Amour d'outre tombe 3
Récit érotique écrit par Mlkjhg39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Amour d'outre tombe 3
Amour d’outre-tombe.
Xavier incline la tête, emplissant ses larges mains avec mes mamelles encore assez fermes. les malaxe férocement puis les presse, enfonçant ses pouces dans les mamelons. Je frissonne de plaisir, le massage de mes seins se communique directement à ma chatte qui dégouline, et pas de l’eau du jacuzzi. Il s’étend à côté de moi, ouvrant sa bouche pour engloutir un mamelon durci d’excitation et commence à le lécher méthodiquement, suçant et creusant ses joues, juste comme il devait le faire pour téter quand il était bébé. Je gémis, le besoin de sentir son sexe dans ma chatte s’accroît encore plus fort avec un tel traitement.
-Tu… tu peux toucher ma chatte maintenant, je l’implore.
Suite :
Il glisse sa main vers le bas, la pose entre mes cuisses pour explorer d’un doigt les lèvres de ma chatte. Il cesse alors de sucer ma poitrine et laisse une trace de salive sur mon corps jusqu’à mon jardin secret. J’écarte les jambes pour lui en faciliter l’accès. Mon esprit reprend le dessus, je m’apprête à tromper mon premier amour.
-Non, arrête, je ne peux pas ! Oh ! Et je me mets à pleurnicher.
Sa réponse, assez logique, relate la vérité.
-Si toi tu ne peux pas, ton corps lui le veut, il crève d'envie de se faire prendre ! Je le vois et peux le sentir.
Il est vrai que ma chatte me trahit tellement en suinte une cyprine abondante. Je ne lui réponds pas quand sa main trouve rapidement ma vulve en feu, son majeur excite mon clito et je lâche un gémissement suivi d'un nouveau « Noooon ». Je sais pertinemment que si ma tête se rebiffe et lui dit encore non, mon corps, lui, lui prouve le contraire en me faisant machinalement écarter encore plus les cuisses afin de me livrer complètement à Xavier bis.
Il pourrait aussitôt y plonger son dard mais c’est son visage qui se rapproche à quelques centimètres de ma fente.
Son majeur s’active maintenant dans mon vagin, me faisant gémir à nouveau. Il écarte encore plus mes cuisses, franchissant les dernières limites de ma pudeur. Je me laisse aller, m’apprêtant à ressentir mon plaisir sexuel refoulé depuis de nombreux mois. Il a la vue sur mon minou fraichement épilé car je me suis rendue chez l'esthéticienne quelques jours plus tôt, prémonition ?! J'avais éprouvé un certain plaisir lorsque qu’elle mettait sa main sur mon minou mais ça n’a rien de comparable avec celle de Xavier.
Nous nous regardons dans les yeux, je sens maintenant deux de ses doigts se glisser dans mon intimité pendant que son pouce se frotte à mon clito, déjà gonflé de désir.
J’ai à peine le temps de gémir que Xavier approche ses lèvres et embrasse ma vulve à pleine bouche pendant qu’une de ses mains s'aventure sur mes seins pour titiller mes tétons tendus et hyper sensibles au désir qui m'envahit.
Il est très doux et très patient, prenant son temps, contrairement à son « prédécesseur » qui cherchait souvent à conclure trop vite. Je ne me rappelle pas avoir été aussi hyper-sensible aux caresses de mon défunt mari, chacune d'elles me fait vibrer et gémir, pourquoi réfréner mon plaisir ? Je ne me souviens pas d’avoir jamais mouillé comme ça, ma chatte est trempée. Mes jambes toujours levées, afin de lui permettre de fouiller à son aise ma grotte, je sens ses doigts experts, tantôt sur mon clito ou au fond de moi à la recherche de mon jus, me faisant couiner de plaisir, comme au nirvana quand il trouve mon point G.
Des spasmes me vrillent le ventre, je comprends que pour la première fois de ma vie, je vais vivre mon premier orgasme sans même qu’un homme ne m’ait pénétrer avec son sexe.
Sous la pression de ses caresses, l'irréparable est franchi, même si je n'ai pas encore été pénétrée, je sais que je vais bientôt l'être par ce merveilleux amant. Je suis nue devant lui, complètement offerte, me sentant libre de connaître à nouveau le plaisir, et je subodore que je vais aller de découvertes en découvertes.
