Amour interdit, ou infidélité.
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 280 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de linsee ont reçu un total de 1 378 387 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 333 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Amour interdit, ou infidélité.
Loane, en rentrant de son travail, croise sur son chemin un jeune homme. Il lui sourit, elle répond à son sourire, pour un autre sourire. Le jeune homme la suit du regarde, jusqu'à ce qu'elle s'arrête devant chez elle. Elle fouille dans son sac pour sortir ses clés, malheureusement elles lui échappent des mains et tombent sur le sol. Le jeune se précipite vif comme l'éclair, ramasse le trousseau, et le rend à Loane.
Avant de prendre ses clés, elle le dévisage un long moment, le jeune homme lui lance des sourires ravageurs. Elle ressent une chose étrange, lui traverser les entrailles. Perturbée par ce regard angélique, Loane ravale sa salive.
Le court moment s'observation laisse, les deux sans voix. Quelque chose vient de se passer, Loane finit en béguant par remercier le jeune homme, de sa courtoisie, et ouvre sa porte. Elle s'engouffre comme prise de panique dans la maison, elle à la gorge serrée, sa respiration est rapide. Elle se laisse tomber lourdement sur le canapé. Elle en comprend pas ce qui lui arrive, et se pose beaucoup de questions. Comment qu'une femme de son âge peut être perturbée par un jeune homme qui pourrait être son fils.
Elle passe une nuit très agitée. Le matin, elle se lève. Les traits tirés, des cernes sous les yeux, elle descend comme un automate l'escalier. Son mari Ludovic, la regarde et lui dit avec beaucoup d'humour :
-Mon Dieu ma chérie tu as la tête, d'une femme qui c'est faite tirée toute la nuit !
Elle hausse à peine les épaules et répond :
-Je n'ai pas fermée l'œil de la nuit, il y à un truc qui me turlupine, mais je se sais s'il faut que je t'en parle !
Ludovic la regarde avec beaucoup d'humour :
-Mais ma chérie, tu peux tout me dire, sous sommes mariés pour le pire et le meilleur !
Loane lui raconte ce qui la perturbe. Son mari, la regarde et lui dit en fronçant les sourcils :
-Cela ressemble à un coup de foudre ma chérie, demain tu auras tout oubliée, prends ton petit déjeuner tu vas être en retard au boulot, et ne pense plus à ce jeune !
Loane se dit que son mari a raison et que demain cela ne sera qu'un souvenir. Elle avale son petit déjeuner et part à son travail. Mais elle ne peut oublier le jeune homme. En fin de journée, elle prend le chemin du retour. Elle marche lentement en regardant quelques vitrines comme à chaque fois. Soudain elle sursaute, le jeune homme est face à elle. Il la salue, Loane rosit en le saluant à son tour. Machinalement ils font quelques pas ensembles, le cœur de Loane bat la chamade. les paroles du jeune homme enjôleur, la font fondre.
Il la raccompagne jusqu'à sa porte, elle apprend qu'il se prénomme Mickael, et qu'il à dix-neuf ans. Il attend qu'elle ouvre sa porte. Les deux se regardent, longuement, leurs yeux pétillent comme du champagne. En refermant ma porte, Loane s'adosse au mur du couloir en soupirant profondément, son corps de met à trembler, elle respire bruyamment. Il lui faut un bon moment pour qu'elle reprenne ses esprits. Enfin elle entre au salon. Son mari a déjà préparé le diner.
Il se lève embrasse sa femme, qui semble le fuir, il fronce les sourcils, mais ne dit pas un mot. Elle ne lui dit pas qu'elle a revue Mickael. Elle dine rapidement, prend une douche avant de rejoindre sa chambre, elle se jette en nuisette sur son lit, ses yeux ne quittent pas le plafond. Loane passe sa main sous sa nuisette, sa chatte est en feu, elle se pince les lèvres, en faisant un moue, elle refuse de se masturber car elle pense que c'est mal sain de le faire en pensant à un autre homme que son mari.
