ALICIA Chapitre 2 (Séance chez l'esthéticienne)
Récit érotique écrit par Monsieur Pat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-07-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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ALICIA Chapitre 2 (Séance chez l'esthéticienne)
Avant de partir, Hazi-Maendal m’offrit un plug anal comme elle l’avait promis, mais il était nettement plus gros que le premier. Elle m’appela pour le mettre directement à sa place, c'est-à-dire entre mes fesses. Après la pénétration que je venais de subir, il entra facilement sans me faire mal.
- Tu le garderas 24 heures sur 24. Me prévint-elle. Seule Alicia pourra te le retirer quand elle le désirera.
Et à Alicia, elle offrit un double gode ceinture. Une partie intérieure qui pénétrerait Alicia, et une autre d’assez belle taille à l’extérieur « pour le plaisir de ton chéri » expliqua t-elle.
- Je reviendrai samedi prochain. Annonça Hazi-Maendal en nous quittant.
Elle s’adressa à Alicia :
-Tu lui prendras un rendez-vous samedi matin chez Mina mon esthéticienne.
Puis à moi :
- Lorsque tu seras à son salon, tu diras que tu viens de ma
Part, pour une épilation n° 3 spéciale. A bientôt.
Alicia me prit un rendez-vous pour le samedi à 11heures.
Lorsque je me présentai, ce fut une très belle femme, dans le même style qu’ Hazi-Maendal, qui m’accueillit dans son salon de beauté. Très accueillante elle me demanda ce que je désirais. Lorsque je lui annonçai que je venais de la part de la photographe, et pour quelle prestation, son attitude envers moi changea instantanément.
- Suis-moi. Annonça-t’elle en adoptant un tutoiement qu’elle n’avait pas osé jusqu’à présent.
Nous n’allâmes pas loin, juste la première pièce à côté de la réception.
- Déshabilles-toi entièrement, il y a des crochets là-bas pour mettre tes vêtements.
Je pensais avoir un peu d’intimité pour me dévêtir, mais Mina resta là à me contempler pendant que je retirais mes effets. Une fois nu, j’essayai de cacher mon intimité, elle m’arrêta immédiatement :
- Pour une épilation, ce n’est pas le moment de faire le timide, mets tes mains dans ton dos, et suis-moi. M’ordonna-t-elle.
En traversant son établissement, je pus apercevoir plusieurs salons dont aucun n’avait de porte. Presque tous étaient occupés par des femmes installées pour divers soins : épilation, massage ou encore séance d’U.V.
Arrivé dans la pièce tout à l’extrémité, elle me désigna une table genre table de massage, avec des étriers comme chez un gynécologue.
- Installe-toi. Me dit-elle. Mets bien tes pieds dans les étriers.
Je me doutais un peu du genre d’épilation qui m’attendait, mais comme je n’avais jamais été chez une esthéticienne, cela me parut normal.
Une fois en place, elle m’expliqua :
- C’est un peu désagréable, aussi je vais t’attacher pour éviter que tu ne remues, et pour que Hazi-Maendal soit contente du résultat.
Mes pieds furent les premiers à être attachés, puis elle fixa mon bassin à l’aide d’une sangle assez large. Lorsqu’elle eut remonté mes mains au dessus de ma tête, elle les ligota ensemble sur la table. Pour finir, elle passa une cordelette assez serrée autour de mon cou, qu’elle noua également sur la table.
Cela me parut trop de précautions, ce n’était pas une séance de torture tout de même. Harnaché comme je l’étais, je ne pouvais pas remuer, d’autant que si je voulais me relever, la cordelette me couperait la respiration. Je ne voyais pas son utilité.
Une fois son travail de ligature effectué, elle m’annonça :
-Je reviens tout de suite.
A peine sortie de la salle, je l’entendis annoncer à ses clientes :
- Mesdames, j’ai un jeune homme pour une épilation intégrale. Vous pouvez venir voir, d’autant que j’aurai certainement besoin de quelques assistantes.