Il a sa tête entre mes cuisses et je frissonne lorsque je sens son souffle à l'entrée de mon jardin aux plaisirs ! Je contracte mon bas-ventre quand sa langue entre dans la danse, me faisant lâcher un gémissement, j’y trouve un plaisir immense et rarement ressenti, une envie folle, envie de tout, envie de le laisser faire ce qu’il veut de moi, ne rien lui interdire.
Il s'emploie à me titiller le clitoris, à me bouffer la chatte de ses lèvres, à faire pénétrer sa langue dans ma chatte, je ne peux de nouveau retenir le plaisir qu'il me procure, gémissant à tout va, les yeux révulsés. Je sens venir un second orgasme, alors que je ne me croyais incapable d’une telle prouesse avec seulement ses doigts et sa bouche. J’ai une terrible envie, envie d'être prise, de le sentir en moi, voyant son engin dressé comme un étendard, cette chose que j'attends en moi maintenant avec impatience.
Il quitte mes lèvres vaginales pour m’embrasser à pleine bouche, cherchant même ma langue avec la sienne, me faisant goûter la saveur de ma mouille.
Nous sommes debout, nous fixant du regard, avec mes doigts, j'écarte les lèvres de mon sexe pour lui confirmer que je l’attends. Il est bien doté par la nature et l’huis où va pénétrer n’est encore qu’entrouvert. Mon ventre est affamé, mes seins se transforment de pommes en obus, attirés par sa superbe érection qui se dresse entre nous, il m’attire contre lui. Le seul contact de nos peaux avec cette barre coincée entre nous m’arrache un râle d’émoi. Je donne le départ à mon premier rapport extra-conjugal, à mon défunt chéri, qui va bientôt être cocu.
Je veux assumer ce choix et joins mes bras autour de son cou, me soulève pour nouer mes jambes autour de ses hanches, poussant un petit cri de satisfaction quand il empaume ma croupe, passe ses mains sous mes cuisses en pliant les genoux pour plus aisément m’embrocher, se redresse et me cloue contre la porte de la chambre.
Mon vagin l’absorbe, la formidable tige coulisse beaucoup plus facilement dans mon conduit que je le craignais, le gland butte au fond de ma matrice. Il me tient les jambes serrées, me pilonne lentement et précautionneusement, puis de plus en plus fort. Je sens ses couilles battre mes cuisses. Je contracte mes muscles vaginaux, serre son formidable organe à l’intérieur de moi pour bien sentir cette poutre qui n’a rien à voir avec ce que j’ai déjà connu, je mouille terrible, pousse des petits cris inarticulés, lui grogne, ponctué de « han » à chaque coup de bite qu’il m’administre. Drôle de concert…
Pour la première fois depuis mon veuvage, un autre sexe est rentré en moi, j'apprécie pourtant pleinement cet instant, sentant que je vais encore jouir, je n'ai jamais autant joui, autant pris de plaisir. Je remarque alors qu’il ne parvient pas à rentrer son membre en entier, il est bien trop long ou alors c’est moi qui ne suis pas assez profonde. Au-dessus de ses couilles, sa hampe d’une longueur tellement phénoménale pour moi me donne l’impression d’être face au sexe géant qui hante parfois mes fantasmes. Il me possède ainsi un bon moment, accrochée à lui comme une moule sur un rocher sans me laisser reprendre pied, sans quitter l’étui chaud où il est fiché.
Une bonne dizaine de minutes d’acharnement plus tard dans mon sexe, il est en nage, halète en me faisant monter et descendre sur son pieu. Il fatigue et me repose au sol. Je m’accroche à son cou, sa verge toujours fichée en moi, je jouis une nouvelle fois à cet instant-là.
