Annie Renaissance d'un Femme Chap II

Récit érotique écrit par Prospero [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Annie Renaissance d'un Femme Chap II
Annie et moi sommes vraiment mal à l’aise. Voir son mari là dans l’encadrement de la porte alors que nous sommes tous les deux nus, elle couverte de sueur et de sperme et moi le visage et la barbe trempés, je ne suis pas plus présentable.
Le brave homme tient difficilement sur ses jambes, accroché au chambranle de la porte Il répète d’une voix faible.
- Qu'est ce qui se passe ici ! Annie pourquoi tu n’es pas habillée
Annie se précipite vers son mari, nue laissant vêtements, pudeur et dignité derrière elle.
- Et vous vous êtes qui ? dit-il en s’adressant à moi. A poil aussi Oh j’ai compris dit il baissant la tête.
Annie est auprès de lui, il a du mal à rester debout. Au diable la situation. Je me presse auprès du mari et de sa femme. J’aide Annie à assoir Jean sur un grand fauteuil. Annie a le visage plein de larmes, et il exprime une telle souffrance que je me sens coupable de tout.
Annie c’est agenouillé près du fauteuil tenant la main de son mari qui commence à mettre ses idées au clair.
- Ce qui devait arriver est arrivé, c’est bien compréhensible...Heu mon cher dit il s’adressant à moi. Vous pouvez au moins enfiler un pantalon. Votre sexe dressé fait de la peine au miens qui dors paisiblement. Merci
Il fait mouche et il est peut-être faible et âgé mais les neurones ne se touchent pas tant que çà. Ce n’est pas un compliment pour moi mais j’aime la tournure de son esprit, Annie ne pouvaient pas avoir passé sa vie avec un homme insipide.
Je passe mon pantalon et ma chemise. Je reviens auprès d’eux, il n’y a pas eu un mot. Annie pleure toujours catastrophée.
- Calmez donc Annie mon cher, il semble que vous êtes un réconfort pour elle, ne là lâchez pas maintenant Aidez là à s’habiller comme vous l’avez surement aidé à tout ôter.
- Annie, viens ton mari à raison, habilles toi
Elle me regarde comme hébétée, elle me suit docilement jusqu’au canapé, elle passe sa robe sans rien dessous, elle reprend un peu de digité.
- Restez donc assis tous les deux, nous avons une sorte de différent, un problème domestique dit-il.
- Rien qui ne puisse trouver une solution honorable dis je
- Ah vous allez donc disparaitre dans la nuit, vous évanouir ? J’en doutes et je vous en voudrais de faire çà ce serait peu glorieux.
- Et vous vous doutez que je ne le ferais pas.
- En effet et vu comme elle vous regarde Annie, ne voudrais pas non plus. Vous savez il y a un moment que je suis conscient que notre différence d’âge finirait par être un problème, je n’ai pas eu le courage de prendre les devants. Et j’ai laissé Annie devant ce dilemme. Elle est jeune encore, et pleine de vie, pleine de désirs que je ne puis assouvir ou si partiellement. Il semble qu’elle ait trouvé ce qui lui manquait.
- Arrêtez de parler comme si je n’étais pas là !! Vous êtes bien pareils tous les deux !! C'est surement pour cela que j’ai craqué pour vous deux. Jean je suis désolée, je demande pardon c’est la première fois que je te trompe. Je regrette que tu nous ais surpris, Du moins nous avons été idiots de faire çà ici.
- Oh non-dit Jean en fait je ne dormais plus depuis longtemps, j’ai tout entendu, difficile de ne pas vous entendre. Je sais que toit Annie tu n’a pas l’intention de me laisser tomber maintenant. Je sais que tu as trouvé l’homme qu’il te fallait pour te rendre un peu de ta joie de vivre, un peu de jeunesse. J’ai été voyeur, plutôt auditeur de vos ébats et ça m’a rappelé les nôtres quand j’étais plus vaillant. Il ne reste qu’a savoir comment gérer les choses.
- Jean tu proposes quoi un calendrier, des heures des dates ? Dit Annie
- Non je propose que toi tu essayes de partager équitablement ton temps entre ton ami Gilles je crois et ton mari, moi tous simplement. Je ne vais pas chronométrer le temps passé. Vous en pensez quoi l’un et l’autre ?
- Annie allait répliquer, je l’arrêtais d’un geste.
- Je trouve cette solution honorable, j’aimerais juste ajouter une chose. Annie est parfaitement une épouse dévouée et ce n’est pas vous Jean qui me direz le contraire, elle souffrait de devenir plus une compagne infirmière qu’une femme à part entière. Je crois que nous pouvons vous et moi lui donner le meilleur et faire perdurer votre amour ancien et je lui donnerais les plaisirs qu’elle mérite. Je sais que certes vous êtres âgé, la santé un peu chancelante mais parfois je réconfort de caresses n’est pas négligeable. C’est un peu osé bien sûr, mais sachez que si Annie y consent, vous serez toujours le bienvenu dans nos ébats Je suis un libertin et cela ne me dérange absolument pas. Peut-être que Annie sera enchantée d’avoir les deux hommes qui compte pour elle a ses pieds. Je conviens que la proposition est osée, je ne la ferais pas si je n’étais pas certain d’avoir face a moi un homme qui est à même de comprendre cette proposition.
- C’est incroyable dit Annie, je ne savais pas Jean que tu avais un frère qui me courtisait et à qui j’ai cédé. Votre discussion est surréaliste et pourtant je trouve que votre façon de voir les choses est sans doute la bonne solution.
- Dans ce cas le champagne est encore frais il y a des flutes, arrosons notre solution fis je en servant deux verres et en prenant mon Whisky que je n’avais pas touché
On trinque, Annie a repris des couleurs, ses yeux ne sont plus tristes. Son mari est un homme charmant et intelligent. Alors qu’Annie était partie se refaire une beauté dans la salle de bain Jean me dit.
- J’ai remarqué que vous avez mentionné notre amour a Annie et moi me dit Jean mais vous n’avez pas osé mentionner l’amour entre elle et vous. Pourtant je cous ai viens entendu lui dire je t’aime, incertitude ou prudence ?
- J’allais répondre quand Jean m’arrêta d’un geste. Annie venait d’entrer dans la pièce.
- Alors dit Jean vous allez accompagner Annie faire du shoping pendant que je vais suivre cette excursion demain ? Enfin dans quelques heures.
Je prenais congé quelques temps plus tard, Annie me raccompagnant à la porte et me donnant un baiser langoureux.
- Merci, à demain mon chéri, au petit déjeuner tu te joins à nous. 9h00
Je réintègre ma chambre, mais le sommeil ne viendra pas je le sais. J’essaye de faire le point. Tout est allé si vite. Et me voilà avec une nouvelle amoureuse, du moins de mon côté comme toujours je suis parti sur les chapeaux de roues. Annie occupe tout mon esprit, je refais mentalement la carte de son corps, je revois ses yeux son sourire ses plaintes et gémissements. J’ai le gout de son corps sur la langue, son odeur est sur moi. Je ne veux pas savoir quel âge elle à. Elle me plait comme rarement une femme me plait. Je sens en elle un potentiel sensuel inexploité. Je ne veux pas la pervertir ou lui imposer des choses. Je veux lui donner la possibilité de s’épanouir et de vivre intensément comme moi j’ai vécu jusqu'à maintenant. Quelle femme, , je la sens vivrer sous mes doigts, j’aimerais qu’elle soit là. Soudain je suis emporté par le plaisir, je jouis sur ma poitrine mon ventre et copieusement. Dans ma rêverie focalisée sur Annie je me suis masturbé comme un gamin, et je lèche le sperme sur mes doigts car j’aime le sperme, surtout le mien quand je vais le chercher sur les lèvres d’une femme.
Je me dis que je raconterais cet intermède à Annie qui sans doute va adorer.
J’ai dormi une paire d’heure et je descendais pour le petit déjeuner dans le hall je croisais Roberto.
- Bonjour, Monsieur vous avez l’air fatigué me dit –il
- Pour la bonne cause mon ami répondis je Pour la bonne cause.
- J’en suis ravi , Monsieur, vraiment, bonne journée à vous.
Je me rendais à la salle du petit déjeuner. J’aperçu Annie et Jean sur une table ronde au fond de la salle. Je rejoignais cette table, Jean avait l’air moins abattue que dans la nuit. Annie elle était resplendissante, dans une très jolie robe fleurie s’arrêtant à mi-cuisse et au décolleté impressionnant, avec un soutien-gorge pigeonnant. J’ai un instant d’hésitation.
- Embrassez-vous dit Jean, vous en mourrez d’envie. Hahaha Fit-il
- Cela se voit tant que çà Jean dit Annie.
- C’est comme si vous aviez un gros cœur au-dessus de vous reprit Jean tu lui as fait quoi pour le mettre dans cet état ? Non ne dit rien je sais.
- Vous avez l’air...
- Tu as l’air plus en forme ce sera mieux. Et serrons nous la main
Décidément ce gaillard m’était sympathique. C’est vrai que par certains côté il avait un peu la même façon que moi de voir les choses, mais il était beaucoup plus sérieux et moins aventurier que moi.
- Vous avez fait forte impression sur Annie, et à voir sa mine ce matin vous lui avez fait beaucoup de bien. Je vous ai un peu casser la soirée et j’en suis désolé mais je savais que ce moment arriverait mais je n’ai pas eu le courage de l’anticiper. Annie en a payé le prix et çà je le regrette. Je pense qu’à nous deux on arrivera à lui donner tout ce qu’elle mérite. Non conventionnel certes et je ne pensais pas ma trouver un jour dans cette posture mais aujourd’hui je me sens plus léger Et si jamais je partais d’un coup, Annie saurait sur qui s’appuyer. C’est une chose qui me rassure.
- Vous êtes vraiment des amours tous les deux di Annie en nous prenant la main a Jean et a moi. Je ne suis encore pas vraiment certaine d’être éveillée, mais je me sens bien légère comme je ne l’ai pas été depuis longtemps.
- Gilles, mon ami, je peux ? J’ai réfléchi et j’en ai même parlé à Annie votre proposition assez inconvenante, mais tellement tentante, ce n’étais pas un tour de passe passe pour calmer le vieux cocu ? Vous avez fait cette proposition avec tant d’aplomb et de sincérité que je me suis posé la question. Et je voulais avoir le sentiment d’Annie sur le sujet. Elle semble avoir été convaincue par vos “méthodes” Je dirais donc qu’il n’est pas impossible que je puisse me joindre un peu à vous, Annie semble trouver cette perspective alléchante et elle m’a avoué que depuis longtemps elle aurait aimé cette configuration mais sans oser m’en parler.
- Par expérience je sais que nombre de femmes et d’hommes rêvent de pouvoir sortir de la routine, mais il faut oser et c’est souvent non pas le courage mais la force de bousculer les habitudes et ne pas tenir compte de ce que l’on va penser de vous.
Une charmante jeune femme, avec une pancarte indiquant le départ de l’excursion de Jean rameutais les candidats.
- Bon je crains que je doive vous laisser, Gilles je vous confies Annie, je sais que vous allez en prendre soin. Ne la fatiguez pas trop. Et surtout ne la laissez pas trop vous fatiguez mon ami.
- Jean tout de même !!Tu n’es pas sérieux !!
- La faute à qui ? Ma chérie
Annie le frappa mollement avec la serviette de table, avec un sourire. Jean suivi la jeune femme et sa pancarte avec d’autres personnes présentes.
Annie se tourna alors vers moi et se renversa dans son fauteuil avec le sourire.
- Je suis abasourdie ! Jean semble revivre et vous deux on dirait que vous vous connaissez depuis des années. C’est un rêve ou je vais me réveiller c’est curieux irréel.
- Je crois, ma chérie que Jean est un homme intelligent et il savait que tu n’allais pas bien, il l’a dit mais il n’a pas osé aborder ce sujet avec toi frontalement. Il a sauté sur l’occasion quand il a compris ce qui se passais dans la chambre, n’oublies pas qu’il a entendu ce que nous avons dit.
- Oui il a même entendu ce que tu m’as dit et que tu n’as pas évoqué dans la réponse que tu lui as faite que tu m’as dit “ Je t’aime” j’ai l’ouïe fine tu sais
- Je vois, je vais t’expliquer
- Non, n’ai pas peur, pas de reproche à te faire tu le sens comme çà mais tu ne peux pas avoir de certitude et puis cela servirait à quoi ? Je suis mariée, je ne quitterais pas mon mari je ne pense pas me remarier un jour. Alors prends ton temps. Pour l’instant c’est ton corps, tes mains, ton sexe qui me comblent et sans doute aussi tout ce que tu vas me faire vivre. Enfin j’espère que tu vas m’entrainer dans tes folies sexuelles.
- Ah oui ? Tu serais partante pour un dévergondage en règle ?
- Tu crois que j’ai cédé juste pour une nuit ? Excellente d’ailleurs si on met de côté les surprises de Jean. Bien sûr
- Annie ma chérie tu penses être un peu soumise pour accepter de te mettre entre mes mains ?
- Soumise à toi ? Oh oui une condition ne jamais me bander les yeux je veux tout voir et ça me fait peur d’avoir les yeux bandés. Ce que tu m’as dit de toi, et je suis sûr que j’en sais bien peu m’a fait comprendre que tu pouvais me faire vivre des choses en dehors des sentiers battus. Mais battue çà je ne veux pas l’être. Même si je te demanderais de me raconter les horribles choses que tu as pu faire
- Ma chérie, je n’ai jamais mais vraiment jamais obligé une femme à faire ce qu’elle ne désirait pas faire. Maintenant tu pourrais être surprise des envies qui vont naitre des situations.
- Oui surement mon chéri, tu vois je me livre à toi et je te fais une totale confiance... Et je dis ça a un homme que je ne connais même pas depuis 24 heure avec lequel j’ai trompé mon mari qui maintenant est consentant.
Pince moi je vais me réveiller !!
- Non je ne vais pas te faire du mal !!
- Si quand tu me pince le bout des seins oh que j’aime oh que tu le fais comme j’aimes Je me calme sinon je te saute dessus.
