Alice la gymnaste (Part.4)
Récit érotique écrit par Alice [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2023 dans la catégorie Fétichisme
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Alice la gymnaste (Part.4)
Le soir venu, je me retrouve donc transportée dans une autre chambre où m’attend ce lit si particulier. En le voyant je reste sans réaction, même si je me rend compte que ce lit tient plus de l’instrument de torture que du bon petit nid douillet. Il est de prime abord assez évident que compte tenu de l’inclinaison du lit, aucun drap ni aucune couverture ne pourra jamais tenir une nuit entière sans glisser. La peur commence à grandir en moi.
Tout à coup le jeune médecin de tout à l’heure, plutôt mignon, entre dans la pièce, accompagné de deux infirmiers assez costauds. Je me dis tout de suite que cela n’augure rien de très bon pour moi… J’avais raison. Assez rapidement et sans m’expliquer quoique ce soit, les deux infirmiers me saisissent délicatement en attrapant le drap sur lequel j’étais allongée. Ils me soulèvent sans aucune difficulté et commencent à m’installer sur ce "lit" bizarre. En quelques secondes, je me retrouve allongée les jambes en l’air retenues par des sangles et la tête en bas quasiment au ras du sol. Dans cette position, entièrement nue, inutile de vous dire qu’il ne faut pas être très pudique. En effet mes seins pendent dans l’autre sens, vu leur volume c’est tout de même assez ridicule. Mes jambes, bien que remontées sont toujours maintenues très écartées du fait qu’elles sont attachées aux bords du lit.
J’ai le bassin clairement poussé en avant par la position, comme si je voulais montrer mon sexe le plus possible. Ce qui n’est évidemment pas le cas. Je voudrais me cacher sous trois couvertures. Mais cela n’est pas au programme visiblement. Une fois positionnée et harnachée correctement, les deux infirmiers vont déplacer le lit dans un coin de la pièce. Pour cela, vu le poids élevé du lit, ils soulèvent par petits à coups, ce qui a pour effet de faire gigoter mes gros seins laiteux qui pendent à la renverse. Très humiliant, d’autant que le beau médecin n’en rate pas une miette.
C’est à ce moment précis, sans doute à cause des secousses du lit, que j’ai ressenti une forte envie de faire pipi. Chose à laquelle je n’avais pas encore songé. Immédiatement la peur me saisie au ventre. Comment vais-je faire pour uriner maintenant que je suis dans cette position. Il faut absolument qu’ils me détachent pour que je puisse allez aux toilettes. J’étais loin d’imaginer ce qui m’attendais…
Je fais signe à un infirmier de s’approcher pour qu’il puisse comprendre mes murmures. Je lui susurre donc que j’ai envie de faire pipi et qu’il faut me détacher. Et là, j’aperçois, malgré ma position très spéciale, un grand sourire illuminé son visage osseux. Il se retourne vers le médecin et sans la moindre retenue lui dit:
"Docteur je crois que la patiente dois faire un besoin pressant!" Avec un ton un peu moqueur.
"Oh non, on vient de finir de l’attacher… On va pas tout recommencer, il est tard je n’ai pas le temps."
Je suis pétrifiée à l’idée qu’ils s’en aillent en me laissant comme ça, avec mon "besoin pressant" non satisfait. Mais j’aurais préférée finalement. Vous allez comprendre.
Sur ces mots j’aperçois le médecin se saisir d’une bassine dans la salle de bain de la chambre.
"Allez mademoiselle, on va pas faire de chichi, vous avez besoin d’uriner c’est parfaitement naturel, nous sommes des professionnels de santé, nous avons l’habitude, il n’y a aucune de honte à avoir, allez hop hop hop! Je suis déjà en retard..!)
Ne pouvant toujours pas bien parler je me dis dans ma tête qu’il doit s’agir d’une blague, que ce n’est pas possible de subir de telles humiliations dans un hôpital. Mais je me trompais.
Complètement subjuguée par la situation je n’ai d’autre choix que d’écouter les conseils du médecin qui apparemment a déjà pratiquer ce genre de chose avec d’autres patientes. À l’entendre, la méthode a l’air bien rodée.
" Alors, Arnaud vous allez vous placer entre les jambes de la patiente avec la bassine, pendant que Cédric va écarter les petites lèvres de la patiente afin de dégager le méat urinaire pour mieux diriger le jet. Comme cela fait un moment qu’elle est dans le service sans avoir pu uriner il risque d’y avoir une bonne quantité, tenez vous prêt messieurs, je ne voudrais pas que vous ayez à tout nettoyer derrière." Les deux infirmiers ricanent bêtement.
