Ambulance
Récit érotique écrit par Lispyick [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ambulance
Bonjour les amis lecteurs, je vous remercie de suivre mes aventures au travers des histoires que je publie.
Nous sommes dans le Var pour quelques jours, plongées au programme, retrouvailles avec nos amis et quelques moments libertins.
Cet après-midi, nous allons chez un tatoueur pour lui demander s'il serait possible de me faire une rose, d'où la queue commencerait à la naissance de ma petite chatte pour monter avec plusieurs feuilles et fleurs. Le but est de montrer une fleur au-dessus de mon string et d'encourager les partenaires à en découvrir plus. Doudou demande que je le fasse samedi matin avant de prendre la route pour pouvoir plonger, sachant qu'il ne faut pas se baigner pendant une semaine après s'être fait tatouer.
Le tatoueur est très professionnel, recherche un modèle qui me convient, ensuite modifie à l'aide de sa tablette pour obtenir exactement ce que je souhaiterais. Il imprime, me le décalque sur mon pubis, plusieurs fois en y apportant les réglages d'inclinaison demandés.
Je suis aux anges au vu du résultat.
– Doudou, je voudrais le faire maintenant.
– Demain, tu ne pourras pas plonger.
– Tu iras seul pour une fois, il a tout préparé, tu ne vas pas lui imposer de recommencer le travail samedi.
– Ne vous inquiétez pas, Madame, je garde les éléments et je prends une photo. Je n'ai pas besoin de beaucoup de temps pour vous le remettre en place samedi.
Je suis têtue, j'ai décidé de me faire tatouer maintenant, Doudou plongera seul demain. Alors, il grogne un peu, mais cela ne va pas durer trop longtemps, je le connais. Je vous vois venir, vous qui me lisez, elle va se taper le tatoueur. Cependant, vous avez tort, même si sa main est proche de mon intimité, que ma minette commence à s'affoler au contact de celle-ci gantée, si proche de ma vallée d'amour. Mes envies redescendent rapidement dès les premiers coups de stylo et je resterai sage.
Le résultat est magnifique, j'imagine déjà les hommes me demandant d'aller cueillir cette rose à la racine.
Le lendemain matin, je me lève en même temps que Doudou qui part à la plongée. De mon côté, j'irai au marché à Toulon en bateau, nous descendons ensemble au port. Je n'ai rien en dessous de ma petite robe en jeans blanche, il faut que mon sexe respire la liberté.
– Prends soin de toi mon Doudou, tu vas plonger avec Lilou ce matin.
– Comme d'habitude, mais tu ne seras pas avec nous.
– Ce n'est pas grave, je suis ravie d'avoir fait mon tatoo.
– Tu comptes en allumer quelques-uns ce matin vu ta tenue, petite salope.
– Je suis d'humeur coquine, si je trouvais chaussure à ma minette, aurais-je ton feu vert pour en profiter ?
– Oui, mais uniquement dans un lieu insolite.
– Je peux donc me faire baiser seulement si cela se passe dans un lieu où nous ne l'avons jamais fait.
– C'est tout à fait cela, et tu me raconteras tout, une ou plusieurs photos seraient bienvenues pour me prouver que tu as respecté le marché.
– Bonjour la confiance.
– Lorsque ta chatte mouille, je ne peux pas lui faire confiance.
Nous éclatons de rire avant de nous embrasser et de nous séparer sur le ponton du président.
Je suis arrivée à Toulon à 8 h 30 et la navette n'est pas remplie, la fréquentation a diminué après le 15 août, comme chaque année. Je m'engage dans la rue en face du port, puis passe la première place pour rejoindre la seconde, où se trouve un bar équipé d'une grande terrasse. Nous venons souvent à ce bar quand nous allons faire le marché, un des serveurs n'est pas réellement sympathique, mais les autres sont au top.
Je commande mon café crème, accompagné d'un pain au raisin, mon péché mignon. Je regarde mon portable, les news, la guerre en Ukraine refait là une, c'est déprimant. Alors, j'ouvre l'application d'un site libertin, notre fiche a été consultée six fois depuis hier soir. Un homme nous a adressé un message et il est connecté, je le lis.
– Bonjour, charmant couple.
– Coucou, merci.
Il n'y a pas grand monde en terrasse ce matin, tout au plus cinq tables sont occupées. Lorsque la sonnerie me signale qu'une réponse est arrivée, je me replonge dans mon téléphone.
