ALICE, FABIEN ET VINCENT (2) : LE PLAN A TROIS
Récit érotique écrit par Janus01869 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2017 dans la catégorie Plus on est
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ALICE, FABIEN ET VINCENT (2) : LE PLAN A TROIS
Bonjour je m'appelle Vincent. Voici la suite du démarrage de mes relations peu orthodoxes avec le couple d'Alice et Fabien.
Résumé de la partie précédente : alors que je déjeune dans un jardin public de la capitale, une jeune femme joggeuse qui m’est parfaitement inconnue m’aborde en m’appelant « Maître » et en me proposant de la rejoindre dans les toilettes publiques les plus proches. De nature joueuse, je vais la rejoindre. Là, elle m’offre une pipe extraordinaire et je finis par la baiser sauvagement alors que je suis plutôt d’un naturel doux avec les femmes. Elle me fait découvrir un côté bestial que je ne me connaissais pas avec un côté dominateur pas désagréable. Je n’avais jamais pris autant de plaisir à jouir. Alors que je me désole de ne pas retrouver cette belle ingénue, je découvre avec stupeur qu’il s’agit en fait de la femme d’un ancien camarade de master. Je me décide à contacter la nana, mais son mari et « pote » m’envoie un message « d’explications »
---« Bonjour Vincent,Ce mail doit te sembler bizarre après de si longues années de silence mais je te dois quelques explications quant à ta rencontre fortuite avec ma femme lundi dernier au jardin d… Oui, tu l’auras reconnue sur les photos, il s’agit bien de ma femme, Alice. Non, ce n’est pas une salope chaudasse qui saute sur tout ce qui bouge. C’est la première fois qu’elle me trompe et le pire, avec mon consentement.
En fait, tout a commencé il y a un mois environ. Notre couple battait de l’aile. Nous avions des crises de plus en plus fréquentes et ça allait en empirant. Elle est fragile psychologiquement, elle n’a pas confiance en elle. La preuve, elle se sent moche, grosse et empotée alors que c’est tout le contraire. Impossible de lui faire changer d’avis et ça nous mine.
Comme elle ne voulait pas suivre de nouvelle thérapie et qu’avec moi, c’est mort du fait que je sois son mari, j’ai décidé de créer un personnage fictif et de lui envoyer des mails via un compte tout beau tout neuf. Je me suis fait passer pour Vincent L… qui l’aurait soi-disant rencontré dans un colloque 1 an auparavant et que, voyant qu’elle avait déménagé de Lyon à Paris et que lui-même habitait sur Paris, il tentait sa chance maintenant. Et c’est là que tu interviens. Pour être sûr qu’elle croit à cette histoire, je lui ai envoyé une de tes photos que tu as mises en ligne. Comme vous avez dû vous croisé quand on était en master, je me suis dit que ta tête lui dirait quelque chose et comme tu as du succès auprès des nanas, c’était flatteur que quelqu’un de plutôt beau gosse s’intéresse à elle. Elle a mordu à l’hameçon.
S’en est suivi un nombre important de mails entre eux pendant deux jours. Quand j’ai fait découvrir le pot au rose à moi-même, Fabien, son mari, j’ai fait semblant de me mettre dans une fureur noire et j’ai pour la première fois réussi à lui imposer d’être ma soumise et de s’y tenir. Contre toute attente, ça lui a plu ! Et j’ai découvert que sa clé pour la décoincer, c’est le sexe !
J’ai donc fait réapparaître Vincent pour qu’il soit son Maître virtuel pendant un jour. Pour être sûr de sa soumission totale, je lui ai envoyé, sous le nom de Vincent bien-sûr, un premier scenario où je lui demandais de le rejoindre au jardin pendant la pause déjeuner et qu’elle devrait le sucer la queue dans les fameuses toilettes. Quand elle a répondu « Oui, Maître », je lui ai envoyé un deuxième mail où je la félicite de sa soumission et lui explique que c’était juste un test et donc qu’elle n’allait pas avoir à me sucer. Dans le vrai scenario qui a suivi, je lui ai dit d’aller quand même au jardin, sans son string, et d’imaginer des choses cochonnes avec d’autres joggeurs avant d’aller se masturber aux toilettes. Oui mais voilà, quelque chose que je n’avais absolument pas prévu arriva : tu étais là en chair et en os ! Quand j’ai vu les mails de réponse d’Alice et vu ton post, j’ai tout de suite compris le truc.
