Alice la gymnaste (Part.7)
Récit érotique écrit par Alice [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2023 dans la catégorie Fétichisme
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Alice la gymnaste (Part.7)
Je n’ai vraiment pas eu à pousser beaucoup pour que le "spectacle" commence… Toujours sous les yeux attentifs et impatients du médecin chef du service, de son jeune assistant et bien sûr de l’infirmière qui me tient la bassine pour y faire mes besoins. La porte de la chambre étant bien sûr restée ouverte, toute personne qui passe dans le couloir peut profiter de toute la scène. Et vu l’heure, il y a pas mal de passage… Je suis complètement médusée, mais à ce moment là, le besoin de me soulager prend clairement le dessus.
Comment vous décrire précisément ce sentiment de gêne inédit et cette honte profonde qui m’envahit… Difficile d’y mettre des mots tant je me sens humiliée et scrutée sous toutes les coutures… Je n’ai jamais du "faire caca", toute nue, dans cette position ridicule, devant quelqu’un. Étant très pudique sur ces choses là, et encore moins devant trois personnes inconnues… Je suis toute rouge, je sens bien que je commence à transpirer au niveau du front et des aisselles… Moi qui transpire assez rarement et en faible quantité… La gêne et le stress sûrement…
À mesure que je pousse pour faire sortir le contenu de mon intestin grêle, qui semble plutôt gros et long d’après la sensation de soulagement que je ressent dans mon ventre, j’aperçois un sourire s’afficher de plus en plus sur le visage du médecin, qui semble trouver très satisfaisant d’assister à la "naissance" de cette volumineuse déjection.
Une des choses que je redoutais le plus finie par arriver, le médecin se met à commenter…
"Voilà ! Très bien mademoiselle, vous voyez ça sort tout seul..!! C’est bien..! Voilà..! Poussez bien comme ça..! La dilatation annale se voit bien là…! Continuez..! On sent bien que vous en aviez envie… Ça se voit surtout..!! Haha! Waw!! Eh ben dis donc jeune fille! La grosse commission porte très bien son nom aujourd’hui..! C’est qu’elle nous a fait un bon gros colombin la petite princesse..! Hahaha!" Lance-t-il à l’infirmière avec un ton infantilisant et très moqueur. Je suis choquée par tant d’humiliations volontaires.
Ma deuxième principale appréhension ne se fit pas attendre. En effet, à peine le gros étron déposé dans la bassine, qu’une puissante et désagréable odeur d’excrément caractéristique commence à remplir la pièce. L’infirmière ne semble pas trop y prêter attention, tandis que l’assistant du médecin, lui, semble plus incommodé par la vision et surtout par l’odeur. Elle s’adresse à moi très calmement, avec sa voix toujours très douce.
"Allez-y mademoiselle, n’hésitez pas, poussez encore plus fort..! Tant qu’on y est, autant bien tout vider, que je ne sois pas obligée de revenir avec la bassine dans une heure…Hein? Allez..!"
Sur ces paroles presque chuchotées, je m’aperçois que mes douleurs intestinales ne ce sont pas entièrement dissipées. Je me dis qu’il faut que je fasse comme me le conseille l’infirmière. Pousser encore un peu plus fort… Mon visage rougit à force de pousser.
À ce moment précis, le médecin chef décroise les bras et s’approche de moi ou plutôt de mes grosses fesses largement exposées. Il saisit ma fesse droite assez nonchalamment avec une main et l’écarte au maximum comme pour mieux observer mon anus en pleine action.
"Allez-y jeune fille, il faut que ça sorte maintenant..! Allez on pousse fort..!" Dit-il en me plaçant son autre main sur le bas ventre, comme pour masser mes intestins encore pleins de caca.
"Voilà poussez bien fort mademoiselle, n’ayez pas peur, cela va vous faire du bien..!" Et ce qui devait arriver arriva…Logiquement…
"PRRRROOOOUUUUTTTT…!!" Un gros pet très sonore résonne dans la cuvette en plastique, qui vient accompagner la sortie d’une deuxième salve de plus petits étrons presque non moulés cette fois. Je suis totalement morte de honte… Cet homme mûre que je n’avais jamais vu il y a dix minutes, vient de tenir mes fesses bien écartées pendant que je faisais caca… Juste sous ses yeux… et sous son nez.