– À qui, ai-je l'honneur ?
– Madame.
– Vous êtes charmante et sensuelle, j'adore.
– Merci, mais vous voulez surtout me sauter.
– Si j'avais l'occasion, je ne la manquerais pas.
– J'aime votre franchise.
– Vous êtes seule.
– Oui, je suis à la terrasse d'un café.
– Quel dommage. Comment êtes-vous vêtus ?
– D'une petite jupette blanche en jeans, d'un petit top noir au-dessus et sans culotte.
– J'imagine votre minou que je verrai depuis une autre table.
– Vous la voyez mieux, regardez bien, j'écarte les cuisses.
– Arrêtez, je commence à bander.
– Vous m'avez cherché, je pose ma main sur une de mes cuisses et la remonte vers mon sexe, regarde bien.
Je joins le geste à la parole, tout en attendant la réponse de mon interlocuteur que je chauffe à bloc. Je ne fais plus attention à mon environnement, je suis prise dans la conversation et j'imagine cet inconnu assis en face de moi.
– Bonjour, charmante dame, je vous remercie pour le spectacle que vous nous avez offert.
Je sursaute tout en redressant la tête, un homme se tient debout devant moi, deux tables plus loin, un autre me fait signe bonjour. Le rouge me monte aux joues, tétanisée, j'oublie de retirer la main, poser à mi-cuisse, relevant ma jupe pour donner une vue imprenable à l'homme qui assit en face de moi. Je n'ose pas bouger, aller ma vieille, il faut te sortir de cette situation et reprendre le dessus.
– Bonjour, que puis-je faire pour vous Monsieur ?
– Mon collègue et moi aimerions vous proposer un verre, voulez-vous nous rejoindre à notre table ?
– Venez à ma table, dis-je.
Cela me laisse le temps de clôturer la conversation sur le site et de reprendre mes esprits tout en tirant sur ma jupe.
– Je me présente Alex et voici Yves.
– Enchanté, me dit Yves, merci pour le spectacle.
– Enchanté, Patricia. Je ne vous avais pas remarqué sinon vous n'auriez pas pu profiter de cette vue.
– Vous regrettez.
– Non, à quoi bon.
Nous échangeons quelques banalités, en attendant nos cafés, ces messieurs sont des pompiers de la caserne de Toulon, en repos aujourd'hui. Par ailleurs, ils sont plutôt mignons, bien bâties. Je leur explique que j'étais avec mon mari au téléphone, que nous étions dans un délire au moment qu'ils m'ont remarqué. Oh la menteuse !
Cette situation commence à m'échauffer sérieusement, je mouillais déjà pendant la conversation avec l'internaute, être entre ces deux beaux hommes n'arrange pas la situation. Je sens qu'ils sont prêts à me faire une proposition, mais ils ignorent comment s'y prendre.
– Alors messieurs, quel est le programme de votre journée ?
– Nous nous sommes croisés par hasard avec Yves ce matin, nous avons décidé de boire un café, juste avant de vous croiser.
– Mon appartement est juste à côté, dit Alex, nous pourrions aller y faire un tour.
– Je vais être franche avec vous. Je ne suis pas contre de m'envoyer en l'air en votre compagnie, si vous êtes bien membré.
Je joins le geste à la parole, pose une main sur chaque jambe des hommes, remontant jusqu'au sexe.
– Messieurs, je serais intéressée, à la seule condition que nous trouvions un endroit insolite.
– C'est-à-dire, me demande Yves.
– Un véhicule de pompier, ambulance par exemple.
– Impossible, dit Alex, il y a eu trop de problème et sommes surveillés étroitement sur l'utilisation des véhicules.
Yves nous dit qu'il a une idée, quitte la table, téléphone en main. Il revient tout sourire, nous expliquant qu'il a trouvé une solution. Un pompier volontaire, travaillant avec eux notamment sur les feux de forêt, dirige une société d'ambulance privée avec sa sœur. Il vient nous chercher avec un de ses fourgons d'ici à quinze minutes à l'angle des galeries Lafayette. Nous devrons faire vite pour monter à bord par la porte latérale.