- Petite Nymphomane dis-je
En prévision de ces quelques jours à Palma avec Ariel j’avais fait l’acquisition d’un gadget je trouve amusant pour l’avoir déjà utilisé avec d’autres amies un œuf vibrant télécommandé. Rien de plus amusant dans les lieux publics. Ce petit truc vibre sur un nombre incalculable de combinaisons, en plus celui-ci dit haut de gamme à deux petites pastilles à droite et à gauche qui sont en inox et qui peuvent envoyer des micros décharges électrique dans le vagin de la dame, c’est sans danger bien sur. Je montre cette petite merveille à Annie.
- C’est quoi çà ? me dit elle
_ Un instrument de torture ma chérie.
- Mais c’est tout doux comme matière, c’est un violet moche comme couleur c’est certain. Hééé fait Annie lâchant le truc, c’est vivant !!
- Ne casse pas mon jouet dis –je en le rattrapant au vol.
- Mais ça a vibré je ne sais quoi dit Annie Ah je vois, tu as une télécommande c’est ça?
- Oui la voilà regarde ... Et çà tu le mets où dis-je en lui rendant l’œuf
- J’ai bien une petite idée dit Annie en souriant largement çà doit être amusant. Tu m’excuse une minute je dois aller me repoudrer le nez.
- Oui bien sûr. Je vais te croire ma belle.
Annie se lève et part en direction des toilettes. Je la regarde s’éloigner, remarquant son superbe déhanché, qui balance sa croupe d’une façon si sensuelle. Je n’en reviens pas de l’enchainement des événements. Ariel me pose un lapin mais ce n’est pas la première fois, je sais bien que la gamine à de l’ambition et qu’elle fera toujours passer sa carrière avant tout. Elle a raison, des parties de jambes en l’air elle en aura d’autres avec des plus jeunes que moi surement. Annie me subjugue, elle est belle, pulpeuse et j’ai eu un aperçu de ses attentes qui semble immense. Jean est un homme charmant, mais je ne vois pas en lui un libertin qui pense au cul en permanence, contrairement à moi. Si Annie se révèle un peu nymphomane j’en serais le premier enchanté, mais vat elle aimer l’obsédé que je peux être parfois. Une caresse dans le cou, la revoilà, au passage ses lèvres viennent voler un baiser. Elle se re installe en face de moi.
- Et alors ?
- Alors quoi dis-je en appuyant sur le petit bouton.
- Ohhhhhhhhhh ohhhhhhhh dit Annie en se retenant. Elle a posé les mains sur son bas venrtre.et c’est un peu pliée en deux
- Hummm ça marche on dirait ?
- Oh la vache !! Ça surprend !! Ohh Ohh Ohh
- C’est moins fort comme çà, le premier coup j’avais mis à fond là c’est mieux ?
- Ohh oui mais c’est dingue ce truc, ça va me rendre folle. J’ai tout l’intérieur qui vibre.
- Tu vas vite être mouillée. Fais voir, écarte un peu les cuisses que je puisse voir.
- Ici ? Il y a trop de monde.
- Justement c’est plus excitant tu vas devoir t’habituer et surtout plus de culotte, tu vas m’enlever çà tout de suite.
- La maintenant ? Dit Annie On va me voir !!
- Non si tu fais attention, allez un peu de courage
- Tu me fais faire de ces choses...
- Ce n’est pas toi chérie qui veux vivre des choses qui te font battre le cœur ?
- Oui tu as raison, mais je ne suis pas encore habituée.
Elle arrive à se débarrasser de sa culotte et la roule en boule.
- Donne-la moi, dis-je tendant la main.
- Annie me la donne et je renifle le petit bout de tissus et dit
- Humm çà sent bon ta chatte ma chérie
- Quel pervers Gilles, c’est sans doute pour ça que j’ai craqué pour toi.
- Bon on devait aller faire du shoping non ?
Prenant mon bras Annie est resplendissante, c’est un plaisir d’avoir une si jolie femme avec moi. Réaction puérile ? Oui mais tellement humaine. Alors que nous allons vers le parking je ne peux résister à l’envie de jouer avec la télécommande de l’œuf. Une pression. Elle se crispe sur mon bras.
- Ohh j’avais oublié çà Fait elle en me tapant de sa main libre.
- Pas moi. Tu penses ! Dis-je
- Encore un petit coup ? Dit-elle avec un petit sourire en coin.
- Ouhhhhhh çà pique !! Arrête !!
- Ah oui je ne t’avais pas encore montré, ce petit bouton là envoie une petite décharge électrique pour les petites chiennes pas sages.
- Chiennes ? C’est moi çà ? Pas très valorisant non ? Aiiee
- Tu vois si tu n’es pas sage tu es rappelée à l’ordre.
- Je suis vraiment ta chose alors ? C’est déroutant comme sensation, mais je ne déteste pas. Embrasse moi dit-elle en s’arrêtant.
Je ne me fais pas prier, et dans l’air doux du matin nous oublions le monde pour un baiser sensuel. Je ne résiste pas au plaisir de faire vibre l’œuf alors que nos langues jouent. Elle cesse un instant
- Fais vibrer dit-elle avant de reprendre ma bouche
Je joue un peu avec le bouton, ses mains qui se crispent, son corps qui ondule un peu les vibrations font leur effet.
- C’est machiavélique ton truc, mais qu’est-ce que c’est bon. Vraiment
Je glisse ma main sous sa jupeet caresse son sexe, mon doigt glisse entre ses lèvres et je sens une douce moiteur. Annie tremble légèrement.
- On va nous voir dit-elle dans un souffle car elle semble troublée.
- Tu serais sans doute excitée si on te voyait avec moi là, sinon tu ne serais pas si humide ma petite salope.
Elle me regarde choquée par mon langage, enfin plutôt surprise mais ne dit rien.
- Tu n’aimes pas salope ? Tu te sens humiliée ? Pourtant çà t’excite quand je te dis ça. Non ?
Elle hoche la tête sans un mot.
Allez mènes nous a ta voiture.
- On y est.
- Ah c’est ce joli coupé, ouah c’est le luxe
J’ouvre la porte à ma belle amie. Alors qu’elle monte je tiens la porte elle passe un pied à l’intérieur s’assied sur le siège, sa robe remonte et elle me donne un joli spectacle, une vue imprenable sur son sexe, ce petit triangle de poils ses grandes lèvres rebondies et les petites lèvres longues et granuleuses qui paraissent un peu grasses et luisantes. Les vibrations, peut-être ?
- Ne bouge plus ma chérie, petit souvenir.
Je prends le cliché avec mon smartphone, cette jolie femme, qui m’offre son sexe en montant en voiture. Beau souvenir de vacances.
- Tu fais quoi ?
- Tiens regarde dis-je en lui montrant la photo.
- Ohhh Gilles tu es obsédé mon dieu !! La honte !!
Nous voici partis pour cette petite balade dans Palma, j’ai pu louer une voiture potable à l’aéroport un cabriolet BMW S4.
Annie a posé sa main sur ma cuisse et elle ne cesse de me regarder en souriant. L’état des routes est perfectible à Palma. Chaque chaos fait sauter les seins d’Annie, je vois çà du coin de l’œil car je regarde devant moi quand je conduis. Il y a pas mal de circulation sur le front de mer, il est 10h du matin pourtant on roule presque au pas.
Je lance les vibrations de l’œuf a une cadence soutenue mais sans une énorme intensité.
- OOhhh tu fais quoi avec ton jouet ? Dit Annie
- C’est toi mon jouet ma chérie, dis-je en caressant son décolleté.
- Incorrigible cochon !! Mais ça me plait. Dit-elle en me jetant un regard étincelant. Tu sais ces vibrations c’est agréable.
- Ahh tu reconnais, alors tu vas te caler contre ton dossier passer ta main entre tes cuisses et tu vas te caresser, mais sans jouir. Tu ne jouiras que si je te le dis. Et toi tu demanderas gentiment. D'accord.
- Tu es fou on roule au pas, il y a plein de monde on va me voir. !!
- Hmm tu veux faire battre ton cœur ? Sombrer dans la luxure ? Je suis ton mentor fais-moi confiance. Même si on te voit ça fait quoi ? Rien. Courage ma chérie, je ne mets pas la radio pour entendre tes gémissements, mais ne jouis pas Annie juste quand tu seras autorisée.
- Je suis folle de t’obéir comme çà, mais tu m’en donne envie. Quand tu me regardes je me sens si désirable. Tu me rends folle.
- Et tu raconteras tout à Jean il va adorer j’en suis sûr.
- Gilles tu n’y pense pas !!
F- ais-moi confiance ma chérie, caresse-toi allez !!
Annie glisse la main entre ses cuisses dès qu’elle s'est adossée sur le confortable siège de cuir beige. On roule tellement doucement, que je peux l’observer à loisir. Plusieurs personnes sont passées près de la voiture, en surplomb sur le trottoir ils ont une vue sur l'intérieur de la voiture. Ils captent une image fugitive de cette femme qui se caresse sur le siège de ce coupé de luxe. Mais Annie a les yeux clos.
- Chérie, ne ferme pas les yeux, ouvre-les et souris aux gens qui peuvent te voir. Tu te caresse devant des dizaines d’hommes et de femmes. Ils vont se dire, “quelle salope faire çà devant tout le monde”. Mais tu t’en moques ouvre les yeux regarde montre leur quelle superbe salope tu es. Ma salope a moi que j’exhibe au monde car j’en suis fier.
Je passe ma main droite dans ses cheveux et caresse sa nuque. Elle tourne ses yeux grands ouverts vers moi
- C’est bon Gilles, c’est bon d’être ta salope
- N’oublie pas on ne jouit pas sans ma permission. Tu es humide je pense. Fais voir.
- Tiens regarde dit elle en me montrant ses doigts trempés.
- Fais-moi gouter dis-je
Elle approche ses doigts de mes lèvres et je les suce, retrouvant le gout de son sexe que j’ai tant aimé dans la chambre. Sa main gauche passe sur ma cuisse puis enre mes jambes ou elle trouve ma queue gonflée.
- Tu bandes Gilles chéri !!
- Bien sûr avec une si jolie salope qui se branle près de moi que faire d’autre
- Me baiser, j’en ai envie...
- Mais seulement après que tu auras jouis ma belle et quand j’aurais décidé. Tu auras ma grosse queue partout mais après quand je le voudrais
Je dois dire que j’ai une folle envie de trouver un endroit tranquille et la prendre comme un fou sans attendre. Mais je sais attendre et faire monter mon désir. Annie va apprendre à faire de même. Et ç s’offrir pour le moment aux regards. Mais elle a une telle envie au fond d’elle que dans pas longtemps elle implorera ses voyeurs de la prendre. J’ai vécu çà avec toutes les femmes que j’ai mise dans ces conditions. Les femmes ont une libido aussi forte que celle des hommes, mais la mère, la femme, l'image de celle qui enfante, brouille les pulsions et elles les font taire une femme honnête de fais pas ça, ne pense pas çà. Elles construisent leur prison, elle se castrent. Les hommes ne font de même. Du moins pas tous si on est un peu révolté, rebelle et surtout avec une certaine culture et un peu d’intelligence.
- Oh je ferais ce que tu veux mon chéri. Ils me regardent !!
- Oui on dirait qu’ils ont vu cette balle femme qui se caresse dans la voiture. Remonte ta robe, montre que tu te branle vraiment.
- Docilement Annie trousse se robe qui devient un chemisier
Dévoilant son porte- jarretelles, sont mont de venus et cet adorable triangle de poils courts qui surmontent sa fente rebondie. Dieu qu’elle est belle, exposer celle qui m’accompagne est un plaisir sorte de fierté malsaine peut être de dire au monde, cette superbe femme, est la mienne mais je vous laisse voir ce que vous manquez. Une fierté mal placée peut être mais jouissive. Et elle se complait à obéir à son mâle dominant. Encore une preuve que l‘humain n’est qu’un animal pensant. Tellement de gens veulent oublier qu’ils sont des animaux. La civilisation c’est en partie juste une poignée de pensées et de concepts qui interdit les instincts naturels et nie la véritable nature animale de l’homme.
Sur le trottoir deux gars matent allégrement Annie qui se caresse. L’un d’eux me fais signe pouce en l’air. Nous sommes bloqués dans la circulation. Je fais signe au gars d’approcher de la voiture.
- Non tu fais quoi là ? Dit Annie inquiète qui arrête de se caresser
- Tu n’as pas envie qu’ils te voient mieux ? Et on n’arrête pas, remonte ta robe continue et écarte mieux les cuisses salope ! Annie obtempère.
Ils descendent du trottoir et approchent de la portière, ils parlent espagnol, pas grave je le parle aussi.
- Hé Senior Elle est très chaude votre femme, besoin d’aide ?
- Non mais elle aime bien qu’on la regarde, souries lui
- Jolie petite chatte et très mouillée
Son pote tend la main vers le décolleté d’Annie qui recule
- Hep non regarde ok tu ne touches pas dis-je sur un ton peu sympathique.
- Non non mon ami est jeune excusez le puis se tournant vers son pote arrêtes de faire le con !
Malgré çà Annie continue à se caresser, je sens qu’elle n’a plus envie d’arrêter à cet instant. Sa tête bascule souvent en arrière. Elle vient de parler mais doucement je n’ai pas compris
- Tu disais chérie ?
- Je peux jouir maintenant ?
- Tu en a si envie ?
- Je ne tiens plus je t’en prie dit oui.
Regardez les gars ça va être le bouquet final
-Vas y ma chérie tu peux jouir fort crie si tu veux.
Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii oj he jouisssssssssssssss
Je pousse a fond les vibrations de l’oeuf
- N’arrête pas branle toi fort. Dis je glissant ma main sans son décolleté ou je trouve un téton tendu que je froisse très fort.
- AHhhhhhhhhhhhhh oui Gilles oui c’est bon :
- Laisse-toi aller, inonde la voiture si tu veux ne te retiens pas.
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii oh c’est bon !!!!!!!
Elle vient de gicler sur le tapis de sol et le tableau de bord, elle est secouée de spasmes violents, un bel orgasme ma petite soumise
- Oh la la senior !! C’est toujours comme ça ?
- Oh cela peut être encore mieux. Dis-moi camarade, des endroits pour se montrer ici à Palma ?
