Alice la gymnaste (Part.3)
Récit érotique écrit par Alice [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 10 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Alice ont reçu un total de 45 552 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2023 dans la catégorie Fétichisme
Cette histoire de sexe a été affichée 4 626 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Alice la gymnaste (Part.3)
Et là, alors que je pensais que c’était fini, que les étudiants allaient enfin pouvoir partir et arrêter de reluquer mon entre jambes. L’une des infirmières s’exclame :
"Tenez jeune homme, vous allez m’aider à retourner la patiente sur le ventre afin que l’on puisse faire le SIF! Bien madame…"
Je ne comprends pas tout de suite le terme car il y a du bruit dans la chambre, comme si je ne voulais pas l’entendre, comme un déni de réalité. Mais je fini par retrouver mes esprit et je comprends ce qu’il va se passer maintenant. Étant plus ou moins une habituée de l’esthéticienne, je sais que le SIF c’est le terme pour désigner le Sillon Inter Fessier. Je vous laisse imaginer mon désarroi à cet instant précis… En effet, l’infirmière avait évoqué un rasage de pubis au départ. Je pensais que cela suffisait, mais effectivement, aucun poil ne doit rester pour des raisons assez évidentes d’hygiène élémentaire.
On y est, l’humiliation est donc sans fin dans cet hôpital. Je me retrouve donc retournée sur le ventre par la grosse infirmière et un des jeunes étudiants. Une fois installée, tout le monde a donc une vue imprenable sur mes grosses fesses blanches et rebondies… Je sens la honte montée en moi. À ce moment, l’infirmière se rend compte que ma position ne va pas convenir et demande à une jeune étudiante d’aller chercher un de ces gros oreillers en forme triangulaire afin de me relever le bassin. Je ne comprends pas tout de suite pourquoi mais les explications de l’infirmière aux élèves finissent de me faire comprendre.
"Vous voyez, installée ainsi la jeune fille à les fesses trop resserrées pour pouvoir effectuer un bon rasage de SIF. Nous allons donc placer cet oreiller, merci Claire, sous le bassin de la patiente afin de cambrer naturellement sa posture pour un meilleur accès au SIF. Vous comprenez?"
Je me retrouve donc avec ce jeune étudiant qui me soulève au niveau du bassin pendant que l’infirmière glisse le coussin sous mes hanches. À mesure que l’étudiant soulève mon bassin, je peux sentir mon dos se cambrer au maximum et mes fesses s’écartées de plus en plus, presque jusqu’au maximum de l’écartement possible tant le coussin est haut et épais. Une fois le coussin bien en place, les deux positionneurs font quelques pas de recul comme pour contempler leur œuvre. J’entends quelques rires étouffés, mais au moins, je ne les vois plus, donc je préfère presque. Les rires ne sont pas restés étouffés longtemps, en effet, l’infirmière s’est de nouveau approché de moi, et là, attrapant mes grosses fesses blanches à deux mains, elle les écartent au maximum comme pour bien tout montrer aux étudiants et s’exclame :
"Eh bah y’a du boulot aussi de ce côté là à ce que je vois! Hein mademoiselle ? Y’a du laisser-aller là ! Hahaha !" Avant de me mettre une bonne claque sur la fesse gauche qui tremble encore un peu après la claque… (c’est là que j’ai réalisé que je devrais peut-être me remettre aux squats…plus très ferme tout ça…et cela rajoute à mon sentiment de honte.)
Les cinq jeunes gens et en particulier les filles ne peuvent se retenir et éclatent de rire de bon cœur!