Dans quel merdier, je me suis mise, il faudra qu'un jour, j'arrête mes bêtises. Les bonnes résolutions seront pour une autre fois, j'ai lancé un chalenge à ces messieurs, qu'ils ont réussi, je dois assumer et j'en ai très envie en toute honnêteté. Je vais pouvoir baiser dans une ambulance en roulant, un de mes fantasmes. Nous attendons à l'endroit prévu, quelques minutes passent, l'ambulance arrive. Nous grimpons tous les trois à l'intérieur, le chauffeur redémarre rapidement, tout en nous parlant par la fenêtre entre l'habitacle et où nous sommes.
– Vous êtes énervant les amis, dit le chauffeur.
– Arrête de grogner, dit Yves, tu auras droit à une petite gâterie, n'est-ce pas Patricia ?
– Avec plaisir, tu es mignon.
– Non, pas question, je vous amène ou vous voulez, je vais me faire tuer par la frangine si elle apprend ce que je fais.
– Tu fais un tour dans Toulon, ensuite, puis tu vas sur la presqu'île pour déposer notre invité.
Je m'allonge sur la civière, après m'être déshabillée, Yves me mange directement le minou. Alex me roule un patin, ensuite me présente sa queue que je saisis avant de la porter à ma bouche. C'est une superbe sensation de sentir cette langue et les vibrations du véhicule qui roule. Je me relève, Alex, se couche sur la civière, je prends sa bite en bouche, le suçant comme une diablesse, lui mangeant les couilles. Yves se place derrière moi, et m'enfile son sexe d'une traite au fond de ma chatte. Vu la position arc bouté dans laquelle je me trouve, je sens bien sa queue au fond de moi. Je soupçonne le chauffeur de faire exprès de prendre des nids de poule. Surtout qu'il continue, c'est trop bon, j'ai juste du mal à pomper Alex correctement. Yves me lime comme un fou avec sa grosse queue, qui est très large. Celle d'Alex est légèrement plus fine, mais longues, deux beaux membres comme je les aime.
Je saisis la queue d'Yves, pour la guider vers mon petit trou, nous ne disposons pas de beaucoup de temps. Le salaud ne se fait pas prier, m'enfonce son dard bien au fond de mes entrailles, il accélère le mouvement à me faire hurler de plaisir. J'ai les jambes qui peinent à me porter suite au traitement de mon amant du jour.
Le chauffeur nous annonce que d'ici à vingt minutes, nous arriverons à destination, il ne fera pas d'autres détours.
J'aimerais donc me faire prendre en double, mais comment faire ? Une ambulance, c'est bien, mais un peu exigüe. Je demande à mes partenaires de changer de place.
Alex me fourre sa pine dans mon sexe sans attendre, il me baise fort en me claquant le cul, je hurle de plaisir. Yves est à genou sur la civière devant moi, se tenant d'une main à la sangle, et se branlant à l'aide de l'autre. J'ai la bouche ouverte, non pour rechercher de l'air, mais pour recevoir son offrande. Alex m'envoie plusieurs fois au septième ciel. Notre chauffeur met des coups de sirène. Je devine que nous sommes dans les virages menant à la presqu'île, vite messieurs, donnez-moi votre foutre.
Alex se retire et vient se placer devant moi, Yves le rejoint, ils se branlent tous les deux pour m'offrir leurs liqueurs que j'attends avec impatience. Alex sera le premier à larguer les amarres sur ma petite gueule de salope, je saisis sa bite en bouche pour récolter le restant de son nectar. Yves le pousse et vient m'enfoncer sa bite au fond de ma gorge, tenant ma tête fermement pour que je ne puisse pas me dégager de son étreinte. Une, deux, trois, quatre giclées arrosent copieusement, ma gorge, il se retire et se finit sur mes seins. Je jouis comme une malade, je suis toute poisseuse. Le chauffeur nous signale que nous arrivons, me demandant où il me dépose.
– Au parking du terrain de foot, je serai à deux minutes de l'appartement.
On ouvre les placards pour trouver des compresses avec lesquelles ils m'essuient. Apparemment, je retrouve un visage présentable avant de quitter cette ambulance.
Je remercie notre chauffeur pour son accueil et sa collaboration dans ce petit moment coquin. J'embrasse mes deux partenaires en leur souhaitant un bon courage pour le nettoyage et la désinfection du véhicule, car le chauffeur les a prévenus qu'il ne ferait rien.
Je marche rapidement malgré mes jambes en coton, je ne veux pas croiser une connaissance, je ne suis pas présentable.
Je vais avoir des choses à raconter à mon Doudou, et merde, j'ai oublié de faire des photos, ça va être ma fête.
