Amuse-toi! - histoire érotique

J’ai découvert ma bisexualité sur le tard. J’ai aujourd’hui cinquante-cinq ans et les faits remontent à deux ans.
Après mon divorce suite à un mariage sans réel bonheur, je suis tombé dans ce que l’on peut appeler dépression.
Je traînais mon mal être sans vraiment m’apercevoir que les gens autour de moi étaient mal à l’aise.

C’est Chantal, belle femme d’une quarantaine d’années qui m’a sorti de ma torpeur. Un jour que j’avais besoin d’une prise de sang pour contrôler ma thyroïde, c’est elle qui s’en ai chargé.
En voyant ma mine, elle m’a demandé ce qui n’allait pas et je lui ai répondu, la vie, pardon ma vie en général.
Ça serait bien que vous vous amusiez me lança t-elle. Ah oui et comment?
Vous êtes libre ce week-end? J’ai absolument rien de prévu répondis je.
Bien alors Samedi soir vers vingt-deux heures attendez moi à cette adresse. Elle alla dans le bureau des infirmières et revint avec une carte de visite.
Club privé pour adultes, l’adresse et rien d’autre.
Je l’ai regardé et elle ajouta, souriez, je suis certaine que vous allez vous éclater. Je n’avais rien à perdre.

Vingt-deux heures le Samedi soir j’attendais patiemment pas très loin de ce club privé.
Dix minutes plus tard elle est arrivée dans sa petite voiture Japonaise.
Je suis heureuse de vous voir. Au fait je m’appelle Chantal. Enchanté Chantal, moi c’est Marc.
Elle a frappé à la porte et quelqu’un a ouvert. Apparemment elle était une habituée des lieux. Lui, fit-elle en me désignant, c’est mon invité.

Je l’ai suivi dans une salle éclairée de lumières rouge et bleu. Il y avait là une quarantaine de personnes, hommes et femmes. Nus et entrain de baiser.
Chantal, c’est un club échangistes? T’as tout compris. Je te laisse et amuse-toi.
Je regardai autour de moi n’en croyant pas mes yeux. De tels endroits existaient vraiment et j’étais dans l’un d’eux.

J’aperçus Chantal. Elle était totalement nu. Elle avait un corps magnifique.
Quelqu’un m’a tapoté l’épaule. Monsieur, vous devriez vous mettre à l’aise me lança un homme d’une trentaine d’années. Venez je vais vous montrer. Je l’ai suivi dans une petite pièce où s’empiler des montagnes de fringues.
Hésitant, j’ai fini par me mettre à poil. J’avais la trouille de revenir dans la salle. Trouille que tous les regards se tournent vers moi. Finalement j’y suis allé et personne n’a semblé me voir. Je n’avais aucune idée de ce que j’étais censé faire. Devais-je demander, pardon madame puis-je vous baiser?
Dans un premier temps je me suis déplacé de groupes en groupes. Certes il y avait quelques couples isolés mais la majorité des personnes présentes étaient collées les uns aux autres en trois groupes distincts.
Des femmes avec plusieurs partenaires, des hommes se masturbant en attendant leur tour. Un homme avec deux bites dans le cul. Fellations, fornications, ejaculations. Et il y avait les bruits du sexe.
J’étais en érection mais sans plus de désir de plonger dans la mêlée.
Alors Marc, tu t’amuses bien? C’était Chantal venue aux nouvelles. Je la regardai et vis son visage couvert de…
C’est du sperme lui demandais-je? Bien sûr, idiot. Elle passa un doigt au coin de sa bouche où coulait un peu sperme et le glissa dans ma bouche. Tu aimes? Je ne sais pas répondis je. Amuse-toi bordel. Baise, fait toi sucer, lèche de la chatte, suce si tu le veux, fait toi enculer, fait toi couvrir de foutre. Mais putain lâche toi.
J’étais sonné, mais elle avait raison.
Le type qui m’avait conseillé de me mettre à l’aise s’approcha de moi et me demanda si je voulais boire quelque chose. Votre meilleur cocktail répondis-je. Cinq minutes plus tard je buvais celui-ci . Je sentis l’alcool me réchauffer.
C’est un délice. Qui y a t-il dedans? Demandais-je? Secret me répondit-il.

Je m’approchai d’un couple. Il avait une bite prête à exploser. La fille suçait, léchait, branlait. Je m’approchai au plus près. Je voulais voir ça de près. Oh merde je vais jouir lança t-il. Il se retira de la bouche de la fille et se masturba.
Je pris la première giclée en plein les yeux. La fille reçu les trois autres. Puis elle repris la bite dans sa bouche. Elle me jeta un coup d’oeil et déposa le membre toujours en érection au bord de mes lèvres. Suce, me dit-elle. J’ai ouvert la bouche…sensation étrange mais pas désagréable.
Je m’approchai des mecs. Trois d’entre eux se masturbait prêt à jouir sur leur partenaire. Je mis ma tête près de la sienne et je fixais ces trois sexes masculins. Un premier envoya son foutre sur le visage, le second sur les paupières et les joues. Le troisième me visa et je fut asperger par quatre énormes jets.
J’étais fasciné par la jouissance de ces mâles. Je trouvais cela beau. Je me relevais et m’approchai de l’oreille du type qui m’avait giclé dessus. Merci dis-je. Il me regarda, sourit et me glissa à l’oreille, tout le plaisir est pour moi.
Je ne me suis pas essuyé. J’ai cherché Chantal. Quand je la vis elle était en pleine double pénétration. Je m’approchai de son visage. Quand elle ouvrit les yeux, elle fut surprise, puis avec un énorme sourire me lança, bravo, tu t’amuses enfin.
La soirée se prolongea jusqu’au petit matin, l’arrivée de nouveaux couples permis à tous de s’amuser encore et encore. Aux aurores, Chantal s’approcha de moi. Elle était fatiguée mais rayonnante. Tu as baisé me demanda t-elle? Non, mais je me suis très bien amusé. Elle me pris par la main, me traîna jusqu’à un large canapé et s’empala sur ma bite.
Combien, lui demandai-je quand nous nous sommes retrouvés sur le trottoir.
Tu crois que je m’amuse à les compter? Non, je m’amuse et j’aime ces jeux là.
Je lui parlai de ma fascination pour les éjaculations masculinisme.
Et bien mon chéri, je te conseille d’aller dans le club pour hommes dans la rue H…..si tu veux des douches de sperme.
Tous les quinze jours je vais m’y faire arroser. Je ne fais rien d’autre que d’attendre que leurs jets m’éclaboussent.