Amour avec ma nouvelle.
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-10-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Amour avec ma nouvelle.
J'étais toujours célibataire et ça me pesait. J'ai rencontré Marie. Elle
m'a tapé dans l'oeuil dès que je l'ai vu. Elle est grande: 1 m 75, brune,
yeux marrons, visage ovale et je ne parle pas du reste que j'ai découvert
un peu plus tard. Nous étions chez des amis communs et ce n'est qu'en
partant que nous nous sommes aperçus que nous étions ensemble depuis le
début. Le coup de foudre réciproque jouait. Nous ne nous sommes pas quittés
et avons été dans un bistrot ouvert très tard. C'est là que je lui ai fait
deux doigts de cour. Elle appréciait que je lui dise que je la trouvais
très belle. Quand je lui ai dit qu'elle était très attirante elle
m'a répondu qu'elle aussi me trouvait attirant. Nous avons échangé notre
premier baiser.
Elle embrassait tellement bien que je ne voulais plus nous arrêter. Je
l'invitais pour déjeuner le lendemain. Elle acceptait avec joie.
Le lendemain , nous avons déjeuné rapidement: quelque chose nous poussait à
nous lever et partir. Naturellement sans le chercher particulièrement nous
nous sommes retrouvés chez elle. Elle ma fait assoir sur un divan et s'est
installée près de moi. Je l'ai prise dans mes bras: elle me laissait faire.
Je posais ma bouche sur la sienne. Notre baiser était encore meilleur que
le premier. Je n'osais pas aller trop loin: elle si. Elle se lovait contre
moi et je sentais qu'elle voulait encore plus. Je lui prenais un sein dans
la main et le caressais
lentement sans m'y acharner. nos lèvres séparées elle me demandait de bien
la caresser.
Finalement c'est elle qui me cherchait. Je posais une main sur son genou:
elle posait la sienne sur la mien. Je remontais doucement en caressant
l'intérieur de sa jambe. Elle me reprenait la bouche pendant que j'arrivais
en haut. elle portait une simple culotte. J'arrivais à passer mes doigts
vers son sexe. Je ne voulais pas la branler de suite. Elle levait pour se
déshabiller devant moi. Je l'imitais et nous nous sommes bien regardés: sa
poitrine dure aux tétons bien dressés, son pubis à peine rasé, ses longues
jambes sur des hanches larges m'excitais au plus heur point. Son regard
venait surtout sur ma bite bandée. J'ai une bite fine mais longue ( 20
centimètres). Nous nous sommes serrés et nos lèvres une nouvelles fois se
sont rencontrées. A nouveau assis je remettais ma main sur sa moule. Cette
fois je passais mes doigts dans sa fente de bas en haut: quand j'arrivais à
son clitoris, elle se tendait comme un arc et s'offrait encore plus. Je lui
frôlais le bouton avant de le branler carrément. elle me mordais presque
les lèvres. Enfin elle prenait ma queue dans une main et avec savoir faire
elle me branlait très lentement: elle ne voulat pas me faire jouir. Ma main
sur son con sentais enfin qu'elle jouissait.
Elle m'entrainait vers la chambre et me poussait sur le lit. Elle venait
près de moi, entre mes bras, ses lèvres sur le miennes. Cette fois je
prenais tout mon temps pour la caresser et trouver ses points sensibles.
J'embrassais d'abord ses seins qui m'éblouissaient. Ses tétonsdurcissaient
et je pouvais encore mieux les sucer. Je passais mes mains dans son
dos et lui caressais en descendant jusqu'aux fesses. Elle se laissait faire
et semblait approuver. Je la tournait sur le ventre et je m'attaquais à ses
fesses et je lui mettait mes doigts entres elles. Je trouvais son cul que
je caressais également, sans y rentrer. Elle prenait encore ma main et
appuyait dessus: je rentrais un peu mon doigt: il me semblait qu'elle
l'avalait. Je faisait quelques vas et vient: elle se laissait toujours
faire. Je pensais que j'était tombé sur un de ces filles rares qui aiment à
peu près tout en amour. Soudain elle se retournait et venait tête au pied.
Elle ne disait rien, elle agissait: elle prenait ma bite dans sa bouche et
me donnait en échange son con. Notre 69 débutait sous les meilleures
auspices. Je sentais sur la bouche son clitoris en relevant un peu la tête.
Je voyais son joli cul et j'y remettais encore un doigt, puis deux.
