Ambiguïté d’une homosexualité forcée ou consentie
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2015 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ambiguïté d’une homosexualité forcée ou consentie
L'esclave e73700MDE au Château - (suite de l’épisode N°397) - Ambiguïté d’une homosexualité forcée ou consentie -
Soudain, profitant de ma surprise de mon subit réveil, l'homme s'est étendu sur moi. J'étais allongé sur le dos, légèrement courbé sur le côté, nu et sans défense sur cette paillasse qui me sert de couche dans ce cachot du Château du Maître. J'ai une réaction de dégoût face à cette violation de mon intimité. Jusqu'à présent, j'avais subit des assauts multiples et des caresses et des pénétrations forcées, mais justement je les ai acceptées avec soumission parce qu'elles étaient forcées et correspondaient à mon désir de satisfaire le Maître dans un acte d'abandon volontaire dans lequel il y a, à la fois de l'humiliation et du plaisir. Jusqu'à maintenant, l'homosexualité ne m'a jamais tenté et même plutôt dégoûté. Le contact avec un homme habillé, dans la tendresse et la passion m'a toujours paru repoussant. Mon désir de soumission paraît donc peu explicable, il résulte d'un long cheminement et peut-être de tendances innées et certainement refoulées que je cache derrière ce désir.
Mes tendances refoulées proviennent peut-être de ce qui va suivre : En effet, je me souviens de deux épisodes de mon adolescence où j'ai failli avoir des expériences homosexuelles. Le premier, se passa en attendant à la gare un copain qui devait m'amener au campus mais dont j'avais loupé le rendez-vous. "J'attendais dans la rue de la gare, lorsqu'un homme garé près de celle-ci attendait dans sa voiture et a vu que j'étais embêté. Il m'avait demandé si je voulais qu'il m'amène à destination. Alors, je ne sais pas ce qui m'avait pris, je suis monté. Je me suis assis, pris d'une excitation subite et j'ai attendu. Il avait mis sa main sur mon genou. J'étais pétrifié, je l'avais laissé faire. Il avait sorti ma queue et a commencé à me masturber. J'étais tellement excité que j'avais éjaculé très rapidement. C'est alors que j'ai eu un sentiment de faute et de dégoût et que je me suis précipité hors de la voiture et je me suis enfui". En repensant à cet épisode, j'ai maintenant ce même sentiment de dégoût et aussi d’excitation qui m’inciterait à rester si cela se reproduisait.
Le deuxième épisode, en revanche, se passa pendant les vacances en Espagne. Je tentais désespérément de rentrer en stop en France quand une voiture s'arrêta. L'espagnol qui la conduisait parlait un peu le français. A un moment donné, tout en conduisant, il me demanda si j'avais déjà fait l'amour. Me méprenant sur le sens de la question je répondis "oui". Mais il me répondit: "avec un homme?" A ce moment je fus désorienté, car à l'époque, c'était pour moi impensable et inconvenant. Mais comme précédemment à la gare, je n'ai rien dit, j'étais fasciné par un désir caché que je ne voulais pas m'avouer et qui m'excitait tout en me culpabilisant. Je l'ai suivi hors de la voiture comme un automate et, j'ai obéi à sa demande, j'ai baissé mon pantalon dans un état de honte et d'excitation. J'ai senti son sexe dur sur ma rosette. Il a juste un peu appuyé sans pénétrer l'anus et a joui immédiatement, libérant des jets de sperme gluant contre mon anus, mes fesses et entre mes jambes. Je me suis rhabillé précipitamment, j'ai pris ma valise et j'ai fui comme à la gare. Toute la matinée j'ai senti le liquide gluant entre mes fesses, emprisonné dans le slip. J'étais au comble de la honte, mais l'excitation revenait et je me dis par la suite, que j'aurais dû me laisser sodomiser. Depuis lors, je n'ai jamais été sodomisé malgré des occasions que je n'ai pas concrétisées, comme dans une soirée où j'étais avec ma compagne où dans un couple "homo", un homme m'a demandé de le sucer et d'être sodomisé, ce que j'avais refusé. La présence de ma compagne en était certainement la vraie cause, à l’époque.
