Andromède
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-01-2015 dans la catégorie A dormir debout
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Andromède
Le mythe de Persée était très populaire dans la Grèce antique.
« Après avoir tué Méduse, sur le chemin du retour, Persée s'arrête dans le royaume d'Éthiopie. Il voit une belle jeune fille enchaînée à un rocher battu par des vagues furieuses.
Il s'agit d'Andromède, la fille du roi, livrée à un monstre marin ravageant le pays tout entier. Cette jeune princesse paie le prix de l'orgueil et de l'imprudence de sa mère. En effet, elle avait déclaré que sa fille était plus belle que les Néréides,nymphes de la mer. Celles-ci vexées, ont demandé à Poséidon, le dieu des océans, de les venger.
Le roi Céphée, interrogeant l'oracle apprend que la mort de sa fille peut apaiser la colère des déesses.
Quand Persée entrevoit au loin la mer soulevée par le dos monstrueux de l'animal, il s'empare de son glaive.
Montant sur le dos de Pégase, il s'élève au-dessus de la mer. A l'instant où le monstre ouvre la gueule pour dévorer la jeune fille, il le frappe d'un coup mortel.
Andromède, délivrée, est ramenée à ses parents.
Le roi et la reine d’Éthiopie expriment à Persée leur gratitude pour la délivrance de leur fille Andromède en lui offrant la main de celle-ci et un royaume. »
°°°°°°°°°°°°°°°°°°oOo°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°
Ainsi commence le récit d'Andromède. Triste sort que le sien ? Sans l'arrivé imprévue de Persée qui voit qu'un animal énorme va lui grignoter sa meuf, il n'est pas de premier cercle des admirateurs. Mais elle a un je ne sais quoi qui le met en émoi quand il pense à elle , à son corps, bref il la caresserait sans cesse,l'embrasserait à l'étouffer , lui ferait, si elle était par hazar d'accord, ce qui l'étonnerai, plein de machins que déjà dans l'antique antiquité les messieurs et les dames bien ou mal nés pratiquent sans trop se cacher ( madame pudeur n'était pas née)
Il siffle Pégase à la manière d'un Lucky Luc moderne plus tard. Il ne possède que les armes de l'époque, pas de lasso, pas de pistolet, même à bouchon, nib de nid : une vague lance récupéré un soir de bataille éboutée vers les bouts : elle fait toujours impression sur un adversaire de loin, et une pelote de ficelle : ça peut toujours servir. Il galope dans la direction jusqu'au moment où Pégase lui demande s'il sait bien où il va. Il tournait le dos au but. Pégase, toujours plus malin que le cavalier sort ses ailes (et oui, c'est un cheval normal d'avant qui était muni des dernières mise au points de la fabrication de l'époque qui était un peu en avance (les présentation du programme de travail par un syndicat avait fait reculer les autres avancées depuis. D'où plus de dada évolué, satanés syndicats). Heureusement qu'ils on changé depuis dans leur revendications seulement ou presque salariales de nos jours.
Revenons à Persée et son cheval. Il y avait une belle complicité entre les deux être. Surtout que Persée donnait des cannes à sucre à volonté.
Donc, monté sur son ardent destrier Pégase, Persée peut aller casser la figure à ce honteux monstre, style alliage entre un tigre et un éléphant marin. Même à l'époque ça fait peur. Même les dieux, avant leur déchéance ne sortaient pas sans avoir la certitude que ce monstre n'était pas là : soit à la chasse aux perdrix, soit chez lui à faire du ménage. Ils allaient demander au bistro à gauche en sortant en bas de chez eux.
Andromède contente d'être encore en vie, qui ne connaissait même pas la douceur d'un baiser sur la bouche, embrasse son sauveur et encore sur les conseils de sa maman qui connaît les usages, elle même amante ainsi la première fois d'un berger de la montage (c'est une autre histoire) , s'offre pour soulager le bas ventre de Persée.
Elle l'embrasse, sort la belle bite bandé du jeune homme. Elle en est embrassée : que faire avec ce morceau de viande dans la main, morceau qui remue un peu, qui dégage une odeur certaine bizarre, qui en plus se déplie en laissant voir un bout presque violet. Elle voudrait lui faire des choses, mais quoi ?
