ANNIE La renaissance d'une femme Chap I

Récit érotique écrit par Prospero [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 17 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Prospero ont reçu un total de 48 753 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 1 903 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
ANNIE La renaissance d'une femme Chap I
Le verdict est tombé Arielle ne peut pas se libérer et ne me rejoindra pas à Palma de Majorque. Cela me fout le moral à zéro son petit cul de gamine et ses deux petits seins que j’adore seront sur scène à Paris au lieu d’être dans mon lit à l’hôtel Casa d’el Mar. Me voilà solo, j’enrage je sais que sa carrière dépend de ses prestations sur scène. C’est bien fait pour moi taquiner les filles de 23 ans quand on en a 50 ce n’est pas raisonnable.
Mal luné je descends au bar de l’hôtel. Me voyant arriver seul Roberto fait un signe de dépit, il pensait me voir avec Arielle, il la connait pour l’avoir vu avec moi déjà plusieurs fois. Futé il me sert un Lagavullin il sait que c’est ce que j’aurais demandé. Et rare sont les amateurs qui mettent ce prix pour un scotch, mais celui-là c’est LE Wiskey à mon humble avis.
Peu de monde ce soir, il est vrai que mai ce n’est pas encore la grosse saison. Un coup d’œil circulaire sur la salle, là près du pilier sur un sofa, une femme avec de long cheveux un peu ondulés, semble absorbée dans la lecture d’un journal. Je ne vois pas vraiment son visage, mais j’ai vu ce décolleté de rêve, elle porte sans doute une robe du soir longue dans les tons pourpres et je vois un escarpin noir vernis qu’elle fait se balancer au bout de son pied, comme une sorte de tic ou de manie. Je me renseigne auprès de Roberto, il sait tout en général. Il ne connait pas cette femme, nouvelle cliente sans doute arrivée de la veille comme moi. Il se moque de moi et me dit
- Ah Monsieur cherche une remplaçante je vois avec un grand sourire entendu.
- Allons Roberto vous me connaissez mieux que ça !!
- Justement Monsieur justement.
Je lui glisse un pourboire comme toujours. Il est sympathique, discret et se mettrait en quatre pour vous contenter. S'il avait eu la moindre information sur cette femme j’aurais un cv complet. Mais là mystère. C’est un jeu de l’esprit à cet instant je sais que je serais seul alors je m’occupe. De ma place au bar je ne la vois pas bien. Je me déplace vers un des fauteuils qui lui font face de l’autre côté de l’allée. Je ne vais quand même pas aller me planter dans le fauteuil face à elle. De là-bas je serais bien placé pour observer cette poitrine qui me parait intéressante. Je n’ai pas de critères physiques particuliers en ce qui concerne les femmes mais parfois un détail m’interpelle. Là ces seins blancs et opulents qui tranchent sur le pourpre de sa robe m’ont sauté aux yeux. En passant je prends el païs pour me servir de paravent. Une vraie enquête à la Holmes. C’est trop ? Non retrouvez-vous abandonné loin de chez vous avec aucun but, aucune épaule, aucun petit cul à caresser vous ferez comme moi.
Une fois installé dans mon fauteuil je déplie mon journal, je ne suis pas très loin. Une femme qui doit être de mon âge environ. Cheveux mi longs un peu ondulés tête baissée elle lit nonchalamment un magazine, bien calée dans l’angle du sofa son escarpin toujours en équilibre au bout du pied. Je ne vois pas vraiment son visage. Par contre ce décolleté, un peu osé est magnifique, peau blanche, rondeurs harmonieuses, 90 95 de TdP a vue de nez. Un instant elle lève la tête dans ma direction, quelle chance. Mais naturellement elle n’a aucune idée de ma surveillance. Un visage doux, une bouche rouge mais un maquillage assez discret, pas de fautes de gout. Elle a l’air plutôt petite, j’aime bien les femmes de ce type, De nos jours les donzelles sont de ma taille pas loin de 1m80 musclée comme des déménageurs. C’est amusant un temps, je pense à Arielle ma danseuse que du muscle et du tonus. La douceur, ben ce n’est pas çà.
Mon inconnue me rappelle Marie femme de banquier, elle avait 57 ans j’en avais 19. Les 5 à 7 de folie que j’ai connue avec elle. Mélancolie, le temps passe. Si mon inconnue était aussi docile que Marie ce serait un rêve. Je suis comme çà une évocation un détail et je me projette le film. Jusqu'à ce moment j’étais mu par la curiosité et l’oisiveté forcée. Maintenant l’inconnue était devenue une cible. Certes présomptueux même si j’ai eu beaucoup de succès si toutes avaient cédé à mes avances ma liste virtuelle serait le quintuple de l’actuelle au moins. Mais je ne suis pas du genre à noter mes conquêtes.
Plus j’observe mon inconnue, plus je me sens l’envie de l’approcher. Faisant miens les mots de Danton le 2 septembre 1792 à l’Assemblée “de l’audace, de l’audace, toujours de l’audace”. Tourner autour du pot ne sert à rien.
Je fais un signe à Roberto qui vient me demander ce que je désire.
- Roberto, allez donc porter une coupe de Champagne à cette charmante dame et amenez moi un Lavagullin
- Un message sans doute Monsieur ?
- Dites-lui simplement que c’est moi qui lui offre
- Bien Monsieur, tout de suite.
Et mon barman préféré part comme une flèche.
Ma belle inconnue, oui elle est devenue belle, depuis que je l’observe j’analyse ses gestes, ses moindres mouvements. Certains ayant un effet adorable sur son décolleté dont j’avoue j’ai du mal à arrêter la contemplation. Des tas de questions, des tétons, rose, bruns, grand, petits, énormes ? Sensibles ou pas. Tout cela crée des différences incroyables dans les jeux amoureux, une femme aux tétons sensibles est en votre possession rapidement. Je sais ce que c’est ayant moi-même les tétons très sensibles, Le moindre effleurement et je me met à bander. Mes partenaires le savent très vite et aucune honte à çà je demande souvent qu’on s’occupe de ces petits bouts.
La avec une telle poitrine j’espère, une teinte foncée et de gros tétons. Mais ça bouge Roberto vient de déposer une coupe de Champagne et c’est un roublard il a même choisi un Champagne rosé, qui plait particulièrement aux femmes. Il lui indique qui est le commanditaire de ce rafraichissement impromptu. Elle regarde dans ma direction et fais un petit signe de la main et un grand sourire. Roberto vient vers moi avec mon scotch.
- La dame est surprise mais enchantée.
- Merci Roberto et bravo pour le rosé bien vu.
- Le métier Monsieur, le Métier. Oh merci Monsieur fait il empochant prestement mon petit billet.
Je me lève et nonchalamment je vais vers ma belle inconnue, elle me regarde arriver en trempant ses lèvres charnues au demeurant dans ce breuvage rose et pétillant. Je suis près d’elle, de ma hauteur la vue que j’ai sur ce décolleté est magnifique, je remarque que le tissu de sa robe est très tendu et dessine presque ses tétons. Elle est assez jolie, peut-être un peu plus âgée que je l’avais estimé si j’en juge par quelques cheveux blancs au milieu de sa chevelure châtain, qui prend des reflets presque roux sous cette lumière. Cela ne gâche rien et qu’elle ne les cache pas prouve qu’elle est bien dans sa peau et assume son âge quel qu’il soit. Et franchement je me moque de son âge. Avec une telle poitrine elle peut tout se permettre. Je focalise sur ses seins, pourquoi ? Aucune idée ce n’est habituellement pas mon style.
- Ainsi c’est vous qui offrez à boire aux inconnues ?
- En effet je me suis permis cette audace car vous aviez l’air esseulée et songeuse.
- Comment avez-vous su que j’adorais le champagne ?
- Simple réfléchissez parmi vos amies citez en une qui n’aime pas le champagne ?
- Hihihi fit elle, vous marquez un point en effet. Ne restez pas debout, venez vous asseoir, dit-elle en tapotant le sofa à côté d’elle.
- Volontiers, dis-je
- Vous faites erreur, je ne suis pas esseulée, je suis en vacance avec mon mari qui devrait être là d’ailleurs.
- Dans ce cas, je peux vous laisser, je ne voudrais pas... Commençais je
- Non restez, certes je ne suis pas seule mais ça ne veut pas dire que je m’amuse follement. Dit-elle en trempant ses lèvres dans sa coupe
- J’ai cru sentir ce petit désenchantement en effet
- Et vous en vacances aussi ?
Disant cela elle s'est inclinée vers moi, me mettant outrageusement son décolleté sous le nez. Parlant de nez son parfum c’est “J’adore de Dior” j’ai assez d’amies qui le porte pour le reconnaitre entre milles.
- En quelque sorte oui, pour quelques jours, on devait me rejoindre mais le travail s'est mis sur ma route et je suis seul abandonné. J’ai pensé que vous étiez dans le même cas, d’où cette coupe.
- J’apprécies, l’idée et le geste. Mon mari est adorable mais âgé il a 80 ans et je me demande s'il ne s'est pas endormi ou à oublier qu’on devait se retrouver.
- En effet différence d’âge pas facile à gérer. Ne me dites pas que vous avez 80 ans je ne vous croirais pas !!
- Je suis un peu plus jeune en effet mais pas tant que çà. J'.....
- Inutile de me dire et puis l’âge est dans la tête surtout. Et u peu dans les os quand les articulations vous rappellent à l’ordre.
- Vous paraissez en forme et j’ai du mal à vous donner un âge avec votre barbe toute blanche, mais vos cheveux sont encore assez bruns.
- Aucun mystère j’ai un tout petit peu plus de 50 ans et je suis assez sportif, le seul moyen de garder un peu la forme et d’éliminer çà dis-je en secouant mon verre.
Elle est charmante, sa voix est douce et agréable ses yeux noisette sont piquetés de reflets dorés du plus bel effet. J’imagine le rouge de sa bouche dans d’autres activités plus intimes que la dégustation d’une coupe. Je me connais, je suis dans le mode “il me la faut” Je suis souvent comme çà je bascule d’un coup dans le désir. C’est foutu ça ne me sortira pas de la tête. Je ne veux pas la brusquer ce n’est pas une femme qui couche inconsidérément. Bcbg bourgeoise, une femme mure mariée à un homme sans doute charmant et au train de vie agréable. Je pense qu’elle est heureuse, mais j’imagine aussi qu’a 80 ans le brave homme ne doit pas lui sauter dessus à la première occasion. J’imagine que cette femme à un retard immense de caresses à rattraper. J’ai remarqué son regard quand je me suis approché, une chatte avec une souris a croquer. Avec elle je veux bien faire la souris.
- Oh au fait je ne me suis pas présentée, Annie fit elle me tendant la main
- Gilles répondis je me levant, en me courbant pour baiser ces doigts
- Oh quelle classe, je n’ai pas souvent de telles salutations. Mais j’y prendrais vite gout ! Dit-elle en souriant.
- Tant mieux çà se perd et c’est bien dommage.
Annie me fascine, elle ne doit pas avoir 60 ans, elle a un joli minois, elle a quelques rondeurs mais une silhouette tout à fait enviable, une poitrine qui ferait damner plusieurs saints et non pas seins. Elle est mariée et avec son mari c’est moins pratique mais le brave homme vue son âge est sans doute plus une charge d’un mari. Je trouve cela désolant, cette femme a encore des années dont elle pourrait profiter mais elle semble être plus accompagnatrice et infirmière que femme. C’est admirable mais cette jolie femme au nom d’un amour sincère mais révolu ce prive de belles années, c’est injuste. Vous allez dire que c’est pour justifier mon désir que je lui trouve à l’avance des excuses mais admettez que c’est malheureux. Moi je suis d’un naturel parfois un peu brutal et carré. Mais si je sens un jour que je vais devenir une charge nul doute que le revolver dans le tiroir de mon bureau sera ma solution.
- Je vais aller voir ce que mon mari a bien pu faire pour m’oublier.
- Non accompagnez moi je vais vous le présenter s'il ne s'est pas endormi ce que je crains. Si c’est la cas j’aurais l’occasion de vous payer un verre et de bavarder un peu, car nous allons avoir du temps libre dans ce cas
- Je vous accompagne alors Dis-je
De bon augure, elle ne tient pas à se débarrasser de moi rapidement c’est encourageant. Nous entrons dans l’ascenseur, il démarre un peu brusquement Annie se trouve déséquilibrée et se heurte à moi. Je la retiens par les bras, face à moi mon menton à la hauteur de son front.