Pendant plus de deux semaines, chaque soir Mickael, raccompagne son amour secret. Les deux complices, parlent de tout est de riens, sans s'avouer ce qu'ils ressentent l'un pour l'autre. Mais cela fait quelques jours, que Mickael ne donne signe de vie. Loane tente vainement de l'oublie, ses journée sont fades, sans intérêts.
Elle sort de son travail, Mickael semble l'attendre en faisant les cent pas devant l'entreprise ou elle travaille. Dès qu'elle le voit son cœur se serre. Puis se met à battre fortement dans sa poitrine, Loane n'y croyait plus. Il lui sourit, les yeux de Loane rayonnent de bonheur. Mickael lui dit :
-Excusez moi, mais je ne peux plus me taire, je vous aime, je suis fou de vous, je ne dors plus !
Loane reste muette un instant, puis répond juste :
-Mais je pourrais être ta maman !
Il hausse les épaules, et la supplie de prendre un verre avec lui, il insiste tellement, qu'elle accepte. Ils prennent place à une table au fond du café. Mickael passe la commande, il est assit juste à côte d'elle. Avec douceur il lui prend la main et l'embrasse, et en murmurant dit :
-Je ne rêve que de vous, j'ai tenté, de vous oublier en ne vous voyant plus, mais sans succès, c'est pour cela que je suis venue vous attendre !
Loane se pince les lèvres et sans le repousser, lui dit :
-Je suis mariée, et j'aime mon mari !
C'est en tremblant, qu'elle lui prend les mains et en les serrant très fort elle dit :
-Mickael, j'ai honte, mais je dois t'avouer que moi aussi je ressens qu'elle quelque chose pour toi, il ne faut pas compliquer les choses, restons en là soyons raisonnables !
Elle se lève pour partir, Mickael aussi, il l'enlace et pose ses lèvres sur les siennes. Loane pose ses mains sur le torse du jeune homme, mais n'a pas la force de le repousser. Inconsciemment, elle entrouvre la bouche. La langue agile de Mickael s'engouffre, les deux langues se nouent comme deux reptiles qui s'accouplent. Le baiser est très, très long. Les souffles chauds se mêlent, un échange de salive se fait.
Enfin le baiser cesse, les deux se regardent longuement, les yeux de Loane s'emplissent de larmes et dit entre deux sanglots :
-Nous sommes fous, il ne faut plus ce revoir !
Pour toute réponse, Mickael l'embrasse à nouveau. Loane fond dans les bras du jeune homme. A l'abris des regards, il lui caresse les seins, et le bas-ventre par dessus le tissu. Un petit filet de cyprine mouille sa culotte, Loane défaille :
-Non, non, mon chéri !
Les deux se remettent assis, et terminent leur verre. Loane semble sur un nuage. Un fois hors du café il lui dit :
-J'ai trop envie de toi mon amour, allons à l'hôtel nous aimer !
Loane est presque sans voix, elle dit faiblement en béguant :
-Non, non je veux rentrer, nous avons déjà été trop loin !
Mickael semble déçu, il l'invite à monter dans sa voiture bien qu'elle n'habite pas loin. le coquin lui dit :
-Il faut se parler franchement mon amour, il faut éclaircir notre situation !
Sans attendre la réponse, il va se garer sur le parking de la grande surface, à l'égare des regards. Il prend place à l'arrière du véhicule, Loane le suit. Il l'embrasse comme un fou, la caresse doucement, lui passe la main sous la jupe lui caresse l'entrejambes. la culotte est très humide Loane ne peut retenir l'excès de cyprine que sa vulve ne peut retenir.
Les lèvres des amoureux, ne se dessoudent pas, les caresses deviennent appuyées. Soudain Loane ne tient plus, elle perd les pédales. Elle repousse Mickael, lui ouvre la braguette et sort du pantalon, la verge qui est déjà dure comme du bois.
Elle l'agite férocement sans la quitter des yeux. Enfin, elle la décalotte et la prend en bouche. La fellation qu'elle pratique, et monstrueuse, elle cherche à se gaver de la semence de Mickael. Le bougre geint de bonheur, il est tellement excité qu'il jouit rapidement. Loane s'acharne sur le gland, avale toute la décharge, en déglutissant bruyamment.
