Amina 4
Récit érotique écrit par DXD [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-12-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Amina 4
J’entrai dans le Mcdo affamé comme jamais. Je fis la queue, pressé de pouvoir passer commande. Lorsque ce fut à moi de me présenter à la caisse, j’eus une sacré surprise : celle qui prenait les commande des clients du Mcdo n’était autre qu’Amina une fille très sexy, avec qui j’avais déjà couché. Elle était assez grande, la peau noire, un beau visage, et de magnifiques formes, une grosse poitrine (90D), une taille fine, et de très belles fesses. Lorsqu’elle me reconnut elle eut un grand sourire.
« Salut tu vas bien ? »
« Ouais pas mal, et toi ? »
« Ca peut aller. Tu veux quoi ? »
Je passai ma commande, et elle transmit aux cuisines. Deux ou trois minutes plus tard, ma commande arriva, et Amina me la donna, un grand sourire aux lèvres. Je la remerciai et m’installai pour manger. Au bout d’un moment, je vis qu’elle m’avait laissé un petit message, griffoné à la hâte sur un bout de papier, laissé sur le plateau. « Je finis mon service dans une demi-heure, retrouve moi sur le parking. » Je me sentis aussitôt très excité : ce n’était sûrement pas pour discuter poliment, qu’elle me donnait rendez vous… Je finis mon repas, en prenant tout mon temps. Une fois la demi-heure passée, je me rendis sur le parking, toujours affamé. J’avais mangé certes, mais j’avais à présent faim d’autre chose… Amina m’attendait là, sur le parking, près d’une voiture rouge aux vitres teintées. Elle s’était changée, et était vêtue d’une chemise qui moulait parfaitement son imposante poitrine, et d’un jean qui mettait en valeur son fessier. Je sentis mon sexe se raidir légèrement à sa vue… En me voyant, elle sourit, et ouvrit la portière de sa voiture.
« Vas y, entre, assis toi. »
Sans discuter, je m’assis sur le siège passager. Au lieu d’aller s’asseoir sur le siège conducteur, Amina vint me rejoindre sur le siège passager, s’installant sur moi. Après avoir refermé la portière, elle se mit à m’embrasser avec fièvre, me plaquant contre le dossier du siège, frottant son imposant fessier contre mon sexe, qui devint vite très dur. Nous étions collés l’un à l’autre de façon très sensuelle, son visage à quelques centimètres du mien.
« Je te préviens, je suis morte de faim, ça fait trois heures que je sers des frites, maintenant, j’en veux pour moi ! »
« Tu vas en avoir une bien grosse, répondis-je en souriant. »
Souriant à son tour, elle me retira mon jean, puis mon caleçon, avec impatience. Elle se dévêtit également, ne gardant que sa chemise. Puis, sans plus tarder, elle s’empala sur moi. Elle devait être en manque depuis un moment, car elle semblait impatiente, et très sensible. Rien qu’en s’empalant sur moi, elle poussa un grand gémissement. Et, quand, poussée par son impatience, elle se mit à sauter sur mon sexe de haut en bas, très vite, elle poussa des cris de plaisir qui devaient s’entendre jusqu’ à l’autre bout du parking. Elle était vraiment en mode sauvage, me baisait très fort, m’embrassait comme une folle, et me mordait le menton, le tout en me souriant d’un air vicieux, et en me regardant droit dans les yeux comme pour me provoquer. Je frissonnais et gémissais doucement sous ses assauts, ce qui la poussait à me baiser encore plus fort. Décidé à participer un peu, je saisis ses hanches, et cherchai à contrôler le rythme de la baise. Mais elle me saisit les mains, et me les colla contre ses cuisses, m’emprisonnant littéralement.. Je tâchai de me débattre pour libérer mes mains, mais la posture était en sa faveur, et je perdis l’épreuve de force, ce qui lui tira un sourire ravi. Elle put alors se déchaîner sur moi comme elle le voulait, bondissant et rebondissant sur mon sexe, faisant de moi un sex-toy à sa disposition. Nous gémissions de concert, et je prenais fortement mon pied à être baisé comme ça. Mais mon orgueil de mâle, ne tarda pas à reprendre le dessus. Alors qu’elle était appliquée à me sauter comme une folle, sa pression sur mes mains diminuait. Je pus donc me les libérer, et participer plus activement à la baise. Je lui saisis les hanches, et diminuait le rythme de sa baise, lui souriant d’un air moqueur. Elle réagit en secouant ses hanches de gauche à droite, me faisant fondre de plaisir. Sa poitrine se secoua sous sa chemise, et je n’en pus plus : il fallait que la voie nue. Dans un accès de sauvagerie, je lui arrachai sa chemise, la déchirant presque, lui retirant aussi son soutif au passage. Elle n’eut même pas le temps de m’en vouloir de ruiner ses affaires : car je la saisis par le dos, et la contre moi, avant de lui donner une série de coups de reins par en dessous, qui la firent gémir à fond. Elle se reprit bien vite, se dégagea de mon étreinte, et me saisit par le cou, avant de plaquer contre le dossier du siège, et de se remettre à me baiser comme une folle. Elle allait d’avant en arrière, de haut en bas, de gauche à droite, le tout à un rythme très élevé. Chaque fois que je tentai de la toucher, elle me refoulait, et me collai une gifle, tout en reprenant sa baise, plus sauvagement que jamais. Si quelqu’un avait pu nous voir, il aurait vu une vision de cauchemar : une fille ultra sexy, entrain de littéralement violer un mec. En fait, pas sûr que ce soit un cauchemar… Je n’avais pas dit mon dernier mot cependant. Je lui saisis ses cuisses, et la fis ralentir le rythme. Elle voulut à nouveau me saisir les mains comme tout à l’heure, me cette fois ci, je m’y attendais, et ce fut moi qui lui saisis les mains. Après une petite bataille que je gagnai, je les lui mis dans le dos, la tenant à ma merci. Je la contrôlai ! La soulevant à moitié, je la fis passer sur la banquette arrière, à quatre pattes.