Nous sommes dans le Var pour quelques jours, plongées au programme, retrouvailles avec nos amis et quelques moments libertins.
Cet après-midi, nous allons chez un tatoueur pour lui demander s'il serait possible de me faire une rose, d'où la queue commencerait à la naissance de ma petite chatte pour monter avec plusieurs feuilles et fleurs. Le but est de montrer une fleur au-dessus de mon string et d'encourager les partenaires à en découvrir plus. Doudou demande que je le fasse samedi matin avant de prendre la route pour pouvoir plonger, sachant qu'il ne faut pas se baigner pendant une semaine après s'être fait tatouer.
Le tatoueur est très professionnel, recherche un modèle qui me convient, ensuite modifie à l'aide de sa tablette pour obtenir exactement ce que je souhaiterais. Il imprime, me le décalque sur mon pubis, plusieurs fois en y apportant les réglages d'inclinaison demandés.
Je suis aux anges au vu du résultat.
– Doudou, je voudrais le faire maintenant.
– Demain, tu ne pourras pas plonger.
– Tu iras seul pour une fois, il a tout préparé, tu ne vas pas lui imposer de recommencer le travail samedi.
– Ne vous inquiétez pas, Madame, je garde les éléments et je prends une photo. Je n'ai pas besoin de beaucoup de temps pour vous le remettre en place samedi.
Je suis têtue, j'ai décidé de me faire tatouer maintenant, Doudou plongera seul demain. Alors, il grogne un peu, mais cela ne va pas durer trop longtemps, je le connais. Je vous vois venir, vous qui me lisez, elle va se taper le tatoueur. Cependant, vous avez tort, même si sa main est proche de mon intimité, que ma minette commence à s'affoler au contact de celle-ci gantée, si proche de ma vallée d'amour. Mes envies redescendent rapidement dès les premiers coups de stylo et je resterai sage.
Le résultat est magnifique, j'imagine déjà les hommes me demandant d'aller cueillir cette rose à la racine.
Le lendemain matin, je me lève en même temps que Doudou qui part à la plongée. De mon côté, j'irai au marché à Toulon en bateau, nous descendons ensemble au port. Je n'ai rien en dessous de ma petite robe en jeans blanche, il faut que mon sexe respire la liberté.
– Prends soin de toi mon Doudou, tu vas plonger avec Lilou ce matin.
– Comme d'habitude, mais tu ne seras pas avec nous.
– Ce n'est pas grave, je suis ravie d'avoir fait mon tatoo.
– Tu comptes en allumer quelques-uns ce matin vu ta tenue, petite salope.
– Je suis d'humeur coquine, si je trouvais chaussure à ma minette, aurais-je ton feu vert pour en profiter ?
– Oui, mais uniquement dans un lieu insolite.
– Je peux donc me faire baiser seulement si cela se passe dans un lieu où nous ne l'avons jamais fait.
– C'est tout à fait cela, et tu me raconteras tout, une ou plusieurs photos seraient bienvenues pour me prouver que tu as respecté le marché.
– Bonjour la confiance.
– Lorsque ta chatte mouille, je ne peux pas lui faire confiance.
Nous éclatons de rire avant de nous embrasser et de nous séparer sur le ponton du président.
Je suis arrivée à Toulon à 8 h 30 et la navette n'est pas remplie, la fréquentation a diminué après le 15 août, comme chaque année. Je m'engage dans la rue en face du port, puis passe la première place pour rejoindre la seconde, où se trouve un bar équipé d'une grande terrasse. Nous venons souvent à ce bar quand nous allons faire le marché, un des serveurs n'est pas réellement sympathique, mais les autres sont au top.
Je commande mon café crème, accompagné d'un pain au raisin, mon péché mignon. Je regarde mon portable, les news, la guerre en Ukraine refait là une, c'est déprimant. Alors, j'ouvre l'application d'un site libertin, notre fiche a été consultée six fois depuis hier soir. Un homme nous a adressé un message et il est connecté, je le lis.
– Bonjour, charmant couple.
– Coucou, merci.
Il n'y a pas grand monde en terrasse ce matin, tout au plus cinq tables sont occupées. Lorsque la sonnerie me signale qu'une réponse est arrivée, je me replonge dans mon téléphone.
– À qui, ai-je l'honneur ?
– Madame.
– Vous êtes charmante et sensuelle, j'adore.
– Merci, mais vous voulez surtout me sauter.