C'est encore une fois la reine( plaignez vous des belles doches) qui souffle à fifille ce qu'il faut faire. Dans un grand mouvement d'approbation Andromède prend la bite dans la main,l'entoure et commence à le masturber (le mot qu'elle ne connaissait pas lui servait aussi pour son usage personnel)
Elle regarde étonnée le résultat de sa caresse primaire. Sa main va et vient le long de la bite de plus en plus dure. Elle est carrément époustouflée de voir un liquide blanc sortir en jets violents de ce morceau de viande : c'est certainement avarié. Pour en être sure, elle plonge un doigt dans cette drôle de liqueur avant de la goûter. Berk : c'est salé, mais en deuxième goût un peu gluant, pas dégouttant. Elle fini de laver la bite avec sa langue.
Persée à l'idée de l'antiquité : la coucher, se mettre sur elle la bouche sur la minoutte de Andromède. Lui aussi veut la sentir, la goûter : le con est totalement mouillé. Il pose le bout de sa langue simplement pour goûter. Par tous les dieux de l'olympe, c'est agréable avec un arrière goût de coquillage. Il aime bouffer des moules ou des huîtres. Il va lui bouffer la chatte.
Le premier 69 (imité plus tard par les dieux de l'époque) a lieu. Il se sucent, se lèchent, en oubliant le principal. Plus tard dans la nuit, Andromède sent qu'il lui manque un petit quelque chose : la bite qu'elle vient de sucer dans son réceptacle entre les jambes. Elle prend la bite de son nouvel amant, la fait bander en le réveillant. La bite dans la main , elle la dirige vers son cloître. Enfin il pense qu'elle veut se faire mettre.
Pour changer des ardeur d'un monstre elle veut une vraie queue dans son ventre. L'ennui est qu’elle jouit trop vite. Elle se retourne et donne ses fesses. Son amant peu au courant de certains mœurs l'encule en pensant que c'est ainsi que l'amour se fait. Il lui poignarde l'anus. Ça le fait mal deux seconde, ça la fait jouir plus que par devant. Il manque à la belle le goût de son cul sur la bite. En plus elle aime être en 69, avec son sexe sur la bouche de l'amant et la bite de son mec sur sa bouche.
Sauf que Zeus en est jaloux, il transforme Andromède en constellation.
Ainsi allait la vie en ces temps plus qu'anciens.
« Après avoir tué Méduse, sur le chemin du retour, Persée s'arrête dans le royaume d'Éthiopie. Il voit une belle jeune fille enchaînée à un rocher battu par des vagues furieuses.
Il s'agit d'Andromède, la fille du roi, livrée à un monstre marin ravageant le pays tout entier. Cette jeune princesse paie le prix de l'orgueil et de l'imprudence de sa mère. En effet, elle avait déclaré que sa fille était plus belle que les Néréides,nymphes de la mer. Celles-ci vexées, ont demandé à Poséidon, le dieu des océans, de les venger.
Le roi Céphée, interrogeant l'oracle apprend que la mort de sa fille peut apaiser la colère des déesses.
Quand Persée entrevoit au loin la mer soulevée par le dos monstrueux de l'animal, il s'empare de son glaive.
Montant sur le dos de Pégase, il s'élève au-dessus de la mer. A l'instant où le monstre ouvre la gueule pour dévorer la jeune fille, il le frappe d'un coup mortel.
Andromède, délivrée, est ramenée à ses parents.
Le roi et la reine d’Éthiopie expriment à Persée leur gratitude pour la délivrance de leur fille Andromède en lui offrant la main de celle-ci et un royaume. »
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Ainsi commence le récit d'Andromède. Triste sort que le sien ? Sans l'arrivé imprévue de Persée qui voit qu'un animal énorme va lui grignoter sa meuf, il n'est pas de premier cercle des admirateurs. Mais elle a un je ne sais quoi qui le met en émoi quand il pense à elle , à son corps, bref il la caresserait sans cesse,l'embrasserait à l'étouffer , lui ferait, si elle était par hazar d'accord, ce qui l'étonnerai, plein de machins que déjà dans l'antique antiquité les messieurs et les dames bien ou mal nés pratiquent sans trop se cacher ( madame pudeur n'était pas née)
Il siffle Pégase à la manière d'un Lucky Luc moderne plus tard. Il ne possède que les armes de l'époque, pas de lasso, pas de pistolet, même à bouchon, nib de nid : une vague lance récupéré un soir de bataille éboutée vers les bouts : elle fait toujours impression sur un adversaire de loin, et une pelote de ficelle : ça peut toujours servir. Il galope dans la direction jusqu'au moment où Pégase lui demande s'il sait bien où il va. Il tournait le dos au but. Pégase, toujours plus malin que le cavalier sort ses ailes (et oui, c'est un cheval normal d'avant qui était muni des dernières mise au points de la fabrication de l'époque qui était un peu en avance (les présentation du programme de travail par un syndicat avait fait reculer les autres avancées depuis. D'où plus de dada évolué, satanés syndicats). Heureusement qu'ils on changé depuis dans leur revendications seulement ou presque salariales de nos jours.