- Si les jardins autour de la cathédrale mais attention la Guardia
Annie souffle un peu et reviens un peu sur terre.
- Ohh chéri, c’était bon !! Et si fort..
- Attention la Guardia dit notre “ami” en se plaçant le long de la voiture avec son pote pour laisser le temps à Annie de redescendre sa robe
Les policiers passent nonchalamment sans se préoccuper de nous et s’éloignent. La circulation est toujours bloquée.
- Ouf dit Annie j’ai eu peur le cœur qui bat !! Sans ses hommes on nous attrapait. Dis leur que je vais leur faire un bisou pour les remercier.
Sur la bouche alors sinon c’est mesquin... Dis-je pour voir sa réaction.
- Tu crois ?
- Tu veux des sensations, des aventures ? Et puis tu dois m’obéir non ?
- Oui je vais les embrasser ils ont l’air gentil, ils se sont bien rincés l’œil et le jeune il bande regarde son pantalon.
- Oh oh oui ma chérie tu fais bander tous les mecs. Je leur dit que tu vas les remercier.
Je dis aux deux gars que ma femme veut les remercier en les embrassant. Ils ont le sourire l’ancien se baisse et tends sa joue, Annie lui fait tourner la tête et lui fait un baiser profond qui dure un petit peu. Le gars est aux anges totalement surpris. Le jeune est surpris mais il est enchanté vu la bosse de son pantalon. Il se baisse a son tour et il a droit à un baiser un peu plus long. Quand il cesse il prend la main d’Annie et lui fait un baiser sur la main. les yeux brillants de fierté. La circulation commence à reprendre un salut aux amigos, Annie fait un signe de la main et lance des bisous aériens, puis se tournant vers moi.
- Je viens de faire quoi là ? Je n’en reviens pas, tu m’as jeté un sort ?
- Non tu commences à devenir la nouvelle Annie. J’adorais l’ancienne, mais la nouvelle me fait bander tu ne peux pas savoir !! Ma chérie.
- Je le sens bien dit-elle en caressant ma queue. Oh chéri tu me fais faire des folies, mais tu sais J’ADORRE !!
- Tu te sens plus libre je pense.
- Oui j’ai l’impression que tout est possible. Et leurs yeux qui me dévoraient ça m’a plu tu sais. Toi çà ne te gêne pas ?
- Pourquoi quand je te vois jouir comme çà je suis heureux pour toi et tu es tellement belle quand tu t’offres comme çà. Ce soir une balade dans les jardins de la cathédrale ça te plairait ? Il y a plein de voyeurs. Si j’allais montrer mon adorable soumise à tous ces mecs
- Tu m’excite tu sais. Eh oui je suis soumise à tes caprices
- Va-t-on te chercher un maillot ma jolie ?
- Oui je veux un nouveau maillot le mien est moche.
- Alors tu me fais confiance je choisis ?
- Oh je sens le piège, mais j’accepte
On arrive enfin au centre-ville. Beaucoup de monde déjà, des touristes en majorité, moins dense que dans la haute saison mais y a-t-il une basse saison aux Baléares ? Je me gare dans le parking couvert en centre-ville. Je descends de voiture et passe de l’autre côté pour ouvrir la porte à ma belle. Plus prosaïquement faire une petite vidéo de sa descente de voiture et avoir le loisir de contempler sa chatte et ses cuisses
Annie a bien compris mes intentions. Elle se tourne légèrement vers moi et attrapant les pointes de ses petites lèvres les écarte largement me dévoilant le rose luisant et trempée de l’entrée de son sexe.
- Tu aimes chéri ? Je suis trempée, j’aimerais ta queue la maintenant.
- Patiente un peu ma petite salope, tu l’auras.
- Tu dois attendre çà aussi, on voit bien que tu bande mon chéri.
- Je sais je n’ai pas arrêté de bander depuis qu’on est parti
- Tu n’a pas mal ?
- Un peu avec le cockring disant cela j’ouvre mon pantalon
Mon sexe libéré saute, presque au visage d’Annie et je lui montre l’anneau d’acier qui enserre mes couilles et ma queue. Mon sexe est décalotté, parcouru de grosses veines prêtes à exploser.
- Oh tu es vraiment gonflé chéri, Regardant autour d’elle Viens chéri je vais te sucer.
- Ohh tu oses ? Dis-je
- Oui , j’en ai envie quand je te vois comme çà Gilles, mon chéri, mon maître
- Hmm si tu me prends par les sentiments, Maître oui mais toujours protecteur ma belle. Hmmmm Hoo
Annie, viens de prendre mon gland entre ses lèvres, ses yeux étincelants de plaisir parlent plus que tous les discours. Son visage reflète désir et satisfaction. On ne voit pas cette expression tous les jours sur le visage d’une femme.
Sa langue cajole mn gland, la pointe pénètre le méat, facilement car il est assez dilaté. Sa main gauche caresse mes couilles, les presses, les malaxe assez brutalement et j’aimes çà.
Sa bouche est un enfer brulant et humide, elle prend toute la longueur de ma tige, par instant je sens le fond de sa gorge. Alors qu’elle m’a totalement avalé, je bloque sa tête et me délecte des spasmes de sa gorge, ke la laisse libre elle dégage ma queue pour laisser couler un flot de salive sur le sol. Et elle me reprend et continue à me pomper. Je caresse sa joue avec douceur qu’elle n’oublie pas que je suis aussi doux avec elle. J’ai remarqué qu’elle réagissait bien aux mots, crus elle aime çà et elle en jouit, elle commence a libérer son langage elle aussi Mes mains glissent dans son décolleté passe sous son soutien-gorge je débusque les gros tétons déjà bien tendus. Entre le pouce et l’index je roule les jumeaux, je les pince fortement je regrette de ne pas avoir une paire de pince à lui faire porter sous ses vêtements. Sur ses tétons et a ses lèvres de chatte pendantes et épaisses. Elle laisse ma queue s’échapper de sa bouche.
- Oh oui Gilles mes tétons, serre les forts, fais-moi mal
- Tu deviens maso ma petite chienne. Je vais te faire crier ma chérie
- Oui dit elle s’une voix rauque due à l’excitation.
- Je t’aime ma salope!!
- Agggggggggggggggggeeeeeeeehhhhhh oh oui !! Encore ahhhhhhhhhhhhhrrrrr cries t'elle
Elle se précipite sur ma queue et me pompe de plus belle, tandis que je continu à travailler ses tétons. Ils sont gros tendus, le malaxage les rend souples et ultra sensibles. Je sens qu’elle se contraste et crie silencieusement a cause de ma queue dans sa bouche. Là-bas j’aperçois la silhouette de deux Guardia Civil J’espère qu’ils ne vont pas remonter vers nous on est au fond du parking, dans l’ombre. Au début je ne comptais pas la laisser aller au bout, mais maintenant je suis pris à mon piège, j’ai envie de me soulager dans sa bouche de la voir avaler mon jus. A force de tirer que ses tétons ses seins sont passés par-dessus son décolleté. Elle est si belle dans ses moments, elle est libre se donne a fond, une magnifique femme qui vit sa sexualité sans frein sans tabous. Actuellement elle espère avidement recevoir mon sperme en offrande, cette nuit quand j’ai partagé le sperme que j’avais sur les lèvres avec elle. J’ai senti son appétit pour ce nectar de l’amour. Tout comme moi j’aime le recevoir d’un mec, oui aller le laper dans une chatte pleine, que ce soit le mien ou celui d’un autre mec. Annie est magnifique les seins à l’air ses gros seins magnifiques, ses lèvres et son menton trempés de salive. Ses joues se creusent quand elle m’aspire. Elle me lâche un instant et serrant ma queue elle place son pouce sous mon urètre et remonte jusqu’au gland elle fait naitre une énorme goutte transparente qu’elle lèche comme une friandise .
- Oh chéri, tu mouilles comme une femme, tu vas me donner ton jus j’en veux !!
- Oui ma petite chienne finis moi j’en peut plus dis je
Elle a une lueur de victoire dans les yeux, c’est moi qui demande. Elle me sourit et me pompe maintenant avec force, rage presque. Sa main écrase mes couilles je donne de petits coups de reins. ! Elle me décalotte encore plus, tellement que ma queue plie légèrement vers le bas, c’est douloureux mais je sens que çà fait monter mon plaisir. Elle me suce comme rarement je l’ai été. Mes jambes commencent à trembler. Elle sent que je vais partir. Ses yeux sont rivés sur mon visage, ça monte, le long de mon urêtre et a la première giclée elle plonge prenant mon gland dans sa gorge. Mes mains appuient son visage contre mon pubis et je me laisse aller.
- Oh putainnnnnnnnnnn oui !!! Bouffe-moi prends tout salope !! Bouffe ma queue oh chérie c’est bon.
Elle avale, elle reste plaquée contre mon bas ventre je suis secoué par les spasmes du plaisir. J’ai la sensation de me vider sans fin dans cette bouche brulante. Je sens les mouvements de déglutition sur mon gland. Dernier frisson, je descends mon visage contre le sien ses bras prennent mon cou elle entrouvre la bouche, le sperme coule légèrement au coin de ses lèvres. Je plaque ma bouche sur ses lèvres et nous partageons le foutre qu’elle a gardé pour moi notre baiser dure tant qu’il reste une goutte de sperme sur sa langue.
- Annie caresse mes joues met un bisou sur le bout de mon nez
- Oh Gilles chéri, tu as vraiment joui fort, j’ai failli m’étouffer. J’adore ton sperme il est doux, onctueux. J’étais tout près de jouir quand tu es parti.
Elle prend ma main et la guide entre ses cuisses mes doigts inspectent sa chatte, elle ruisselle
Je vais devoir éponger un peu avant d’essayer des maillots. Sinon ils vont être tout mouillé sans aller dans l’eau.
- Chérie, je deviens dingue avec toi, je suis dingue de toi ma belle petite chienne. Remet un peu d’ordre des flics viennent par ici
- Remballe ta queue mon chéri, çà fait désordre, et tu bandes toujours presque autant qu’avant.
Quand les deux Guardia Civil arrivent à notre hauteur nous quittons la voiture. Ils saluent d’un sourire en passant près de nous.
- Annie me regarde et dit s'ils savaient on serait au poste ?
- Non ils ne sont pas si méchants que çà pour ces choses ils ont plus de soucis avec les fausses “prostituées” noires qui piquent tout aux touristes naïfs
- Allons trouver un joli maillot pour ta chérie soumise. Tu veux quoi ?
- Le minimum, je veux que tu fasses bander tous les hommes quand ils te verront.
- Je ne suis pas si exceptionnelle que çà tu sais regarde moi sans ton filtre d’amoureux, ça me gêne de dire çà.
- Quoi te gêne ? Dis-je
- Amoureux, ne dit pas çà j’ai passé l’âge et je ne vais pas vivre avec toi.
- Cela m’empêche d’être amoureux ?
- Tu n’es pas raisonnable, on se connait depuis hier seulement.
- Et regarde ce que tu a fait avec moi..
- Je dois être folle.
Elle dit çà prenant ma main et posant sa tête contre mon bras. Il y avait une boutique installée dans un hôtel de luxe. Passant la porte avec Annie je vis plusieurs vendeuses charmantes que j’aurais obligé à porter des bikinis de leur catalogue vue la plastique des filles.
- J’ai de la concurrence on dirait mon chéri, tu préfères laquelle ?
- Toi bien sûr, sinon tu me connais un peu , toutes
- Madame, Monsieur vous désirez nous demandais cette petite brune aux yeux sombres. Elle parlait anglais.
- Un bikini deux pièces répondit Annie. Je peux essayer ici ?
- Aucun soucis Madame je vais vous emmener à un salon privé, vous désirez un rafraichissement, un café ?
- Un café pour moi dit Annie.
Elle nous fit entrer dans un salon assez grand pour sa fonction, un canapé, une table basse, une cabine pour se changer, une grande fenêtre amenait la lumière mais opacifiée bien sûr.
- Quels modèles voulez-vous voir ?
- Minimaliste, un micro-bikini serait idéal.
La petite vendeuse brune jette un regard interrogateur à Annie.
- C’est monsieur qui décide mademoiselle faites comme il le dit.
- Bien messieurs dame, je vous signale que les salons sont surveillés par vidéo Avec une mine gênée on a eu des clients qui se sont permis des choses...
- Et vous pensez que nous pourrions faire cela ?
- Non non je vous préviens, on nous a demandé de le faire.
- Merci mademoiselle dit Annie on sera sage hélas
- Je vous apporte les modèles micro donc, avec votre silhouette madame et surtout votre poitrine, il se peut que ces maillots montrent beaucoup trop de choses dit la vendeuse
-Ah c’est magnifique dans ce cas, apportez nous çà vite merci
La petite vendeuse s’éclipse. Elle est charmante un peu timide, mais la mésaventure des clients la fait plutôt rire quand elle nous a parlé de çà. Annie est détendue, elle ne cesse de me regarder de me prendre la main, elle aime être avec moi, elle adore que je fasse d’elle un jouet de plaisir et elle semble vouloir aller loin, la montrer a des mecs ok, un baiser ok mais je ne pense pas la livrer la faire prendre par des inconnus. On fera çà à Paris où je pourrais maitriser qui. Je sais qu’avec d’autres j’ai laissé des inconnus profiter de mes compagnes, Viviane par exemple dans cette boite à Berlin a dû avoir une cinquantaine de partenaires dans la soirée alors que je sympathisais avec la femme proprio des lieux, à tel point qu’on s'est fait une partie privée dans cette boite durant laquelle sa femme soumise Gherdy et Vivianne ont été poussées a leurs limites. Annie ne peut certainement pas faire çà. Et je veux qu’elle puisse se réaliser satisfaire ses envies mais en restant raisonnables. J’ai vraiment un coup de cœur pour elle, je ne sais pas comment elle va le prendre si je déclare ouvertement les choses sur le mode sérieux. Je crains de l’affoler, elle aime son mari. Je ne veux surtout pas déranger leur vie habituelle, mais je veux donner à Annie ce qu’elle souhaite.
La vendeuse reviens avec plusieurs articles qu’elle présente, tous sont vraiment micro, des petits bouts de tissus en triangle avec des “ficelles” dans les coins.
- Ah oui ils sont petits en effet dit Annie en me regardant avec le sourire.