Soudain elle monte à califourchon sur les genoux de son jeune amant et en écartant sa culotte d'une main, s'empale jusqu'aux couilles. lorsque la verge s'enfonce profondément dans son ventre, elle pousse un long râle de plaisir.
Elle reste un moment appuyée contre son torse de son amant avant de le chevaucher. A charque descente de son corps sur le pieu puissant elle pousse des :
-Oui, oui, oui oh oui !
Elle accélère, se cabre et jouit affreusement en grognant comme une bête malade. les deux restent un long moment avant de se parler. Elle se blottit contre lui en disant :
-Je suis folle, d'avoir fais çà. Ramène-moi Mickael, je suis très en retard !
Une fois rajustés, les deux prennent le chemin du retour. Il se gare assez loin de la maison Loane, lui donne un baiser furtif avant qu'elle descende de la voiture. Il la suit des yeux jusqu'à ce qu'elle entre chez elle.
Son mari inquiet lui demande les raisons de son retard. En l'embrassant elle lui ment pour la première fois :
-Avec les amies nous avions été boire un verre, c'est vrai j'aurait dû te téléphoner mon chéri !
Loane, prend une bonne douche comme pour se laver de la faute qu'elle vient de commettre. Elle enfile sa nuisette et par dessus un peignoir de bain. Elle passe à table, et après avoir diner, prétextant de la fatigue, elle monte dans sa chambre. Une fois sur son lit, elle se remémore sa folie. Ses sens se remettent à bouillonner, elle ressent encore la verge puissante lui labourer le ventre, elle passe sa main sous sa nuisette, et se caresse doucement la vulve en poussant de nombreux soupirs.
Son clito enfle magiquement, elle le saisit entre deux doigts et le branle jusqu'à obtenir une jouissance. Elle vient juste de jouir que Ludovic fait son apparition. Il est nu, il s'allonge à côté de sa femme. commence à la caresser. Il lui retrousse la nuisette est lui caresse la chatte, il la trouve à son goût, bien juteuse comme il les aime. Il ouvre les cuisses de Loane, et lui dévore comme un affamé la vulve qui ne cesse de suinter.
Elle se donne à son mari comme pour se faire pardonner. Une jouissance terrible la fait hurler. Ludovic fier de sa performance, prend place entre les cuisses ouvertes, et enfonce aisément sa bite dans la gaine en sur lubrification. Il lui fore le ventre, jusqu'à ce qu'il déverse en elle sa semence épaisse. Loane hyper excitée, jouit en pensant surement à son jeune amant.
Le lendemain, Mickael est là à la sortie de l'entreprise. les deux se regardent, leurs yeux pétillent. Elle monte dans sa voiture et sur le même parking, s'embrassent se caressent. Ils sortent de la voiture, et font quelques pas sur le parking, car il y à beaucoup de monde aujourd'hui. Mickael lui dit :
-Mon amour allons au motel, j'ai trop envie de te faire l'amour !
Loane a elle aussi envie de faire l'amour avec son jeune amant. Elle ment une deuxième fois à son mari. Elle lui téléphone pour lui dire qu'elle doit terminer un travail important, avant de rentrer.
Loane semble hypnotisée par Mickael, elle suit comme un automate. Il la fait monter dans sa voiture et il prend la direction d'un motel. Une fois dans la chambre, les baisers sont interminables. Mickael est rapidement nu, quant à Loane, un peu honteuse, s'effeuille en tremblant. Il admire le corps sublime de Loane, elle discrètement regarde la verge qui pend sur le bas-ventre de Mickael. l'engin même au repos semble redoutable, elle déjà eu en elle le gabarit, non négligeable du membre, mais, elle n'aspire qu'a le recevoir encore dans son ventre.
Il la bascule lentement sur le lit, et commence à lui caresser les seins. Ses doigts s'enfoncent dans la chair souple, en la pétrissant sans brusquerie. Il agace les mamelons en les faisant durcir. Enfin, il pose sa bouche dessus.