Le must c’est que le soir, quand Alice a envoyé à « Vincent » son journal de bord où elle raconte tout en détails, j’ai bandé comme un fou alors qu’on venait de baiser comme des bêtes. Je me suis découvert une facette candauliste que je ne me connaissais pas. Finalement, je serai même ok pour lui faire la surprise d’un plan à trois avec toi pour son anniversaire qui arrive bientôt. Est-ce que tu serais partant ? Si oui, réponds-moi par retour de mail et on s'organise ça.
Fabien. »
La nouvelle me scies, jamais je n'aurai cru que cela puisse m'arriver un jour! Si je suis ok pour un plan à trois avec une nana pareille? Je veux, oui!
Rendez-vous est pris pour le samedi soir chez eux.
Je me gare dans la rue comme Fabien me l'a suggéré. Je vérifie le nom de la boite aux lettres avant d’entrer chez eux. Le portail est fermé mais pas verrouillé comme on m'avait dit. Je monte à pas de loup l'escalier qui mène à leur porte et j'attends après avoir sonné. Mon coeur bat la chamade et je bande déjà rien qu'à l'idée. Alice vient m'ouvrir.
J'ai plus de loisir de la détailler. Elle porte un kimono en soie rouge bordeaux qui lui arrive au-dessus des genoux. Je devine qu'elle est nue dessous, à voir ses tétons pointer sous la fine étole. Elle est plus jolie que dans ses vêtements de jogging, féminine. Menue, petite poitrine, les cheveux lâchés en un carré long, des jambes fuselées. Elle est maquillée légèrement avec un trait de khôl autour des yeux. J'ai envie de plonger mes mains sous son kimono et de lui remonter le long de ses cuisses qui semblent d'une extrême douceur.
Elle m'embrasse sur la bouche tout en m'enlevant mon manteau. Sa langue recherche la mienne et je réponds sans hésitation à son invitation. Je la sens chaude contre moi et mon sexe durcit sous cette caresse. Elle me lâche, à mon grand regret, pour m'entraîner vers le salon où Fabien se trouve déjà. Je suis beau gosse mais il n'a rien à m'envier. Grand mais un peu plus petit que moi, large d'épaules, il dégage un charisme impressionnant.
Un feu brûle dans l’âtre et donne des couleurs mordorés à la pièce. C’est doux et chaleureux. Ils ont déplié le lit canapé. Alors que j’allais commettre une erreur, Fabien m’arrête d’un regard ! Mais oui, je ne suis pas sensé le connaître ! Alice ne laisse pas de malaise s’installait entre nous. Elle m’embrasse de nouveau et s’attaque à mon jean pour me déshabiller au plus vite.
Sa main me décalotte le gland en une dernière caresse avant qu’elle ne m’abandonne pour se placer devant la cheminée. Elle fait doucement glissée son kimono à ses pieds. Son corps entièrement nu est à couper le souffle. Des petits seins aux tétons qui sont déjà tendus d'excitation. Ma queue frétille en retour. Une peau très douce qu'on a envie de griffer, mordre er caresser.
Elle nous tend chacun un bras et nous nous approchons d’elle. Elle prend une queue entre chaque main et s’agenouille entre nous. Elle commence par prendre le gland de Fabien dans sa bouche avant de la ressortir pour la lécher sur toute la longueur. C’est ensuite au tour de la mienne d’avoir le même traitement. Humm que c’est bon. Elle a bouche toujours aussi chaude… Pendant qu’elle est sur Fabien, je m’occupe de ses tétons. Elle a l’air d’avoir les seins très sensibles car elle se dérobe souvent à mes caresses. Je décide d’y aller plus doucement en commençant par lui caresser la base. Mais ce qu’elle fait à ma queue commence à me donner le tournis. Elle sait y faire la salope ! Elle prend nos deux glands dans sa bouche torride, puis mes couilles en les aspirant une à une avant de remonter le long de ma verge et redescendre
Nous changeons de position. Elle s’allonge sur le lit et j’en profite pour lui lécher la chatte. Pour la première fois je la goutte et elle s'abandonne à ma bouche. Sa mouille a un léger goût de fruit des bois, pas désagréable! Ma langue virevolte entre les plis de sa vulve en un lent va et vient entre son vagin et son mont de vénus. J'aspire goulûment son petit bouton d'amour et elle répond en échappant un petit cri alors que la queue de son mari passe entre ses lèvres charnues. Mon dard durcit encore à cette vue et aux souvenirs de sa bouche bouillante. Patience Vincent, ton tour viendra.