Il pirouette sur place et s’assied sur l’accoudoir d’un fauteuil. Je suis maintenant assise au-dessus de lui. Mon ventre entame un mouvement de houle, montant et descendant autour du pieu qui me remplit. Je gémis et soupire, il émet du fond de la gorge un feulement rauque. Chacun de nous se sent au bord de l’explosion mais se retient pour faire durer le plus longtemps ce moment de communion. Il est au tréfond de moi, j'enserre ses jambes avec les miennes, mes bras sur ses épaules, en ondulant du bassin, sortant son rostre de mon vagin avant d'y retourner violemment en lâchant de petits gémissements. J’entreprends des va et vient sur sa teub, la plantant bien profond en moi. Je ne gémis plus, mais hurle à chaque coup d’un plaisir immense et indescriptible qui m'envahit tout le ventre en me pilonnant avec vivacité avec sa dague pendant qu’il m’embrasse un peu partout, comme si ce qui se passe plus bas ne le concerne pas.
Je voudrais qu'il vienne, là maintenant, tout de suite, qu’il me gave de son jus. Mes jambes autour des siennes, mes mains appuient sur ses fesses pour qu'il me pénètre encore plus fort. Je suis véritablement pleine, mon vagin dilaté à l’extrême par son sexe, par cette colonne de chair enfoncée loin en moi, comme s’il m’avait remplie jusqu’à l’estomac. Xavier n’a pas besoin de bouger tant la pression que j’exerce sur lui est grande. Il doit ressentir chacun de mes moindres tressaillements. Je ne mouille plus, mon jus coule maintenant à flot et soudain j’explose une nouvelle fois, hurle encore une fois, mon vagin tellement étiré se contracte avec une force incroyable, lui broyant véritablement la bite en spasmes ininterrompus, je jouis en une longue série de tremblements qui se succèdent, prise d’une crise orgasmique dont je ne me croyais pas capable et qui dure, qui dure…
Dans mon trip, je sens la verge de Xavier se gonfler sous mes assauts, j’ai fini par provoquer son orgasme, son plaisir arrive à toute vitesse. Je la sens gonfler dans mon ventre. Il vient, il est là, il m’accompagne dans la jouissance. Il se vide enfin. Son sperme s’écoule dans mon ventre, en longs jets, en longues saccades qui se déversent en moi, renforçant la tornade de plaisir qui commence dans mes reins pour s’achever dans ma tête, exacerbant tous les sens de mon corps. Xavier vient de se vider une nouvelle fois mais en inondant cette fois mes entrailles. Son sperme chaud, son jus a envahi ma grotte, le premier « autre » que celui de mon défunt mari. Bien que ça soit sa deuxième jouissance, la dose est encore très abondante, rien à voir avec son prédécesseur, et c’est si bon !
Je reste immobile, comme paralysée. Je ne suis plus qu’un réceptacle à bite et mon cerveau est incapable d’avoir d’autres pensées pour le moment, pour le plaisir qui en découle.
Je me laisse choir sur lui. Je l’écrase de tout mon poids pour sentir sa force tranquille sur moi. Si mon corps a difficilement accepté son énorme gourdin au début, j’en redemande, je ne veux plus le laisser partir. Je serre mes muscles, contracte mon vagin pour le garder en moi. Mais Xavier n’en peut plus. Il débande enfin. Malgré tous mes efforts, je ne peux empêcher sa verge de me quitter. Je me vide de nos ébats, un flot de foutre et de cyprine s’écoule sur lui. Je bascule sur le fauteuil prêt de lui. Cette « première » avec mon merveilleux amant a été fabuleuse. Je l’embrasse, je suis en sueur. Je pose négligemment ma main sur son bas-ventre, je suis choquée. Je croyais qu’il avait complètement débandé mais je découvre sous mes doigts une « demi-molle », malgré cet état, la comparaison de son chibre avec celui de mon défunt mari¬ ne lui laisserait aucune chance.
Je ne suis pas une fille qui aime vivre dans le péché, un an après, nous étions mariés. Mais ma vie sexuelle n’a plus rien à voir avec celle dont je me contentais auparavant. Il m’a fait découvrir l’épanouissement que l’on peut ressentir quand on trouve un partenaire à la hauteur. Je ne reproche rien à mon premier amour, ce n’est pas ça. Mais un bel étalon toujours prêt à faire monter sa femme aux rideaux, et qui en plus, a une que d’âne, c’est « Le Pied ».
Une suite ? Peut-être un jour… Mais oserais-je vous dévoiler ce qu’il m’a fait connaître par la suite ? J’étais un peu sur la défensive au début, mais il est très persuasif, et je ne regrette rien.
