Amour inyerdit, ou infidélité 3 - histoire érotique

Pendant qu'ils prennent un verre, Loane regarde ses deux hommes. Elle se pose beaucoup de questions. Soudain, elle sursaute, son mari dit :

-Mettez-vous à poil vous deux, je veux voir comment il te fait grimper aux rideaux ce jeunot !

Loane regarde son jeune amant et commence maladroitement un effeuillage, qui rapidement fait déformer le pantalon de Mickael. Ludovic sourit, il est satisfait du résultat, le bougre bande comme un cerf, il va pouvoir honorer Loane sans avoir une défaillance. Une fois nus, il dit :

-Faites comme si je n'étais pas là !

Timidement, Mickael enlace Loane et l'embrasse fougueusement, les langues se nouent, les salives se mêlent. Sa verge appuie fortement contre le ventre de son amour. Sans cesser de s'embrasser, les deux ondulent du bassin, en ronronnant. Mickael tire sur les hanches de Loane et simule copulation, sa queue dure comme du bois. Coulisse sur le ventre plat de Loane qui souffle comme un taureau. Sa chatte est en feu, un filet continu de cyprine s'écoule sur ses cuisses. Ludovic n'en croit ses yeux, sa femme n'est plus la même, elle est devenue une chaudasse, qui s'enflamme aux moindres attouchements.

Cela, c'est un bon point pour Mickael qui a complétement libéré sexuellement Loane. Les deux maintenant ignorent la présence du mari cocu. Ils ne pensent qu'à leurs plaisirs. Mickael, bascule Loane sur la petite table du salon en renversant les verres. Cela ne semble pas les contrarier, car ils continuent de s'embrasser comme si de rien n'était. Enfin, il délaisse la bouche et embrasse le torse comme un affamé, sa bouche glisse sur la peau laiteuse, en donnant des coups de langue qui font geindre Loane.

Il lui aspire les mamelons, les étire avec ses dents, les mordille pour le stimuler. Il les tète, les suce avec une telle voracité, que Loane gémit en se cramponnant à la petite table. Les gémissements de sa femme excitent tellement Ludovic qui retire aussi ses vêtements. Sa queue dressée est pleinement opérationnelle. Il la presse pour atténuer le flux sanguin qui circule dans la hampe fortement veinée.

Il ne quitte pas des yeux les deux amants. Les mamelons de Loane sont devenus larges et très épais. Enfin la bouche reprend sa progression vers le temple de l'amour, qui est en ébullition. pendant qui agace le nombril, il enfonce deux doigts dans la vulve détrempée. Loane se cabre en geignant :

-Oui, oui, fouille-moi bien mon chéri, va le plus loin possible, oh comme c'est bon !

Ludovic a le cœur qui se serre, car sa femme a appelé son amant mon chéri. Un bruit de clapotis se fait entendre à chaque mouvement des doigts dans la chatte. Il lui en enfonce quatre jusqu'à la dernière phalange. Ludovic et émerveillé par l'élasticité de la vulve de sa femme. Il imagine des trucs salaces, et se dit qu'à la première occasion, il les mettra en application.

Les doigts fouilles profondément la gaine distendue, Loane ne peut retenir ses gémissements de plaisir. Une première jouissance la fait hurler, Ludovic sursaute tellement le cri est strident. Les cuisses de sa femme sont trempées par l'abondante cyprine que sa chatte rejette. Le jeune amant, prend place entre les cuisses de Loane et plaque sa bouche sur la perle qui est devenue grosse comme une noix. Dès qu'il l'aspire, Loane se cabre en poussant un long râle. Ludovic serre les dents, il voudrait bien intervenir, mais il juge que sa femme n'est qu'aux prémices de ses jouissances.

