Je haussai les épaules .
— J’ai jamais pratiqué.
Il me proposa avec enthousiasme :
— Alors, tu voudrais essayer avec moi ?
Amusée, je répondis :
— D’accord, mais doucement, j’ai le bassin étroit.
— T’inquiète pas, je vais y aller doucement, dit Robert, concentré sur sa tâche.
Il prit le tube de lubrifiant et, avec une application presque artistique, commença à étaler une couche sur et dans ma chatte. Ses gestes étaient lents et précis, comme s’il expliquait une leçon à un élève.
— Tu vois, il faut bien répartir, dit-il en souriant. Il s’interrompit pour vérifier son travail, avant de continuer avec soin.
Ensuite, il en mit un peu sur ses doigts et s’attela à lubrifier l’intérieur avec une précision méticuleuse. Je sentai sa progression et mon vagin s’expancer.
— Là, comme ça. Pas trop vite, faut que ce soit parfait, ajouta-t-il en penchant légèrement la tête, concentré. Voilà, tres bien, tu vois j ai 4 doigts en toi.
Intriguée, je relevai un peu la tête pour mieux suivre ses gestes.
— C’est bon, oui fouilles moi, demandai-je, excitée par sa minutie.
Il recroquevillait ses rapidement à l’intérieur de mon vagin. Je gémissais.
— mmm, c’est normal, tu gémis, tu aimes répondit-il. Mais regarde, maintenant tu es bien dilatée, si tu fais comme ça, tout s’introduit parfaitement.
Puis dans un mouvement de rotation plus prononcé, il força légèrement probablement pour franchir l’obstacle créé par l’emplacement de son pouce.Il n’y arriva pas. Persévérant il continua à travailler méthodiquement ma chatte avant de tenter à nouveau. Cette fois cela passa, les lèvres de mon vagin s’ajustant parfaitement autour de son poignet, s’agitant désormais dans mon ventre.
Je ne pouvais pas dire que c’était une sensation extatique, mais elle avait indéniablement quelque chose d’agréable. Un frisson léger qui parcourait mon corps, éveillant une forme de plaisir subtil et inattendu.
Marc quant à lui s’affairait maintenant sur ma poitrine, me la pétrissant, suçant et mordillant mes grosses tétines érectiles.
Robert retira sa main encore collante de mon jus de chatte, observant un instant la texture entre ses doigts. Décidé, il se glissa entre mes cuisses, dont le trou était grand ouvert, laissant s’échapper une agréable bave. Sans perdre un instant, il enfourna délicatement sa bite, s’assurant qu’elle soit bien installée au fond pour commencer a cogner.
C’est incroyable de voir à quel point l’élasticité du vagin peut s’adapter parfaitement aux circonstances, épousant les contours de la queue de Robert avec une précision, revenant a une forme presque naturelle. Je pensais que je ne sentirais aucune pénétration après ce fist, mais ce ne fut pas le cas. Bien au contraire, une douce et apaisante valse émanait de ces coups de bites guidé par un maîtres du geste.
En pleine action, Marc lui fit remarquer avec une pointe d’amusement : « Tu n’as même pas mis de capotes pour vous protéger. » Pris de court, il s’arrêta immédiatement, se retirant avec précaution, et laissa la place libre, un sourire gêné au coin des lèvres.
Mon mari restait là, stoïque, mais je voyais bien qu’il bandait dur pour une fois , probablement excité par la tournure des événements. Marc, sans un mot, le dévisagea brièvement avant de lui faire un signe de tête, l’invitant à venir participer. Je n’avais pas bougé, figée par la tension et l’anticipation de ce qui allait suivre.
Finalement, mon mari s’installa entre mes cuisses, prenant place sans hésitation, et commença à me niquer à son tour. À ce moment-là, il devint clair qu’ils avaient décidé de ne pas me laisser le moindre répit. Tout semblait orchestré pour m’enchaîner, sans me permettre de reprendre mon souffle.
Robert, ayant pris soin d’enfiler une capote cette fois, se plaça de l’autre côté pour s’occuper de mon sein droit. Avec une certaine assurance, il se mit à les peloter à son tour, ses mouvements précis et fermes montrant qu’il savait exactement ce qu’il faisait. Pendant ce temps, Marc, concentré, continuait à s’occuper du sein droit, et à eux deux, ils formaient une équipe parfaitement synchronisée.
Mon mari ne s’attarda pas longtemps en moi. Après quelques instants, il se retira rapidement, laissant place à la suite des événements sans s’imposer davantage.Le connaissant je savais qu’ il était prêt d’éjaculer.
« Déjà dit, Marc, allons Alice, à quatre pattes ! » lança-t-il avec une assurance qui ne laissait aucune place à l’hésitation.
Je n’allais donc pas avoir de répit. Il continua sur un ton légèrement taquin : « Tu n’es pas là par hasard, mais pour révéler ta véritable passion pour le sexe. Crois-moi, quand on en aura fini, on fera de toi une grosse salope ! »
Son regard amusé et son assurance m’arrachèrent un sourire nerveux. La promesse était claire, mais le chemin semblait déjà intense.J’avais toujours rêvé d’avoir plusieurs hommes. À cet instant, je voyais une occasion unique de réaliser ce fantasme.
