Alice la gymnaste (Part.2)

- Par l'auteur HDS Alice -
Récit érotique écrit par Alice [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Alice la gymnaste (Part.2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2023 dans la catégorie Fétichisme
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Alice la gymnaste (Part.2)
Une fois la batterie d’examens passés, totalement nue maintenant car ils ont finis de découper ce qu’il restait de mon body de gym, le verdict tombe. Double fracture du fémur et léger tassement des vertèbres lombaires en bas du dos. Les deux fractures dites "complexes" de mon fémur vont devoir nécessité une intervention chirurgicale afin de repositionner l’os bien droit.

Je suis évidemment effondrée à l’annonce du verdict car je comprends rapidement que mon séjour à l’hôpital va devoir se prolonger de manière importante. On m’explique rapidement le principe de l’opération et on m’annonce que celle-ci se fera sous anesthésie générale, ce qui me rassure et m’effraie en même temps. Je me retrouve dans une chambre d’hôpital double avec un homme âgé d’une soixantaine d’années qui regarde la télé à côté de moi. Il semble qu’il vienne de subir une opération, décoiffé, chétif, l’air hagard, il ne dit pas un mot et fixe l’écran. Je suis toujours toute nue sur mon lit, les jambes au dessus des draps donc impossible pour moi de me couvrir, une fois de plus…

Je m’assoupis bercée par le son élevé de la télévision. Je suis sortis de ma somnolence par un bruit de porte assez fort. J’ouvre les yeux et je vois deux infirmières plutôt fortes, que je n’avais jamais vu avant et qui se tiennent au pied de mon lit entrain de regarder ma fiche médicale accrochée au rebord métallique du lit. Je réalise que l’une d’entre elle traîne un chariot avec différents ustensiles disposés dessus, ce qui m’étonne c’est qu’il s’agit de tondeuses pour cheveux, de rasoirs jetables rose, de mousse à raser et d’une bassine d’eau. Mal réveillée je ne comprends pas tout de suite de quoi il retourne, mais très vite j’entends une des infirmières dire d’un ton monocorde presque blasé:

"Bonsoir mademoiselle, comme vous devez subir une intervention chirurgicale demain matin pour votre jambe, nous devons vous rasez le pubis, c’est la procédure hygiénique obligatoire pour accéder au bloc opératoire."

Interloquée, je n’avais pas pensé à cette étape bien dégradante qui précède toute intervention chirurgicale. Sauf pour celles qui sont déjà épilées complètement bien sûr… C’est à ce moment que j’ai vraiment regretté de ne pas être allée chez l’esthéticienne depuis plus de 2 mois… Autant dire qu’elles allaient avoir pas mal de boulot avec ma toison… J’essayais de me rassurer en me disant "heureusement ce sont des femmes et pas des hommes , cela aurait été encore plus humiliant"

Dans un élan de survie, je fais l’effort suprême d’essayer de parler. J’arrive à chuchoter à l’une des infirmières qu’il serait mieux de faire ça dans une pièce isolée, que c’est tout de même intime etc… Ce à quoi elle m’a répondue d’un ton goguenard :
"Oh vous inquiétez pas mademoiselle on a l’habitude!"
C’est là que je décide de lui montrer du doigt mon voisin de chambre qui est juste à côté et qui va forcément tout voir.
"Aaah! C’est le petit monsieur qui vous dérange ? Désolé mademoiselle mais nous n’avons plus d’autres chambres, on est un peu débordé, il va falloir faire avec! Allez pas de chichi jeune fille! Allez Hop!"

Au même moment, on frappe à la porte. Un homme entre en blouse blanche, il porte des lunettes et semble être le médecin en chef. Il observe mon corps nu brièvement et fais un signe de main en direction de la porte restée ouverte. Là, cinq jeunes gens en blouse blanche, trois filles d’environ 20-22 ans et deux garçons du même âge, sûrement étudiants en médecine, entrent dans la chambre. Je suis médusée, je n’en reviens pas, il y a maintenant sept personnes dans la chambre, plus mon voisin sexagénaire, alors que je suis entièrement nue au dessus des draps. Et tout le monde a l’air de trouver cela parfaitement normal… J’hallucine complètement… Je reste muette devant cette scène pour le moins humiliante. Et ce n’était que le début.

Je comprends assez vite en entendant quelques brides de conversation que les étudiants doivent assister à mon rasage de pubis car il n’y rien de mieux pour l’apprentissage que la pratique.
Le médecin chef dit d’un ton monocorde et impassible:
"Approchez-vous bien, pour bien observer les gestes à faire et à ne pas faire. Comme vous pouvez le constater le sujet du jour permettra une bonne observation car son système pileux semble bien développé… Et de partout."
Ce qui décroche deux petits ricanements dans le petit groupe d’étudiants.

