Alice la gymnaste (Part.1)
Récit érotique écrit par Alice [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2023 dans la catégorie Fétichisme
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Alice la gymnaste (Part.1)
Je m’appelle Alice et je vais vous raconter comment mon hospitalisation d’urgence s’est avérée être une des plus grandes humiliations de ma vie.
J’ai 23 ans, je suis plutôt jolie, assez grande, 1m76 pour être précise. J’ai les cheveux plutôt longs, blonds et ondulés. La peau assez blanche pour ne pas dire diaphane, je suis élancée car je suis grande mais pas vraiment "mince" , je suis gymnaste à mes heures perdues. J’ai atteint un assez haut niveau quand j’avais 14-15 ans mais aujourd’hui j’ai arrêté la compétition depuis plusieurs années et je ne pratique que pour le plaisir et me maintenir en forme. Aujourd’hui j’ai donc des fesses bien "rebondies" mais encore assez fermes vu mes pratiques sportives passées. Des assez longues jambes, une poitrine plutôt généreuse sans être énorme. Je mets du 90C en soutien gorge mais mes seins restent assez fermes quand même. Vous allez me dire, c’est normal à 23 ans! Pour finir, j’ai les yeux marrons en amandes et quelques taches de rousseurs sur le nez et le front. Voilà, maintenant que les présentations sont faites, passons au vif du sujet.
Un soir, lors d’un entraînement de gymnastique à ma salle habituelle, une mauvaise sortie des barres asymétriques et CRAC!! Ma jambe a lâchée au moment de la réception. Je m’écroule sur le côté et une douleur intense m’envahit d’abord la jambe droite puis le corps tout entier. Je hurle de douleur en me tenant la cuisse. Mes camarades d’entraînement ainsi que l’entraîneur de l’équipe des 13-16 ans qui s’entraînaient en même temps, se précipitent vers moi pour me porter secours.
Les yeux remplis de larmes, toujours allongée sur le tapis de gym, j’entends l’entraîneur appeler les pompiers avec son téléphone.
" Une jeune femme vient de faire une mauvaise chute d’un agrès de gymnastique, elle se plaint de douleurs à la jambe et au niveau du bas du dos, il faut envoyer les secours rapidement svp! Dépêchez vous elle a l’air de beaucoup souffrir! Merci ! "
Je ferme les yeux et quelques minutes plus tard j’entends les voix de plusieurs hommes autour de moi, certainement les pompiers, mais les larmes qui emplissent mes yeux associées à la lumière blafarde des néons au plafond du gymnase m’empêche de voir correctement ce qui se passe autour de moi. Je sens une pression à l’endroit de la fracture qui semble être au niveau de la cuisse donc du fémur. Cette petite pression à cet endroit précis me fait tressaillir de douleur, je pousse même un cri agrémenté de larmes.
Je me "réveille" dans le camion de pompier/ambulance au moment où les pompiers commencent à me "préparer" pour faciliter ma prise en charge "rapide" une fois arrivée aux urgences. Ils s’afférent à deux ou trois autour de moi. Un des hommes me soulève les jambes très délicatement et lentement pour permettre à un autre de retirer le drap froissé qui recouvrait le brancard. C’est à ce moment que je réalise que je ne porte que mon body de gymnastique bleu et blanc. Pas eu le temps ni la possibilité de me changer, évidemment. Ce que les pompiers devaient certainement ignorer c’est que les gymnastes, en particulier les filles, ne peuvent pas porter de sous vêtements sous leurs bodys de gym. En effet ceux-ci sont tellement ajustés, pour ne pas dire serré, qu’il est presque impossible de porter la moindre culotte ou même string et encore moins de soutien gorge.
