Amie retrouvée
Récit érotique écrit par Helene2010 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2010 dans la catégorie Fétichisme
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Amie retrouvée
Je suis entrée dans une boutique de lingerie quand je suis tombée nez à nez avec une copine que je n'avais pas vue depuis le bac. Elle était plus qu'une copine parce que nous avions parfois passé de bons moments ensemble comme d'être sorties dans des boîtes jusqu'à la fermeture et d'en sortir en titubant d'avoir trop bu d'alcool. Je lui ai demandé ce qu'elle devenait et elle ne m'a pas vraiment répondu puis je lui ai demandé ce qu'elle achetait. Entre femmes...
- Je cherche des trucs, m'a répondu Brigitte...
Je ne l'avais pas bien vue et je l'ai vraiement regardée avant de lui demander si c'étaient des vrais.
- Tout ce qu'il y a de vrai, m'a répondu Brigitte ! 100 % naturel ! Aucun silicone ! Telle que tu me vois, tout est d'origine !
Elle avait bien quelque chose, comme les sourcils épilés et le maquillage très soigné. Je lui ai demandé du combien elle faisait.
- 90GG ou H, ça dépend, m'a répondu Brigitte !
- Comment tu as fait, me suis-je étonnée ?
- Comment j'ai fait, m'a répondu Brigitte ? Je ne sais pas ! C'est venu tout seul !
J'étais vraiment sidérée et un peu jalouse de voir qu'à notre âge, trente-cinq ans, elle avait une poitrine beaucoup plus belle que la mienne et même que mon ancienne copine était bien mieux conservée que moi.
- Madame, a fait une vendeuse, si vous voulez bien les essayer ! Je vous les mets dans la première cabine !
J'ai demandé à Brigitte si elle venait souvent dans cette boutique alors que je n'y avais jamais mis les pieds. Une fois de plus, elle ne m'a pas répondu mais elle s'est dirigée vers la cabine et je l'ai rattrapée au vol pour lui demander si je pouvais venir avec elle.
Ça pouvait sembler bizarre que je veuille ça, mais on se connaissait assez pour que ce soit naturel qu'on y soit toutes les deux. La cabine était fermée par une porte et pas par un rideau comme dans beaucoup de boutiques.
Brigitte m'a dit de tourner le verrou et elle a retiré son chemisier et a dégrafé son soutien-gorge.
- Tiens, a-t-elle ajouté, accroche-les au porte-manteau !
Je me suis tournée et j'ai accroché ses affaires puis je me suis retournée à nouveau vers Brigitte qui me présentait sa poitrine magnifique.
- Qu'est-ce que tu en dis, m'a demandé Brigitte en enfilant un premier soutif ?
Je l'ai aidée à passer la deuxième bretelle sur son épaule puis elle a plongé sa main dans le bonnet gauche pour bien y placer le sein.
- Qu'est-ce que tu en penses, a insisté Brigitte ?
Je n'en pensais rien ou plutôt j'avais du mal à penser quoi que ce soit. Bien que profonds, les bonnets laissaient voir le haut des aréoles.
- Oui, avec une robe décolletée, ai-je hasardé...
C'était vraiment très sexy, voire presque pornographique comme les filles que j'avais vu avec mon mari dans un cabaret en Allemagne.
Brigitte s'est regardée dans le miroir puis a dit que ça ne lui plaisait pas et elle l'a retiré. Elle en a enfilé un autre puis un autre et un autre. Aucun ne lui plaisait et moi ça ne m'intéressait plus. J'ai levé les yeux au plafond et j'y ai vu quelque chose qui m'a intrigué.
- C'est quoi, ça, lui ai-je demandé en posant la main sur son bras ?
Brigitte à suivi mon regard puis m'a répondu que c'était une caméra de surveillance.
- Une caméra de surveillance, lui ai-je fait ? Tu veux dire qu'on se fait mater ?
- Mais non, m'a rassuré Brigitte ! C'est juste contre le vol et il n'y a que la patronne qui regarde ! Qui n'a jamais vu une paire de nichons ? Oh, celui-là, je le prend, a ajouté Brigitte !
