Ambre, divorcée...
Récit érotique écrit par Davidson [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-02-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ambre, divorcée...
Ambre, trente sept ans, fonctionnaire divorcée venait d'obtenir sa mutation dans le midi, elle aurait préféré Nice, elle avait obtenu Marseille, ce n'était déjà pas si mal.
Elle avait passé quelques semaines à trouver un appartement; son critère de base: "avec vue sur la mer" avait réduit le choix et augmenté le montant des loyers.
Mais le fait d'être "une fonctionnaire qui travaille aux impôts" avait convaincu une vieille dame, propriétaire d'un petit immeuble avec un commerce en rez de chaussée, de lui louer le logement de type 3 du deuxième étage.
A vrai dire Ambre n'avait pas besoin d'une aussi grande surface, mais lorsque l'agent immobilier avait ouvert la porte-fenêtre donnant sur le balcon, elle avait été éblouie: la mer, les iles, le ciel, la lumière! Tout en mieux que dans le plus beau de ses rêves.
Elle s'installait progressivement, le premier décalage qu'elle avait constaté était lié aux vêtements, il est vrai que la différence de climat entre Metz, d'où elle venait et la Provence y était pour beaucoup. Depuis son arrivée, pas un seul jour de pluie et aucune gelée matinale!
Le second décalage était lié aux relations sociales; à Metz les relations interpersonnelles étaient relativement distantes, mais ici elle avait déjà reçu plusieurs invitations à diner de la part de plusieurs camarades de travail.
Du côté de Metz, Ambre, célibataire très "branchée" côté sexe, avait un peu fréquenté le "labyrinthe", "l'intime" et le "quai 57", mais surtout elle avait préféré de hanter les clubs libertins du Luxembourg ou d'Allemagne.
Ce soir elle était invitée chez sa collaboratrice directe, subordonnée certes, mais Ambre ne se considérait pas comme une "supérieure hiérarchique".
Elle avait hésité sur sa façon de se vêtir, mais soit elle s'habillait comme au boulot (en "chef"), soit avec des vêtements qu'elle utilisait pour "sortir" à Metz, certes cela risquait de faire "un peu pute", mais avec des collants et un chemisier sagement boutonné, cela devait pouvoir "passer".
Elle venait de sonner à la porte, vêtue d'une jupe relativement courte (mi-cuisse) mais très moulante et d'un chemisier totalement boutonné, sa veste qu'elle comptait conserver complétant l'ensemble.
C'est le mari de sa collaboratrice qui vint lui ouvrir. "Ma femme est dans la salle de bain, entrez, venez vous installer, elle ne va pas tarder, venez je vous débarrasse!"Ambre tendit le sac de papier contenant une bouteille de porto, mais l'homme attendait visiblement la veste et le sac à main qu'elle lui remis.
Il la fit s'installer dans un fauteuil très confortable mais dont la profondeur faisait remonter nettement la jupe ("heureusement que j'ai mis des collants" se dit elle). Il s'installa sur la banquette en face et entama une conversation amicale sur son installation à Marseille.
Sa collaboratrice sortit de la salle de bain vêtue d'un ample tee-shirt (sous lequel elle était visiblement nue) en s'exclamant "j'ai dit à Michel que vous ne faisiez pas de chichi et que tout se passerait en toute simplicité".
Et elle s'installa sur la banquette à côté de son mari. Ambre put ainsi s'apercevoir qu'il n'y avait pas de culotte et que sa collaboratrice n'était pas épilée.
L'apéritif était sympa, la conversation très libre, et assez rapidement Ambre apprit que le couple était libertin.
"Nous fréquentons un club libertin sur Marseille" lui dit il, "d'ailleurs montre tes tatouages à ta chef!"Ambre s'insurgea sur le dernier mot: "pas de chef entre nous!", sans s'apercevoir qu'elle venait d'ouvrir une porte à risque.
La femme prit une mine offusquée en faisant semblant de bouder les bras croisés; mais l'homme insistait "tu vois, même notre invitée dit pas de chef entre nous!"La femme se leva en tournant le dos à Ambre, et c'est l'homme qui souleva le tee-shirt au dessus des fesses. Sur un cul sublime la femme possédait un tatouage en lettres gothiques mentionnant "entrée libre" au-dessus des fesses.