Xavier incline la tête, emplissant ses larges mains avec mes mamelles encore assez fermes. les malaxe férocement puis les presse, enfonçant ses pouces dans les mamelons. Je frissonne de plaisir, le massage de mes seins se communique directement à ma chatte qui dégouline, et pas de l’eau du jacuzzi. Il s’étend à côté de moi, ouvrant sa bouche pour engloutir un mamelon durci d’excitation et commence à le lécher méthodiquement, suçant et creusant ses joues, juste comme il devait le faire pour téter quand il était bébé. Je gémis, le besoin de sentir son sexe dans ma chatte s’accroît encore plus fort avec un tel traitement.
-Tu… tu peux toucher ma chatte maintenant, je l’implore.
Suite :
Il glisse sa main vers le bas, la pose entre mes cuisses pour explorer d’un doigt les lèvres de ma chatte. Il cesse alors de sucer ma poitrine et laisse une trace de salive sur mon corps jusqu’à mon jardin secret. J’écarte les jambes pour lui en faciliter l’accès. Mon esprit reprend le dessus, je m’apprête à tromper mon premier amour.
-Non, arrête, je ne peux pas ! Oh ! Et je me mets à pleurnicher.
Sa réponse, assez logique, relate la vérité.
-Si toi tu ne peux pas, ton corps lui le veut, il crève d'envie de se faire prendre ! Je le vois et peux le sentir.
Il est vrai que ma chatte me trahit tellement en suinte une cyprine abondante. Je ne lui réponds pas quand sa main trouve rapidement ma vulve en feu, son majeur excite mon clito et je lâche un gémissement suivi d'un nouveau « Noooon ». Je sais pertinemment que si ma tête se rebiffe et lui dit encore non, mon corps, lui, lui prouve le contraire en me faisant machinalement écarter encore plus les cuisses afin de me livrer complètement à Xavier bis.
Il pourrait aussitôt y plonger son dard mais c’est son visage qui se rapproche à quelques centimètres de ma fente.
Son majeur s’active maintenant dans mon vagin, me faisant gémir à nouveau. Il écarte encore plus mes cuisses, franchissant les dernières limites de ma pudeur. Je me laisse aller, m’apprêtant à ressentir mon plaisir sexuel refoulé depuis de nombreux mois. Il a la vue sur mon minou fraichement épilé car je me suis rendue chez l'esthéticienne quelques jours plus tôt, prémonition ?! J'avais éprouvé un certain plaisir lorsque qu’elle mettait sa main sur mon minou mais ça n’a rien de comparable avec celle de Xavier.
Nous nous regardons dans les yeux, je sens maintenant deux de ses doigts se glisser dans mon intimité pendant que son pouce se frotte à mon clito, déjà gonflé de désir.
J’ai à peine le temps de gémir que Xavier approche ses lèvres et embrasse ma vulve à pleine bouche pendant qu’une de ses mains s'aventure sur mes seins pour titiller mes tétons tendus et hyper sensibles au désir qui m'envahit.
Il est très doux et très patient, prenant son temps, contrairement à son « prédécesseur » qui cherchait souvent à conclure trop vite. Je ne me rappelle pas avoir été aussi hyper-sensible aux caresses de mon défunt mari, chacune d'elles me fait vibrer et gémir, pourquoi réfréner mon plaisir ? Je ne me souviens pas d’avoir jamais mouillé comme ça, ma chatte est trempée. Mes jambes toujours levées, afin de lui permettre de fouiller à son aise ma grotte, je sens ses doigts experts, tantôt sur mon clito ou au fond de moi à la recherche de mon jus, me faisant couiner de plaisir, comme au nirvana quand il trouve mon point G.
Des spasmes me vrillent le ventre, je comprends que pour la première fois de ma vie, je vais vivre mon premier orgasme sans même qu’un homme ne m’ait pénétrer avec son sexe.
Sous la pression de ses caresses, l'irréparable est franchi, même si je n'ai pas encore été pénétrée, je sais que je vais bientôt l'être par ce merveilleux amant. Je suis nue devant lui, complètement offerte, me sentant libre de connaître à nouveau le plaisir, et je subodore que je vais aller de découvertes en découvertes.