Être ainsi exposée devant 8 personnes, la tête dans l’oreiller pour ne pas voir qui regarde, je sens l’air frais de la pièce parcourir ma raie de fesses totalement ouverte, aux regards de tous. Ils doivent bien voir mon anus rose entourée de poils châtains clairs presque blonds mais comme il y en a pas mal, cela doit se voir quand même beaucoup… Ils doivent aussi voir ma chatte fraîchement rasée et encore rougie par le feu du rasoir. Je suis morte de honte. J’aimerais disparaître dans un trou de souris, mais pas sûr que mes grosses fesses passent…lol
Je sens d’abord l’étalage de la mousse dans ma raie des fesses, je sens des doigts passer et repasser sur mon anus. L’étalage est plus grossier que pour la face avant, du coup de la mousse coule sur ma vulve par derrière, je la sens qui occulte l’entrée de mon vagin, avant que je ne perçoive un doigt ganté pénétrer mon vagin afin d’en sortir un surplus de mousse à raser qui s’y était logé. Choquée par la situation je n’ose pas dire un mot ni sortir la tête de mon oreiller.
La valse des rasoirs commence. Je dis bien la valse car les deux infirmières s’y mettent. Chacune d’un côté du lit, elles m’écartent chacune une fesse afin de pouvoir bien rasé chacune leur côté de ma raie. Afin de ne pas me blesser et pour mieux y voir, une des infirmières retire la mousse accumulée sur mon anus avec son doigt, ce qui doit certainement faire réapparaître mon petit trou rose, ce qui a pour effet de faire pouffer de rire l’une des filles d’après l’intonation de la voix. Je suis mortifiée. Je me laisse faire en priant pour que tout cela se termine vite. Je veux rentrer chez moi. Je suis au bout du rouleau…
Quand soudain, comble de l’humiliation, juste après avoir découvert mon anus, en m’écartant bien les fesses, l’une des infirmières lance aux étudiants :
" Ne jamais recouvrir l’anus de mousse à raser! On sait jamais si elle fait un Prout!! Ça arrive parfois ! Hahaha !" Là je craque et j’essaye de me redresser sur le lit mais l’infirmière me plaque sur le lit fermement.
"On n’a pas fini mademoiselle, alors on reste tranquille, allez allez…!" Sur un ton très infantilisant tout en me donnant une bonne claque sur la fesse droite, qui remue à son tour, sous les rires maintenant francs et sincères des étudiants qui semblent se régaler de la situation. Et je sens tout de suite mes fesses être écartées de nouveau sans ménagement, offrant une vue sûrement imprenable sur mon anus et ma vulve que je sentais ouverte également. Ça n’en finissait plus… j’en pouvais plus…
Une fois rasée, retournée, séchée et réinstallée dans ma position initiale, à savoir toute nue les jambes écartées sur mon lit, c’est un jeune médecin cette fois, d’une trentaine d’années, plutôt grand, brun et très mignon qui entre dans la chambre. Je suis tout de suite gênée car je ne l’ai jamais vu et lui non plus et il va me voir entièrement nue directement. Même si je sais que cela fait partie de son métier, ça reste très humiliant, d’autant que je suis toujours sous morphine en attendant mon opération du lendemain. Donc je n’ai toujours pas pleine capacité de mes moyens, je ne peux à peine bouger et parler est très compliqué.
Il se présente brièvement et m’explique que compte tenu de mon tassement des lombaires je vais devoir dormir d’une manière un peu particulière. En effet il m’explique que je vais dormir dans un lit spécial qui à pour particularité d’incliner la tête du patient vers la bas tout en remontant les jambes vers le haut. Attachée au niveau des chevilles, cette méthode permettrait de détendre la colonne vertébrale en décompressant les disques afin de réduire les tassements lombaire.
