Angélique 1
Récit érotique écrit par Mimi68 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Angélique 1
Michel,
- Tu peux rester vingt minutes de plus, et tu ramèneras sa voiture à la cliente de Colmar ?
- Oui patron, pas de soucis, j’habite à proximité.
- Merci, demain je te file ta journée.
- Oh merci patron, c’est sympa.
- Oui madame, mon employé Michel vous ramènera vote voiture vers 19h.
- Merci beaucoup, je passerai demain pour vous régler.
- Ne vous inquiétez pas pour le règlement, je vous connais.
- Merci pour votre confiance. Vous m’enlevez une épine du pied. Mon amie qui devait m’amener à votre garage s’est briser la jambe.
- Vous verrez Michel est très sympa.
Angélique était veuve depuis deux ans. Agée de soixante cinq ans, elle avait hérité des parts que son mari avait dans sa société et faisait maintenant partie de conseil d’administration avec un salaire à vie de trente milles euros par mois. Bref Angélique était très aisée financièrement. Elle faisait partie d’un club de veuves aisées qui se retrouvaient tous les mercredis pour se balader, déjeuner et être ensemble. Mais il manquait à Angélique un amant pour la satisfaire. Mais jusque-là, elle n’avait pas trouvé d’homme à son goût.
Michel arriva vers 19h15 au volant de la Mercédès d’Angélique. Le portail était ouvert, il s’engageât dans l’allée que bordait des platanes centenaires. Il devinait une immense propriété en plein centre-ville. Il monta les escaliers pour sonner à la porte d’entrée.
Michel était grand, 1m88, pour 80 kg, 32 ans. Musclé car il entretenait son corps à la salle de gym. Il avait de beaux yeux noisette qui vous transperçaient quand il vous fixait.
La porte s’ouvrit.
- Bonjour madame, je suis l’employé du garage, je vous rapporte votre voiture.
- Ah oui, vous êtes Michel, c’est ça ?
- Oui, c’est ça, à votre service.
Angélique sentit le regard de Michel qui la regardait. Elle sentit quelque chose en elle qu’elle n’avait pas ressenti depuis bien des années.
- Vous voulez boire quelque chose Michel ?
- Je ne sais pas si je peux accepter.
- Je ne le dirai pas à votre patron.
- Bon et bien, oui avec plaisir.
- Entrez, suivez-moi.
Michel suivait Angélique qui marchait devant lui. Il était troublé par cette femme, pourtant beaucoup plus âgée que lui. Angélique se sentais fixée par le regard de Michel.
- Asseyez-vous sur le canapé, qu’est-ce que je vous sers ?
- Oh un café si vous avez.
Angélique alla à la cuisine pour servir un café. Elle revint avec deux tasses. Elle s’assit en face de Michel dans un fauteuil en cuir, sa jupe remontée sur ses cuisses.
- Merci de m’avoir ramené ma voiture.
- Je vous en prie.
- Vous ne connaitriez pas un homme qui cherche du travail et qui sait tout faire ?
- Pourquoi ? vous cherchez quelqu’un ?
- Oui je suis veuve et mon employé de maison vient de partir. Je suis débordée par l’entretien du terrain et de la maison.
- Et quelles sont les conditions ?
- Logé, nourri. Mais la personne doit être très disponible 24h sur 24h, 7 jours sur 7.
- Ah oui en effet c’est très prenant.
- Oui mais bien payé. 10000 € net par mois sur 14 mois.
- Je serais intéressé.
- Mais votre travail ?
- Oh ce ne m’intéresse pas plus que ça.
- Bien, mais je suis très exigeante vous savez.
- A ce prix-là, c’est normal.
- Quand je dis disponible, c’est à mon service, à ma disposition.
- Oui je comprends.
- Je ne crois pas, laissez-moi préciser. Vous devez être entièrement à mon service même la nuit.
- Oui, bien sûr. Je suis candidat.
- D’accord, alors commençons votre entretien d’embauche, voulez-vous ?
- Je suis prêt.
- Levez-vous et approchez.
- Bien Madame.
Michel se leva et s’approcha du fauteuil ou était assise Angélique.
- Enlevez vos vêtements.
- Bien madame.
Michel se déshabillait et se retrouva nu face à Angélique.
- Très bien, tournez-vous doucement.
- Oui madame.
- Arrêtez-vous. Penchez-vous en avant. Vous avez trop de poils. Il faudra enlever tout ça. Si je vous emploi, vous irez chez mon esthéticienne.
- Bien madame.
- Remettez-vous face à moi et masturbez-vous.
- Bien madame.
Miche se mit à se branler. Son sexe commençait à prendre du volume. Il grandissait et grossissait à vue d’œil.
- Arrêtez, ça suffit j’en ai assez vu. Quand pouvez-vous commencer ?
- Lundi si ça vous va.
- Très bien, présentez-vous à 8 heures. Voici l’adresse de mon esthéticienne. Allez-y avant lundi.
- Bien madame.
- Tenez, une avance sur votre salaire. 5000 €.
- Oh merci madame.
- A lundi.