- Ooops Pardon, vous allez penser que je vous saute dessus dit-elle en riant
- Je serais bien mal venu de me plaindre vous ne trouvez pas ? Une jolie femme me bouscule c’est un peu ridicule comme plainte non ?
Elle me sourit avec un regard appuyé et se rapprochant de moi et parlant doucement
- Je suis certaine que vous n’êtes pas de ceux qui porterait plainte vous êtes assez grand pour vous défendre
L’ascenseur arrive à l’étage, elle est vive, pas vraiment nonchalante comme je le suis. Elle se dirige sans hésiter vers sa chambre, sors le badge et ouvre la porte. La lumière est allumée, personne dans le salon j’entre et reste près de la porte. Annie passe dans la chambre et revient presque aussitôt.
- Le mystère est résolu, Monsieur dort, il a oublié qu’on devait diner, il s'est couché. L’avion le voyage à son âge c’est fatiguant.
- Enfin le principal, votre mari est là, bien tranquillement endormi aucune inquiétude. Redescendons
- Non, restez tenez moi compagnie, je préfère n’être pas loin s'il se réveillait. Je vais faire monter de quoi se rafraichir et grignoter.
- Laissez moi faire Annie je demande à Roberto de nous faire monter quelque chose des préférences ?
- Non, n’importe quoi.
Je passe les consignes au barman, qui m’annonce que dans 20 minutes ce sera livré.
- Voilà c’est fait dis-je
- Merci, vraiment.
Annie semble abattue d’un seul coup. Assise sur le canapé la tête en arrière appuyée sur le haut du dossier les yeux au plafond mis clos. La pauvre vient d’en prendre un coup, elle attendait son mari qui l’a simplement occulté et est allé au lit sans se poser de question. Ce n’est pas réjouissant pour la suite. Je m’assieds à côté d’elle sur le canapé, ce simple fait, la sort de cette torpeur.
- Oh pardon, Gilles excusez moi, cela devient difficile et de plus en plus fréquent. J’ai du mal à m’habituer et je sais que ce sera pire au fil du temps.
Ses yeux sont noyés, elle retient ses larmes, elle essaye mais c’est impossible, une grosse larme coule sur sa joue, je l’efface avec mon pouce et lui tend la pochette que j’avais dans ma veste.
Elle prend ma main droite entre les siennes et me serre très fort.
- Tu es tellement gentil Gilles dit-elle en reniflant.
- Ce n’est rien Annie essayez de vous détendre.
- Merci, tu a raison, tutoyons nous
- Je reste là on va grignoter un morceau, boire un verre. Je ne t’abandonne pas.
Je me fais un peu l’effet d’un pourri, je suis en train de profiter de son désarroi pour la séduire. Pourri et saint Bernard à la fois. Je suis coutumier du fait pour le Saint Bernard, mais le pourri comme çà c’est nouveau ? Je suis tenté de trouver un biais mais je ne peux pas. Assise comme elle est son décolleté en V fais quelques plis et me dévoile les globes laiteux qui s’agitent à chaque mouvement. Elle a surpris mon regard j’en suis certain. Mais elle ne dit rien au contraire elle se presse contre mon épaule. Et là son sein droit glisse doucement vers la gauche e dévoilant la naissance d’une aréole brune grande comme une soucoupe, si j’imagine ce que je ne vois pas.
- Je suis désolée de te mettre dans cette situation, laisse moi donc, tu devrais profiter de ton temps autrement. Dit Annie
Je pris son menton, la fit me regarder en face, ses yeux noisette piquetés de doré étaient flous et embuée de larmes, mais toujours jolis. Je remarquais ses cils naturels si longs et réguliers qui lui donnaient ce regard tendre.
- Annie, je suis là où je veux être. Le hasard, la chance ou le destin je suis certain que tu as besoin de moi alors je ne vais pas me sauver.
Elle hoche la tête et serre ma main dans les siennes. Je lâche son menton caresse sa joue , elle tourne la tête et met un baiser sur mes doigts avant de me regarder droit dans les yeux et de me dire
- Merci, Gilles
A ce moment on sone, service d’étage une charmante gamine pousse son chariot dans la pièce
- Mr Roberto le Barman a ajouté un scotch pour vous monsieur
-Merci dites lui de ma part que je le remercie
Sur la desserte, une bouteille de champagne Un Cristal Rosé Louis Roederer, deux flutes. Tout un assortiment de petits fours salés et de toast et la dédicace de Roberto un Lavagullin que je laisse de côté pour le moment. J’ouvre le champagne et verse une flute pour Annie et une autre pour moi.
- Quel coup de main Gilles, aurait tu été barman un jour ? Vu comment tu ouvres et sers le champagne.
- Non jamais je ne suis que Champenois de naissance et c’est pour çà que nous avons des flutes et non des coupes. La vraie flute champenoise est serrée en haut pour éviter que le gaz ne s’évanouisse trop vite.
- Bravo tu sais plein de choses, tu as l’air très cultivé dit Annie avec un pâle sourire
- Cultivé ? Un peu mais surtout curieux et pour le champagne surtout champenois, baptisé au champagne, vielle tradition de ma région, on met un doigt dans la coupe et on en met sur les lèvres du bébé.
- Tu plaisantes ? De l’alcool a un bébé ?
- Non non c’est véridique En général le bébé fait la grimace rien de plus.
Je donne sa flute à Annie m’assieds près d’elle sur le canapé sa robe fendue sur le côté à glisser et le pan resté entre ses pieds dévoile le haut de sa cuisse, le haut de son bas fumé et merveille une couture et oh merveille l’attache du porte jarretelle. Je dois dire que ses jambes sont jolies une cuisse potelée mais sans excès. La vision de cette jambe offerte a mes yeux est suffisante pour me donner des idées.
- Oh fait Annie voyant qu’elle me dévoile toute sa jambe et sa cuisse.
Elle pose la main sur l’ourlet et le relâche
- Tu ne vas pas en perdre la vue, tu en a vue d’autres et sans doute plus jolies des jambes.
- Non je n’en perdrais pas la vue et si tu la cache maintenant je perdrais un agréable spectacle.
- Tu es un flatteur et un dragueur je crois sois honnête Dit Annie en me fixant et humectant ses lèvres en passant sa langue dessus d’une façon sensuelle.
Sa façon de lécher ses lèvres est-elle machinale ou est-ce tout à fait conscient ?
- Oui un peu c’est vrai, pourquoi cette question ?
- Je me demande si je t’attire vraiment ou si tu te dis celle-là ou une autre...dit Annie. Tu attendais une gamine de 23 ans et tu drague une femme de 60 ans ? C’est étrange...
Fine mouche elle avait joué le jeu mais n’étais pas dupe, je préférais çà au fond si elle m’avait laissé arriver là c’est qu’elle était aussi sensible à ma présence, je ne me jetterais pas de fleurs en parlant de charme
- J’ai commencé par tromper ma déception c’est vrai, mais je t’ai observée, j’ai vu ce que tu vis, j’ai compris ce que ta vie t’empêche d’avoir. Ton mari a été et est un excellent mari, je suis certain que tes sentiments sont toujours là pour lui. Si ce n’étais pas le cas tu serais redescendue avec moi. Tu as préféré rester au cas où il aurait besoin de toi. Cela me va très bien la preuve je suis là. Tu veux savoir si j’ai des intentions ? Oui bien sûr c’est évident.
Anne me regardait avec attention et je sentais que j’apportais les réponses attendues, mais elle digérait l’information, elle avait raison en un sens de se “méfier” car oui au départ j’avais bien dans la tête de trouver un peu de tendresse pour la nuit, rien de plus. Mais entre –temps j’avais vu la vérité, les choses toutes simples de la vie courante dans laquelle elle se débattait, son sentiment de temps qui fuit comme le sable entre les doigts, se dire qu’elle avait encore des désirs, des envies, des pulsions qu’elle devait faire taire pour devenir non plus une femme mais une garde malade une infirmière dévouée, une accompagnatrice. Je ne savais pas quelle était sa relation intime entre elle et son mari mais je ne me trompais sans doute pas en pensant que c’était limité et sans doute épisodique. Quand on la regarde on peut facilement penser qu’elle a 10 ans de moins, mon âge simplement. Donc la voir avec un homme de 80 ans on comprend rapidement le problème. Tout comme moi et Arielle une gamine avec un vieux con c’est un peu le sentiment des gens. Mais je ne l’empêche pas de vivre la gamine et elle vit bien croyez-moi.
- Au moins tu es direct, et clair dit elle
- La moindre des choses si on s’intéresse à quelqu'un
- Je t’intéresse vraiment alors ?
- Tu veux un procès-verbal, que je l’écrive ?
- Non, mais j’ai du mal à penser que je puisse t’intéresser dit Annie
- Et pourquoi ne pas admettre que tu es toujours une très jolie femme que l’on peut avoir envie de mieux connaitre. Si tu n’avais pas su que celle qui me pose un lapin a 23 ans tu aurais été plus rassurée non ?
- Oui sans doute.
- Je l’ai eu au téléphone elle ne pouvait pas se libérer pour son job, sa carrière c’était important, c’est ce qu’elle m’a dit, peut-être qu’elle ne me rappellera pas ce ne serait pas une première pour moi, je n’en suis pas satisfait. Enfin je mens là, ça m’arrange car je suis là avec toi, si tu le veux, sinon je peux prendre congé là ça me ferait mal, oui déjà je suis comme çà. Impulsif
Annie prend ma main, elle a encore une fois les yeux embués, décidément la pauvre ce sont les montagnes russes. Elle la serre entre les siennes. Elle tremble, et sa respiration est rapide, il suffit de voir les deux jumeaux se soulever rapidement dans son décolleté. Oh je ne suis pas non plus décontracté, ce qui avait commencé comme une boutade deviens trop sérieux pour prendre çà à la légère.
Là une pensée me heurte, on est en vacances en plein milieu de la Méditerranée le reste du temps où habites Annie ? Moi je suis Parisien, elle ? Mais bon c’est un détail au fond.
- Gilles, je suis désolée. C’est tellement soudain tout ça et je ne suis plus habituée à ce genre d’intérêt.
- Je comprends, une question idiote, moi je suis parisien habituellement et toi?
- Parisienne aussi.
- Ouf voilà une bonne nouvelle. Dis-je
Annie n’a pas lâché ma main, elle la soulève et dépose un baiser sur le dos de cette main. J’ai du mal à décrire la sensation de ses lèvres douces sur ma peau. Mais elle a mis le feu cette fois et je ne peux en rester là. Je me penche vers elle, ses yeux pourtant encore un peu humides brillent d’un nouvel éclat. Sa lèvre inférieure tremble visiblement l’émotion est intense, ses seins montent et descendent à une cadence plus élevée encore. Oui je sais, mes yeux ont du mal à oublier cette poitrine affolante.
Lentement j’approche ma bouche de ses lèvres, elle lâche ma main et m’enlace, je fais de même passant ma main derrière sa nuque je l’attire a moi. Elle entrouvre ses jolies lèvres. Un long baiser très fougueux, Annie est vraiment de plus en plus émue, je la sens trembler de partout. Mais elle devient au fil des secondes, plus “vorace”, comme si elle rattrapait le temps perdu sur l’espace d’un baiser.
Nous avons de cesser se baiser, non pas par la volonté de l’un ou l’autre mais poussés par le besoin de respirer. Annie semblait à la fois heureuse et meurtrie à la fois.
- Ça va ? Demandais-je
- Oui et non. Oui car il y avait si longtemps qu’on ne m’avait pas embrassée comme ça, c’était merveilleux, merci Gilles. Et non car mon mari est là à côté et je suis en train de le tromper. Je me dégoute. Dit-elle avant de se mettre a pleurer dans ses mains.
Je passais mon bras autour de ses épaules et la serrait contre moi, elle enfouit son visage dans le creux de mon épaule et se mit à sangloter. Déjà elle ne m’avait pas repoussé, j’avais hésité avant de la reprendre dans mes bras, et elle venait de se jeter sur moi. Je comprenais bien sa réaction, pas facile en effet de se décontracter quand son mari est là à quelques mètres. Je ne peux lui en vouloir. D’un autre côté c’est à elle qu’elle fait du mal.