Je suis totalement morte de honte, c’est le summum de l’humiliation là… Je vais devoir pisser avec la tête en bas et les jambes écartées en l’air, dans une bassine, tenue par un homme inconnu il y a vingt minutes, et les lèvres écartées par un autre homme inconnu. Le tout, sous les yeux d’un médecin beau gosse. Je vais mourrir…
Pendant ce temps, mon envie de pisser s’est encore accentuée, je ne tiens plus. Je me dis que je ne vais pas avoir le choix. Je vais devoir pisser dans cette position dégradante et totalement impudique.
À ce moment là, le médecin s’approche de moi et commence à appuyé légèrement sur mon bas ventre, au niveau de la vessie. Ce qui a pour effet de faire sortir deux petites gouttes d’urine sur les doigts de l’infirmier qui tient ma chatte grande ouverte.
"C’est bon, elle tiens plus la petite..! Elle va se lâcher..! Haha!" Dit l’infirmier qui tenait ma vulve ouverte, comme si je n’étais pas là. Et le médecin de rajouter, tout en gardant sa main à plat sur mon bas ventre fraîchement rasé:
" Allez y mademoiselle, je sais que vous vous retenez par honte mais ne vous inquiétez pas. Ne vous retenez pas, laissez vous aller, vous devez vider votre vessie, vous n’avez pas le choix, allez..!"
Sentant le médecin s’impatienter et n’y tenant plus, je fini par lâcher un premier jet assez puissant, qui ne termine pas sa course dans la bassine évidemment, mais sur la blouse bleu de l’infirmier qui tient la bassine. Ce qui fait rie l’autre infirmier.
Ma vessie me brûle, je ne peux pas me retenir plus longtemps c’est insupportable. Je relâche mes sphincters et je sens un gros jet épais et puissant sortir de ma vulve. L’infirmier qui tient ma chatte écartée n’a pas grand chose à faire pour ajuster le jet jusqu’à la bassine. Je dois être parfaitement ridicule entrain de pisser en corolle, la tête en bas, les nichons à la renverse.
Le jet de pisse fait de gros bouillons dans la cuvette, j’ai vraiment honte de faire un aussi "gros pipi" devant ces hommes qui regardent bien avec attention.
"Elle ne s’arrête plus dis donc! Haha! Comme une vache!" Sur cette blague vaseuse, même le médecin, très sérieux jusque-là, esquisse un sourire moqueur.
Voyant le temps passer, j’aperçois le médecin regarder sa montre, et comme pour accélérer le mouvement, il entreprend d’appuyer plus fermement sur mon bas ventre, sans doute pour augmenter la puissance et le débit du jet d’urine. Effectivement c’est ce qu’il se passe. En sentant le médecin appuyer sur ma vessie je sens une pression sur ma vessie mais également sur mes intestins qui se trouvent juste en dessous. J’ai à peine le temps de réaliser qu’il appuie trop fort quand soudain un gros "PRRRROOOUUUTTT!!" Retentit dans la pièce.
Les trois hommes se regardent stupéfaits et éclatent de rire de bon cœur dans la foulée. Honte suprême… Je viens de faire un énorme pet devant eux, je n’ai pas souvenir d’avoir fait un aussi gros pet de toute ma vie. C’est évidemment aujourd’hui, dans cette position déjà très humiliante, que cela arrive. Je suis littéralement au bout de ma vie. Et les paroles du médecin vont carrément m’achever…
"Haha! Ça arrive mademoiselle, c’est rien, cela veut dire que vous êtes en bonne santé. C’est important d’évacuer les gaz mademoiselle, ça fait du bien hein? Hahaha!"
Et l’infirmier de rajouter:
"En même temps avec un pétard pareil c’était sur qu’elle lâchait des grosses caisses..! Hahaha! Logique!"
Annihilée par la honte, je terminais de faire pipi sous les rires goguenards des trois hommes. Avant que l’un d’eux ne m’essuie le sexe et l’anus (je ne sais pas pourquoi?) avec une lingette. Humiliation finale. Ou presque….
