Amina 1

- Par l'auteur HDS DXD -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Amina 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(9.0 / 10)

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Amina 1
Le lendemain de mon aventure avec Katherine, nous étions le 1er Mai. Par conséquent, je n'avais pas cours, et décidai donc d'aller voir mes grands parents, que je n'avais pas vu depuis longtemps. Je pris le RER tôt le matin, car le trajet était assez long, presque deux heures et demie. En effet, je montais dans le train au premier arrêt, et descendais au terminus. A cette heure là, le train était plein de monde, et ne se vidait pratiquement pas, car sur cette ligne il n'y avait que peu de gares, et elles étaient très espacées, a tel point que le train roulait parfois près d'une demi heure sans faire d'arrêts. Après ce long trajet, j'arrivai enfin chez mes grands parents. Je passai la matinée chez eux, je restai pour le déjeuner, avant de reprendre le train en début d'après midi pou rentrer chez moi. A cette heure là, il n'y avait personne dans le wagon, et fatigué comme je l'étais (j'avais passé la nuit dernière avec Katherine, je n'avais donc pas beaucoup dormi), je m'endormis paisiblement.

Je fus réveillé, 10 minutes plus tard. Le train venait de s'arrêter, et un groupe de jeunes venait de monter dans le wagon et de s'installer non loin de moi. Parmi ce groupe, une des filles attira particulièrement mon attention. Elle était grande, assez fine, la peau noire, de longs cheveux noirs, qui encadraient un très beau visage, et des seins si gros que sa chemise semblait sur le point d'exploser. Elle était si sexy que je ne pouvais m'empêcher de la reluquer. A un momment nos regards se croisèrent, et, gêné, je détournais le regard. Quelques minutes plus tard, le train s'arrêta à nouveau, et les amis de la belle noire descendirent du train, nous laissant seuls elle et moi.

Je ne savais que faire. Nous étions seuls dans le wagon, et je savais que le train ne s'arrêterait pas avant longtemps. J'étais donc tenté de l'aborder, mais n'osais pas draguer ainsi une parfaite inconnue, de crainte de me faire rejeter. Je tergiversais ainsi pendant 5 bonnes minutes, quand soudain la belle inconnue se leva. Elle vint près de moi, et me dit :

"Tu crois que je te vois pas me mater depuis tout à l'heure ? "

Je voulus bafouiller une excuse, mais elle ne m'en laissa pas le temps. Elle me baîllona avec sa main et sans plus de gêne, s'assit sur moi et me colla son énorme poitrine dans le visage. Surpris par les évènements, et un peu choqué par l'aplomb de cette demoiselle, je voulu protester (ce qui peut paraître étrange j'en conviens) mais elle m'attrapa par le menton et m'embrassa sauvagement, ce qui eut le don de me faire taire. Déposant les armes avant même d'avoir essayé de résister à cette bombe, je lui rendis son baiser et entrepris de lui caresser ses magnifiques fesses, tandis qu'elle, frottait tout son corps contre le mien, me donnat l'impression d'être en feu. Totalement remis de ma surprise, je repris les choses en mains. Je la soulevai, et l'étalai sur la banquette, puis je lui retirai son pantalon et sa culotte, fis de même pour moi, et la pénétrai d'un coup sec, puis et entrepris des vas et viens, de plus en plus rapides. Elle m'attira contre elle et m'embrassa, tout en me serrant avec ses jambes. Les choses devinrent sauvages, j'accélérai encore la cadence, tandis qu'elle se mit à lâcher des gémissements de plus en plus forts. Malgré le plaisir que j'éprouvais dans cette position, je voulus en trouver une autre plus confortable et qui me laisserait plus libre de mes mouvements (la banquette sur laquelle nous étions était étroite).

Je me relevai donc, et entraînai mon amante avec moi. Puis, je la plaquai contre la porte du wagon, la soulevai et la pénétrai. Tout en la limant de plus en plus fort, je lui malaxai ses seins à travers sa chemise et lui embrassai le cou, tandis qu'elle criait à s'en casser la voix son plaisir d'être ainsi prise. Je la baisai ainsi pendant de longues délicieuses minutes, puis, lassé par sa chemise, qui m'empêchait de profiter de sa poirine, j'entrepris de la déboutonner. Je venais juste de commencer lorsque soudain, le trai ralentit : nous approchions d'une gare.