Je l'ai regardée. C'était un soutien-gorge plein de dentelles mais je ne comprenais pas pourquoi il n'y avait pas de bonnets. Elle a pris la petite culotte qui allait avec et m'a dit qu'elle devait l'essayer et du coup, elle a retiré sa jupette et sa petite-culotte pour enfiler l'autre et c'est là que j'ai vu que c'était une culotte fendue et qu'en se rasant elle avait gardé une bande de poils entre le clitoris et le nombril.
Brigitte a tiré sur ses petites lèvre pour pouvoir être à l'aise dans sa nouvelle culotte.
Jamais je n'aurais espéré avoir des petites lèvres aussi longue qui vous pendent entre les cuisses et elle avait tiré dessus avec une telle grâce que je n'ai pu m'empêcher de rappeler à mon amie ce que nous avions fait ensemble lors de la petite fête pour le bac. J'étais alors attirée par elle et elle par moi et pendant que les autres filles s'amusaient avec leur petit copain, nous nous étions isolées dans une des chambres et ça m'avait tellement plu que j'ai pensé que j'étais lesbienne mais la suite de ma vie porte en témoignage que je ne l'étais pas.
- Tu te souviens encore de ça, m'a dit Brigitte ! Moi, j'avais oublié !
Ça m'a fait mal au coeur qu'elle me réponde ça. Elle s'est rhabillée, a choisi ce qu'elle voulait acheter et les a fait emballer avant de payer. Je lui ai proposé d'aller prendre un verre. Brigitte m'a dite qu'elle était pressée mais elle a quand même accepté.
- J'ai rendez-vous à sept heures trente et je ne peux être en retard, m'a précisé Brigitte !
Le serveur a servi les cafés. J'ai parlé de moi et j'ai proposé à Brigitte de venir dîner chez nous, ajoutant que mon mari serait ravi que je retrouve une vieille copine.
- Ecoute, je ne peux pas, m'a dit ensuite Brigitte ! Je sais que ça va te choquer mais je dois te dire une chose, ce que je fais : je suis call-girl ! Inutile de le répéter !
J'ai regardé mon amie. J'étais atterrée. Call-girl, avait-elle dit...
- Après le bac, a continué Brigitte, je suis passée de boulot en boulot et j'ai fini par me marier pour divorcer deux ans plus tard. Tu comprends, il voulait des enfants et moi pas !
- Comment peux-tu dire ça, lui ai-je demandée ?
Ça me faisait mal qu'elle m'ait dit ça.
- Tu sais, j'en ai eu un quand même, m'a-t-elle ensuite avoué ! Je n'ai jamais su qui en était le père et ce n'est pas moi qui l'élève ! Tu sais, quand elle est enceinte, une putain se fait payer beaucoup plus ! Et puis j'aime bien baiser et j'y rencontre beaucoup de gens !
Ça me faisait encore plus mal qu'elle ait dit qu'elle était une putain. Pourtant, moi, ça m'excite quand mon mari me traite de pute et me dit que j'aimerai bien lécher la chatte d'une femme quand on fait l'amour.
- Je te choque, a ajouté Brigitte ?
Elle était encore plus sérieuse en me demandant ça et elle a continué :
- Si tu veux, tu pourrais venir avec moi ! Ce n'est pas rare qu'un homme ait envie de deux femmes à la fois ! Tiens, tu te souviens de Colette ? C'est elle qui m'a mis le pied à l'étrier et c'était avec elle que je faisais les partouzes ! Ça ne l'a pas empêchée d'épouser un de nos clients et j'étais encore chez elle la semaine dernière !
- Tu veux dire la Colette qui était dans notre classe en Terminale, lui ai-je demandé ?
C'était bien elle et Brigitte m'a raconté que notre amie était bisexuelle et qu'elle se faisait prendre par des types devant son mari. Brigitte qui était plus belle encore que Brigitte.
- Elle est toujours aussi plate, ai-je demandé ? Elle avait des petits seins tout mignons...