Fabien me fait signe. Je me redresse, mets une capote et je m’insère en elle. Comme elle est enveloppante! Je fonds en elle. Elle gémit en même temps que mes vas et vient dans son fourreau trempé. Je suis aux anges! Posséder la femme d'un autre devant lui est tellement jouissif. J'accélère le mouvement et mon corps claque contre le sien. Puis je me dégage pour prendre la place de Fabien. Alice est maintenant sur le ventre.
Humm que sa langue est chaude à cette salope. Comme elle est bonne. Je ne peux me retenir de maintenir sa tête et de lui baiser la bouche à cette cochonne. Fabien le lance un regard de connivence. Le cochon, lui aussi, de vendre sa femme !
Je la libère le temps qu'elle reprenne son souffle. Elle me lance un regard gourmand. Ma queue lui plaît à cette garce ! Alice descend et me prend les couilles une à une dans sa bouche pendant que ses mains s'active sur mon gourdin. Elle descend encore plus et j'ouvre mes cuisses pour la laisser passer, curieux. Elle me lèche la raie d'un coup de langue hardi. Je suis surpris car c'est la première fois qu'on me le fait mais ce n'est pas désagréable! Même plutôt l'inverse en fait. Elle me signe de m'allonger et là, je m'abandonne à ses caresses pendant Fabien la pilonne de plus en plus. Elle me lèche carrément la rondelle et sa langue force de plus en plus mon sphincter. Elle m'introduit même la première phalange d'un doigt. Humm. Mais je me dégage car je ne veux pas que ça aille plus loin. Elle comprend et reprend sa fellation.
On change de nouveau de position. Elle s'empale par la chatte sur le sexe de Fabien, allongé sur le lit. C'est une anale cette fille et sa rondelle-là qui me tend les bras. Je m'approche d'eux, installe mes jambes entre les leurs. Je m'enduits le sexe de salive et de sa mouille et je présente mon gland sur sa corolle serrée. Alice arrête son va et vient. Un petit coup de rein et me voilà entré. Elle pousse un cri et se cambre. Il m'en fallait moins pour m'exciter. Je lui attrape les hanches et m'empale jusqu'à la garde en un seul coup. Elle beugle maintenant la salope. ! Je me lâche et perds le contrôle. Ça dérive. Elle se plaque contre moi, je lui prends la gorge dans mes mains et lui murmure à l'oreille: « Tu aimes ça ma salope, hein ? Deux queues rien que pour toi ! Dis- le allez dis-le que tu aimes les bites et qu'on te défonce par tous les trous ! Dis-le salope!
Elle a les yeux fermés, elle est couverte d'une fine pellicule de sueur qui l'a fait briller dans la lueur de la cheminée- oui, j'aime... les grosses bites... qui... me défoncent... j'aime...qu'on m'éclate la rondelle... hummm- allez, continue ! Dis-nous qu'on te fait du bien et que tu es un garage à bites.
- ah oui... ha... c'est bon... continuez... humm… encore plus fort…ahh… défoncez-moi….
Nos dards durcissent encore plus. On la pilonne comme des sauvages. Je sens la queue de Fabien à travers la fine paroi. Humm c'est tellement bon! Oh oui, quelle bonne salope! On va t'en donner encore plus!
Une dernière idée me traverse l'esprit. Je fais signe à Fabien qui le comprend à demi-mot. Alice est écroulée contre lui, elle ne peut même plus se soutenir elle-même.