Cinq minutes plus tard, une quinzaine de femmes étaient face à moi à me regarder, qui avec un sourire amusé, qui avec un œil excité. Presque toutes étaient habillées d’un peignoir, certaines, les plus jeunes, d’un même modèle assez court sans ceinture et sans rien en dessous, laissant apparaître une partie de leur nudité, je suppose que c’étaient des employées. Pour les autres, peignoirs chics et bien fermés, il y avait de tout, quelques femmes très belles, mais une majorité ne me semblait guère excitante. Seules deux filles plutôt jeunes étaient entièrement nues, pas mal faites d’ailleurs, mais qui étaient presque collées l’une contre l’autre.
Pour ma part j’étais très très mal à l’aise d’être ainsi exposé à la vue de toute. Je comprends maintenant toutes les précautions prises par Madame Mina pour m’attacher. D’autant qu’à présent, cette dernière avait appuyé sur un bouton, et que les étriers s’étaient écartés comme par magie. Toute mon anatomie sexuelle s’offrait maintenant au regard de ces voyeuses.
La maîtresse de maison commença par jauger mes attributs, en les soulevant, en les caressant ou en tirant dessus. Elle ne se privait pas de faire toutes sortes de commentaires sur les organes reproducteurs des mâles, pas vraiment flatteurs pour nous.
Avant de commencer, elle prit plusieurs photos de moi, en invitant sa clientèle qui le désirait à poser à mes côtés.
- Je vous les enverrai par mail, cela vous fera un souvenir. Précisa-t-elle.
Toutes acceptèrent avec joie, les plus hardies n’hésitant pas à laisser traîner leurs mains sur mon corps.
De voir toutes femmes presque nues aurait pu m’exciter, mais dans le cas présent, ce n’était pas du tout le cas.
Seulement après cette séance de photos, elle retira le plug offert par Hazi-Maendal, qui avait conseillé à Alicia de me le mettre le matin même. Jusqu’à maintenant, elle n’avait fait aucun commentaire à ce sujet, mais à présent, elle ne se gêna pas :
- Vous voyez mesdames, ce bijou à la particularité de convenir aussi bien aux garçons qu’aux filles. Offrez en un à vos chéris, cela va peut-être leur plaire, comme à ce jeune homme.
Des rires fusèrent de tous côtés.
Madame Mina commença ensuite son travail, en essayant de se mettre de côté, pour bien laisser la vue libre pour les autres. Les premières coulées de cire chaude faillirent m’arracher un cri de douleur, mais Madame Mina avait été très explicite :
- Si j’entends le moindre son sortir de ta bouche, je te mets un bâillon.
Je me résolu donc à souffrir en silence. Madame Mina enduisit toutes les parties de mon service trois pièces, avec cette cire devenue à présent moins chaude. Elle la retira ensuite sans aucune précaution, peut-être même en faisant exprès de me faire mal. A chaque fois, je sursautais en faisant une grimace.
- Regardez-moi cette chochotte qui ne supporte pas trois fois rien de souffrance. Dit-elle à ses amies en riant. Maintenant il saura ce que nous subissons, afin de plaire.
Pendant cette première partie, j’avais observé toutes les femmes. Aucune ne me regardait dans les yeux, leurs regards n’allaient pas plus haut que la ceinture, et elles n’en perdaient pas une miette. Seules les deux filles nues qui s’étaient un peu reculées, regardaient le spectacle entre deux baisers, ou entre deux caresses.
Lorsque Madame Mina eut presque terminé, elle ajouta de nouveau un peu de cire à quelques endroits, pour parfaire son travail. Ensuite elle frotta toutes les parties avec un lait démaquillant pour retirer les résidus de cire.
- Il ne me reste plus qu’un petit coin pour terminer. Ajouta-t-elle en appuyant de nouveau sur le même bouton.
Les étriers se remirent en mouvement, vers le haut cette fois. L’instant d’après j’étais les fesses en l’air, bien écartées, et exposant franchement mon petit trou.
De nouveaux rires résonnèrent dans la pièce.