- La preuve que faire l'amour fait grossir la poitrine, m'a répondu Brigitte ! Elle fait bien un 90D ! Tu dois faire beaucoup l'amour toi aussi, a-t-elle insisté !
Elle devait partir à son rendez-vous. Je lui ai laissé ma carte de visite mais elle ne m'a jamais rappelée et je n'ai jamais revu Colette non plus.
- Je cherche des trucs, m'a répondu Brigitte...
Je ne l'avais pas bien vue et je l'ai vraiement regardée avant de lui demander si c'étaient des vrais.
- Tout ce qu'il y a de vrai, m'a répondu Brigitte ! 100 % naturel ! Aucun silicone ! Telle que tu me vois, tout est d'origine !
Elle avait bien quelque chose, comme les sourcils épilés et le maquillage très soigné. Je lui ai demandé du combien elle faisait.
- 90GG ou H, ça dépend, m'a répondu Brigitte !
- Comment tu as fait, me suis-je étonnée ?
- Comment j'ai fait, m'a répondu Brigitte ? Je ne sais pas ! C'est venu tout seul !
J'étais vraiment sidérée et un peu jalouse de voir qu'à notre âge, trente-cinq ans, elle avait une poitrine beaucoup plus belle que la mienne et même que mon ancienne copine était bien mieux conservée que moi.
- Madame, a fait une vendeuse, si vous voulez bien les essayer ! Je vous les mets dans la première cabine !
J'ai demandé à Brigitte si elle venait souvent dans cette boutique alors que je n'y avais jamais mis les pieds. Une fois de plus, elle ne m'a pas répondu mais elle s'est dirigée vers la cabine et je l'ai rattrapée au vol pour lui demander si je pouvais venir avec elle.
Ça pouvait sembler bizarre que je veuille ça, mais on se connaissait assez pour que ce soit naturel qu'on y soit toutes les deux. La cabine était fermée par une porte et pas par un rideau comme dans beaucoup de boutiques.
Brigitte m'a dit de tourner le verrou et elle a retiré son chemisier et a dégrafé son soutien-gorge.
- Tiens, a-t-elle ajouté, accroche-les au porte-manteau !
Je me suis tournée et j'ai accroché ses affaires puis je me suis retournée à nouveau vers Brigitte qui me présentait sa poitrine magnifique.
- Qu'est-ce que tu en dis, m'a demandé Brigitte en enfilant un premier soutif ?
Je l'ai aidée à passer la deuxième bretelle sur son épaule puis elle a plongé sa main dans le bonnet gauche pour bien y placer le sein.
- Qu'est-ce que tu en penses, a insisté Brigitte ?
Je n'en pensais rien ou plutôt j'avais du mal à penser quoi que ce soit. Bien que profonds, les bonnets laissaient voir le haut des aréoles.
- Oui, avec une robe décolletée, ai-je hasardé...
C'était vraiment très sexy, voire presque pornographique comme les filles que j'avais vu avec mon mari dans un cabaret en Allemagne.
Brigitte s'est regardée dans le miroir puis a dit que ça ne lui plaisait pas et elle l'a retiré. Elle en a enfilé un autre puis un autre et un autre. Aucun ne lui plaisait et moi ça ne m'intéressait plus. J'ai levé les yeux au plafond et j'y ai vu quelque chose qui m'a intrigué.
- C'est quoi, ça, lui ai-je demandé en posant la main sur son bras ?
Brigitte à suivi mon regard puis m'a répondu que c'était une caméra de surveillance.
- Une caméra de surveillance, lui ai-je fait ? Tu veux dire qu'on se fait mater ?
- Mais non, m'a rassuré Brigitte ! C'est juste contre le vol et il n'y a que la patronne qui regarde ! Qui n'a jamais vu une paire de nichons ? Oh, celui-là, je le prend, a ajouté Brigitte !
Je l'ai regardée. C'était un soutien-gorge plein de dentelles mais je ne comprenais pas pourquoi il n'y avait pas de bonnets. Elle a pris la petite culotte qui allait avec et m'a dit qu'elle devait l'essayer et du coup, elle a retiré sa jupette et sa petite-culotte pour enfiler l'autre et c'est là que j'ai vu que c'était une culotte fendue et qu'en se rasant elle avait gardé une bande de poils entre le clitoris et le nombril.