- Laisse toi aller chérie, je comprends ta réaction dis-je
- C’est vrai ? Tu ne penses pas que je suis trop facilement tombée dans tes bras, en plus avec mon mari à côté ?
- Pourquoi tu essayes de te punir et de t’empêcher de vivre ? Chérie
- Ça fait deux fois que tu m’appelle chérie, Pourquoi ? C'est si sérieux ?
- Tu as l’impression que je ne suis pas sérieux ? Tu veux que je t’appelle comment ? Madame Annie ? Excuse moi mais ça fait un peu tenancière de maison non ?
- Elle esquisse un sourire sur cette dernière réplique.
- Non, je ne suis plus habituée à ces mots. Dit-elle baissant les yeux
- Si je t’appelle chérie c’est que çà sort tout seul, je ne sais pas quoi dire d’autre, Annie çà ne transcris pas ce que je ressens voilà. Dis-je
- Si tu veux, comprend moi oui je t’ai embrassé j’en avais envie, j’ai senti que toi aussi tu en mourrais d’envie depuis un moment je crois. Je ne le regrette pas, mais après ça ne change rien. Je suis là mon mari à côté et toi là. On fait quoi ?
- Tu peux faire ce que TOI tu veux Annie ma chérie, c’est une question de décision. Donne-toi le courage de vivre, accepter tes besoins, tes désirs ce n’est pas trahir le reste. C’est juste donner une chance à celle que tu es vraiment de vivre de respirer. Je demande simplement que tu acceptes ce qui arrive. Je n’ai pas l’intention de t’épouser, je tiens juste à te faire vivre et respirer en ma compagnie.
- Et mon mari dans tout ça ?
- Tu crois qu’il sait encore ou tu es ce que tu fais, tu crois qu’il se rend compte qu’il se soucie de çà ? C’est dégueulasse de dire çà je sais mais c’est la vérité, et tu le sais toi aussi, mais tu crains d’être mal jugée, de mal faire. Pense a toi chérie pas aux autres. Et ne crois pas que je dise çà car cela m’arrange. Mais maintenant il faudra te décider, moi c’est fait, même avant que l’on s’embrasse. Et maintenant que je t’ai embrassé je ne vais pas l’oublier en claquant dans mes doigts
Annie, ne réponds, pas elle semble bloquée, je crains d’avoir été un peu trop dur, trop vite. Je suis malade de la voir passer à côté d’une chance de changer sa vie un petit peu. Je suis persuadé qu’en peu de temps elle aura repris goût à la vie, même en continuant de choyer son mari, rien de plus normal. Mais elle ne doit pas se sacrifier pour surtout le regard des autres et ce que l’on pourrait en dire.
Je m’étonne moi-même de l’importance qu’elle a prise pour moi en quelques heures à peine. Ebfin a moitié étonné, ce n’est pas la première fois que je m’emballe aussi vite. Qu’a telle de plus ? Sans doute un âge plus conforme au mien. C’est vrai j’ai depuis pas mal de temps collectionné les gamines, et les gamins autour de la vingtaine. Mais il y a aussi un décalage dans nos façons de voir la vie. Alors que là Annie à certainement une vision plus conforme à la mienne. Et puis flute sois réaliste, tu as surtout très envie d’elle, elle te plait, elle est jolie, sexy que demander de plus.
Une caresse sur ma nuque me sort de mes pensées, il n’y a pas qu’elle qui est restée bloqué. Je la regarde, elle me sourit, quel joli sourire, ses yeux sont éclaircis.
- Embrasse moi, tu as raison, j’ai tort d’avoir honte je vais penser a moi, Gilles Embrasse moi
- Tout ce que tu veux chérie
Et cette fois ni elle ni moi n’avons la moindre hésitation. Je dirais même que c’est Annie qui m’embrasse avec une fougue peu commune. Ses mains sont sous ma veste et m’étreignent me caressent. N’y tenant plus je glisse ma main dans ce décolleté trop attirant. Désolé, je ne pouvais pas résister. La peau chaude, souple et douce m’accueille avec moelleux. Se sein ne tient pas dans ma main, sous ma paume je sens le téton dressé et dur. Je l’ai a peine effleurer qu’Annie vibre et que le baiser devient furieux. La main droite d’Annie glisse sur mon flanc, et se dirige vers la bosse qui est née sous mon pantalon, ce second baiser me fait partir au quart de tour. C’est mon tour de sursauter, de vibrer quand sa main glisse sur ma verge, je la sens un peu hésitante, puis elle trouve le courage de fermer ses doigts sur mon sexe, pire et le mesure son désir, elle commence à me branler. Ce qui ne fait que renforcer mon érection. Sous ma main les tétons durcissent et se dressent, je sens la différence de taille de façon incroyable. Lentement Annie se laisse glisser sur le dos sur ce canapé. Son soutien-gorge a une agrafe devant, je la fais souter libérant ses gros seins. A bout e souffle elle rompt le baiser.
Sa main gauche caresse ma joue, la droite est toujours autour de mon membre qui est gonflé comme jamais.
- Oh chéri, que c’est bon, c’est bon ta main sur mes seins, ton sexe si dur entre mes doigts.
- Tu es belle, tu es douce, j’ai tellement envie de toi. Ma belle chérie Dis-je
- Oh Gilles fais moi l’amour je t’en supplies, je n’y tiens plus Dit Annie Je veux te voir nu.
Pas besoin de long discours, en un claquement de doigts je suis nu et sans chaussettes. Je l’ai pourtant vu souvent dans des parties, des soirées ou en boite les mecs nus avec leurs chaussettes rien de pire comme look. Même moi qui aime les mecs certains beaux mecs que j’ai croisé dans cet appareil je n’ai pas pu... Alors faire cet affront à ma belle conquête non. Elle avait de son côté bien avancé son effeuillage, la voilà nue sur ce canapé, offerte. Annie est vraiment une belle femme, quelques rondeurs mais si bien placées que ce n’est qu’enchantement de l’œil, elle me fait penser aux tableaux de François Boucher mon dieu ces seins.
Elle est de nouveau allongée sur le canapé. Elle ne porte que sont porte jarretelles, ses bas et ses escarpins dont les talons assez hauts effacent sa petite taille, son sexe à une jolie toison taillée relativement rase, qui souligne un sexe aux petites lèvres épaisses et longues, qui ont du mal à cacher la nacre rosée de l’intérieur de ce minou. Et il est évident qu’une certaine humidité règne dans ce secteur. Ses jambes sont jolies de belles cuisses musclées et un mollet impeccablement galbé de petits pieds migons
- Annie, tu es vraiment très belle, ma chérie, tes seins sont magnifiques et tes petits bouts, enfin petits c’est un mensonge ils sont sensibles je l’ai senti tout de suite. Tu es vraiment merveilleuse.
- Ce que je vois, et que j’ai touché est vraiment ce dont je rêvais, un homme, un vrai, tu es beau tu sais, regarde-toi musclé tes cheveux blancs ta barbe, ton torse un peu velu. J’ai de la chance, mais ton sexe est magnifique et je j’ai vu se dresser quand tu me regardais
- C’est pour toi que je bande comme çà chérie, Dis-je
Annie tendit sa main et me dit ;
- Viens me faire l’amour chéri j’en meurs d’envie depuis que tu t’es approché de moi dans le salon.
Je m’allonge sur elle, nos peaux se touchent nous frissonnons tous les deux. Je caresse son front, ses joues, son cou, mes mains glissent autour des orbes de ses gros seins, elle a des frissons,
- Oh chéri tes mains, elles son douces, regarde je tremble, je remonte vers les aréoles brunes et granuleuses, Annie se mord les lèvres pour ne pas gémir. Et tu bandes toujours autant, quel mâle. Je ne croyais plus que çà existait.
Je ne peux résister, ma lanque sur ses tétons, la large aréole le téton épais et sensible. J’ai à peine posé ma langue qu’elle frissonne rejette sa tête en arrière.
- Chéri, viens prends moi j’ai envie de te sentir en moi.
- Impatiente ?
- Cela fait si longtemps, Viens vite Gilles, regarde je suis toute mouillée déjà.
Pour me le prouver elle écarte largement les lèvres de sa chatte et elle est en effet trempée, attendre est un supplice de tantale. En temps normal je n’aurais pas cédé, j’aurais fait durer les préliminaires, ma belle en aura mais là je dois la satisfaire
- Viens, viens vite mon chéri je te veux vite.
Un baiser sur la bouche, je suis entre ses cuisses, mon sexe est à l’orée de sa chatte trempée. Je commence à la pénétrer et là elle se met a gémir, râler alors que je me fonds en elle. Son sexe est bouillant agité de petits spasmes qui massent ma queue. J’ai l’impression de glisser and une soie, humide et très chaude.
- Ohhhhhhhhh ouiiiiiiii c’est bon ta queue est grosse. Viens plus profond
- Oh ma chérie, tu es bouillante, et si douce,
Ma bouche se pose sur la sienne, ma langue suit le contour de ses lèvres. Les yeux mi-clos, ses mains agrippent mes avant-bras et ses ongles me labourent la peau
J’ai cru in instant qu’elle allait jouir et en fart j’étais tout aussi excité et si je n’avais pas eu le contrôle que j’ai, j’aurais joui moi aussi.
Chaque coup de reins lui tire un gémissement de plaisir. Elle a croisé ses jambes sur mes reins et donne la cadence. Quelle femme, elle se donne totalement, Je pose mes mains sur ses seins qui ballottent devant mon nez, Malgré leur taille ils sont fermes, ils descendent un peu quand elle est debout mais ils sont magnifiques. Avec le pouce et l’index de chaque main je pince doucement ses gros tétons J’ai a peine fait çà qu’elle pousse un cri de plaisir.
- Ohh oui chéri, mes tétons, pince les, pinces les , tourne fort oh ouiii
En même temps son sexe c’est brusquement serré sur ma queue et maintenant que je triture ses bouts de seins son vagin semble macher ma queue. J’ai rarement ressenti çà. Elle adore se faire travailler les seins, ma petite Annie crois moi je vais m’en occuper.
Elle a un regard extatique, elle exulte, un peu de salive coule au coin de ses lèvres. Sans doute vu la sensibilité de ses tétons arrive t elle a jouir par cette seule caresse. Ce n’est pas un fantasme même les hommes en sont capables, j’en suis capable c’est long 20 30 minutes de travail intensif et musclé me mène à une éjaculation qui me foudroie en général. Pour l’instant c’est ma nouvelle partenaire qui va jouir ainsi.
Annie caresse mon torse, ma poitrine et ses doigts s’accrochent à mes tétons. Elle fait les mêmes gestes que moi et je commence à sérieusement manifester mon plaisir.
- Oh toi aussi chéri continue continue je m‘occupe de toi. Dit Annie les yeux brillants.
Il commence à faire chaud et sa peau commence à briller sous la lumière rasante, moi aussi je suis en sueur.
Annie me triture les tétons avec passion, elle sait ce qui est bon, pour elle et pour moi. J’adore ce qu’elle me fait et elle adore que je lui rende la pareille. La température est montée en flèche. Je sens son vagin malaxer mon sexe par d’intenses convulsions.
- Ohhhh oui n’arrêtes pas chéri, oh mes petits bouts C’est bon. Oh je vais te dévorer Gilles
Disant cela elle bouge avec une souplesse surprenante, elle cesse de me triturer les tétons, agenouillée face à moi qui suis dans la même position.
- Tu es beau, tu sais, tes muscles sont si bien marqués, j’ai de la chance d’avoir un tel amant, je veux te manger dit-elle avec un regard de panthère.
Elle m’embrasse goulument en me poussant sur le dos avec ses mains sur ma poitrine qui se mettent à caresser ma peau avec douceur, elle me donne des frissons, ma queue dressée deviens son point de mire. Ses yeux semble me dire je fais de toi ce que je veux. Elle a raison, elle m'hypnotise, ses mouvements sont fluides gracieux, pas du tout ceux qu’on attendrait de la part d’une belle ferme BCBG. Elle serait plutôt une prêtresse du sexe venant d’une civilisation exotique.