Il suce et tète avec de plus en plus de férocité les mats de chairs qui s'épaississent d'avantage. Loane geint doucement, elle est en plein bonheur. La bouche descend sur son ventre, embrasse chaque parcelle de peau. La langue râpeuse fouille timidement le nombril, avant de reprendre sa progression pour atteindre son but.
les coups de langue qui passent sur ses grandes lèvres font geindre Loane de plaisir. le jeune coquin sait y faire, il aspire les grandes lèvres et les suce en faisant gémir son amante de plaisir. Loane agite son bassin, elle se cambre comme un pont lorsque Mickael lui gobe le clito. Il suce et tète avec une telle fougue que Loane croit mourir de plaisir. Une jouissance terrible lui secoue les entrailles. Elle geint comme une agonisante, le jeune amant infatigable l'a fait jouir une seconde fois. Elle retombe lourdement sur le lit, en haletant.
Il se redresse, sa bite est dressée comme un mât. Loane tend la main saisit l'engin et mécaniquement le branle. Elle le décalotte passe sa langue sur le gland plusieurs fois avant de l'engloutir dans sa bouche. Elle suce et tète du mieux qu'elle peut pour ne pas décevoir son jeune amant.
la langue monte et descend sur la hampe gorgée de sang en faisant gémir Mickael. Elle titille le frein puis gobe le cèpe, elle le suce avec hargne, presse fortement la hampe. Pour Mickael s'en est trop. Il envoie une puissante décharge de sperme dans la bouche de son amour, qui ne rechigne pas pour l'avaler.
Elle s'essuie d'un revers de la main les lèvres et dit :
-Prends-moi mon chéri, prends-moi !
Il lui enfonce sa queue dans le ventre jusqu'aux couilles. Il la prend par les hanches et la défonce sauvagement. Elle s'accroche à lui en geignant comme un animal malade. La verge coulisse dans la gaine brûlante comme un glaive dans son fourreau. Loane s'agite grogne de plaisir. elle hurle :
-Oui, oui, mon chéri, ça vient encore, encore !
Mickael accélère, ses coups de reins sont violents, le bougre a avec lui la fougue de la jeunesse. Il défonce son amante comme un soudard. C'est en poussant un hurlement que Loane libère sa jouissance. Son orgasme est fabuleux, jamais elle n'a jouit aussi fort. Les deux font l'amour pendant des heures, Loane épuisée, demande grâce.
Cela fait maintenant plusieurs semaines que Loane se donne sans retenue à son jeune amant. Elle trouve toujours une excuse pour justifier son retard.
Avant de prendre ses clés, elle le dévisage un long moment, le jeune homme lui lance des sourires ravageurs. Elle ressent une chose étrange, lui traverser les entrailles. Perturbée par ce regard angélique, Loane ravale sa salive.
Le court moment s'observation laisse, les deux sans voix. Quelque chose vient de se passer, Loane finit en béguant par remercier le jeune homme, de sa courtoisie, et ouvre sa porte. Elle s'engouffre comme prise de panique dans la maison, elle à la gorge serrée, sa respiration est rapide. Elle se laisse tomber lourdement sur le canapé. Elle en comprend pas ce qui lui arrive, et se pose beaucoup de questions. Comment qu'une femme de son âge peut être perturbée par un jeune homme qui pourrait être son fils.
Elle passe une nuit très agitée. Le matin, elle se lève. Les traits tirés, des cernes sous les yeux, elle descend comme un automate l'escalier. Son mari Ludovic, la regarde et lui dit avec beaucoup d'humour :
-Mon Dieu ma chérie tu as la tête, d'une femme qui c'est faite tirée toute la nuit !
Elle hausse à peine les épaules et répond :
-Je n'ai pas fermée l'œil de la nuit, il y à un truc qui me turlupine, mais je se sais s'il faut que je t'en parle !
Ludovic la regarde avec beaucoup d'humour :
-Mais ma chérie, tu peux tout me dire, sous sommes mariés pour le pire et le meilleur !
Loane lui raconte ce qui la perturbe. Son mari, la regarde et lui dit en fronçant les sourcils :
-Cela ressemble à un coup de foudre ma chérie, demain tu auras tout oubliée, prends ton petit déjeuner tu vas être en retard au boulot, et ne pense plus à ce jeune !