Michel sorti de la maison et rentra chez lui à pied. Vivement lundi
- Tu peux rester vingt minutes de plus, et tu ramèneras sa voiture à la cliente de Colmar ?
- Oui patron, pas de soucis, j’habite à proximité.
- Merci, demain je te file ta journée.
- Oh merci patron, c’est sympa.
- Oui madame, mon employé Michel vous ramènera vote voiture vers 19h.
- Merci beaucoup, je passerai demain pour vous régler.
- Ne vous inquiétez pas pour le règlement, je vous connais.
- Merci pour votre confiance. Vous m’enlevez une épine du pied. Mon amie qui devait m’amener à votre garage s’est briser la jambe.
- Vous verrez Michel est très sympa.
Angélique était veuve depuis deux ans. Agée de soixante cinq ans, elle avait hérité des parts que son mari avait dans sa société et faisait maintenant partie de conseil d’administration avec un salaire à vie de trente milles euros par mois. Bref Angélique était très aisée financièrement. Elle faisait partie d’un club de veuves aisées qui se retrouvaient tous les mercredis pour se balader, déjeuner et être ensemble. Mais il manquait à Angélique un amant pour la satisfaire. Mais jusque-là, elle n’avait pas trouvé d’homme à son goût.
Michel arriva vers 19h15 au volant de la Mercédès d’Angélique. Le portail était ouvert, il s’engageât dans l’allée que bordait des platanes centenaires. Il devinait une immense propriété en plein centre-ville. Il monta les escaliers pour sonner à la porte d’entrée.
Michel était grand, 1m88, pour 80 kg, 32 ans. Musclé car il entretenait son corps à la salle de gym. Il avait de beaux yeux noisette qui vous transperçaient quand il vous fixait.
La porte s’ouvrit.
- Bonjour madame, je suis l’employé du garage, je vous rapporte votre voiture.
- Ah oui, vous êtes Michel, c’est ça ?
- Oui, c’est ça, à votre service.
Angélique sentit le regard de Michel qui la regardait. Elle sentit quelque chose en elle qu’elle n’avait pas ressenti depuis bien des années.
- Vous voulez boire quelque chose Michel ?
- Je ne sais pas si je peux accepter.
- Je ne le dirai pas à votre patron.
- Bon et bien, oui avec plaisir.
- Entrez, suivez-moi.
Michel suivait Angélique qui marchait devant lui. Il était troublé par cette femme, pourtant beaucoup plus âgée que lui. Angélique se sentais fixée par le regard de Michel.
- Asseyez-vous sur le canapé, qu’est-ce que je vous sers ?
- Oh un café si vous avez.
Angélique alla à la cuisine pour servir un café. Elle revint avec deux tasses. Elle s’assit en face de Michel dans un fauteuil en cuir, sa jupe remontée sur ses cuisses.
- Merci de m’avoir ramené ma voiture.
- Je vous en prie.
- Vous ne connaitriez pas un homme qui cherche du travail et qui sait tout faire ?
- Pourquoi ? vous cherchez quelqu’un ?
- Oui je suis veuve et mon employé de maison vient de partir. Je suis débordée par l’entretien du terrain et de la maison.
- Et quelles sont les conditions ?
- Logé, nourri. Mais la personne doit être très disponible 24h sur 24h, 7 jours sur 7.
- Ah oui en effet c’est très prenant.
- Oui mais bien payé. 10000 € net par mois sur 14 mois.
- Je serais intéressé.
- Mais votre travail ?
- Oh ce ne m’intéresse pas plus que ça.
- Bien, mais je suis très exigeante vous savez.
- A ce prix-là, c’est normal.
- Quand je dis disponible, c’est à mon service, à ma disposition.
- Oui je comprends.
- Je ne crois pas, laissez-moi préciser. Vous devez être entièrement à mon service même la nuit.
- Oui, bien sûr. Je suis candidat.
- D’accord, alors commençons votre entretien d’embauche, voulez-vous ?
- Je suis prêt.
- Levez-vous et approchez.
- Bien Madame.
Michel se leva et s’approcha du fauteuil ou était assise Angélique.
- Enlevez vos vêtements.
- Bien madame.
Michel se déshabillait et se retrouva nu face à Angélique.
- Très bien, tournez-vous doucement.
- Oui madame.
- Arrêtez-vous. Penchez-vous en avant. Vous avez trop de poils. Il faudra enlever tout ça. Si je vous emploi, vous irez chez mon esthéticienne.
- Bien madame.
- Remettez-vous face à moi et masturbez-vous.
- Bien madame.
Miche se mit à se branler. Son sexe commençait à prendre du volume. Il grandissait et grossissait à vue d’œil.
- Arrêtez, ça suffit j’en ai assez vu. Quand pouvez-vous commencer ?
- Lundi si ça vous va.
- Très bien, présentez-vous à 8 heures. Voici l’adresse de mon esthéticienne. Allez-y avant lundi.
- Bien madame.
- Tenez, une avance sur votre salaire. 5000 €.
- Oh merci madame.
- A lundi.
Michel sorti de la maison et rentra chez lui à pied. Vivement lundi
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