Amour en musique 11
Récit érotique écrit par Mysterious1991 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Amour en musique 11
"It's perfect, it's passion, it's setting me free..."
Stars de Simply Red…
– Nous serions tellement mieux dans un lit…
Je ne pouvais pas être plus d'accord. Je ne veux pas jouer les rabat-joie car c'était déjà bon d'être là et d'en être là, dans la salle de ses amis, moi à genoux, elle les jambes lascivement et outrageusement écartées, moi à la lécher avec plaisir et avidité, elle à se laisser lécher sans penser à autre chose. J'avais envie… très envie de continuer mon étude, mais cette fois… approfondie, de sa jolie chatte qui était à présent ruisselante. Ça allait être riche en promesses…
Il allait être temps d'interrompre notre séance de préliminaires afin de pouvoir se rendre dans une chambre. Ce serait plus… confortable, plus...agréable, pour nous deux, pour elle comme pour moi.
À ce moment même, je me demandais si Romain et Sarah disposait d'une chambre d'amis, en plus de la leur, chez eux. Peut-être…
Je ne me suis pas étendu longtemps sur le sujet. Non… Le seul objet de mes pensées, c'était… cette coquine de Laura. Je ne pensais qu'à elle. Je ne pensais plus qu'à ça : la voir allongée dans un lit, sur la couette. Elle et moi sur l'oreiller… La voir étendue de tout son long… La voir écarter ses jambes légèrement, finement musclées, comme pour me signifier qu'elle était en train de réclamer, une fois encore, ma bouche sur son intimité…
J'avais la tête ailleurs. Mon esprit était ailleurs, le temps d'un instant.
– Allô… Il y a encore quelqu'un sur Terre ? Je peux savoir à quoi tu penses encore, Benoit ?
Tiens, tiens… J'ai eu comme une impression de déjà vu. Comme si j'avais déjà entendu ça quelque part…
J'AVAIS DÉJÀ ENTENDU ÇA QUELQUE PART ! C'était quand je bandais comme un fou et que je mourais d'envie qu'elle me fasse une fellation. Mais, cette fois…
– Laura… Je… Je pense à toi, allongée sur ce lit. Je pense à moi, confortablement installé entre tes jambes… Ma langue qui va et qui vient sur ta chatte et qui te fait perdre la tête… Je pense à nous, sur la même longueur d'onde…
Laura m'a interrompu alors que j'étais lancé :
– Je vois que je t'ai libéré, délivré, comme dirait la chanson. Hmmm… Intéressant… Intéressant… Je te laisserais bien t'occuper de moi encore, Benoit…
– J'ai envie de lécher ta petite chatte, Laura… Encore… S'il te…
Laura m'a de nouveau interrompu :
– Tu n'as même pas à me demander, Benoit, tu sais ? Vo-yons ! A vrai dire, ça me fait un… je-ne-sais-quoi que tu te laisses maintenant aller et que tu prennes des initiatives, tu sais. Quant à moi, tu le sais mais… Ma belle chatte toute humide n'attend plus que toi. Elle est à toi, ma belle petite chatte salée.
– Je l'aime bien, ta chatte, Laura.
Je lui ai adressée alors un beau sourire et je l'ai embrassée fougueusement. Elle a gloussé en retour.
Nous étions en train de nous dévorer des yeux. C'était décidément un beau moment. C'était parfait jusque-là. Laura était juste… parfaite comme partenaire… et pas que sur le plan physique. Elle savait que j'étais puceau, et pourtant, elle n'en faisait aucun cas. Elle savourait l'instant. Comme moi… J'étais si bien en sa compagnie. Oh Laura… Si seulement je pouvais te faire jouir pour t'exprimer ma gratitude...
-------------Rien qu'elle et moi
On continuait de s’embrasser comme des fous, comme si on était des ados au collège et qu’on ne se lassait pas de ce plaisir que l’on venait de découvrir et qu’on en avait beaucoup. C’était ce qui était en train de se produire avec Laura.
On avait pris le chemin de la chambre mais, à l’allure à laquelle on en prenait la direction vu qu’on s’embrassait sans arrêt, on y arriverait probablement pour la Saint-…
– Hmmm… Benoit… Je m’en lasse pas de t’embrasser. J’aime ça…
– Hmmm… Laura… Moi non plus, je m’en lasse pas. J’aime…
Nous étions sur la même longueur d’onde, le temps d’une nuit. Nous étions si bien, rien que nous deux.
