Anne-Laure à la fac - 4
Récit érotique écrit par Lord of Sitges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Anne-Laure à la fac - 4
Chapitre 6 – L’esprit de partageEn Septembre, peu avant la rentrée, j’organise une séance photo dans un parc de la ville avec Anne-Laure. Elle ne le sait pas encore, mais mes intentions ne sont pas du tout sages, et j’exige assez rapidement qu’elle me donne sa petite culotte. Elle est sommée de la retirer en plein parc et je commence à mitrailler la dépravée. Elle n’est pas vraiment coopérative, probablement encore vexée par l’épisode précédent, et il me faut faire les gros yeux pour obtenir de sa part la vue sur son entre jambes dégagé, et sur un sein dévoilé.
Je parviens toutefois à réaliser une bonne série avec même parfois des passants en fond d’image. Ma petite cochonne montre son minou et ses seins en public pour la première fois depuis la plage et j’aime ça. Je ne sais pas si, elle, aime, mais elle veut me faire plaisir alors je prends.
Je me dis toutefois que mon pouvoir sur Anne-Laure est réel et je prends à me promettre de l’utiliser avec modération. Elle m’était indifférente au début, juste une prise de guerre, mais maintenant je m’attache à son côté perverti et à sa soumission à mes fantasmes. Je n’imagine pas m’arrêter.
Je prends des clichés avec ses seins visibles par les emmanchures de sa robe, elle pince malicieusement leur pointe, se penche jambes tendues pour ramasser des objets imaginaires et malicieusement tend les tissus contre son corps pour en révéler les contours. Elle a même l’audace en fin de session, de déboutonner la totalité de la robe et de dévoiler son ventre bronzé et ses marques de maillot toutes blanches. Je revérifie 100 fois les réglages de mon appareil de peur de manquer de tels clichés et brule d’impatience d’en vérifier le résultat.
Nous regardons les photos sur l’ordinateur en rentrant et elle les trouve sexy. Elle projette même d’autres séances plus osées encore, en d’autres lieux avec des codes pour la prévenir des risques dans son dos.
Octobre – Julian est une connaissance de longue date. Nous nous étions fréquenté plus jeunes en tant que voisins et nous avions partagé un certain gout pour la photo. Lui a poursuivi cette passion pour tenter d’en faire son travail alors que de mon côté j’ai toujours pris cela comme un hobby sans chercher à collectionner un matériel de pro.
Pour tester mon nouveau pouvoir, et connaissant les capacités de Julian, je décide de solliciter Anne-Laure pour poser en dessous devant lui. Il a un deal à honorer et il a accepté un tarif peu élever pour se faire connaitre. Le fait d’économiser sur les frais de mannequin n’est pas négligeable et je sais qu’Anne-Laure aura ainsi l’occasion d’acheter des sous-vêtements sexy à prix réduits.
En visite mi-Novembre chez la mère d’Anne-Laure, je prends le pari d’organiser une épreuve pour Anne-Laure. C’est un peu un nouveau test de mon pouvoir : Je lui demande de retirer sa culotte devant chez elle et de passer le reste de la journée ainsi. Pendant presque 20 secondes, je crains de revenir à la case départ et de tout perdre tellement la petite fille semble se révolter contre ce plan. Mais sans prendre plus de précaution, elle glisse ses deux mains le long de ses hanches, remonte la petite jupe droite qu’elle portait et descend en s’accroupissant le joli tanga fuchsia qu’elle portait ce matin-là.
J’embarque le trophée dans ma poche et l’embrasse en la remerciant et déclarant mon amour à ma petite cochonne.
La journée se déroule sans scandale mais me confirme que tout est possible et me met à recenser tous les fantasmes qui me restent en tête pour Anne-Laure.
L’étape suivante n’est pas de mon initiative. C’est Anne-Laure elle-même qui me parle un jour de sa décision de se faire faire un piercing au nombril. Beaucoup de ses copines en ont un et elle trouve qu’elle est assez grande pour s’en offrir un sans que sa mère le sache. Je n’ai rien à y opposer mais quand nous allons tous les deux chez le spécialiste, la vitrine intérieure l’étonne tout autant que moi. Elle s’attendait à demander quelque chose d’osé par rapport aux perçage d’oreilles et découvre que certaines filles en font ailleurs… Beaucoup plus bas. Bijoux intimes, pour lèvres et clitoris sont proposés par dizaines et une fille à nos côtés vient justement en rendez-vous pour s’en faire poser un. Mon Anne-Laure redevient petite fille et ne dit plus grand-chose. Elle est un peu vexée je crois de ne pas avoir dépassé les limites faute de les connaitre vraiment.