Je lui demande si cela va être douloureux, il me répond que non mais que la position est un peu particulière, mais que c’est juste pour une nuit donc pas d’inquiétude. Et il quitte la chambre non sans avoir vérifier que mon rasage de pubis avait bien été fait. Par chance, il ne pris pas la peine de vérifier le SIF…Merci mon dieu… J’ignorais ce qui m’attendais après…
À suivre…
"Tenez jeune homme, vous allez m’aider à retourner la patiente sur le ventre afin que l’on puisse faire le SIF! Bien madame…"
Je ne comprends pas tout de suite le terme car il y a du bruit dans la chambre, comme si je ne voulais pas l’entendre, comme un déni de réalité. Mais je fini par retrouver mes esprit et je comprends ce qu’il va se passer maintenant. Étant plus ou moins une habituée de l’esthéticienne, je sais que le SIF c’est le terme pour désigner le Sillon Inter Fessier. Je vous laisse imaginer mon désarroi à cet instant précis… En effet, l’infirmière avait évoqué un rasage de pubis au départ. Je pensais que cela suffisait, mais effectivement, aucun poil ne doit rester pour des raisons assez évidentes d’hygiène élémentaire.
On y est, l’humiliation est donc sans fin dans cet hôpital. Je me retrouve donc retournée sur le ventre par la grosse infirmière et un des jeunes étudiants. Une fois installée, tout le monde a donc une vue imprenable sur mes grosses fesses blanches et rebondies… Je sens la honte montée en moi. À ce moment, l’infirmière se rend compte que ma position ne va pas convenir et demande à une jeune étudiante d’aller chercher un de ces gros oreillers en forme triangulaire afin de me relever le bassin. Je ne comprends pas tout de suite pourquoi mais les explications de l’infirmière aux élèves finissent de me faire comprendre.
"Vous voyez, installée ainsi la jeune fille à les fesses trop resserrées pour pouvoir effectuer un bon rasage de SIF. Nous allons donc placer cet oreiller, merci Claire, sous le bassin de la patiente afin de cambrer naturellement sa posture pour un meilleur accès au SIF. Vous comprenez?"
Je me retrouve donc avec ce jeune étudiant qui me soulève au niveau du bassin pendant que l’infirmière glisse le coussin sous mes hanches. À mesure que l’étudiant soulève mon bassin, je peux sentir mon dos se cambrer au maximum et mes fesses s’écartées de plus en plus, presque jusqu’au maximum de l’écartement possible tant le coussin est haut et épais. Une fois le coussin bien en place, les deux positionneurs font quelques pas de recul comme pour contempler leur œuvre. J’entends quelques rires étouffés, mais au moins, je ne les vois plus, donc je préfère presque. Les rires ne sont pas restés étouffés longtemps, en effet, l’infirmière s’est de nouveau approché de moi, et là, attrapant mes grosses fesses blanches à deux mains, elle les écartent au maximum comme pour bien tout montrer aux étudiants et s’exclame :
"Eh bah y’a du boulot aussi de ce côté là à ce que je vois! Hein mademoiselle ? Y’a du laisser-aller là ! Hahaha !" Avant de me mettre une bonne claque sur la fesse gauche qui tremble encore un peu après la claque… (c’est là que j’ai réalisé que je devrais peut-être me remettre aux squats…plus très ferme tout ça…et cela rajoute à mon sentiment de honte.)
Les cinq jeunes gens et en particulier les filles ne peuvent se retenir et éclatent de rire de bon cœur!
Être ainsi exposée devant 8 personnes, la tête dans l’oreiller pour ne pas voir qui regarde, je sens l’air frais de la pièce parcourir ma raie de fesses totalement ouverte, aux regards de tous. Ils doivent bien voir mon anus rose entourée de poils châtains clairs presque blonds mais comme il y en a pas mal, cela doit se voir quand même beaucoup… Ils doivent aussi voir ma chatte fraîchement rasée et encore rougie par le feu du rasoir. Je suis morte de honte. J’aimerais disparaître dans un trou de souris, mais pas sûr que mes grosses fesses passent…lol
Je sens d’abord l’étalage de la mousse dans ma raie des fesses, je sens des doigts passer et repasser sur mon anus. L’étalage est plus grossier que pour la face avant, du coup de la mousse coule sur ma vulve par derrière, je la sens qui occulte l’entrée de mon vagin, avant que je ne perçoive un doigt ganté pénétrer mon vagin afin d’en sortir un surplus de mousse à raser qui s’y était logé. Choquée par la situation je n’ose pas dire un mot ni sortir la tête de mon oreiller.
