AMOUR CAUSSENARD

- Par l'auteur HDS Emile -
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : AMOUR CAUSSENARD Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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(9.0 / 10)

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AMOUR CAUSSENARD
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Malgré la beauté du site, la jeune femme se sent inquiète d'être ainsi recluse dans cet univers caussenard, perdu au milieu de nulle part. La route la plus proche est à plusieurs kilomètres d’un étroit chemin qui serpente dans la végétation méridionale. Le village est lointain. Le voisin immédiat gîte à une demi-heure de voiture. Mais la magnificence du site incite au repos.
Lors de son arrivée tardive en compagnie de son nouvel ami, ils n’ont d’autre choix que de se laisser aller à un sommeil réparateur dans l’immense chambre blanchie à la chaux. Elle est située au premier étage de cette ferme typique, à peine entrevue la veille dans le faisceau des phares de la voiture. La chaleur est telle qu’ils s’endorment difficilement après s’être totalement dénudés.
A son réveil, la lumière est intense à travers les volets à claire-voie. Elle est seule dans la chambre blanche. Elle tarde à se lever tout au plaisir sensuel de la fraîcheur matinale. Quand enfin elle se décide, elle s’étonne de ne plus trouver ni valise ni vêtement. Elle quitte la pièce et descend l’escalier à vis jusqu’à l’immense salle de séjour, vaguement gênée par sa nudité. Elle n’aime pas vraiment son corps massif et laiteux, aux seins lourds, son ventre légèrement arrondi. Seuls sa toison et ses cheveux blonds, ses yeux bleus et son visage poupin aux traits réguliers lui conviennent. Elle aime aussi ses fesses rebondies qui aimantent le regard des hommes.
La maison semble vide et la voiture a disparu de la cour. Elle s’imagine que son ami l’a empruntée pour faire quelques courses et suit l’odeur du café et du pain grillé jusqu’à la cuisine où elle se sustente. Le temps passe sans que la demeure ne bruisse de quelque occupant. Elle la visite et n’y trouve aucune trace de ses affaires à l’exception de sa trousse de toilette soigneusement rangée dans la salle de bains. Les armoires et certaines portes sont fermées au moyen de serrures de sécurité. Elle pense immédiatement aux étonnantes habitudes de son mystérieux amant et s’imagine soumise à lui, au milieu de nulle part, sans recours ni alternative. De plus, de nombreux animaux doivent peupler les fourrés de cet aride plateau calcaire. Elle sort et visite les abords sans trouver âme qui vive. Elle imagine mille yeux avides occupés à contempler l’indécence de son corps totalement dénudé.
Lorsque le désir mâtiné de crainte monte, elle s’engage sur le chemin d’accès dans l’espoir d’y trouver son ami. Ses pieds nus sont blessés par les pierres tranchantes qui le recouvrent, le soleil agresse sa peau nue et elle doit rapidement renoncer à son projet. Elle rentre et s’installe dans un profond divan ou elle s’endort à demi en position fœtale. Il est à peu près midi, lorsqu'elle est brutalement réveillée par le crissement d'un pas lourd sur le gravier de la cour. Son compagnon est de retour à pied, vêtu d'une étrange tenue paramilitaire, équipé d'un lourd sac à dos rempli de victuailles.
Il la contemple d’un œil égrillard mais, quand elle fait mine de lui adresser la parole, il l’ignore et se rue dans la cuisine pour décharger son sac. Lorsqu'elle lui réclame ses vêtements, il lui affirme qu’elle devra désormais s’en passer et lui intime l'ordre de préparer le repas. Alors qu'elle s’essaie à lui résister, il la saisit à la taille et plaque son torse sur la table de la cuisine, pieds au sol, jambes écartées et fesses offertes. De son doigt enduit de saindoux pris dans un pot tout proche, il lui caresse la raie culière puis la pénètre d’un puis deux de ses gros doigts. Elle se sent humiliée et pourtant terriblement excitée. Lorsqu’elle commence à se tortiller, il baisse son pantalon et la sodomise sans ménagement. Elle grimace de douleur. Il la bâillonne de sa main et continue son ouvrage.
Dans un premier temps, le corps de celle-ci se révolte contre l'agression. Puis ses sensations changent, ses sens s'échauffement, son cul s’offre et tout son être se soumet au point que son bourreau allège son étreinte. Lorsqu'il place ses mains à l'entrejambe de sa victime et entame une caresse tonique sur son sexe, son ventre se décontracte et ses fesses se détendent. Le plaisir monte en elle. Elle sent enfin son ventre agité de spasmes et de longs jets chauds emplissent son colon. Elle ne peut retenir un cri de plaisir.