C’était parfait pour les deux nouveaux amants que nous étions. Nous étions libres d’exprimer le désir que nous avions l’un pour l’autre comme bon nous semblait. Nous n’étions dévoués qu’à l’amour libre, sans nous poser la moindre question.
Nous ne vivions que l’instant. Nous savourions l’instant. Nous ne vivions que pour le moment, rien que tous les deux.
La jeune femme avait décidément de beaux yeux, et il me semblait que je pouvais y distinguer une certaine lueur.
Quand je l’embrassais, soit Laura fermait les yeux comme si elle avait envie de tirer toute la quintessence de ce baiser pour y prendre le plus de plaisir possible, ou bien soit je remarquais que ses yeux étaient ouverts et dans ce cas, c’était comme si elle voulait capter un instantané de l’emprise qu’elle maintenait sur moi. Laura, comme d’autres femmes, je suppose, disposait d’un cinquième as : un je-ne-sais-quoi composé de tout et de rien, susceptible à tout moment de vous faire perdre la tête. Une parure de lingerie, sexy à souhait, de couleur bleu poudre, en dentelle… Un gloss à la cerise… Un flacon d’huile de massage à l’ylang-ylang… Un iPod rempli de chansons propices à l’amour et au sexe… Des manières qui étaient attentionnées par moments, directes à d’autres. Ce cinquième as m’avait d’abord fait plier puis avait finalement achevé de me faire rompre. Oui, rompre ! Je ne maîtrisais plus rien. Et de toute façon, je ne voulais pas.
Laura me faisait craquer. Je ne voyais qu'une très belle jeune femme, et je me sentais bien en sa compagnie. Moi-même.
Je ne pouvais pas me cacher. Je ne pouvais me dérober. Je ne le voulais pas.
Je ne le voulais pas le moins du monde.
Je me sentais bien avec Laura, et, pour ma part, je voulais que ce moment, sensuel à souhait, dure le plus longtemps possible. Je ne pensais à rien d'autre.
Une voix m'a de nouveau interrompu dans mes pensées…
– Benoit… Tu es tout le temps ailleurs ou presque… Tu es toujours en train de cogiter. Ne penses plus à rien. Juste… Savoure-toi… Savoure-moi… J'ai encore envie de ta bouche sur moi. J'ai encore envie que tu me la lèches, ma petite chatte…
Nous avions monté un escalier, et nous venions d'arriver au niveau de la porte d'une chambre.
– Tu es prêt, Benoit ?
Elle a appuyé sur le clenche de la porte, et la porte s'est ouverte sur la chambre...
-----------Corps et âme... et sexe
Laura m’avait pris par la main et m’avait entraîné jusqu’à la porte de la chambre. Ça n’avait pas été de tout repos parce qu’on s’était embrassé, caressé, peloté tout en montant les escaliers. Il a fallu qu’on reprenne notre souffle.
Reprendre notre souffle, oui. Que nos ébats cessent ou perdent juste en intensité, ça, certainement pas. Même pas en rêve !
Nous n’avions pas cessé de nous embrasser, même lorsque nous montions les marches de cet escalier. Nous nous en sommes donnés à cœur joie. On se sentait un peu comme deux ados qui découvrent l’amour et qui en tirent beaucoup, beaucoup de plaisir, et que ça leur fait du bien.
Nous étions finalement arrivés devant une chambre située à l’étage de la jolie petite maison des amis de Laura, et, tout en reprenant notre souffle, lentement mais sûrement, nous nous mangions des yeux et nous nous regardions sans jamais détourner le regard.
La jolie jeune femme rousse avait tendu la main en direction de la clenche de la porte de la chambre, et de ce mouvement, la porte s’est ouverte, et ça nous a donné accès à cette chambre, enfin.
Laura, la belle rousse, coquine, sensuelle, sexy à souhait, m’a alors tendu la main, et elle m’a adressé l’un de ces sourires radieux dont elle a le secret.
– Tu es prêt, Benoit ? Est-ce que tu as envie qu’on continue ? Est-ce que tu es toujours okay pour qu’on aille plus loin, tous les deux ? As-tu toujours envie de coucher avec moi ?
J’ai alors fixé Laura et j’ai braqué mes yeux dans les siens intensément.
– Oui, Laura. Je suis prêt et j’en ai envie. Autant que toi. J’ai envie de toi, Laura. Si fort.
Laura m’a alors regardé intensément à son tour. Ses yeux étaient brillants : il était clair pour moi qu’elle était émue. En réalité, Laura, au plus profond d’elle, réalisait à peine que le moment dont elle avait rêvé depuis des mois et des mois, jour et nuit, se produisait. Je n’étais plus fantasme. Je n’étais plus rêve érotique. J’étais là, corps, âme et sexe, avec elle.