J'ai toujours regretté ces occasions manquées, et avant mon arrivée au Château de Monsieur, le Marquis d’Evans, Le Maître Vénéré, j'étais vierge et donc avec un anus jamais visité. J'étais persuadé être hétérosexuel et surtout pas homo. Mais le germe de soumission qui mûrissait en moi était peut-être simplement un désir homosexuel caché que mon abandon à la volonté du Maître à certainement déclenché. Ainsi, lorsque l'homme présent dans ce cachot, se couche sur moi alors que je suis tout nu, j'ai un mouvement réflexe de rejet. Je me raidis et je détourne le visage pour échapper à cette bouche qui veut embrasser la mienne. Je suis soumis et j'accepte tout ce que Le Maître impose, mais là, je ne sens pas que je sois prêté par le Maître pour accomplir ce qu'Il exige. J'ai l'impression que cet homme est un Invité arrivé ici parce qu'il connaît l'endroit et sans que les autres le sachent, il veut assouvir ses penchants homos et ses désirs sexuels.
Le picotement du désir de soumission n'est pas là et je n'ai nulle envie de m'abandonner à un acte sexuel masculin qui ne soit pas imposé par une volonté de soumission. D'ailleurs, je sens un homme gras et bedonnant à la peau un peu flasque se frotter sur mon dos. Cela me dégoûte plutôt et j'essaye de repousser cette bouche baveuse et collante qui ne m'inspire aucun désir. L'homme a une odeur forte, presque fétide, ce qui provoque en moi une réaction supplémentaire de dégoût.
- Calme-toi, me dit-il, je ne te ferai aucun mal, je veux simplement te caresser et te faire l'amour.
Je ne sens pas de sa part un désir de me soumettre, mais plutôt l'approche et le contact d'un homme à la manière que j’ai toujours repoussée. Il manque ce frisson dans l'âme du soumis que je suis qui me force à ne pas résister à un besoin irrépressible. Je surmonte la répulsion en pensant que je suis forcé et que c'est Le Maître qui envoie l'homme bedonnant et gras, parce qu'il en a décidé ainsi. Alors cette simple pensée que c’est le Maître qui l’exige, change totalement ma vison des choses et donc aussitôt, le miracle s'accomplit; j'oublie que si je me laisse caresser en embrasser c'est parce que j'aime ça afin de combler les exigences du Maître. Je suis maintenant l'objet de cet être qui me force à l'embrasser et faire tout ce qu'il va me demander. Je me détends et je laisse la bouche lippue baver sur la mienne et la langue s'enfoncer et fouiller mon palais. Je repense à cet instant à un épisode d'Emmanuelle où elle a été excitée de donner du plaisir à un homme repoussant. Elle s'est abandonnée avec la fierté de satisfaire les désirs de tous les hommes présents qui voulaient d'elle.