Lorsqu'il sort de ses fesses, elle est au comble de la honte. Son étonnante jouissance, dont le masochisme s'explique difficilement, la met terriblement mal à l'aise. Elle n'ose regarder son agresseur et se précipite ainsi, nue et souillée, pour préparer le repas du midi. Celui-ci terminé, il la traite de « souillon » et lui impose un débarbouillage un peu particulier dans la baignoire. En effet, au jet brutal de la douche succèdent mille caresses intrusives au cours desquels ses orifices sont brutalement pénétrés par les doigts et le sexe du garçon. Encore une fois, à la répulsion succède le plaisir et au plaisir la honte. À l'heure de la sieste, il lui lie mains et jambes écartelées au montant du lit, la fouette doucement sur les seins et l’entrecuisse d’une badine de genévrier. Elle se tord d’un mélange de douleur et de plaisir. Après quelques minutes, il se lasse et s'endort à ses côtés du sommeil du juste. Elle somnole la tête peuplée d'images tantôt jouissives, tantôt cauchemardesques.
Les jours se suivent en apportant leur lot de honte et de plaisirs coupables. Elle ne peut se vêtir et ne connaît de repos que lorsqu'il quitte la maison. À ces moments-là elle est trop fatiguée pour tenter de s'enfuir et s'effondre d'un sommeil tourmenté. Elle ne voit plus de solution à son esclavage. Plus les jours avancent, plus il s'enhardit. Les tortures deviennent raffinées sans jamais laisser de traces et sont immédiatement suivies d'un de ces étonnants moments de plaisir intense. Désormais il filme leurs ébats dans le but de les vendre à des sites pornographiques. Du coup, son imagination n’a plus de limites et le corps de son amante est martyrisé sans vergogne. Sa gorge est envahie de son phallus, son sexe et son cul fistés en dilatation maximum, les sex-machines, les cordelettes et le bondage font leur apparition.
Et sans relâche elle alterne entre douleur et plaisir, puis s’effondre de honte. Plusieurs fois, en l’absence de son tourmenteur, elle s'éloigne pour fuir cet enfer mais la souffrance de ses pieds nus et l’absence de tout vêtement l'incitent au retour. A moins que ce ne soit cet attachement bizarre qui les lie, mélange de désir et de répulsion. Par la suite elle se sentira terriblement coupable et n'osera même plus envisager de quitter la maison et encore moins d'en parler à quiconque. Les badines et les chaines lui sont devenues familières.
Après plusieurs semaines de ce traitement, il revient accompagné de deux jeunes hommes de son acabit. Elle est offerte à eux et, fataliste, se soumet sans résistance. Ils vont toute une nuit abuser d'elle sans lui laisser une seconde de repos. Elle va les servir à table totalement nue. Elle doit se tenir debout auprès d’eux pour qu’ils puissent envahir ses seins, son sexe et ses fesses de leurs mains. Ils ne s’en privent pas puis l’enchaînent et la contraignent à de douloureuses promenades claudicantes dans la garrigue. Lorsqu’ils papotent autour d’un verre, elle doit se glisser sous la table et sucer leurs queues.
Ils vont la battre, la souiller, lui pénétrer la bouche, se succéder dans son cul écarteler sa vulve, pincer clitoris et tétons, la photographier dans mille positions humiliantes. Elle sera surprise par l'orgasme, le cul et le sexe envahi par leurs deux vits. Sous l'effet de la honte, son malaise va grandissant. Son « ami » ne cesse de lui dire combien il est fier de sa totale soumission, combien il trouve son corps servile agréable et son enthousiasme communicatif.
Maintenant, lorsqu'il s'absente, il la laisse en compagnie d'un impressionnant personnage de petite taille, velu comme un singe et étonnamment muet, qu’il a soustrait à la vindicte des habitants du village le plus proche. Ce dernier, d’abord spectateur de leurs ébats, en vient à participer au jeu sexuel. Un jour ou, une fois de plus, elle le caresse tendrement, elle perçoit son excitation sexuelle. Elle lui offre son cul à lécher et, devant l’ardeur de ce nouvel amant, décide se laisser prendre par lui à quatre pattes et aussi souvent qu'il le désire. Le bougre a une langue à faire damner un évêque.
Mais très vite les choses changent. L’homme est d'une telle énergie qu'il arrive même à lui faire ressentir des orgasmes multiples. Tantôt il prend sa vulve et tantôt son anus. Souvent son désir monte alors qu'il lui lèche une main, une jambe ou le visage. Progressivement sa langue évolue le long de son corps, écarte doucement ses cuisses et ses fesses jusqu'à pouvoir en respirer l’odeur, puis y pénétrer. Son puissant organe envahit sans problème sa vulve qui se dilate pour l'accueillir. Il sait détremper son cul et en dilater le sphincter. Parfois, lorsque la jeune femme tente de le repousser, il émet des grognements menaçants. Immédiatement elle se met à sa hauteur et lui présente sa croupe.