Brigitte a tiré sur ses petites lèvre pour pouvoir être à l'aise dans sa nouvelle culotte.
Jamais je n'aurais espéré avoir des petites lèvres aussi longue qui vous pendent entre les cuisses et elle avait tiré dessus avec une telle grâce que je n'ai pu m'empêcher de rappeler à mon amie ce que nous avions fait ensemble lors de la petite fête pour le bac. J'étais alors attirée par elle et elle par moi et pendant que les autres filles s'amusaient avec leur petit copain, nous nous étions isolées dans une des chambres et ça m'avait tellement plu que j'ai pensé que j'étais lesbienne mais la suite de ma vie porte en témoignage que je ne l'étais pas.
- Tu te souviens encore de ça, m'a dit Brigitte ! Moi, j'avais oublié !
Ça m'a fait mal au coeur qu'elle me réponde ça. Elle s'est rhabillée, a choisi ce qu'elle voulait acheter et les a fait emballer avant de payer. Je lui ai proposé d'aller prendre un verre. Brigitte m'a dite qu'elle était pressée mais elle a quand même accepté.
- J'ai rendez-vous à sept heures trente et je ne peux être en retard, m'a précisé Brigitte !
Le serveur a servi les cafés. J'ai parlé de moi et j'ai proposé à Brigitte de venir dîner chez nous, ajoutant que mon mari serait ravi que je retrouve une vieille copine.
- Ecoute, je ne peux pas, m'a dit ensuite Brigitte ! Je sais que ça va te choquer mais je dois te dire une chose, ce que je fais : je suis call-girl ! Inutile de le répéter !
J'ai regardé mon amie. J'étais atterrée. Call-girl, avait-elle dit...
- Après le bac, a continué Brigitte, je suis passée de boulot en boulot et j'ai fini par me marier pour divorcer deux ans plus tard. Tu comprends, il voulait des enfants et moi pas !
- Comment peux-tu dire ça, lui ai-je demandée ?
Ça me faisait mal qu'elle m'ait dit ça.
- Tu sais, j'en ai eu un quand même, m'a-t-elle ensuite avoué ! Je n'ai jamais su qui en était le père et ce n'est pas moi qui l'élève ! Tu sais, quand elle est enceinte, une putain se fait payer beaucoup plus ! Et puis j'aime bien baiser et j'y rencontre beaucoup de gens !
Ça me faisait encore plus mal qu'elle ait dit qu'elle était une putain. Pourtant, moi, ça m'excite quand mon mari me traite de pute et me dit que j'aimerai bien lécher la chatte d'une femme quand on fait l'amour.
- Je te choque, a ajouté Brigitte ?
Elle était encore plus sérieuse en me demandant ça et elle a continué :
- Si tu veux, tu pourrais venir avec moi ! Ce n'est pas rare qu'un homme ait envie de deux femmes à la fois ! Tiens, tu te souviens de Colette ? C'est elle qui m'a mis le pied à l'étrier et c'était avec elle que je faisais les partouzes ! Ça ne l'a pas empêchée d'épouser un de nos clients et j'étais encore chez elle la semaine dernière !
- Tu veux dire la Colette qui était dans notre classe en Terminale, lui ai-je demandé ?
C'était bien elle et Brigitte m'a raconté que notre amie était bisexuelle et qu'elle se faisait prendre par des types devant son mari. Brigitte qui était plus belle encore que Brigitte.
- Elle est toujours aussi plate, ai-je demandé ? Elle avait des petits seins tout mignons...
- La preuve que faire l'amour fait grossir la poitrine, m'a répondu Brigitte ! Elle fait bien un 90D ! Tu dois faire beaucoup l'amour toi aussi, a-t-elle insisté !
Elle devait partir à son rendez-vous. Je lui ai laissé ma carte de visite mais elle ne m'a jamais rappelée et je n'ai jamais revu Colette non plus.
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