Loane se dit que son mari a raison et que demain cela ne sera qu'un souvenir. Elle avale son petit déjeuner et part à son travail. Mais elle ne peut oublier le jeune homme. En fin de journée, elle prend le chemin du retour. Elle marche lentement en regardant quelques vitrines comme à chaque fois. Soudain elle sursaute, le jeune homme est face à elle. Il la salue, Loane rosit en le saluant à son tour. Machinalement ils font quelques pas ensembles, le cœur de Loane bat la chamade. les paroles du jeune homme enjôleur, la font fondre.
Il la raccompagne jusqu'à sa porte, elle apprend qu'il se prénomme Mickael, et qu'il à dix-neuf ans. Il attend qu'elle ouvre sa porte. Les deux se regardent, longuement, leurs yeux pétillent comme du champagne. En refermant ma porte, Loane s'adosse au mur du couloir en soupirant profondément, son corps de met à trembler, elle respire bruyamment. Il lui faut un bon moment pour qu'elle reprenne ses esprits. Enfin elle entre au salon. Son mari a déjà préparé le diner.
Il se lève embrasse sa femme, qui semble le fuir, il fronce les sourcils, mais ne dit pas un mot. Elle ne lui dit pas qu'elle a revue Mickael. Elle dine rapidement, prend une douche avant de rejoindre sa chambre, elle se jette en nuisette sur son lit, ses yeux ne quittent pas le plafond. Loane passe sa main sous sa nuisette, sa chatte est en feu, elle se pince les lèvres, en faisant un moue, elle refuse de se masturber car elle pense que c'est mal sain de le faire en pensant à un autre homme que son mari.
Pendant plus de deux semaines, chaque soir Mickael, raccompagne son amour secret. Les deux complices, parlent de tout est de riens, sans s'avouer ce qu'ils ressentent l'un pour l'autre. Mais cela fait quelques jours, que Mickael ne donne signe de vie. Loane tente vainement de l'oublie, ses journée sont fades, sans intérêts.
Elle sort de son travail, Mickael semble l'attendre en faisant les cent pas devant l'entreprise ou elle travaille. Dès qu'elle le voit son cœur se serre. Puis se met à battre fortement dans sa poitrine, Loane n'y croyait plus. Il lui sourit, les yeux de Loane rayonnent de bonheur. Mickael lui dit :
-Excusez moi, mais je ne peux plus me taire, je vous aime, je suis fou de vous, je ne dors plus !
Loane reste muette un instant, puis répond juste :
-Mais je pourrais être ta maman !
Il hausse les épaules, et la supplie de prendre un verre avec lui, il insiste tellement, qu'elle accepte. Ils prennent place à une table au fond du café. Mickael passe la commande, il est assit juste à côte d'elle. Avec douceur il lui prend la main et l'embrasse, et en murmurant dit :
-Je ne rêve que de vous, j'ai tenté, de vous oublier en ne vous voyant plus, mais sans succès, c'est pour cela que je suis venue vous attendre !
Loane se pince les lèvres et sans le repousser, lui dit :
-Je suis mariée, et j'aime mon mari !
C'est en tremblant, qu'elle lui prend les mains et en les serrant très fort elle dit :
-Mickael, j'ai honte, mais je dois t'avouer que moi aussi je ressens qu'elle quelque chose pour toi, il ne faut pas compliquer les choses, restons en là soyons raisonnables !
Elle se lève pour partir, Mickael aussi, il l'enlace et pose ses lèvres sur les siennes. Loane pose ses mains sur le torse du jeune homme, mais n'a pas la force de le repousser. Inconsciemment, elle entrouvre la bouche. La langue agile de Mickael s'engouffre, les deux langues se nouent comme deux reptiles qui s'accouplent. Le baiser est très, très long. Les souffles chauds se mêlent, un échange de salive se fait.
Enfin le baiser cesse, les deux se regardent longuement, les yeux de Loane s'emplissent de larmes et dit entre deux sanglots :
-Nous sommes fous, il ne faut plus ce revoir !
Pour toute réponse, Mickael l'embrasse à nouveau. Loane fond dans les bras du jeune homme. A l'abris des regards, il lui caresse les seins, et le bas-ventre par dessus le tissu. Un petit filet de cyprine mouille sa culotte, Loane défaille :
-Non, non, mon chéri !