- Oui Madame dit la vendeuse c’est ce que Monsieur a demandé, ce ne sont pas des modèles qu’on vend souvent. Je peux vous amener des choses plus couvrantes.
- Non non je vais essayer ceux –ci pour voir si cela est compatible avec ma morphologie.
- Oui dis-je il faut que les petits bouts de tissu soient positionnés au bon endroit.
- En effet dit La vendeuse, ce n’est pas facile à porter. Je vous laisse essayer appuyez sur ce bouton quand vous aurez besoin de moi.
- Merci dit Annie.
La gamine sortie, Annie me regarde et dit
- Gilles tu a vu la taille de ces maillots, je serais nue avec des petits bouts de ficelle accrochés ici et là.
- C’est bien le but. Tu seras nue sur la plage mais décente. Regarde un petit bout de tissu sur le clito et deux sur les tétons et encore ils ne vont pas être cachés totalement, et même le clito c’est limite.
- Tu penses que je peux porter çà ? J’ai quelques rondeurs je ne suis pas sûre que c’est raisonnable.
- Ah non qui te demande d’être raisonnable ? Le but c’est bien de faire bander tous les mâles autour de toi ? Alors enfin le çà que je puisse juger.
- Viens avec moi dans la cabine.
Annie enlève sa petite robe fleurie, elle tombe à ses pieds je la ramasse et la pose sur une sorte de banquettes. Elle dégrafe son soutien-gorge et libère ses gros seins. Ils ne tombent pas comme on pourrait le croire, certes ils descendent un peu mais compte tenu de leur taille sa poitrine est ferme. Mon dieu ces tétons ! Les aréoles sombres son immenses et j’adore, les tétons sont dressés et durs longs et gros les travailler la font tant gémir. Je dois me retenir pour ne pas lui sauter dessus et la prendre tout de suite. Je bande à en avoir mal à la queue et mes couilles sont sensibles et douloureuses. Heureusement qu’Annie m’a sucé dans le parking.
-Tu bandes toujours mon chéri, c’est de me voir nue ?
- Hmmm bien sûr et je pense à ce que je pourrais faire Montrant la télécommande de l’œuf et en appuyant ostensiblement sur le bouton.
- Hoooo c’est fort !! Dit-elle en se pliant légèrement et en posant les mains sur son pubis. Les caméras chéries !!
- Ils ont l'image mais pas le son à mon avis. Allez essaie ce maillot
Quelle belle femme, des rondeurs, des courbes agréables au toucher et à l’œil. Annie est une femme mûre et il est vrai que j’ai souvent eu des jeunettes comme compagnes. Je me rends compte que j’ai fait fausse route. Elle est la sensualité incarnée, ses seins magnifiques et opulents, ses hanches rondes ce triangle de poils courts trés net, les lèvres rebondies de son sexe et les petites lèvres épaisse pendantes qui s’échappent. Ses cuisses sont pleines, ses jambes aux mollets galbés.
- Mon chéri tu rêve?
- Non je t’admire ma belle.
- Alors ce maillot tu en dis quoi.
Le petit bout de tissu a bien de la peine à cacher les atouts de ma chérie. Les triangles su haut n’arrivent pas à masquer les larges aréoles de ses seins. Et naturellement il ne soutient en rien ses seins laissés seuls à combattre la gravité. Mais ils sont suffisamment fermes pour se tenir. Le bas du maillot dont les cordons se nouent sur les hanches comporte un triangle qui ne masque que la pointe inférieure de sa toison et il disparait entre ses grandes lèvres au tiers de leur hauteur. Il ne cache guère que le clitoris. Ce maillot ne cache rien mais il existe.
- Il sert à quoi ? Le maillot dit Annie se regardant dans le miroir.
- Il met en valeur tout ce que tu montres et laisse un tout petit mystère planer. Tu va oser ?
- Je vais essayer les autres quand même.
- Aucun problème j’aimes te regarder. Dis-je en l’embrassant dans le cou. Laisse-moi t’aider.
Je tire sur le nœud du haut et me retrouve avec deux petits triangles et quelques ficelles dans les mains. Annie dépose l’autre petit triangle et d’autres ficelles jaune citron presque fluo. Je mets doucement en route l’œuf sur un mode moyen et cadencé.
- Humm c’est bien comme çà j’aime bien Anh fait elle se pliant en avant oh çà c’est l’autre bouton.
- Un petit rappel
- Tortionnaire ! Adorable tortionnaire dit-elle en souriant et se mordant la lèvre inférieure car j’avais accéléré la cadence.
Finalement après essais elle accepte le premier qui est mon préféré et son choix est en fait le mien. Annie appuie sur le bouton dans la minute notre vendeuse revient.
- Vous avez fait votre choix madame ?
- Oui celui que Monsieur préfère
- Choix osé, mais vous pouvez le porter avec votre silhouette
- Vous croyez que l’on va me remarquer ?
- Sans aucun doute Madame, je vous ai aperçue sur la vidéo, çà vous va très bien.
Nous passons par la caisse, Annie ajoute un joli chapeau de paille de grande taille. Je règle le tout le tissu a du beaucoup augmenter vu le prix de trois confettis et quelques ficelles jaunes. Le tissu est au prix du caviar sans doute. J’ai droit à un petit bisous dans la boutique devant les vendeuses et un baiser plus sérieux dehors pour me remercier. Annie cherche mon oreille et m souffle
- Tu peux augmenter les vibrations j’aime bien là.
- Oh mais tes demandes sont des ordres ma chérie.
- Ce n’est pas moi qui suis soumise ?
Je la prends par la taille et nous flânons un peu dans le centre-ville. Il y avait bien longtemps que je n’avais pas fait çà avec une compagne. Et Annie ressent la même chose. Elle me parle à l’oreille.
- Mon chéri, ton idée d’œuf est géniale. Avec Jean il y a longtemps j’avais essayé les boules de geisha mais là depuis la boutique tu le fais marcher et je me sens toute trempée.
- Si tu dois jouir dis le moi. Je te ferais jouir dans la foule. Tu veux. ?
- Pervers, mais je t’adore et toi tu m’a dit je t’aime tu te rends compte ?
- Oui je le sais, ne va pas penser que je veux te détourner de ton mari, je veux juste être ton amant pervers qui te donne des frissons. Jean est charmant, je pense que je deviendrais ami avec lui et j’aimerais qu’il accepte mon invitation. Il a dit oui mais ce ne sera vrai que quand il aura joué avec nous.
- Joué ? Tu dis çà comme çà c’est mignon des jeux de grands enfants, de vieux enfants même maintenant.
- Ne dis pas ça nous ne sommes pas vieux, nous avons atteint l’âge de raison. Crois-tu qu’une vieille mettrais un micro-bikini comme celui que tu as dans ton sac.
- D’ailleurs je vais te devoir de l’argent, j’ai vu combien tu a payé ces bouts de tissus
- Surtout pas chérie, petit cadeau en hommage a ta beauté et ta plastique.
- Arrêtes Gilles je ne suis pas un top model !! Je suis encore consommable pas plus Aieeeee!!! Ça fait mal !!
- Soumise tu auras des impulsions électriques quand tu te dénigreras .
- Ca fait mal ces impulsions vraiment mais tu sais je suis moche quand même fit elle avec un air de défi. Arhhhhhhhhhhhhh stop!!
- Tu avais envie d’en reprendre une c’est çà?
- Avec un petit sourire coquin elle me fit oui de la tête. Autour de nous des gens c’étaient retournés se demandant ce qui se passait. Une dame âgée lui dit
- Vous avez besoin d’aide madame ?
- Non non dit Annie mon dos me fait souffrir et çà lance par moment.
- Ma pauvre si jeune et déjà comme moi, courage ma petite, mais votre charmant mari est là. Et elle s’éloigna.
- Tu vois je suis fait pour toi Allez viens a cette heure ci un restaurant serait bienvenu. Suis-moi je t’emménes dans le meilleur restaurant de Palma Marc Fosh, en plus je le connais un peu on a sympathisé il y a quelques temps.
- Oui j’en ai entendu parler, mais c’est hors de prix !!
- Pour toi non, tu es mon invitée.
- Je ne pensais pas avoir cherché un mécène ou un souteneur dit Annie
- Toi tu veux une décharge !!
- Hmm pas électrique je préfèrerais un autre genre.
Arrivés au restaurant, installation Le boss vient nous saluer , on bavarde quelques minutes .
- Enfin toujours bien accompagné par de charmantes femmes.
- Je ne changerais plus Chef, je suis trop vieux.
- Ne changes pas reste comme çà
Il est charmant cet homme, tu connais tout le monde ? Fit Annie
- Non mais je suis assez facile d’accès. J’aime les gens vrais, comment va ton petit oeuf au chaud ?
- Il vibre bien et il me donne très chaud par moment. Je suis en train de mouiller le fauteuil là. Dit-elle serrant les lèvres
Le restaurant est calme, dans le silence je perçois très étouffé le buzzz de gadget. Annie pose sa main sur la mienne au travers de la table. Ses doigts se crispent sur les miens. Ses yeux sont brillants et implorants.
- Gilles chéri, je suis presque a bout, j’ai des frissons, fait quelque chose je t’en prie. Je ne vais pas tarder à jouir.
- Oh non non pas avant d’avoir l’autorisation. Retiens-toi, un peu de tenue ma chienne.
- Ohhh ce n’est pas comme ça que tu vas me calmer mon pervers chéri.
Tout le long du repas, qui prend son temps pour arriver. Annie serre les dents, me fais des suppliques, Ses joues sont rouges, sa gorge et son décolleté sont aussi rougis, belle preuve de son excitation. Pour ceux qui ne le saurait pas, quand une femme à une rougeur sur la poitrine au niveau de la gorge c’est qu’elle est très excitée. Ma belle conquête est vraiment au bord de l’explosion.
- S’il te plait, dit moi de jouir, je t’en prie.
-Tu vois juste derrière toi l’escalier qui descend au sous-sol mène aux toilettes. Je vais descendre et tu compte jusqu'à 20 et tu descends reste bien à droite de l’escalier
Je descends et au bas de l’escalier a droite se trouve la porte des urinoirs. J’entre en poussant la porte avec mon dos J’entends les talons qui descendent les marches, c’est elle, son parfum la précède Dior j’adore. Elle va passer j’attrape son bras la tire vers moi la porte que je retenais se ferme. Face a nous les lavabos, et les grands Miroirs Je plaque Annie contre moi. J’attrape l’ourlet avant de sa robe je la trousse jusqu’a la ceinture.
- Tu m’a fais peur !!
- Tais-toi, regarde-toi... Troussée, la chatte a l’air dans mes bras, écarte tes pieds dis-je poussant a fond la télécommande de l’œuf.
- Ohhhh chéri c’est fort dit-elle en avançant sa main gauche vers son sexe pour se caresser.
- Non ma salope, tu ne te touches pas dis-je en passant son bras derrière, elle. Maintenant avec tes mains cherche ma queue attrape là
- Oh je la sens tu bandes Gilles, Oh c’est bon.
- Tu as envies de jouir petite chienne
Je plonge mes mains dans son décolleté, je fais jaillir ses gros seins par-dessus le décolleté. Serrés, redressés coincés par le tissu ses magnifiques mamelles, deux globes laiteux ornés deces larges aréoles brunes, et ses tétons granuleux je ne les avaient pas encore vus si gros, si longs. Le dominateur sévère qui sommeille en moi, refait surface, alors qu’Annie a trouvé le moyen de sortir ma queue, elle me branle doucement avec ses deux mains dans son dos je suis si excité que je coule lentement sur ses doigts. Je prends ses tétons entre mes doigts, les fait rouler et les presse fort déjà.
- Oh oui chéri tords mes tétons, fort, n’ai pas peur j’aimes Gilles.
- Je vais te faire mal si tu le veux, veux-tu que je te fasse crier Annie ma soumise.
- Oh oui fais-moi mal fais le tu m’excite fais-moi crier.
- Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh oh oui encore Oui vas y chéri!!!
Dans les miroirs je nous vois, Annie dépoitraillée, les seins gonflés, qui rougissent car ils sont serrés, les tétons dressés tordus entre mes doigts. Echevelée, sa tête dodeline de gauche à droite
- Ne te retiens plus mon amour, jouis donne toi .. Cries. Tu es à moi, mon jouet, tu es ma chienne. Jouis Salope !!
- Ohhhhhh Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Ouii Chéri!! Oh je jouisssssssssssssssssssssssss!!
Annie lance son pubis en avant, je ne cesse de triturer ses seins. Elle tremble de tout son être et moi aussi car ses mains ne cessent pas de branler ma queue gonflée, luisante de toute la liqueur que j’a lâché sur ses doigts. Les orgasmes semblent se succéder en rafales et dans un cri , un grondement elle squirte deux longs jets puissants qui éclabousse le carrelage du sol, créant une flaque de son plaisir. Elle avance jusqu’au lavabos s’appuie sur le rebord et cuisses largement écartées debout les bras appuyés, elle dit d’une voix rauque.
- Gilles prends moi, baise-moi chéri je te veux en moi viens gicler dans ma chatte.
- Salope ; tiens prends çà !!!
Ma queue vient de pénétrer l’enfer, brulant, mouvant, agité de spasmes. Je l’ai pénétrée d’un coup je sens l’œuf qui vibre comme un fou. Mon gland est à peine dessus que moi aussi je suis fauché par l’orgasme je décharge de longues giclées de sperme chaud dans son sexe inondé.
- Oh oui je te sens chéri, oh tu n’arrêtes pas de cracher c’est bon !!
- Oh Annie, Annie mas salope dis-moi que tu aimes ma queue
- Oui chéri je suis ta chienne, ta salope, ta pute .Fais de moi ce que tu veux.
Elle se retourne, une fois que j’ai finis de jouir en elle, mon sperme coule le long de ses cuisses. Elle m’embrasse fougueusement un long moment. Quand le baiser cesse, elle passe sa main entre ses cuisses et ramène des doigts couverts de sperme qu’elle étale sur ses lèvres avant de m’embrasser à nouveau
Le brave homme tient difficilement sur ses jambes, accroché au chambranle de la porte Il répète d’une voix faible.
