Anne-Laure à la fac - 3
Récit érotique écrit par Lord of Sitges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Anne-Laure à la fac - 3
Chapitre 4 – Proche du public
Le mois de mai arrive en même temps que les partielles. J’organise la visite d’un musée d’art natif avec Anne-Laure pour parfaire notre culture dans le domaine. Les salles ne sont pas sans effets sur cette dernière car presque tout semble orienté sur la fertilité, l’accouplement et la femme.
Anne-Laure me déclare au bout de seulement une demi-heure qu’elle est excitée et me supplie de rentrer pour la calmer.
Le programme était établi, nous étions loin de l’appartement mais je me sens moi-même en assez chauffé par les évocations multiples des relations sexuelles. Je lui propose donc plutôt que de rentrer, de lui faire découvrir l’excitation de se faire baiser dans un lieu public en l’emmenant aux toilettes de l’étage. Elle est presque déçue et se comporte comme une gamine pourrie, et piétine pour qu’on lui obéisse. Tout cela ne fait que me conforter dans mon autoritarisme tout neuf et je joue son jeu en la menaçant d’une fessée si elle ne coopère pas. Comme je sais qu’elle est sans culotte à ma demande, le simple fait d’approcher ma main de son petit cul la motive et elle prend son air mutin pour aller vers les sanitaires de l’étage. Ils sont vastes et modernes. Nous nous y retrouvons seuls, mais la situation me semble toutefois incongrue. Je la pousse en la prenant par le cou dans une cabine et la retourne aussitôt entrée pour lui remonter la jupe et dégager ses fesses. Elle se cambre aussitôt et me présente son cul comme pour une saillie, le précipite vers mes doigts agiles. Je la doigte un petit moment, le temps qu’elle commence à gémir et sort ma queue, décidé à la prendre à la hussarde.
A peine entré dans son vagin, un bruit de porte se fait entendre nous rappelant que nous sommes bien dans un lieu public et il est évident que quelqu’un partage l’espace avec nous alors que je commence à aller et venir le long des fesses nues de ma copine excitée. Elle, qui a pris l’habitude de crier son plaisir maintenant doit maitriser ses ardeurs, et j’entreprends de l’y aider en la bâillonnant de main pleine de sa mouille. Je pense que ce ne fait que décupler son plaisir et donc le mien, et je la pilonne plus fort espérant secrètement qu’elle se trahisse.
L’effort est trop intense. Après seulement 30 secondes, un gloussement lui échappe, puis un râle. J’entends en peu de temps notre voisin se rhabiller et sortir précipitamment avant qu’Anne-Laure ne jouisse sur ma queue. Toute l’opération n’a duré que quelques minutes, voire moins. Je défie Anne-Laure à me sucer la bite avant de sortir et elle s’exécute, mais je la laisse soigneusement dégouliner sans culotte pendant le reste de la visite, trop heureux de savoir mon jus couler le long de ses cuisses au milieu de la foule.
Nous avons bien remarqué le regard en biais d’un type de 50 ans quand nous avons rejoint la salle, mais rien n’a pu attester que c’était lui qui avait surpris un jeune couple dévergondé en train de baiser au musée.
Sur le chemin du retour, Anne-Laure me dit que finalement elle a bien aimé et me demande si je recommencerais un jour à la prendre en public. Bien sûr elle me reproche d’avoir du foutre plein la chatte et les cuisses et je lui promets de régler son problème une fois à l’appartement.
Nous rentrons donc et je la culbute sur le canapé pour qu’elle me fasse constater les dégâts. Elle écarte les cuisses sans pudeur, et me laisse admirer sa chatte plissée couverte de sperme séché.
- J’ai été cochonne heinnnn ? me lance-t-elle un doigt dans la bouche.
Je lui dis que son doigt elle peut le foutre ou je pense et elle commence à redessiner la ligne de sa moule. La salope en redemande et je vois son sexe s’ouvrir comme une fleur dès le deuxième passage du doigt visiteur.
- Ta moule a eu sa dose, tu pourrais changer de trou…
- Comment ça ? … il vient de ma bouche.
- Je sais, et je ne parle pas ici de ta bouche. J’ai envie de te voir te caresser le cul. Tu ne le fais jamais.
Elle me regarde d’un air inquiet et ne change pas de zone. Alors je lui répète mon désir.
Timidement elle baisse sa main et commence à poser son majeur sur sa rosette.
- Mouille-le ! Il en a besoin et ta petite moule dégouline. Tu peux lui en donner.
Elle commence alors, visiblement avec réticence à humecter de mouille son petit trou et le caresse avec son doigt.
- C’est bon maintenant, enfonce ton doigt ! … Aller je le veux !