La valse des rasoirs commence. Je dis bien la valse car les deux infirmières s’y mettent. Chacune d’un côté du lit, elles m’écartent chacune une fesse afin de pouvoir bien rasé chacune leur côté de ma raie. Afin de ne pas me blesser et pour mieux y voir, une des infirmières retire la mousse accumulée sur mon anus avec son doigt, ce qui doit certainement faire réapparaître mon petit trou rose, ce qui a pour effet de faire pouffer de rire l’une des filles d’après l’intonation de la voix. Je suis mortifiée. Je me laisse faire en priant pour que tout cela se termine vite. Je veux rentrer chez moi. Je suis au bout du rouleau…
Quand soudain, comble de l’humiliation, juste après avoir découvert mon anus, en m’écartant bien les fesses, l’une des infirmières lance aux étudiants :
" Ne jamais recouvrir l’anus de mousse à raser! On sait jamais si elle fait un Prout!! Ça arrive parfois ! Hahaha !" Là je craque et j’essaye de me redresser sur le lit mais l’infirmière me plaque sur le lit fermement.
"On n’a pas fini mademoiselle, alors on reste tranquille, allez allez…!" Sur un ton très infantilisant tout en me donnant une bonne claque sur la fesse droite, qui remue à son tour, sous les rires maintenant francs et sincères des étudiants qui semblent se régaler de la situation. Et je sens tout de suite mes fesses être écartées de nouveau sans ménagement, offrant une vue sûrement imprenable sur mon anus et ma vulve que je sentais ouverte également. Ça n’en finissait plus… j’en pouvais plus…
Une fois rasée, retournée, séchée et réinstallée dans ma position initiale, à savoir toute nue les jambes écartées sur mon lit, c’est un jeune médecin cette fois, d’une trentaine d’années, plutôt grand, brun et très mignon qui entre dans la chambre. Je suis tout de suite gênée car je ne l’ai jamais vu et lui non plus et il va me voir entièrement nue directement. Même si je sais que cela fait partie de son métier, ça reste très humiliant, d’autant que je suis toujours sous morphine en attendant mon opération du lendemain. Donc je n’ai toujours pas pleine capacité de mes moyens, je ne peux à peine bouger et parler est très compliqué.
Il se présente brièvement et m’explique que compte tenu de mon tassement des lombaires je vais devoir dormir d’une manière un peu particulière. En effet il m’explique que je vais dormir dans un lit spécial qui à pour particularité d’incliner la tête du patient vers la bas tout en remontant les jambes vers le haut. Attachée au niveau des chevilles, cette méthode permettrait de détendre la colonne vertébrale en décompressant les disques afin de réduire les tassements lombaire.
Je lui demande si cela va être douloureux, il me répond que non mais que la position est un peu particulière, mais que c’est juste pour une nuit donc pas d’inquiétude. Et il quitte la chambre non sans avoir vérifier que mon rasage de pubis avait bien été fait. Par chance, il ne pris pas la peine de vérifier le SIF…Merci mon dieu… J’ignorais ce qui m’attendais après…
À suivre…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Alice
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour le suspens.j’imagine la position tu fais monter mon excitation. Je compatis à ta souffrance mais la vue est certainement très agréable.
Bonjour,
Merci pour votre commentaire. Et oui la plupart des choses racontées dans ce récit me sont vraiment arrivé..! Cependant quelques détails sont imaginés pour agrémenter l’histoire..!
Alice
Merci pour votre commentaire. Et oui la plupart des choses racontées dans ce récit me sont vraiment arrivé..! Cependant quelques détails sont imaginés pour agrémenter l’histoire..!
Alice
Bonjour,
Récit très captivant. Est-il réel?
Récit très captivant. Est-il réel?