Anne-Charlotte, bourgeoise pervertie
Récit érotique écrit par PCN764 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2020 dans la catégorie Plus on est
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Anne-Charlotte, bourgeoise pervertie
Nous sommes dans les années 60 dans la bourgeoisie ancienne école. Le père d’Anne-Charlotte est propriétaire d’un haras et passe ses journées à s’occuper de la reproduction des juments et des entrainements des étalons et des courses équestres auxquels ils participent. Sa mère est une femme au foyer qui s’occupe de l’entretien de la maison de famille, de la cuisine et des comptes familiaux. Ils commencent à avoir des difficultés financières pour gérer le domaine même si leur niveau de vie reste très enviable. Anne-Charlotte a 18 ans, elle étudie la vie d’une bonne épouse dans une école religieuse. Comme cela se passe dans ce milieu, la jeune fille est promise à un aristocrate. Les difficultés rencontrées, pousse ses parents à avancer le mariage d’Anne-Charlotte et de Fernand. Il a une quarantaine d’années et se chargera du haras avec son beau-père.
Anne-Charlotte perdra son pucelage le soir des noces. Elle ne ressentira aucun plaisir ni cette fois ni les autres fois où son mari la possédera. Ils avaient une chambre dans la maison et Anne-Charlotte aidait dorénavant sa mère dans les taches ménagère. Le mariage de leur fille leur permit de garder un chauffeur et une servante qui vivaient dans une dépendance.
Les parents et son mari durent partir une quinzaine de jour pour des courses équestres. Cette fois, la mère voulu les accompagner mais pas la jeune fille. Ils décidèrent de donner des congés à leur employés et confièrent Anne-Charlotte à son oncle maternel.
Celui-ci, benjamin de la fratrie, n’avait pas suivi l’éducation bourgeoise et c’était marié à une roturière. Anne-Charlotte s’est vite sentie à son aise auprès d’eux et avait une certaine liberté qu’elle ne connaissait pas. Elle avait pris sa tante comme confidente et discutait souvent avec elle. Elle osa questionner sa tante sur les gémissements qu’elle entendait le soir de sa chambre. Sa tante compris tout de suite qu’elle n’avait jamais pris de plaisir avec son mari. Elle décida d’emmener sa nièce chez un docteur pour voir si tout allait bien de ce côté-là.
La présence de sa tante lors de l’auscultation la rassurait et laisse le médecin l’examiner. Elle du tout d’abord retirer sa robe et se présente face au docteur en soutien-gorge et grande culotte. Elle s’allonge sur la table d’auscultation et subit les palpations du médecin. Il lui fait retirer son soutien-gorge et masse sa poitrine qui réagit. Elle n’a jamais vu ses tétons se tendre et durcir comme ça. Puis, il lui retire la culotte et caresse sa vulve. Il y enfonce un spéculum et Anne-Charlotte ressent des picotements dans son bas ventre. Il écarte les jambes de la jeune fille et deux doigts gantés s’introduisent dans son vagin. Les doigts bougent et elle a honte de sentir sa respiration accélérer et se retient de gémir. L’examen est terminé et selon le médecin, tout va bien.
Sa tante lui explique qu’elle a, pour la première fois, éprouvé un peu de plaisir des mains du médecin. Elle savait que dans son milieu, la femme n’était pas là pour prendre du plaisir mais pour procréer et faire jouir le mari. Après en avoir discuté avec son mari, sa tante décida de l’emmener dans une soirée un peu spéciale où sa nièce apprendra ce que le mot jouir signifie.