À suivre…
Tout à coup le jeune médecin de tout à l’heure, plutôt mignon, entre dans la pièce, accompagné de deux infirmiers assez costauds. Je me dis tout de suite que cela n’augure rien de très bon pour moi… J’avais raison. Assez rapidement et sans m’expliquer quoique ce soit, les deux infirmiers me saisissent délicatement en attrapant le drap sur lequel j’étais allongée. Ils me soulèvent sans aucune difficulté et commencent à m’installer sur ce "lit" bizarre. En quelques secondes, je me retrouve allongée les jambes en l’air retenues par des sangles et la tête en bas quasiment au ras du sol. Dans cette position, entièrement nue, inutile de vous dire qu’il ne faut pas être très pudique. En effet mes seins pendent dans l’autre sens, vu leur volume c’est tout de même assez ridicule. Mes jambes, bien que remontées sont toujours maintenues très écartées du fait qu’elles sont attachées aux bords du lit.
J’ai le bassin clairement poussé en avant par la position, comme si je voulais montrer mon sexe le plus possible. Ce qui n’est évidemment pas le cas. Je voudrais me cacher sous trois couvertures. Mais cela n’est pas au programme visiblement. Une fois positionnée et harnachée correctement, les deux infirmiers vont déplacer le lit dans un coin de la pièce. Pour cela, vu le poids élevé du lit, ils soulèvent par petits à coups, ce qui a pour effet de faire gigoter mes gros seins laiteux qui pendent à la renverse. Très humiliant, d’autant que le beau médecin n’en rate pas une miette.
C’est à ce moment précis, sans doute à cause des secousses du lit, que j’ai ressenti une forte envie de faire pipi. Chose à laquelle je n’avais pas encore songé. Immédiatement la peur me saisie au ventre. Comment vais-je faire pour uriner maintenant que je suis dans cette position. Il faut absolument qu’ils me détachent pour que je puisse allez aux toilettes. J’étais loin d’imaginer ce qui m’attendais…
Je fais signe à un infirmier de s’approcher pour qu’il puisse comprendre mes murmures. Je lui susurre donc que j’ai envie de faire pipi et qu’il faut me détacher. Et là, j’aperçois, malgré ma position très spéciale, un grand sourire illuminé son visage osseux. Il se retourne vers le médecin et sans la moindre retenue lui dit:
"Docteur je crois que la patiente dois faire un besoin pressant!" Avec un ton un peu moqueur.
"Oh non, on vient de finir de l’attacher… On va pas tout recommencer, il est tard je n’ai pas le temps."
Je suis pétrifiée à l’idée qu’ils s’en aillent en me laissant comme ça, avec mon "besoin pressant" non satisfait. Mais j’aurais préférée finalement. Vous allez comprendre.
Sur ces mots j’aperçois le médecin se saisir d’une bassine dans la salle de bain de la chambre.
"Allez mademoiselle, on va pas faire de chichi, vous avez besoin d’uriner c’est parfaitement naturel, nous sommes des professionnels de santé, nous avons l’habitude, il n’y a aucune de honte à avoir, allez hop hop hop! Je suis déjà en retard..!)
Ne pouvant toujours pas bien parler je me dis dans ma tête qu’il doit s’agir d’une blague, que ce n’est pas possible de subir de telles humiliations dans un hôpital. Mais je me trompais.
Complètement subjuguée par la situation je n’ai d’autre choix que d’écouter les conseils du médecin qui apparemment a déjà pratiquer ce genre de chose avec d’autres patientes. À l’entendre, la méthode a l’air bien rodée.
" Alors, Arnaud vous allez vous placer entre les jambes de la patiente avec la bassine, pendant que Cédric va écarter les petites lèvres de la patiente afin de dégager le méat urinaire pour mieux diriger le jet. Comme cela fait un moment qu’elle est dans le service sans avoir pu uriner il risque d’y avoir une bonne quantité, tenez vous prêt messieurs, je ne voudrais pas que vous ayez à tout nettoyer derrière." Les deux infirmiers ricanent bêtement.
Je suis totalement morte de honte, c’est le summum de l’humiliation là… Je vais devoir pisser avec la tête en bas et les jambes écartées en l’air, dans une bassine, tenue par un homme inconnu il y a vingt minutes, et les lèvres écartées par un autre homme inconnu. Le tout, sous les yeux d’un médecin beau gosse. Je vais mourrir…
Pendant ce temps, mon envie de pisser s’est encore accentuée, je ne tiens plus. Je me dis que je ne vais pas avoir le choix. Je vais devoir pisser dans cette position dégradante et totalement impudique.