Je me retire ma queue toujours dressé au garde à vous. Fabien en profite pour changer de trou. J'ai bien travaillé le passage et sa queue passe sans soucis. Que c'est beau de voir de voir devant moi une queue dans le petit trou de madame. Quand Fabien sort complètement, j'en profite pour mettre ma langue sur ce trou béant. Humm comme c'est beau ce trou rose... Fabien se renfonce et sur un signe de tête de sa part, j'approche ma bite encore plus dure qu'avant près de sa corolle je presse un peu sur le côté. Ha ! Mon gland est rentré ! Une double anal ma salope. Tu vas l'aimer ton anniversaire!!! Je reste immobile et Fabien continue doucement ses va et vient dans son petit trou. Elle, elle est gémit de plaisir " oh que c'est bon!" Je continue alors ma pénétration dans cette petite grotte si serrée. Elle est encore meilleure cette garce ! Je sens la queue de Fabien. Je sens à quel point on la dilate à mort avec nos bites de compétition même si Fabien en a une plus petite que moi. Et je la lime à contre-courant avec Fabien, lui presque dehors et moi complètement dedans. On accorde notre vitesse pour accélérer peu à peu. Alice crie et ne prononce plus aucun propos cohérent. Elle a orgasme sur orgasme. On finit avec Fabien par faire entrer ensemble nos deux queues à la fois. Qu'est ce que son petit trou est dilaté! .Son sphincter suit et c'est incroyable comme il est souple et ce qu'on peut lui mettre.
C'est beau à voir ses deux queues dans ce si beau cul! C'est un délice.
Alice ne fait plus que des borborigmes sans queue ni tête! Nous allons de plus en plus vite. A la fois pervers, en plus je baise la nana d'un autre et elle en demande toujours plus. Hummm- humm c'est… trop… BONNN, finit-elle par dire avant d'exploser en un orgasme puissant.
Je me sens comme un Dieu, j'imprime un rythme encore plus endiablé. Je sors de son fourreau et j'explose sur son dos en de longs de sperme qui n’en finissent plus. Fabien fait de même sur sa chatte.
Quleques minutes plus tard quand tout le monde à retrouver ces esprits après ce moment si intense en plaisir, Alice câline Fabien et lui murmure : "Merci mon chéri pour ce beau cadeau d'anniversaire!" Et ils s'embrassent tendrement avec elle qui continue de se caresser le ventre et le dos et d'étaler nos foutres comme une crème. Le surplus, elle le leche sur les doigts.
Mmmmm je ne sais pas comment je vais arriver à rentrer ce soir chez moi !
Résumé de la partie précédente : alors que je déjeune dans un jardin public de la capitale, une jeune femme joggeuse qui m’est parfaitement inconnue m’aborde en m’appelant « Maître » et en me proposant de la rejoindre dans les toilettes publiques les plus proches. De nature joueuse, je vais la rejoindre. Là, elle m’offre une pipe extraordinaire et je finis par la baiser sauvagement alors que je suis plutôt d’un naturel doux avec les femmes. Elle me fait découvrir un côté bestial que je ne me connaissais pas avec un côté dominateur pas désagréable. Je n’avais jamais pris autant de plaisir à jouir. Alors que je me désole de ne pas retrouver cette belle ingénue, je découvre avec stupeur qu’il s’agit en fait de la femme d’un ancien camarade de master. Je me décide à contacter la nana, mais son mari et « pote » m’envoie un message « d’explications »
---« Bonjour Vincent,Ce mail doit te sembler bizarre après de si longues années de silence mais je te dois quelques explications quant à ta rencontre fortuite avec ma femme lundi dernier au jardin d… Oui, tu l’auras reconnue sur les photos, il s’agit bien de ma femme, Alice. Non, ce n’est pas une salope chaudasse qui saute sur tout ce qui bouge. C’est la première fois qu’elle me trompe et le pire, avec mon consentement.
En fait, tout a commencé il y a un mois environ. Notre couple battait de l’aile. Nous avions des crises de plus en plus fréquentes et ça allait en empirant. Elle est fragile psychologiquement, elle n’a pas confiance en elle. La preuve, elle se sent moche, grosse et empotée alors que c’est tout le contraire. Impossible de lui faire changer d’avis et ça nous mine.