Sans crier gare, sans aucune forme de précaution, pendant qu’un des pompiers m’installe une perfusion au niveau du bras droit, je l’observe planter la petite aiguille dans ma veine, quand tout à coup je ressens comme une pression au niveau de mon entre jambes. Sous le choc de l’accident, incapable de bouger d’un centimètre, je me laisse faire sans la moindre résistance. C’est donc sans me prévenir ou même me regarder qu’un des pompiers saisi une paire de ciseaux et s’approche de mon entre jambes avec. Immédiatement je prend peur et me rappelle que je ne porte pas de culotte sous mon body et que mes soigneurs ne s’en doutent pas une seconde je suppose. Même si cela s’est fait très rapidement, j’ai tout de même eu le temps de me souvenir que mon épilation du "maillot" laissait clairement à désirer dans la mesure où mon dernier passage chez l’esthéticienne remontait à plusieurs semaines maintenant. Faute de temps et d’argent surtout, soyons francs… Je sais maintenant que je m’apprête à vivre la honte de ma vie.
Ces trois jeunes hommes vont donc se retrouver directement face à mon sexe, non épilé et offert à leurs regards vicieux et moqueurs. Mais je me rassure en me disant qu’ils ont l’habitude de voir bien pire que moi. Des personnes âgées nues et autres SDF ou toxicomanes… Ils en ont vu d’autres… C’est donc sans esquisser l’ombre d’une hésitation que l’un des pompiers saisis l’entre jambes de mon body et en deux coup de ciseaux, ma vulve et ma toison blonde assez fournie se retrouve complètement à l’air. Je sens mes joues qui rougissent. L’un des hommes n’hésite pas à fixer mon sexe avec un air surpris.
"Elles n’ont jamais de culotte sous leur tenue de gym? Ou c’est juste elle ?"
Un autre lui répond en souriant : "Moi je savais, on a fait une fracture sur une gymnaste y’a quelques années, elles sont toujours à poil en dessous, c’est normal !"
Et le troisième d’ajouter en ricanant : "A poil! C’est le cas de le dire pour elle! Hahaha !"
Les trois hommes regardent en même temps ma vulve recouverte d’une toison de poils châtains clairs qui se propage jusqu’entre mes fesses et ils pouffent de rire tous les trois sans aucune retenue. À ce moment, j’aimerais disparaître en claquant des doigts tellement j’ai honte.
Mais c’était sans compter sur le troisième pompier qui s’approche pour positionner ma jambe, certainement fracturée, dans une espèce de moule en mousse qu’il place par en dessous. Pour cela il doit relever ma jambe, délicatement, même si l’anti douleur de la perfusion fonctionne bien, je ne sens presque plus mon corps. Cette manipulation a pour effet de relever ma jambe ce qui dévoile un peu plus mon sexe poilu qui s’entrouvre, à leurs yeux. Mon anus doit être visible également, je le sens, je suis pétrie de honte mais quasiment shootée par l’anti douleur je ne me rend pas vraiment compte de ma position ni de ce que mes soigneurs peuvent voir ou dire.
Toujours est-il que je me retrouve avec ce moule en mousse sous ma jambe cassée, ce qui a pour effet de m’écarter les cuisses de façon assez impudique et dégradante. Ma chatte est donc totalement exposée, certainement ouverte, à la vue de ces trois hommes. Je fais un petit sursaut quand je sens un objet métallique froid toucher mon épaule. Il s’agit des mêmes ciseaux qui cette fois viennent couper les fines bretelles de mon body bleu. Étant donné la tension du vêtement qui je le rappelle doit se porter très moulant, à la limite du trop petit. La première bretelle coupée et hop! Directement, mon sein droit, lourd et laiteux se retrouve à l’air, à gigoter, ce qui, je l’entend, décroche un petit rire nerveux à l’un des pompiers. Très vite la seconde bretelle saute et le body se rétracte en une demi seconde au niveau de mon ventre. Mes deux gros seins blancs sont maintenant complètement à l’air. Un des hommes ne peut cacher son intérêt pour ces deux globes de chair blanche qui remuent et gigotent aux rythmes des secousses de la camionnette sur la route. Ne pouvant toujours pas faire un geste, je ne peux que laisser mes gros seins s’agiter de manière un peu ridicule, les cuisses bien écartées avec ma vulve poilue bien exposée… J’avais tellement honte d’être exposée ainsi que je fermais les yeux…tout en imaginant ces trois hommes entrain de se rincer l’œil vu le spectacle gratuit qui leur était offert.
