Aline et Odette

- Par l'auteur HDS Fabriss34 -
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Récit libertin : Aline et Odette Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
Aline et Odette
Il y a quelques années, j’étais surveillante dans un dortoir de filles de 16 à 18 ans.
Ce genre d’établissement n’existe malheureusement plus. Mon rôle consistait à veiller
à la bonne tenue des élèves pendant la nuit, certains hésitaient pas à coucher à deux
ou plus avant de s’endormir pour se faire des câlins. Si en début d’année scolaire je
veillais au grain, vers la mi trimestre je commençais moi aussi à avoir des envies.
J’attendais à peu près une demi heure pour laisser les élèves s’endormir avant de me
déshabiller, me poser sur le lit, et me caresser. Au paravent j’avais eu le temps de
remettre dans son lit toujours la même fille amatrice de chair féminine. J’avais de
fantasmes qui portaient justement sur elle. J’avais vu assez de son corps presque nu
quand elle retournait sur son lit. Qu’elle se branle m’excitait toujours un peu,
qu’elles le fassent à plusieurs je ne pouvais pas l’accepter
Je rêvais d’avoir Aline près de moi, sa poitrine contre la mienne, son pubs contre le
mien et surtout nos langues mélangées dans les bouches. Je savais qu’elle aussi se
masturbais le soir, j’avais pu voir son drap bouger par sa main fixée vers sa chatte.
Je me servait souvent de mon gode pour me le mettre au derrière. Je le bloquait contre
le drap du dessous pour qu’il ne sorte pas, ma main droite caresser le reste de ma
chatte. Je changeais souvent d’endroit, même si mon plaisir principal venait du
clitoris et de mon cul.
Je faisais toujours attention de ne pas gémir ni de crier en ayant un orgasme, sinon
j’aurais alerté toutes les filles qui pour certaines n’étaient pas si sottes pour
comprendre la signification des gémissements.
Pourtant un soir l’inévitable arrive. Vers 23 heures, je me lève à l’improviste sur
une idée de voir ce qui se passe dans le dortoir. Aline est sur son lit, nue, elle se
masturbe sans bruit. Je vois ans la pénombre qu’elle a les yeux fermés. Elle prend
comme il faut son plaisir: je regarde de plus près, ses jambes sont grandes ouvertes,
ses deux mains y sont occupées. Si je vois une main, la droite caresser son clito, je
ne vois pas où est l’autre, dans son vagin, dans son cul, allez savoir. De légers
soupirs montrent qu’elle aime se qu’elle se fait.
Je fais ce que je ne devrais jamais faire: je me penche sur elle pour l’embrasser.
Toujours dans son plaisir elle ouvre sa bouche pour recevoir ma langue. Je l’embrasse
un long moment: je suis trempée je voudrais lui faire l’amour. Soudain elle revient
dans la réalité: elle a jouit certainement. Son sursaut ne provient pas tellement du
baiser, mais des caresses sur les seins que je fais en même temps. Pour qu’elle ne
réveille pas les autres, je lui pose ma main sur la bouche. Je murmure mon ordre,
- Prends ta chemise de nuit et suis moi dans la chambre.
Elle obéît sans pouvoir dire un mot. Chez moi elle remarque le gode dont je venais de
me servir. Du coup je dois lui paraître plus accessible. Elle pose son vêtement sur le
dos de ma chaise. Je la fait assoir au bord du lit, je quitte ma robe de chambre sous
laquelle je suis totalement nue, sauf ma toison intime. Je reprends sa bouche: cette
fois le baiser est encore plus poussé, c’est surtout elle qui vient dans ma bouche,
qui le lèche les lèvres.
Aline est encore plus sensuelle que je le croyais. Et elle a à peine 18 ans.
- Tu sais, je ne suis pas vierge depuis longtemps.
- Raconte pour voir, moi je me suis faite dépuceler vers 15 ans.
- C’était pour mon anniversaire. Ma mère avait organisé une petite fête en invitant
presque toute ma classe, avec bien sur le garçon que je préférait qui m’avait embrassé
le premier. Nous étions fin juin, il faisait chaud, nous sommes allés nous baigner
dans notre piscine. Ma mère ne nous surveillait pas, alors il m’a entrainer sous un
arbre, m’a embrassé longuement, a mis sa main sous ma robe, je l’ai laissé faire. Il a
posé sa main sur mon sexe qui mouillait. J’avais envie qu’il aille plus loin: il m’a
masturbé, c’était bon, j’ai jouis. Alors j’ai forcé pour sortir sa queue et quand il
l’a eu dehors, il est venu sur moi, gentiment il l’a entré dans mon ventre. Il m’a
fait un peu mal quand il est entré. Ensuite quand il jouissait au fond de mon ventre
j’ai joui. C’était très bon, depuis j’aime jouir.
- Maintenant tu as envie ?
- Avec vous, oui. Je ne l’ai jamais fait complètement avec une autre fille, à chaque
fois vous veniez.
- Je vais te montrer comment bien jouir avec une autre femme.
