Alice - le chapelier fou
Récit érotique écrit par Svetlana1980 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-08-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Alice - le chapelier fou
Alice ne s’était pas trompée : une table de pique-nique est dressée dans l’herbe, entourée de quelques chaises. Un homme en haut-de-forme gesticule en courant autour de la table, imité par deux autres congénères. L’homme au chapeau l’aperçoit : “Hé, venez donc prendre le thé avec nous !”. Alice s’approche de la table. L’homme tire galamment une chaise à son intention, et la fait asseoir, pendant que les autres continuent leur sarabande en la dévisageant d’un air vicieux.
« J’aime mon thé avec un nuage de lait, pas vous ? » N’apercevant pas de lait sur la table, Alice se dit qu’elle va devoir se remettre au travail, comme avec la statue. Elle cherche des doigts la braguette de l’homme et déboutonne son pantalon.
« Non non ma jolie ! Je ne suis pas de marbre moi, mais j’ai d’autres envies... » Il se dirige vers une grosse boîte à chapeau posée par terre, l’ouvre et en sort une machine étrange, composée de deux sortes de tubes translucides reliés par des tuyaux à une bouteille en plastique. « Qu’est-ce que c’est que cet attirail ? » se dit-elle.
Le chapelier se rapproche d’elle, et ouvre le haut de sa robe, découvrant ses seins généreux. Alice aime qu’on la complimente sur sa poitrine, elle est consciente que c’est un de ses meilleurs atouts. Elle se laisse donc faire, titillée par la curiosité, et l’envie. L’homme saisit un de ses seins à pleines mains, et fixe un des tubes au mamelon ; il procède de la même manière pour l’autre. Alice comprend alors : il veut la traire, comme une vulgaire vache laitière ! Alice refuse d’être traitée ainsi : elle est une héroïne de conte après tout, pas un jouet sexuel pour fantasmes avilissants ! Elle s’empare d’un tube, le dégage de son téton (ça fait un plop ! comme une ventouse sur une vitre) et se relève brutalement, prête à en découdre avec le chapelier s’il le faut. Mais les deux comparses se sont rapprochés d’elle et l’empoignent sans douceur, pour la rasseoir de force. « Hihihi, tu n’es pas la reine ici ma grande ! Tu as accepté de boire le thé avec nous, maintenant il faut être une convive docile et soumise... » lui dit l’homme au chapeau d’un air goguenard. Il replace le tube alors que les deux autres maintiennent fermement Alice ; elle a beau se démener, pas moyen d’échapper à leur poigne ! Le dos plaqué au dossier de sa chaise, elle regarde l’homme vérifier les tuyaux et actionner sa machine.
L’air se vide dans les tubes et elle sent ses mamelons aspirés, elle les voit se déformer au travers des parois de verre. Elle sait qu’elle aura des cercles rouges marqués sur la peau après cet exercice. La machine aspire, aspire, et elle sent quelque chose se produire : du lait sort de ses seins et passe dans les tuyaux ! Le chapelier chante et danse, la bosse de son pantalon trahit son enthousiasme. « Laissez donc un peu de mou à cette demoiselle, messieurs, qu’on s’amuse un peu ! » Les deux autres relâchent la pression et laissent Alice se relever. Ils lui font faire le tour de la chaise, se placer derrière celle-ci et la font se pencher par-dessus le dossier. « Penchez-la un peu plus en avant… parfait, on ne bouge plus ! » Le chapelier prend position derrière elle, lui caresse la croupe, passe un doigt sur son anus. Il lui donne une claque sur les fesses. « Y a de quoi s’amuser, ça c’est sûr ! Tenez-la bien vous autres ! » Alice entend le bruit de la fermeture éclair de sa braguette, et sent sa bite contre son cul. « Un peu de thé peut-être ? » dit-il en lui vidant une demi-tasse de thé tiède sur les fesses. « Voilà qui devrait suffire ! » et il presse son sexe contre l’anus d’Alice. Il se tient aux montants de la chaise et force le passage, sur quelques centimètres seulement. Alice pousse un petit cri, mais il se retire tout de suite… pour rentrer à nouveau, plus brutalement et profondément cette fois. Bloquée contre la chaise et maintenue de force par les deux hommes, Alice ne peut pas se dégager. Elle subit les assauts répétés, encore et encore. Heureusement, l’excitation du chapelier était particulièrement intense, et il ne tarde pas à jouir. « Prends ça, salope ! » Elle sent un liquide visqueux lui remplir le trou, mais elle est soulagée que ça s’arrête. Enfin, c’est fini ! Elle se redresse un peu… « Tu comptes aller où là ? L’hospitalité chez moi, c’est très important. Ne crois pas que je vais frustrer mes amis de ton joli petit derrière ! Viens par là toi ! » dit-il à l’un des deux hommes, en échangeant sa place avec lui. « A ton tour ! » L’autre ne se fait pas prier, et plonge dans la croupe offerte devant lui. Cette fois Alice ne crie pas : son anus est bien lubrifié par le sperme du chapelier, et le sexe de l’homme est moins imposant. Il est plus hésitant aussi, il marque de timides va-et-vient en la tenant par les épaules.