J'aimais immédiatement le goût et l'odeur de son sexe. Je sentais ses
lèvres le long de ma tige, sa langue sur mon gland et ses mains
sur mes couilles. Nous n'allions pas vite pour déguster l'instant présent.
Malgré nos efforts nous ne pouvions malheureusment pas rester sans jouir.
Elle sentait que j'allais avoir un orgasme: elle tenait bien ma queue dans
sa bouche pour boire ma liqueur. Nous jouissions presque ensemble; elle un
petit peu plus vite. Sa cyprine avait un très bon goût. Nous sommes restés
un bon moment comme nous étions, j'avais encore sur ma bouche son con
et elle gardait ma bite dans sa bouche. Elle devait le faire exprès: elle
n'arrêtait pas de me sucer jusqu'au moment où je bandais encore. Elle
revenait contre moi.
Je voulais la baiser et je me mettais sur elle: comprenant ce que je
voulais et qu'elle désirait elle écartait les jambes et guidait ma pine
vers son logement: c'était notre première fois, par la suite elle n'avait
plus besoin de me diriger. Je rentrais en elle lentement: elle fermait les
yeux pour profiter de ma queue. Je commençais à la limait: elle mettait ses
jambes autour de ma taille. Nous sommes restés en baisant un bon moment:
Elle jouissait plusieurs fois.
Elle n'arrêtait pas de m'embrasser. Je retrouvais sur sa langue le goût de
mon sperme. Je n'aurais pas voulu nous arrêter de baiser tellement nous
étions bien l'un dans l'autre. Finalement je n'ai pas pu tenir: à mon tour
je jouissais dans son con. Je ne sais si c'est ça : elle jouissait encore à
ce moment là. Nous nous sommes reposés un instant: elle toujours
dans mes bras, sa tête sur mon épaule, ses main sur mon torse qui me
caressait les seins.
Nous bavardions de nous, de notre coup de folie. Elle commençait à ma
raconter sa vie sentimentale et sexuelle, sans complexe, ni fausse honte.
je sentais qu'elle me disait tout sur elle. Elle avait baisé la première
fois vers 16 ans et n'y avait pas trouver de plaisir bien particulier. Par
la suite, ses amants la contentaient largement. Elle me disait qu'elle
aimait se masturber. Ses confessions venaient sans que je lui ai rien
demandé: c'était normal pour elle de me raconter son avant. Elle
m'interrogeait aussi sur ma vie. Je m'était branlé la première fois vers 13
ans et j'ai été déniaisé par une amie de ma mère à 17 ans. Depuis j'ai
connu de nombreuses femmes sans m'y attacher, alors que là..........
Elle m'a fait encore bander. Je me doutais bien qu'il lui fallait quelque
chose de précis. En effet elle se mettait en levrette et me tendait ses
fesses. Je me mettais derrière elle, la bite en avant et je lui mouillais
le cul avec ma salive. Je posais ma queue sur son anus et restais ainsi un
petit moment. Elle s'impatientait et me demandait de la lui mettre.
Lentement son cul aspirait ma queue: je rentrais facilement et l'enfonçais
ma pine à fond dans son cul. Elle me disait de ne pas arrêter et de la lui
mettre complètement. Elle jouissait plusieurs fois. Enfin à mon tour je lui
déchargeais dedans. je sortait d'elle. Ni l'un ni l'autre n'avions
envie de cesser cette bonne baise.
Pour nous reposer elle m'entraine dans son séjour, allume la télé et passe
un film porno. Nous sommes nus, et elle pose une main sur son bas ventre
prêt à se caresser. je lui met un bras sur les épaules: elle me sourit et
m'embrasse. Le film défile jusqu'au moment où se déroule une scène
particulièrement relevée: deux filles s'occupent d'elles et d'un homme. Sa
main descend vers son clitoris. Son autre main prend ma queue et me branle
pour me faire jouir. Elle branle aussi bien qu'elle baise, c'est dire si
mon plaisir est grand. Quand je jouis, elle regarde bien mon jet de sperme.
Elle ne fait rien pour le mettre dans la bouche. Non elle le laisse sur le
sol. Ce n'est qu'après qu'elle me prend en bouche. Je lui fait enlever sa
main de son clitoris et la remplace par la mienne. Je la branle un bon
moment: elle jouit et ses mouvement sur la queue dans sa bouche font
qu'elle me fait partir encore une fois. Je ne pensais jamais jouir autant
en si peu de temps.