Je l’ai fait mettre au bord du lit, les jambes bien écartées. Je l’ai branlée
lentement pendant qu’elle gémissait. Elle a eu trois orgasmes. Nous nous sommes encore
embrassées longuement. Cette fois c’est moi qui léchait ses lèvres. Elle me caressait
la poitrine que j’avais à peine plus grosse que la sienne.
Je me suis tournée pour avoir ma bouche très près de sa chatte mouillée. Je n’ai pas
eu besoin de lui expliquer le suite; elle s’est bien allongée sur le dos, je suis
venue sur elle. J’ai léché son ventre pour aller jusqu’à sa chatte. Mon Dieu qu’elle
sentait bon et quel gout de jeune femme elle avait. J’ai léché le haut de sa chatte,
j’écartais ses lèvres intimes, je faisait sortir le clitoris. Quand j’ai enjambé sa
tête elle m’a rendu presque de suite la caresse. Nous avons joui toutes le deux
presque ensemble, elle la première. Je sentais avec plaisir ses cuisses contre mon
visage, je suppose qu’elle devait ressentir la même chose que moi. Aline ne m’a jamais
stoppé quand je suis allé sur son anus. Au contraire elle me disait des mots qui
m’excitaient:
- Oui, lèches moi le con, lèches moi le cul. Mets tes doigts dans le con et le cul,
j’aime bien ça. Putain, que c’est bon. Je vais te rendre tout ce que tu me fais
salope. Encules moi.
- Je n’ai pas de bite pour te sodomiser.
- Si tu as un gode, encule moi avec.
Je n’ai qu’à tendre le bras pour me saisir de ce gode. J’arrête le 69 pour lui mettre
deux doigts dans le vagin. Je les fait aller et venir. Quand elle me semble assez
mouillée, je lui prend de sa cyprine que l’étale sur son cul. Le gode entre
facilement. J’en suis étonnée. Elle a du se faire mettre par ce trou plus souvent que
je le croyais.
Comment imaginer qu’une fille de son âge soit si dévergondée. Au fond je ne demande
pas mieux: elle se taira sur notre relation.
J’alterne les coups de godes et des doigts: Elle accompagne mes mouvements. Aline ne
tarde pas à se tendre comme un arc, la tête bloquée sur l’oreiller et les talons
contre le drap. Elle mort ses doigts dans sa bouche pour ne pas hurler son plaisir.
Pour la soulager et moi aussi, je pose ma chatte sur sa bouche. Elle ne fait pas dans
le détails, elle lèche partout tout ce qu’elle trouve et elle en trouve de petits
coins sensibles, même sur l’anus où elle n’hésite pas à entrer sa langue durcie.
Nous nous endormons serrées. Heureusement que le réveil sonne plus tôt pour moi: elle
remet sa chemise de nuit pour rejoindre son lit. Le lendemain la journée est calme;
elle ne fait aucun geste, elle m’ignore totalement.
Par contre le soir, Aline attend un bon moment avant de revenir chez moi. J’ai décidé
de lui faine connaitre un autre plaisir que seules les filles qui aiment les filles
pratiquent quelque fois. Nous sommes allongées en début d’opérations, nous écartons
les jambes assez pour que nos boutons se touchent. Nous nous redressons presque
assises pour que nos clitoris glissent l’un sur l’autre. Nous jouissons plusieurs fois
sexe à sexe. Elle adore: pour me remercier elle me lèche encore les lèvres.
Elle tient quand même à faire un 69. Elle aime mon gout qui l’excite. Elle adore que
je l’encule en même temps. Moi, je dois attendre qu’elle veuille me sodomiser. Je me
masturbe toujours pendant cette pénétration. Elle me lèche toujours les lèvres: ça
m’excite toujours.
Pour les vacances Aline me demande de venir chez elle. Je n’ose pas trop faire ce
qu’elle voudrait. Pourtant dès le premier soir elle vient dans ma chambre pour baiser
à nouveau. Elle ne peut se passer de moi, même si elle a converti une de ses copines.
Il nous arrive de nous trouver à trois. Sa copine, Odette, mon autre amante est aussi
dépravée qu’elle. Plus par certains aspects. Elle se branle souvent devant nous avec
une serviette de toilette qu’elle entre dans sa chatte presque en entier. Ainsi son
clitoris, son vagin et son cul profitent des même mouvements qu‘ellle fait à deux
mains pour être bien remplie. Sa tête va dans tous les sens, elle gémit fortement, et
pousse comme un cri de souris en jouissant.
Elle me propose de me baiser avec sa serviette. Je suis à la recherche de nouvelles
façons de jouir, aussi je ne me dérobe pas. Je suis bien entourée avec Odette qui me
caresse en me branlant à sa façon et me caressant les fesses pendant qu’Aline
s’occupe de ma bouche en la léchant. Mon orgasme est des plus puissants que je n’ai
jamais connu. Quand elle sort la serviette, je sens comme un grand vide dans mon
ventre. C’était bien meilleur que le gode.
