Anne s'est très bien ercevoir...

- Par l'auteur HDS Renifleur -
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Récit libertin : Anne s'est très bien ercevoir... Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Anne s'est très bien ercevoir...
Mon attente fut de courte duré avant qu’Anne vient poindre son nez. -Alors elle t’a plu ma petite surprise ?
Sa voix a une intonation polissonne.
-Tu parles d’une surprise.
-Enfin ce n’était pas désagréable ?
Elle glousse, ravie de mon initiative.
-Et pourquoi ce petit cadeau.
-Figure toi que j’avais un petit embarras avec cette femme.
-Quel genre de problème ?
-J’ai tout bonnement couché avec son mari…
-Non, toi…
-Oui, moi…comme quoi…
Elle marque une pause avant d’ajouter.
-Il se trouve qu’une nuit je suis réveillé par de drôle de bruit. Je pense que cela vient de mon mari couché de l’autre côté du lit. Je tends l’oreille pour entendre que le bruit vient plutôt de l’autre côté de la cloison. Donc de la chambre de Valérie. C’était à l’époque où le couple traversé un problème de manque de ressource. Et c’est pour cela qu’avec mon mari nous leur avait proposé de les héberger un certain temps.
De l’autre côté de la cloison d’autres bruits viennent titiller mes oreilles alors en alerte. Prise d’un accès de curiosité, je déserte alors ma couche et m’engage dans le couloir. Pieds nus pour ne pas me faire repérer. Tout de suite mon regard est attiré par la raie de lumière en bas de la porte d’entrée. Là, je ne sais pas ce qu’il m’a bien passé par la tête de jeter un œil par le trou de serrure. Et là je vois mon gendre baiser Valérie. Elle est à quatre pattes sur le lit, la croupe dressée. Le dos creusé, la tête enfouie dans l’oreiller.
Agenouillé derrière, il avance et recule son bassin. Une main posée sur la hanche de ma petite fille, l’autre posée sur son ventre, il lui titiller le bouton. Il a le visage baissé, il regarde sans aucun doute comme je le fais moi-même, sa verge entrer et sortir sa queue de la chatte de ma fille. Je relève ma chemise de nuit pour glisser mes doigts dans ma fente, et je me caresse tout en espionnant ce qui se jouer sur le lit. Je me trouve très vite au pic de mon excitation. A un tel point que je me rends expresso dans ma chambre. Je saute dans mon lit et à tâtons à l’aide de ma main, je contrôle le degré de dureté du pénis de mon mari, près à le violer si par chance il était dans l’état de me remplir. Mais malheureusement pour moi, son sexe est dès plus moue. Tant pis pour moi, et surtout pour ma chatte. Donc j’ai satisfait mon besoin sexuel avec mes caresses. Mais tout cela est loin de calmer mes ardeurs. Le besoin de queue est donc ancré en moi. Au point de succomber à la tentation du cul avec l’époux de... tu devines la suite ?
-Et moi dans cette affaire ?
-Pense bien que je n’allais pas proposer mon mari. Elle n’en aurait pas voulu, alors j’ai pensé à toi…
-Je t’en remercie…
-Sache pour ta gouverne qu’elle n’a pas hésité un seul instant…
-Tant mieux pour toi…
-Et pour toi. Je ne pense pas qu’elle n’était pas si désagréable que ça…
-Je confirme…
--Espèce de gros cochon ! Donc, nous sommes tous gagnions dans l’affaire ! Je te dois bien maintenant, une faveur…
Sans s’embarrasser de préambules inutiles, Anne se dépouille de sa robe mousseline verte qui tombe mollement sur ses escarpins.
Entièrement nue, la tête rejetée en arrière et les yeux mi-clos, elle emprisonne ses seins entre ses deux mains, les pressant l’un contre l’autre comme pour en éprouver la fermeté élastique et douce.
Puis, ses doigts nerveux descendent sur son ventre, suivant un parcours sinueux et compliqué, dont il est difficile de dire s’il est le fruit du hasard ou, au contraire, s’il suit les lignes mystérieuses du plaisir solitaire.
Lorsque l’index de sa main droite entre en contact avec le petit bouton dissimulé au centre du buisson ardent de son intimité, elle est secouée par un violent frisson.
Elle redresse la tête, ouvre les yeux et m’offre alors que je la dévore du regard un sourire provocateur presque obscène. Elle s’allonge sur son lit les cuisses largement écartées. Les yeux exorbités, elle émet un grognement rauque lorsque que ses doigts atteignent l’orée de sa toison, dont les poils follets se tortillent sur eux-mêmes.
Son sourire trahit sa satisfaction de s’exhiber.
-Je te plais en cochonne, Alain ?
-Oh oui…
Elle rit….
-Je te connaissais étant une aussi grosse salope !
Elle se raidit, blessée et flattée. Elle se plie en deux sur le lit, étalant sa croupe à mon regard.
-Putain quel beau cul !
Ne pouvant plus me contenir plus longtemps, j’empoigne à pleines mains la chair tendre de ses fesses et les écarte sans ménagement. Les globes étirés, laissent voir la raie. Je passe une main dans le sillon, sondant le bourrelet de l’anus.
-Dire que cela n’intéresse plus ton mari…
-Que veux-tu ! J’ai toi maintenant…
Sans prendre la peine de répondre, je pousse, faisant pénétrer le bout de mon index dans l’orifice. Elle se dresse, une contorsion fugitive sur le visage.
-Oh Alain, tu ne va pas !