Annie est surprenante, et de minutes en minutes je me sens en parfaite harmonie avec elle, je crois qu’elle est en train de se libérer, elle renait à l’amour, au sexe. Magnifique papillon sortant de sa chrysalide avec un instinct de prédateur. Sa bouche est sur mes tétons qui sont assez gros je dois avouer, a force d’avoir été utilisés, certaines femmes ont des tétons plus petits que les miens souvenir de ma période “homo” ou plusieurs de mes partenaires réguliers adoraient me faire des injections de sérum phy, pour justement me faire gonfler les tétons et il en reste pas mal de ces augmentations temporaires. Ses lèvres sont divines, elle mord et suce mes bouts de chair sensibles. Elle me fait trembler ma nouvelle salope, J’espère qu’elle appréciera ces mots doux. J’espère aussi qu’elle sera un peu soumise. Déjà à ce moment j’ai en tête la suite avec elle. Je vais lui faire découvrir le stupre et la fornication intense que j’adore. Je la sens tout à fait demandeuse de ces expériences,
Sa bouche descend vertigineuse ment vite vers mon sexe dur. Son regard est éloquent, elle enserre ma queue de sa main droite puis la gauche vient se poser au-dessus. Mon gland dépassé ses deux mains.
- Ouahhh chéri, quelle queue !! Je n’avais pas l’impression que c'était si grand, et tu est dur c’est fou. Je n’ai pas connu plus grand que toi. J’ai envie de te mettre dans ma bouche. Tu aimes ??
- Oui chérie suces moi je t’en prie,
- Peut-être dit-elle, si t est gentil. Son regard intense et espiègle à cet instant d’amuse du pouvoir qu’elle a sur moi.
- Annie si tu savais quel plaisir j’ai d’être entre tes mains, attendant ton bon vouloir, peut être aimera tu me dominer.
Sans me quitter des yeux sa bouche approche de mn gland, lentement, elle guette mes expressions. Sa langue passe toute rose et pointue, elle lèche et l’enfonce un peu dans le méat. La salope, sait y faire. Je frissonne et ma queue tressaute dans ses mains.
- Gilles mon chéri, je crois que tu aimerais que je te suce. Demande-le-moi mon ange
- Annie chérie, suce-moi s’il te plait j’en crève d’envie.
- Sois patient je vais présenter les jumeaux à la belle queue que voilà.
Disant cela elle lâche mon sexe et soutenant ses deux seins avec ses mains elle enserre ma queue entre ses deux gros seins. Ma queue parait petite entre ses globes si doux. Elle presse ses seins autour de mon sexe et commence à me branler lentement. Ce ne sont pas toutes les femmes qui peuvent faire çà et encore moins l’ose. Elle doit sentir que je tremble de plaisir, et je vois sa lèvre qui frémis aussi d’excitation.
Annie laisse ses seins venir se frotter sur mes cuisses. Da bouche happe mon gland et elle commence à m’avaler le dard.
- Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii tes lèvres !!! Putain c’est si bon!!!
- Oh oui tu aimes çà ... Cochon. Tu aimes quand tu es dans ma bouche...
- Ohh oui Annie encore s’il te plait.
Quand elle a dit “cochon” elle a hésité, elle devait penser à autre chose mais n’a pas osé, Moi non plus je n’ose pas utiliser certains mots par peur de la choquer. Mais ça viendra.
Sa bouche est un velours, chaud et humide, elle m’aspire également. J’adore elle mais énormément de salive sur ma queue Quand elle me laisse échapper, de longs fils de bave restent ente ces lèvres et mon gland.
Elle me suce un moment, avec ferveur, je sais que si je la laisse continuer je vais cracher, mais je veux savourer sa chatte maintenant.
Cette fois a mon tour de faire de la gym, je me remets a genoux, elle fait de même sans que nous échangions une parole, elle se doute de mon intention, Alors que nous sommes a genoux sur ce pauvre canapé qui va être bien fatigué. J’embrasse Annie, avec un appétit renouvelé, les alarmes sonnent a mes oreilles, je sens que je glisse vers une implication plus grande que prévue. Je ne lutte même pas je laisse les choses arriver. On verra quand je vais le lui dire.
Elle me laisse la basculer sur le dos tout en suçant sa langue qu’elle m’offre. Ses deux magnifiques seins servent de coussins à ma tête, je plonge un instant la tête entre les deux savoureux globes. Annie a bien raison d’être fière de cette poitrine. J’ai vue beaucoup de femmes avec des belles poitrines mais Annie tient une place de choix dans ce panthéon. Je vais saluer les adorables tétons, bien dressés et granuleux ils durcissent sous ma langue tandis que ma belle gémis de plaisir. Elle ne cesse de me regarder, avec une intensité incroyable. Je crains qu’elle me prenne pour une sorte de dieu éros incarné, je ne suis qu’un homme qui lui redonne le gout des amours. C’est agréable d’être ainsi désiré mais quand elle ouvrira les yeux et me verra comme je suis, je crains sa déception. Je glisse sur sa peau douce et parfumée, petit coup de langue au nombril et descente vers l'épicentre de son plaisir.
Annie est gémissante, elle me caresse la tête, ses cuisses s’ouvrent largement, elle m’accueille dans son temple. Me voici en adoration devant un sexe magnifique, son clitoris est bien plus gros que la normale ses lèvres épaisses et longues sont ourlées, granuleuses et la coloration un peu brune tranche avec le rose nacré et emperlé de mouille que je vois sous mon nez, ma chérie est totalement trempée en fait les petites lèvres sont luisantes l’intérieur, son vagin est ouvert, sous le clito, ce petit monte rose percé du méat est palpitant, Certaines femme n’aimes pas que j’aille taquiner ce petit trou, d’autres adorent je vais savoir sous peu si Annie aime ou pas. Par instant le vagin, s’ouvre tant que je peux apercevoir son utérus, comme le méat plusieurs écoles, certaines apprécient que l’on joue avec d’autres non, certaines aiment qu'il soit pénétré. Je n’ai pas encore posé ma langue, mon nez lui hume les senteurs, je n’ai jamais trouvé deux sexes de femme ayant même odeur et même gout, disons tout de suite, je n’ai pas souvent rencontré de sexe dont l’odeur ou le goût fu désagréable. Et quand ce fut le cas c’était à cause d’un souci médical.
J'adore son odeur épicée, pimentée je dirais, tout son sexe palpite, elle attend un attouchement elle s’impatiente, car elle s’ouvre comme une fleur. Et dans cette fleur un nectar transparent afflue, il devient laiteux. Pour l’heure, le prend les lèvres dans a bouche, les aspire et les suce. Puis ma langue plonge dans le sexe, je lappe son petit lait, qui n’arrête pas d’affluer. Je taquine le méat de la pointe de la langue Annie gémis se tord de plaisir mais ne m’arrêtes pas. Je le sollicite tellement que quelques gouttes me récompensent. Peut-être est-elle fontaine. Si c’est le cas je vais adorer ce sexe. Je l’adore déjà.
- Oh oui chéri ta langue !!! C'est bon... Continue
Avant de m’attaquer a son bouton j’ai une pensée pour le cyclope qui sagement attend son tour, petit lappage en descendant, elle est de plus en plus trempée.
Voilà le coquin tout plissé mais agité, il baille un peu je passe ma langue sur l’anus, je pousse ma langue le pénètre légèrement sans forcer, il aura sans doute de la visite et il semble coopératif.
- Oh oui là j’aime chéri, encore dit Annie
Encore un coup de langue ou deux. Et je reviens vers son gros clitoris. Ma langue passe par le méat, je lécher les bords du capuchon. Avec mes pouces je repousse les lévres en arrière sur le mont de vénus. Son clitoris apparait dans toute sa splendeur, gros et gras, Annie à un bouton magnifique et d’une taille peu commune j’en ai certes vu des plus gros mais augmentés de façon artificielle. Là c’est la nature qui lui a donné cette petite bite. Chaque attouchement la fait crier de plaisir. Quand je pose mes lèvres et que je l’aspire Annie parait défaillir
- Doucement, doucement oh c’est fort mais continue.
Je sais ce que ça donne, quand on me suce le gland ; que j’ai déjà éjaculé, je pense que c’est pareil pour Annie je vais doucement, mais n’arrêtes pas ses hanches roulent sans cesse, elle me lance son pubis en plein visage comme si elle espérait que j’enfile ma tête dans son sexe.
- Ouiiiii oh ouiiii tu va me faire jouir !! Chéri c’est booooonnnn
Oh oui que je vais te faire jouir, c’est bien ce que je veux, que tu lâche prise que ton corps se libère que ton esprit se libère, redevient une femme désirable et courtisée que j’aurais plaisir à voir jouir même si ce n’est pas de mes caresses. Te partager avec d’autres hommes qui te plairont, te feront jouir devant moi ou avec moi.
Je suis déjà dans le futur, Annie est mienne, et je lui fais découvrir les plaisirs qu’elle ne soupçonnait pas.
Sous ma langue son clito semble gonfler, elle ruisselle de plus en plus, ma salive et sa mouille coulent sur mon menton, ma barbe est trempée, mes joues aussi son vagin est secoué de spasmes. Au rythme des contractions son petit trou me crache de petites giclées de plaisir, je crois que j’ai une petite chérie fontaine
Ses gémissements sont de plus en plus fort, son mari va finir par se réveiller. Je redoute cela depuis que nous sommes dans sa chambre.
Mais Annie seule compte à cet instant, elle est au bord de l’orgasme, elle va exploser dans quelques secondes.
- Oh c’est bon, Gilles chéri fais-moi jouir je n’en peux plus! !!
J’ai fait durer les choses, pour lui offrir une grosse secousse, ce sera le cas, elle est partie ailleurs elle dit des choses que je ne comprends pas ce que je sais c’est que les soupirs de plaisir sont éloquents.
Je prends son clito entre mes lèvres et je caresse la pointe du bout de ma langue, je tourne autour de plus en plus vite. Le sang bat dans mes tempes. Je crois bien que moi aussi je vais jouir en même temps qu’elle et sans la moindre caresse que l’excitation de la manger de la sentir défaillir
Soudain un vrai hurlement et elle se cambre, tétanisée par le plaisir.
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis
Comme prévu et espéré son vagin s’affole, elle coule de partout et sans un soubresaut, elle m’envoi de longues giclées sur le visage et dans ma bouche. Annie jouis et squirte comme une folle.
Moi aussi à bout, je saute a genoux juste à temps pour attraper ma queue qui bat le tocsin et l'orienter sur le sexe trempé et grand ouvert de ma chérie et j’éjacule copieusement sur son sexe, son ventre, ses seins et même jusqu’à son visage ou une giclée arrive prés de sa bouche sur la joue. Alors je pénètre Annie je finis de jouir dans son sexe, le bruit humide est impressionnant. Je me couche sur elle, nos bouches se joignent mon sperme inonde ses lèvres je le partage dans ce baiser, ce qu’elle vient de gicler sur mon visage, mon sperme, sa mouille tous ces effluves sont mêlés dans notre baiser des plus fougueux, les yeux d’Annie sont incandescents.
Ce qui devait arriver arriva, a la fon du baiser je suis appuyé sur mes bras, eu dessus de son visage, tout barbouillé de notre amour. Elle est belle échevelée, ma respiration courte. Et je ne peux m’empêcher de lui dire.
- Annie, Annie, je t’aime tu es si belle, si douce, si sensuelle je ne peux rien dire d’autre.
Je vois qu’elle va me répondre je pose mon doigt sur sa bouche et l’embrasse à nouveau. Au bout de quelques secondes, une voix endormie retentit derrière nous. Je sens Annie sursauter et s’assoir à la vitesse de l’éclair, elle manque de me faire tomber.
- Mais qu’est ce qui se passe ici, tout ce bruit ces cris Annie tu est là
La lumière principale de la pièce s’allume inondant le salon de lumière. Annie nue, couverte de sueur et de mon sperme. Moi toujours agenouillé, la queue en l’air en sueur également éblouis par cette lumière crue.
Les présentations vont être compliquées
Mal luné je descends au bar de l’hôtel. Me voyant arriver seul Roberto fait un signe de dépit, il pensait me voir avec Arielle, il la connait pour l’avoir vu avec moi déjà plusieurs fois. Futé il me sert un Lagavullin il sait que c’est ce que j’aurais demandé. Et rare sont les amateurs qui mettent ce prix pour un scotch, mais celui-là c’est LE Wiskey à mon humble avis.