- C’est le morceau que je préfère. Prévint l’esthéticienne en rigolant tout autant.
- Mais il faut bien le protéger. Dit-elle encore en approchant un vibro masseur.
Après l’avoir lubrifié avec un gel, elle me l’enfonça sans précaution dans le fondement.
D’être exposé les fesses en l’air n’avait rien de réjouissant, mais en plus avec ce gadget enfoncé, j’étais on ne peut plus mal à l’aise.
-Il me faudrait une assistante pour le maintenir, pendant que je mettrai la cire.
Plusieurs clientes se proposèrent instantanément. Madame Mina en choisi une, peut-être la plus ancienne, en tout cas pas la plus jolie.
Tout en versant la cire, elle précisa à son adjointe, qu’elle devait un peu le faire tourner, pour que la cire n’y adhère pas. Celle-ci ne se le fit pas dire deux fois, et fit pivoter le vibro dans tous les sens.
- Vous pouvez même le faire aller et venir, si vous préférez.
L’assistante semblait n’attendre que cela, et commença à lui faire faire des vas et vients.
Lorsqu’elle eut terminé et nettoyé le surplus de cire, elle laissa encore un moment sa cliente s’amuser avec le gadget, puis elle le récupéra.
Malgré l’embarras de la situation, je sentis mon bas-ventre commencer à s’échauffer, et mon sexe prendre un peu de consistance.
- Regardez. Dit l’esthéticienne. Ce petit vicieux aime ça.
Tous les regards se tournèrent à présent vers mon sexe qui prenait de plus en plus de volume.
- Pour terminer, il faut bien passer partout de l’huile parfumée pour calmer la douleur. Une de vous veut-elle s’en occuper.
La encore les volontaires furent nombreuses, et une des femmes les plus jolie fut désignée.
Madame Mina fit couler l’huile sur mon service trois pièces, et la nouvelle collaboratrice commença son travail.
Elle prenait son travail à cœur, et me caressait doucement. C’était un vrai plaisir par rapport à ce que je venais de subir.
Mais le plaisir ne dura guère longtemps, la patronne intervint de nouveau.
- J’ai dit : « bien passer partout ».
Et elle fit de nouveau couler de l’huile, mais cette fois directement entre mes fesses. L’adjointe, la récupéra et l’étendit sur mes fesses. Madame Mina en fit de nouveau couler au même endroit. Cette fois l’assistante, la fit pénétrer directement dans mon petit trou, en y plongeant timidement un doigt bien enduit d’huile.
- Il faut bien faire pénétrer le produit, si l’on veut que cela soit efficace. Insista Madame Mina. Avec plusieurs doigts. Précisa-t-elle.
Cette fois la belle dame se libéra de ses tabous devant les autres femmes, et m’enfonça un deuxième, puis un troisième doigt. Elle les fit ensuite aller et venir, comme la précédente avec le vibro.
Lorsqu’elle jugea que c’était assez, l’esthéticienne fit cesser sa cliente, mais lui présenta un vibro masseur encore plus gros que le précédent.
- Vous allez lui mettre celui là maintenant, et ensuite on fera une nouvelle série de photos. Vous pourrez en profiter pour constater comme il est bien doux à présent.
Bien préparé pars ses doigts, le gadget entra facilement, sans me causer de nouvelle douleur.
Une à une les clients se placèrent à côté de moi pour une photo finale. Cette fois, elles n’étaient plus timides, et à chaque photo, j’avais droit à une main qui me massait délicatement, ou qui me masturbait franchement de temps de la photo.
A l’issue de la séance photos, mon érection était de plus en plus forte, Madame Mina eut pitié de moi.
- Il y a peut-être une volontaire pour soulager le pauvre malheureux de cette protubérance qui semble le faire souffrir.
Une femme assez grosse fut la seule à se rapprocher de moi. Elle prit immédiatement mon sexe en main et l’agita frénétiquement. Bien que cette dernière ne fût pas du tout bandante, je me libérai rapidement en ayant failli m’étrangler avec la cordelette.