Mais les deux amies n’ont pas fini: pendant que je me remets de l’extraordinaire
jouissance, elles se pelotent pour finir dans un baiser digne d’Hollywood qui fini par
de lent léchage sur tout le corps pou finir sur le clitoris. Le 69 qui suit est des
plus jouissif. Sans pudeur aucune, elles lèchent toute la fente de l’autre pour
s’attarder sur l’anus. Si Aline entre sa langue, Odette met directement deux doigts
dans le cul bien offert d’Aline.
J’ai à nouveau envie des deux jeunes femmes. J’attends quand même qu’elles jouissent
pour leur proposer de nous sucer à trois. L’installation est difficile, sucer une
fille est facile, se faire sucer aussi, mais là, être sucer par une qui est sucée par
celle que je suce est compliqué. Nous y arrivons quand même. Nous pouvons même nous
caresser les cuisses et les culs.
Un soir, Odette emmène avec elle son cousin. Il doit avoir une trentaine d’années. Il
se propose pour nous baiser toutes les trois à la file. Nous agissons comme des filles
qui n’ont pas joui depuis longtemps.
Nous le mettons nu; il bande bien avec sa bite hors norme, longue et grosse. Je me
précipite sur elle: elle doit être bonne pour une fellation. Je le couche sur le lit.
Je l’enjambe en lui donnant ma chatte. Il sait quoi y faire. Il me lèche mieux que les
filles, mon anus n’est pas léché, alors que je le voulais. Il passe un seul doigt dans
le cul. Il le fait aller et venir: j’en jouis rapidement.
J’ai sa bite dans la bouche, je lèche son gland lentement tellement je le trouve bon
avec un arrière gout d’urine. Je frotte son bout dans ma bouche, contre mes joues. Il
grossit toujours. C’est meilleur qu’un esquimau glacé. Je sens qu’il ne va pas tarder
à jeter son venin. Je continue de plus belle.
Les autres se sont attaquées à sa poitrine en lui léchant les seins et bien sur la
bouche. Nous arrivons à le faire arriver au point dont on ne revient jamais: il sa
lâche dans ma bouche. C’est un véritable flot de sperme qui vient: j’ai de la peine à
le conserver tout. Quand ma bouche le laisse je remarque qu’il ne débande pas. Je
déguste lentement le sperme quand les deux autre veulent le gouter. Je les embrasse
toutes les deux sur la bouche en leur donnant leur part.
Maintenant commence la baise avec une bite dure qui reste toujours bandée. Il commence
pas Aline qu’il met en levrette: il veut son cul. C’est logique elle est attirée par
la sodomie. Avec Odette, nous lui donnons tout ce que nous pouvons comme cyprine sur
le cul. Nous en profitons pour caresser sa chatte. Avant qu’elle se fasse mettre,
Odette est sous elle en 69. Je prend aussi le con d’Odette pour le lécher. Maintenant
c’est au tour du mâle de l’enculer. Je ne peux pas voir l’introduction de la pine.
Aline commence une chanson de gemissements qui s’achève longtemps après qu’elle ai
fini de se faire mettre. Elle s’écroule après je ne sais combien d’orgasme.
Ce cousin est utile pour nous baiser comme nous voulons. Après Aline, il s’attaque à
sa cousine qui pourtant le connait bien pour avoir baiser souvent avec lui. Elle a une
particularité, en se faisant baiser, son vagin a la capacité de se fermer pour être
plus étroite. c‘est idéal pour un homme quand il la baise. Cette fois je me venge en
lui mettant deux doigts dans le cul. Je le sens résister un instant pour finir par
une capitulation. Mes deux doigts vont et viennent sans problème: j’accentue son
plaisir. Quand le couple se tourne qu’Odette est sur lui, j’ai du abandonner l’anus
masculin. Par contre je gagne encore plus quand il me fait signe de venir poser mon
sexe sur sa bouche. Je m’installe en tournant le dos à celle qui le baise. J’ai ses
mains sur mes seins. Je jouis de l’instant avant de jouir pour de bon dans la bouche
ouverte qui avale mes liquides. Pour que je sois le plus heureuse possible la bouche
d’Aline vient sur la mienne. Là pour de bon je suis à mon aise, avec la bouche d’un
homme sur ma chatte, ma poitrine caressée par Odette et la langue d’Aline dans la
bouche. Je jouis encore une dernière fois: je n’en peux plus.
Quand nous sommes revenus au pensionnat avec Aline, nous avons repris notre train
train: nous nous aimons toutes les nuits. Nous en profitons encore plus quand les
beaux jours arrivent, puisque nous sortons dans le grand parc. Nous baisons souvent
sous la lune. Assises sous un arbre, ou couchées sur un tronc nos langues ne cessent
de donner du plaisir à l’autre. Pour continuer à jouir selon ses désirs, maintenant
elle refuse d’aller voir ses parents au vacances de Pâques. Nous somme seules dans le
grand dortoir, aussi nous ne prenons aucune précaution. Nous vivons pratiquement
nues. Elle vient me chercher souvent dans la journée pour tirer un coup vite fait. Le
gode lui sert autant qu’à moi. J’aime retrouver son odeur et son gout juste quand je
le suce avant de me le mettre pendant les rare moments où je suis seule.
La fin de l’année arrête nos relations

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