Nous nous dépéchâmes de nous rhabiller, et nous retournâmes nous asseoir, à bonne distance l'un de l'autre, afin de n'attirer aucun soupçon. Le train s'arrêta, les portes s'ouvrient, et une vieille dame entra, et s'assit dans le wagon. Le train repartit, j'espérais de tout coeur que la vieille dame descendrait au prochain arrêt et que personne ne monterait dans le train, ainsi moi et cette sublime créature pourrions reprendre là où nous en étions restés. L'impatience et le désir grandissait en moi, et je voyais bien qu'il en était de même chez mon amante.

Au bout de 10 longues minutes, le train s'arrêta. La vieille dame se leva et sortit pour mon plus grand bonheur. Le train resta à l'arrêt pendant 2 minutes, pendant lesquelles je priai pour que personne d'autre ne montât dans le wagon. Puis les portes se refermèrent, et le train repartit, nous laissant seuls à nouveaux.

Nous savions tous les deux que le train ne s'arrêterait pas de longues minutes, nous laissant donc tout le temps pour conclure ce que nous avions commencé. Rendus fous par l'attente, nous nous jetâmes sauvagement l'un sur l'autre. Je lui arrachai sa chemise, et elle m'enleva mon T-shirt je lui retirai son soutien gorge, elle m'enfouit de force la tête dans ses gros seins. Après que je les aie bien léchés, nous nous débarassâmes de nos derniers vêtements. Elle se mit ensuite à quatre pattes sur l'un des sièges, me laissant admirer son magnfique postérieur. Je la saisis par les hanches, et la pris en levrette entammant de rapides vas et viens. Elle lâchait des cris à chaque coups de rein que je lui donnais, m'encourageant à aller plus vite et plus fort. Stimulé par ses encouragements, je lui donnai des claques sur les fesses, et lui tirai les cheveux, tout en accélérant encore mes coups de reins, la limant plus fort et de plus en plus loin, tandis qu'elle lâchait des gémissements si forts que je craignais qu'elle ne se casse la voix. Je continuais de la démonter ainsi pendant 10 bonnes minutes, luttant contre le plaisir de plus en plus grand qui montait en moi, et menaçait de me faire jouir à tout momment. Elle cependant n'avait pas besoin de se contenir et eut rapidement un orgasme, suivi quelques minutes plus tard par un deuxième beaucoup plus intense qui la fit s'écrouler sur les sièges, visiblement épuisée par l'intense plaisir qu'elle venait de ressentir. Elle se releva néanmoins, et reprit les choses en mains, me poussant sur les sièges. Elle s'assit ensuite sur moi en me tournanat le dos, s'empala sur moi et commença à se déancher, me permettant d'admier son magnifique corps en pleine action, tout en provoquant chez une nouvelle brutale et violente montée de plaisir que j'eus à nouveau du mal à contenir. J'y parvins néanmoins, et je l'attirai contre moi, afin de masser ses gros seins et de lui embrasser les épaules et le coup. Après quelques minutes, elle se retourna et revint sur moi, mais cette fois ci en étant de face par rapport à moi. Elle entama des mouvements de vas et viens, plus rapides et violents que jamais, tout en me griffant le torse. Moi pendant ce temps, tout en ayant plus de mal que jamais pour me contenir, je lui malaxai les seins, jusqu'à ce qu'elle m'attrape les deux mains, et me les plaque contre le siège, me tenant ainsi prisonnier, à sa merci ce qui augmenta encore mon excitation. Totalement maîtresse de la situation, elle accéléra encore le rythme de ses coups de reins, jusqu'à à avoir raison de ma résistance : je jouis, pousant un grand râle de plaisir.

Il était temps, le train commençait à ralentir. Mon amante n'eut que le temps de se rhabiller et de quitter le train, sans me donner ni son nom ni son numéro.

J'appris bien plus tard, lorsque je la revis, qu'elle se nommait Amina, mais ça c'est une autre histoire...

Les avis des lecteurs

J'ai fait une erreur de clic et voulais marquer "excellent texte" Pardon de l'erreur. J'ai beaucoup aimé, bref mais combien érotique



Texte coquin : Amina 1
Histoire sexe : Une rose rouge
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