-Pourquoi ? T’aime pas ça ?
-Si, si… mais !
Je pose mes lèvres sur une demie-sphère lisse et je couvre de baisers la croupe.
-Oui, c’est ça, Alain, embrasse-moi !
Mes baisers deviennent des coups de langue. Je lèche la raie odorante sur toute la longueur, bavant sur le petit trou. J’enfouis ma figure entre ses cuisses chaudes et plonge mon nez dans sa toison aux poils collés par la transpiration et la mouille. Je m’intéresse un moment à ce pubis touffu, avant de pénétrer la fente tiède, de masser la chair humide et de jouer avec le clitoris. La bouche entrouverte, Anne gémit.
Je vise deux doigts raides dans son vagin. Je la fouille sans douceur. La besogne à grands coups. Un coup de langue par-ci par-là pour goûter. Elle a vraiment une foufoune délicieuse cette Anne. Plus acide que les dernières sucer.
Comme à mon habitude, je suis attentif au moindre signe qui trahit la montée du plaisir de ma partenaire. J’entends ses soupirs sortirent de sa bouche. Je la goûte et re-goûte encore et encore, me délectant de son intimité. Son corps ne lui appartient plus, et commence à onduler au rythme de mes coups de langues. Ses mains enserrent ma tête de peur sans doute que je me retire. Pourtant c’était loin de mes pensées. Tant le bonheur est au rendez-vous chez elle. Ses soupirs deviennent gémissements.
Sa chatte est gorgée de plaisir. Je décide de l’augmenter en incluant un, puis deux doigts en elle. Sa réaction est immédiate. Son plaisir décuplé varappe à son apogée. Dans un cri étouffé, une marée au goût de coquillages envahit ma bouche et mes doigts quand elle jouit. Après avoir sillonné tout autour de la fente, je cherche vers le bas, la partie plus ouverte qui m’autorise de rentrer la pointe de ma langue dans ce sillon aigre et aromatisé.
Après le goûter, je remonte lentement en dessinant de petits cercles comme une petite tornade. Arrivée vers son bourgeon je modère mes cercles. Anne gémit de plus en plus fort, à crier presque. Jusqu’à ce que je l’abandonne pour taquiner son anus. Mais ce n’est pas du goût de l’intéresser. Qui miaule tout en guidant ma bouche sur sa foufoune qui bave comme jamais de plaisir. Je bois son jus qui coule jusqu’à son petit trou. Elle se tortille alors que j’aspire toute sa viande cru dans ma bouche. Elle gémit sans retenue. Je l’empoigne par les cuisses pour mieux enfoncer ma langue dans son puits d‘amour. La jouissance se fait immédiatement.
Mais j’en veux plus. Pour ça j’ancre ma langue aussi loin que je le peux dans son antre, la fais frétiller. La ressors pour mieux l’assaillir de nouveau. Perquisitionnant l’intérieur, alors que mon index s’insinue lentement dans son rectum.
C’est l’instant qu’elle choisit pour jouir une seconde fois. J’adore entendre jouir une femme. C’est pour moi une récompense formidable. Elle vagisse. Je me redresse, essuie mon menton d’un revers de main et libère l’instant suivant ma queue. Je m’enfonce avec vigueur dans sa fente baveuse. Anne suffoque. Je la pistonne sans ménagement un long moment, à grands coups de boutoir cadencés qui secouent le lit conjugal. Je me retire. Dirige mon membre vers l’anus bordé de poils bruns, et force dessus. Elle pousse de petits cris au moment où mon gland repousse ses chairs. Peu à peu ma queue disparait bien au fond en elle. Je m’écarte pour voir ma verge planté au milieu de son anus. En me fixant droit dans les yeux, elle envoie une main jusqu’à son sexe et se caresse.
Je me saisis de sa cheville, et fais sauter son magnifique escarpin qui laisse le dessus du pied seulement traversé par une lanière. Une fois déchaussé, j’embrasse son pied, j’hume, et le lèche à grands coups de langue.
Puis je la prends comme je le désirée la prendre. Elle se prête de son mieux à la possession. Ses doigts pianotant son sexe. Elle laisse échapper un soupir, une sorte de plainte douloureusement et avide.
- Je pense que je vais divorcer de mon mari pour toi… fait-elle d’une voix implorante.
Cela décuple ma tension, dont le sang bat les tempes jusqu’à m’étourdir. Crispé sur elle, après l’instant de répit nécessaire à calmer ma surexcitation de mes sens, je me mis à bouger, allant et venant, plus loin, plus fort, aussi, heurtant à chaque coup ses fesses. Elle répond à ma cruauté, d’abord d’un mouvement presque imperceptible, puis de plus en plus affirmé.
Les reins avec lesquels je branle ma queue, semblent se prêter davantage à l’étreinte. Son halètement se change en gémissement, râles, cris. Le plaisir enveloppe mon corps. Comme prévisible, je sens poindre mon orgasme. Je continue de la sodomiser. Activant encore ma cadence de branle.
Elle râle fort, elle râle même très fort. Encouragé, je me laisse aller. Emporté par un inouï plaisir je propulse mon foutre dans son cul. Plusieurs éruptions puissantes. Vidé, je m’effondre sur elle, le cœur battant, la tête vide. Ruiné d’envie, de remettre le couvert…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
J'adore le titre, on sent le bon écolier qui confond le verbe être et le verbe savoir. J'aurais préféré Anne SAIT très bien recevoir
Blais



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