Arrivée devant l’hôpital, je prie pour qu’ils ne me sortent pas de l’ambulance dans cette "tenue" et surtout dans cette posture. Les portes battantes de la camionnette s’ouvrent d’un coup et je suis toujours dans la même position, presque entièrement nue, à la vue de tous. Un peu éblouie par la lumière, c’est une femme et deux hommes, certainement des brancardiers qui me prennent en charge sans se soucier une seconde du fait que je sois presque totalement à poil en public. En se dirigeant vers les urgences dont l’entrée se trouvent sur le côté de l’hôpital, mon brancard croise un couple de personnes âgées qui semblent troublés de me voir ainsi exposée, nue, les seins remuant à chaque imperfection du parking, et il y en avait beaucoup… La honte…
Une fois dans le bâtiment des urgences, mon calvaire continue. Mon brancard est placé dans un couloir où il y a beaucoup de passages. Infirmières, brancardiers, médecins, pompiers et autres familles de blessés/malades, défilent juste à côté de moi. Toujours nue dans une position très peu pudique. Je voudrais pouvoir tirer ce drap qui est à mes pieds pour recouvrir au moins mon bas ventre, mais impossible de bouger, ni même de parler. Sans doute le produit anesthésiant contenu dans la perfusion. Un sentiment d’impuissance vraiment insupportable m’envahît, mais impossible de lutter contre un anesthésiant… Je suis donc condamnée à attendre dans ce couloir, toute nue, sexe et poitrine totalement à l’air… C’est en comprenant que cette attente risquait de durer des heures qu’une larme a commencé à rouler sur ma joue. Résignée, épuisée, choquée, j’arrête de lutter psychologiquement et je m’abandonne à subir cette situation plus qu’humiliante.
Près de deux heures plus tard sur l’horloge au bout du couloir jonché de brancards et autres fauteuils roulant. Une infirmière assez corpulente se dirige vers moi, je me dis que ça va enfin être à mon tour. Mais non, elle se contente de passer à côté de mon brancard en m’ignorant totalement. Lorsqu’elle repasse dans l’autre sens je réussi miraculeusement à lui toucher la main au moment où elle passe. Ce qui a pour effet de la stopper et de commencer à me parler:
" Bonjour mademoiselle, vous avez l’air mal en point dis donc..! Qu’est-ce qu’il vous est arrivé? Accident de voiture?"
Elle parle très fort et ne semble pas du tout prêter attention au fait que je sois presque totalement à poil, jambes écartées, aux yeux de tout le monde dans un couloir emprunté par le public.
Voyant que je ne répondais pas, elle vérifie le contenu de la perfusion et semble comprendre pourquoi je ne peux ni parler, ni bouger.
Avec mes yeux je tente de lui faire comprendre qu’elle pourrait facilement me couvrir avec ce drap qui est à mes pieds.
Elle semble tout de suite comprendre ce que j’attends d’elle, mais elle me regarde avec un air de pitié dans les yeux.
" Je suis désolé mademoiselle, je ne suis pas votre médecin traitant, je ne sais pas quels sont vos pathologies ou fractures, si les soigneurs vous ont installée de cette manière ce n’est certainement pas pour rien. Hein..? C’est forcément pour votre bien, pour votre santé! Hein?"
Je comprends à ce moment là qu’elle ne fera rien pour essayer de cacher mon intimité. Je suis dépitée. Elle ajoute:
" Oh vous savez mademoiselle on en a vu d’autres ici, je sais que ça peut être un peu gênant mais c’est comme ça les urgences… Et puis vous êtes toute jolie en plus, y’a pas de honte à avoir je vous assure."
Complètement résignée, impuissante et morte de honte, je n’ai d’autre choix que d’accepter cette situation plus qu’inconfortable.
"Allez ne vous inquiétez pas mademoiselle ça va bientôt être à vous je pense, bon courage, on se reverra, car je suis à peu près sûre que vous allez rester un petit moment chez nous!" Termina-t-elle en ricanant.
Elle disait vrai, environ vingt minutes après, un brancardier viens me chercher et m’emmène dans une pièce où il y déjà deux lits sur lesquels se trouvent deux hommes. L’un, d’une vingtaine d’années qui lui est habillé, le chanceux, mais il semble avoir pris un coup car son arcade sourcilière est ouverte et semble en attente d’être recousue. L’autre, environ la cinquantaine a vu d’œil, chauve, est torse nue avec des capteurs blancs collés sur sa poitrine et un masque à oxygène lui recouvre le nez et la bouche.
