Amie ?
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Amie ?
La femme de mon vieux copain doute qu'un homme et une femme soient amis. Elle pense que c'est tout bonnement impossible parce que il y a attirance obligatoire entre les deux. Je connais mon copain depuis l'école primaire alors......... Il n'empêche que je commence à l'éviter de plus en plus, n'osant être trop présent surtout dans la vie de sa femme. Pourtant un soir elle m'appelle, affolée : son mari fait un malaise et il est à l'hôpital. Je me précipite et vais directement à sa recherche. Je le trouve en réanimation pour un très léger problème cardiaque. En principe il sortira d'ici une semaine. Elle n'est pas venue avec moi. Je vais donc chez elle pour lui donner des nouvelles et la rassurer. Quand elle me fit entrer elle je jette à mon cou, presque en larmes. Je la rassure. Elle ne pleure pas sur le moment, mais ensuite c'est un déluge. Je ne sais comment la consoler sinon qu'en la prenant dans mes bras et en la berçant comme un enfant. Je sens contre moi ses seins durs et je ne peux empêcher une magnifique érection. Elle sent ma bite contre elle et me regarde d'un air bizarre. Elle ne s'écarte pas au contraire je la sens se serrer encore plus contre moi. Enfin c'est elle qui tend ses lèvres et les poses sur les miennes. Notre baiser dure longtemps. J'en profite pour lui passer les mains sur les fesses: elle se laisse faire. Je lui remonte la jupe vers la taille et trouve son slip dont j'écarte l'élastique. Mes mains sont directement sur la peau douce de ses fesses. J'insère une main entre les deux globes et arrive à son cul. J'en fais le tour longuement en caressant légèrement. Je la sens frémir. Je sais que cette façon de faire est en principe quelque chose qui fait souvent jouir les femmes. Elle accepte la présence de mes doigts sur son cul. Et brusquement elle se cabre et jouit. A ce moment là je lui rentre une phalange de doigt dans le cul. Je sens ses crispations de jouissance.
Elle me prend par la main et me mène vers le lit conjugal. Je pense que si elle ne croit pas en l'amitié entre homme et femme, c'est qu'elle a des raisons.
Un fois nus nous sommes l'un contre l'autre, ma main sur son con et la sienne me branlotte. Je n'ai qu'une hâte: la baiser. Avant j'aimerai goûter à son vagin: j'aime et l'odeur et le goût d'un sexe féminin.
Je lui fais écarter les jambes et je pose ma tête à hauteur de ses genoux. Ma tête remontre très lentement en l'embrassant. Quand j'arrive au con, je lèche d'abord les lèvres et ensuite le pose ma langue sur son bouton. J'arrête le lécher à certains moments pour rentrer dans son con. Elle n'est pas d'accord et me le fait comprendre en guidant ma tête avec ses mains. Je suce depuis un moment quand enfin elle pousse un petit cri et me dit qu'elle jouit, comme si je ne le savais pas.
Mon moment est venu: je me couche près d'elle et la fait tourner, face à moi. Une jambe posée sur ma cuisse et je cherche à la baiser ainsi. Elle ne veux par et préfère baiser à la missionnaire. OK. Elle reste sur le dos, jambes écartées et je me pose sur elle: je mets ma bite sur son con. Elle me guide avez sa main. Je la baise enfin. Je sens sa chaleur autour de mon mandrin. Elle est très agréable à baiser, d'autant plus qu'elle participe activement à cette baise.
Elle jouit deux ou trois fois avant que je n'en face autant.
Finalement j'arrête en pensant brusquement que c'est la femme d'un ami que je n'ai pas le droit de faire cocu.
Elle me rassure: elle et son époux ne baisent plus depuis de longs mois à cause d'une maladie qui a rendu impuissant. Et elle me demande de la prendre encore mais cette fois en l'enculant. Pour me faire bander elle me suce avec beaucoup de maestria. Sa tête fait des vas et viens sur ma bite qui gonfle rapidement. Je bande très bien et elle se mouille le cul, devant moi, avec sa cyprine en me montrant bien et son con et son cul. J'ai une vue panoramique sur son entrejambe et la vue est très exceptionnelle. Elle se met contre moi, le dos tourné, prend ma bite et la rentre dans son cul. Je la pénètre facilement. Cette fois nous jouissons ensemble.
Depuis, nous nous voyons régulièrement et connaissant nos goûts, nous baisons splendidement.
Elle me prend par la main et me mène vers le lit conjugal. Je pense que si elle ne croit pas en l'amitié entre homme et femme, c'est qu'elle a des raisons.
Un fois nus nous sommes l'un contre l'autre, ma main sur son con et la sienne me branlotte. Je n'ai qu'une hâte: la baiser. Avant j'aimerai goûter à son vagin: j'aime et l'odeur et le goût d'un sexe féminin.
Je lui fais écarter les jambes et je pose ma tête à hauteur de ses genoux. Ma tête remontre très lentement en l'embrassant. Quand j'arrive au con, je lèche d'abord les lèvres et ensuite le pose ma langue sur son bouton. J'arrête le lécher à certains moments pour rentrer dans son con. Elle n'est pas d'accord et me le fait comprendre en guidant ma tête avec ses mains. Je suce depuis un moment quand enfin elle pousse un petit cri et me dit qu'elle jouit, comme si je ne le savais pas.
Mon moment est venu: je me couche près d'elle et la fait tourner, face à moi. Une jambe posée sur ma cuisse et je cherche à la baiser ainsi. Elle ne veux par et préfère baiser à la missionnaire. OK. Elle reste sur le dos, jambes écartées et je me pose sur elle: je mets ma bite sur son con. Elle me guide avez sa main. Je la baise enfin. Je sens sa chaleur autour de mon mandrin. Elle est très agréable à baiser, d'autant plus qu'elle participe activement à cette baise.
Elle jouit deux ou trois fois avant que je n'en face autant.
Finalement j'arrête en pensant brusquement que c'est la femme d'un ami que je n'ai pas le droit de faire cocu.
Elle me rassure: elle et son époux ne baisent plus depuis de longs mois à cause d'une maladie qui a rendu impuissant. Et elle me demande de la prendre encore mais cette fois en l'enculant. Pour me faire bander elle me suce avec beaucoup de maestria. Sa tête fait des vas et viens sur ma bite qui gonfle rapidement. Je bande très bien et elle se mouille le cul, devant moi, avec sa cyprine en me montrant bien et son con et son cul. J'ai une vue panoramique sur son entrejambe et la vue est très exceptionnelle. Elle se met contre moi, le dos tourné, prend ma bite et la rentre dans son cul. Je la pénètre facilement. Cette fois nous jouissons ensemble.
Depuis, nous nous voyons régulièrement et connaissant nos goûts, nous baisons splendidement.
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La femme d'un ami est toujours une proie très convoitée