Moi, je lui ai pris la main et, en posant mes lèvres sur le revers de sa main, je lui ai fait un baise-main.
– Oh Benoit… Toi aussi, tu as envie de moi autant que moi, j’ai envie de toi !
– Laura… C’est à toi que je veux offrir ma virginité. Je suis à toi, Laura.
Ce que je disais, je le pensais au plus profond de moi. C’était ancré en moi.
– Laura… Je suis à toi. Corps… et âme… et sexe.
Laura braqua ses yeux dans les miens au moment où je lui dis ça. Il y avait beaucoup d’intensité dans son regard, à ce moment-là. Beaucoup d’émotion et de sensibilité, aussi. Ses yeux étaient de nouveau brillants, un peu comme quelques instants auparavant. Là, c’était sûr et certain : elle était émue. Il ne pouvait pas en être autrement… ou bien je ne savais plus rien de rien !
– Benoit… Benoit… Ce que tu viens de dire là, je ne rêvais que de ça depuis la première fois où je vous ai vus en concert. Et là… ça devient réalité…
– Chut, Laura, chut…
Là, et ça, c’était l’ironie de la situation, si l’on pouvait dire : ça bouleversait Laura à tel point que c’était LAURA, à ce moment-là, qui n’en revenait pas qu’on en soit là.
– Benoit… Tu étais l’objet de mes fantasmes, et même si c’était mon vibro ou mon gode préféré qui étaient en moi, c’était toi que j’imaginais en train de me faire l’amour. Je devais me contenter de fantasmes et de mes orgasmes, seule, parce que moi je pense, la probabilité de chances qu’on se retrouve intimes, un jour, était… infime.
Là, sur ce point, Laura ne disait peut-être pas complètement la vérité, elle qui était tombée sous mon charme et qui était prête à tout pour me tenter, pour me séduire… et pour me conquérir.
Elle y était parvenue, très nettement.
J’étais à elle, corps et âme, et à présent… sexe, aussi.
Nous aiguisions notre sensualité, pas à pas. Nous avions cédé à la tentation depuis longtemps, et nous n’avions pas, le moins du monde, envie de nous arrêter là, en si délicieux et savoureux chemin.
Stars de Simply Red…
– Nous serions tellement mieux dans un lit…
Je ne pouvais pas être plus d'accord. Je ne veux pas jouer les rabat-joie car c'était déjà bon d'être là et d'en être là, dans la salle de ses amis, moi à genoux, elle les jambes lascivement et outrageusement écartées, moi à la lécher avec plaisir et avidité, elle à se laisser lécher sans penser à autre chose. J'avais envie… très envie de continuer mon étude, mais cette fois… approfondie, de sa jolie chatte qui était à présent ruisselante. Ça allait être riche en promesses…
Il allait être temps d'interrompre notre séance de préliminaires afin de pouvoir se rendre dans une chambre. Ce serait plus… confortable, plus...agréable, pour nous deux, pour elle comme pour moi.
À ce moment même, je me demandais si Romain et Sarah disposait d'une chambre d'amis, en plus de la leur, chez eux. Peut-être…
Je ne me suis pas étendu longtemps sur le sujet. Non… Le seul objet de mes pensées, c'était… cette coquine de Laura. Je ne pensais qu'à elle. Je ne pensais plus qu'à ça : la voir allongée dans un lit, sur la couette. Elle et moi sur l'oreiller… La voir étendue de tout son long… La voir écarter ses jambes légèrement, finement musclées, comme pour me signifier qu'elle était en train de réclamer, une fois encore, ma bouche sur son intimité…
J'avais la tête ailleurs. Mon esprit était ailleurs, le temps d'un instant.
– Allô… Il y a encore quelqu'un sur Terre ? Je peux savoir à quoi tu penses encore, Benoit ?