Le brancardier, sans dire un mot, me positionne à côté du jeune garçon, pile en face du monsieur avec son masque transparent. J’aperçois le regard du quinquagénaire fixer mes gros seins laiteux avant de rapidement plonger entre mes cuisses pour ne plus en ressortir. Sans aucune gêne, cet homme est entrain de scruter mes parties intimes, les poils sur mon pubis et mes grandes lèvres. En même temps, vu la manière dont je suis exposée, jambes écartées presque à fond, dont une un peu relevée pour cause de moule en mousse, il ne peut rien manquer de mon anatomie. De plus comme la salle est très exiguë, et la lumière des néons bien criarde, je pense qu’il peut même s’amuser à compter les poils châtains autour de mon anus rose, qu’il doit très bien voir de là où il est… Pfffffff… Et je ne peux toujours ni bouger, ni parler… L’horreur… La honte totale… Et ce n’était que le début…
À suivre…
J’ai 23 ans, je suis plutôt jolie, assez grande, 1m76 pour être précise. J’ai les cheveux plutôt longs, blonds et ondulés. La peau assez blanche pour ne pas dire diaphane, je suis élancée car je suis grande mais pas vraiment "mince" , je suis gymnaste à mes heures perdues. J’ai atteint un assez haut niveau quand j’avais 14-15 ans mais aujourd’hui j’ai arrêté la compétition depuis plusieurs années et je ne pratique que pour le plaisir et me maintenir en forme. Aujourd’hui j’ai donc des fesses bien "rebondies" mais encore assez fermes vu mes pratiques sportives passées. Des assez longues jambes, une poitrine plutôt généreuse sans être énorme. Je mets du 90C en soutien gorge mais mes seins restent assez fermes quand même. Vous allez me dire, c’est normal à 23 ans! Pour finir, j’ai les yeux marrons en amandes et quelques taches de rousseurs sur le nez et le front. Voilà, maintenant que les présentations sont faites, passons au vif du sujet.
Un soir, lors d’un entraînement de gymnastique à ma salle habituelle, une mauvaise sortie des barres asymétriques et CRAC!! Ma jambe a lâchée au moment de la réception. Je m’écroule sur le côté et une douleur intense m’envahit d’abord la jambe droite puis le corps tout entier. Je hurle de douleur en me tenant la cuisse. Mes camarades d’entraînement ainsi que l’entraîneur de l’équipe des 13-16 ans qui s’entraînaient en même temps, se précipitent vers moi pour me porter secours.
Les yeux remplis de larmes, toujours allongée sur le tapis de gym, j’entends l’entraîneur appeler les pompiers avec son téléphone.
" Une jeune femme vient de faire une mauvaise chute d’un agrès de gymnastique, elle se plaint de douleurs à la jambe et au niveau du bas du dos, il faut envoyer les secours rapidement svp! Dépêchez vous elle a l’air de beaucoup souffrir! Merci ! "
Je ferme les yeux et quelques minutes plus tard j’entends les voix de plusieurs hommes autour de moi, certainement les pompiers, mais les larmes qui emplissent mes yeux associées à la lumière blafarde des néons au plafond du gymnase m’empêche de voir correctement ce qui se passe autour de moi. Je sens une pression à l’endroit de la fracture qui semble être au niveau de la cuisse donc du fémur. Cette petite pression à cet endroit précis me fait tressaillir de douleur, je pousse même un cri agrémenté de larmes.
Je me "réveille" dans le camion de pompier/ambulance au moment où les pompiers commencent à me "préparer" pour faciliter ma prise en charge "rapide" une fois arrivée aux urgences. Ils s’afférent à deux ou trois autour de moi. Un des hommes me soulève les jambes très délicatement et lentement pour permettre à un autre de retirer le drap froissé qui recouvrait le brancard. C’est à ce moment que je réalise que je ne porte que mon body de gymnastique bleu et blanc. Pas eu le temps ni la possibilité de me changer, évidemment. Ce que les pompiers devaient certainement ignorer c’est que les gymnastes, en particulier les filles, ne peuvent pas porter de sous vêtements sous leurs bodys de gym. En effet ceux-ci sont tellement ajustés, pour ne pas dire serré, qu’il est presque impossible de porter la moindre culotte ou même string et encore moins de soutien gorge.