- Qu'est ce qui se passe ici ! Annie pourquoi tu n’es pas habillée
Annie se précipite vers son mari, nue laissant vêtements, pudeur et dignité derrière elle.
- Et vous vous êtes qui ? dit-il en s’adressant à moi. A poil aussi Oh j’ai compris dit il baissant la tête.
Annie est auprès de lui, il a du mal à rester debout. Au diable la situation. Je me presse auprès du mari et de sa femme. J’aide Annie à assoir Jean sur un grand fauteuil. Annie a le visage plein de larmes, et il exprime une telle souffrance que je me sens coupable de tout.
Annie c’est agenouillé près du fauteuil tenant la main de son mari qui commence à mettre ses idées au clair.
- Ce qui devait arriver est arrivé, c’est bien compréhensible...Heu mon cher dit il s’adressant à moi. Vous pouvez au moins enfiler un pantalon. Votre sexe dressé fait de la peine au miens qui dors paisiblement. Merci
Il fait mouche et il est peut-être faible et âgé mais les neurones ne se touchent pas tant que çà. Ce n’est pas un compliment pour moi mais j’aime la tournure de son esprit, Annie ne pouvaient pas avoir passé sa vie avec un homme insipide.
Je passe mon pantalon et ma chemise. Je reviens auprès d’eux, il n’y a pas eu un mot. Annie pleure toujours catastrophée.
- Calmez donc Annie mon cher, il semble que vous êtes un réconfort pour elle, ne là lâchez pas maintenant Aidez là à s’habiller comme vous l’avez surement aidé à tout ôter.
- Annie, viens ton mari à raison, habilles toi
Elle me regarde comme hébétée, elle me suit docilement jusqu’au canapé, elle passe sa robe sans rien dessous, elle reprend un peu de digité.
- Restez donc assis tous les deux, nous avons une sorte de différent, un problème domestique dit-il.
- Rien qui ne puisse trouver une solution honorable dis je
- Ah vous allez donc disparaitre dans la nuit, vous évanouir ? J’en doutes et je vous en voudrais de faire çà ce serait peu glorieux.
- Et vous vous doutez que je ne le ferais pas.
- En effet et vu comme elle vous regarde Annie, ne voudrais pas non plus. Vous savez il y a un moment que je suis conscient que notre différence d’âge finirait par être un problème, je n’ai pas eu le courage de prendre les devants. Et j’ai laissé Annie devant ce dilemme. Elle est jeune encore, et pleine de vie, pleine de désirs que je ne puis assouvir ou si partiellement. Il semble qu’elle ait trouvé ce qui lui manquait.
- Arrêtez de parler comme si je n’étais pas là !! Vous êtes bien pareils tous les deux !! C'est surement pour cela que j’ai craqué pour vous deux. Jean je suis désolée, je demande pardon c’est la première fois que je te trompe. Je regrette que tu nous ais surpris, Du moins nous avons été idiots de faire çà ici.
- Oh non-dit Jean en fait je ne dormais plus depuis longtemps, j’ai tout entendu, difficile de ne pas vous entendre. Je sais que toit Annie tu n’a pas l’intention de me laisser tomber maintenant. Je sais que tu as trouvé l’homme qu’il te fallait pour te rendre un peu de ta joie de vivre, un peu de jeunesse. J’ai été voyeur, plutôt auditeur de vos ébats et ça m’a rappelé les nôtres quand j’étais plus vaillant. Il ne reste qu’a savoir comment gérer les choses.
- Jean tu proposes quoi un calendrier, des heures des dates ? Dit Annie
- Non je propose que toi tu essayes de partager équitablement ton temps entre ton ami Gilles je crois et ton mari, moi tous simplement. Je ne vais pas chronométrer le temps passé. Vous en pensez quoi l’un et l’autre ?
- Annie allait répliquer, je l’arrêtais d’un geste.
- Je trouve cette solution honorable, j’aimerais juste ajouter une chose. Annie est parfaitement une épouse dévouée et ce n’est pas vous Jean qui me direz le contraire, elle souffrait de devenir plus une compagne infirmière qu’une femme à part entière. Je crois que nous pouvons vous et moi lui donner le meilleur et faire perdurer votre amour ancien et je lui donnerais les plaisirs qu’elle mérite. Je sais que certes vous êtres âgé, la santé un peu chancelante mais parfois je réconfort de caresses n’est pas négligeable. C’est un peu osé bien sûr, mais sachez que si Annie y consent, vous serez toujours le bienvenu dans nos ébats Je suis un libertin et cela ne me dérange absolument pas. Peut-être que Annie sera enchantée d’avoir les deux hommes qui compte pour elle a ses pieds. Je conviens que la proposition est osée, je ne la ferais pas si je n’étais pas certain d’avoir face a moi un homme qui est à même de comprendre cette proposition.
- C’est incroyable dit Annie, je ne savais pas Jean que tu avais un frère qui me courtisait et à qui j’ai cédé. Votre discussion est surréaliste et pourtant je trouve que votre façon de voir les choses est sans doute la bonne solution.
- Dans ce cas le champagne est encore frais il y a des flutes, arrosons notre solution fis je en servant deux verres et en prenant mon Whisky que je n’avais pas touché
On trinque, Annie a repris des couleurs, ses yeux ne sont plus tristes. Son mari est un homme charmant et intelligent. Alors qu’Annie était partie se refaire une beauté dans la salle de bain Jean me dit.
- J’ai remarqué que vous avez mentionné notre amour a Annie et moi me dit Jean mais vous n’avez pas osé mentionner l’amour entre elle et vous. Pourtant je cous ai viens entendu lui dire je t’aime, incertitude ou prudence ?
- J’allais répondre quand Jean m’arrêta d’un geste. Annie venait d’entrer dans la pièce.
- Alors dit Jean vous allez accompagner Annie faire du shoping pendant que je vais suivre cette excursion demain ? Enfin dans quelques heures.
Je prenais congé quelques temps plus tard, Annie me raccompagnant à la porte et me donnant un baiser langoureux.
- Merci, à demain mon chéri, au petit déjeuner tu te joins à nous. 9h00
Je réintègre ma chambre, mais le sommeil ne viendra pas je le sais. J’essaye de faire le point. Tout est allé si vite. Et me voilà avec une nouvelle amoureuse, du moins de mon côté comme toujours je suis parti sur les chapeaux de roues. Annie occupe tout mon esprit, je refais mentalement la carte de son corps, je revois ses yeux son sourire ses plaintes et gémissements. J’ai le gout de son corps sur la langue, son odeur est sur moi. Je ne veux pas savoir quel âge elle à. Elle me plait comme rarement une femme me plait. Je sens en elle un potentiel sensuel inexploité. Je ne veux pas la pervertir ou lui imposer des choses. Je veux lui donner la possibilité de s’épanouir et de vivre intensément comme moi j’ai vécu jusqu'à maintenant. Quelle femme, , je la sens vivrer sous mes doigts, j’aimerais qu’elle soit là. Soudain je suis emporté par le plaisir, je jouis sur ma poitrine mon ventre et copieusement. Dans ma rêverie focalisée sur Annie je me suis masturbé comme un gamin, et je lèche le sperme sur mes doigts car j’aime le sperme, surtout le mien quand je vais le chercher sur les lèvres d’une femme.
Je me dis que je raconterais cet intermède à Annie qui sans doute va adorer.
J’ai dormi une paire d’heure et je descendais pour le petit déjeuner dans le hall je croisais Roberto.
- Bonjour, Monsieur vous avez l’air fatigué me dit –il
- Pour la bonne cause mon ami répondis je Pour la bonne cause.
- J’en suis ravi , Monsieur, vraiment, bonne journée à vous.
Je me rendais à la salle du petit déjeuner. J’aperçu Annie et Jean sur une table ronde au fond de la salle. Je rejoignais cette table, Jean avait l’air moins abattue que dans la nuit. Annie elle était resplendissante, dans une très jolie robe fleurie s’arrêtant à mi-cuisse et au décolleté impressionnant, avec un soutien-gorge pigeonnant. J’ai un instant d’hésitation.
- Embrassez-vous dit Jean, vous en mourrez d’envie. Hahaha Fit-il
- Cela se voit tant que çà Jean dit Annie.
- C’est comme si vous aviez un gros cœur au-dessus de vous reprit Jean tu lui as fait quoi pour le mettre dans cet état ? Non ne dit rien je sais.
- Vous avez l’air...
- Tu as l’air plus en forme ce sera mieux. Et serrons nous la main
Décidément ce gaillard m’était sympathique. C’est vrai que par certains côté il avait un peu la même façon que moi de voir les choses, mais il était beaucoup plus sérieux et moins aventurier que moi.
- Vous avez fait forte impression sur Annie, et à voir sa mine ce matin vous lui avez fait beaucoup de bien. Je vous ai un peu casser la soirée et j’en suis désolé mais je savais que ce moment arriverait mais je n’ai pas eu le courage de l’anticiper. Annie en a payé le prix et çà je le regrette. Je pense qu’à nous deux on arrivera à lui donner tout ce qu’elle mérite. Non conventionnel certes et je ne pensais pas ma trouver un jour dans cette posture mais aujourd’hui je me sens plus léger Et si jamais je partais d’un coup, Annie saurait sur qui s’appuyer. C’est une chose qui me rassure.
- Vous êtes vraiment des amours tous les deux di Annie en nous prenant la main a Jean et a moi. Je ne suis encore pas vraiment certaine d’être éveillée, mais je me sens bien légère comme je ne l’ai pas été depuis longtemps.
- Gilles, mon ami, je peux ? J’ai réfléchi et j’en ai même parlé à Annie votre proposition assez inconvenante, mais tellement tentante, ce n’étais pas un tour de passe passe pour calmer le vieux cocu ? Vous avez fait cette proposition avec tant d’aplomb et de sincérité que je me suis posé la question. Et je voulais avoir le sentiment d’Annie sur le sujet. Elle semble avoir été convaincue par vos “méthodes” Je dirais donc qu’il n’est pas impossible que je puisse me joindre un peu à vous, Annie semble trouver cette perspective alléchante et elle m’a avoué que depuis longtemps elle aurait aimé cette configuration mais sans oser m’en parler.
- Par expérience je sais que nombre de femmes et d’hommes rêvent de pouvoir sortir de la routine, mais il faut oser et c’est souvent non pas le courage mais la force de bousculer les habitudes et ne pas tenir compte de ce que l’on va penser de vous.
Une charmante jeune femme, avec une pancarte indiquant le départ de l’excursion de Jean rameutais les candidats.
- Bon je crains que je doive vous laisser, Gilles je vous confies Annie, je sais que vous allez en prendre soin. Ne la fatiguez pas trop. Et surtout ne la laissez pas trop vous fatiguez mon ami.
- Jean tout de même !!Tu n’es pas sérieux !!
- La faute à qui ? Ma chérie
Annie le frappa mollement avec la serviette de table, avec un sourire. Jean suivi la jeune femme et sa pancarte avec d’autres personnes présentes.
Annie se tourna alors vers moi et se renversa dans son fauteuil avec le sourire.
- Je suis abasourdie ! Jean semble revivre et vous deux on dirait que vous vous connaissez depuis des années. C’est un rêve ou je vais me réveiller c’est curieux irréel.
- Je crois, ma chérie que Jean est un homme intelligent et il savait que tu n’allais pas bien, il l’a dit mais il n’a pas osé aborder ce sujet avec toi frontalement. Il a sauté sur l’occasion quand il a compris ce qui se passais dans la chambre, n’oublies pas qu’il a entendu ce que nous avons dit.
- Oui il a même entendu ce que tu m’as dit et que tu n’as pas évoqué dans la réponse que tu lui as faite que tu m’as dit “ Je t’aime” j’ai l’ouïe fine tu sais
- Je vois, je vais t’expliquer
- Non, n’ai pas peur, pas de reproche à te faire tu le sens comme çà mais tu ne peux pas avoir de certitude et puis cela servirait à quoi ? Je suis mariée, je ne quitterais pas mon mari je ne pense pas me remarier un jour. Alors prends ton temps. Pour l’instant c’est ton corps, tes mains, ton sexe qui me comblent et sans doute aussi tout ce que tu vas me faire vivre. Enfin j’espère que tu vas m’entrainer dans tes folies sexuelles.
- Ah oui ? Tu serais partante pour un dévergondage en règle ?
- Tu crois que j’ai cédé juste pour une nuit ? Excellente d’ailleurs si on met de côté les surprises de Jean. Bien sûr
- Annie ma chérie tu penses être un peu soumise pour accepter de te mettre entre mes mains ?
- Soumise à toi ? Oh oui une condition ne jamais me bander les yeux je veux tout voir et ça me fait peur d’avoir les yeux bandés. Ce que tu m’as dit de toi, et je suis sûr que j’en sais bien peu m’a fait comprendre que tu pouvais me faire vivre des choses en dehors des sentiers battus. Mais battue çà je ne veux pas l’être. Même si je te demanderais de me raconter les horribles choses que tu as pu faire
- Ma chérie, je n’ai jamais mais vraiment jamais obligé une femme à faire ce qu’elle ne désirait pas faire. Maintenant tu pourrais être surprise des envies qui vont naitre des situations.
- Oui surement mon chéri, tu vois je me livre à toi et je te fais une totale confiance... Et je dis ça a un homme que je ne connais même pas depuis 24 heure avec lequel j’ai trompé mon mari qui maintenant est consentant.
Pince moi je vais me réveiller !!
- Non je ne vais pas te faire du mal !!
- Si quand tu me pince le bout des seins oh que j’aime oh que tu le fais comme j’aimes Je me calme sinon je te saute dessus.
- Petite Nymphomane dis-je
En prévision de ces quelques jours à Palma avec Ariel j’avais fait l’acquisition d’un gadget je trouve amusant pour l’avoir déjà utilisé avec d’autres amies un œuf vibrant télécommandé. Rien de plus amusant dans les lieux publics. Ce petit truc vibre sur un nombre incalculable de combinaisons, en plus celui-ci dit haut de gamme à deux petites pastilles à droite et à gauche qui sont en inox et qui peuvent envoyer des micros décharges électrique dans le vagin de la dame, c’est sans danger bien sur. Je montre cette petite merveille à Annie.
- C’est quoi çà ? me dit elle
_ Un instrument de torture ma chérie.