Elle sent toujours ses tétons aspirés par la machine, elle est tiraillée de toutes part. Elle doit admettre en même temps que ce n’est pas désagréable, la retenue-même de l’homme l’excite. De plus, elle est plutôt fière de voir que la bouteille s’est remplie presque au tiers d’un lait venu de ses propres seins ! Le troisième homme se saisit alors d’un des toasts présentés sur la table, en adressant un regard complice à son comparse. Alice sent que l’homme derrière elle reprend de plus belle, et au bout d’un moment se raidit. Il éjacule et se retire avant la fin, juste à temps pour tartiner le toast d’une petite flaque de sperme. On lui porte le toast à la bouche, elle comprend facilement ce qu’on attend d’elle ; c’est un jeu qu’elle connaît bien. Elle saisit de ses dents la tartine, et la déguste calmement en fixant l’homme dans les yeux. Celui-ci se masturbe joyeusement, et est visiblement satisfait de sa soumission, il lui caresse la tête, puis attrape ses cheveux et lui envoie son sperme au visage.
Alice sent qu’on la relâche et s’écroule à terre, épuisée. Le chapelier arrête alors la machine, la détache de ses seins endoloris. Il l’aide même à se rhabiller, et l’installe sur une chaise.
« Rien de tel qu’un nuage de lait bien frais dans un darjeeling ! Ma chère, puis-je me permettre de vous servir ? »
« J’aime mon thé avec un nuage de lait, pas vous ? » N’apercevant pas de lait sur la table, Alice se dit qu’elle va devoir se remettre au travail, comme avec la statue. Elle cherche des doigts la braguette de l’homme et déboutonne son pantalon.
« Non non ma jolie ! Je ne suis pas de marbre moi, mais j’ai d’autres envies... » Il se dirige vers une grosse boîte à chapeau posée par terre, l’ouvre et en sort une machine étrange, composée de deux sortes de tubes translucides reliés par des tuyaux à une bouteille en plastique. « Qu’est-ce que c’est que cet attirail ? » se dit-elle.
Le chapelier se rapproche d’elle, et ouvre le haut de sa robe, découvrant ses seins généreux. Alice aime qu’on la complimente sur sa poitrine, elle est consciente que c’est un de ses meilleurs atouts. Elle se laisse donc faire, titillée par la curiosité, et l’envie. L’homme saisit un de ses seins à pleines mains, et fixe un des tubes au mamelon ; il procède de la même manière pour l’autre. Alice comprend alors : il veut la traire, comme une vulgaire vache laitière ! Alice refuse d’être traitée ainsi : elle est une héroïne de conte après tout, pas un jouet sexuel pour fantasmes avilissants ! Elle s’empare d’un tube, le dégage de son téton (ça fait un plop ! comme une ventouse sur une vitre) et se relève brutalement, prête à en découdre avec le chapelier s’il le faut. Mais les deux comparses se sont rapprochés d’elle et l’empoignent sans douceur, pour la rasseoir de force. « Hihihi, tu n’es pas la reine ici ma grande ! Tu as accepté de boire le thé avec nous, maintenant il faut être une convive docile et soumise... » lui dit l’homme au chapeau d’un air goguenard. Il replace le tube alors que les deux autres maintiennent fermement Alice ; elle a beau se démener, pas moyen d’échapper à leur poigne ! Le dos plaqué au dossier de sa chaise, elle regarde l’homme vérifier les tuyaux et actionner sa machine.