Sans crier gare, sans aucune forme de précaution, pendant qu’un des pompiers m’installe une perfusion au niveau du bras droit, je l’observe planter la petite aiguille dans ma veine, quand tout à coup je ressens comme une pression au niveau de mon entre jambes. Sous le choc de l’accident, incapable de bouger d’un centimètre, je me laisse faire sans la moindre résistance. C’est donc sans me prévenir ou même me regarder qu’un des pompiers saisi une paire de ciseaux et s’approche de mon entre jambes avec. Immédiatement je prend peur et me rappelle que je ne porte pas de culotte sous mon body et que mes soigneurs ne s’en doutent pas une seconde je suppose. Même si cela s’est fait très rapidement, j’ai tout de même eu le temps de me souvenir que mon épilation du "maillot" laissait clairement à désirer dans la mesure où mon dernier passage chez l’esthéticienne remontait à plusieurs semaines maintenant. Faute de temps et d’argent surtout, soyons francs… Je sais maintenant que je m’apprête à vivre la honte de ma vie.
Ces trois jeunes hommes vont donc se retrouver directement face à mon sexe, non épilé et offert à leurs regards vicieux et moqueurs. Mais je me rassure en me disant qu’ils ont l’habitude de voir bien pire que moi. Des personnes âgées nues et autres SDF ou toxicomanes… Ils en ont vu d’autres… C’est donc sans esquisser l’ombre d’une hésitation que l’un des pompiers saisis l’entre jambes de mon body et en deux coup de ciseaux, ma vulve et ma toison blonde assez fournie se retrouve complètement à l’air. Je sens mes joues qui rougissent. L’un des hommes n’hésite pas à fixer mon sexe avec un air surpris.
"Elles n’ont jamais de culotte sous leur tenue de gym? Ou c’est juste elle ?"
Un autre lui répond en souriant : "Moi je savais, on a fait une fracture sur une gymnaste y’a quelques années, elles sont toujours à poil en dessous, c’est normal !"
Et le troisième d’ajouter en ricanant : "A poil! C’est le cas de le dire pour elle! Hahaha !"
Les trois hommes regardent en même temps ma vulve recouverte d’une toison de poils châtains clairs qui se propage jusqu’entre mes fesses et ils pouffent de rire tous les trois sans aucune retenue. À ce moment, j’aimerais disparaître en claquant des doigts tellement j’ai honte.
Mais c’était sans compter sur le troisième pompier qui s’approche pour positionner ma jambe, certainement fracturée, dans une espèce de moule en mousse qu’il place par en dessous. Pour cela il doit relever ma jambe, délicatement, même si l’anti douleur de la perfusion fonctionne bien, je ne sens presque plus mon corps. Cette manipulation a pour effet de relever ma jambe ce qui dévoile un peu plus mon sexe poilu qui s’entrouvre, à leurs yeux. Mon anus doit être visible également, je le sens, je suis pétrie de honte mais quasiment shootée par l’anti douleur je ne me rend pas vraiment compte de ma position ni de ce que mes soigneurs peuvent voir ou dire.
Toujours est-il que je me retrouve avec ce moule en mousse sous ma jambe cassée, ce qui a pour effet de m’écarter les cuisses de façon assez impudique et dégradante. Ma chatte est donc totalement exposée, certainement ouverte, à la vue de ces trois hommes. Je fais un petit sursaut quand je sens un objet métallique froid toucher mon épaule. Il s’agit des mêmes ciseaux qui cette fois viennent couper les fines bretelles de mon body bleu. Étant donné la tension du vêtement qui je le rappelle doit se porter très moulant, à la limite du trop petit. La première bretelle coupée et hop! Directement, mon sein droit, lourd et laiteux se retrouve à l’air, à gigoter, ce qui, je l’entend, décroche un petit rire nerveux à l’un des pompiers. Très vite la seconde bretelle saute et le body se rétracte en une demi seconde au niveau de mon ventre. Mes deux gros seins blancs sont maintenant complètement à l’air. Un des hommes ne peut cacher son intérêt pour ces deux globes de chair blanche qui remuent et gigotent aux rythmes des secousses de la camionnette sur la route. Ne pouvant toujours pas faire un geste, je ne peux que laisser mes gros seins s’agiter de manière un peu ridicule, les cuisses bien écartées avec ma vulve poilue bien exposée… J’avais tellement honte d’être exposée ainsi que je fermais les yeux…tout en imaginant ces trois hommes entrain de se rincer l’œil vu le spectacle gratuit qui leur était offert.