Comme elle ne voulait pas suivre de nouvelle thérapie et qu’avec moi, c’est mort du fait que je sois son mari, j’ai décidé de créer un personnage fictif et de lui envoyer des mails via un compte tout beau tout neuf. Je me suis fait passer pour Vincent L… qui l’aurait soi-disant rencontré dans un colloque 1 an auparavant et que, voyant qu’elle avait déménagé de Lyon à Paris et que lui-même habitait sur Paris, il tentait sa chance maintenant. Et c’est là que tu interviens. Pour être sûr qu’elle croit à cette histoire, je lui ai envoyé une de tes photos que tu as mises en ligne. Comme vous avez dû vous croisé quand on était en master, je me suis dit que ta tête lui dirait quelque chose et comme tu as du succès auprès des nanas, c’était flatteur que quelqu’un de plutôt beau gosse s’intéresse à elle. Elle a mordu à l’hameçon.
S’en est suivi un nombre important de mails entre eux pendant deux jours. Quand j’ai fait découvrir le pot au rose à moi-même, Fabien, son mari, j’ai fait semblant de me mettre dans une fureur noire et j’ai pour la première fois réussi à lui imposer d’être ma soumise et de s’y tenir. Contre toute attente, ça lui a plu ! Et j’ai découvert que sa clé pour la décoincer, c’est le sexe !
J’ai donc fait réapparaître Vincent pour qu’il soit son Maître virtuel pendant un jour. Pour être sûr de sa soumission totale, je lui ai envoyé, sous le nom de Vincent bien-sûr, un premier scenario où je lui demandais de le rejoindre au jardin pendant la pause déjeuner et qu’elle devrait le sucer la queue dans les fameuses toilettes. Quand elle a répondu « Oui, Maître », je lui ai envoyé un deuxième mail où je la félicite de sa soumission et lui explique que c’était juste un test et donc qu’elle n’allait pas avoir à me sucer. Dans le vrai scenario qui a suivi, je lui ai dit d’aller quand même au jardin, sans son string, et d’imaginer des choses cochonnes avec d’autres joggeurs avant d’aller se masturber aux toilettes. Oui mais voilà, quelque chose que je n’avais absolument pas prévu arriva : tu étais là en chair et en os ! Quand j’ai vu les mails de réponse d’Alice et vu ton post, j’ai tout de suite compris le truc.
Le must c’est que le soir, quand Alice a envoyé à « Vincent » son journal de bord où elle raconte tout en détails, j’ai bandé comme un fou alors qu’on venait de baiser comme des bêtes. Je me suis découvert une facette candauliste que je ne me connaissais pas. Finalement, je serai même ok pour lui faire la surprise d’un plan à trois avec toi pour son anniversaire qui arrive bientôt. Est-ce que tu serais partant ? Si oui, réponds-moi par retour de mail et on s'organise ça.
Fabien. »
La nouvelle me scies, jamais je n'aurai cru que cela puisse m'arriver un jour! Si je suis ok pour un plan à trois avec une nana pareille? Je veux, oui!
Rendez-vous est pris pour le samedi soir chez eux.
Je me gare dans la rue comme Fabien me l'a suggéré. Je vérifie le nom de la boite aux lettres avant d’entrer chez eux. Le portail est fermé mais pas verrouillé comme on m'avait dit. Je monte à pas de loup l'escalier qui mène à leur porte et j'attends après avoir sonné. Mon coeur bat la chamade et je bande déjà rien qu'à l'idée. Alice vient m'ouvrir.
J'ai plus de loisir de la détailler. Elle porte un kimono en soie rouge bordeaux qui lui arrive au-dessus des genoux. Je devine qu'elle est nue dessous, à voir ses tétons pointer sous la fine étole. Elle est plus jolie que dans ses vêtements de jogging, féminine. Menue, petite poitrine, les cheveux lâchés en un carré long, des jambes fuselées. Elle est maquillée légèrement avec un trait de khôl autour des yeux. J'ai envie de plonger mes mains sous son kimono et de lui remonter le long de ses cuisses qui semblent d'une extrême douceur.
Elle m'embrasse sur la bouche tout en m'enlevant mon manteau. Sa langue recherche la mienne et je réponds sans hésitation à son invitation. Je la sens chaude contre moi et mon sexe durcit sous cette caresse. Elle me lâche, à mon grand regret, pour m'entraîner vers le salon où Fabien se trouve déjà. Je suis beau gosse mais il n'a rien à m'envier. Grand mais un peu plus petit que moi, large d'épaules, il dégage un charisme impressionnant.