Je la rejoignis sur la banquette arrière, et retirai mon t-shirt, parce que je commençai à sacrément être en sueur. Elle n’avait jamais été aussi dominante qu’à l’instant, et je devais absolument la corriger. Je voulus d’abord la prendre en levrette, mais je me dis que ce n’était pas suffisant. Je pris mon sexe, et lui enfonçai dans l’anus, sans douceur. Elle poussa un cri, mais ce n’était pas de douleur, elle ne devait pas en être à sa première sodomie. Je me mis à aller et venir dans son cul, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. « Oh bordel qu’est ce que c’est bon ! » gémit elle. « Oui j’adore défoncer ton cul » répondis-je. Je me mis à accélérer encore, lui tirant les cheveux, et me délectant de l’entendre gémir à fond, tout en frissonnant de plaisir : j’aimais tellement lui limer son cul, me sentir à l’étroit en elle, c’était tellement bon ! Le plaisir montait en moi, je commençais à avoir la vue brouillée, et à trembler tant c’était bon. Sentant l’orgasme approcher, j’accélérai le rythme, la saisissant par les cheveux, et lui donnant de puissants coups de reins, qui s’enfonçaient loin en elle. Tirant sur ses cheveux, je l’obligeai à me regarder, et me délectai de la voir prendre son pied, soumise à mes assauts. Le plaisir me fit défaillir, et j’eus un merveilleux orgasme, qui inonda son cul.
« Oh bordel c’était tellement bon ! Souffla-t-elle. »
« Je ne te le fais pas dire ! Répondis-je. »
Après m’être reposé un moment, je rentrai chez moi, heureux de cette nouvelle aventure.
« Salut tu vas bien ? »
« Ouais pas mal, et toi ? »
« Ca peut aller. Tu veux quoi ? »
Je passai ma commande, et elle transmit aux cuisines. Deux ou trois minutes plus tard, ma commande arriva, et Amina me la donna, un grand sourire aux lèvres. Je la remerciai et m’installai pour manger. Au bout d’un moment, je vis qu’elle m’avait laissé un petit message, griffoné à la hâte sur un bout de papier, laissé sur le plateau. « Je finis mon service dans une demi-heure, retrouve moi sur le parking. » Je me sentis aussitôt très excité : ce n’était sûrement pas pour discuter poliment, qu’elle me donnait rendez vous… Je finis mon repas, en prenant tout mon temps. Une fois la demi-heure passée, je me rendis sur le parking, toujours affamé. J’avais mangé certes, mais j’avais à présent faim d’autre chose… Amina m’attendait là, sur le parking, près d’une voiture rouge aux vitres teintées. Elle s’était changée, et était vêtue d’une chemise qui moulait parfaitement son imposante poitrine, et d’un jean qui mettait en valeur son fessier. Je sentis mon sexe se raidir légèrement à sa vue… En me voyant, elle sourit, et ouvrit la portière de sa voiture.
« Vas y, entre, assis toi. »
Sans discuter, je m’assis sur le siège passager. Au lieu d’aller s’asseoir sur le siège conducteur, Amina vint me rejoindre sur le siège passager, s’installant sur moi. Après avoir refermé la portière, elle se mit à m’embrasser avec fièvre, me plaquant contre le dossier du siège, frottant son imposant fessier contre mon sexe, qui devint vite très dur. Nous étions collés l’un à l’autre de façon très sensuelle, son visage à quelques centimètres du mien.