Arrivée devant l’hôpital, je prie pour qu’ils ne me sortent pas de l’ambulance dans cette "tenue" et surtout dans cette posture. Les portes battantes de la camionnette s’ouvrent d’un coup et je suis toujours dans la même position, presque entièrement nue, à la vue de tous. Un peu éblouie par la lumière, c’est une femme et deux hommes, certainement des brancardiers qui me prennent en charge sans se soucier une seconde du fait que je sois presque totalement à poil en public. En se dirigeant vers les urgences dont l’entrée se trouvent sur le côté de l’hôpital, mon brancard croise un couple de personnes âgées qui semblent troublés de me voir ainsi exposée, nue, les seins remuant à chaque imperfection du parking, et il y en avait beaucoup… La honte…
Une fois dans le bâtiment des urgences, mon calvaire continue. Mon brancard est placé dans un couloir où il y a beaucoup de passages. Infirmières, brancardiers, médecins, pompiers et autres familles de blessés/malades, défilent juste à côté de moi. Toujours nue dans une position très peu pudique. Je voudrais pouvoir tirer ce drap qui est à mes pieds pour recouvrir au moins mon bas ventre, mais impossible de bouger, ni même de parler. Sans doute le produit anesthésiant contenu dans la perfusion. Un sentiment d’impuissance vraiment insupportable m’envahît, mais impossible de lutter contre un anesthésiant… Je suis donc condamnée à attendre dans ce couloir, toute nue, sexe et poitrine totalement à l’air… C’est en comprenant que cette attente risquait de durer des heures qu’une larme a commencé à rouler sur ma joue. Résignée, épuisée, choquée, j’arrête de lutter psychologiquement et je m’abandonne à subir cette situation plus qu’humiliante.
Près de deux heures plus tard sur l’horloge au bout du couloir jonché de brancards et autres fauteuils roulant. Une infirmière assez corpulente se dirige vers moi, je me dis que ça va enfin être à mon tour. Mais non, elle se contente de passer à côté de mon brancard en m’ignorant totalement. Lorsqu’elle repasse dans l’autre sens je réussi miraculeusement à lui toucher la main au moment où elle passe. Ce qui a pour effet de la stopper et de commencer à me parler:
" Bonjour mademoiselle, vous avez l’air mal en point dis donc..! Qu’est-ce qu’il vous est arrivé? Accident de voiture?"
Elle parle très fort et ne semble pas du tout prêter attention au fait que je sois presque totalement à poil, jambes écartées, aux yeux de tout le monde dans un couloir emprunté par le public.
Voyant que je ne répondais pas, elle vérifie le contenu de la perfusion et semble comprendre pourquoi je ne peux ni parler, ni bouger.
Avec mes yeux je tente de lui faire comprendre qu’elle pourrait facilement me couvrir avec ce drap qui est à mes pieds.
Elle semble tout de suite comprendre ce que j’attends d’elle, mais elle me regarde avec un air de pitié dans les yeux.
" Je suis désolé mademoiselle, je ne suis pas votre médecin traitant, je ne sais pas quels sont vos pathologies ou fractures, si les soigneurs vous ont installée de cette manière ce n’est certainement pas pour rien. Hein..? C’est forcément pour votre bien, pour votre santé! Hein?"
Je comprends à ce moment là qu’elle ne fera rien pour essayer de cacher mon intimité. Je suis dépitée. Elle ajoute:
" Oh vous savez mademoiselle on en a vu d’autres ici, je sais que ça peut être un peu gênant mais c’est comme ça les urgences… Et puis vous êtes toute jolie en plus, y’a pas de honte à avoir je vous assure."