- Mais c’est tout doux comme matière, c’est un violet moche comme couleur c’est certain. Hééé fait Annie lâchant le truc, c’est vivant !!
- Ne casse pas mon jouet dis –je en le rattrapant au vol.
- Mais ça a vibré je ne sais quoi dit Annie Ah je vois, tu as une télécommande c’est ça?
- Oui la voilà regarde ... Et çà tu le mets où dis-je en lui rendant l’œuf
- J’ai bien une petite idée dit Annie en souriant largement çà doit être amusant. Tu m’excuse une minute je dois aller me repoudrer le nez.
- Oui bien sûr. Je vais te croire ma belle.
Annie se lève et part en direction des toilettes. Je la regarde s’éloigner, remarquant son superbe déhanché, qui balance sa croupe d’une façon si sensuelle. Je n’en reviens pas de l’enchainement des événements. Ariel me pose un lapin mais ce n’est pas la première fois, je sais bien que la gamine à de l’ambition et qu’elle fera toujours passer sa carrière avant tout. Elle a raison, des parties de jambes en l’air elle en aura d’autres avec des plus jeunes que moi surement. Annie me subjugue, elle est belle, pulpeuse et j’ai eu un aperçu de ses attentes qui semble immense. Jean est un homme charmant, mais je ne vois pas en lui un libertin qui pense au cul en permanence, contrairement à moi. Si Annie se révèle un peu nymphomane j’en serais le premier enchanté, mais vat elle aimer l’obsédé que je peux être parfois. Une caresse dans le cou, la revoilà, au passage ses lèvres viennent voler un baiser. Elle se re installe en face de moi.
- Et alors ?
- Alors quoi dis-je en appuyant sur le petit bouton.
- Ohhhhhhhhhh ohhhhhhhh dit Annie en se retenant. Elle a posé les mains sur son bas venrtre.et c’est un peu pliée en deux
- Hummm ça marche on dirait ?
- Oh la vache !! Ça surprend !! Ohh Ohh Ohh
- C’est moins fort comme çà, le premier coup j’avais mis à fond là c’est mieux ?
- Ohh oui mais c’est dingue ce truc, ça va me rendre folle. J’ai tout l’intérieur qui vibre.
- Tu vas vite être mouillée. Fais voir, écarte un peu les cuisses que je puisse voir.
- Ici ? Il y a trop de monde.
- Justement c’est plus excitant tu vas devoir t’habituer et surtout plus de culotte, tu vas m’enlever çà tout de suite.
- La maintenant ? Dit Annie On va me voir !!
- Non si tu fais attention, allez un peu de courage
- Tu me fais faire de ces choses...
- Ce n’est pas toi chérie qui veux vivre des choses qui te font battre le cœur ?
- Oui tu as raison, mais je ne suis pas encore habituée.
Elle arrive à se débarrasser de sa culotte et la roule en boule.
- Donne-la moi, dis-je tendant la main.
- Annie me la donne et je renifle le petit bout de tissus et dit
- Humm çà sent bon ta chatte ma chérie
- Quel pervers Gilles, c’est sans doute pour ça que j’ai craqué pour toi.
- Bon on devait aller faire du shoping non ?
Prenant mon bras Annie est resplendissante, c’est un plaisir d’avoir une si jolie femme avec moi. Réaction puérile ? Oui mais tellement humaine. Alors que nous allons vers le parking je ne peux résister à l’envie de jouer avec la télécommande de l’œuf. Une pression. Elle se crispe sur mon bras.
- Ohh j’avais oublié çà Fait elle en me tapant de sa main libre.
- Pas moi. Tu penses ! Dis-je
- Encore un petit coup ? Dit-elle avec un petit sourire en coin.
- Ouhhhhhh çà pique !! Arrête !!
- Ah oui je ne t’avais pas encore montré, ce petit bouton là envoie une petite décharge électrique pour les petites chiennes pas sages.
- Chiennes ? C’est moi çà ? Pas très valorisant non ? Aiiee
- Tu vois si tu n’es pas sage tu es rappelée à l’ordre.
- Je suis vraiment ta chose alors ? C’est déroutant comme sensation, mais je ne déteste pas. Embrasse moi dit-elle en s’arrêtant.
Je ne me fais pas prier, et dans l’air doux du matin nous oublions le monde pour un baiser sensuel. Je ne résiste pas au plaisir de faire vibre l’œuf alors que nos langues jouent. Elle cesse un instant
- Fais vibrer dit-elle avant de reprendre ma bouche
Je joue un peu avec le bouton, ses mains qui se crispent, son corps qui ondule un peu les vibrations font leur effet.
- C’est machiavélique ton truc, mais qu’est-ce que c’est bon. Vraiment
Je glisse ma main sous sa jupeet caresse son sexe, mon doigt glisse entre ses lèvres et je sens une douce moiteur. Annie tremble légèrement.
- On va nous voir dit-elle dans un souffle car elle semble troublée.
- Tu serais sans doute excitée si on te voyait avec moi là, sinon tu ne serais pas si humide ma petite salope.
Elle me regarde choquée par mon langage, enfin plutôt surprise mais ne dit rien.
- Tu n’aimes pas salope ? Tu te sens humiliée ? Pourtant çà t’excite quand je te dis ça. Non ?
Elle hoche la tête sans un mot.
Allez mènes nous a ta voiture.
- On y est.
- Ah c’est ce joli coupé, ouah c’est le luxe
J’ouvre la porte à ma belle amie. Alors qu’elle monte je tiens la porte elle passe un pied à l’intérieur s’assied sur le siège, sa robe remonte et elle me donne un joli spectacle, une vue imprenable sur son sexe, ce petit triangle de poils ses grandes lèvres rebondies et les petites lèvres longues et granuleuses qui paraissent un peu grasses et luisantes. Les vibrations, peut-être ?
- Ne bouge plus ma chérie, petit souvenir.
Je prends le cliché avec mon smartphone, cette jolie femme, qui m’offre son sexe en montant en voiture. Beau souvenir de vacances.
- Tu fais quoi ?
- Tiens regarde dis-je en lui montrant la photo.
- Ohhh Gilles tu es obsédé mon dieu !! La honte !!
Nous voici partis pour cette petite balade dans Palma, j’ai pu louer une voiture potable à l’aéroport un cabriolet BMW S4.
Annie a posé sa main sur ma cuisse et elle ne cesse de me regarder en souriant. L’état des routes est perfectible à Palma. Chaque chaos fait sauter les seins d’Annie, je vois çà du coin de l’œil car je regarde devant moi quand je conduis. Il y a pas mal de circulation sur le front de mer, il est 10h du matin pourtant on roule presque au pas.
Je lance les vibrations de l’œuf a une cadence soutenue mais sans une énorme intensité.
- OOhhh tu fais quoi avec ton jouet ? Dit Annie
- C’est toi mon jouet ma chérie, dis-je en caressant son décolleté.
- Incorrigible cochon !! Mais ça me plait. Dit-elle en me jetant un regard étincelant. Tu sais ces vibrations c’est agréable.
- Ahh tu reconnais, alors tu vas te caler contre ton dossier passer ta main entre tes cuisses et tu vas te caresser, mais sans jouir. Tu ne jouiras que si je te le dis. Et toi tu demanderas gentiment. D'accord.
- Tu es fou on roule au pas, il y a plein de monde on va me voir. !!
- Hmm tu veux faire battre ton cœur ? Sombrer dans la luxure ? Je suis ton mentor fais-moi confiance. Même si on te voit ça fait quoi ? Rien. Courage ma chérie, je ne mets pas la radio pour entendre tes gémissements, mais ne jouis pas Annie juste quand tu seras autorisée.
- Je suis folle de t’obéir comme çà, mais tu m’en donne envie. Quand tu me regardes je me sens si désirable. Tu me rends folle.
- Et tu raconteras tout à Jean il va adorer j’en suis sûr.
- Gilles tu n’y pense pas !!
F- ais-moi confiance ma chérie, caresse-toi allez !!
Annie glisse la main entre ses cuisses dès qu’elle s'est adossée sur le confortable siège de cuir beige. On roule tellement doucement, que je peux l’observer à loisir. Plusieurs personnes sont passées près de la voiture, en surplomb sur le trottoir ils ont une vue sur l'intérieur de la voiture. Ils captent une image fugitive de cette femme qui se caresse sur le siège de ce coupé de luxe. Mais Annie a les yeux clos.
- Chérie, ne ferme pas les yeux, ouvre-les et souris aux gens qui peuvent te voir. Tu te caresse devant des dizaines d’hommes et de femmes. Ils vont se dire, “quelle salope faire çà devant tout le monde”. Mais tu t’en moques ouvre les yeux regarde montre leur quelle superbe salope tu es. Ma salope a moi que j’exhibe au monde car j’en suis fier.
Je passe ma main droite dans ses cheveux et caresse sa nuque. Elle tourne ses yeux grands ouverts vers moi
- C’est bon Gilles, c’est bon d’être ta salope
- N’oublie pas on ne jouit pas sans ma permission. Tu es humide je pense. Fais voir.
- Tiens regarde dit elle en me montrant ses doigts trempés.
- Fais-moi gouter dis-je
Elle approche ses doigts de mes lèvres et je les suce, retrouvant le gout de son sexe que j’ai tant aimé dans la chambre. Sa main gauche passe sur ma cuisse puis enre mes jambes ou elle trouve ma queue gonflée.
- Tu bandes Gilles chéri !!
- Bien sûr avec une si jolie salope qui se branle près de moi que faire d’autre
- Me baiser, j’en ai envie...
- Mais seulement après que tu auras jouis ma belle et quand j’aurais décidé. Tu auras ma grosse queue partout mais après quand je le voudrais
Je dois dire que j’ai une folle envie de trouver un endroit tranquille et la prendre comme un fou sans attendre. Mais je sais attendre et faire monter mon désir. Annie va apprendre à faire de même. Et ç s’offrir pour le moment aux regards. Mais elle a une telle envie au fond d’elle que dans pas longtemps elle implorera ses voyeurs de la prendre. J’ai vécu çà avec toutes les femmes que j’ai mise dans ces conditions. Les femmes ont une libido aussi forte que celle des hommes, mais la mère, la femme, l'image de celle qui enfante, brouille les pulsions et elles les font taire une femme honnête de fais pas ça, ne pense pas çà. Elles construisent leur prison, elle se castrent. Les hommes ne font de même. Du moins pas tous si on est un peu révolté, rebelle et surtout avec une certaine culture et un peu d’intelligence.
- Oh je ferais ce que tu veux mon chéri. Ils me regardent !!
- Oui on dirait qu’ils ont vu cette balle femme qui se caresse dans la voiture. Remonte ta robe, montre que tu te branle vraiment.
- Docilement Annie trousse se robe qui devient un chemisier
Dévoilant son porte- jarretelles, sont mont de venus et cet adorable triangle de poils courts qui surmontent sa fente rebondie. Dieu qu’elle est belle, exposer celle qui m’accompagne est un plaisir sorte de fierté malsaine peut être de dire au monde, cette superbe femme, est la mienne mais je vous laisse voir ce que vous manquez. Une fierté mal placée peut être mais jouissive. Et elle se complait à obéir à son mâle dominant. Encore une preuve que l‘humain n’est qu’un animal pensant. Tellement de gens veulent oublier qu’ils sont des animaux. La civilisation c’est en partie juste une poignée de pensées et de concepts qui interdit les instincts naturels et nie la véritable nature animale de l’homme.
Sur le trottoir deux gars matent allégrement Annie qui se caresse. L’un d’eux me fais signe pouce en l’air. Nous sommes bloqués dans la circulation. Je fais signe au gars d’approcher de la voiture.
- Non tu fais quoi là ? Dit Annie inquiète qui arrête de se caresser
- Tu n’as pas envie qu’ils te voient mieux ? Et on n’arrête pas, remonte ta robe continue et écarte mieux les cuisses salope ! Annie obtempère.
Ils descendent du trottoir et approchent de la portière, ils parlent espagnol, pas grave je le parle aussi.
- Hé Senior Elle est très chaude votre femme, besoin d’aide ?
- Non mais elle aime bien qu’on la regarde, souries lui
- Jolie petite chatte et très mouillée
Son pote tend la main vers le décolleté d’Annie qui recule
- Hep non regarde ok tu ne touches pas dis-je sur un ton peu sympathique.
- Non non mon ami est jeune excusez le puis se tournant vers son pote arrêtes de faire le con !
Malgré çà Annie continue à se caresser, je sens qu’elle n’a plus envie d’arrêter à cet instant. Sa tête bascule souvent en arrière. Elle vient de parler mais doucement je n’ai pas compris
- Tu disais chérie ?
- Je peux jouir maintenant ?
- Tu en a si envie ?
- Je ne tiens plus je t’en prie dit oui.
Regardez les gars ça va être le bouquet final
-Vas y ma chérie tu peux jouir fort crie si tu veux.
Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii oj he jouisssssssssssssss
Je pousse a fond les vibrations de l’oeuf
- N’arrête pas branle toi fort. Dis je glissant ma main sans son décolleté ou je trouve un téton tendu que je froisse très fort.
- AHhhhhhhhhhhhhh oui Gilles oui c’est bon :
- Laisse-toi aller, inonde la voiture si tu veux ne te retiens pas.
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii oh c’est bon !!!!!!!
Elle vient de gicler sur le tapis de sol et le tableau de bord, elle est secouée de spasmes violents, un bel orgasme ma petite soumise
- Oh la la senior !! C’est toujours comme ça ?
- Oh cela peut être encore mieux. Dis-moi camarade, des endroits pour se montrer ici à Palma ?
- Si les jardins autour de la cathédrale mais attention la Guardia
Annie souffle un peu et reviens un peu sur terre.
- Ohh chéri, c’était bon !! Et si fort..
- Attention la Guardia dit notre “ami” en se plaçant le long de la voiture avec son pote pour laisser le temps à Annie de redescendre sa robe
Les policiers passent nonchalamment sans se préoccuper de nous et s’éloignent. La circulation est toujours bloquée.
- Ouf dit Annie j’ai eu peur le cœur qui bat !! Sans ses hommes on nous attrapait. Dis leur que je vais leur faire un bisou pour les remercier.