N'osant faire un commentaire sur l'inscription Ambre se contenta de dire "vous avez des fesses magnifiques!"Et l'homme de rajouter "c'est ce que l'on entend souvent au Vahiné, mais c'est souvent sous la variante "quel cul!", mais montre l'autre"La femme se retourna et au-dessus de sa toison pubienne, en lettres cursives cette fois ci, en arc de cercle, l'inscription "donnez votre langue au chat" en petits caractères. Et cette fois ci c'est la femme qui rajouta une couche en disant "comme c'est écrit en petit ils sont obligés de se rapprocher pour lire, et une fois qu'ils ont le nez dessus!" et le couple éclata de rire.
Ambre trempait son nez dans son verre en se disant "dans quel truc à la con je me suis encore fourrée"Ils passèrent à table, le repas était sympa, et l'écart du début semblait oublié.
Puis à un moment, alors que la femme débarrassait les assiettes, elle se mit à se dandiner en disant "ce salop est en train de me doigter, et il sait que je ne résiste pas à ce truc".
Et effectivement Ambre percevait le mouvement du bras de l'homme et le bruit de l'acte dans un vagin visiblement accueillant.
La femme se mit à gémir, prenant appui d'une main sur la table et d'une main sur le dossier de la chaise de Ambre, puis les gémissements augmentèrent en intensité; la femme jouissait!
De son autre main l'homme, en passant sous le tee-shirt malaxait le sein de sa femme, à quelques centimètres du visage d'Ambre.
Puis l'orgasme éclata, dantesque, courbée à angle droit la femme criait sa jouissance. L'homme venait de retrousser totalement le tee-shirt. Ambre avait un sein qui s'agitait devant ses yeux suivant le rythme de la pénétration digitale.
Paradoxalement Ambre se demandait "il y met combien de doigts?", elle n'osait pas se pencher pour vérifier, mais elle prit la pointe du sein entre ses doigts pour le triturer.
Ce simple geste déclencha le cataclysme, tout en continuant à crier son plaisir la femme se pencha en avant et embrassa Ambre à pleine bouche.
La situation était tellement farfelue qu'Ambre mit plusieurs secondes avant de se rendre compte que sa propre langue répondait à la langue de la femme.
Prenant conscience de la situation Ambre se leva, demandant "où sont les toilettes?" et sans attendre de réponse se mit à leur recherche.
Elle les trouva sans problème, s'enfermant dans l'étroit cabinet de toilette en se disant "dans quelle merde je me suis fourrée?"Lorsqu'elle revint dans la pièce elle trouva le couple entièrement nu en train de copuler. Elle se racla la gorge avant de murmurer "heu, je vais vous laisser"Elle se retrouva dans le hall à la recherche de son sac à main et de sa veste.
C'est là qu'elle fut rejointe par le couple, toujours dénudés, la femme lui tendit sa veste et son sac à main, sans réfléchir Ambre s'en saisit. "On se fait la bise?" lui proposat elle, mais ce fut un baiser profond auquel elle se livra. Sans comprendre exactement ce qui se passait, Ambre, son sac dans une main, sa veste dans l'autre, se mit à répondre à cette langue qui lui fouillait la bouche.
Son cerveau n'enregistra pas que l'homme lui retroussait sa jupe jusqu'à la taille et lui descendait ses collants et sa culotte à mi-cuisses.
Elle sentit le sexe qui se glissait entre ses fesses. Cramponnée à son sac et à sa veste elle se contenta de penser "il est gros!"Par réflexe elle se pencha en avant pour faciliter l'intromission. Il était gros et la remplissait bien, elle ne mit pas longtemps pour avoir son premier orgasme. Elle obtint son deuxième orgasme alors que le phallus allait et venait dans son vagin et que des doigts venaient de pénétrer son anus. Le troisième orgasme survint alors que la femme lui caressait le clitoris par des mouvements circulaires et qu'elle était sodomisée par ce sexe qui éjaculait.