La magie opère et je vois le majeur disparaître d’une phalange, pour ressortir puis y retourner. La belle tente de cacher ses traits avec son autre main. Peut-être a-t-elle honte de se mordre les lèvres, probablement a-t ’elle honte tout cours mais quoi qu’il en soit, c’est le doigt tout entier qui disparait maintenant entre ses petites fesses et fait des aller et retour.
- Il se sent probablement seul. Tu pourrais lui donner un compagnon, non ?
Il n’en faut pas plus pour que ma petite trainée favorite joigne son index à son majeur et les fasse pénétrer tous les deux dans son cul. Je me sentais vidé après le petit coup rapide de l’après-midi, mais je sens la mon ardeur revenir et je commence moi-même à me caresser au travers de mon jean devant ce spectacle dont je rêvais depuis un moment. Je sais que je n’irais pas plus loin pour l’instant, mais je veux capitaliser sur cette nouvelle étape franchie.
- Aller, montre-moi ce cul rempli de cochonne. Fait moi voir que tu sais t’enculer. Doigte-toi le cul comme si tu n’avais plus de chatte !
Ses aller et retours s’accélèrent. Je joui sur la moquette et elle part dans les tours en soufflant bruyamment. A partir de ce jour-là, à chaque fois que je lui demanderais de se caresser pour moi, elle mettra d’elle-même un ou plusieurs doigts dans son petit trou et je vais commencer à faire de même pendant que j’occuperais son autre côté.
Chapitre 5 – Première exhibition
A l’issue des partielles de Juin j’emmène Anne-Laure à la Turballe près du Croisic en moto et la fait descendre sur la plage de Pen Bron, très belle plage naturiste. Je me mets évidemment tout nu et elle réalise subitement le contexte. Je me doutais bien que c’était une première et que cette nouvelle expérience allait la violenter un peu. De mon côté, fils et petit-fils de naturistes je suis à l’aise et je prends plaisir à vivre nu, même en, public.
Anne-Laure a récupéré un maillot une pièce qu’elle doit certainement avoir depuis plusieurs années et il est vraiment devenu petit pour elle mais elle n’en a pas conscience. En d’autres lieux je m’en serais régalé, car sa chatte maintenant rasée moule le maillot et met en valeur les courbes de ses cuisses, de sa motte, des abdos qu’elle cultive et de ses seins. De plus l’excitation de la situation lui fait pointer les tétons de façon indécente. Je n’insiste donc pas dans un premier temps et profite du spectacle, mais dans un second temps, je prends ma voix autoritaire et lui dit comme à une petite fille,
- Ça suffit maintenant, retire ce maillot !
Elle tente quelques sons pour se défendre et je la coupe :
- DE SUITE ! Compris ?
Elle dévoile alors son corps de midinette prise en faute et montre une première larme qui ne me fait pas le moins du monde l’effet escompté.
- Tu es méchant avec moi. Je pense que je vais te quitter !
- C’est ça ! Quitte-moi.
Elle reste soudain interdite devant ma réponse en forme de menace et ne bouge ni ne parle pendant une bonne partie de la fin d’après-midi probablement prise au jeu des menaces.
Nous ne sommes pas encore nombreux à profiter du soleil à cette période de l’année, mais le peu d’hommes sur place profitent de toute évidence de la petite femme enfant qui m’accompagne, avec son corps sans défaut, ses petits seins pointus et sa petite moule toute nue, l’ange donne envie d’être mangé.
Au retour de la plage, alors que nous revenons par la route, elle reconnait qu’elle a été très excitée par cette journée et décide me faire une pipe pendant que je roule. Quand je me répands dans sa bouche elle semble embarrassée et je lui demande d’avaler puisqu’apparemment elle renonce à me quitter, et de laisser ce qui reste sur son menton jusqu’à ce que ça sèche. Elle s’exécute pour mon plus grand plaisir.
Je sais que je peux aller plus loin dans mes fantasmes.
L’été passe malheureusement sans que je puisse poursuivre avec Anne-Laure dont les vacances étaient organisées en famille. A son retour je la sollicite pour qu’elle me raconte ce qu’elle a osé faire seule en mon absence.
Ses progrès ont surtout consisté à se doigter plusieurs fois par jour et en tous lieux. Du coup elle a été surprise à se masturber par un vigile dans le hall de l’hôtel où elle résidait alors qu’elle atteignait l’orgasme. L’affaire en est restée là, mais elle me dit l’avoir évité tout le reste des vacances s’attendant à ce qu’il lui saute dessus.
- J’ai du mal à te croire, et ça t’aurait vraiment gênée qu’il te saute ?
Elle est très fâchée par ma réaction et me jure que son histoire est vraie et que vue mon manque de respect, la prochaine fois elle se laissera sauter pour me punir de ma méchanceté.