Madame Mina eut une dernière critique à mon égard.
- Voyez moi ce petit cochon qui a tout sali. Tu vas nettoyer tout cela.
Et joignant le geste à la parole, elle essuya les traces de mon plaisir avec ses doigts, qu’elle présenta ensuite à ma bouche. Je n’eus pas d’autre choix que de m’exécuter, et de tout avaler.
Après avoir retiré le vibro, et remis mon plug à sa place, elle s’adressa à ses clientes :
- Voilà mesdames, vous pouvez aller reprendre vos soins. J’espère que ce petit intermède vous plu, c’est offert par la maison.
Offert par bibi surtout, cela ne lui a pas coûté cher à la patronne.
Après avoir raccompagné ses clientes vers leurs salons, elle me libéra enfin.
- Tu es un petit gars bien, je ne te ferai pas payer cette séance, mais en contrepartie, tu viendras tous les samedis à la même heure. Mes clientes ont bien apprécié, et aimeraient beaucoup te revoir. Je m’arrangerai avec Hazi-Maendal.
Je ne voyais pas ce que Hazi-Maendal venait faire là dedans.
En repartant vers l’entrée pour récupérer mes vêtements, je jetai un œil dans les salons privés. Les conversations allaient bon train, je me doutais bien du sujet de leurs discussions. J’eus également la surprise de voir dans deux salons, les employées entièrement nues, la tête plongée entre les cuisses de leurs clientes. Le spectacle avait du les échauffées, et à priori on pratiquait toutes sortes de soins du corps dans cet établissement.
Avant de partir, Madame Mina me tendit un DVD :
- C’est le film de ton épilation, tu le donneras à Hazi-Maendal. Elle pourra voir comme tu as été coopératif.
Hazi-Maendal, Hazi-Maendal, il n’y en avait que pour elle.
J’appris par la suite ce qu’était une épilation n° 3 Spéciale. « Numéro 3 » pour épilation intégrale, et « spéciale » pour tour le reste : exhibition forcée devant les clientes, et avec leur participation, engodage et masturbation avec nettoyage. En fait spécial, signifiait spécial pour les soumis, ce que sans le savoir j’étais devenu.
Si ce récit vous a plu, j’attends vos réactions sur azkinato@hotmail.fr
- Tu le garderas 24 heures sur 24. Me prévint-elle. Seule Alicia pourra te le retirer quand elle le désirera.
Et à Alicia, elle offrit un double gode ceinture. Une partie intérieure qui pénétrerait Alicia, et une autre d’assez belle taille à l’extérieur « pour le plaisir de ton chéri » expliqua t-elle.
- Je reviendrai samedi prochain. Annonça Hazi-Maendal en nous quittant.
Elle s’adressa à Alicia :
-Tu lui prendras un rendez-vous samedi matin chez Mina mon esthéticienne.
Puis à moi :
- Lorsque tu seras à son salon, tu diras que tu viens de ma
Part, pour une épilation n° 3 spéciale. A bientôt.
Alicia me prit un rendez-vous pour le samedi à 11heures.
Lorsque je me présentai, ce fut une très belle femme, dans le même style qu’ Hazi-Maendal, qui m’accueillit dans son salon de beauté. Très accueillante elle me demanda ce que je désirais. Lorsque je lui annonçai que je venais de la part de la photographe, et pour quelle prestation, son attitude envers moi changea instantanément.
- Suis-moi. Annonça-t’elle en adoptant un tutoiement qu’elle n’avait pas osé jusqu’à présent.
Nous n’allâmes pas loin, juste la première pièce à côté de la réception.
- Déshabilles-toi entièrement, il y a des crochets là-bas pour mettre tes vêtements.
Je pensais avoir un peu d’intimité pour me dévêtir, mais Mina resta là à me contempler pendant que je retirais mes effets. Une fois nu, j’essayai de cacher mon intimité, elle m’arrêta immédiatement :
- Pour une épilation, ce n’est pas le moment de faire le timide, mets tes mains dans ton dos, et suis-moi. M’ordonna-t-elle.