Nous sommes affamés par cet après-midi. Nous ressortons et allons manger un
quelque chose. dès que notre repas est fini je l'emmène chez moi. Cette
fois nous n'attendons pas: nous sommes nus en quelques instants et nous
reprenons là où nous en étions: une autre baise. J'ai envie de la sucer
sans qu'elle me touche. Je l'assoit sur mon lit, elle écarte les
cuisses et me donne son sexe. Je passe ma langue d'abord sur son cul où je
la rentre le plus possible. Elle me demande de ne pas arrêter: elle aime
sentir ma langue sur ou dans son cul. Je ne pensais pas qu'elle jouisse de
cette simple caresse. je remonte ma langue et la lui met dans la vulve.
Cette fois encore je ne doit pas arrêter quand je suis dedans. enfin
j'attrape son clitoris entre mes lèvres et la lèche jusqu'à ce qu'elle
jouisse.
Elle se couche sur le ventre pour que je lui caresse toute sa partie
antérieure, du dos aux fesses où je m'attarde volontiers. Je l'embrasse
dans le cou, sous ses longs cheveux. Elle garde ses mains le long de son
corps sans bouger: elle se contente du plaisir d'être sous ma coupe. Je
recommence à bander. Je me couche sur elle: elle ne bouge toujours pas,
sinon qu'elle pose l'oreiller sur son ventre, écarte ses cuisses pour me
permettre d'avoir accès à son cul. Je lui met ma queue dans le cul
facilement et je la lime. Cette fois encore, elle bouge en rythme avec moi
et jouit encore plusieurs fois. Il faut dire qu'elle se branle en
même temps. Nous sommes complètement vidés, comme après une nuit de noce.
Nous ne savons pas encore: c'est notre nuit de noce. Depuis plus de 5 ans
nous vivons ensemble et notre appétit pour l'autre n'a pas faiblit un seul
instant. Nous ne baisons pas comme cette première fois. Il nous arrive de
nous branler l'un devant l'autre pour nous exciter, surtout elle. De temps
en temps nous nous payons une nuit d'amour complète ce qui nous rappelle de
tendres souvenirs.
Un jour je lui ai demandé si elle ne voulait pas avoir avec nous une autre
personne: réponse après un autre baise formidable: ta queue me suffit et si
je veux changer je le fait quand je veux avec ma main. Qu'elle preuve
d'amour de moi, de ma queue surement.
m'a tapé dans l'oeuil dès que je l'ai vu. Elle est grande: 1 m 75, brune,
yeux marrons, visage ovale et je ne parle pas du reste que j'ai découvert
un peu plus tard. Nous étions chez des amis communs et ce n'est qu'en
partant que nous nous sommes aperçus que nous étions ensemble depuis le
début. Le coup de foudre réciproque jouait. Nous ne nous sommes pas quittés
et avons été dans un bistrot ouvert très tard. C'est là que je lui ai fait
deux doigts de cour. Elle appréciait que je lui dise que je la trouvais
très belle. Quand je lui ai dit qu'elle était très attirante elle
m'a répondu qu'elle aussi me trouvait attirant. Nous avons échangé notre
premier baiser.
Elle embrassait tellement bien que je ne voulais plus nous arrêter. Je
l'invitais pour déjeuner le lendemain. Elle acceptait avec joie.
Le lendemain , nous avons déjeuné rapidement: quelque chose nous poussait à
nous lever et partir. Naturellement sans le chercher particulièrement nous
nous sommes retrouvés chez elle. Elle ma fait assoir sur un divan et s'est
installée près de moi. Je l'ai prise dans mes bras: elle me laissait faire.
Je posais ma bouche sur la sienne. Notre baiser était encore meilleur que
le premier. Je n'osais pas aller trop loin: elle si. Elle se lovait contre
moi et je sentais qu'elle voulait encore plus. Je lui prenais un sein dans
la main et le caressais
lentement sans m'y acharner. nos lèvres séparées elle me demandait de bien
la caresser.