Revenons à Persée et son cheval. Il y avait une belle complicité entre les deux être. Surtout que Persée donnait des cannes à sucre à volonté.
Donc, monté sur son ardent destrier Pégase, Persée peut aller casser la figure à ce honteux monstre, style alliage entre un tigre et un éléphant marin. Même à l'époque ça fait peur. Même les dieux, avant leur déchéance ne sortaient pas sans avoir la certitude que ce monstre n'était pas là : soit à la chasse aux perdrix, soit chez lui à faire du ménage. Ils allaient demander au bistro à gauche en sortant en bas de chez eux.
Andromède contente d'être encore en vie, qui ne connaissait même pas la douceur d'un baiser sur la bouche, embrasse son sauveur et encore sur les conseils de sa maman qui connaît les usages, elle même amante ainsi la première fois d'un berger de la montage (c'est une autre histoire) , s'offre pour soulager le bas ventre de Persée.
Elle l'embrasse, sort la belle bite bandé du jeune homme. Elle en est embrassée : que faire avec ce morceau de viande dans la main, morceau qui remue un peu, qui dégage une odeur certaine bizarre, qui en plus se déplie en laissant voir un bout presque violet. Elle voudrait lui faire des choses, mais quoi ?
C'est encore une fois la reine( plaignez vous des belles doches) qui souffle à fifille ce qu'il faut faire. Dans un grand mouvement d'approbation Andromède prend la bite dans la main,l'entoure et commence à le masturber (le mot qu'elle ne connaissait pas lui servait aussi pour son usage personnel)
Elle regarde étonnée le résultat de sa caresse primaire. Sa main va et vient le long de la bite de plus en plus dure. Elle est carrément époustouflée de voir un liquide blanc sortir en jets violents de ce morceau de viande : c'est certainement avarié. Pour en être sure, elle plonge un doigt dans cette drôle de liqueur avant de la goûter. Berk : c'est salé, mais en deuxième goût un peu gluant, pas dégouttant. Elle fini de laver la bite avec sa langue.
Persée à l'idée de l'antiquité : la coucher, se mettre sur elle la bouche sur la minoutte de Andromède. Lui aussi veut la sentir, la goûter : le con est totalement mouillé. Il pose le bout de sa langue simplement pour goûter. Par tous les dieux de l'olympe, c'est agréable avec un arrière goût de coquillage. Il aime bouffer des moules ou des huîtres. Il va lui bouffer la chatte.
Le premier 69 (imité plus tard par les dieux de l'époque) a lieu. Il se sucent, se lèchent, en oubliant le principal. Plus tard dans la nuit, Andromède sent qu'il lui manque un petit quelque chose : la bite qu'elle vient de sucer dans son réceptacle entre les jambes. Elle prend la bite de son nouvel amant, la fait bander en le réveillant. La bite dans la main , elle la dirige vers son cloître. Enfin il pense qu'elle veut se faire mettre.
Pour changer des ardeur d'un monstre elle veut une vraie queue dans son ventre. L'ennui est qu’elle jouit trop vite. Elle se retourne et donne ses fesses. Son amant peu au courant de certains mœurs l'encule en pensant que c'est ainsi que l'amour se fait. Il lui poignarde l'anus. Ça le fait mal deux seconde, ça la fait jouir plus que par devant. Il manque à la belle le goût de son cul sur la bite. En plus elle aime être en 69, avec son sexe sur la bouche de l'amant et la bite de son mec sur sa bouche.
Sauf que Zeus en est jaloux, il transforme Andromède en constellation.
Ainsi allait la vie en ces temps plus qu'anciens.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'aime ^^
Drôle et bien écrit, très original, j'adore !