À ce moment là, le médecin s’approche de moi et commence à appuyé légèrement sur mon bas ventre, au niveau de la vessie. Ce qui a pour effet de faire sortir deux petites gouttes d’urine sur les doigts de l’infirmier qui tient ma chatte grande ouverte.
"C’est bon, elle tiens plus la petite..! Elle va se lâcher..! Haha!" Dit l’infirmier qui tenait ma vulve ouverte, comme si je n’étais pas là. Et le médecin de rajouter, tout en gardant sa main à plat sur mon bas ventre fraîchement rasé:
" Allez y mademoiselle, je sais que vous vous retenez par honte mais ne vous inquiétez pas. Ne vous retenez pas, laissez vous aller, vous devez vider votre vessie, vous n’avez pas le choix, allez..!"
Sentant le médecin s’impatienter et n’y tenant plus, je fini par lâcher un premier jet assez puissant, qui ne termine pas sa course dans la bassine évidemment, mais sur la blouse bleu de l’infirmier qui tient la bassine. Ce qui fait rie l’autre infirmier.
Ma vessie me brûle, je ne peux pas me retenir plus longtemps c’est insupportable. Je relâche mes sphincters et je sens un gros jet épais et puissant sortir de ma vulve. L’infirmier qui tient ma chatte écartée n’a pas grand chose à faire pour ajuster le jet jusqu’à la bassine. Je dois être parfaitement ridicule entrain de pisser en corolle, la tête en bas, les nichons à la renverse.
Le jet de pisse fait de gros bouillons dans la cuvette, j’ai vraiment honte de faire un aussi "gros pipi" devant ces hommes qui regardent bien avec attention.
"Elle ne s’arrête plus dis donc! Haha! Comme une vache!" Sur cette blague vaseuse, même le médecin, très sérieux jusque-là, esquisse un sourire moqueur.
Voyant le temps passer, j’aperçois le médecin regarder sa montre, et comme pour accélérer le mouvement, il entreprend d’appuyer plus fermement sur mon bas ventre, sans doute pour augmenter la puissance et le débit du jet d’urine. Effectivement c’est ce qu’il se passe. En sentant le médecin appuyer sur ma vessie je sens une pression sur ma vessie mais également sur mes intestins qui se trouvent juste en dessous. J’ai à peine le temps de réaliser qu’il appuie trop fort quand soudain un gros "PRRRROOOUUUTTT!!" Retentit dans la pièce.
Les trois hommes se regardent stupéfaits et éclatent de rire de bon cœur dans la foulée. Honte suprême… Je viens de faire un énorme pet devant eux, je n’ai pas souvenir d’avoir fait un aussi gros pet de toute ma vie. C’est évidemment aujourd’hui, dans cette position déjà très humiliante, que cela arrive. Je suis littéralement au bout de ma vie. Et les paroles du médecin vont carrément m’achever…
"Haha! Ça arrive mademoiselle, c’est rien, cela veut dire que vous êtes en bonne santé. C’est important d’évacuer les gaz mademoiselle, ça fait du bien hein? Hahaha!"
Et l’infirmier de rajouter:
"En même temps avec un pétard pareil c’était sur qu’elle lâchait des grosses caisses..! Hahaha! Logique!"
Annihilée par la honte, je terminais de faire pipi sous les rires goguenards des trois hommes. Avant que l’un d’eux ne m’essuie le sexe et l’anus (je ne sais pas pourquoi?) avec une lingette. Humiliation finale. Ou presque….
À suivre…
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Génial ! C'est à la fois cocasse et excitant !
Cela devient excitant de te lire j’aurais bien voulu remplacer l’infirmier juste pour me rincer l’œil si je peux dire. Je me serais fait un plaisir d’essuyer cette jolie fente lisse avec la lingette sans oublier un coin mais en insistant plus sur ton clito.
Qui peut faire semblant d’être aussi offusquée (juste pour faire chier et rien de plus…) et passer sa vie à lire et à relire ce genre de récits sur ce genre de sites…??🤪🤦🏻♂️
Schizophrènie ? Bipolarité ? Masochisme?
Des solutions existent pour les vieilles dames aigries et réac’ comme vous..! 😘
Cordialement
Alice.
Schizophrènie ? Bipolarité ? Masochisme?
Des solutions existent pour les vieilles dames aigries et réac’ comme vous..! 😘
Cordialement
Alice.
Qui peut avoir des idées aussi perverses que malsaines ?..
C'est bien sûr un fantasme, mais qui cache une personne peu recommandable...
C'est bien sûr un fantasme, mais qui cache une personne peu recommandable...