Finalement c'est elle qui me cherchait. Je posais une main sur son genou:
elle posait la sienne sur la mien. Je remontais doucement en caressant
l'intérieur de sa jambe. Elle me reprenait la bouche pendant que j'arrivais
en haut. elle portait une simple culotte. J'arrivais à passer mes doigts
vers son sexe. Je ne voulais pas la branler de suite. Elle levait pour se
déshabiller devant moi. Je l'imitais et nous nous sommes bien regardés: sa
poitrine dure aux tétons bien dressés, son pubis à peine rasé, ses longues
jambes sur des hanches larges m'excitais au plus heur point. Son regard
venait surtout sur ma bite bandée. J'ai une bite fine mais longue ( 20
centimètres). Nous nous sommes serrés et nos lèvres une nouvelles fois se
sont rencontrées. A nouveau assis je remettais ma main sur sa moule. Cette
fois je passais mes doigts dans sa fente de bas en haut: quand j'arrivais à
son clitoris, elle se tendait comme un arc et s'offrait encore plus. Je lui
frôlais le bouton avant de le branler carrément. elle me mordais presque
les lèvres. Enfin elle prenait ma queue dans une main et avec savoir faire
elle me branlait très lentement: elle ne voulat pas me faire jouir. Ma main
sur son con sentais enfin qu'elle jouissait.
Elle m'entrainait vers la chambre et me poussait sur le lit. Elle venait
près de moi, entre mes bras, ses lèvres sur le miennes. Cette fois je
prenais tout mon temps pour la caresser et trouver ses points sensibles.
J'embrassais d'abord ses seins qui m'éblouissaient. Ses tétonsdurcissaient
et je pouvais encore mieux les sucer. Je passais mes mains dans son
dos et lui caressais en descendant jusqu'aux fesses. Elle se laissait faire
et semblait approuver. Je la tournait sur le ventre et je m'attaquais à ses
fesses et je lui mettait mes doigts entres elles. Je trouvais son cul que
je caressais également, sans y rentrer. Elle prenait encore ma main et
appuyait dessus: je rentrais un peu mon doigt: il me semblait qu'elle
l'avalait. Je faisait quelques vas et vient: elle se laissait toujours
faire. Je pensais que j'était tombé sur un de ces filles rares qui aiment à
peu près tout en amour. Soudain elle se retournait et venait tête au pied.
Elle ne disait rien, elle agissait: elle prenait ma bite dans sa bouche et
me donnait en échange son con. Notre 69 débutait sous les meilleures
auspices. Je sentais sur la bouche son clitoris en relevant un peu la tête.
Je voyais son joli cul et j'y remettais encore un doigt, puis deux.
J'aimais immédiatement le goût et l'odeur de son sexe. Je sentais ses
lèvres le long de ma tige, sa langue sur mon gland et ses mains
sur mes couilles. Nous n'allions pas vite pour déguster l'instant présent.
Malgré nos efforts nous ne pouvions malheureusment pas rester sans jouir.
Elle sentait que j'allais avoir un orgasme: elle tenait bien ma queue dans
sa bouche pour boire ma liqueur. Nous jouissions presque ensemble; elle un
petit peu plus vite. Sa cyprine avait un très bon goût. Nous sommes restés
un bon moment comme nous étions, j'avais encore sur ma bouche son con
et elle gardait ma bite dans sa bouche. Elle devait le faire exprès: elle
n'arrêtait pas de me sucer jusqu'au moment où je bandais encore. Elle
revenait contre moi.
Je voulais la baiser et je me mettais sur elle: comprenant ce que je
voulais et qu'elle désirait elle écartait les jambes et guidait ma pine
vers son logement: c'était notre première fois, par la suite elle n'avait
plus besoin de me diriger. Je rentrais en elle lentement: elle fermait les
yeux pour profiter de ma queue. Je commençais à la limait: elle mettait ses
jambes autour de ma taille. Nous sommes restés en baisant un bon moment:
Elle jouissait plusieurs fois.
Elle n'arrêtait pas de m'embrasser. Je retrouvais sur sa langue le goût de
mon sperme. Je n'aurais pas voulu nous arrêter de baiser tellement nous
étions bien l'un dans l'autre. Finalement je n'ai pas pu tenir: à mon tour
je jouissais dans son con. Je ne sais si c'est ça : elle jouissait encore à
ce moment là. Nous nous sommes reposés un instant: elle toujours
dans mes bras, sa tête sur mon épaule, ses main sur mon torse qui me
caressait les seins.
Nous bavardions de nous, de notre coup de folie. Elle commençait à ma
raconter sa vie sentimentale et sexuelle, sans complexe, ni fausse honte.
je sentais qu'elle me disait tout sur elle. Elle avait baisé la première
fois vers 16 ans et n'y avait pas trouver de plaisir bien particulier. Par
la suite, ses amants la contentaient largement. Elle me disait qu'elle
aimait se masturber. Ses confessions venaient sans que je lui ai rien
demandé: c'était normal pour elle de me raconter son avant. Elle
m'interrogeait aussi sur ma vie. Je m'était branlé la première fois vers 13
ans et j'ai été déniaisé par une amie de ma mère à 17 ans. Depuis j'ai
connu de nombreuses femmes sans m'y attacher, alors que là..........