Restant à cheval sur mon ventre, l'homme a prestement enlevé sa chemise, et s'est débarrassé de son pantalon en toile qui irritait ma peau puis s'est remis sur moi, cette fois tout nu, en entourant mon cou en passant ses doigts sous mon collier, caressant ma nuque avec des gestes doux et des paroles d'amour. Je sens sur mon ventre se frotter sa grosse bedaine toute molle. Au lieu d'éprouver du dégoût, je m'abandonne à ces caresses morbides et à ces baisers langoureux mais baveux en m'imaginant être femme, catin qui satisfait le plaisir de l'homme. Je lui caresse même le dos et les reins et je descends vers les couilles velues qui durcissent sous les caresses de mes mains. Intérieurement j'exulte: "je suis femme, je satisfaits le plaisir d'un homme". Son membre démesuré, qui durcit en s’approchant vers le dessous de mes couilles est maintenant soumis à des soubresauts d'excitation, tel un gros sexe ayant le besoin de jouir. L'homme me retourne donc, caresse mes reins et mes fesses et s'étend sur moi, cette fois-ci en présentant son énorme gland turgescent à l'entrée de mon anus béant agrandi, déjà dilaté par les multiples et précédentes pénétrations. Je me laisse faire en me sentant une femelle obéissante… Sa verge dure me pénètre forçant mon entrée accueillante puis je sens sa queue coulisser en moi en des vas et viens sans à-coups mais profonds. Une de ses mains vient pincer mes tétons, tandis que l’autre vient presser mes couilles durant ce coït forcé quand il décide de rester immobile, la verge dure bien plantée profondément en moi sans bouger. Là je me sens pleinement rempli, possédé telle une chienne en chaleur. Puis la cadence recommence, elle est lente et profonde et elle dure un long moment, j’en gémis de plaisir et je cambre encore plus mes reins afin d’être plus offert à sa bite tendue, raide comme un bâton. Puis le passage étant bien ‘’huilé’’, il s’active d’un coup, je le sens au bord de la jouissance alors je subis ses assauts qui deviennent plutôt brutaux, plus sauvages, plus bestiales de celui qui maintenant ahane à grands coups de reins puissants quand sans tarder il se répand enfin en moi en de puissantes et longues giclées profondes de sperme dans mon cul ...
Cette nouvelle expérience m'a troublé, car je ne pensais pas que, sans y être contraint par mon obéissance et ma soumission Au Maître, je puisse satisfaire un homme avec désir et plaisir. J'éprouve maintenant une plénitude nouvelle. C'est sans doute là un aspect de la soumission dont je n'étais pas encore conscient mais que je désirais ardemment, mais inconsciemment. L'homme se prélassait en moi en me disant des mots doux, des mots d'amour, lorsque j'entends des bruits et des pas venant de l'extérieur. Je sens le membre encore dur se retirer brusquement de mon anus en provoquant en moi cette ambiguïté d’avoir eu un rapport homosexuel forcé mais au final consenti aussi ...
(A suivre...)
Soudain, profitant de ma surprise de mon subit réveil, l'homme s'est étendu sur moi. J'étais allongé sur le dos, légèrement courbé sur le côté, nu et sans défense sur cette paillasse qui me sert de couche dans ce cachot du Château du Maître. J'ai une réaction de dégoût face à cette violation de mon intimité. Jusqu'à présent, j'avais subit des assauts multiples et des caresses et des pénétrations forcées, mais justement je les ai acceptées avec soumission parce qu'elles étaient forcées et correspondaient à mon désir de satisfaire le Maître dans un acte d'abandon volontaire dans lequel il y a, à la fois de l'humiliation et du plaisir. Jusqu'à maintenant, l'homosexualité ne m'a jamais tenté et même plutôt dégoûté. Le contact avec un homme habillé, dans la tendresse et la passion m'a toujours paru repoussant. Mon désir de soumission paraît donc peu explicable, il résulte d'un long cheminement et peut-être de tendances innées et certainement refoulées que je cache derrière ce désir.
Mes tendances refoulées proviennent peut-être de ce qui va suivre : En effet, je me souviens de deux épisodes de mon adolescence où j'ai failli avoir des expériences homosexuelles. Le premier, se passa en attendant à la gare un copain qui devait m'amener au campus mais dont j'avais loupé le rendez-vous. "J'attendais dans la rue de la gare, lorsqu'un homme garé près de celle-ci attendait dans sa voiture et a vu que j'étais embêté. Il m'avait demandé si je voulais qu'il m'amène à destination. Alors, je ne sais pas ce qui m'avait pris, je suis monté. Je me suis assis, pris d'une excitation subite et j'ai attendu. Il avait mis sa main sur mon genou. J'étais pétrifié, je l'avais laissé faire. Il avait sorti ma queue et a commencé à me masturber. J'étais tellement excité que j'avais éjaculé très rapidement. C'est alors que j'ai eu un sentiment de faute et de dégoût et que je me suis précipité hors de la voiture et je me suis enfui". En repensant à cet épisode, j'ai maintenant ce même sentiment de dégoût et aussi d’excitation qui m’inciterait à rester si cela se reproduisait.