Complètement résignée, impuissante et morte de honte, je n’ai d’autre choix que d’accepter cette situation plus qu’inconfortable.
"Allez ne vous inquiétez pas mademoiselle ça va bientôt être à vous je pense, bon courage, on se reverra, car je suis à peu près sûre que vous allez rester un petit moment chez nous!" Termina-t-elle en ricanant.
Elle disait vrai, environ vingt minutes après, un brancardier viens me chercher et m’emmène dans une pièce où il y déjà deux lits sur lesquels se trouvent deux hommes. L’un, d’une vingtaine d’années qui lui est habillé, le chanceux, mais il semble avoir pris un coup car son arcade sourcilière est ouverte et semble en attente d’être recousue. L’autre, environ la cinquantaine a vu d’œil, chauve, est torse nue avec des capteurs blancs collés sur sa poitrine et un masque à oxygène lui recouvre le nez et la bouche.
Le brancardier, sans dire un mot, me positionne à côté du jeune garçon, pile en face du monsieur avec son masque transparent. J’aperçois le regard du quinquagénaire fixer mes gros seins laiteux avant de rapidement plonger entre mes cuisses pour ne plus en ressortir. Sans aucune gêne, cet homme est entrain de scruter mes parties intimes, les poils sur mon pubis et mes grandes lèvres. En même temps, vu la manière dont je suis exposée, jambes écartées presque à fond, dont une un peu relevée pour cause de moule en mousse, il ne peut rien manquer de mon anatomie. De plus comme la salle est très exiguë, et la lumière des néons bien criarde, je pense qu’il peut même s’amuser à compter les poils châtains autour de mon anus rose, qu’il doit très bien voir de là où il est… Pfffffff… Et je ne peux toujours ni bouger, ni parler… L’horreur… La honte totale… Et ce n’était que le début…
À suivre…
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
hum tu m'excites par la description de ton physique vraiment
j'adore
j'adore
Tres belle histoire
Beaucoup d’imagination
A la limite du fantasme continuez, j’ai tres envie de lire la suite
Bravo👏👏
Beaucoup d’imagination
A la limite du fantasme continuez, j’ai tres envie de lire la suite
Bravo👏👏
Je ne connais pas bien ce site, j'ai commis une trentaine de textes sur un site concurrent dont le nom commence par R. Comme certains auteurs faisaient le chemin inverse, par curiosité, je suis venu jeter un coup d'oeil. Coup de bol, je tombe sur les 7 premiers textes d'Alice, et je suis charmé par le ton, l'humour, le sens de l'observation, le rythme. Alice, merci, votre histoire burlesque me file un sourire digne du chat du Cheshire, c'est léger sans être creux, c'est redoutablement bien observé, c'est délicieusement coquin sans jamais être racoleur. Impossible ne pas tomber sous le charme, et nul doute que la petite vignette de profil qui confirme l'autoportrait liminaire du premier chapître fera pousser bien des hurlements admiratifs dignes du loup de Tex Avery. Le talent,l'humour et la grâce,tout vous a été accordé ! Pour ma part, je viendrai de temps en temps vérifier si vous nous avez destiné de nouvelles friandises, et je vous adresse toute ma gratitude pour le plaisir déjà pris à vous lire. P.S. : un conseil, ne perdez pas de temps ni d'energie à répondre aux commentaires à la fois excessifs et insignifiants.
C'est super bien raconté, et très excitant, j'adore !
Bonjour Alice moi j’ai bien aimé ton histoire tu nous fais partager ta honte et ton excitation et tu me donnes envie de connaître la suite. Tu m’as ému et excité en même temps. Je vais lire la suite. Merci
Bonjour Alice,
Je suis d'accord avec ton commentaire. Merci de nous partager cette histoire et de laisser libre court a ton imagination 🙂
Hate de lire la suite!
Je suis d'accord avec ton commentaire. Merci de nous partager cette histoire et de laisser libre court a ton imagination 🙂
Hate de lire la suite!