Ce n'est qu'en prenant place dans sa voiture, sentant le sperme gluant dans sa culotte qu'elle se dit "dans quoi me suis je fourrée?"
Elle avait passé quelques semaines à trouver un appartement; son critère de base: "avec vue sur la mer" avait réduit le choix et augmenté le montant des loyers.
Mais le fait d'être "une fonctionnaire qui travaille aux impôts" avait convaincu une vieille dame, propriétaire d'un petit immeuble avec un commerce en rez de chaussée, de lui louer le logement de type 3 du deuxième étage.
A vrai dire Ambre n'avait pas besoin d'une aussi grande surface, mais lorsque l'agent immobilier avait ouvert la porte-fenêtre donnant sur le balcon, elle avait été éblouie: la mer, les iles, le ciel, la lumière! Tout en mieux que dans le plus beau de ses rêves.
Elle s'installait progressivement, le premier décalage qu'elle avait constaté était lié aux vêtements, il est vrai que la différence de climat entre Metz, d'où elle venait et la Provence y était pour beaucoup. Depuis son arrivée, pas un seul jour de pluie et aucune gelée matinale!
Le second décalage était lié aux relations sociales; à Metz les relations interpersonnelles étaient relativement distantes, mais ici elle avait déjà reçu plusieurs invitations à diner de la part de plusieurs camarades de travail.
Du côté de Metz, Ambre, célibataire très "branchée" côté sexe, avait un peu fréquenté le "labyrinthe", "l'intime" et le "quai 57", mais surtout elle avait préféré de hanter les clubs libertins du Luxembourg ou d'Allemagne.
Ce soir elle était invitée chez sa collaboratrice directe, subordonnée certes, mais Ambre ne se considérait pas comme une "supérieure hiérarchique".
Elle avait hésité sur sa façon de se vêtir, mais soit elle s'habillait comme au boulot (en "chef"), soit avec des vêtements qu'elle utilisait pour "sortir" à Metz, certes cela risquait de faire "un peu pute", mais avec des collants et un chemisier sagement boutonné, cela devait pouvoir "passer".
Elle venait de sonner à la porte, vêtue d'une jupe relativement courte (mi-cuisse) mais très moulante et d'un chemisier totalement boutonné, sa veste qu'elle comptait conserver complétant l'ensemble.
C'est le mari de sa collaboratrice qui vint lui ouvrir. "Ma femme est dans la salle de bain, entrez, venez vous installer, elle ne va pas tarder, venez je vous débarrasse!"Ambre tendit le sac de papier contenant une bouteille de porto, mais l'homme attendait visiblement la veste et le sac à main qu'elle lui remis.
Il la fit s'installer dans un fauteuil très confortable mais dont la profondeur faisait remonter nettement la jupe ("heureusement que j'ai mis des collants" se dit elle). Il s'installa sur la banquette en face et entama une conversation amicale sur son installation à Marseille.
Sa collaboratrice sortit de la salle de bain vêtue d'un ample tee-shirt (sous lequel elle était visiblement nue) en s'exclamant "j'ai dit à Michel que vous ne faisiez pas de chichi et que tout se passerait en toute simplicité".
Et elle s'installa sur la banquette à côté de son mari. Ambre put ainsi s'apercevoir qu'il n'y avait pas de culotte et que sa collaboratrice n'était pas épilée.
L'apéritif était sympa, la conversation très libre, et assez rapidement Ambre apprit que le couple était libertin.
"Nous fréquentons un club libertin sur Marseille" lui dit il, "d'ailleurs montre tes tatouages à ta chef!"Ambre s'insurgea sur le dernier mot: "pas de chef entre nous!", sans s'apercevoir qu'elle venait d'ouvrir une porte à risque.
La femme prit une mine offusquée en faisant semblant de bouder les bras croisés; mais l'homme insistait "tu vois, même notre invitée dit pas de chef entre nous!"La femme se leva en tournant le dos à Ambre, et c'est l'homme qui souleva le tee-shirt au dessus des fesses. Sur un cul sublime la femme possédait un tatouage en lettres gothiques mentionnant "entrée libre" au-dessus des fesses.
