Année 2050
Récit érotique écrit par Alain ex dom [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2021 dans la catégorie A dormir debout
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Année 2050
Pour ceux qui n'ont pas pu lire la première partie il se réalise le projet de mettre des navettes en satellites autour de la comète de Hailey.
En 2050, l'idée était bien avancée et on commençait les expériences sur l'équipage. Le choix était ardu entre hommes et femmes, la quantité comme l'âge était important mais pas primordial. Il fallait que les choisis puissent se mettre en osmose avec des gens restés sur terre pour suivre leurs évolutions. Enfin il fallait une égalité parfaite entre jeunes et moins jeunes, femme et hommes. Le sexe n'était pas un critère puisque devenu de l'ordre du fantasme/réel.
La vaisseau était conçu pour trente personnes et cinquante ont été présélectionnés. J'ai eu l'honneur d'en faire partie. Nous serions des spectateurs mais aussi des acteurs de mondes inconnus mais formés d'humains moins parfait ou moins évolués.
Par un système d'hologramme fantastiques les décideurs pouvaient suivre nos fantames personnels . Aucunes inhinitions ne nous étant imposées depuis la renaissance nous étions une sorte d'animal pensant, raisonnant pour la communauté ce qui n'empèchait pas les amours au corps à corps sans la pensée même si elle y jouait un rôle.
Ainsi j'avais deux amis un garçon et une fllle qui me permettaient et souvent me rejoignaient dans les fantasmes en virtuels tout en faisant l'amour corporellement.Tout les deux fins imberbes au visage agréable. Lui avait de beaux tétons durs et aréoles sombres et larges, elle , avait de petits seins en poire, bien accrochée , se tendant vers le haut.
Moi, car il faut bien que je parle de moi, j'avais vingt cinq ans , bien entretenu et la mémoire génétique idéale pour eux. Ainsi alors que mon sexe était normal, ils le sentaient virtuellement plus large et long que le réel . Moi même j'ai eu cette expérience en position normale de femme de me sentir pénétré par une queue bien plus grosse que la réalité. En fait quand on est pas dans l'intérêt d'une personne rien de physique ne se passe. Par contre quand les deux sans se toucher s'accordent c'est le pied total. Je me suis fait sodomisé par un ancêtre (pour moi) de cinquante ans et je l'ai senti et aimé sans qu'il y ai lien entre nous deux. De même la chose s'est passée avec un gamin de 18 ans dont j'ai croisé le regard. Ce fut intense et court. Déshabillé du regard comme dans le temps les hommes pour les femmes. Même étant consentant c'était une sorte de viol de mon moi. Ce mot de viol avait un peu perdu de son sens car de l'ordre du fantasme inavoué bien souvent.
Après tout les tests d'adaptation à l'accélération pour le moment ou nous serions attirés dans l'orbite Des groupes de trente six étaient formés et comme tout se savait, mes amis étaient chacun dans un groupe différent car nous étions reliès plus facilement par la pensée.
Des études faites depuis les premiers sous marins et navettes avaient été faites pour étudier les phénomènes avec des jumeaux , des jeux de cartes à remettre en ordre et maintenant tout le monde pouvait pratiquement communiquer avec plus ou moins de facilité entre personnes. Avec mes amis tout trois placés dans différentes navettes nous avions fort bien fait l'amour à trois sans complexes sachant que nos cerveaux étaient analysés, avant, pendant et au retour. Nous étions en symbiose parfaite. En parallèle nous suivions des cours divers pour palier à des pannes toujours possibles et chacun devait tout connaître du vaisseau et des navettes.
Les calculs affinés à la perfection et les navettes prêtes car il y en avait plusieurs réparties de façon à être aspirées par l'attraction de l'astéroîde. Nous faisions partie de ceux qui partaient de Gourou et installés à bord au moment ou les moteurs (si on peut appeler moteurs les gigantesques appareils fonctionnant par flux magnétique) donnèrent la première impulsion pour nous arracher à notre terre. La secousse a été à peine perceptible, sans aucune mesure avec les images des anciens décollages moteurs . Nous nous somme élevés progressivement et nous voyons doucement a terre s'éloigner jusqu'à ne plus deviner les visages puis le relief et la navette accélérant toujours nous perdîmes même de vue la terre. Par contre le halo de la comète a disparu en se rapprochant ,se transformant en un gigantesque caillou dont on faisait le tour comme une lune le fait pour la terre.
Assez près les une des autres les navettes tournaient autour de la comète. Nous allions vers l'immense inconnu. D'abord visible par les plus puissants télescopes électronique puis encore plus loin. Le contact était bon par la pensée avec ceux resté sur terre et nous filions, frôlant des satellites de planètes inconnues. Un court instant les analyses faites par les appareils nous donnaient les indications si elles étaient habitables ou pas.