Déterminée à tirer le meilleur de cette expérience, je suivais à la lettre chacune de leurs instructions, m’appliquant avec une précision presque docile. Je tendais mes fesses, appuyée sur mes coudes, dans l’attente de la suite. Marc me prit en levrette.
Marc me baisait avec énergie, mais au bout d’un moment, la fatigue me gagna, et je m’affaissai légèrement, incapable de maintenir le rythme. Voyant cela, Robert s’approcha pour m’aider à me redresser avec douceur.
Il prit alors sa bite dans ses mains, et dans un geste spontané, la porta à ma bouche pour me faire sucer
J’étais coincée entre les deux hommes, embrochée comme une truie, et il m’était impossible de reculer ou de faire une pause. Je devais me plier à leur rythme exigeant.
Sous la pression de leur cadence soutenue, je m’efforçais de suivre, l’assaut intense me faisait parfois lâcher de petits soupirs, témoins de ma jouissance et du plaisir que je mettais a me faire sauter.
Marc fit un sprint énergique avant de s’arrêter, essoufflé, pour déclarer avec un sourire : « À toi, Robert ! » Sans perdre un instant, les deux hommes échangèrent leurs places avec une synchronisation parfaite, comme s’ils avaient fait cela des centaines de fois.
Robert prit aussitôt le relais avec entrain, et ils reprirent de plus belle, leur enthousiasme et leur rythme ne faiblissant pas, toujours dans une dynamique fluide et intense.
Marc fit un sprint énergique avant de s’arrêter, essoufflé, pour déclarer avec un sourire : « À toi, Robert ! » Sans perdre un instant, les deux hommes échangèrent leurs places avec une synchronisation parfaite, comme s’ils avaient fait cela des centaines de fois.
Robert prit aussitôt le relais avec entrain, et ils reprirent de plus belle, leur enthousiasme et leur rythme ne faiblissant pas, toujours dans une dynamique fluide et intense.
Sous l’intensité de ces coups de bites, je finis par craquer, ressentant une jouissance aiguë dans mon vagin. Un cri long et strident échappa de ma gorge, mais, malgré cela, les deux baiseurs ne ralentirent pas. Ils poursuivaient leur coÏt avec une détermination inflexible, comme si il voulaient m’achever. Après plusieurs orgasmes je leur fis comprendre que je n en pouvais plus.
Il se retirèrent prenant soin d’enlever leurs préservatifs. Puis, sans un mot, Robert me fit signe de descendre du canapé. Je posai mes pieds au sol encore un peu tremblante, mais je compris immédiatement ce qu’il attendait de moi.
A genoux devant eux je relevai légèrement mon buste tenant fermement mais gros seins entre mes mains pour les présenter.
Mon mari se joignit à eux, et tous les trois se retrouvèrent debout devant moi, se masturbant. L’atmosphère était chargée de concentration, chacun d’entre eux me visant et me montrant la vigueur de leurs sexes .
Avec une densité presque brutale Marc éjacula, son jet incontrôlé atterrissa sur mon visage et mes cheveux. Quand a Robert il prit soin de se rapprocher pour tout faire sur mes seins.J’avais l’impression qu’il pissait du sperme tans son ejaculation fut longue. Mes seins étaient englués de son liquide de vie.
Le dernier, étonnamment, fut mon mari. Marc, avec un geste de la main, lui dit : « Vas-y, à toi. » Tous deux se tournèrent alors vers lui, attendant qu’il me souille. Marc tenait fermement mes cheveux, tirant ma tête vers l’arrière. J’avais la bouche ouverte attendant qu’il me nourrice. Le sperme chaud et épais de Marc coulait sur mon visage.
Soudain il cracha sa jute, sans se louper tout dans ma bouche. Marc poussa ma tête sur la bite de mon mari pour me faire pomper le reste.
Robert déclara avec un sourire : « Eh bien, pour une première, tu m’as étonné ! » Essuyant quelques traces de sperme ici et là, je répondis avec un léger rire : « Je m’étonne moi-même. »
Robert reprit, un brin malicieux : « Le séjour s’annonce chaud. » Je ne pus m’empêcher d’acquiescer : « Oui, et quand je vois ces bourses se promener bien juteuses, ça me donne envie de les goûter. »
Nous terminâmes la soirée autour d’un café, détendus mais déjà impatients de la suite. Ce séjour ne faisait que commencer, et il promettait bien des surprises.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle coquine cette Alice !
Elle ne renonce jamais ...
Lolo
Elle ne renonce jamais ...
Lolo
Toujours aussi excitantes tes histoires, merci Monique 🥰🥰
Cyrille
Cyrille
Aorès la grosse monique, voici la mature Alice et ses fantasmes. Beau début.
Terriblement réaliste. On s'y croirait.
Belle écriture et scénario érotique qui demande une suite. Vite vite et bravo.