En traversant son établissement, je pus apercevoir plusieurs salons dont aucun n’avait de porte. Presque tous étaient occupés par des femmes installées pour divers soins : épilation, massage ou encore séance d’U.V.
Arrivé dans la pièce tout à l’extrémité, elle me désigna une table genre table de massage, avec des étriers comme chez un gynécologue.
- Installe-toi. Me dit-elle. Mets bien tes pieds dans les étriers.
Je me doutais un peu du genre d’épilation qui m’attendait, mais comme je n’avais jamais été chez une esthéticienne, cela me parut normal.
Une fois en place, elle m’expliqua :
- C’est un peu désagréable, aussi je vais t’attacher pour éviter que tu ne remues, et pour que Hazi-Maendal soit contente du résultat.
Mes pieds furent les premiers à être attachés, puis elle fixa mon bassin à l’aide d’une sangle assez large. Lorsqu’elle eut remonté mes mains au dessus de ma tête, elle les ligota ensemble sur la table. Pour finir, elle passa une cordelette assez serrée autour de mon cou, qu’elle noua également sur la table.
Cela me parut trop de précautions, ce n’était pas une séance de torture tout de même. Harnaché comme je l’étais, je ne pouvais pas remuer, d’autant que si je voulais me relever, la cordelette me couperait la respiration. Je ne voyais pas son utilité.
Une fois son travail de ligature effectué, elle m’annonça :
-Je reviens tout de suite.
A peine sortie de la salle, je l’entendis annoncer à ses clientes :
- Mesdames, j’ai un jeune homme pour une épilation intégrale. Vous pouvez venir voir, d’autant que j’aurai certainement besoin de quelques assistantes.
Cinq minutes plus tard, une quinzaine de femmes étaient face à moi à me regarder, qui avec un sourire amusé, qui avec un œil excité. Presque toutes étaient habillées d’un peignoir, certaines, les plus jeunes, d’un même modèle assez court sans ceinture et sans rien en dessous, laissant apparaître une partie de leur nudité, je suppose que c’étaient des employées. Pour les autres, peignoirs chics et bien fermés, il y avait de tout, quelques femmes très belles, mais une majorité ne me semblait guère excitante. Seules deux filles plutôt jeunes étaient entièrement nues, pas mal faites d’ailleurs, mais qui étaient presque collées l’une contre l’autre.
Pour ma part j’étais très très mal à l’aise d’être ainsi exposé à la vue de toute. Je comprends maintenant toutes les précautions prises par Madame Mina pour m’attacher. D’autant qu’à présent, cette dernière avait appuyé sur un bouton, et que les étriers s’étaient écartés comme par magie. Toute mon anatomie sexuelle s’offrait maintenant au regard de ces voyeuses.
La maîtresse de maison commença par jauger mes attributs, en les soulevant, en les caressant ou en tirant dessus. Elle ne se privait pas de faire toutes sortes de commentaires sur les organes reproducteurs des mâles, pas vraiment flatteurs pour nous.
Avant de commencer, elle prit plusieurs photos de moi, en invitant sa clientèle qui le désirait à poser à mes côtés.
- Je vous les enverrai par mail, cela vous fera un souvenir. Précisa-t-elle.
Toutes acceptèrent avec joie, les plus hardies n’hésitant pas à laisser traîner leurs mains sur mon corps.
De voir toutes femmes presque nues aurait pu m’exciter, mais dans le cas présent, ce n’était pas du tout le cas.
Seulement après cette séance de photos, elle retira le plug offert par Hazi-Maendal, qui avait conseillé à Alicia de me le mettre le matin même. Jusqu’à maintenant, elle n’avait fait aucun commentaire à ce sujet, mais à présent, elle ne se gêna pas :
- Vous voyez mesdames, ce bijou à la particularité de convenir aussi bien aux garçons qu’aux filles. Offrez en un à vos chéris, cela va peut-être leur plaire, comme à ce jeune homme.