Je me souviens à ce moment là que comme je n’ai pas été chez l’esthéticienne depuis plus de deux mois, j’ai évidemment des poils sous les bras également. Je n’utilise jamais de rasoir, cela irrite ma peau fragile. Du coup quand je ne vais pas chez l’esthéticienne je ne me rase pas les aisselles. Donc je me demandais si ils allaient le remarquer, mais visiblement le médecin chef à des yeux de lynx, il a remarqué direct et s’est fait un malin plaisir d’en informer ses étudiants. Je suis rouge de honte sur le lit.

Contrainte et forcée, au pied du mur, je dois me résoudre à me laisser raser le pubis devant tout le monde.

L’une des infirmières fait sortir une bonne dose de mousse à raser dans la paume de sa main. Elle s’approche de moi, écarte encore un peu plus mes jambes, alors que je pensais déjà être écartelée au maximum. Elle passe d’abord ses doigts dans la toison châtain de mon pubis comme pour démêler les poils ou en apprécier l’épaisseur, je ne sais pas trop.
"Eh ben y’a du boulot jeune fille!" S’exclame l’infirmière en m’adressant un sourire narquois.

Extrêmement gênée je la regarde dans les yeux, elle me regarde avec un sourire un brin sadique et commence à m’étaler la mousse sur le pubis puis sur l’ensemble de la vulve. Grandes lèvres, petites lèvres et comme j’ai les jambes très écartées mais à plat sur le lit elle ne peut atteindre que le début de mon périnée, généreusement poilu lui aussi. Elle s’applique en faisant attention de ne pas faire entrer de mousse à l’intérieur de mon vagin qui est relativement entre ouvert du fait de ma position. Tout le long de l’opération, elle prend bien soin de s’écarter un peu afin que les étudiants puisse bien voir ma vulve désormais couverte de mousse blanche.

Très attentifs et observateurs, certains prennent même des notes avec un air sérieux. Même si un des jeunes garçons semble particulièrement gêné par la situation. Il semble de na pas trop vouloir regarder de près afin de préserver un peu mon intimité. Dans le même temps, l’infirmière termine son étalage de mousse méthodique et conclut en me donnant deux petites claques sur ma chatte crémeuse ce qui fait un bruit comme "flop,flop!" bien ridicule qui a pour effet de faire rire le médecin et un ou deux étudiants. Consternation de ma part. Je reste abasourdie par tant de familiarité et de petites humiliations infantilisantes.

L’autre infirmière ne perd pas de temps et commence à me raser le pubis centimètre par centimètre. Je réalise que cela risque de prendre un bon moment. Vu l’épaisseur de ma toison le rasage et long et fastidieux. Elle rince régulièrement le rasoir dans une bassine d’eau chaude dans laquelle flotte déjà mes premiers poils et des petits amas de mousse blanche. Elle commente:

"Vous voyez, il faut bien tirer sur les grandes lèvres afin de venir raser au plus près dans les plis de la vulve! Même si elle, n’a pas beaucoup de plis étant encore une jeunette!" Dit-elle en me souriant de toutes ses dents jaunes.

Je lève les yeux au ciel et contemple le plafond comme pour m’évader de cette situation des plus humiliante. Une fois la vulve bien lisse, après près d’une demi heure de moqueries, ricanements et autres commentaires sur ma pilosité relativement abondante pour une blonde, faisant des allusions sur un éventuel laisser-aller de ma part…etc… Je me dis que le plus dur est passé et que le plus humiliant est derrière moi. J’avais tort…

À suivre…

Les avis des lecteurs

Lorsque j'avais environ 15 ans j'ai subit aussi ce genre d'humiliation, devant d'autres élèves chirurgiens et leur professeur.
Je comprends ce que Alice endure

Histoire Libertine
Excellent, très émoustillant

Histoire Erotique
Bonjour Alice tu me mets l’eau à la bouche. Ce doit être un joli spectacle cette vulve lisse. Ta honte laisse place à ton excitation inconsciente. J’aime beaucoup. Merci.

Ah voilà le rasage dont je te parlais en commentaire sur le chapitre 1, je ne sais pas si cette histoire est vraie, mais mon commentaire sur ton chapitre précédent est authentique

Histoire Erotique
Bonsoir

Si cette histoire est vrai, je trouve cela très humiliante et dégradante pour vous

Histoire Erotique
Bonsoir

Si cette histoire est vrai, je trouve cela très humiliante et dégradante pour cette jeune fille

Histoire Erotique
J'adore, on imagine très bien la scène et l'humiliation subie. Un régal.. vite, la suite



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