Un feu brûle dans l’âtre et donne des couleurs mordorés à la pièce. C’est doux et chaleureux. Ils ont déplié le lit canapé. Alors que j’allais commettre une erreur, Fabien m’arrête d’un regard ! Mais oui, je ne suis pas sensé le connaître ! Alice ne laisse pas de malaise s’installait entre nous. Elle m’embrasse de nouveau et s’attaque à mon jean pour me déshabiller au plus vite.
Sa main me décalotte le gland en une dernière caresse avant qu’elle ne m’abandonne pour se placer devant la cheminée. Elle fait doucement glissée son kimono à ses pieds. Son corps entièrement nu est à couper le souffle. Des petits seins aux tétons qui sont déjà tendus d'excitation. Ma queue frétille en retour. Une peau très douce qu'on a envie de griffer, mordre er caresser.
Elle nous tend chacun un bras et nous nous approchons d’elle. Elle prend une queue entre chaque main et s’agenouille entre nous. Elle commence par prendre le gland de Fabien dans sa bouche avant de la ressortir pour la lécher sur toute la longueur. C’est ensuite au tour de la mienne d’avoir le même traitement. Humm que c’est bon. Elle a bouche toujours aussi chaude… Pendant qu’elle est sur Fabien, je m’occupe de ses tétons. Elle a l’air d’avoir les seins très sensibles car elle se dérobe souvent à mes caresses. Je décide d’y aller plus doucement en commençant par lui caresser la base. Mais ce qu’elle fait à ma queue commence à me donner le tournis. Elle sait y faire la salope ! Elle prend nos deux glands dans sa bouche torride, puis mes couilles en les aspirant une à une avant de remonter le long de ma verge et redescendre
Nous changeons de position. Elle s’allonge sur le lit et j’en profite pour lui lécher la chatte. Pour la première fois je la goutte et elle s'abandonne à ma bouche. Sa mouille a un léger goût de fruit des bois, pas désagréable! Ma langue virevolte entre les plis de sa vulve en un lent va et vient entre son vagin et son mont de vénus. J'aspire goulûment son petit bouton d'amour et elle répond en échappant un petit cri alors que la queue de son mari passe entre ses lèvres charnues. Mon dard durcit encore à cette vue et aux souvenirs de sa bouche bouillante. Patience Vincent, ton tour viendra.
Fabien me fait signe. Je me redresse, mets une capote et je m’insère en elle. Comme elle est enveloppante! Je fonds en elle. Elle gémit en même temps que mes vas et vient dans son fourreau trempé. Je suis aux anges! Posséder la femme d'un autre devant lui est tellement jouissif. J'accélère le mouvement et mon corps claque contre le sien. Puis je me dégage pour prendre la place de Fabien. Alice est maintenant sur le ventre.
Humm que sa langue est chaude à cette salope. Comme elle est bonne. Je ne peux me retenir de maintenir sa tête et de lui baiser la bouche à cette cochonne. Fabien le lance un regard de connivence. Le cochon, lui aussi, de vendre sa femme !
Je la libère le temps qu'elle reprenne son souffle. Elle me lance un regard gourmand. Ma queue lui plaît à cette garce ! Alice descend et me prend les couilles une à une dans sa bouche pendant que ses mains s'active sur mon gourdin. Elle descend encore plus et j'ouvre mes cuisses pour la laisser passer, curieux. Elle me lèche la raie d'un coup de langue hardi. Je suis surpris car c'est la première fois qu'on me le fait mais ce n'est pas désagréable! Même plutôt l'inverse en fait. Elle me signe de m'allonger et là, je m'abandonne à ses caresses pendant Fabien la pilonne de plus en plus. Elle me lèche carrément la rondelle et sa langue force de plus en plus mon sphincter. Elle m'introduit même la première phalange d'un doigt. Humm. Mais je me dégage car je ne veux pas que ça aille plus loin. Elle comprend et reprend sa fellation.