Des rires fusèrent de tous côtés.
Madame Mina commença ensuite son travail, en essayant de se mettre de côté, pour bien laisser la vue libre pour les autres. Les premières coulées de cire chaude faillirent m’arracher un cri de douleur, mais Madame Mina avait été très explicite :
- Si j’entends le moindre son sortir de ta bouche, je te mets un bâillon.
Je me résolu donc à souffrir en silence. Madame Mina enduisit toutes les parties de mon service trois pièces, avec cette cire devenue à présent moins chaude. Elle la retira ensuite sans aucune précaution, peut-être même en faisant exprès de me faire mal. A chaque fois, je sursautais en faisant une grimace.
- Regardez-moi cette chochotte qui ne supporte pas trois fois rien de souffrance. Dit-elle à ses amies en riant. Maintenant il saura ce que nous subissons, afin de plaire.
Pendant cette première partie, j’avais observé toutes les femmes. Aucune ne me regardait dans les yeux, leurs regards n’allaient pas plus haut que la ceinture, et elles n’en perdaient pas une miette. Seules les deux filles nues qui s’étaient un peu reculées, regardaient le spectacle entre deux baisers, ou entre deux caresses.
Lorsque Madame Mina eut presque terminé, elle ajouta de nouveau un peu de cire à quelques endroits, pour parfaire son travail. Ensuite elle frotta toutes les parties avec un lait démaquillant pour retirer les résidus de cire.
- Il ne me reste plus qu’un petit coin pour terminer. Ajouta-t-elle en appuyant de nouveau sur le même bouton.
Les étriers se remirent en mouvement, vers le haut cette fois. L’instant d’après j’étais les fesses en l’air, bien écartées, et exposant franchement mon petit trou.
De nouveaux rires résonnèrent dans la pièce.
- C’est le morceau que je préfère. Prévint l’esthéticienne en rigolant tout autant.
- Mais il faut bien le protéger. Dit-elle encore en approchant un vibro masseur.
Après l’avoir lubrifié avec un gel, elle me l’enfonça sans précaution dans le fondement.
D’être exposé les fesses en l’air n’avait rien de réjouissant, mais en plus avec ce gadget enfoncé, j’étais on ne peut plus mal à l’aise.
-Il me faudrait une assistante pour le maintenir, pendant que je mettrai la cire.
Plusieurs clientes se proposèrent instantanément. Madame Mina en choisi une, peut-être la plus ancienne, en tout cas pas la plus jolie.
Tout en versant la cire, elle précisa à son adjointe, qu’elle devait un peu le faire tourner, pour que la cire n’y adhère pas. Celle-ci ne se le fit pas dire deux fois, et fit pivoter le vibro dans tous les sens.
- Vous pouvez même le faire aller et venir, si vous préférez.
L’assistante semblait n’attendre que cela, et commença à lui faire faire des vas et vients.
Lorsqu’elle eut terminé et nettoyé le surplus de cire, elle laissa encore un moment sa cliente s’amuser avec le gadget, puis elle le récupéra.
Malgré l’embarras de la situation, je sentis mon bas-ventre commencer à s’échauffer, et mon sexe prendre un peu de consistance.
- Regardez. Dit l’esthéticienne. Ce petit vicieux aime ça.
Tous les regards se tournèrent à présent vers mon sexe qui prenait de plus en plus de volume.
- Pour terminer, il faut bien passer partout de l’huile parfumée pour calmer la douleur. Une de vous veut-elle s’en occuper.
La encore les volontaires furent nombreuses, et une des femmes les plus jolie fut désignée.
Madame Mina fit couler l’huile sur mon service trois pièces, et la nouvelle collaboratrice commença son travail.
Elle prenait son travail à cœur, et me caressait doucement. C’était un vrai plaisir par rapport à ce que je venais de subir.
Mais le plaisir ne dura guère longtemps, la patronne intervint de nouveau.
- J’ai dit : « bien passer partout ».