Peu de monde ce soir, il est vrai que mai ce n’est pas encore la grosse saison. Un coup d’œil circulaire sur la salle, là près du pilier sur un sofa, une femme avec de long cheveux un peu ondulés, semble absorbée dans la lecture d’un journal. Je ne vois pas vraiment son visage, mais j’ai vu ce décolleté de rêve, elle porte sans doute une robe du soir longue dans les tons pourpres et je vois un escarpin noir vernis qu’elle fait se balancer au bout de son pied, comme une sorte de tic ou de manie. Je me renseigne auprès de Roberto, il sait tout en général. Il ne connait pas cette femme, nouvelle cliente sans doute arrivée de la veille comme moi. Il se moque de moi et me dit
- Ah Monsieur cherche une remplaçante je vois avec un grand sourire entendu.
- Allons Roberto vous me connaissez mieux que ça !!
- Justement Monsieur justement.
Je lui glisse un pourboire comme toujours. Il est sympathique, discret et se mettrait en quatre pour vous contenter. S'il avait eu la moindre information sur cette femme j’aurais un cv complet. Mais là mystère. C’est un jeu de l’esprit à cet instant je sais que je serais seul alors je m’occupe. De ma place au bar je ne la vois pas bien. Je me déplace vers un des fauteuils qui lui font face de l’autre côté de l’allée. Je ne vais quand même pas aller me planter dans le fauteuil face à elle. De là-bas je serais bien placé pour observer cette poitrine qui me parait intéressante. Je n’ai pas de critères physiques particuliers en ce qui concerne les femmes mais parfois un détail m’interpelle. Là ces seins blancs et opulents qui tranchent sur le pourpre de sa robe m’ont sauté aux yeux. En passant je prends el païs pour me servir de paravent. Une vraie enquête à la Holmes. C’est trop ? Non retrouvez-vous abandonné loin de chez vous avec aucun but, aucune épaule, aucun petit cul à caresser vous ferez comme moi.
Une fois installé dans mon fauteuil je déplie mon journal, je ne suis pas très loin. Une femme qui doit être de mon âge environ. Cheveux mi longs un peu ondulés tête baissée elle lit nonchalamment un magazine, bien calée dans l’angle du sofa son escarpin toujours en équilibre au bout du pied. Je ne vois pas vraiment son visage. Par contre ce décolleté, un peu osé est magnifique, peau blanche, rondeurs harmonieuses, 90 95 de TdP a vue de nez. Un instant elle lève la tête dans ma direction, quelle chance. Mais naturellement elle n’a aucune idée de ma surveillance. Un visage doux, une bouche rouge mais un maquillage assez discret, pas de fautes de gout. Elle a l’air plutôt petite, j’aime bien les femmes de ce type, De nos jours les donzelles sont de ma taille pas loin de 1m80 musclée comme des déménageurs. C’est amusant un temps, je pense à Arielle ma danseuse que du muscle et du tonus. La douceur, ben ce n’est pas çà.
Mon inconnue me rappelle Marie femme de banquier, elle avait 57 ans j’en avais 19. Les 5 à 7 de folie que j’ai connue avec elle. Mélancolie, le temps passe. Si mon inconnue était aussi docile que Marie ce serait un rêve. Je suis comme çà une évocation un détail et je me projette le film. Jusqu'à ce moment j’étais mu par la curiosité et l’oisiveté forcée. Maintenant l’inconnue était devenue une cible. Certes présomptueux même si j’ai eu beaucoup de succès si toutes avaient cédé à mes avances ma liste virtuelle serait le quintuple de l’actuelle au moins. Mais je ne suis pas du genre à noter mes conquêtes.
Plus j’observe mon inconnue, plus je me sens l’envie de l’approcher. Faisant miens les mots de Danton le 2 septembre 1792 à l’Assemblée “de l’audace, de l’audace, toujours de l’audace”. Tourner autour du pot ne sert à rien.
Je fais un signe à Roberto qui vient me demander ce que je désire.
- Roberto, allez donc porter une coupe de Champagne à cette charmante dame et amenez moi un Lavagullin
- Un message sans doute Monsieur ?
- Dites-lui simplement que c’est moi qui lui offre
- Bien Monsieur, tout de suite.
Et mon barman préféré part comme une flèche.
Ma belle inconnue, oui elle est devenue belle, depuis que je l’observe j’analyse ses gestes, ses moindres mouvements. Certains ayant un effet adorable sur son décolleté dont j’avoue j’ai du mal à arrêter la contemplation. Des tas de questions, des tétons, rose, bruns, grand, petits, énormes ? Sensibles ou pas. Tout cela crée des différences incroyables dans les jeux amoureux, une femme aux tétons sensibles est en votre possession rapidement. Je sais ce que c’est ayant moi-même les tétons très sensibles, Le moindre effleurement et je me met à bander. Mes partenaires le savent très vite et aucune honte à çà je demande souvent qu’on s’occupe de ces petits bouts.
La avec une telle poitrine j’espère, une teinte foncée et de gros tétons. Mais ça bouge Roberto vient de déposer une coupe de Champagne et c’est un roublard il a même choisi un Champagne rosé, qui plait particulièrement aux femmes. Il lui indique qui est le commanditaire de ce rafraichissement impromptu. Elle regarde dans ma direction et fais un petit signe de la main et un grand sourire. Roberto vient vers moi avec mon scotch.
- La dame est surprise mais enchantée.
- Merci Roberto et bravo pour le rosé bien vu.
- Le métier Monsieur, le Métier. Oh merci Monsieur fait il empochant prestement mon petit billet.
Je me lève et nonchalamment je vais vers ma belle inconnue, elle me regarde arriver en trempant ses lèvres charnues au demeurant dans ce breuvage rose et pétillant. Je suis près d’elle, de ma hauteur la vue que j’ai sur ce décolleté est magnifique, je remarque que le tissu de sa robe est très tendu et dessine presque ses tétons. Elle est assez jolie, peut-être un peu plus âgée que je l’avais estimé si j’en juge par quelques cheveux blancs au milieu de sa chevelure châtain, qui prend des reflets presque roux sous cette lumière. Cela ne gâche rien et qu’elle ne les cache pas prouve qu’elle est bien dans sa peau et assume son âge quel qu’il soit. Et franchement je me moque de son âge. Avec une telle poitrine elle peut tout se permettre. Je focalise sur ses seins, pourquoi ? Aucune idée ce n’est habituellement pas mon style.
- Ainsi c’est vous qui offrez à boire aux inconnues ?
- En effet je me suis permis cette audace car vous aviez l’air esseulée et songeuse.
- Comment avez-vous su que j’adorais le champagne ?
- Simple réfléchissez parmi vos amies citez en une qui n’aime pas le champagne ?
- Hihihi fit elle, vous marquez un point en effet. Ne restez pas debout, venez vous asseoir, dit-elle en tapotant le sofa à côté d’elle.
- Volontiers, dis-je
- Vous faites erreur, je ne suis pas esseulée, je suis en vacance avec mon mari qui devrait être là d’ailleurs.
- Dans ce cas, je peux vous laisser, je ne voudrais pas... Commençais je
- Non restez, certes je ne suis pas seule mais ça ne veut pas dire que je m’amuse follement. Dit-elle en trempant ses lèvres dans sa coupe
- J’ai cru sentir ce petit désenchantement en effet
- Et vous en vacances aussi ?
Disant cela elle s'est inclinée vers moi, me mettant outrageusement son décolleté sous le nez. Parlant de nez son parfum c’est “J’adore de Dior” j’ai assez d’amies qui le porte pour le reconnaitre entre milles.
- En quelque sorte oui, pour quelques jours, on devait me rejoindre mais le travail s'est mis sur ma route et je suis seul abandonné. J’ai pensé que vous étiez dans le même cas, d’où cette coupe.
- J’apprécies, l’idée et le geste. Mon mari est adorable mais âgé il a 80 ans et je me demande s'il ne s'est pas endormi ou à oublier qu’on devait se retrouver.
- En effet différence d’âge pas facile à gérer. Ne me dites pas que vous avez 80 ans je ne vous croirais pas !!
- Je suis un peu plus jeune en effet mais pas tant que çà. J'.....
- Inutile de me dire et puis l’âge est dans la tête surtout. Et u peu dans les os quand les articulations vous rappellent à l’ordre.
- Vous paraissez en forme et j’ai du mal à vous donner un âge avec votre barbe toute blanche, mais vos cheveux sont encore assez bruns.
- Aucun mystère j’ai un tout petit peu plus de 50 ans et je suis assez sportif, le seul moyen de garder un peu la forme et d’éliminer çà dis-je en secouant mon verre.
Elle est charmante, sa voix est douce et agréable ses yeux noisette sont piquetés de reflets dorés du plus bel effet. J’imagine le rouge de sa bouche dans d’autres activités plus intimes que la dégustation d’une coupe. Je me connais, je suis dans le mode “il me la faut” Je suis souvent comme çà je bascule d’un coup dans le désir. C’est foutu ça ne me sortira pas de la tête. Je ne veux pas la brusquer ce n’est pas une femme qui couche inconsidérément. Bcbg bourgeoise, une femme mure mariée à un homme sans doute charmant et au train de vie agréable. Je pense qu’elle est heureuse, mais j’imagine aussi qu’a 80 ans le brave homme ne doit pas lui sauter dessus à la première occasion. J’imagine que cette femme à un retard immense de caresses à rattraper. J’ai remarqué son regard quand je me suis approché, une chatte avec une souris a croquer. Avec elle je veux bien faire la souris.
- Oh au fait je ne me suis pas présentée, Annie fit elle me tendant la main
- Gilles répondis je me levant, en me courbant pour baiser ces doigts
- Oh quelle classe, je n’ai pas souvent de telles salutations. Mais j’y prendrais vite gout ! Dit-elle en souriant.
- Tant mieux çà se perd et c’est bien dommage.
Annie me fascine, elle ne doit pas avoir 60 ans, elle a un joli minois, elle a quelques rondeurs mais une silhouette tout à fait enviable, une poitrine qui ferait damner plusieurs saints et non pas seins. Elle est mariée et avec son mari c’est moins pratique mais le brave homme vue son âge est sans doute plus une charge d’un mari. Je trouve cela désolant, cette femme a encore des années dont elle pourrait profiter mais elle semble être plus accompagnatrice et infirmière que femme. C’est admirable mais cette jolie femme au nom d’un amour sincère mais révolu ce prive de belles années, c’est injuste. Vous allez dire que c’est pour justifier mon désir que je lui trouve à l’avance des excuses mais admettez que c’est malheureux. Moi je suis d’un naturel parfois un peu brutal et carré. Mais si je sens un jour que je vais devenir une charge nul doute que le revolver dans le tiroir de mon bureau sera ma solution.
- Je vais aller voir ce que mon mari a bien pu faire pour m’oublier.
- Non accompagnez moi je vais vous le présenter s'il ne s'est pas endormi ce que je crains. Si c’est la cas j’aurais l’occasion de vous payer un verre et de bavarder un peu, car nous allons avoir du temps libre dans ce cas
- Je vous accompagne alors Dis-je
De bon augure, elle ne tient pas à se débarrasser de moi rapidement c’est encourageant. Nous entrons dans l’ascenseur, il démarre un peu brusquement Annie se trouve déséquilibrée et se heurte à moi. Je la retiens par les bras, face à moi mon menton à la hauteur de son front.
- Ooops Pardon, vous allez penser que je vous saute dessus dit-elle en riant
- Je serais bien mal venu de me plaindre vous ne trouvez pas ? Une jolie femme me bouscule c’est un peu ridicule comme plainte non ?
Elle me sourit avec un regard appuyé et se rapprochant de moi et parlant doucement
- Je suis certaine que vous n’êtes pas de ceux qui porterait plainte vous êtes assez grand pour vous défendre
L’ascenseur arrive à l’étage, elle est vive, pas vraiment nonchalante comme je le suis. Elle se dirige sans hésiter vers sa chambre, sors le badge et ouvre la porte. La lumière est allumée, personne dans le salon j’entre et reste près de la porte. Annie passe dans la chambre et revient presque aussitôt.