Les deux se remettent assis, et terminent leur verre. Loane semble sur un nuage. Un fois hors du café il lui dit :
-J'ai trop envie de toi mon amour, allons à l'hôtel nous aimer !
Loane est presque sans voix, elle dit faiblement en béguant :
-Non, non je veux rentrer, nous avons déjà été trop loin !
Mickael semble déçu, il l'invite à monter dans sa voiture bien qu'elle n'habite pas loin. le coquin lui dit :
-Il faut se parler franchement mon amour, il faut éclaircir notre situation !
Sans attendre la réponse, il va se garer sur le parking de la grande surface, à l'égare des regards. Il prend place à l'arrière du véhicule, Loane le suit. Il l'embrasse comme un fou, la caresse doucement, lui passe la main sous la jupe lui caresse l'entrejambes. la culotte est très humide Loane ne peut retenir l'excès de cyprine que sa vulve ne peut retenir.
Les lèvres des amoureux, ne se dessoudent pas, les caresses deviennent appuyées. Soudain Loane ne tient plus, elle perd les pédales. Elle repousse Mickael, lui ouvre la braguette et sort du pantalon, la verge qui est déjà dure comme du bois.
Elle l'agite férocement sans la quitter des yeux. Enfin, elle la décalotte et la prend en bouche. La fellation qu'elle pratique, et monstrueuse, elle cherche à se gaver de la semence de Mickael. Le bougre geint de bonheur, il est tellement excité qu'il jouit rapidement. Loane s'acharne sur le gland, avale toute la décharge, en déglutissant bruyamment.
Soudain elle monte à califourchon sur les genoux de son jeune amant et en écartant sa culotte d'une main, s'empale jusqu'aux couilles. lorsque la verge s'enfonce profondément dans son ventre, elle pousse un long râle de plaisir.
Elle reste un moment appuyée contre son torse de son amant avant de le chevaucher. A charque descente de son corps sur le pieu puissant elle pousse des :
-Oui, oui, oui oh oui !
Elle accélère, se cabre et jouit affreusement en grognant comme une bête malade. les deux restent un long moment avant de se parler. Elle se blottit contre lui en disant :
-Je suis folle, d'avoir fais çà. Ramène-moi Mickael, je suis très en retard !
Une fois rajustés, les deux prennent le chemin du retour. Il se gare assez loin de la maison Loane, lui donne un baiser furtif avant qu'elle descende de la voiture. Il la suit des yeux jusqu'à ce qu'elle entre chez elle.
Son mari inquiet lui demande les raisons de son retard. En l'embrassant elle lui ment pour la première fois :
-Avec les amies nous avions été boire un verre, c'est vrai j'aurait dû te téléphoner mon chéri !
Loane, prend une bonne douche comme pour se laver de la faute qu'elle vient de commettre. Elle enfile sa nuisette et par dessus un peignoir de bain. Elle passe à table, et après avoir diner, prétextant de la fatigue, elle monte dans sa chambre. Une fois sur son lit, elle se remémore sa folie. Ses sens se remettent à bouillonner, elle ressent encore la verge puissante lui labourer le ventre, elle passe sa main sous sa nuisette, et se caresse doucement la vulve en poussant de nombreux soupirs.
Son clito enfle magiquement, elle le saisit entre deux doigts et le branle jusqu'à obtenir une jouissance. Elle vient juste de jouir que Ludovic fait son apparition. Il est nu, il s'allonge à côté de sa femme. commence à la caresser. Il lui retrousse la nuisette est lui caresse la chatte, il la trouve à son goût, bien juteuse comme il les aime. Il ouvre les cuisses de Loane, et lui dévore comme un affamé la vulve qui ne cesse de suinter.
Elle se donne à son mari comme pour se faire pardonner. Une jouissance terrible la fait hurler. Ludovic fier de sa performance, prend place entre les cuisses ouvertes, et enfonce aisément sa bite dans la gaine en sur lubrification. Il lui fore le ventre, jusqu'à ce qu'il déverse en elle sa semence épaisse. Loane hyper excitée, jouit en pensant surement à son jeune amant.