– Si j'avais l'occasion, je ne la manquerais pas.
– J'aime votre franchise.
– Vous êtes seule.
– Oui, je suis à la terrasse d'un café.
– Quel dommage. Comment êtes-vous vêtus ?
– D'une petite jupette blanche en jeans, d'un petit top noir au-dessus et sans culotte.
– J'imagine votre minou que je verrai depuis une autre table.
– Vous la voyez mieux, regardez bien, j'écarte les cuisses.
– Arrêtez, je commence à bander.
– Vous m'avez cherché, je pose ma main sur une de mes cuisses et la remonte vers mon sexe, regarde bien.
Je joins le geste à la parole, tout en attendant la réponse de mon interlocuteur que je chauffe à bloc. Je ne fais plus attention à mon environnement, je suis prise dans la conversation et j'imagine cet inconnu assis en face de moi.
– Bonjour, charmante dame, je vous remercie pour le spectacle que vous nous avez offert.
Je sursaute tout en redressant la tête, un homme se tient debout devant moi, deux tables plus loin, un autre me fait signe bonjour. Le rouge me monte aux joues, tétanisée, j'oublie de retirer la main, poser à mi-cuisse, relevant ma jupe pour donner une vue imprenable à l'homme qui assit en face de moi. Je n'ose pas bouger, aller ma vieille, il faut te sortir de cette situation et reprendre le dessus.
– Bonjour, que puis-je faire pour vous Monsieur ?
– Mon collègue et moi aimerions vous proposer un verre, voulez-vous nous rejoindre à notre table ?
– Venez à ma table, dis-je.
Cela me laisse le temps de clôturer la conversation sur le site et de reprendre mes esprits tout en tirant sur ma jupe.
– Je me présente Alex et voici Yves.
– Enchanté, me dit Yves, merci pour le spectacle.
– Enchanté, Patricia. Je ne vous avais pas remarqué sinon vous n'auriez pas pu profiter de cette vue.
– Vous regrettez.
– Non, à quoi bon.
Nous échangeons quelques banalités, en attendant nos cafés, ces messieurs sont des pompiers de la caserne de Toulon, en repos aujourd'hui. Par ailleurs, ils sont plutôt mignons, bien bâties. Je leur explique que j'étais avec mon mari au téléphone, que nous étions dans un délire au moment qu'ils m'ont remarqué. Oh la menteuse !
Cette situation commence à m'échauffer sérieusement, je mouillais déjà pendant la conversation avec l'internaute, être entre ces deux beaux hommes n'arrange pas la situation. Je sens qu'ils sont prêts à me faire une proposition, mais ils ignorent comment s'y prendre.
– Alors messieurs, quel est le programme de votre journée ?
– Nous nous sommes croisés par hasard avec Yves ce matin, nous avons décidé de boire un café, juste avant de vous croiser.
– Mon appartement est juste à côté, dit Alex, nous pourrions aller y faire un tour.
– Je vais être franche avec vous. Je ne suis pas contre de m'envoyer en l'air en votre compagnie, si vous êtes bien membré.
Je joins le geste à la parole, pose une main sur chaque jambe des hommes, remontant jusqu'au sexe.
– Messieurs, je serais intéressée, à la seule condition que nous trouvions un endroit insolite.
– C'est-à-dire, me demande Yves.
– Un véhicule de pompier, ambulance par exemple.
– Impossible, dit Alex, il y a eu trop de problème et sommes surveillés étroitement sur l'utilisation des véhicules.
Yves nous dit qu'il a une idée, quitte la table, téléphone en main. Il revient tout sourire, nous expliquant qu'il a trouvé une solution. Un pompier volontaire, travaillant avec eux notamment sur les feux de forêt, dirige une société d'ambulance privée avec sa sœur. Il vient nous chercher avec un de ses fourgons d'ici à quinze minutes à l'angle des galeries Lafayette. Nous devrons faire vite pour monter à bord par la porte latérale.
Dans quel merdier, je me suis mise, il faudra qu'un jour, j'arrête mes bêtises. Les bonnes résolutions seront pour une autre fois, j'ai lancé un chalenge à ces messieurs, qu'ils ont réussi, je dois assumer et j'en ai très envie en toute honnêteté. Je vais pouvoir baiser dans une ambulance en roulant, un de mes fantasmes. Nous attendons à l'endroit prévu, quelques minutes passent, l'ambulance arrive. Nous grimpons tous les trois à l'intérieur, le chauffeur redémarre rapidement, tout en nous parlant par la fenêtre entre l'habitacle et où nous sommes.