- Le mystère est résolu, Monsieur dort, il a oublié qu’on devait diner, il s'est couché. L’avion le voyage à son âge c’est fatiguant.
- Enfin le principal, votre mari est là, bien tranquillement endormi aucune inquiétude. Redescendons
- Non, restez tenez moi compagnie, je préfère n’être pas loin s'il se réveillait. Je vais faire monter de quoi se rafraichir et grignoter.
- Laissez moi faire Annie je demande à Roberto de nous faire monter quelque chose des préférences ?
- Non, n’importe quoi.
Je passe les consignes au barman, qui m’annonce que dans 20 minutes ce sera livré.
- Voilà c’est fait dis-je
- Merci, vraiment.
Annie semble abattue d’un seul coup. Assise sur le canapé la tête en arrière appuyée sur le haut du dossier les yeux au plafond mis clos. La pauvre vient d’en prendre un coup, elle attendait son mari qui l’a simplement occulté et est allé au lit sans se poser de question. Ce n’est pas réjouissant pour la suite. Je m’assieds à côté d’elle sur le canapé, ce simple fait, la sort de cette torpeur.
- Oh pardon, Gilles excusez moi, cela devient difficile et de plus en plus fréquent. J’ai du mal à m’habituer et je sais que ce sera pire au fil du temps.
Ses yeux sont noyés, elle retient ses larmes, elle essaye mais c’est impossible, une grosse larme coule sur sa joue, je l’efface avec mon pouce et lui tend la pochette que j’avais dans ma veste.
Elle prend ma main droite entre les siennes et me serre très fort.
- Tu es tellement gentil Gilles dit-elle en reniflant.
- Ce n’est rien Annie essayez de vous détendre.
- Merci, tu a raison, tutoyons nous
- Je reste là on va grignoter un morceau, boire un verre. Je ne t’abandonne pas.
Je me fais un peu l’effet d’un pourri, je suis en train de profiter de son désarroi pour la séduire. Pourri et saint Bernard à la fois. Je suis coutumier du fait pour le Saint Bernard, mais le pourri comme çà c’est nouveau ? Je suis tenté de trouver un biais mais je ne peux pas. Assise comme elle est son décolleté en V fais quelques plis et me dévoile les globes laiteux qui s’agitent à chaque mouvement. Elle a surpris mon regard j’en suis certain. Mais elle ne dit rien au contraire elle se presse contre mon épaule. Et là son sein droit glisse doucement vers la gauche e dévoilant la naissance d’une aréole brune grande comme une soucoupe, si j’imagine ce que je ne vois pas.
- Je suis désolée de te mettre dans cette situation, laisse moi donc, tu devrais profiter de ton temps autrement. Dit Annie
Je pris son menton, la fit me regarder en face, ses yeux noisette piquetés de doré étaient flous et embuée de larmes, mais toujours jolis. Je remarquais ses cils naturels si longs et réguliers qui lui donnaient ce regard tendre.
- Annie, je suis là où je veux être. Le hasard, la chance ou le destin je suis certain que tu as besoin de moi alors je ne vais pas me sauver.
Elle hoche la tête et serre ma main dans les siennes. Je lâche son menton caresse sa joue , elle tourne la tête et met un baiser sur mes doigts avant de me regarder droit dans les yeux et de me dire
- Merci, Gilles
A ce moment on sone, service d’étage une charmante gamine pousse son chariot dans la pièce
- Mr Roberto le Barman a ajouté un scotch pour vous monsieur
-Merci dites lui de ma part que je le remercie
Sur la desserte, une bouteille de champagne Un Cristal Rosé Louis Roederer, deux flutes. Tout un assortiment de petits fours salés et de toast et la dédicace de Roberto un Lavagullin que je laisse de côté pour le moment. J’ouvre le champagne et verse une flute pour Annie et une autre pour moi.
- Quel coup de main Gilles, aurait tu été barman un jour ? Vu comment tu ouvres et sers le champagne.
- Non jamais je ne suis que Champenois de naissance et c’est pour çà que nous avons des flutes et non des coupes. La vraie flute champenoise est serrée en haut pour éviter que le gaz ne s’évanouisse trop vite.
- Bravo tu sais plein de choses, tu as l’air très cultivé dit Annie avec un pâle sourire
- Cultivé ? Un peu mais surtout curieux et pour le champagne surtout champenois, baptisé au champagne, vielle tradition de ma région, on met un doigt dans la coupe et on en met sur les lèvres du bébé.
- Tu plaisantes ? De l’alcool a un bébé ?
- Non non c’est véridique En général le bébé fait la grimace rien de plus.
Je donne sa flute à Annie m’assieds près d’elle sur le canapé sa robe fendue sur le côté à glisser et le pan resté entre ses pieds dévoile le haut de sa cuisse, le haut de son bas fumé et merveille une couture et oh merveille l’attache du porte jarretelle. Je dois dire que ses jambes sont jolies une cuisse potelée mais sans excès. La vision de cette jambe offerte a mes yeux est suffisante pour me donner des idées.
- Oh fait Annie voyant qu’elle me dévoile toute sa jambe et sa cuisse.
Elle pose la main sur l’ourlet et le relâche
- Tu ne vas pas en perdre la vue, tu en a vue d’autres et sans doute plus jolies des jambes.
- Non je n’en perdrais pas la vue et si tu la cache maintenant je perdrais un agréable spectacle.
- Tu es un flatteur et un dragueur je crois sois honnête Dit Annie en me fixant et humectant ses lèvres en passant sa langue dessus d’une façon sensuelle.
Sa façon de lécher ses lèvres est-elle machinale ou est-ce tout à fait conscient ?
- Oui un peu c’est vrai, pourquoi cette question ?
- Je me demande si je t’attire vraiment ou si tu te dis celle-là ou une autre...dit Annie. Tu attendais une gamine de 23 ans et tu drague une femme de 60 ans ? C’est étrange...
Fine mouche elle avait joué le jeu mais n’étais pas dupe, je préférais çà au fond si elle m’avait laissé arriver là c’est qu’elle était aussi sensible à ma présence, je ne me jetterais pas de fleurs en parlant de charme
- J’ai commencé par tromper ma déception c’est vrai, mais je t’ai observée, j’ai vu ce que tu vis, j’ai compris ce que ta vie t’empêche d’avoir. Ton mari a été et est un excellent mari, je suis certain que tes sentiments sont toujours là pour lui. Si ce n’étais pas le cas tu serais redescendue avec moi. Tu as préféré rester au cas où il aurait besoin de toi. Cela me va très bien la preuve je suis là. Tu veux savoir si j’ai des intentions ? Oui bien sûr c’est évident.
Anne me regardait avec attention et je sentais que j’apportais les réponses attendues, mais elle digérait l’information, elle avait raison en un sens de se “méfier” car oui au départ j’avais bien dans la tête de trouver un peu de tendresse pour la nuit, rien de plus. Mais entre –temps j’avais vu la vérité, les choses toutes simples de la vie courante dans laquelle elle se débattait, son sentiment de temps qui fuit comme le sable entre les doigts, se dire qu’elle avait encore des désirs, des envies, des pulsions qu’elle devait faire taire pour devenir non plus une femme mais une garde malade une infirmière dévouée, une accompagnatrice. Je ne savais pas quelle était sa relation intime entre elle et son mari mais je ne me trompais sans doute pas en pensant que c’était limité et sans doute épisodique. Quand on la regarde on peut facilement penser qu’elle a 10 ans de moins, mon âge simplement. Donc la voir avec un homme de 80 ans on comprend rapidement le problème. Tout comme moi et Arielle une gamine avec un vieux con c’est un peu le sentiment des gens. Mais je ne l’empêche pas de vivre la gamine et elle vit bien croyez-moi.
- Au moins tu es direct, et clair dit elle
- La moindre des choses si on s’intéresse à quelqu'un
- Je t’intéresse vraiment alors ?
- Tu veux un procès-verbal, que je l’écrive ?
- Non, mais j’ai du mal à penser que je puisse t’intéresser dit Annie
- Et pourquoi ne pas admettre que tu es toujours une très jolie femme que l’on peut avoir envie de mieux connaitre. Si tu n’avais pas su que celle qui me pose un lapin a 23 ans tu aurais été plus rassurée non ?
- Oui sans doute.
- Je l’ai eu au téléphone elle ne pouvait pas se libérer pour son job, sa carrière c’était important, c’est ce qu’elle m’a dit, peut-être qu’elle ne me rappellera pas ce ne serait pas une première pour moi, je n’en suis pas satisfait. Enfin je mens là, ça m’arrange car je suis là avec toi, si tu le veux, sinon je peux prendre congé là ça me ferait mal, oui déjà je suis comme çà. Impulsif
Annie prend ma main, elle a encore une fois les yeux embués, décidément la pauvre ce sont les montagnes russes. Elle la serre entre les siennes. Elle tremble, et sa respiration est rapide, il suffit de voir les deux jumeaux se soulever rapidement dans son décolleté. Oh je ne suis pas non plus décontracté, ce qui avait commencé comme une boutade deviens trop sérieux pour prendre çà à la légère.
Là une pensée me heurte, on est en vacances en plein milieu de la Méditerranée le reste du temps où habites Annie ? Moi je suis Parisien, elle ? Mais bon c’est un détail au fond.
- Gilles, je suis désolée. C’est tellement soudain tout ça et je ne suis plus habituée à ce genre d’intérêt.
- Je comprends, une question idiote, moi je suis parisien habituellement et toi?
- Parisienne aussi.
- Ouf voilà une bonne nouvelle. Dis-je
Annie n’a pas lâché ma main, elle la soulève et dépose un baiser sur le dos de cette main. J’ai du mal à décrire la sensation de ses lèvres douces sur ma peau. Mais elle a mis le feu cette fois et je ne peux en rester là. Je me penche vers elle, ses yeux pourtant encore un peu humides brillent d’un nouvel éclat. Sa lèvre inférieure tremble visiblement l’émotion est intense, ses seins montent et descendent à une cadence plus élevée encore. Oui je sais, mes yeux ont du mal à oublier cette poitrine affolante.
Lentement j’approche ma bouche de ses lèvres, elle lâche ma main et m’enlace, je fais de même passant ma main derrière sa nuque je l’attire a moi. Elle entrouvre ses jolies lèvres. Un long baiser très fougueux, Annie est vraiment de plus en plus émue, je la sens trembler de partout. Mais elle devient au fil des secondes, plus “vorace”, comme si elle rattrapait le temps perdu sur l’espace d’un baiser.
Nous avons de cesser se baiser, non pas par la volonté de l’un ou l’autre mais poussés par le besoin de respirer. Annie semblait à la fois heureuse et meurtrie à la fois.
- Ça va ? Demandais-je
- Oui et non. Oui car il y avait si longtemps qu’on ne m’avait pas embrassée comme ça, c’était merveilleux, merci Gilles. Et non car mon mari est là à côté et je suis en train de le tromper. Je me dégoute. Dit-elle avant de se mettre a pleurer dans ses mains.
Je passais mon bras autour de ses épaules et la serrait contre moi, elle enfouit son visage dans le creux de mon épaule et se mit à sangloter. Déjà elle ne m’avait pas repoussé, j’avais hésité avant de la reprendre dans mes bras, et elle venait de se jeter sur moi. Je comprenais bien sa réaction, pas facile en effet de se décontracter quand son mari est là à quelques mètres. Je ne peux lui en vouloir. D’un autre côté c’est à elle qu’elle fait du mal.
- Laisse toi aller chérie, je comprends ta réaction dis-je
- C’est vrai ? Tu ne penses pas que je suis trop facilement tombée dans tes bras, en plus avec mon mari à côté ?
- Pourquoi tu essayes de te punir et de t’empêcher de vivre ? Chérie
- Ça fait deux fois que tu m’appelle chérie, Pourquoi ? C'est si sérieux ?
- Tu as l’impression que je ne suis pas sérieux ? Tu veux que je t’appelle comment ? Madame Annie ? Excuse moi mais ça fait un peu tenancière de maison non ?
- Elle esquisse un sourire sur cette dernière réplique.