Chaque fois que cela arrive en sa présence, son ami contemple le spectacle avec envie puis l'humilie en la traitant de « chienne immonde ». Malheureusement, dans ce cas aussi, elle ressent un violent plaisir suivi d'une épouvantable honte. Il se refuse désormais à pénétrer autre chose que sa bouche pour éviter la rivalité avec l’homme. Chaque fois qu’il essaie de l’approcher, celui-ci grogne et menace. Sa jalousie ne fait aucun doute.
Rapidement, le lilliputien velu manifeste de la reconnaissance à celle qu’il a soumise et devient progressivement le rival du jeune homme. Lorsqu'un jour ce dernier perd son sang-froid et commence à la battre, ce nouvel amant, pour la défendre, lui saute à la gorge comme pour l’étrangler. Ses yeux, injectés de sang, lui donnent un air féroce.. Le jeune homme va devoir utiliser toute sa force pour se dégager. Saisi de peur, il ramasse quelques affaires et quitte le domaine. Lorsqu’elle essaie de le retenir, le muet s’interpose avec force. Elle hésite et essaie de l’amadouer en lui montrant sa soumission, ventre à terre. Rien n’y fait ! Peu de temps après, on entend le bruit du moteur de son véhicule, sans doute garé hors de vue, à proximité.
Bientôt, le nouveau maitre des lieux exige de sa partenaire un témoignage de reconnaissance qui la laissera épuisée et souillée à l’extrême. Il faut dire que sa connaissance des besoins sexuels de l’intéressé s'est considérablement affinée au gré du temps. Pendant des heures, il va lécher chaque centimètre carré de son corps soumis, aplati sur le sol, en insistant sur les recoins les plus intéressants. A plusieurs reprises, il va posséder son cul et sa vulve qu’elle lui présente à quatre pattes, bras fléchis et fesses en l’air. A chaque fois qu’elle essaie de se relever, il la plaque au sol et glisse à nouveau son visage entre ses fesses. Il enduit son corps de son abondante salive. Sa langue s’insinue au-delà de petites lèvres et du sphincter anal. Elle n’a plus peur de lui et va d’orgasme en orgasme.
Ils ne se quitteront plus. Elle lui offrira pendant bien des années son corps nu, sans cesse prêt à tout, sans cesse disponible à ses moindres désirs. La honte l’a quittée et elle aime ces moments amoureux avec son complice poilu. La nuit, il se glisse jusqu’à sa couche et la réveille de sa langue en attendant qu’elle lui offre sa croupe. Lorsqu’elle dort profondément, il peut pénétrer ses orifices dix fois de sa langue. Parfois, elle jouit dans son sommeil. Souvent elle prend la position et se soumet à son assaut.
Au jardin, il la bouscule et la fait tomber à quatre pattes pour la prendre. Elle écarte les jambes pour régler la hauteur et se rendre plus accessible. Il peut ensuite la pénétrer pendant de longues minutes sans éjaculer trop tôt. Quand ils quittent la maison, il n’accepte pas qu’elle revête un pantalon ni même une culotte. Lorsqu’elle a essayé, il a déchiré le vêtement de ses mains courtes et noueuses. Il veut pouvoir glisser sa main sous la robe, effleurer son cul longuement et caresser sa peau nue en toute circonstance. En hiver, elle n’est couverte que d’un manteau de laine et d’épais bas qui lui montent à mi-cuisse. Son corps ne connaît point d’entrave et elle se sent aussi nue qu’en été.
A plus d’une occasion, il a soulevé en public le vêtement de son amante et dévoilé ses fesses rebondies et son sexe blond, pour affirmer sa dominance sur elle. Les garçons du village se réjouissent de ces moments de grâce. Parfois, lorsqu’ils se déplacent en voiture, il lui pince la cuisse pour qu’elle s’arrête et se dénude. Il la pénètre au bord de la route ou du chemin et lèche soigneusement ses souillures avant qu’ils ne repartent. Un agriculteur voisin a même réussi à filmer la scène sur son portable et à la diffuser sur Internet. L’image est étonnante : le minuscule petit homme y chevauche un grand corps laiteux orné de blond, tout en contraste. Mais les acteurs sont difficiles à reconnaître.
Les deux nouveaux amants couleront des jours heureux jusqu'au décès de son minuscule amant. Elle redoublera d’ingéniosité, lors de son grand âge, pour continuer à satisfaire ses sens. Certains disent qu’ils l’ont vue s’aplatir sous lui et aider de sa main à la pénétration de sa vulve. Consciente de ne pouvoir réfréner les désirs de celui-ci, et paradoxalement heureuse de sa soumission, la jeune femme limitera les contacts avec les autres humains. Quant à son amant de jadis, nul ne sait ce qu’il en est advenu...

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Texte coquin : AMOUR CAUSSENARD
Histoire sexe : Une rose rouge
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