Une chose aussi, que j’ai trouvée extrêmement gênante, c’est que personne ne fait le moindre commentaire ou ne rigole à ce moment là..! C’est encore plus gênant et humiliant qu’un rire franc et moqueur, qui a au moins le mérite de détendre un peu l’atmosphère… Ce silence est vraiment pesant et encore plus humiliant finalement.
L’infirmière me demande :
"C’est bon? C’est fini mademoiselle?"
Et le médecin de lui répondre à ma place :
"Je suis sûr que non moi..! Je sens encore des choses là dedans..!" Dit-il d’un air amusé par la situation, tout en continuant d’appuyer sur différents endroits précis de mon bas ventre.
Je suis contrainte d’acquiescer en disant à l’infirmière qu’effectivement je ressens encore des douleurs intestinales… Le médecin chef avait raison… Malheureusement. Cela le fait sourire mais il semble juste content d’avoir su répondre avant moi.
Au même moment, le médecin appuie plus fort sur un point névralgique bien précis, à gauche de mon pubis, et là je sens comme une déferlante dans mes boyaux, que je ne peux évidemment pas contenir très longtemps. Je pousse encore et entend comme un bruit de jet puissant et dru heurter le fond de la cuvette. Je comprends à cet instant qu’il n’y a manifestement plus rien de solide dans mon ventre.
"Oula! Attention mademoiselle, elle va en mettre partout là..! Remontez un peu la bassine devant l’anus sil vous plaît !" S’exclame le médecin en s’adressant à l’infirmière qui tient toujours la bassine.
Celle-ci s’exécute sans dire un mot et je termine donc de pousser tout ce qu’il reste au fond de mes entrailles dans cette bassine. Le tout accompagné de quelques petits pets ridicules et autres bruits caractéristiques peu ragoûtants.
Je suis à 10/10 sur l’échelle de la honte… Ou presque…
"Et bien voilà jeune fille! C’était pas si horrible vous voyez..!? Et ça fait du bien non?? On se sent plus légère maintenant..? Haha! Vu comme la bassine est remplie, il y avait urgence là..! Haha! C’est très bien en tout cas, vous n’avez pas rechigné et avez bien écouté les consignes..! Et hop! C’est sortit tout seul! Vous voyez? C’était pas sorcier..!" Je baisse les yeux et ne réponds pas.
L’infirmière se dirige vers la salle de bain avec la cuvette, sûrement pour vider son contenu dans les toilettes.
Pendant ce temps, toujours dans ma position accroupie tout en étant allongée sur le côté, le jeune assistant du médecin s’approche de mes fesses. Et comme le médecin continu a les écarter depuis un bon moment, le jeune homme à queue de cheval n’a aucun mal à littéralement me torcher avec une lingette, puis une deuxième, puis une troisième… Comme si j’étais un bébé… Il passe et repasse dans l’ensemble de ma raie des fesses et même plus, car il commence à chaque fois par essuyer ma vulve et continu jusqu’à mon anus, consciencieusement et très lentement. L’humiliation est totale. Une fois qu’il ma bien essuyé, le médecin fait le tour du lit pour être de nouveau face à mes fesses rondes, il les écartent avec ses deux mains, bien au maximum, comme pour vérifier si tout est bien essuyé.
"Et voilà! Une jeune fille avec les fesses toutes propres!" Avant de me claquer la fesse droite, ce qui la fait remuer un peu… Je meurs…
"Vous donnerez 20mg d’Imodium par jour à la patiente s’il vous plaît ? Je n’ai pas envie que cela soit le geyser tous les jours..! Haha!"
Avant d’ajouter sans même me regarder :
"Hein mademoiselle ? Je passerai vérifier tous les jours si vos selles sont moulés ou non. C’est important, comme vous risquez de rester avec nous encore une bonne quinzaine… Il faudra surveiller cela..!" Avec un ton très sérieux pour une fois, comme pour me faire comprendre que je n’aurai pas le choix.