« Je te préviens, je suis morte de faim, ça fait trois heures que je sers des frites, maintenant, j’en veux pour moi ! »
« Tu vas en avoir une bien grosse, répondis-je en souriant. »
Souriant à son tour, elle me retira mon jean, puis mon caleçon, avec impatience. Elle se dévêtit également, ne gardant que sa chemise. Puis, sans plus tarder, elle s’empala sur moi. Elle devait être en manque depuis un moment, car elle semblait impatiente, et très sensible. Rien qu’en s’empalant sur moi, elle poussa un grand gémissement. Et, quand, poussée par son impatience, elle se mit à sauter sur mon sexe de haut en bas, très vite, elle poussa des cris de plaisir qui devaient s’entendre jusqu’ à l’autre bout du parking. Elle était vraiment en mode sauvage, me baisait très fort, m’embrassait comme une folle, et me mordait le menton, le tout en me souriant d’un air vicieux, et en me regardant droit dans les yeux comme pour me provoquer. Je frissonnais et gémissais doucement sous ses assauts, ce qui la poussait à me baiser encore plus fort. Décidé à participer un peu, je saisis ses hanches, et cherchai à contrôler le rythme de la baise. Mais elle me saisit les mains, et me les colla contre ses cuisses, m’emprisonnant littéralement.. Je tâchai de me débattre pour libérer mes mains, mais la posture était en sa faveur, et je perdis l’épreuve de force, ce qui lui tira un sourire ravi. Elle put alors se déchaîner sur moi comme elle le voulait, bondissant et rebondissant sur mon sexe, faisant de moi un sex-toy à sa disposition. Nous gémissions de concert, et je prenais fortement mon pied à être baisé comme ça. Mais mon orgueil de mâle, ne tarda pas à reprendre le dessus. Alors qu’elle était appliquée à me sauter comme une folle, sa pression sur mes mains diminuait. Je pus donc me les libérer, et participer plus activement à la baise. Je lui saisis les hanches, et diminuait le rythme de sa baise, lui souriant d’un air moqueur. Elle réagit en secouant ses hanches de gauche à droite, me faisant fondre de plaisir. Sa poitrine se secoua sous sa chemise, et je n’en pus plus : il fallait que la voie nue. Dans un accès de sauvagerie, je lui arrachai sa chemise, la déchirant presque, lui retirant aussi son soutif au passage. Elle n’eut même pas le temps de m’en vouloir de ruiner ses affaires : car je la saisis par le dos, et la contre moi, avant de lui donner une série de coups de reins par en dessous, qui la firent gémir à fond. Elle se reprit bien vite, se dégagea de mon étreinte, et me saisit par le cou, avant de plaquer contre le dossier du siège, et de se remettre à me baiser comme une folle. Elle allait d’avant en arrière, de haut en bas, de gauche à droite, le tout à un rythme très élevé. Chaque fois que je tentai de la toucher, elle me refoulait, et me collai une gifle, tout en reprenant sa baise, plus sauvagement que jamais. Si quelqu’un avait pu nous voir, il aurait vu une vision de cauchemar : une fille ultra sexy, entrain de littéralement violer un mec. En fait, pas sûr que ce soit un cauchemar… Je n’avais pas dit mon dernier mot cependant. Je lui saisis ses cuisses, et la fis ralentir le rythme. Elle voulut à nouveau me saisir les mains comme tout à l’heure, me cette fois ci, je m’y attendais, et ce fut moi qui lui saisis les mains. Après une petite bataille que je gagnai, je les lui mis dans le dos, la tenant à ma merci. Je la contrôlai ! La soulevant à moitié, je la fis passer sur la banquette arrière, à quatre pattes.
Je la rejoignis sur la banquette arrière, et retirai mon t-shirt, parce que je commençai à sacrément être en sueur. Elle n’avait jamais été aussi dominante qu’à l’instant, et je devais absolument la corriger. Je voulus d’abord la prendre en levrette, mais je me dis que ce n’était pas suffisant. Je pris mon sexe, et lui enfonçai dans l’anus, sans douceur. Elle poussa un cri, mais ce n’était pas de douleur, elle ne devait pas en être à sa première sodomie. Je me mis à aller et venir dans son cul, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. « Oh bordel qu’est ce que c’est bon ! » gémit elle. « Oui j’adore défoncer ton cul » répondis-je. Je me mis à accélérer encore, lui tirant les cheveux, et me délectant de l’entendre gémir à fond, tout en frissonnant de plaisir : j’aimais tellement lui limer son cul, me sentir à l’étroit en elle, c’était tellement bon ! Le plaisir montait en moi, je commençais à avoir la vue brouillée, et à trembler tant c’était bon. Sentant l’orgasme approcher, j’accélérai le rythme, la saisissant par les cheveux, et lui donnant de puissants coups de reins, qui s’enfonçaient loin en elle. Tirant sur ses cheveux, je l’obligeai à me regarder, et me délectai de la voir prendre son pied, soumise à mes assauts. Le plaisir me fit défaillir, et j’eus un merveilleux orgasme, qui inonda son cul.
« Oh bordel c’était tellement bon ! Souffla-t-elle. »
« Je ne te le fais pas dire ! Répondis-je. »
Après m’être reposé un moment, je rentrai chez moi, heureux de cette nouvelle aventure.
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