Il a sa tête entre mes cuisses et je frissonne lorsque je sens son souffle à l'entrée de mon jardin aux plaisirs ! Je contracte mon bas-ventre quand sa langue entre dans la danse, me faisant lâcher un gémissement, j’y trouve un plaisir immense et rarement ressenti, une envie folle, envie de tout, envie de le laisser faire ce qu’il veut de moi, ne rien lui interdire.
Il s'emploie à me titiller le clitoris, à me bouffer la chatte de ses lèvres, à faire pénétrer sa langue dans ma chatte, je ne peux de nouveau retenir le plaisir qu'il me procure, gémissant à tout va, les yeux révulsés. Je sens venir un second orgasme, alors que je ne me croyais incapable d’une telle prouesse avec seulement ses doigts et sa bouche. J’ai une terrible envie, envie d'être prise, de le sentir en moi, voyant son engin dressé comme un étendard, cette chose que j'attends en moi maintenant avec impatience.
Il quitte mes lèvres vaginales pour m’embrasser à pleine bouche, cherchant même ma langue avec la sienne, me faisant goûter la saveur de ma mouille.
Nous sommes debout, nous fixant du regard, avec mes doigts, j'écarte les lèvres de mon sexe pour lui confirmer que je l’attends. Il est bien doté par la nature et l’huis où va pénétrer n’est encore qu’entrouvert. Mon ventre est affamé, mes seins se transforment de pommes en obus, attirés par sa superbe érection qui se dresse entre nous, il m’attire contre lui. Le seul contact de nos peaux avec cette barre coincée entre nous m’arrache un râle d’émoi. Je donne le départ à mon premier rapport extra-conjugal, à mon défunt chéri, qui va bientôt être cocu.
Je veux assumer ce choix et joins mes bras autour de son cou, me soulève pour nouer mes jambes autour de ses hanches, poussant un petit cri de satisfaction quand il empaume ma croupe, passe ses mains sous mes cuisses en pliant les genoux pour plus aisément m’embrocher, se redresse et me cloue contre la porte de la chambre.
Mon vagin l’absorbe, la formidable tige coulisse beaucoup plus facilement dans mon conduit que je le craignais, le gland butte au fond de ma matrice. Il me tient les jambes serrées, me pilonne lentement et précautionneusement, puis de plus en plus fort. Je sens ses couilles battre mes cuisses. Je contracte mes muscles vaginaux, serre son formidable organe à l’intérieur de moi pour bien sentir cette poutre qui n’a rien à voir avec ce que j’ai déjà connu, je mouille terrible, pousse des petits cris inarticulés, lui grogne, ponctué de « han » à chaque coup de bite qu’il m’administre. Drôle de concert…
Pour la première fois depuis mon veuvage, un autre sexe est rentré en moi, j'apprécie pourtant pleinement cet instant, sentant que je vais encore jouir, je n'ai jamais autant joui, autant pris de plaisir. Je remarque alors qu’il ne parvient pas à rentrer son membre en entier, il est bien trop long ou alors c’est moi qui ne suis pas assez profonde. Au-dessus de ses couilles, sa hampe d’une longueur tellement phénoménale pour moi me donne l’impression d’être face au sexe géant qui hante parfois mes fantasmes. Il me possède ainsi un bon moment, accrochée à lui comme une moule sur un rocher sans me laisser reprendre pied, sans quitter l’étui chaud où il est fiché.
Une bonne dizaine de minutes d’acharnement plus tard dans mon sexe, il est en nage, halète en me faisant monter et descendre sur son pieu. Il fatigue et me repose au sol. Je m’accroche à son cou, sa verge toujours fichée en moi, je jouis une nouvelle fois à cet instant-là.