Sur la bouche alors sinon c’est mesquin... Dis-je pour voir sa réaction.
- Tu crois ?
- Tu veux des sensations, des aventures ? Et puis tu dois m’obéir non ?
- Oui je vais les embrasser ils ont l’air gentil, ils se sont bien rincés l’œil et le jeune il bande regarde son pantalon.
- Oh oh oui ma chérie tu fais bander tous les mecs. Je leur dit que tu vas les remercier.
Je dis aux deux gars que ma femme veut les remercier en les embrassant. Ils ont le sourire l’ancien se baisse et tends sa joue, Annie lui fait tourner la tête et lui fait un baiser profond qui dure un petit peu. Le gars est aux anges totalement surpris. Le jeune est surpris mais il est enchanté vu la bosse de son pantalon. Il se baisse a son tour et il a droit à un baiser un peu plus long. Quand il cesse il prend la main d’Annie et lui fait un baiser sur la main. les yeux brillants de fierté. La circulation commence à reprendre un salut aux amigos, Annie fait un signe de la main et lance des bisous aériens, puis se tournant vers moi.
- Je viens de faire quoi là ? Je n’en reviens pas, tu m’as jeté un sort ?
- Non tu commences à devenir la nouvelle Annie. J’adorais l’ancienne, mais la nouvelle me fait bander tu ne peux pas savoir !! Ma chérie.
- Je le sens bien dit-elle en caressant ma queue. Oh chéri tu me fais faire des folies, mais tu sais J’ADORRE !!
- Tu te sens plus libre je pense.
- Oui j’ai l’impression que tout est possible. Et leurs yeux qui me dévoraient ça m’a plu tu sais. Toi çà ne te gêne pas ?
- Pourquoi quand je te vois jouir comme çà je suis heureux pour toi et tu es tellement belle quand tu t’offres comme çà. Ce soir une balade dans les jardins de la cathédrale ça te plairait ? Il y a plein de voyeurs. Si j’allais montrer mon adorable soumise à tous ces mecs
- Tu m’excite tu sais. Eh oui je suis soumise à tes caprices
- Va-t-on te chercher un maillot ma jolie ?
- Oui je veux un nouveau maillot le mien est moche.
- Alors tu me fais confiance je choisis ?
- Oh je sens le piège, mais j’accepte
On arrive enfin au centre-ville. Beaucoup de monde déjà, des touristes en majorité, moins dense que dans la haute saison mais y a-t-il une basse saison aux Baléares ? Je me gare dans le parking couvert en centre-ville. Je descends de voiture et passe de l’autre côté pour ouvrir la porte à ma belle. Plus prosaïquement faire une petite vidéo de sa descente de voiture et avoir le loisir de contempler sa chatte et ses cuisses
Annie a bien compris mes intentions. Elle se tourne légèrement vers moi et attrapant les pointes de ses petites lèvres les écarte largement me dévoilant le rose luisant et trempée de l’entrée de son sexe.
- Tu aimes chéri ? Je suis trempée, j’aimerais ta queue la maintenant.
- Patiente un peu ma petite salope, tu l’auras.
- Tu dois attendre çà aussi, on voit bien que tu bande mon chéri.
- Je sais je n’ai pas arrêté de bander depuis qu’on est parti
- Tu n’a pas mal ?
- Un peu avec le cockring disant cela j’ouvre mon pantalon
Mon sexe libéré saute, presque au visage d’Annie et je lui montre l’anneau d’acier qui enserre mes couilles et ma queue. Mon sexe est décalotté, parcouru de grosses veines prêtes à exploser.
- Oh tu es vraiment gonflé chéri, Regardant autour d’elle Viens chéri je vais te sucer.
- Ohh tu oses ? Dis-je
- Oui , j’en ai envie quand je te vois comme çà Gilles, mon chéri, mon maître
- Hmm si tu me prends par les sentiments, Maître oui mais toujours protecteur ma belle. Hmmmm Hoo
Annie, viens de prendre mon gland entre ses lèvres, ses yeux étincelants de plaisir parlent plus que tous les discours. Son visage reflète désir et satisfaction. On ne voit pas cette expression tous les jours sur le visage d’une femme.
Sa langue cajole mn gland, la pointe pénètre le méat, facilement car il est assez dilaté. Sa main gauche caresse mes couilles, les presses, les malaxe assez brutalement et j’aimes çà.
Sa bouche est un enfer brulant et humide, elle prend toute la longueur de ma tige, par instant je sens le fond de sa gorge. Alors qu’elle m’a totalement avalé, je bloque sa tête et me délecte des spasmes de sa gorge, ke la laisse libre elle dégage ma queue pour laisser couler un flot de salive sur le sol. Et elle me reprend et continue à me pomper. Je caresse sa joue avec douceur qu’elle n’oublie pas que je suis aussi doux avec elle. J’ai remarqué qu’elle réagissait bien aux mots, crus elle aime çà et elle en jouit, elle commence a libérer son langage elle aussi Mes mains glissent dans son décolleté passe sous son soutien-gorge je débusque les gros tétons déjà bien tendus. Entre le pouce et l’index je roule les jumeaux, je les pince fortement je regrette de ne pas avoir une paire de pince à lui faire porter sous ses vêtements. Sur ses tétons et a ses lèvres de chatte pendantes et épaisses. Elle laisse ma queue s’échapper de sa bouche.
- Oh oui Gilles mes tétons, serre les forts, fais-moi mal
- Tu deviens maso ma petite chienne. Je vais te faire crier ma chérie
- Oui dit elle s’une voix rauque due à l’excitation.
- Je t’aime ma salope!!
- Agggggggggggggggggeeeeeeeehhhhhh oh oui !! Encore ahhhhhhhhhhhhhrrrrr cries t'elle
Elle se précipite sur ma queue et me pompe de plus belle, tandis que je continu à travailler ses tétons. Ils sont gros tendus, le malaxage les rend souples et ultra sensibles. Je sens qu’elle se contraste et crie silencieusement a cause de ma queue dans sa bouche. Là-bas j’aperçois la silhouette de deux Guardia Civil J’espère qu’ils ne vont pas remonter vers nous on est au fond du parking, dans l’ombre. Au début je ne comptais pas la laisser aller au bout, mais maintenant je suis pris à mon piège, j’ai envie de me soulager dans sa bouche de la voir avaler mon jus. A force de tirer que ses tétons ses seins sont passés par-dessus son décolleté. Elle est si belle dans ses moments, elle est libre se donne a fond, une magnifique femme qui vit sa sexualité sans frein sans tabous. Actuellement elle espère avidement recevoir mon sperme en offrande, cette nuit quand j’ai partagé le sperme que j’avais sur les lèvres avec elle. J’ai senti son appétit pour ce nectar de l’amour. Tout comme moi j’aime le recevoir d’un mec, oui aller le laper dans une chatte pleine, que ce soit le mien ou celui d’un autre mec. Annie est magnifique les seins à l’air ses gros seins magnifiques, ses lèvres et son menton trempés de salive. Ses joues se creusent quand elle m’aspire. Elle me lâche un instant et serrant ma queue elle place son pouce sous mon urètre et remonte jusqu’au gland elle fait naitre une énorme goutte transparente qu’elle lèche comme une friandise .
- Oh chéri, tu mouilles comme une femme, tu vas me donner ton jus j’en veux !!
- Oui ma petite chienne finis moi j’en peut plus dis je
Elle a une lueur de victoire dans les yeux, c’est moi qui demande. Elle me sourit et me pompe maintenant avec force, rage presque. Sa main écrase mes couilles je donne de petits coups de reins. ! Elle me décalotte encore plus, tellement que ma queue plie légèrement vers le bas, c’est douloureux mais je sens que çà fait monter mon plaisir. Elle me suce comme rarement je l’ai été. Mes jambes commencent à trembler. Elle sent que je vais partir. Ses yeux sont rivés sur mon visage, ça monte, le long de mon urêtre et a la première giclée elle plonge prenant mon gland dans sa gorge. Mes mains appuient son visage contre mon pubis et je me laisse aller.
- Oh putainnnnnnnnnnn oui !!! Bouffe-moi prends tout salope !! Bouffe ma queue oh chérie c’est bon.
Elle avale, elle reste plaquée contre mon bas ventre je suis secoué par les spasmes du plaisir. J’ai la sensation de me vider sans fin dans cette bouche brulante. Je sens les mouvements de déglutition sur mon gland. Dernier frisson, je descends mon visage contre le sien ses bras prennent mon cou elle entrouvre la bouche, le sperme coule légèrement au coin de ses lèvres. Je plaque ma bouche sur ses lèvres et nous partageons le foutre qu’elle a gardé pour moi notre baiser dure tant qu’il reste une goutte de sperme sur sa langue.
- Annie caresse mes joues met un bisou sur le bout de mon nez
- Oh Gilles chéri, tu as vraiment joui fort, j’ai failli m’étouffer. J’adore ton sperme il est doux, onctueux. J’étais tout près de jouir quand tu es parti.
Elle prend ma main et la guide entre ses cuisses mes doigts inspectent sa chatte, elle ruisselle
Je vais devoir éponger un peu avant d’essayer des maillots. Sinon ils vont être tout mouillé sans aller dans l’eau.
- Chérie, je deviens dingue avec toi, je suis dingue de toi ma belle petite chienne. Remet un peu d’ordre des flics viennent par ici
- Remballe ta queue mon chéri, çà fait désordre, et tu bandes toujours presque autant qu’avant.
Quand les deux Guardia Civil arrivent à notre hauteur nous quittons la voiture. Ils saluent d’un sourire en passant près de nous.
- Annie me regarde et dit s'ils savaient on serait au poste ?
- Non ils ne sont pas si méchants que çà pour ces choses ils ont plus de soucis avec les fausses “prostituées” noires qui piquent tout aux touristes naïfs
- Allons trouver un joli maillot pour ta chérie soumise. Tu veux quoi ?
- Le minimum, je veux que tu fasses bander tous les hommes quand ils te verront.
- Je ne suis pas si exceptionnelle que çà tu sais regarde moi sans ton filtre d’amoureux, ça me gêne de dire çà.
- Quoi te gêne ? Dis-je
- Amoureux, ne dit pas çà j’ai passé l’âge et je ne vais pas vivre avec toi.
- Cela m’empêche d’être amoureux ?
- Tu n’es pas raisonnable, on se connait depuis hier seulement.
- Et regarde ce que tu a fait avec moi..
- Je dois être folle.
Elle dit çà prenant ma main et posant sa tête contre mon bras. Il y avait une boutique installée dans un hôtel de luxe. Passant la porte avec Annie je vis plusieurs vendeuses charmantes que j’aurais obligé à porter des bikinis de leur catalogue vue la plastique des filles.
- J’ai de la concurrence on dirait mon chéri, tu préfères laquelle ?
- Toi bien sûr, sinon tu me connais un peu , toutes
- Madame, Monsieur vous désirez nous demandais cette petite brune aux yeux sombres. Elle parlait anglais.
- Un bikini deux pièces répondit Annie. Je peux essayer ici ?
- Aucun soucis Madame je vais vous emmener à un salon privé, vous désirez un rafraichissement, un café ?
- Un café pour moi dit Annie.
Elle nous fit entrer dans un salon assez grand pour sa fonction, un canapé, une table basse, une cabine pour se changer, une grande fenêtre amenait la lumière mais opacifiée bien sûr.
- Quels modèles voulez-vous voir ?
- Minimaliste, un micro-bikini serait idéal.
La petite vendeuse brune jette un regard interrogateur à Annie.
- C’est monsieur qui décide mademoiselle faites comme il le dit.
- Bien messieurs dame, je vous signale que les salons sont surveillés par vidéo Avec une mine gênée on a eu des clients qui se sont permis des choses...
- Et vous pensez que nous pourrions faire cela ?
- Non non je vous préviens, on nous a demandé de le faire.
- Merci mademoiselle dit Annie on sera sage hélas
- Je vous apporte les modèles micro donc, avec votre silhouette madame et surtout votre poitrine, il se peut que ces maillots montrent beaucoup trop de choses dit la vendeuse
-Ah c’est magnifique dans ce cas, apportez nous çà vite merci
La petite vendeuse s’éclipse. Elle est charmante un peu timide, mais la mésaventure des clients la fait plutôt rire quand elle nous a parlé de çà. Annie est détendue, elle ne cesse de me regarder de me prendre la main, elle aime être avec moi, elle adore que je fasse d’elle un jouet de plaisir et elle semble vouloir aller loin, la montrer a des mecs ok, un baiser ok mais je ne pense pas la livrer la faire prendre par des inconnus. On fera çà à Paris où je pourrais maitriser qui. Je sais qu’avec d’autres j’ai laissé des inconnus profiter de mes compagnes, Viviane par exemple dans cette boite à Berlin a dû avoir une cinquantaine de partenaires dans la soirée alors que je sympathisais avec la femme proprio des lieux, à tel point qu’on s'est fait une partie privée dans cette boite durant laquelle sa femme soumise Gherdy et Vivianne ont été poussées a leurs limites. Annie ne peut certainement pas faire çà. Et je veux qu’elle puisse se réaliser satisfaire ses envies mais en restant raisonnables. J’ai vraiment un coup de cœur pour elle, je ne sais pas comment elle va le prendre si je déclare ouvertement les choses sur le mode sérieux. Je crains de l’affoler, elle aime son mari. Je ne veux surtout pas déranger leur vie habituelle, mais je veux donner à Annie ce qu’elle souhaite.
La vendeuse reviens avec plusieurs articles qu’elle présente, tous sont vraiment micro, des petits bouts de tissus en triangle avec des “ficelles” dans les coins.
- Ah oui ils sont petits en effet dit Annie en me regardant avec le sourire.
- Oui Madame dit la vendeuse c’est ce que Monsieur a demandé, ce ne sont pas des modèles qu’on vend souvent. Je peux vous amener des choses plus couvrantes.
- Non non je vais essayer ceux –ci pour voir si cela est compatible avec ma morphologie.
- Oui dis-je il faut que les petits bouts de tissu soient positionnés au bon endroit.
- En effet dit La vendeuse, ce n’est pas facile à porter. Je vous laisse essayer appuyez sur ce bouton quand vous aurez besoin de moi.
- Merci dit Annie.