Le jour venu, sa tante lui prêta une robe de soirée rouge tandis qu’elle serait en noir. Arrivée à la soirée, on lui apporta un verre de champagne tandis que son oncle et sa tante se servait au bar. Pour toutes les femmes en rouge, il avait été ajouté aux verres de champagnes du LSD. Cette substance exacerbait les désirs tout en ressentant le plaisir et sans altérer les souvenirs. La jeune femme fut entourée de deux hommes de l’âge de son mari qui tout en discutant, l’amenèrent sur un canapé. Autour d’elle elle voyait les femmes sans retenue se laissaient caresser par un ou plusieurs partenaires. Anne-Charlotte assise au milieu des deux hommes ne s’offusqua pas lorsqu’ils posèrent leur main sur ses cuisses. Elle ressentait à nouveau ce picotement qu’elle avait ressenti chez le médecin. Elle se laissa faire lorsqu’un des 2 hommes tira sur le bustier de la robe libérant ses seins. Tandis qu’un l’embrassa, baiser qu’elle accepta en ouvrant sa bouche, l’autre s’occupait de ses seins, les léchant et suçant ses tétons. Elle sentit alors une humidité dans on bas ventre. Des gémissements lui firent regarder la salle. Les femmes étaient dans des positions sans équivoque et une jeune femme en rouge se faisait déjà pénétrer. Elle en était presque jalouse. L’homme qui venait de l’embrasser, sortit son sexe et posa la main d’Anne-Charlotte sur celui-ci. Elle le caressa et se souleva pour laisser l’autre soulever la robe et caresser son intimité. Elle ressentie une première décharge entre ses cuisses. Ici, elle pouvait exprimer son plaisir et ne retenait plus ses gémissements. Les hommes la positionnèrent de telle sorte qu’elle puisse sucer le sexe tendu qu’elle caressait tandis que l’autre homme était derrière elle. La culotte ôtée, elle ressentit l’homme la pénétrer. La façon d’être prise la fit décoller une nouvelle fois. Elle savait maintenant ce que faisait son oncle lorsque sa tante gémissait le soir. Elle s’appliquait à la fellation et se retirait de temps à autre pour gémir. Ils échangèrent de place et elle apprécia tout autant le nouveau sexe dans sa bouche et dans son sexe. Celui qui la pénétrait, s’occupa en même temps de son anus. Elle ne savait pas que cet orifice pouvait être convoitée et elle découvrira que l’on pouvait y prendre plaisir. Elle apprécia que l’homme qu’elle suçait, lui malaxe les seins mais également le doigt qui s’enfonçait dans son p’tit cul. Elle se crispa lorsqu’un deuxième doigt s’y introduit et ressentie une petite douleur qui s’atténua peu à peu. L’homme après l’avoir pénétré sans ménagement, la libéra. Elle sentit un vide dans son sexe et réclama d’être prise à nouveau. Mais l’homme avait d’autres intentions et se présenta à l’autre orifice. Il la sodomisa délicatement et Anne-Charlotte ne pouvait même plus s’occuper de l’autre sexe ressentant progressivement le sexe s’introduire, petit à petit, dans ce nouvel orifice. Maintenant, le sexe coulissait dans son conduit et elle reprit la fellation. La robe, le soutien-gorge et la culotte gisaient maintenant sur le sol. A la demande d’un des deux hommes, elle s’empala sur le sexe dressé et attendait que l’autre prenne son cul. Elle connu sa plus grande jouissance de cette double pénétration. Pour les remercier, elle accepta qu’ils jouissent dans sa bouche.
De retour à la maison, elle ne demanda pas son reste et s’endormie tout de suite avec des images jouissives. Le lendemain, elle exprima à sa tante le plaisir qu’elle avait ressentie et qui hantait encore sa mémoire. Le soir après le diner, elle s’assit entre son oncle et sa tante pour déguster le café. Ils commencèrent à la caresser et elle se laissa envahir par le plaisir qu’ils lui donnaient. Elle se laissa même embrasser par sa tante. Elle se donna à son oncle qui la prise par les deux trous. Comme sa tante avait lubrifié son p’tit trou avec du beurre, elle aima la sodomie. Comme elle savait que sa vie monotone allait reprendre son cours, elle dormi plusieurs nuits avec eux, offrant son corps à leur guise. Elle se donna également à son cousin qui était venu voir ses parents.