– Vous êtes énervant les amis, dit le chauffeur.
– Arrête de grogner, dit Yves, tu auras droit à une petite gâterie, n'est-ce pas Patricia ?
– Avec plaisir, tu es mignon.
– Non, pas question, je vous amène ou vous voulez, je vais me faire tuer par la frangine si elle apprend ce que je fais.
– Tu fais un tour dans Toulon, ensuite, puis tu vas sur la presqu'île pour déposer notre invité.
Je m'allonge sur la civière, après m'être déshabillée, Yves me mange directement le minou. Alex me roule un patin, ensuite me présente sa queue que je saisis avant de la porter à ma bouche. C'est une superbe sensation de sentir cette langue et les vibrations du véhicule qui roule. Je me relève, Alex, se couche sur la civière, je prends sa bite en bouche, le suçant comme une diablesse, lui mangeant les couilles. Yves se place derrière moi, et m'enfile son sexe d'une traite au fond de ma chatte. Vu la position arc bouté dans laquelle je me trouve, je sens bien sa queue au fond de moi. Je soupçonne le chauffeur de faire exprès de prendre des nids de poule. Surtout qu'il continue, c'est trop bon, j'ai juste du mal à pomper Alex correctement. Yves me lime comme un fou avec sa grosse queue, qui est très large. Celle d'Alex est légèrement plus fine, mais longues, deux beaux membres comme je les aime.
Je saisis la queue d'Yves, pour la guider vers mon petit trou, nous ne disposons pas de beaucoup de temps. Le salaud ne se fait pas prier, m'enfonce son dard bien au fond de mes entrailles, il accélère le mouvement à me faire hurler de plaisir. J'ai les jambes qui peinent à me porter suite au traitement de mon amant du jour.
Le chauffeur nous annonce que d'ici à vingt minutes, nous arriverons à destination, il ne fera pas d'autres détours.
J'aimerais donc me faire prendre en double, mais comment faire ? Une ambulance, c'est bien, mais un peu exigüe. Je demande à mes partenaires de changer de place.
Alex me fourre sa pine dans mon sexe sans attendre, il me baise fort en me claquant le cul, je hurle de plaisir. Yves est à genou sur la civière devant moi, se tenant d'une main à la sangle, et se branlant à l'aide de l'autre. J'ai la bouche ouverte, non pour rechercher de l'air, mais pour recevoir son offrande. Alex m'envoie plusieurs fois au septième ciel. Notre chauffeur met des coups de sirène. Je devine que nous sommes dans les virages menant à la presqu'île, vite messieurs, donnez-moi votre foutre.
Alex se retire et vient se placer devant moi, Yves le rejoint, ils se branlent tous les deux pour m'offrir leurs liqueurs que j'attends avec impatience. Alex sera le premier à larguer les amarres sur ma petite gueule de salope, je saisis sa bite en bouche pour récolter le restant de son nectar. Yves le pousse et vient m'enfoncer sa bite au fond de ma gorge, tenant ma tête fermement pour que je ne puisse pas me dégager de son étreinte. Une, deux, trois, quatre giclées arrosent copieusement, ma gorge, il se retire et se finit sur mes seins. Je jouis comme une malade, je suis toute poisseuse. Le chauffeur nous signale que nous arrivons, me demandant où il me dépose.
– Au parking du terrain de foot, je serai à deux minutes de l'appartement.
On ouvre les placards pour trouver des compresses avec lesquelles ils m'essuient. Apparemment, je retrouve un visage présentable avant de quitter cette ambulance.
Je remercie notre chauffeur pour son accueil et sa collaboration dans ce petit moment coquin. J'embrasse mes deux partenaires en leur souhaitant un bon courage pour le nettoyage et la désinfection du véhicule, car le chauffeur les a prévenus qu'il ne ferait rien.
Je marche rapidement malgré mes jambes en coton, je ne veux pas croiser une connaissance, je ne suis pas présentable.
Je vais avoir des choses à raconter à mon Doudou, et merde, j'ai oublié de faire des photos, ça va être ma fête.
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Les avis des lecteurs
C'est moi ou ça a été mal classé. C'est bien écrit C'est chaud mais absolument pas une histoire de sexe entre hommes !