- Non, je ne suis plus habituée à ces mots. Dit-elle baissant les yeux
- Si je t’appelle chérie c’est que çà sort tout seul, je ne sais pas quoi dire d’autre, Annie çà ne transcris pas ce que je ressens voilà. Dis-je
- Si tu veux, comprend moi oui je t’ai embrassé j’en avais envie, j’ai senti que toi aussi tu en mourrais d’envie depuis un moment je crois. Je ne le regrette pas, mais après ça ne change rien. Je suis là mon mari à côté et toi là. On fait quoi ?
- Tu peux faire ce que TOI tu veux Annie ma chérie, c’est une question de décision. Donne-toi le courage de vivre, accepter tes besoins, tes désirs ce n’est pas trahir le reste. C’est juste donner une chance à celle que tu es vraiment de vivre de respirer. Je demande simplement que tu acceptes ce qui arrive. Je n’ai pas l’intention de t’épouser, je tiens juste à te faire vivre et respirer en ma compagnie.
- Et mon mari dans tout ça ?
- Tu crois qu’il sait encore ou tu es ce que tu fais, tu crois qu’il se rend compte qu’il se soucie de çà ? C’est dégueulasse de dire çà je sais mais c’est la vérité, et tu le sais toi aussi, mais tu crains d’être mal jugée, de mal faire. Pense a toi chérie pas aux autres. Et ne crois pas que je dise çà car cela m’arrange. Mais maintenant il faudra te décider, moi c’est fait, même avant que l’on s’embrasse. Et maintenant que je t’ai embrassé je ne vais pas l’oublier en claquant dans mes doigts
Annie, ne réponds, pas elle semble bloquée, je crains d’avoir été un peu trop dur, trop vite. Je suis malade de la voir passer à côté d’une chance de changer sa vie un petit peu. Je suis persuadé qu’en peu de temps elle aura repris goût à la vie, même en continuant de choyer son mari, rien de plus normal. Mais elle ne doit pas se sacrifier pour surtout le regard des autres et ce que l’on pourrait en dire.
Je m’étonne moi-même de l’importance qu’elle a prise pour moi en quelques heures à peine. Ebfin a moitié étonné, ce n’est pas la première fois que je m’emballe aussi vite. Qu’a telle de plus ? Sans doute un âge plus conforme au mien. C’est vrai j’ai depuis pas mal de temps collectionné les gamines, et les gamins autour de la vingtaine. Mais il y a aussi un décalage dans nos façons de voir la vie. Alors que là Annie à certainement une vision plus conforme à la mienne. Et puis flute sois réaliste, tu as surtout très envie d’elle, elle te plait, elle est jolie, sexy que demander de plus.
Une caresse sur ma nuque me sort de mes pensées, il n’y a pas qu’elle qui est restée bloqué. Je la regarde, elle me sourit, quel joli sourire, ses yeux sont éclaircis.
- Embrasse moi, tu as raison, j’ai tort d’avoir honte je vais penser a moi, Gilles Embrasse moi
- Tout ce que tu veux chérie
Et cette fois ni elle ni moi n’avons la moindre hésitation. Je dirais même que c’est Annie qui m’embrasse avec une fougue peu commune. Ses mains sont sous ma veste et m’étreignent me caressent. N’y tenant plus je glisse ma main dans ce décolleté trop attirant. Désolé, je ne pouvais pas résister. La peau chaude, souple et douce m’accueille avec moelleux. Se sein ne tient pas dans ma main, sous ma paume je sens le téton dressé et dur. Je l’ai a peine effleurer qu’Annie vibre et que le baiser devient furieux. La main droite d’Annie glisse sur mon flanc, et se dirige vers la bosse qui est née sous mon pantalon, ce second baiser me fait partir au quart de tour. C’est mon tour de sursauter, de vibrer quand sa main glisse sur ma verge, je la sens un peu hésitante, puis elle trouve le courage de fermer ses doigts sur mon sexe, pire et le mesure son désir, elle commence à me branler. Ce qui ne fait que renforcer mon érection. Sous ma main les tétons durcissent et se dressent, je sens la différence de taille de façon incroyable. Lentement Annie se laisse glisser sur le dos sur ce canapé. Son soutien-gorge a une agrafe devant, je la fais souter libérant ses gros seins. A bout e souffle elle rompt le baiser.
Sa main gauche caresse ma joue, la droite est toujours autour de mon membre qui est gonflé comme jamais.
- Oh chéri, que c’est bon, c’est bon ta main sur mes seins, ton sexe si dur entre mes doigts.
- Tu es belle, tu es douce, j’ai tellement envie de toi. Ma belle chérie Dis-je
- Oh Gilles fais moi l’amour je t’en supplies, je n’y tiens plus Dit Annie Je veux te voir nu.
Pas besoin de long discours, en un claquement de doigts je suis nu et sans chaussettes. Je l’ai pourtant vu souvent dans des parties, des soirées ou en boite les mecs nus avec leurs chaussettes rien de pire comme look. Même moi qui aime les mecs certains beaux mecs que j’ai croisé dans cet appareil je n’ai pas pu... Alors faire cet affront à ma belle conquête non. Elle avait de son côté bien avancé son effeuillage, la voilà nue sur ce canapé, offerte. Annie est vraiment une belle femme, quelques rondeurs mais si bien placées que ce n’est qu’enchantement de l’œil, elle me fait penser aux tableaux de François Boucher mon dieu ces seins.
Elle est de nouveau allongée sur le canapé. Elle ne porte que sont porte jarretelles, ses bas et ses escarpins dont les talons assez hauts effacent sa petite taille, son sexe à une jolie toison taillée relativement rase, qui souligne un sexe aux petites lèvres épaisses et longues, qui ont du mal à cacher la nacre rosée de l’intérieur de ce minou. Et il est évident qu’une certaine humidité règne dans ce secteur. Ses jambes sont jolies de belles cuisses musclées et un mollet impeccablement galbé de petits pieds migons
- Annie, tu es vraiment très belle, ma chérie, tes seins sont magnifiques et tes petits bouts, enfin petits c’est un mensonge ils sont sensibles je l’ai senti tout de suite. Tu es vraiment merveilleuse.
- Ce que je vois, et que j’ai touché est vraiment ce dont je rêvais, un homme, un vrai, tu es beau tu sais, regarde-toi musclé tes cheveux blancs ta barbe, ton torse un peu velu. J’ai de la chance, mais ton sexe est magnifique et je j’ai vu se dresser quand tu me regardais
- C’est pour toi que je bande comme çà chérie, Dis-je
Annie tendit sa main et me dit ;
- Viens me faire l’amour chéri j’en meurs d’envie depuis que tu t’es approché de moi dans le salon.
Je m’allonge sur elle, nos peaux se touchent nous frissonnons tous les deux. Je caresse son front, ses joues, son cou, mes mains glissent autour des orbes de ses gros seins, elle a des frissons,
- Oh chéri tes mains, elles son douces, regarde je tremble, je remonte vers les aréoles brunes et granuleuses, Annie se mord les lèvres pour ne pas gémir. Et tu bandes toujours autant, quel mâle. Je ne croyais plus que çà existait.
Je ne peux résister, ma lanque sur ses tétons, la large aréole le téton épais et sensible. J’ai à peine posé ma langue qu’elle frissonne rejette sa tête en arrière.
- Chéri, viens prends moi j’ai envie de te sentir en moi.
- Impatiente ?
- Cela fait si longtemps, Viens vite Gilles, regarde je suis toute mouillée déjà.
Pour me le prouver elle écarte largement les lèvres de sa chatte et elle est en effet trempée, attendre est un supplice de tantale. En temps normal je n’aurais pas cédé, j’aurais fait durer les préliminaires, ma belle en aura mais là je dois la satisfaire
- Viens, viens vite mon chéri je te veux vite.
Un baiser sur la bouche, je suis entre ses cuisses, mon sexe est à l’orée de sa chatte trempée. Je commence à la pénétrer et là elle se met a gémir, râler alors que je me fonds en elle. Son sexe est bouillant agité de petits spasmes qui massent ma queue. J’ai l’impression de glisser and une soie, humide et très chaude.
- Ohhhhhhhhh ouiiiiiiii c’est bon ta queue est grosse. Viens plus profond
- Oh ma chérie, tu es bouillante, et si douce,
Ma bouche se pose sur la sienne, ma langue suit le contour de ses lèvres. Les yeux mi-clos, ses mains agrippent mes avant-bras et ses ongles me labourent la peau
J’ai cru in instant qu’elle allait jouir et en fart j’étais tout aussi excité et si je n’avais pas eu le contrôle que j’ai, j’aurais joui moi aussi.
Chaque coup de reins lui tire un gémissement de plaisir. Elle a croisé ses jambes sur mes reins et donne la cadence. Quelle femme, elle se donne totalement, Je pose mes mains sur ses seins qui ballottent devant mon nez, Malgré leur taille ils sont fermes, ils descendent un peu quand elle est debout mais ils sont magnifiques. Avec le pouce et l’index de chaque main je pince doucement ses gros tétons J’ai a peine fait çà qu’elle pousse un cri de plaisir.
- Ohh oui chéri, mes tétons, pince les, pinces les , tourne fort oh ouiii
En même temps son sexe c’est brusquement serré sur ma queue et maintenant que je triture ses bouts de seins son vagin semble macher ma queue. J’ai rarement ressenti çà. Elle adore se faire travailler les seins, ma petite Annie crois moi je vais m’en occuper.
Elle a un regard extatique, elle exulte, un peu de salive coule au coin de ses lèvres. Sans doute vu la sensibilité de ses tétons arrive t elle a jouir par cette seule caresse. Ce n’est pas un fantasme même les hommes en sont capables, j’en suis capable c’est long 20 30 minutes de travail intensif et musclé me mène à une éjaculation qui me foudroie en général. Pour l’instant c’est ma nouvelle partenaire qui va jouir ainsi.
Annie caresse mon torse, ma poitrine et ses doigts s’accrochent à mes tétons. Elle fait les mêmes gestes que moi et je commence à sérieusement manifester mon plaisir.
- Oh toi aussi chéri continue continue je m‘occupe de toi. Dit Annie les yeux brillants.
Il commence à faire chaud et sa peau commence à briller sous la lumière rasante, moi aussi je suis en sueur.
Annie me triture les tétons avec passion, elle sait ce qui est bon, pour elle et pour moi. J’adore ce qu’elle me fait et elle adore que je lui rende la pareille. La température est montée en flèche. Je sens son vagin malaxer mon sexe par d’intenses convulsions.
- Ohhhh oui n’arrêtes pas chéri, oh mes petits bouts C’est bon. Oh je vais te dévorer Gilles
Disant cela elle bouge avec une souplesse surprenante, elle cesse de me triturer les tétons, agenouillée face à moi qui suis dans la même position.
- Tu es beau, tu sais, tes muscles sont si bien marqués, j’ai de la chance d’avoir un tel amant, je veux te manger dit-elle avec un regard de panthère.
Elle m’embrasse goulument en me poussant sur le dos avec ses mains sur ma poitrine qui se mettent à caresser ma peau avec douceur, elle me donne des frissons, ma queue dressée deviens son point de mire. Ses yeux semble me dire je fais de toi ce que je veux. Elle a raison, elle m'hypnotise, ses mouvements sont fluides gracieux, pas du tout ceux qu’on attendrait de la part d’une belle ferme BCBG. Elle serait plutôt une prêtresse du sexe venant d’une civilisation exotique.
Annie est surprenante, et de minutes en minutes je me sens en parfaite harmonie avec elle, je crois qu’elle est en train de se libérer, elle renait à l’amour, au sexe. Magnifique papillon sortant de sa chrysalide avec un instinct de prédateur. Sa bouche est sur mes tétons qui sont assez gros je dois avouer, a force d’avoir été utilisés, certaines femmes ont des tétons plus petits que les miens souvenir de ma période “homo” ou plusieurs de mes partenaires réguliers adoraient me faire des injections de sérum phy, pour justement me faire gonfler les tétons et il en reste pas mal de ces augmentations temporaires. Ses lèvres sont divines, elle mord et suce mes bouts de chair sensibles. Elle me fait trembler ma nouvelle salope, J’espère qu’elle appréciera ces mots doux. J’espère aussi qu’elle sera un peu soumise. Déjà à ce moment j’ai en tête la suite avec elle. Je vais lui faire découvrir le stupre et la fornication intense que j’adore. Je la sens tout à fait demandeuse de ces expériences,
Sa bouche descend vertigineuse ment vite vers mon sexe dur. Son regard est éloquent, elle enserre ma queue de sa main droite puis la gauche vient se poser au-dessus. Mon gland dépassé ses deux mains.