J'aime beaucoup, quand je me suis cassée la hanche il y a quelque mois, les ambulanciers m'ont trouvée presque à poil aussi (j'avais chuté en sortant de ma douche, c'est ma voisine proche qui m'a passé un tee-shirt, mais impossible d'enfiler un truc en bas) j'avais bien sûr un drap sur moi quand j'étais en "attente, mais pour les radio et scanner non, et le tee-shirt relever, je pense que la pire humiliation a été quand un jeune stagiaire (limite puceau à sa tête) a dû me raser (obligatoire) toute la région du bas ventre (minou compris) avant de devoir être opérée
"Ça ne se passe pas du tout comme ça aux urgences." Sans blague…? 🙄 Je n’ai jamais dis que c’était une histoire vraie ou ultra-réalist... 🤦🏻♂️ La maladie du premier degré est vraiment le fléau du siècle…
« Encore un récit où la gamine va se faire massacrer." Découpée en morceaux et dévorée aussi tant que vous y êtes..? 🤣 Pffff… Et sinon, absolument rien ni personne ne vous oblige à lire "encore" et "encore" ce genre de récits avec les tags "hopital", "humiliation", "fétichisme"…si cela vous "dérange" à ce point là… À moins d’être complètement masochiste..? 🤔 C’est peut-être vous qui devriez consulter…
"Plus les années passent, plus le niveau d’HDS baisse." Visiblement on a à faire a une grande habituée déjà…lol Si ça vous choque tant que ça, libre a vous d’arrêter ce genre de sites et de vous orienter vers les bandes dessinées "Martine" par exemple..! Si cela est suffisamment "feministo-bien pensant" pour vous..? 😅 Par ailleurs, en parlant de "niveau qui baisse", je me suis permise de corriger vos nombreuses fautes d’orthographe et de syntaxe…🤡🙈
"Si c’est pour écrire des conneries pareilles, limite un viol…etc…" Si vous n’avez que ça à foutre d’essayer de déceler ce qui pourrait évoquer un rapport sexuel en public ou gênant ou humiliant, parmi TOUS les récits pornographiques imaginaires et fantasmés publiés sur ce site… Ça frôle la pathologie mentale en effet…🤪 Afin de vous détendre un peu donc, je ne saurais trop vous conseiller la lecture de "Martine fait du vélo" qui j’en suis sûr vous conviendra beaucoup mieux..! 👍
Cordialement
Alice.
« Encore un récit où la gamine va se faire massacrer." Découpée en morceaux et dévorée aussi tant que vous y êtes..? 🤣 Pffff… Et sinon, absolument rien ni personne ne vous oblige à lire "encore" et "encore" ce genre de récits avec les tags "hopital", "humiliation", "fétichisme"…si cela vous "dérange" à ce point là… À moins d’être complètement masochiste..? 🤔 C’est peut-être vous qui devriez consulter…
"Plus les années passent, plus le niveau d’HDS baisse." Visiblement on a à faire a une grande habituée déjà…lol Si ça vous choque tant que ça, libre a vous d’arrêter ce genre de sites et de vous orienter vers les bandes dessinées "Martine" par exemple..! Si cela est suffisamment "feministo-bien pensant" pour vous..? 😅 Par ailleurs, en parlant de "niveau qui baisse", je me suis permise de corriger vos nombreuses fautes d’orthographe et de syntaxe…🤡🙈
"Si c’est pour écrire des conneries pareilles, limite un viol…etc…" Si vous n’avez que ça à foutre d’essayer de déceler ce qui pourrait évoquer un rapport sexuel en public ou gênant ou humiliant, parmi TOUS les récits pornographiques imaginaires et fantasmés publiés sur ce site… Ça frôle la pathologie mentale en effet…🤪 Afin de vous détendre un peu donc, je ne saurais trop vous conseiller la lecture de "Martine fait du vélo" qui j’en suis sûr vous conviendra beaucoup mieux..! 👍
Cordialement
Alice.
Alors ça ne se passe pas dû tout comme ça aux urgences.
Encore 1 récit ou la gamine va se faire massacrer.
Décidément au plus les années passent au plus le niveau d’HDS baisse.
Si c’est pour écrire des conneries pareille limite 1 viol abstenez vous ou alors allez vous faire soigner.
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Si c’est pour écrire des conneries pareille limite 1 viol abstenez vous ou alors allez vous faire soigner.