Le deuxième épisode, en revanche, se passa pendant les vacances en Espagne. Je tentais désespérément de rentrer en stop en France quand une voiture s'arrêta. L'espagnol qui la conduisait parlait un peu le français. A un moment donné, tout en conduisant, il me demanda si j'avais déjà fait l'amour. Me méprenant sur le sens de la question je répondis "oui". Mais il me répondit: "avec un homme?" A ce moment je fus désorienté, car à l'époque, c'était pour moi impensable et inconvenant. Mais comme précédemment à la gare, je n'ai rien dit, j'étais fasciné par un désir caché que je ne voulais pas m'avouer et qui m'excitait tout en me culpabilisant. Je l'ai suivi hors de la voiture comme un automate et, j'ai obéi à sa demande, j'ai baissé mon pantalon dans un état de honte et d'excitation. J'ai senti son sexe dur sur ma rosette. Il a juste un peu appuyé sans pénétrer l'anus et a joui immédiatement, libérant des jets de sperme gluant contre mon anus, mes fesses et entre mes jambes. Je me suis rhabillé précipitamment, j'ai pris ma valise et j'ai fui comme à la gare. Toute la matinée j'ai senti le liquide gluant entre mes fesses, emprisonné dans le slip. J'étais au comble de la honte, mais l'excitation revenait et je me dis par la suite, que j'aurais dû me laisser sodomiser. Depuis lors, je n'ai jamais été sodomisé malgré des occasions que je n'ai pas concrétisées, comme dans une soirée où j'étais avec ma compagne où dans un couple "homo", un homme m'a demandé de le sucer et d'être sodomisé, ce que j'avais refusé. La présence de ma compagne en était certainement la vraie cause, à l’époque.
J'ai toujours regretté ces occasions manquées, et avant mon arrivée au Château de Monsieur, le Marquis d’Evans, Le Maître Vénéré, j'étais vierge et donc avec un anus jamais visité. J'étais persuadé être hétérosexuel et surtout pas homo. Mais le germe de soumission qui mûrissait en moi était peut-être simplement un désir homosexuel caché que mon abandon à la volonté du Maître à certainement déclenché. Ainsi, lorsque l'homme présent dans ce cachot, se couche sur moi alors que je suis tout nu, j'ai un mouvement réflexe de rejet. Je me raidis et je détourne le visage pour échapper à cette bouche qui veut embrasser la mienne. Je suis soumis et j'accepte tout ce que Le Maître impose, mais là, je ne sens pas que je sois prêté par le Maître pour accomplir ce qu'Il exige. J'ai l'impression que cet homme est un Invité arrivé ici parce qu'il connaît l'endroit et sans que les autres le sachent, il veut assouvir ses penchants homos et ses désirs sexuels.
Le picotement du désir de soumission n'est pas là et je n'ai nulle envie de m'abandonner à un acte sexuel masculin qui ne soit pas imposé par une volonté de soumission. D'ailleurs, je sens un homme gras et bedonnant à la peau un peu flasque se frotter sur mon dos. Cela me dégoûte plutôt et j'essaye de repousser cette bouche baveuse et collante qui ne m'inspire aucun désir. L'homme a une odeur forte, presque fétide, ce qui provoque en moi une réaction supplémentaire de dégoût.
- Calme-toi, me dit-il, je ne te ferai aucun mal, je veux simplement te caresser et te faire l'amour.