Pour être sûr de ne pas tomber enceinte, elle avalait toujours la semence de ses partenaires. De retour chez elle, elle n’éprouvait toujours pas de plaisir avec son mari qui réussit à la mettre enceinte. Comme elle allait voir son médecin avec sa mère, il n’y avait pas d’examen très poussé et donc sans plaisir. Sa débauche lui manquait et elle osa une nuit sortir discrètement du lit pour rejoindre les domestiques dans leur dépendance. Au troisième mois de grossesse, elle savait qu’elle ne risquait rien. Ravi qu’elle s’offre à eux, ils disposèrent d’Anne-Charlotte sans ménagement. Elle connu le cunnilingus fait par une fille tandis qu’elle suçait le sexe de l’homme. Elle se fit baiser, sodomisée et reçue l’éjaculation de l’homme dans sa matrice. Elle en ressenti un plaisir immense. A partir de ce jour, elle baisait de temps à autre avec le chauffeur.
Anne-Charlotte perdra son pucelage le soir des noces. Elle ne ressentira aucun plaisir ni cette fois ni les autres fois où son mari la possédera. Ils avaient une chambre dans la maison et Anne-Charlotte aidait dorénavant sa mère dans les taches ménagère. Le mariage de leur fille leur permit de garder un chauffeur et une servante qui vivaient dans une dépendance.
Les parents et son mari durent partir une quinzaine de jour pour des courses équestres. Cette fois, la mère voulu les accompagner mais pas la jeune fille. Ils décidèrent de donner des congés à leur employés et confièrent Anne-Charlotte à son oncle maternel.
Celui-ci, benjamin de la fratrie, n’avait pas suivi l’éducation bourgeoise et c’était marié à une roturière. Anne-Charlotte s’est vite sentie à son aise auprès d’eux et avait une certaine liberté qu’elle ne connaissait pas. Elle avait pris sa tante comme confidente et discutait souvent avec elle. Elle osa questionner sa tante sur les gémissements qu’elle entendait le soir de sa chambre. Sa tante compris tout de suite qu’elle n’avait jamais pris de plaisir avec son mari. Elle décida d’emmener sa nièce chez un docteur pour voir si tout allait bien de ce côté-là.
La présence de sa tante lors de l’auscultation la rassurait et laisse le médecin l’examiner. Elle du tout d’abord retirer sa robe et se présente face au docteur en soutien-gorge et grande culotte. Elle s’allonge sur la table d’auscultation et subit les palpations du médecin. Il lui fait retirer son soutien-gorge et masse sa poitrine qui réagit. Elle n’a jamais vu ses tétons se tendre et durcir comme ça. Puis, il lui retire la culotte et caresse sa vulve. Il y enfonce un spéculum et Anne-Charlotte ressent des picotements dans son bas ventre. Il écarte les jambes de la jeune fille et deux doigts gantés s’introduisent dans son vagin. Les doigts bougent et elle a honte de sentir sa respiration accélérer et se retient de gémir. L’examen est terminé et selon le médecin, tout va bien.
Sa tante lui explique qu’elle a, pour la première fois, éprouvé un peu de plaisir des mains du médecin. Elle savait que dans son milieu, la femme n’était pas là pour prendre du plaisir mais pour procréer et faire jouir le mari. Après en avoir discuté avec son mari, sa tante décida de l’emmener dans une soirée un peu spéciale où sa nièce apprendra ce que le mot jouir signifie.