L'excitation du voyage se ressentait de diverses façons et régulièrement nous nous mêlions de la plus agréable des façons. souvent réelles, parfois imaginaires mais partagées. Nous avions chacun des tâches de maintenance simples à effectuer et nous nous assurions du bon fonctionnement de tout. Je n'avais pas rencontré encore tout le monde et lors d'un de ces travaux j'ai senti un regard sur moi . Nous portions tous des combinaisons de latex moulantes mais le regard était si pénétrant dans mon dos que je me suis senti comme exploré de dos avant de voir derrière moi un blondinet dont la combinaison laissait voir la forme d'un sexe de belle taille. Nul doute, il voulait de moi sans savoir que j'aimais ça.
Le travail fini , je ne l'ai pas fui au contraire , passant la main sur son bel organe comme lui sur mes fesses.
Tu abordes toujours les gens en les détaillant comme ça?
Ben j'ai vu de nombreux films des années 80 et on devinait bien dans le regard de certains et certaines le viol attendu et même parfois espéré. Je regarde et quand ce que je vois me plais je dois avoir le regard de ceux là. C'est peut être déstabilisant mais ça marche souvent. Je pense qu'en imaginant le corps d'un homme nu ou d'une femme nue et moi allant dans ses orifices, n'est en aucun cas du viol mais du fantasme. Un viol occulaire qui parfois n'aboutit pas. Qui n'a pas déshabillé du regard un garçon ou une fille? Pour paraphaser un vieil acteur , ce n'est pas un viol seigneur, juste un bon regard.
On était installé dans une des cellules fermées et collé l'un à l'autre jusqu'à ce qu'on décide de retirer la combinaison moulante.
Tu as de superbes fesses!.
Et toi un organe de gorille sans poils. Impressionnant. Je ne doute pas de mes capacités mais je vais couiner de plaisir.
Tant mieux j'adore entendre un mec crier son plaisir.
Après une pipe royale qui m'a laisse les mâchoires endolories c'est à quatre pattes que je l'ai reçu , montrant mon trou comme la salope que j'étais parfois .Il a été doux mais j'ai bien senti la pénétration avant qu'il accélère et donne un rythme effréné de ses reins auquel je m'accordais du mieux que je pouvais . Je ne me suis pas entendu mais il a ri après de mon chant aigü en pleine jouissance. J'avais joui aussi de plaisir et comme on allait se retrouver plus tard sur la planète choisie on a été content d'avoir fait connaissance. Je n'ai su que son prénom, Paul.
Le temps passait sans que l'on s'en rende compte, des navettes se détachaient au fure et à mesure pour explorer des planètes habitables et qui feraient le relais par la pensée entre la terre et nous. Il n'allait bientôt rester que notre groupe de trois navettes dont celles de mes amis.
En 2050, l'idée était bien avancée et on commençait les expériences sur l'équipage. Le choix était ardu entre hommes et femmes, la quantité comme l'âge était important mais pas primordial. Il fallait que les choisis puissent se mettre en osmose avec des gens restés sur terre pour suivre leurs évolutions. Enfin il fallait une égalité parfaite entre jeunes et moins jeunes, femme et hommes. Le sexe n'était pas un critère puisque devenu de l'ordre du fantasme/réel.
La vaisseau était conçu pour trente personnes et cinquante ont été présélectionnés. J'ai eu l'honneur d'en faire partie. Nous serions des spectateurs mais aussi des acteurs de mondes inconnus mais formés d'humains moins parfait ou moins évolués.
Par un système d'hologramme fantastiques les décideurs pouvaient suivre nos fantames personnels . Aucunes inhinitions ne nous étant imposées depuis la renaissance nous étions une sorte d'animal pensant, raisonnant pour la communauté ce qui n'empèchait pas les amours au corps à corps sans la pensée même si elle y jouait un rôle.
Ainsi j'avais deux amis un garçon et une fllle qui me permettaient et souvent me rejoignaient dans les fantasmes en virtuels tout en faisant l'amour corporellement.Tout les deux fins imberbes au visage agréable. Lui avait de beaux tétons durs et aréoles sombres et larges, elle , avait de petits seins en poire, bien accrochée , se tendant vers le haut.
Moi, car il faut bien que je parle de moi, j'avais vingt cinq ans , bien entretenu et la mémoire génétique idéale pour eux. Ainsi alors que mon sexe était normal, ils le sentaient virtuellement plus large et long que le réel . Moi même j'ai eu cette expérience en position normale de femme de me sentir pénétré par une queue bien plus grosse que la réalité. En fait quand on est pas dans l'intérêt d'une personne rien de physique ne se passe. Par contre quand les deux sans se toucher s'accordent c'est le pied total. Je me suis fait sodomisé par un ancêtre (pour moi) de cinquante ans et je l'ai senti et aimé sans qu'il y ai lien entre nous deux. De même la chose s'est passée avec un gamin de 18 ans dont j'ai croisé le regard. Ce fut intense et court. Déshabillé du regard comme dans le temps les hommes pour les femmes. Même étant consentant c'était une sorte de viol de mon moi. Ce mot de viol avait un peu perdu de son sens car de l'ordre du fantasme inavoué bien souvent.