- Ouahhh chéri, quelle queue !! Je n’avais pas l’impression que c'était si grand, et tu est dur c’est fou. Je n’ai pas connu plus grand que toi. J’ai envie de te mettre dans ma bouche. Tu aimes ??
- Oui chérie suces moi je t’en prie,
- Peut-être dit-elle, si t est gentil. Son regard intense et espiègle à cet instant d’amuse du pouvoir qu’elle a sur moi.
- Annie si tu savais quel plaisir j’ai d’être entre tes mains, attendant ton bon vouloir, peut être aimera tu me dominer.
Sans me quitter des yeux sa bouche approche de mn gland, lentement, elle guette mes expressions. Sa langue passe toute rose et pointue, elle lèche et l’enfonce un peu dans le méat. La salope, sait y faire. Je frissonne et ma queue tressaute dans ses mains.
- Gilles mon chéri, je crois que tu aimerais que je te suce. Demande-le-moi mon ange
- Annie chérie, suce-moi s’il te plait j’en crève d’envie.
- Sois patient je vais présenter les jumeaux à la belle queue que voilà.
Disant cela elle lâche mon sexe et soutenant ses deux seins avec ses mains elle enserre ma queue entre ses deux gros seins. Ma queue parait petite entre ses globes si doux. Elle presse ses seins autour de mon sexe et commence à me branler lentement. Ce ne sont pas toutes les femmes qui peuvent faire çà et encore moins l’ose. Elle doit sentir que je tremble de plaisir, et je vois sa lèvre qui frémis aussi d’excitation.
Annie laisse ses seins venir se frotter sur mes cuisses. Da bouche happe mon gland et elle commence à m’avaler le dard.
- Ohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii tes lèvres !!! Putain c’est si bon!!!
- Oh oui tu aimes çà ... Cochon. Tu aimes quand tu es dans ma bouche...
- Ohh oui Annie encore s’il te plait.
Quand elle a dit “cochon” elle a hésité, elle devait penser à autre chose mais n’a pas osé, Moi non plus je n’ose pas utiliser certains mots par peur de la choquer. Mais ça viendra.
Sa bouche est un velours, chaud et humide, elle m’aspire également. J’adore elle mais énormément de salive sur ma queue Quand elle me laisse échapper, de longs fils de bave restent ente ces lèvres et mon gland.
Elle me suce un moment, avec ferveur, je sais que si je la laisse continuer je vais cracher, mais je veux savourer sa chatte maintenant.
Cette fois a mon tour de faire de la gym, je me remets a genoux, elle fait de même sans que nous échangions une parole, elle se doute de mon intention, Alors que nous sommes a genoux sur ce pauvre canapé qui va être bien fatigué. J’embrasse Annie, avec un appétit renouvelé, les alarmes sonnent a mes oreilles, je sens que je glisse vers une implication plus grande que prévue. Je ne lutte même pas je laisse les choses arriver. On verra quand je vais le lui dire.
Elle me laisse la basculer sur le dos tout en suçant sa langue qu’elle m’offre. Ses deux magnifiques seins servent de coussins à ma tête, je plonge un instant la tête entre les deux savoureux globes. Annie a bien raison d’être fière de cette poitrine. J’ai vue beaucoup de femmes avec des belles poitrines mais Annie tient une place de choix dans ce panthéon. Je vais saluer les adorables tétons, bien dressés et granuleux ils durcissent sous ma langue tandis que ma belle gémis de plaisir. Elle ne cesse de me regarder, avec une intensité incroyable. Je crains qu’elle me prenne pour une sorte de dieu éros incarné, je ne suis qu’un homme qui lui redonne le gout des amours. C’est agréable d’être ainsi désiré mais quand elle ouvrira les yeux et me verra comme je suis, je crains sa déception. Je glisse sur sa peau douce et parfumée, petit coup de langue au nombril et descente vers l'épicentre de son plaisir.
Annie est gémissante, elle me caresse la tête, ses cuisses s’ouvrent largement, elle m’accueille dans son temple. Me voici en adoration devant un sexe magnifique, son clitoris est bien plus gros que la normale ses lèvres épaisses et longues sont ourlées, granuleuses et la coloration un peu brune tranche avec le rose nacré et emperlé de mouille que je vois sous mon nez, ma chérie est totalement trempée en fait les petites lèvres sont luisantes l’intérieur, son vagin est ouvert, sous le clito, ce petit monte rose percé du méat est palpitant, Certaines femme n’aimes pas que j’aille taquiner ce petit trou, d’autres adorent je vais savoir sous peu si Annie aime ou pas. Par instant le vagin, s’ouvre tant que je peux apercevoir son utérus, comme le méat plusieurs écoles, certaines apprécient que l’on joue avec d’autres non, certaines aiment qu'il soit pénétré. Je n’ai pas encore posé ma langue, mon nez lui hume les senteurs, je n’ai jamais trouvé deux sexes de femme ayant même odeur et même gout, disons tout de suite, je n’ai pas souvent rencontré de sexe dont l’odeur ou le goût fu désagréable. Et quand ce fut le cas c’était à cause d’un souci médical.
J'adore son odeur épicée, pimentée je dirais, tout son sexe palpite, elle attend un attouchement elle s’impatiente, car elle s’ouvre comme une fleur. Et dans cette fleur un nectar transparent afflue, il devient laiteux. Pour l’heure, le prend les lèvres dans a bouche, les aspire et les suce. Puis ma langue plonge dans le sexe, je lappe son petit lait, qui n’arrête pas d’affluer. Je taquine le méat de la pointe de la langue Annie gémis se tord de plaisir mais ne m’arrêtes pas. Je le sollicite tellement que quelques gouttes me récompensent. Peut-être est-elle fontaine. Si c’est le cas je vais adorer ce sexe. Je l’adore déjà.
- Oh oui chéri ta langue !!! C'est bon... Continue
Avant de m’attaquer a son bouton j’ai une pensée pour le cyclope qui sagement attend son tour, petit lappage en descendant, elle est de plus en plus trempée.
Voilà le coquin tout plissé mais agité, il baille un peu je passe ma langue sur l’anus, je pousse ma langue le pénètre légèrement sans forcer, il aura sans doute de la visite et il semble coopératif.
- Oh oui là j’aime chéri, encore dit Annie
Encore un coup de langue ou deux. Et je reviens vers son gros clitoris. Ma langue passe par le méat, je lécher les bords du capuchon. Avec mes pouces je repousse les lévres en arrière sur le mont de vénus. Son clitoris apparait dans toute sa splendeur, gros et gras, Annie à un bouton magnifique et d’une taille peu commune j’en ai certes vu des plus gros mais augmentés de façon artificielle. Là c’est la nature qui lui a donné cette petite bite. Chaque attouchement la fait crier de plaisir. Quand je pose mes lèvres et que je l’aspire Annie parait défaillir
- Doucement, doucement oh c’est fort mais continue.
Je sais ce que ça donne, quand on me suce le gland ; que j’ai déjà éjaculé, je pense que c’est pareil pour Annie je vais doucement, mais n’arrêtes pas ses hanches roulent sans cesse, elle me lance son pubis en plein visage comme si elle espérait que j’enfile ma tête dans son sexe.
- Ouiiiii oh ouiiii tu va me faire jouir !! Chéri c’est booooonnnn
Oh oui que je vais te faire jouir, c’est bien ce que je veux, que tu lâche prise que ton corps se libère que ton esprit se libère, redevient une femme désirable et courtisée que j’aurais plaisir à voir jouir même si ce n’est pas de mes caresses. Te partager avec d’autres hommes qui te plairont, te feront jouir devant moi ou avec moi.
Je suis déjà dans le futur, Annie est mienne, et je lui fais découvrir les plaisirs qu’elle ne soupçonnait pas.
Sous ma langue son clito semble gonfler, elle ruisselle de plus en plus, ma salive et sa mouille coulent sur mon menton, ma barbe est trempée, mes joues aussi son vagin est secoué de spasmes. Au rythme des contractions son petit trou me crache de petites giclées de plaisir, je crois que j’ai une petite chérie fontaine
Ses gémissements sont de plus en plus fort, son mari va finir par se réveiller. Je redoute cela depuis que nous sommes dans sa chambre.
Mais Annie seule compte à cet instant, elle est au bord de l’orgasme, elle va exploser dans quelques secondes.
- Oh c’est bon, Gilles chéri fais-moi jouir je n’en peux plus! !!
J’ai fait durer les choses, pour lui offrir une grosse secousse, ce sera le cas, elle est partie ailleurs elle dit des choses que je ne comprends pas ce que je sais c’est que les soupirs de plaisir sont éloquents.
Je prends son clito entre mes lèvres et je caresse la pointe du bout de ma langue, je tourne autour de plus en plus vite. Le sang bat dans mes tempes. Je crois bien que moi aussi je vais jouir en même temps qu’elle et sans la moindre caresse que l’excitation de la manger de la sentir défaillir
Soudain un vrai hurlement et elle se cambre, tétanisée par le plaisir.
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis
Comme prévu et espéré son vagin s’affole, elle coule de partout et sans un soubresaut, elle m’envoi de longues giclées sur le visage et dans ma bouche. Annie jouis et squirte comme une folle.
Moi aussi à bout, je saute a genoux juste à temps pour attraper ma queue qui bat le tocsin et l'orienter sur le sexe trempé et grand ouvert de ma chérie et j’éjacule copieusement sur son sexe, son ventre, ses seins et même jusqu’à son visage ou une giclée arrive prés de sa bouche sur la joue. Alors je pénètre Annie je finis de jouir dans son sexe, le bruit humide est impressionnant. Je me couche sur elle, nos bouches se joignent mon sperme inonde ses lèvres je le partage dans ce baiser, ce qu’elle vient de gicler sur mon visage, mon sperme, sa mouille tous ces effluves sont mêlés dans notre baiser des plus fougueux, les yeux d’Annie sont incandescents.
Ce qui devait arriver arriva, a la fon du baiser je suis appuyé sur mes bras, eu dessus de son visage, tout barbouillé de notre amour. Elle est belle échevelée, ma respiration courte. Et je ne peux m’empêcher de lui dire.
- Annie, Annie, je t’aime tu es si belle, si douce, si sensuelle je ne peux rien dire d’autre.
Je vois qu’elle va me répondre je pose mon doigt sur sa bouche et l’embrasse à nouveau. Au bout de quelques secondes, une voix endormie retentit derrière nous. Je sens Annie sursauter et s’assoir à la vitesse de l’éclair, elle manque de me faire tomber.
- Mais qu’est ce qui se passe ici, tout ce bruit ces cris Annie tu est là
La lumière principale de la pièce s’allume inondant le salon de lumière. Annie nue, couverte de sueur et de mon sperme. Moi toujours agenouillé, la queue en l’air en sueur également éblouis par cette lumière crue.
Les présentations vont être compliquées
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Prospero
6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je n'avais pas eu le loisir de lire ces textes que j'adore particulièrement. Beaucoup de psychologie, de sentiments de belles choses et la sincérité tout le temps. Je peux dire sans détour que je suis prête a prendre la place de la jolie Annie sans aucun regrets. Dois je dire que quand je te lis Prospero mes mains sont occupées le plus clair du temps ? Je ne suis pas la seule et aucune honte a avouer que tes écris m'ont procuré assez de désir pour avoir quelques orgasmes solitaires.
superbe tres exitant magnigique recit vivement la suite
Prospero tu es terrible ton texte est si bien écrit je suit doucement ton cheminement tu m’emmène par moment je prends même place et là comme d’habitude tu portes l’estocade de mani ère chevaleresque et romantique. Hélas le vieux mari s’est réveillé te connaissant tu vas sans doute prendre le dessus calmement et sauver la face de ton amante.Daniel
Très belle histoire bien réaliste avec de beaux détaiks. Vyvement la suite.
@ Lecteur
La suite est en cours - Merci pour cet avis élogieux
La suite est en cours - Merci pour cet avis élogieux
Vivement la suite
C est trop bon
La description est très bien faite on s y croirait
C est trop bon
La description est très bien faite on s y croirait