Il pirouette sur place et s’assied sur l’accoudoir d’un fauteuil. Je suis maintenant assise au-dessus de lui. Mon ventre entame un mouvement de houle, montant et descendant autour du pieu qui me remplit. Je gémis et soupire, il émet du fond de la gorge un feulement rauque. Chacun de nous se sent au bord de l’explosion mais se retient pour faire durer le plus longtemps ce moment de communion. Il est au tréfond de moi, j'enserre ses jambes avec les miennes, mes bras sur ses épaules, en ondulant du bassin, sortant son rostre de mon vagin avant d'y retourner violemment en lâchant de petits gémissements. J’entreprends des va et vient sur sa teub, la plantant bien profond en moi. Je ne gémis plus, mais hurle à chaque coup d’un plaisir immense et indescriptible qui m'envahit tout le ventre en me pilonnant avec vivacité avec sa dague pendant qu’il m’embrasse un peu partout, comme si ce qui se passe plus bas ne le concerne pas.
Je voudrais qu'il vienne, là maintenant, tout de suite, qu’il me gave de son jus. Mes jambes autour des siennes, mes mains appuient sur ses fesses pour qu'il me pénètre encore plus fort. Je suis véritablement pleine, mon vagin dilaté à l’extrême par son sexe, par cette colonne de chair enfoncée loin en moi, comme s’il m’avait remplie jusqu’à l’estomac. Xavier n’a pas besoin de bouger tant la pression que j’exerce sur lui est grande. Il doit ressentir chacun de mes moindres tressaillements. Je ne mouille plus, mon jus coule maintenant à flot et soudain j’explose une nouvelle fois, hurle encore une fois, mon vagin tellement étiré se contracte avec une force incroyable, lui broyant véritablement la bite en spasmes ininterrompus, je jouis en une longue série de tremblements qui se succèdent, prise d’une crise orgasmique dont je ne me croyais pas capable et qui dure, qui dure…
Dans mon trip, je sens la verge de Xavier se gonfler sous mes assauts, j’ai fini par provoquer son orgasme, son plaisir arrive à toute vitesse. Je la sens gonfler dans mon ventre. Il vient, il est là, il m’accompagne dans la jouissance. Il se vide enfin. Son sperme s’écoule dans mon ventre, en longs jets, en longues saccades qui se déversent en moi, renforçant la tornade de plaisir qui commence dans mes reins pour s’achever dans ma tête, exacerbant tous les sens de mon corps. Xavier vient de se vider une nouvelle fois mais en inondant cette fois mes entrailles. Son sperme chaud, son jus a envahi ma grotte, le premier « autre » que celui de mon défunt mari. Bien que ça soit sa deuxième jouissance, la dose est encore très abondante, rien à voir avec son prédécesseur, et c’est si bon !
Je reste immobile, comme paralysée. Je ne suis plus qu’un réceptacle à bite et mon cerveau est incapable d’avoir d’autres pensées pour le moment, pour le plaisir qui en découle.
Je me laisse choir sur lui. Je l’écrase de tout mon poids pour sentir sa force tranquille sur moi. Si mon corps a difficilement accepté son énorme gourdin au début, j’en redemande, je ne veux plus le laisser partir. Je serre mes muscles, contracte mon vagin pour le garder en moi. Mais Xavier n’en peut plus. Il débande enfin. Malgré tous mes efforts, je ne peux empêcher sa verge de me quitter. Je me vide de nos ébats, un flot de foutre et de cyprine s’écoule sur lui. Je bascule sur le fauteuil prêt de lui. Cette « première » avec mon merveilleux amant a été fabuleuse. Je l’embrasse, je suis en sueur. Je pose négligemment ma main sur son bas-ventre, je suis choquée. Je croyais qu’il avait complètement débandé mais je découvre sous mes doigts une « demi-molle », malgré cet état, la comparaison de son chibre avec celui de mon défunt mari¬ ne lui laisserait aucune chance.
Je ne suis pas une fille qui aime vivre dans le péché, un an après, nous étions mariés. Mais ma vie sexuelle n’a plus rien à voir avec celle dont je me contentais auparavant. Il m’a fait découvrir l’épanouissement que l’on peut ressentir quand on trouve un partenaire à la hauteur. Je ne reproche rien à mon premier amour, ce n’est pas ça. Mais un bel étalon toujours prêt à faire monter sa femme aux rideaux, et qui en plus, a une que d’âne, c’est « Le Pied ».
Une suite ? Peut-être un jour… Mais oserais-je vous dévoiler ce qu’il m’a fait connaître par la suite ? J’étais un peu sur la défensive au début, mais il est très persuasif, et je ne regrette rien.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
un cep productif
Belle fin