Je sens que quelque chose a encore bougé. La gamine décidée va vouloir aller plus loin. Ce ne sera pas le piercing ce jour-là en tous cas, et elle se contente de ce pour quoi elle était venue mais fera tout pour le relativiser quand quelqu’un lui en parlera.
Fort de mes dernières découvertes, je demande début décembre à Julian de solliciter Anne-Laure pour des photos de nu rémunérées. C’est bien sur moi qui serait le commanditaire. J’aurais la satisfaction d’aider Julian à vivre de son travail mais aussi de disposer d’un book de qualité de ma jolie donzelle. Quand elle a la proposition de Julian pour qui elle a déjà posé plusieurs fois, elle me demande mon avis mais je note qu’elle omet de me parler de la rémunération qui y est liée. Je l’encourage donc à accepter et je l’accompagne au shooting. Les photos sont très réussies et je me garde bien de lui dire que je suis le vrai commanditaire. J’apprends plus tard, qu’elle demandera à Julian à poser de nouveau pour lui. Il m’en fait part et me dit qu’il a peut-être des débouchés pour ces photos, que cela ne me coutera rien. Je lui donne mon accord pour autant que je puisse avoir une copie des photos et je passe quelques semaines à contempler le corps de ma salope, offert à je ne sais qui pour son plus grand plaisir. Qui sait si j’ai vraiment toutes les vues ?
Il y a une vue nouvelle en tous cas. Pour cadeau de Noël, Anne-Laure a décidé de m’offrir… son cul.
Je la retrouve un soir en rentrant dans la chambre le cul nu face à la porte et la tête contre l’oreiller. Elle a les doigts enfoncés dans le vagin et de la mouille ou du lubrifiant tout le long de la raie. Elle me dit juste, joyeux Noël mon gros pervers ! Ce soir tu vas pouvoir m’enculer. Je suis prête maintenant je pense et j’en ai vraiment envie. Qui pourrait résister à une telle offre ? Ma queue n’a fait qu’un mouvement vers le haut et je n’ai pas vraiment hésité. J’ai retrouvé le plaisir de l’année précédent quand j’ai pu à la fin pénétrer sa petite chatte étroite. Depuis elle s’était bien élargie, mais je retrouvais ici la difficulté de se faire un chemin. Ma queue était compressée dans son anus vierge et j’avais le sentiment de pouvoir m’enfoncer sans limite. Je sentais mes couilles frotter contre sa chatte trempée. Je la possédais enfin complètement. Elle était ma petite enculée maintenant, ma pute adorée, ma salope sodomite. Je ne rêvais plus dans les jours suivants que d’enfiler par derrière mon nouveau jouet.
Je parviens toutefois à réaliser une bonne série avec même parfois des passants en fond d’image. Ma petite cochonne montre son minou et ses seins en public pour la première fois depuis la plage et j’aime ça. Je ne sais pas si, elle, aime, mais elle veut me faire plaisir alors je prends.
Je me dis toutefois que mon pouvoir sur Anne-Laure est réel et je prends à me promettre de l’utiliser avec modération. Elle m’était indifférente au début, juste une prise de guerre, mais maintenant je m’attache à son côté perverti et à sa soumission à mes fantasmes. Je n’imagine pas m’arrêter.
Je prends des clichés avec ses seins visibles par les emmanchures de sa robe, elle pince malicieusement leur pointe, se penche jambes tendues pour ramasser des objets imaginaires et malicieusement tend les tissus contre son corps pour en révéler les contours. Elle a même l’audace en fin de session, de déboutonner la totalité de la robe et de dévoiler son ventre bronzé et ses marques de maillot toutes blanches. Je revérifie 100 fois les réglages de mon appareil de peur de manquer de tels clichés et brule d’impatience d’en vérifier le résultat.
Nous regardons les photos sur l’ordinateur en rentrant et elle les trouve sexy. Elle projette même d’autres séances plus osées encore, en d’autres lieux avec des codes pour la prévenir des risques dans son dos.
Octobre – Julian est une connaissance de longue date. Nous nous étions fréquenté plus jeunes en tant que voisins et nous avions partagé un certain gout pour la photo. Lui a poursuivi cette passion pour tenter d’en faire son travail alors que de mon côté j’ai toujours pris cela comme un hobby sans chercher à collectionner un matériel de pro.
Pour tester mon nouveau pouvoir, et connaissant les capacités de Julian, je décide de solliciter Anne-Laure pour poser en dessous devant lui. Il a un deal à honorer et il a accepté un tarif peu élever pour se faire connaitre. Le fait d’économiser sur les frais de mannequin n’est pas négligeable et je sais qu’Anne-Laure aura ainsi l’occasion d’acheter des sous-vêtements sexy à prix réduits.