Je reconnais bien là ma petite fille dévergondée et je la laisse faire la tête.
Le mois de mai arrive en même temps que les partielles. J’organise la visite d’un musée d’art natif avec Anne-Laure pour parfaire notre culture dans le domaine. Les salles ne sont pas sans effets sur cette dernière car presque tout semble orienté sur la fertilité, l’accouplement et la femme.
Anne-Laure me déclare au bout de seulement une demi-heure qu’elle est excitée et me supplie de rentrer pour la calmer.
Le programme était établi, nous étions loin de l’appartement mais je me sens moi-même en assez chauffé par les évocations multiples des relations sexuelles. Je lui propose donc plutôt que de rentrer, de lui faire découvrir l’excitation de se faire baiser dans un lieu public en l’emmenant aux toilettes de l’étage. Elle est presque déçue et se comporte comme une gamine pourrie, et piétine pour qu’on lui obéisse. Tout cela ne fait que me conforter dans mon autoritarisme tout neuf et je joue son jeu en la menaçant d’une fessée si elle ne coopère pas. Comme je sais qu’elle est sans culotte à ma demande, le simple fait d’approcher ma main de son petit cul la motive et elle prend son air mutin pour aller vers les sanitaires de l’étage. Ils sont vastes et modernes. Nous nous y retrouvons seuls, mais la situation me semble toutefois incongrue. Je la pousse en la prenant par le cou dans une cabine et la retourne aussitôt entrée pour lui remonter la jupe et dégager ses fesses. Elle se cambre aussitôt et me présente son cul comme pour une saillie, le précipite vers mes doigts agiles. Je la doigte un petit moment, le temps qu’elle commence à gémir et sort ma queue, décidé à la prendre à la hussarde.
A peine entré dans son vagin, un bruit de porte se fait entendre nous rappelant que nous sommes bien dans un lieu public et il est évident que quelqu’un partage l’espace avec nous alors que je commence à aller et venir le long des fesses nues de ma copine excitée. Elle, qui a pris l’habitude de crier son plaisir maintenant doit maitriser ses ardeurs, et j’entreprends de l’y aider en la bâillonnant de main pleine de sa mouille. Je pense que ce ne fait que décupler son plaisir et donc le mien, et je la pilonne plus fort espérant secrètement qu’elle se trahisse.
L’effort est trop intense. Après seulement 30 secondes, un gloussement lui échappe, puis un râle. J’entends en peu de temps notre voisin se rhabiller et sortir précipitamment avant qu’Anne-Laure ne jouisse sur ma queue. Toute l’opération n’a duré que quelques minutes, voire moins. Je défie Anne-Laure à me sucer la bite avant de sortir et elle s’exécute, mais je la laisse soigneusement dégouliner sans culotte pendant le reste de la visite, trop heureux de savoir mon jus couler le long de ses cuisses au milieu de la foule.
Nous avons bien remarqué le regard en biais d’un type de 50 ans quand nous avons rejoint la salle, mais rien n’a pu attester que c’était lui qui avait surpris un jeune couple dévergondé en train de baiser au musée.
Sur le chemin du retour, Anne-Laure me dit que finalement elle a bien aimé et me demande si je recommencerais un jour à la prendre en public. Bien sûr elle me reproche d’avoir du foutre plein la chatte et les cuisses et je lui promets de régler son problème une fois à l’appartement.
Nous rentrons donc et je la culbute sur le canapé pour qu’elle me fasse constater les dégâts. Elle écarte les cuisses sans pudeur, et me laisse admirer sa chatte plissée couverte de sperme séché.
- J’ai été cochonne heinnnn ? me lance-t-elle un doigt dans la bouche.
Je lui dis que son doigt elle peut le foutre ou je pense et elle commence à redessiner la ligne de sa moule. La salope en redemande et je vois son sexe s’ouvrir comme une fleur dès le deuxième passage du doigt visiteur.
- Ta moule a eu sa dose, tu pourrais changer de trou…
- Comment ça ? … il vient de ma bouche.
- Je sais, et je ne parle pas ici de ta bouche. J’ai envie de te voir te caresser le cul. Tu ne le fais jamais.
Elle me regarde d’un air inquiet et ne change pas de zone. Alors je lui répète mon désir.
Timidement elle baisse sa main et commence à poser son majeur sur sa rosette.
- Mouille-le ! Il en a besoin et ta petite moule dégouline. Tu peux lui en donner.
Elle commence alors, visiblement avec réticence à humecter de mouille son petit trou et le caresse avec son doigt.
- C’est bon maintenant, enfonce ton doigt ! … Aller je le veux !