On change de nouveau de position. Elle s'empale par la chatte sur le sexe de Fabien, allongé sur le lit. C'est une anale cette fille et sa rondelle-là qui me tend les bras. Je m'approche d'eux, installe mes jambes entre les leurs. Je m'enduits le sexe de salive et de sa mouille et je présente mon gland sur sa corolle serrée. Alice arrête son va et vient. Un petit coup de rein et me voilà entré. Elle pousse un cri et se cambre. Il m'en fallait moins pour m'exciter. Je lui attrape les hanches et m'empale jusqu'à la garde en un seul coup. Elle beugle maintenant la salope. ! Je me lâche et perds le contrôle. Ça dérive. Elle se plaque contre moi, je lui prends la gorge dans mes mains et lui murmure à l'oreille: « Tu aimes ça ma salope, hein ? Deux queues rien que pour toi ! Dis- le allez dis-le que tu aimes les bites et qu'on te défonce par tous les trous ! Dis-le salope!
Elle a les yeux fermés, elle est couverte d'une fine pellicule de sueur qui l'a fait briller dans la lueur de la cheminée- oui, j'aime... les grosses bites... qui... me défoncent... j'aime...qu'on m'éclate la rondelle... hummm- allez, continue ! Dis-nous qu'on te fait du bien et que tu es un garage à bites.
- ah oui... ha... c'est bon... continuez... humm… encore plus fort…ahh… défoncez-moi….
Nos dards durcissent encore plus. On la pilonne comme des sauvages. Je sens la queue de Fabien à travers la fine paroi. Humm c'est tellement bon! Oh oui, quelle bonne salope! On va t'en donner encore plus!
Une dernière idée me traverse l'esprit. Je fais signe à Fabien qui le comprend à demi-mot. Alice est écroulée contre lui, elle ne peut même plus se soutenir elle-même.
Je me retire ma queue toujours dressé au garde à vous. Fabien en profite pour changer de trou. J'ai bien travaillé le passage et sa queue passe sans soucis. Que c'est beau de voir de voir devant moi une queue dans le petit trou de madame. Quand Fabien sort complètement, j'en profite pour mettre ma langue sur ce trou béant. Humm comme c'est beau ce trou rose... Fabien se renfonce et sur un signe de tête de sa part, j'approche ma bite encore plus dure qu'avant près de sa corolle je presse un peu sur le côté. Ha ! Mon gland est rentré ! Une double anal ma salope. Tu vas l'aimer ton anniversaire!!! Je reste immobile et Fabien continue doucement ses va et vient dans son petit trou. Elle, elle est gémit de plaisir " oh que c'est bon!" Je continue alors ma pénétration dans cette petite grotte si serrée. Elle est encore meilleure cette garce ! Je sens la queue de Fabien. Je sens à quel point on la dilate à mort avec nos bites de compétition même si Fabien en a une plus petite que moi. Et je la lime à contre-courant avec Fabien, lui presque dehors et moi complètement dedans. On accorde notre vitesse pour accélérer peu à peu. Alice crie et ne prononce plus aucun propos cohérent. Elle a orgasme sur orgasme. On finit avec Fabien par faire entrer ensemble nos deux queues à la fois. Qu'est ce que son petit trou est dilaté! .Son sphincter suit et c'est incroyable comme il est souple et ce qu'on peut lui mettre.
C'est beau à voir ses deux queues dans ce si beau cul! C'est un délice.
Alice ne fait plus que des borborigmes sans queue ni tête! Nous allons de plus en plus vite. A la fois pervers, en plus je baise la nana d'un autre et elle en demande toujours plus. Hummm- humm c'est… trop… BONNN, finit-elle par dire avant d'exploser en un orgasme puissant.
Je me sens comme un Dieu, j'imprime un rythme encore plus endiablé. Je sors de son fourreau et j'explose sur son dos en de longs de sperme qui n’en finissent plus. Fabien fait de même sur sa chatte.
Quleques minutes plus tard quand tout le monde à retrouver ces esprits après ce moment si intense en plaisir, Alice câline Fabien et lui murmure : "Merci mon chéri pour ce beau cadeau d'anniversaire!" Et ils s'embrassent tendrement avec elle qui continue de se caresser le ventre et le dos et d'étaler nos foutres comme une crème. Le surplus, elle le leche sur les doigts.
Mmmmm je ne sais pas comment je vais arriver à rentrer ce soir chez moi !
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