En visite mi-Novembre chez la mère d’Anne-Laure, je prends le pari d’organiser une épreuve pour Anne-Laure. C’est un peu un nouveau test de mon pouvoir : Je lui demande de retirer sa culotte devant chez elle et de passer le reste de la journée ainsi. Pendant presque 20 secondes, je crains de revenir à la case départ et de tout perdre tellement la petite fille semble se révolter contre ce plan. Mais sans prendre plus de précaution, elle glisse ses deux mains le long de ses hanches, remonte la petite jupe droite qu’elle portait et descend en s’accroupissant le joli tanga fuchsia qu’elle portait ce matin-là.
J’embarque le trophée dans ma poche et l’embrasse en la remerciant et déclarant mon amour à ma petite cochonne.
La journée se déroule sans scandale mais me confirme que tout est possible et me met à recenser tous les fantasmes qui me restent en tête pour Anne-Laure.
L’étape suivante n’est pas de mon initiative. C’est Anne-Laure elle-même qui me parle un jour de sa décision de se faire faire un piercing au nombril. Beaucoup de ses copines en ont un et elle trouve qu’elle est assez grande pour s’en offrir un sans que sa mère le sache. Je n’ai rien à y opposer mais quand nous allons tous les deux chez le spécialiste, la vitrine intérieure l’étonne tout autant que moi. Elle s’attendait à demander quelque chose d’osé par rapport aux perçage d’oreilles et découvre que certaines filles en font ailleurs… Beaucoup plus bas. Bijoux intimes, pour lèvres et clitoris sont proposés par dizaines et une fille à nos côtés vient justement en rendez-vous pour s’en faire poser un. Mon Anne-Laure redevient petite fille et ne dit plus grand-chose. Elle est un peu vexée je crois de ne pas avoir dépassé les limites faute de les connaitre vraiment.
Je sens que quelque chose a encore bougé. La gamine décidée va vouloir aller plus loin. Ce ne sera pas le piercing ce jour-là en tous cas, et elle se contente de ce pour quoi elle était venue mais fera tout pour le relativiser quand quelqu’un lui en parlera.
Fort de mes dernières découvertes, je demande début décembre à Julian de solliciter Anne-Laure pour des photos de nu rémunérées. C’est bien sur moi qui serait le commanditaire. J’aurais la satisfaction d’aider Julian à vivre de son travail mais aussi de disposer d’un book de qualité de ma jolie donzelle. Quand elle a la proposition de Julian pour qui elle a déjà posé plusieurs fois, elle me demande mon avis mais je note qu’elle omet de me parler de la rémunération qui y est liée. Je l’encourage donc à accepter et je l’accompagne au shooting. Les photos sont très réussies et je me garde bien de lui dire que je suis le vrai commanditaire. J’apprends plus tard, qu’elle demandera à Julian à poser de nouveau pour lui. Il m’en fait part et me dit qu’il a peut-être des débouchés pour ces photos, que cela ne me coutera rien. Je lui donne mon accord pour autant que je puisse avoir une copie des photos et je passe quelques semaines à contempler le corps de ma salope, offert à je ne sais qui pour son plus grand plaisir. Qui sait si j’ai vraiment toutes les vues ?
Il y a une vue nouvelle en tous cas. Pour cadeau de Noël, Anne-Laure a décidé de m’offrir… son cul.
Je la retrouve un soir en rentrant dans la chambre le cul nu face à la porte et la tête contre l’oreiller. Elle a les doigts enfoncés dans le vagin et de la mouille ou du lubrifiant tout le long de la raie. Elle me dit juste, joyeux Noël mon gros pervers ! Ce soir tu vas pouvoir m’enculer. Je suis prête maintenant je pense et j’en ai vraiment envie. Qui pourrait résister à une telle offre ? Ma queue n’a fait qu’un mouvement vers le haut et je n’ai pas vraiment hésité. J’ai retrouvé le plaisir de l’année précédent quand j’ai pu à la fin pénétrer sa petite chatte étroite. Depuis elle s’était bien élargie, mais je retrouvais ici la difficulté de se faire un chemin. Ma queue était compressée dans son anus vierge et j’avais le sentiment de pouvoir m’enfoncer sans limite. Je sentais mes couilles frotter contre sa chatte trempée. Je la possédais enfin complètement. Elle était ma petite enculée maintenant, ma pute adorée, ma salope sodomite. Je ne rêvais plus dans les jours suivants que d’enfiler par derrière mon nouveau jouet.
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