Je prends conscience que ces situations humiliantes et gênantes vont forcément devoir se répéter plusieurs fois car mon hospitalisation se prolonge encore pendant quinze jours… Je suis aux bords des larmes, partagée entre l’effroi et une sorte de jouissance victimaire. Je n’avais jamais ressenti cela auparavant…
À suivre…
Comment vous décrire précisément ce sentiment de gêne inédit et cette honte profonde qui m’envahit… Difficile d’y mettre des mots tant je me sens humiliée et scrutée sous toutes les coutures… Je n’ai jamais du "faire caca", toute nue, dans cette position ridicule, devant quelqu’un. Étant très pudique sur ces choses là, et encore moins devant trois personnes inconnues… Je suis toute rouge, je sens bien que je commence à transpirer au niveau du front et des aisselles… Moi qui transpire assez rarement et en faible quantité… La gêne et le stress sûrement…
À mesure que je pousse pour faire sortir le contenu de mon intestin grêle, qui semble plutôt gros et long d’après la sensation de soulagement que je ressent dans mon ventre, j’aperçois un sourire s’afficher de plus en plus sur le visage du médecin, qui semble trouver très satisfaisant d’assister à la "naissance" de cette volumineuse déjection.
Une des choses que je redoutais le plus finie par arriver, le médecin se met à commenter…
"Voilà ! Très bien mademoiselle, vous voyez ça sort tout seul..!! C’est bien..! Voilà..! Poussez bien comme ça..! La dilatation annale se voit bien là…! Continuez..! On sent bien que vous en aviez envie… Ça se voit surtout..!! Haha! Waw!! Eh ben dis donc jeune fille! La grosse commission porte très bien son nom aujourd’hui..! C’est qu’elle nous a fait un bon gros colombin la petite princesse..! Hahaha!" Lance-t-il à l’infirmière avec un ton infantilisant et très moqueur. Je suis choquée par tant d’humiliations volontaires.
Ma deuxième principale appréhension ne se fit pas attendre. En effet, à peine le gros étron déposé dans la bassine, qu’une puissante et désagréable odeur d’excrément caractéristique commence à remplir la pièce. L’infirmière ne semble pas trop y prêter attention, tandis que l’assistant du médecin, lui, semble plus incommodé par la vision et surtout par l’odeur. Elle s’adresse à moi très calmement, avec sa voix toujours très douce.
"Allez-y mademoiselle, n’hésitez pas, poussez encore plus fort..! Tant qu’on y est, autant bien tout vider, que je ne sois pas obligée de revenir avec la bassine dans une heure…Hein? Allez..!"
Sur ces paroles presque chuchotées, je m’aperçois que mes douleurs intestinales ne ce sont pas entièrement dissipées. Je me dis qu’il faut que je fasse comme me le conseille l’infirmière. Pousser encore un peu plus fort… Mon visage rougit à force de pousser.
À ce moment précis, le médecin chef décroise les bras et s’approche de moi ou plutôt de mes grosses fesses largement exposées. Il saisit ma fesse droite assez nonchalamment avec une main et l’écarte au maximum comme pour mieux observer mon anus en pleine action.
"Allez-y jeune fille, il faut que ça sorte maintenant..! Allez on pousse fort..!" Dit-il en me plaçant son autre main sur le bas ventre, comme pour masser mes intestins encore pleins de caca.
"Voilà poussez bien fort mademoiselle, n’ayez pas peur, cela va vous faire du bien..!" Et ce qui devait arriver arriva…Logiquement…
"PRRRROOOOUUUUTTTT…!!" Un gros pet très sonore résonne dans la cuvette en plastique, qui vient accompagner la sortie d’une deuxième salve de plus petits étrons presque non moulés cette fois. Je suis totalement morte de honte… Cet homme mûre que je n’avais jamais vu il y a dix minutes, vient de tenir mes fesses bien écartées pendant que je faisais caca… Juste sous ses yeux… et sous son nez.
Une chose aussi, que j’ai trouvée extrêmement gênante, c’est que personne ne fait le moindre commentaire ou ne rigole à ce moment là..! C’est encore plus gênant et humiliant qu’un rire franc et moqueur, qui a au moins le mérite de détendre un peu l’atmosphère… Ce silence est vraiment pesant et encore plus humiliant finalement.
L’infirmière me demande :
"C’est bon? C’est fini mademoiselle?"
Et le médecin de lui répondre à ma place :
"Je suis sûr que non moi..! Je sens encore des choses là dedans..!" Dit-il d’un air amusé par la situation, tout en continuant d’appuyer sur différents endroits précis de mon bas ventre.
Je suis contrainte d’acquiescer en disant à l’infirmière qu’effectivement je ressens encore des douleurs intestinales… Le médecin chef avait raison… Malheureusement. Cela le fait sourire mais il semble juste content d’avoir su répondre avant moi.