Et elle fit de nouveau couler de l’huile, mais cette fois directement entre mes fesses. L’adjointe, la récupéra et l’étendit sur mes fesses. Madame Mina en fit de nouveau couler au même endroit. Cette fois l’assistante, la fit pénétrer directement dans mon petit trou, en y plongeant timidement un doigt bien enduit d’huile.
- Il faut bien faire pénétrer le produit, si l’on veut que cela soit efficace. Insista Madame Mina. Avec plusieurs doigts. Précisa-t-elle.
Cette fois la belle dame se libéra de ses tabous devant les autres femmes, et m’enfonça un deuxième, puis un troisième doigt. Elle les fit ensuite aller et venir, comme la précédente avec le vibro.
Lorsqu’elle jugea que c’était assez, l’esthéticienne fit cesser sa cliente, mais lui présenta un vibro masseur encore plus gros que le précédent.
- Vous allez lui mettre celui là maintenant, et ensuite on fera une nouvelle série de photos. Vous pourrez en profiter pour constater comme il est bien doux à présent.
Bien préparé pars ses doigts, le gadget entra facilement, sans me causer de nouvelle douleur.
Une à une les clients se placèrent à côté de moi pour une photo finale. Cette fois, elles n’étaient plus timides, et à chaque photo, j’avais droit à une main qui me massait délicatement, ou qui me masturbait franchement de temps de la photo.
A l’issue de la séance photos, mon érection était de plus en plus forte, Madame Mina eut pitié de moi.
- Il y a peut-être une volontaire pour soulager le pauvre malheureux de cette protubérance qui semble le faire souffrir.
Une femme assez grosse fut la seule à se rapprocher de moi. Elle prit immédiatement mon sexe en main et l’agita frénétiquement. Bien que cette dernière ne fût pas du tout bandante, je me libérai rapidement en ayant failli m’étrangler avec la cordelette.
Madame Mina eut une dernière critique à mon égard.
- Voyez moi ce petit cochon qui a tout sali. Tu vas nettoyer tout cela.
Et joignant le geste à la parole, elle essuya les traces de mon plaisir avec ses doigts, qu’elle présenta ensuite à ma bouche. Je n’eus pas d’autre choix que de m’exécuter, et de tout avaler.
Après avoir retiré le vibro, et remis mon plug à sa place, elle s’adressa à ses clientes :
- Voilà mesdames, vous pouvez aller reprendre vos soins. J’espère que ce petit intermède vous plu, c’est offert par la maison.
Offert par bibi surtout, cela ne lui a pas coûté cher à la patronne.
Après avoir raccompagné ses clientes vers leurs salons, elle me libéra enfin.
- Tu es un petit gars bien, je ne te ferai pas payer cette séance, mais en contrepartie, tu viendras tous les samedis à la même heure. Mes clientes ont bien apprécié, et aimeraient beaucoup te revoir. Je m’arrangerai avec Hazi-Maendal.
Je ne voyais pas ce que Hazi-Maendal venait faire là dedans.
En repartant vers l’entrée pour récupérer mes vêtements, je jetai un œil dans les salons privés. Les conversations allaient bon train, je me doutais bien du sujet de leurs discussions. J’eus également la surprise de voir dans deux salons, les employées entièrement nues, la tête plongée entre les cuisses de leurs clientes. Le spectacle avait du les échauffées, et à priori on pratiquait toutes sortes de soins du corps dans cet établissement.
Avant de partir, Madame Mina me tendit un DVD :
- C’est le film de ton épilation, tu le donneras à Hazi-Maendal. Elle pourra voir comme tu as été coopératif.
Hazi-Maendal, Hazi-Maendal, il n’y en avait que pour elle.
J’appris par la suite ce qu’était une épilation n° 3 Spéciale. « Numéro 3 » pour épilation intégrale, et « spéciale » pour tour le reste : exhibition forcée devant les clientes, et avec leur participation, engodage et masturbation avec nettoyage. En fait spécial, signifiait spécial pour les soumis, ce que sans le savoir j’étais devenu.
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