La gamine sortie, Annie me regarde et dit
- Gilles tu a vu la taille de ces maillots, je serais nue avec des petits bouts de ficelle accrochés ici et là.
- C’est bien le but. Tu seras nue sur la plage mais décente. Regarde un petit bout de tissu sur le clito et deux sur les tétons et encore ils ne vont pas être cachés totalement, et même le clito c’est limite.
- Tu penses que je peux porter çà ? J’ai quelques rondeurs je ne suis pas sûre que c’est raisonnable.
- Ah non qui te demande d’être raisonnable ? Le but c’est bien de faire bander tous les mâles autour de toi ? Alors enfin le çà que je puisse juger.
- Viens avec moi dans la cabine.
Annie enlève sa petite robe fleurie, elle tombe à ses pieds je la ramasse et la pose sur une sorte de banquettes. Elle dégrafe son soutien-gorge et libère ses gros seins. Ils ne tombent pas comme on pourrait le croire, certes ils descendent un peu mais compte tenu de leur taille sa poitrine est ferme. Mon dieu ces tétons ! Les aréoles sombres son immenses et j’adore, les tétons sont dressés et durs longs et gros les travailler la font tant gémir. Je dois me retenir pour ne pas lui sauter dessus et la prendre tout de suite. Je bande à en avoir mal à la queue et mes couilles sont sensibles et douloureuses. Heureusement qu’Annie m’a sucé dans le parking.
-Tu bandes toujours mon chéri, c’est de me voir nue ?
- Hmmm bien sûr et je pense à ce que je pourrais faire Montrant la télécommande de l’œuf et en appuyant ostensiblement sur le bouton.
- Hoooo c’est fort !! Dit-elle en se pliant légèrement et en posant les mains sur son pubis. Les caméras chéries !!
- Ils ont l'image mais pas le son à mon avis. Allez essaie ce maillot
Quelle belle femme, des rondeurs, des courbes agréables au toucher et à l’œil. Annie est une femme mûre et il est vrai que j’ai souvent eu des jeunettes comme compagnes. Je me rends compte que j’ai fait fausse route. Elle est la sensualité incarnée, ses seins magnifiques et opulents, ses hanches rondes ce triangle de poils courts trés net, les lèvres rebondies de son sexe et les petites lèvres épaisse pendantes qui s’échappent. Ses cuisses sont pleines, ses jambes aux mollets galbés.
- Mon chéri tu rêve?
- Non je t’admire ma belle.
- Alors ce maillot tu en dis quoi.
Le petit bout de tissu a bien de la peine à cacher les atouts de ma chérie. Les triangles su haut n’arrivent pas à masquer les larges aréoles de ses seins. Et naturellement il ne soutient en rien ses seins laissés seuls à combattre la gravité. Mais ils sont suffisamment fermes pour se tenir. Le bas du maillot dont les cordons se nouent sur les hanches comporte un triangle qui ne masque que la pointe inférieure de sa toison et il disparait entre ses grandes lèvres au tiers de leur hauteur. Il ne cache guère que le clitoris. Ce maillot ne cache rien mais il existe.
- Il sert à quoi ? Le maillot dit Annie se regardant dans le miroir.
- Il met en valeur tout ce que tu montres et laisse un tout petit mystère planer. Tu va oser ?
- Je vais essayer les autres quand même.
- Aucun problème j’aimes te regarder. Dis-je en l’embrassant dans le cou. Laisse-moi t’aider.
Je tire sur le nœud du haut et me retrouve avec deux petits triangles et quelques ficelles dans les mains. Annie dépose l’autre petit triangle et d’autres ficelles jaune citron presque fluo. Je mets doucement en route l’œuf sur un mode moyen et cadencé.
- Humm c’est bien comme çà j’aime bien Anh fait elle se pliant en avant oh çà c’est l’autre bouton.
- Un petit rappel
- Tortionnaire ! Adorable tortionnaire dit-elle en souriant et se mordant la lèvre inférieure car j’avais accéléré la cadence.
Finalement après essais elle accepte le premier qui est mon préféré et son choix est en fait le mien. Annie appuie sur le bouton dans la minute notre vendeuse revient.
- Vous avez fait votre choix madame ?
- Oui celui que Monsieur préfère
- Choix osé, mais vous pouvez le porter avec votre silhouette
- Vous croyez que l’on va me remarquer ?
- Sans aucun doute Madame, je vous ai aperçue sur la vidéo, çà vous va très bien.
Nous passons par la caisse, Annie ajoute un joli chapeau de paille de grande taille. Je règle le tout le tissu a du beaucoup augmenter vu le prix de trois confettis et quelques ficelles jaunes. Le tissu est au prix du caviar sans doute. J’ai droit à un petit bisous dans la boutique devant les vendeuses et un baiser plus sérieux dehors pour me remercier. Annie cherche mon oreille et m souffle
- Tu peux augmenter les vibrations j’aime bien là.
- Oh mais tes demandes sont des ordres ma chérie.
- Ce n’est pas moi qui suis soumise ?
Je la prends par la taille et nous flânons un peu dans le centre-ville. Il y avait bien longtemps que je n’avais pas fait çà avec une compagne. Et Annie ressent la même chose. Elle me parle à l’oreille.
- Mon chéri, ton idée d’œuf est géniale. Avec Jean il y a longtemps j’avais essayé les boules de geisha mais là depuis la boutique tu le fais marcher et je me sens toute trempée.
- Si tu dois jouir dis le moi. Je te ferais jouir dans la foule. Tu veux. ?
- Pervers, mais je t’adore et toi tu m’a dit je t’aime tu te rends compte ?
- Oui je le sais, ne va pas penser que je veux te détourner de ton mari, je veux juste être ton amant pervers qui te donne des frissons. Jean est charmant, je pense que je deviendrais ami avec lui et j’aimerais qu’il accepte mon invitation. Il a dit oui mais ce ne sera vrai que quand il aura joué avec nous.
- Joué ? Tu dis çà comme çà c’est mignon des jeux de grands enfants, de vieux enfants même maintenant.
- Ne dis pas ça nous ne sommes pas vieux, nous avons atteint l’âge de raison. Crois-tu qu’une vieille mettrais un micro-bikini comme celui que tu as dans ton sac.
- D’ailleurs je vais te devoir de l’argent, j’ai vu combien tu a payé ces bouts de tissus
- Surtout pas chérie, petit cadeau en hommage a ta beauté et ta plastique.
- Arrêtes Gilles je ne suis pas un top model !! Je suis encore consommable pas plus Aieeeee!!! Ça fait mal !!
- Soumise tu auras des impulsions électriques quand tu te dénigreras .
- Ca fait mal ces impulsions vraiment mais tu sais je suis moche quand même fit elle avec un air de défi. Arhhhhhhhhhhhhh stop!!
- Tu avais envie d’en reprendre une c’est çà?
- Avec un petit sourire coquin elle me fit oui de la tête. Autour de nous des gens c’étaient retournés se demandant ce qui se passait. Une dame âgée lui dit
- Vous avez besoin d’aide madame ?
- Non non dit Annie mon dos me fait souffrir et çà lance par moment.
- Ma pauvre si jeune et déjà comme moi, courage ma petite, mais votre charmant mari est là. Et elle s’éloigna.
- Tu vois je suis fait pour toi Allez viens a cette heure ci un restaurant serait bienvenu. Suis-moi je t’emménes dans le meilleur restaurant de Palma Marc Fosh, en plus je le connais un peu on a sympathisé il y a quelques temps.
- Oui j’en ai entendu parler, mais c’est hors de prix !!
- Pour toi non, tu es mon invitée.
- Je ne pensais pas avoir cherché un mécène ou un souteneur dit Annie
- Toi tu veux une décharge !!
- Hmm pas électrique je préfèrerais un autre genre.
Arrivés au restaurant, installation Le boss vient nous saluer , on bavarde quelques minutes .
- Enfin toujours bien accompagné par de charmantes femmes.
- Je ne changerais plus Chef, je suis trop vieux.
- Ne changes pas reste comme çà
Il est charmant cet homme, tu connais tout le monde ? Fit Annie
- Non mais je suis assez facile d’accès. J’aime les gens vrais, comment va ton petit oeuf au chaud ?
- Il vibre bien et il me donne très chaud par moment. Je suis en train de mouiller le fauteuil là. Dit-elle serrant les lèvres
Le restaurant est calme, dans le silence je perçois très étouffé le buzzz de gadget. Annie pose sa main sur la mienne au travers de la table. Ses doigts se crispent sur les miens. Ses yeux sont brillants et implorants.
- Gilles chéri, je suis presque a bout, j’ai des frissons, fait quelque chose je t’en prie. Je ne vais pas tarder à jouir.
- Oh non non pas avant d’avoir l’autorisation. Retiens-toi, un peu de tenue ma chienne.
- Ohhh ce n’est pas comme ça que tu vas me calmer mon pervers chéri.
Tout le long du repas, qui prend son temps pour arriver. Annie serre les dents, me fais des suppliques, Ses joues sont rouges, sa gorge et son décolleté sont aussi rougis, belle preuve de son excitation. Pour ceux qui ne le saurait pas, quand une femme à une rougeur sur la poitrine au niveau de la gorge c’est qu’elle est très excitée. Ma belle conquête est vraiment au bord de l’explosion.
- S’il te plait, dit moi de jouir, je t’en prie.
-Tu vois juste derrière toi l’escalier qui descend au sous-sol mène aux toilettes. Je vais descendre et tu compte jusqu'à 20 et tu descends reste bien à droite de l’escalier
Je descends et au bas de l’escalier a droite se trouve la porte des urinoirs. J’entre en poussant la porte avec mon dos J’entends les talons qui descendent les marches, c’est elle, son parfum la précède Dior j’adore. Elle va passer j’attrape son bras la tire vers moi la porte que je retenais se ferme. Face a nous les lavabos, et les grands Miroirs Je plaque Annie contre moi. J’attrape l’ourlet avant de sa robe je la trousse jusqu’a la ceinture.
- Tu m’a fais peur !!
- Tais-toi, regarde-toi... Troussée, la chatte a l’air dans mes bras, écarte tes pieds dis-je poussant a fond la télécommande de l’œuf.
- Ohhhh chéri c’est fort dit-elle en avançant sa main gauche vers son sexe pour se caresser.
- Non ma salope, tu ne te touches pas dis-je en passant son bras derrière, elle. Maintenant avec tes mains cherche ma queue attrape là
- Oh je la sens tu bandes Gilles, Oh c’est bon.
- Tu as envies de jouir petite chienne
Je plonge mes mains dans son décolleté, je fais jaillir ses gros seins par-dessus le décolleté. Serrés, redressés coincés par le tissu ses magnifiques mamelles, deux globes laiteux ornés deces larges aréoles brunes, et ses tétons granuleux je ne les avaient pas encore vus si gros, si longs. Le dominateur sévère qui sommeille en moi, refait surface, alors qu’Annie a trouvé le moyen de sortir ma queue, elle me branle doucement avec ses deux mains dans son dos je suis si excité que je coule lentement sur ses doigts. Je prends ses tétons entre mes doigts, les fait rouler et les presse fort déjà.
- Oh oui chéri tords mes tétons, fort, n’ai pas peur j’aimes Gilles.
- Je vais te faire mal si tu le veux, veux-tu que je te fasse crier Annie ma soumise.
- Oh oui fais-moi mal fais le tu m’excite fais-moi crier.
- Arhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh oh oui encore Oui vas y chéri!!!
Dans les miroirs je nous vois, Annie dépoitraillée, les seins gonflés, qui rougissent car ils sont serrés, les tétons dressés tordus entre mes doigts. Echevelée, sa tête dodeline de gauche à droite
- Ne te retiens plus mon amour, jouis donne toi .. Cries. Tu es à moi, mon jouet, tu es ma chienne. Jouis Salope !!
- Ohhhhhh Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Ouii Chéri!! Oh je jouisssssssssssssssssssssssss!!
Annie lance son pubis en avant, je ne cesse de triturer ses seins. Elle tremble de tout son être et moi aussi car ses mains ne cessent pas de branler ma queue gonflée, luisante de toute la liqueur que j’a lâché sur ses doigts. Les orgasmes semblent se succéder en rafales et dans un cri , un grondement elle squirte deux longs jets puissants qui éclabousse le carrelage du sol, créant une flaque de son plaisir. Elle avance jusqu’au lavabos s’appuie sur le rebord et cuisses largement écartées debout les bras appuyés, elle dit d’une voix rauque.
- Gilles prends moi, baise-moi chéri je te veux en moi viens gicler dans ma chatte.
- Salope ; tiens prends çà !!!
Ma queue vient de pénétrer l’enfer, brulant, mouvant, agité de spasmes. Je l’ai pénétrée d’un coup je sens l’œuf qui vibre comme un fou. Mon gland est à peine dessus que moi aussi je suis fauché par l’orgasme je décharge de longues giclées de sperme chaud dans son sexe inondé.
- Oh oui je te sens chéri, oh tu n’arrêtes pas de cracher c’est bon !!
- Oh Annie, Annie mas salope dis-moi que tu aimes ma queue
- Oui chéri je suis ta chienne, ta salope, ta pute .Fais de moi ce que tu veux.
Elle se retourne, une fois que j’ai finis de jouir en elle, mon sperme coule le long de ses cuisses. Elle m’embrasse fougueusement un long moment. Quand le baiser cesse, elle passe sa main entre ses cuisses et ramène des doigts couverts de sperme qu’elle étale sur ses lèvres avant de m’embrasser à nouveau
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Prospero quand écriras tu un livre ? un dictionnaire
J'adore tout ce que tu écris Je trouve tout tellement juste, vrai réel Je regrette de ne pas t'avoir rencontré il y a quelques années.
La suite vite
J'adore tout ce que tu écris Je trouve tout tellement juste, vrai réel Je regrette de ne pas t'avoir rencontré il y a quelques années.
La suite vite
Prospero encore un texte joliement ecrit comme prévu tu as réussi én 24 heures à faire du mari un ami et de sa femme une soumise complète. A la lecture on sent la véracité des faits. En plus tu fait l’éloge de la femme mâture bravo et merci. Daniel
Merci. Hâte de poursuivre ces aventures très très existantes. Merci.