La magie opère et je vois le majeur disparaître d’une phalange, pour ressortir puis y retourner. La belle tente de cacher ses traits avec son autre main. Peut-être a-t-elle honte de se mordre les lèvres, probablement a-t ’elle honte tout cours mais quoi qu’il en soit, c’est le doigt tout entier qui disparait maintenant entre ses petites fesses et fait des aller et retour.
- Il se sent probablement seul. Tu pourrais lui donner un compagnon, non ?
Il n’en faut pas plus pour que ma petite trainée favorite joigne son index à son majeur et les fasse pénétrer tous les deux dans son cul. Je me sentais vidé après le petit coup rapide de l’après-midi, mais je sens la mon ardeur revenir et je commence moi-même à me caresser au travers de mon jean devant ce spectacle dont je rêvais depuis un moment. Je sais que je n’irais pas plus loin pour l’instant, mais je veux capitaliser sur cette nouvelle étape franchie.
- Aller, montre-moi ce cul rempli de cochonne. Fait moi voir que tu sais t’enculer. Doigte-toi le cul comme si tu n’avais plus de chatte !
Ses aller et retours s’accélèrent. Je joui sur la moquette et elle part dans les tours en soufflant bruyamment. A partir de ce jour-là, à chaque fois que je lui demanderais de se caresser pour moi, elle mettra d’elle-même un ou plusieurs doigts dans son petit trou et je vais commencer à faire de même pendant que j’occuperais son autre côté.
Chapitre 5 – Première exhibition
A l’issue des partielles de Juin j’emmène Anne-Laure à la Turballe près du Croisic en moto et la fait descendre sur la plage de Pen Bron, très belle plage naturiste. Je me mets évidemment tout nu et elle réalise subitement le contexte. Je me doutais bien que c’était une première et que cette nouvelle expérience allait la violenter un peu. De mon côté, fils et petit-fils de naturistes je suis à l’aise et je prends plaisir à vivre nu, même en, public.
Anne-Laure a récupéré un maillot une pièce qu’elle doit certainement avoir depuis plusieurs années et il est vraiment devenu petit pour elle mais elle n’en a pas conscience. En d’autres lieux je m’en serais régalé, car sa chatte maintenant rasée moule le maillot et met en valeur les courbes de ses cuisses, de sa motte, des abdos qu’elle cultive et de ses seins. De plus l’excitation de la situation lui fait pointer les tétons de façon indécente. Je n’insiste donc pas dans un premier temps et profite du spectacle, mais dans un second temps, je prends ma voix autoritaire et lui dit comme à une petite fille,
- Ça suffit maintenant, retire ce maillot !
Elle tente quelques sons pour se défendre et je la coupe :
- DE SUITE ! Compris ?
Elle dévoile alors son corps de midinette prise en faute et montre une première larme qui ne me fait pas le moins du monde l’effet escompté.
- Tu es méchant avec moi. Je pense que je vais te quitter !
- C’est ça ! Quitte-moi.
Elle reste soudain interdite devant ma réponse en forme de menace et ne bouge ni ne parle pendant une bonne partie de la fin d’après-midi probablement prise au jeu des menaces.
Nous ne sommes pas encore nombreux à profiter du soleil à cette période de l’année, mais le peu d’hommes sur place profitent de toute évidence de la petite femme enfant qui m’accompagne, avec son corps sans défaut, ses petits seins pointus et sa petite moule toute nue, l’ange donne envie d’être mangé.
Au retour de la plage, alors que nous revenons par la route, elle reconnait qu’elle a été très excitée par cette journée et décide me faire une pipe pendant que je roule. Quand je me répands dans sa bouche elle semble embarrassée et je lui demande d’avaler puisqu’apparemment elle renonce à me quitter, et de laisser ce qui reste sur son menton jusqu’à ce que ça sèche. Elle s’exécute pour mon plus grand plaisir.
Je sais que je peux aller plus loin dans mes fantasmes.
L’été passe malheureusement sans que je puisse poursuivre avec Anne-Laure dont les vacances étaient organisées en famille. A son retour je la sollicite pour qu’elle me raconte ce qu’elle a osé faire seule en mon absence.
Ses progrès ont surtout consisté à se doigter plusieurs fois par jour et en tous lieux. Du coup elle a été surprise à se masturber par un vigile dans le hall de l’hôtel où elle résidait alors qu’elle atteignait l’orgasme. L’affaire en est restée là, mais elle me dit l’avoir évité tout le reste des vacances s’attendant à ce qu’il lui saute dessus.
- J’ai du mal à te croire, et ça t’aurait vraiment gênée qu’il te saute ?
Elle est très fâchée par ma réaction et me jure que son histoire est vraie et que vue mon manque de respect, la prochaine fois elle se laissera sauter pour me punir de ma méchanceté.
Je reconnais bien là ma petite fille dévergondée et je la laisse faire la tête.
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