Je ne sens pas de sa part un désir de me soumettre, mais plutôt l'approche et le contact d'un homme à la manière que j’ai toujours repoussée. Il manque ce frisson dans l'âme du soumis que je suis qui me force à ne pas résister à un besoin irrépressible. Je surmonte la répulsion en pensant que je suis forcé et que c'est Le Maître qui envoie l'homme bedonnant et gras, parce qu'il en a décidé ainsi. Alors cette simple pensée que c’est le Maître qui l’exige, change totalement ma vison des choses et donc aussitôt, le miracle s'accomplit; j'oublie que si je me laisse caresser en embrasser c'est parce que j'aime ça afin de combler les exigences du Maître. Je suis maintenant l'objet de cet être qui me force à l'embrasser et faire tout ce qu'il va me demander. Je me détends et je laisse la bouche lippue baver sur la mienne et la langue s'enfoncer et fouiller mon palais. Je repense à cet instant à un épisode d'Emmanuelle où elle a été excitée de donner du plaisir à un homme repoussant. Elle s'est abandonnée avec la fierté de satisfaire les désirs de tous les hommes présents qui voulaient d'elle.
Restant à cheval sur mon ventre, l'homme a prestement enlevé sa chemise, et s'est débarrassé de son pantalon en toile qui irritait ma peau puis s'est remis sur moi, cette fois tout nu, en entourant mon cou en passant ses doigts sous mon collier, caressant ma nuque avec des gestes doux et des paroles d'amour. Je sens sur mon ventre se frotter sa grosse bedaine toute molle. Au lieu d'éprouver du dégoût, je m'abandonne à ces caresses morbides et à ces baisers langoureux mais baveux en m'imaginant être femme, catin qui satisfait le plaisir de l'homme. Je lui caresse même le dos et les reins et je descends vers les couilles velues qui durcissent sous les caresses de mes mains. Intérieurement j'exulte: "je suis femme, je satisfaits le plaisir d'un homme". Son membre démesuré, qui durcit en s’approchant vers le dessous de mes couilles est maintenant soumis à des soubresauts d'excitation, tel un gros sexe ayant le besoin de jouir. L'homme me retourne donc, caresse mes reins et mes fesses et s'étend sur moi, cette fois-ci en présentant son énorme gland turgescent à l'entrée de mon anus béant agrandi, déjà dilaté par les multiples et précédentes pénétrations. Je me laisse faire en me sentant une femelle obéissante… Sa verge dure me pénètre forçant mon entrée accueillante puis je sens sa queue coulisser en moi en des vas et viens sans à-coups mais profonds. Une de ses mains vient pincer mes tétons, tandis que l’autre vient presser mes couilles durant ce coït forcé quand il décide de rester immobile, la verge dure bien plantée profondément en moi sans bouger. Là je me sens pleinement rempli, possédé telle une chienne en chaleur. Puis la cadence recommence, elle est lente et profonde et elle dure un long moment, j’en gémis de plaisir et je cambre encore plus mes reins afin d’être plus offert à sa bite tendue, raide comme un bâton. Puis le passage étant bien ‘’huilé’’, il s’active d’un coup, je le sens au bord de la jouissance alors je subis ses assauts qui deviennent plutôt brutaux, plus sauvages, plus bestiales de celui qui maintenant ahane à grands coups de reins puissants quand sans tarder il se répand enfin en moi en de puissantes et longues giclées profondes de sperme dans mon cul ...
Cette nouvelle expérience m'a troublé, car je ne pensais pas que, sans y être contraint par mon obéissance et ma soumission Au Maître, je puisse satisfaire un homme avec désir et plaisir. J'éprouve maintenant une plénitude nouvelle. C'est sans doute là un aspect de la soumission dont je n'étais pas encore conscient mais que je désirais ardemment, mais inconsciemment. L'homme se prélassait en moi en me disant des mots doux, des mots d'amour, lorsque j'entends des bruits et des pas venant de l'extérieur. Je sens le membre encore dur se retirer brusquement de mon anus en provoquant en moi cette ambiguïté d’avoir eu un rapport homosexuel forcé mais au final consenti aussi ...
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