N'osant faire un commentaire sur l'inscription Ambre se contenta de dire "vous avez des fesses magnifiques!"Et l'homme de rajouter "c'est ce que l'on entend souvent au Vahiné, mais c'est souvent sous la variante "quel cul!", mais montre l'autre"La femme se retourna et au-dessus de sa toison pubienne, en lettres cursives cette fois ci, en arc de cercle, l'inscription "donnez votre langue au chat" en petits caractères. Et cette fois ci c'est la femme qui rajouta une couche en disant "comme c'est écrit en petit ils sont obligés de se rapprocher pour lire, et une fois qu'ils ont le nez dessus!" et le couple éclata de rire.
Ambre trempait son nez dans son verre en se disant "dans quel truc à la con je me suis encore fourrée"Ils passèrent à table, le repas était sympa, et l'écart du début semblait oublié.
Puis à un moment, alors que la femme débarrassait les assiettes, elle se mit à se dandiner en disant "ce salop est en train de me doigter, et il sait que je ne résiste pas à ce truc".
Et effectivement Ambre percevait le mouvement du bras de l'homme et le bruit de l'acte dans un vagin visiblement accueillant.
La femme se mit à gémir, prenant appui d'une main sur la table et d'une main sur le dossier de la chaise de Ambre, puis les gémissements augmentèrent en intensité; la femme jouissait!
De son autre main l'homme, en passant sous le tee-shirt malaxait le sein de sa femme, à quelques centimètres du visage d'Ambre.
Puis l'orgasme éclata, dantesque, courbée à angle droit la femme criait sa jouissance. L'homme venait de retrousser totalement le tee-shirt. Ambre avait un sein qui s'agitait devant ses yeux suivant le rythme de la pénétration digitale.
Paradoxalement Ambre se demandait "il y met combien de doigts?", elle n'osait pas se pencher pour vérifier, mais elle prit la pointe du sein entre ses doigts pour le triturer.
Ce simple geste déclencha le cataclysme, tout en continuant à crier son plaisir la femme se pencha en avant et embrassa Ambre à pleine bouche.
La situation était tellement farfelue qu'Ambre mit plusieurs secondes avant de se rendre compte que sa propre langue répondait à la langue de la femme.
Prenant conscience de la situation Ambre se leva, demandant "où sont les toilettes?" et sans attendre de réponse se mit à leur recherche.
Elle les trouva sans problème, s'enfermant dans l'étroit cabinet de toilette en se disant "dans quelle merde je me suis fourrée?"Lorsqu'elle revint dans la pièce elle trouva le couple entièrement nu en train de copuler. Elle se racla la gorge avant de murmurer "heu, je vais vous laisser"Elle se retrouva dans le hall à la recherche de son sac à main et de sa veste.
C'est là qu'elle fut rejointe par le couple, toujours dénudés, la femme lui tendit sa veste et son sac à main, sans réfléchir Ambre s'en saisit. "On se fait la bise?" lui proposat elle, mais ce fut un baiser profond auquel elle se livra. Sans comprendre exactement ce qui se passait, Ambre, son sac dans une main, sa veste dans l'autre, se mit à répondre à cette langue qui lui fouillait la bouche.
Son cerveau n'enregistra pas que l'homme lui retroussait sa jupe jusqu'à la taille et lui descendait ses collants et sa culotte à mi-cuisses.
Elle sentit le sexe qui se glissait entre ses fesses. Cramponnée à son sac et à sa veste elle se contenta de penser "il est gros!"Par réflexe elle se pencha en avant pour faciliter l'intromission. Il était gros et la remplissait bien, elle ne mit pas longtemps pour avoir son premier orgasme. Elle obtint son deuxième orgasme alors que le phallus allait et venait dans son vagin et que des doigts venaient de pénétrer son anus. Le troisième orgasme survint alors que la femme lui caressait le clitoris par des mouvements circulaires et qu'elle était sodomisée par ce sexe qui éjaculait.
Ce n'est qu'en prenant place dans sa voiture, sentant le sperme gluant dans sa culotte qu'elle se dit "dans quoi me suis je fourrée?"
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