Elle m'a fait encore bander. Je me doutais bien qu'il lui fallait quelque
chose de précis. En effet elle se mettait en levrette et me tendait ses
fesses. Je me mettais derrière elle, la bite en avant et je lui mouillais
le cul avec ma salive. Je posais ma queue sur son anus et restais ainsi un
petit moment. Elle s'impatientait et me demandait de la lui mettre.
Lentement son cul aspirait ma queue: je rentrais facilement et l'enfonçais
ma pine à fond dans son cul. Elle me disait de ne pas arrêter et de la lui
mettre complètement. Elle jouissait plusieurs fois. Enfin à mon tour je lui
déchargeais dedans. je sortait d'elle. Ni l'un ni l'autre n'avions
envie de cesser cette bonne baise.
Pour nous reposer elle m'entraine dans son séjour, allume la télé et passe
un film porno. Nous sommes nus, et elle pose une main sur son bas ventre
prêt à se caresser. je lui met un bras sur les épaules: elle me sourit et
m'embrasse. Le film défile jusqu'au moment où se déroule une scène
particulièrement relevée: deux filles s'occupent d'elles et d'un homme. Sa
main descend vers son clitoris. Son autre main prend ma queue et me branle
pour me faire jouir. Elle branle aussi bien qu'elle baise, c'est dire si
mon plaisir est grand. Quand je jouis, elle regarde bien mon jet de sperme.
Elle ne fait rien pour le mettre dans la bouche. Non elle le laisse sur le
sol. Ce n'est qu'après qu'elle me prend en bouche. Je lui fait enlever sa
main de son clitoris et la remplace par la mienne. Je la branle un bon
moment: elle jouit et ses mouvement sur la queue dans sa bouche font
qu'elle me fait partir encore une fois. Je ne pensais jamais jouir autant
en si peu de temps.
Nous sommes affamés par cet après-midi. Nous ressortons et allons manger un
quelque chose. dès que notre repas est fini je l'emmène chez moi. Cette
fois nous n'attendons pas: nous sommes nus en quelques instants et nous
reprenons là où nous en étions: une autre baise. J'ai envie de la sucer
sans qu'elle me touche. Je l'assoit sur mon lit, elle écarte les
cuisses et me donne son sexe. Je passe ma langue d'abord sur son cul où je
la rentre le plus possible. Elle me demande de ne pas arrêter: elle aime
sentir ma langue sur ou dans son cul. Je ne pensais pas qu'elle jouisse de
cette simple caresse. je remonte ma langue et la lui met dans la vulve.
Cette fois encore je ne doit pas arrêter quand je suis dedans. enfin
j'attrape son clitoris entre mes lèvres et la lèche jusqu'à ce qu'elle
jouisse.
Elle se couche sur le ventre pour que je lui caresse toute sa partie
antérieure, du dos aux fesses où je m'attarde volontiers. Je l'embrasse
dans le cou, sous ses longs cheveux. Elle garde ses mains le long de son
corps sans bouger: elle se contente du plaisir d'être sous ma coupe. Je
recommence à bander. Je me couche sur elle: elle ne bouge toujours pas,
sinon qu'elle pose l'oreiller sur son ventre, écarte ses cuisses pour me
permettre d'avoir accès à son cul. Je lui met ma queue dans le cul
facilement et je la lime. Cette fois encore, elle bouge en rythme avec moi
et jouit encore plusieurs fois. Il faut dire qu'elle se branle en
même temps. Nous sommes complètement vidés, comme après une nuit de noce.
Nous ne savons pas encore: c'est notre nuit de noce. Depuis plus de 5 ans
nous vivons ensemble et notre appétit pour l'autre n'a pas faiblit un seul
instant. Nous ne baisons pas comme cette première fois. Il nous arrive de
nous branler l'un devant l'autre pour nous exciter, surtout elle. De temps
en temps nous nous payons une nuit d'amour complète ce qui nous rappelle de
tendres souvenirs.
Un jour je lui ai demandé si elle ne voulait pas avoir avec nous une autre
personne: réponse après un autre baise formidable: ta queue me suffit et si
je veux changer je le fait quand je veux avec ma main. Qu'elle preuve
d'amour de moi, de ma queue surement.
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