Le jour venu, sa tante lui prêta une robe de soirée rouge tandis qu’elle serait en noir. Arrivée à la soirée, on lui apporta un verre de champagne tandis que son oncle et sa tante se servait au bar. Pour toutes les femmes en rouge, il avait été ajouté aux verres de champagnes du LSD. Cette substance exacerbait les désirs tout en ressentant le plaisir et sans altérer les souvenirs. La jeune femme fut entourée de deux hommes de l’âge de son mari qui tout en discutant, l’amenèrent sur un canapé. Autour d’elle elle voyait les femmes sans retenue se laissaient caresser par un ou plusieurs partenaires. Anne-Charlotte assise au milieu des deux hommes ne s’offusqua pas lorsqu’ils posèrent leur main sur ses cuisses. Elle ressentait à nouveau ce picotement qu’elle avait ressenti chez le médecin. Elle se laissa faire lorsqu’un des 2 hommes tira sur le bustier de la robe libérant ses seins. Tandis qu’un l’embrassa, baiser qu’elle accepta en ouvrant sa bouche, l’autre s’occupait de ses seins, les léchant et suçant ses tétons. Elle sentit alors une humidité dans on bas ventre. Des gémissements lui firent regarder la salle. Les femmes étaient dans des positions sans équivoque et une jeune femme en rouge se faisait déjà pénétrer. Elle en était presque jalouse. L’homme qui venait de l’embrasser, sortit son sexe et posa la main d’Anne-Charlotte sur celui-ci. Elle le caressa et se souleva pour laisser l’autre soulever la robe et caresser son intimité. Elle ressentie une première décharge entre ses cuisses. Ici, elle pouvait exprimer son plaisir et ne retenait plus ses gémissements. Les hommes la positionnèrent de telle sorte qu’elle puisse sucer le sexe tendu qu’elle caressait tandis que l’autre homme était derrière elle. La culotte ôtée, elle ressentit l’homme la pénétrer. La façon d’être prise la fit décoller une nouvelle fois. Elle savait maintenant ce que faisait son oncle lorsque sa tante gémissait le soir. Elle s’appliquait à la fellation et se retirait de temps à autre pour gémir. Ils échangèrent de place et elle apprécia tout autant le nouveau sexe dans sa bouche et dans son sexe. Celui qui la pénétrait, s’occupa en même temps de son anus. Elle ne savait pas que cet orifice pouvait être convoitée et elle découvrira que l’on pouvait y prendre plaisir. Elle apprécia que l’homme qu’elle suçait, lui malaxe les seins mais également le doigt qui s’enfonçait dans son p’tit cul. Elle se crispa lorsqu’un deuxième doigt s’y introduit et ressentie une petite douleur qui s’atténua peu à peu. L’homme après l’avoir pénétré sans ménagement, la libéra. Elle sentit un vide dans son sexe et réclama d’être prise à nouveau. Mais l’homme avait d’autres intentions et se présenta à l’autre orifice. Il la sodomisa délicatement et Anne-Charlotte ne pouvait même plus s’occuper de l’autre sexe ressentant progressivement le sexe s’introduire, petit à petit, dans ce nouvel orifice. Maintenant, le sexe coulissait dans son conduit et elle reprit la fellation. La robe, le soutien-gorge et la culotte gisaient maintenant sur le sol. A la demande d’un des deux hommes, elle s’empala sur le sexe dressé et attendait que l’autre prenne son cul. Elle connu sa plus grande jouissance de cette double pénétration. Pour les remercier, elle accepta qu’ils jouissent dans sa bouche.
De retour à la maison, elle ne demanda pas son reste et s’endormie tout de suite avec des images jouissives. Le lendemain, elle exprima à sa tante le plaisir qu’elle avait ressentie et qui hantait encore sa mémoire. Le soir après le diner, elle s’assit entre son oncle et sa tante pour déguster le café. Ils commencèrent à la caresser et elle se laissa envahir par le plaisir qu’ils lui donnaient. Elle se laissa même embrasser par sa tante. Elle se donna à son oncle qui la prise par les deux trous. Comme sa tante avait lubrifié son p’tit trou avec du beurre, elle aima la sodomie. Comme elle savait que sa vie monotone allait reprendre son cours, elle dormi plusieurs nuits avec eux, offrant son corps à leur guise. Elle se donna également à son cousin qui était venu voir ses parents.
Pour être sûr de ne pas tomber enceinte, elle avalait toujours la semence de ses partenaires. De retour chez elle, elle n’éprouvait toujours pas de plaisir avec son mari qui réussit à la mettre enceinte. Comme elle allait voir son médecin avec sa mère, il n’y avait pas d’examen très poussé et donc sans plaisir. Sa débauche lui manquait et elle osa une nuit sortir discrètement du lit pour rejoindre les domestiques dans leur dépendance. Au troisième mois de grossesse, elle savait qu’elle ne risquait rien. Ravi qu’elle s’offre à eux, ils disposèrent d’Anne-Charlotte sans ménagement. Elle connu le cunnilingus fait par une fille tandis qu’elle suçait le sexe de l’homme. Elle se fit baiser, sodomisée et reçue l’éjaculation de l’homme dans sa matrice. Elle en ressenti un plaisir immense. A partir de ce jour, elle baisait de temps à autre avec le chauffeur.
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