L’air se vide dans les tubes et elle sent ses mamelons aspirés, elle les voit se déformer au travers des parois de verre. Elle sait qu’elle aura des cercles rouges marqués sur la peau après cet exercice. La machine aspire, aspire, et elle sent quelque chose se produire : du lait sort de ses seins et passe dans les tuyaux ! Le chapelier chante et danse, la bosse de son pantalon trahit son enthousiasme. « Laissez donc un peu de mou à cette demoiselle, messieurs, qu’on s’amuse un peu ! » Les deux autres relâchent la pression et laissent Alice se relever. Ils lui font faire le tour de la chaise, se placer derrière celle-ci et la font se pencher par-dessus le dossier. « Penchez-la un peu plus en avant… parfait, on ne bouge plus ! » Le chapelier prend position derrière elle, lui caresse la croupe, passe un doigt sur son anus. Il lui donne une claque sur les fesses. « Y a de quoi s’amuser, ça c’est sûr ! Tenez-la bien vous autres ! » Alice entend le bruit de la fermeture éclair de sa braguette, et sent sa bite contre son cul. « Un peu de thé peut-être ? » dit-il en lui vidant une demi-tasse de thé tiède sur les fesses. « Voilà qui devrait suffire ! » et il presse son sexe contre l’anus d’Alice. Il se tient aux montants de la chaise et force le passage, sur quelques centimètres seulement. Alice pousse un petit cri, mais il se retire tout de suite… pour rentrer à nouveau, plus brutalement et profondément cette fois. Bloquée contre la chaise et maintenue de force par les deux hommes, Alice ne peut pas se dégager. Elle subit les assauts répétés, encore et encore. Heureusement, l’excitation du chapelier était particulièrement intense, et il ne tarde pas à jouir. « Prends ça, salope ! » Elle sent un liquide visqueux lui remplir le trou, mais elle est soulagée que ça s’arrête. Enfin, c’est fini ! Elle se redresse un peu… « Tu comptes aller où là ? L’hospitalité chez moi, c’est très important. Ne crois pas que je vais frustrer mes amis de ton joli petit derrière ! Viens par là toi ! » dit-il à l’un des deux hommes, en échangeant sa place avec lui. « A ton tour ! » L’autre ne se fait pas prier, et plonge dans la croupe offerte devant lui. Cette fois Alice ne crie pas : son anus est bien lubrifié par le sperme du chapelier, et le sexe de l’homme est moins imposant. Il est plus hésitant aussi, il marque de timides va-et-vient en la tenant par les épaules.
Elle sent toujours ses tétons aspirés par la machine, elle est tiraillée de toutes part. Elle doit admettre en même temps que ce n’est pas désagréable, la retenue-même de l’homme l’excite. De plus, elle est plutôt fière de voir que la bouteille s’est remplie presque au tiers d’un lait venu de ses propres seins ! Le troisième homme se saisit alors d’un des toasts présentés sur la table, en adressant un regard complice à son comparse. Alice sent que l’homme derrière elle reprend de plus belle, et au bout d’un moment se raidit. Il éjacule et se retire avant la fin, juste à temps pour tartiner le toast d’une petite flaque de sperme. On lui porte le toast à la bouche, elle comprend facilement ce qu’on attend d’elle ; c’est un jeu qu’elle connaît bien. Elle saisit de ses dents la tartine, et la déguste calmement en fixant l’homme dans les yeux. Celui-ci se masturbe joyeusement, et est visiblement satisfait de sa soumission, il lui caresse la tête, puis attrape ses cheveux et lui envoie son sperme au visage.
Alice sent qu’on la relâche et s’écroule à terre, épuisée. Le chapelier arrête alors la machine, la détache de ses seins endoloris. Il l’aide même à se rhabiller, et l’installe sur une chaise.
« Rien de tel qu’un nuage de lait bien frais dans un darjeeling ! Ma chère, puis-je me permettre de vous servir ? »
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