Annie et les éboueurs - histoire érotique

Coucou c'est Annie .

Voici la dernière trouvaille de mon maître . Comme toujours je lui obéie . C'était mardi matin , mon mari était pas encore parti au travail et je devais exécuter les ordres de mon maître .

J'ai entendue un camion , c'était bien eux, les éboueurs . J' étais en nuisette ras la moule et transparente comme Benoît mon maître m'avait ordonné . J'ai enfilé rapidement des chaussures et ma veste sans la fermer pour suivre strictement les consignes . Quand le chauffeur m'a vu a côté de sa cabine je crois qu'il en revenait pas . Il voyait , mes seins mes cuisses ma chatte a travers la nuisette . Il a ouvert sa vitre et m'a dit : vous allez avoir froid ma petite dame ! J'était un peut honteuse de sortir comme ça pratiquement a poils . Des voisins regardaient par la fenêtre . C'est vrais que ma réputation dans le quartier est déjà faite .
J'ai dit au chauffeur avec mon sourire enjôleur . Venez avec vos collègues boire un café au chaud a la maison . Ils devaient pas comprendre pourquoi aujourd'hui je les invitaient .
Je suis rentré , il a garé le camion et ils sont venu tous les trois a la porte , je les ai installé dans la cuisine . Je servais le café perché sur mes talons en nuisette transparente . Les trois mecs me regardaient de haut en bas . Nue j'aurai été moins indécentes . Le chauffeur m'a attrapé par la main et avec force il m'a fait asseoir sur ses genoux . Il m'a dit , tu veux te faire sauter salope . J’étais toute rouge , incapable de répondre . Il m'a dit de retirer ma nuisette . J'ai obéi , il ma embrassé et tripoter . Les deux autres regardaient en buvant le café . Le chauffeur m'a dit qu'il n'avait pas le temps qu'il y a un traceur sur le camion et qu'ils sont surveiller . Ils ne peuvent pas rester trop longtemps . En s'adressant a moi comme la dernière des putain , Il m'a dit de lui faire une pipe vite fait .
Je suis descendu de ses genoux et je me suis accroupie devant lui . J'ai déballé sa grosse bite et après quelques coups de langue je l'ai introduite dans ma bouche . Les deux autres se sont approché , il me regardait sucer , ils m'ont touché les seins , le cul et se sont branler .

Ça a été très rapide , J'ai senti un éjacula sur un seins , puis l'autre s'est vidé dans ma gorge . Le troisième a attendue que je ressorte la bite de ma bouche pour me prendre par les cheveux et m’éjaculer en plein visage . Il a frotté sa bite contre mes cheveux pour finir .

Le chauffeur a dit merci , mais ont doit partir . Je les ai raccompagnés a la porte d'entrée le chauffeur m'a demandé mon numéro et m'a dit on va revenir te donner ce que tu veux salope, prépare ton cul je t'appelle .
Je suis réparti dans la cuisine j’était encore nue , perché sur mes hauts talons . Mon mari qui était resté caché m'attendait dans la cuisine la nuisette a la main . J'avais honte , j'ai baissé les yeux , mon homme a essuyer mon visage avec ma nuisette sans rien dire . Il a fait ça délicatement et il m'a pris dans ses bras . Il m'a dit , il t'en demande trop l'autre , tu devrais arrêter . J'ai fait un petit oui de la tête . Il m'a serré très forte dans ses bras , m’a dit je t'aime et m'a embrassé . Après il m'a culbutée sur la table et m'a embrocher . Il était déjà au bord de la jouissance car après quelques coups dans mon ventre il a lâché la sauce dans mon vagin . Il est resté une petite minute en moi et m'a dit je dois aller travailler . Il a essuyer son sexe avec ma nuisette puis il me la mise entre les cuisses comme une compresse , il m'a embrassé a dit je t'aime et est partie . Je suis restée plusieurs minutes sur la table . J'ai entendue mon téléphone faire un petit bruits . C'est un message . Je regarde , c'est Benoit : bonjours ma pute , alors ces éboueurs raconte moi salope ! J'écris un message pour expliquer a mon maître , mais vraiment , mon mari a raison , il m'en demande trop . Je reçois déjà un autre message pour le programme de la journée . Il veut encore que je baise avant de partir au travail . Je prends une douche , m'habille avec une minijupe sans culotte , tenue obligatoire malgré le froid . Un peut de maquillage , j'enfile mes bas , mes talons , mon manteau . Je me regarde dans le miroir . Ma jupe est vraiment très courte , mais bon , mon patron adore, mon maître l'exige, et mon mari bande . Je part au travail , dans la voiture je mets le chauffage a fond , j'écarte un peut les jambes , l'aire chaud me fait du bien entre les cuisses . Je pense a ce que je viens de faire , je me dit que je suis un vraie traînée .