La langue agile de son amant s'enfonce profondément dans son conduit vaginal et le fouille férocement. Les couinements que pousse Loane sont presque inhumains. Une nouvelle jouissance la fait cabrer, c'est du jamais vu chez Loane, une puissante giclée est expulsée de sa chatte, son amant a le visage trempé de cyprine. Le bougre doit se redresser tellement c'est puissant. Ludovic reste baba, il se demande, mais qui c'est ce type qui fait giclée sa femme comme un geyser.

Soudain, Loane bascule son amant, il se retrouve à quatre pattes sur le sol. Leste comme un félin, elle se place derrière lui et lui saisit la bite. Elle le branle comme jamais, elle ne l'a fait, tout en pratiquant la masturbation, elle lui lèche l'anus. Mickael geint comme une bête blessée. Ludovic écarquille les yeux, il découvre que sa femme inspirée par son jeune amant est devenue une grosse salope. Lui aussi aurait aimé se faire lécher le cul, mais ce n'est que partie remise.

Soudain Mickael pousse un râle, Loane vient de lui enfoncer deux doigts dans le rectum et commence un va-et-vient continu. Elle synchronise parfaitement le branlage de queue et le fouillage d'anus. Ludovic n'en peut plus, il est au bout du bout, il se presse la queue pour ne pas jouir.

La bite de Mickael semble augmenter de volume, Loane cesse de la branler et augmente la stimulation de la prostate, qui porte enfin ses fruits, la bite gonflée à l'extrême, envoie plusieurs giclées de sperme sur le sol. Les gémissements de Mickael ne sont pas simulés, Loane continue de lui pilonner la gaine anale. Il dit avec force :

-Oh mon Dieu mon amour, tu me combles de bonheur, ouah, je vais encore jouir, oui, oui, encore !

Une seconde jouissance le fait cabrer, de grosses taches de sperme s'étendent sur le sol. Loane retire les intrus du rectum de son amant et plaque sa bouche sur l'anneau ouvert pour y enfoncer sa langue. Son mari se rue sur elle et à même le sol, il lui enfonce sa bite dans le ventre avec une violence extrême. Loane s'accroche à lui en disant entre deux souffles :

-Oui, oui mon chéri, prends-moi fort, vas-y, vas-y, oh comme je sens bien ta queue dans mon ventre, continue, continue, c'est trop bon !

Mickael reprend son souffle, en regardant Loane est son mari forniquer comme des bêtes. Il n'a jamais vu son amante aussi excitée, il s'approche et offre aux lèvres voraces de Loane sa queue gluante. Tout en se faisant démonter, Loane suce te tète comme une affamée la bite gorgée de sang. Ses gémissements, bien qu'étouffés par la bite qu'elle suce, sont bruyants. Ludovic donne de grands coups de reins comme pour se venger de l'infidélité de sa femme. À chaque coup de pilon, il dit :

-Tiens, tiens, prends ça salope, oh putain comme tu es chaude ma chérie, ne retiens pas ton jus, donne-moi tout !

Loane, comme une hystérique, s'agite, sur la bite qui l'embroche et suce sans relâche la bite vigoureuse de son jeune amant. Les deux hommes déversent ensemble, leur crème onctueuse dans le corps de Loane qui jouit à son tour comme une bête en rugissant. Elle s'accroche à son mari en disant à voix haute :

-Oh mes chéris, comme je vous aime, faites-moi mourir de plaisir, défoncez-moi, punissez-moi de vous aimer trop !

Les deux hommes ont besoins de recharger leurs batteries, ils prennent un verre avec un petit encas, pendant que Loane halète sur le sol. Ludovic en regardant Mickael, lui dit :

-Eh bien mon salaud, on peut dire que tu as fait de ma femme une sacrée salope, je ne l'ai jamais vu déchainé comme ça, je ne sais pas si je dois te remercier ou te haïr, mais j'aime la voir si gourmande !

Mickael n'ose répondre, le petit sourire qui enjolive son visage en dit long. Après quelques minutes de récupération, les deux mâles se sentent prêts pour reprendre les hostilités.