Au même moment, le médecin appuie plus fort sur un point névralgique bien précis, à gauche de mon pubis, et là je sens comme une déferlante dans mes boyaux, que je ne peux évidemment pas contenir très longtemps. Je pousse encore et entend comme un bruit de jet puissant et dru heurter le fond de la cuvette. Je comprends à cet instant qu’il n’y a manifestement plus rien de solide dans mon ventre.
"Oula! Attention mademoiselle, elle va en mettre partout là..! Remontez un peu la bassine devant l’anus sil vous plaît !" S’exclame le médecin en s’adressant à l’infirmière qui tient toujours la bassine.
Celle-ci s’exécute sans dire un mot et je termine donc de pousser tout ce qu’il reste au fond de mes entrailles dans cette bassine. Le tout accompagné de quelques petits pets ridicules et autres bruits caractéristiques peu ragoûtants.
Je suis à 10/10 sur l’échelle de la honte… Ou presque…
"Et bien voilà jeune fille! C’était pas si horrible vous voyez..!? Et ça fait du bien non?? On se sent plus légère maintenant..? Haha! Vu comme la bassine est remplie, il y avait urgence là..! Haha! C’est très bien en tout cas, vous n’avez pas rechigné et avez bien écouté les consignes..! Et hop! C’est sortit tout seul! Vous voyez? C’était pas sorcier..!" Je baisse les yeux et ne réponds pas.
L’infirmière se dirige vers la salle de bain avec la cuvette, sûrement pour vider son contenu dans les toilettes.
Pendant ce temps, toujours dans ma position accroupie tout en étant allongée sur le côté, le jeune assistant du médecin s’approche de mes fesses. Et comme le médecin continu a les écarter depuis un bon moment, le jeune homme à queue de cheval n’a aucun mal à littéralement me torcher avec une lingette, puis une deuxième, puis une troisième… Comme si j’étais un bébé… Il passe et repasse dans l’ensemble de ma raie des fesses et même plus, car il commence à chaque fois par essuyer ma vulve et continu jusqu’à mon anus, consciencieusement et très lentement. L’humiliation est totale. Une fois qu’il ma bien essuyé, le médecin fait le tour du lit pour être de nouveau face à mes fesses rondes, il les écartent avec ses deux mains, bien au maximum, comme pour vérifier si tout est bien essuyé.
"Et voilà! Une jeune fille avec les fesses toutes propres!" Avant de me claquer la fesse droite, ce qui la fait remuer un peu… Je meurs…
"Vous donnerez 20mg d’Imodium par jour à la patiente s’il vous plaît ? Je n’ai pas envie que cela soit le geyser tous les jours..! Haha!"
Avant d’ajouter sans même me regarder :
"Hein mademoiselle ? Je passerai vérifier tous les jours si vos selles sont moulés ou non. C’est important, comme vous risquez de rester avec nous encore une bonne quinzaine… Il faudra surveiller cela..!" Avec un ton très sérieux pour une fois, comme pour me faire comprendre que je n’aurai pas le choix.
Je prends conscience que ces situations humiliantes et gênantes vont forcément devoir se répéter plusieurs fois car mon hospitalisation se prolonge encore pendant quinze jours… Je suis aux bords des larmes, partagée entre l’effroi et une sorte de jouissance victimaire. Je n’avais jamais ressenti cela auparavant…
À suivre…
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Me voilà à mon tour partagé entre la jouissance, celle du lecteur, et l'effroi, au cas où Alice aurait décidé d'en rester là. Je resterais volontiers hospitalisé 15 jours de plus.
Derrière la farce, il y a malgré tout un vrai coup de gueule, d'autant plus éloquent qu'il y a plein d'humour. J'adore vous lire, mademoiselle. Merci !
Belle histoire en attendant la suite!!
Il y a des situations bien difficiles à supporter surtout si le personnel médical ne prête aucune considération au ressenti des patients. Mais dis moi quand es tu sorti de cet hôpital. As tu recommencé le sport. Merci pour cette lecture que je pressentais plus sexy.
Effectivement pas d'uro, mais bien détaillée sur cette triste histoire de caca.
Il n'y a pas d'uro, pisse dans cette histoire.
Le pire c’est ce que votre récit pourrait être réel j’ai vu des faits similaires à l’hôpital.