Le lendemain, Mickael est là à la sortie de l'entreprise. les deux se regardent, leurs yeux pétillent. Elle monte dans sa voiture et sur le même parking, s'embrassent se caressent. Ils sortent de la voiture, et font quelques pas sur le parking, car il y à beaucoup de monde aujourd'hui. Mickael lui dit :
-Mon amour allons au motel, j'ai trop envie de te faire l'amour !
Loane a elle aussi envie de faire l'amour avec son jeune amant. Elle ment une deuxième fois à son mari. Elle lui téléphone pour lui dire qu'elle doit terminer un travail important, avant de rentrer.
Loane semble hypnotisée par Mickael, elle suit comme un automate. Il la fait monter dans sa voiture et il prend la direction d'un motel. Une fois dans la chambre, les baisers sont interminables. Mickael est rapidement nu, quant à Loane, un peu honteuse, s'effeuille en tremblant. Il admire le corps sublime de Loane, elle discrètement regarde la verge qui pend sur le bas-ventre de Mickael. l'engin même au repos semble redoutable, elle déjà eu en elle le gabarit, non négligeable du membre, mais, elle n'aspire qu'a le recevoir encore dans son ventre.
Il la bascule lentement sur le lit, et commence à lui caresser les seins. Ses doigts s'enfoncent dans la chair souple, en la pétrissant sans brusquerie. Il agace les mamelons en les faisant durcir. Enfin, il pose sa bouche dessus.
Il suce et tète avec de plus en plus de férocité les mats de chairs qui s'épaississent d'avantage. Loane geint doucement, elle est en plein bonheur. La bouche descend sur son ventre, embrasse chaque parcelle de peau. La langue râpeuse fouille timidement le nombril, avant de reprendre sa progression pour atteindre son but.
les coups de langue qui passent sur ses grandes lèvres font geindre Loane de plaisir. le jeune coquin sait y faire, il aspire les grandes lèvres et les suce en faisant gémir son amante de plaisir. Loane agite son bassin, elle se cambre comme un pont lorsque Mickael lui gobe le clito. Il suce et tète avec une telle fougue que Loane croit mourir de plaisir. Une jouissance terrible lui secoue les entrailles. Elle geint comme une agonisante, le jeune amant infatigable l'a fait jouir une seconde fois. Elle retombe lourdement sur le lit, en haletant.
Il se redresse, sa bite est dressée comme un mât. Loane tend la main saisit l'engin et mécaniquement le branle. Elle le décalotte passe sa langue sur le gland plusieurs fois avant de l'engloutir dans sa bouche. Elle suce et tète du mieux qu'elle peut pour ne pas décevoir son jeune amant.
la langue monte et descend sur la hampe gorgée de sang en faisant gémir Mickael. Elle titille le frein puis gobe le cèpe, elle le suce avec hargne, presse fortement la hampe. Pour Mickael s'en est trop. Il envoie une puissante décharge de sperme dans la bouche de son amour, qui ne rechigne pas pour l'avaler.
Elle s'essuie d'un revers de la main les lèvres et dit :
-Prends-moi mon chéri, prends-moi !
Il lui enfonce sa queue dans le ventre jusqu'aux couilles. Il la prend par les hanches et la défonce sauvagement. Elle s'accroche à lui en geignant comme un animal malade. La verge coulisse dans la gaine brûlante comme un glaive dans son fourreau. Loane s'agite grogne de plaisir. elle hurle :
-Oui, oui, mon chéri, ça vient encore, encore !
Mickael accélère, ses coups de reins sont violents, le bougre a avec lui la fougue de la jeunesse. Il défonce son amante comme un soudard. C'est en poussant un hurlement que Loane libère sa jouissance. Son orgasme est fabuleux, jamais elle n'a jouit aussi fort. Les deux font l'amour pendant des heures, Loane épuisée, demande grâce.
Cela fait maintenant plusieurs semaines que Loane se donne sans retenue à son jeune amant. Elle trouve toujours une excuse pour justifier son retard.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par linsee
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C'est si bien raconté! Loane a cédé à ses pulsions, en se donnant à ce jeune homme. Quelles seront les suites?
Que du bonheur