Après tout les tests d'adaptation à l'accélération pour le moment ou nous serions attirés dans l'orbite Des groupes de trente six étaient formés et comme tout se savait, mes amis étaient chacun dans un groupe différent car nous étions reliès plus facilement par la pensée.
Des études faites depuis les premiers sous marins et navettes avaient été faites pour étudier les phénomènes avec des jumeaux , des jeux de cartes à remettre en ordre et maintenant tout le monde pouvait pratiquement communiquer avec plus ou moins de facilité entre personnes. Avec mes amis tout trois placés dans différentes navettes nous avions fort bien fait l'amour à trois sans complexes sachant que nos cerveaux étaient analysés, avant, pendant et au retour. Nous étions en symbiose parfaite. En parallèle nous suivions des cours divers pour palier à des pannes toujours possibles et chacun devait tout connaître du vaisseau et des navettes.
Les calculs affinés à la perfection et les navettes prêtes car il y en avait plusieurs réparties de façon à être aspirées par l'attraction de l'astéroîde. Nous faisions partie de ceux qui partaient de Gourou et installés à bord au moment ou les moteurs (si on peut appeler moteurs les gigantesques appareils fonctionnant par flux magnétique) donnèrent la première impulsion pour nous arracher à notre terre. La secousse a été à peine perceptible, sans aucune mesure avec les images des anciens décollages moteurs . Nous nous somme élevés progressivement et nous voyons doucement a terre s'éloigner jusqu'à ne plus deviner les visages puis le relief et la navette accélérant toujours nous perdîmes même de vue la terre. Par contre le halo de la comète a disparu en se rapprochant ,se transformant en un gigantesque caillou dont on faisait le tour comme une lune le fait pour la terre.
Assez près les une des autres les navettes tournaient autour de la comète. Nous allions vers l'immense inconnu. D'abord visible par les plus puissants télescopes électronique puis encore plus loin. Le contact était bon par la pensée avec ceux resté sur terre et nous filions, frôlant des satellites de planètes inconnues. Un court instant les analyses faites par les appareils nous donnaient les indications si elles étaient habitables ou pas.
L'excitation du voyage se ressentait de diverses façons et régulièrement nous nous mêlions de la plus agréable des façons. souvent réelles, parfois imaginaires mais partagées. Nous avions chacun des tâches de maintenance simples à effectuer et nous nous assurions du bon fonctionnement de tout. Je n'avais pas rencontré encore tout le monde et lors d'un de ces travaux j'ai senti un regard sur moi . Nous portions tous des combinaisons de latex moulantes mais le regard était si pénétrant dans mon dos que je me suis senti comme exploré de dos avant de voir derrière moi un blondinet dont la combinaison laissait voir la forme d'un sexe de belle taille. Nul doute, il voulait de moi sans savoir que j'aimais ça.
Le travail fini , je ne l'ai pas fui au contraire , passant la main sur son bel organe comme lui sur mes fesses.
Tu abordes toujours les gens en les détaillant comme ça?
Ben j'ai vu de nombreux films des années 80 et on devinait bien dans le regard de certains et certaines le viol attendu et même parfois espéré. Je regarde et quand ce que je vois me plais je dois avoir le regard de ceux là. C'est peut être déstabilisant mais ça marche souvent. Je pense qu'en imaginant le corps d'un homme nu ou d'une femme nue et moi allant dans ses orifices, n'est en aucun cas du viol mais du fantasme. Un viol occulaire qui parfois n'aboutit pas. Qui n'a pas déshabillé du regard un garçon ou une fille? Pour paraphaser un vieil acteur , ce n'est pas un viol seigneur, juste un bon regard.
On était installé dans une des cellules fermées et collé l'un à l'autre jusqu'à ce qu'on décide de retirer la combinaison moulante.
Tu as de superbes fesses!.
Et toi un organe de gorille sans poils. Impressionnant. Je ne doute pas de mes capacités mais je vais couiner de plaisir.
Tant mieux j'adore entendre un mec crier son plaisir.
Après une pipe royale qui m'a laisse les mâchoires endolories c'est à quatre pattes que je l'ai reçu , montrant mon trou comme la salope que j'étais parfois .Il a été doux mais j'ai bien senti la pénétration avant qu'il accélère et donne un rythme effréné de ses reins auquel je m'accordais du mieux que je pouvais . Je ne me suis pas entendu mais il a ri après de mon chant aigü en pleine jouissance. J'avais joui aussi de plaisir et comme on allait se retrouver plus tard sur la planète choisie on a été content d'avoir fait connaissance. Je n'ai su que son prénom, Paul.
Le temps passait sans que l'on s'en rende compte, des navettes se détachaient au fure et à mesure pour explorer des planètes habitables et qui feraient le relais par la pensée entre la terre et nous. Il n'allait bientôt rester que notre groupe de trois navettes dont celles de mes amis.
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