Tiens, tiens… J'ai eu comme une impression de déjà vu. Comme si j'avais déjà entendu ça quelque part…
J'AVAIS DÉJÀ ENTENDU ÇA QUELQUE PART ! C'était quand je bandais comme un fou et que je mourais d'envie qu'elle me fasse une fellation. Mais, cette fois…
– Laura… Je… Je pense à toi, allongée sur ce lit. Je pense à moi, confortablement installé entre tes jambes… Ma langue qui va et qui vient sur ta chatte et qui te fait perdre la tête… Je pense à nous, sur la même longueur d'onde…
Laura m'a interrompu alors que j'étais lancé :
– Je vois que je t'ai libéré, délivré, comme dirait la chanson. Hmmm… Intéressant… Intéressant… Je te laisserais bien t'occuper de moi encore, Benoit…
– J'ai envie de lécher ta petite chatte, Laura… Encore… S'il te…
Laura m'a de nouveau interrompu :
– Tu n'as même pas à me demander, Benoit, tu sais ? Vo-yons ! A vrai dire, ça me fait un… je-ne-sais-quoi que tu te laisses maintenant aller et que tu prennes des initiatives, tu sais. Quant à moi, tu le sais mais… Ma belle chatte toute humide n'attend plus que toi. Elle est à toi, ma belle petite chatte salée.
– Je l'aime bien, ta chatte, Laura.
Je lui ai adressée alors un beau sourire et je l'ai embrassée fougueusement. Elle a gloussé en retour.
Nous étions en train de nous dévorer des yeux. C'était décidément un beau moment. C'était parfait jusque-là. Laura était juste… parfaite comme partenaire… et pas que sur le plan physique. Elle savait que j'étais puceau, et pourtant, elle n'en faisait aucun cas. Elle savourait l'instant. Comme moi… J'étais si bien en sa compagnie. Oh Laura… Si seulement je pouvais te faire jouir pour t'exprimer ma gratitude...
-------------Rien qu'elle et moi
On continuait de s’embrasser comme des fous, comme si on était des ados au collège et qu’on ne se lassait pas de ce plaisir que l’on venait de découvrir et qu’on en avait beaucoup. C’était ce qui était en train de se produire avec Laura.
On avait pris le chemin de la chambre mais, à l’allure à laquelle on en prenait la direction vu qu’on s’embrassait sans arrêt, on y arriverait probablement pour la Saint-…
– Hmmm… Benoit… Je m’en lasse pas de t’embrasser. J’aime ça…
– Hmmm… Laura… Moi non plus, je m’en lasse pas. J’aime…
Nous étions sur la même longueur d’onde, le temps d’une nuit. Nous étions si bien, rien que nous deux.
C’était parfait pour les deux nouveaux amants que nous étions. Nous étions libres d’exprimer le désir que nous avions l’un pour l’autre comme bon nous semblait. Nous n’étions dévoués qu’à l’amour libre, sans nous poser la moindre question.
Nous ne vivions que l’instant. Nous savourions l’instant. Nous ne vivions que pour le moment, rien que tous les deux.
La jeune femme avait décidément de beaux yeux, et il me semblait que je pouvais y distinguer une certaine lueur.
Quand je l’embrassais, soit Laura fermait les yeux comme si elle avait envie de tirer toute la quintessence de ce baiser pour y prendre le plus de plaisir possible, ou bien soit je remarquais que ses yeux étaient ouverts et dans ce cas, c’était comme si elle voulait capter un instantané de l’emprise qu’elle maintenait sur moi. Laura, comme d’autres femmes, je suppose, disposait d’un cinquième as : un je-ne-sais-quoi composé de tout et de rien, susceptible à tout moment de vous faire perdre la tête. Une parure de lingerie, sexy à souhait, de couleur bleu poudre, en dentelle… Un gloss à la cerise… Un flacon d’huile de massage à l’ylang-ylang… Un iPod rempli de chansons propices à l’amour et au sexe… Des manières qui étaient attentionnées par moments, directes à d’autres. Ce cinquième as m’avait d’abord fait plier puis avait finalement achevé de me faire rompre. Oui, rompre ! Je ne maîtrisais plus rien. Et de toute façon, je ne voulais pas.
Laura me faisait craquer. Je ne voyais qu'une très belle jeune femme, et je me sentais bien en sa compagnie. Moi-même.
Je ne pouvais pas me cacher. Je ne pouvais me dérober. Je ne le voulais pas.
Je ne le voulais pas le moins du monde.
Je me sentais bien avec Laura, et, pour ma part, je voulais que ce moment, sensuel à souhait, dure le plus longtemps possible. Je ne pensais à rien d'autre.
Une voix m'a de nouveau interrompu dans mes pensées…
– Benoit… Tu es tout le temps ailleurs ou presque… Tu es toujours en train de cogiter. Ne penses plus à rien. Juste… Savoure-toi… Savoure-moi… J'ai encore envie de ta bouche sur moi. J'ai encore envie que tu me la lèches, ma petite chatte…
Nous avions monté un escalier, et nous venions d'arriver au niveau de la porte d'une chambre.
– Tu es prêt, Benoit ?
Elle a appuyé sur le clenche de la porte, et la porte s'est ouverte sur la chambre...
-----------Corps et âme... et sexe
Laura m’avait pris par la main et m’avait entraîné jusqu’à la porte de la chambre. Ça n’avait pas été de tout repos parce qu’on s’était embrassé, caressé, peloté tout en montant les escaliers. Il a fallu qu’on reprenne notre souffle.
Reprendre notre souffle, oui. Que nos ébats cessent ou perdent juste en intensité, ça, certainement pas. Même pas en rêve !
Nous n’avions pas cessé de nous embrasser, même lorsque nous montions les marches de cet escalier. Nous nous en sommes donnés à cœur joie. On se sentait un peu comme deux ados qui découvrent l’amour et qui en tirent beaucoup, beaucoup de plaisir, et que ça leur fait du bien.
Nous étions finalement arrivés devant une chambre située à l’étage de la jolie petite maison des amis de Laura, et, tout en reprenant notre souffle, lentement mais sûrement, nous nous mangions des yeux et nous nous regardions sans jamais détourner le regard.
La jolie jeune femme rousse avait tendu la main en direction de la clenche de la porte de la chambre, et de ce mouvement, la porte s’est ouverte, et ça nous a donné accès à cette chambre, enfin.
Laura, la belle rousse, coquine, sensuelle, sexy à souhait, m’a alors tendu la main, et elle m’a adressé l’un de ces sourires radieux dont elle a le secret.
– Tu es prêt, Benoit ? Est-ce que tu as envie qu’on continue ? Est-ce que tu es toujours okay pour qu’on aille plus loin, tous les deux ? As-tu toujours envie de coucher avec moi ?
J’ai alors fixé Laura et j’ai braqué mes yeux dans les siens intensément.
– Oui, Laura. Je suis prêt et j’en ai envie. Autant que toi. J’ai envie de toi, Laura. Si fort.
Laura m’a alors regardé intensément à son tour. Ses yeux étaient brillants : il était clair pour moi qu’elle était émue. En réalité, Laura, au plus profond d’elle, réalisait à peine que le moment dont elle avait rêvé depuis des mois et des mois, jour et nuit, se produisait. Je n’étais plus fantasme. Je n’étais plus rêve érotique. J’étais là, corps, âme et sexe, avec elle.
Moi, je lui ai pris la main et, en posant mes lèvres sur le revers de sa main, je lui ai fait un baise-main.
– Oh Benoit… Toi aussi, tu as envie de moi autant que moi, j’ai envie de toi !
– Laura… C’est à toi que je veux offrir ma virginité. Je suis à toi, Laura.
Ce que je disais, je le pensais au plus profond de moi. C’était ancré en moi.
– Laura… Je suis à toi. Corps… et âme… et sexe.
Laura braqua ses yeux dans les miens au moment où je lui dis ça. Il y avait beaucoup d’intensité dans son regard, à ce moment-là. Beaucoup d’émotion et de sensibilité, aussi. Ses yeux étaient de nouveau brillants, un peu comme quelques instants auparavant. Là, c’était sûr et certain : elle était émue. Il ne pouvait pas en être autrement… ou bien je ne savais plus rien de rien !
– Benoit… Benoit… Ce que tu viens de dire là, je ne rêvais que de ça depuis la première fois où je vous ai vus en concert. Et là… ça devient réalité…
– Chut, Laura, chut…
Là, et ça, c’était l’ironie de la situation, si l’on pouvait dire : ça bouleversait Laura à tel point que c’était LAURA, à ce moment-là, qui n’en revenait pas qu’on en soit là.
– Benoit… Tu étais l’objet de mes fantasmes, et même si c’était mon vibro ou mon gode préféré qui étaient en moi, c’était toi que j’imaginais en train de me faire l’amour. Je devais me contenter de fantasmes et de mes orgasmes, seule, parce que moi je pense, la probabilité de chances qu’on se retrouve intimes, un jour, était… infime.
Là, sur ce point, Laura ne disait peut-être pas complètement la vérité, elle qui était tombée sous mon charme et qui était prête à tout pour me tenter, pour me séduire… et pour me conquérir.
Elle y était parvenue, très nettement.
J’étais à elle, corps et âme, et à présent… sexe, aussi.
Nous aiguisions notre sensualité, pas à pas. Nous avions cédé à la tentation depuis longtemps, et nous n’avions pas, le moins du monde, envie de nous arrêter là, en si délicieux et savoureux chemin.
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