Annie Renaissance d'une Femme chap IV

- Par l'auteur HDS Prospero -
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Récit libertin : Annie Renaissance d'une Femme chap IV Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2025 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Annie Renaissance d'une Femme chap IV
Les Baléares défilaient sous l’aile su Boeing. Retour à la capitale, retour à Paris. Encore un vol sans histoire comme c’est le cas en principe. Descente sur Paris dans la crasse avec une visibilité presque nulle. Moi qui ai ma licence pilote privé je sais ce que se disent les pilotes dans le cockpit. On râle toujours de ce temps-là.. Et encore moi dans le Cesna 172 je ronchonne mais je n’ai pas le quart de l’équipement du Boeing, ni les capacités de l’équipage. Je n’aimerais pas avoir a me poser de ce temps-là.

Mais c’est le cœur léger que je rentre à Paris, je sais que dans la semaine je vais revoir Annie et Jean. On a convenu de se retrouver chez eux jeudi –soir. On est mardi et Annie me passera un coup de fil dès que rentrée. Leur avion part seulement en fin d’après-midi. Arrivée Charles de Gaulle. Le parking, la voiture est là. Je me fais encore remarquer plus grand monde ne roule encore avec ce genre de monstre, les écolos me détestent. Mais moi j’aime ma Mustang GT350 un gouffre en carburant en assurance en entretient, mais une vraie auto. Surtout pas faite pour le périph et je vais de l’autre côté de Paris mon appartement ne se trouve pas loin du parc de Passy. Naturellement ça bouchonne à mort. Un peu de blues sur la radio et je prends mon mal en patience. Arrivé Passy , garage mon box rentre la voiture et ascenseur arrête au RdC pour le courrier puis direction le 6eme étage. Poser les valises, je déballerais çà plus tard. Je vois qu’il y a des messages sur le répondeur çà attendra. Je me sers un Lavagulin , mon fauteuil les pieds sur la table et j’attends l’appel d’Annie.



Je fais le point, Annie a peut prés 10 ans de plus que moi, superbe femme qui rongeait son frein auprès d’un homme qui me parait vraiment charmant et agréable. D’ailleurs Annie semble l’aimer profondément. Elle sentait sa vie se consumer sans profiter des plaisirs car Jean lui est beaucoup plus âgé et une santé un peu fragile. Aimante et dévouée Annie était surtout une infirmière plus qu’une femme. Et elle se voyait enfermée dans ce rôle. J’arrive je remets tout en question. Peut-être que su je ne l’avais pas draguée elle aurait continué sa vie comme çà. Mais elle rencontre le diable tentateur, moi. Je me vois mieux en diable qu’en dieu. Certaines me voient en ange, mais Annie me voit en diable je le sens et j’aimes çà. Ce n’est plus une gamine mais elle est belle, généreuse, un tempérament chaud et surtout malléable. Elle n’attend que l’étincelle pour s’enflammer. Elle ne s’en cache pas elle a envie que je fasse d’elle une vraie libertine. Notre escapade sur la plage est mémorable. Elle qui était 2 jours avant une femme rangée est devenue une odalisque en quelques heures. Elle a brisé en si peu de temps des tas de tabous dont elle rêvait mais sans oser.

Je prends les messages du répondeur. Rien de bien palpitant. Ah un message d’Arielle.

- Allo chéri, c’est Arielle, Gilles je suis désolée de t’avoir planté pour les Baléares je ne pouvais pas vraiment. Depuis des choses ont bougé, je suis en train de faire mes valises je pars pour Londres j’ai un engagement sérieux dans une troupe, j’avais passé une audition ils m’ont appelée il y a quelques heures. Je dois le faire tu comprends je te rappe....1 pour ré écouter 2 messages suivants 3 pour effacer.

_ J’appuies sur le 3. Affaire réglée. Pour info elle n’a jamais rappelé.

Je suis soulagé au fond. La journée passe j’ai le temps de ranger mes affaires, de regarder mes mails pros et de regarder mon planning a venir. Je suis encore en congé jusqu'à la fin de la semaine, j’ai tellement d’heures supplémentaires au compteur que je ne pourrais jamais tout prendre. Mon job est exigeant mais intéressant et bien payé.
Le jour s’enfuit la nuit commence a le remplacer. Je devrais ralentir sur le scotch c’est le 3eme depuis que je suis rentré.

Ah le portable sonne. Je décroche. Annie au bout du fil.

- Coucou Chéri on vient de se poser tu me manques déjà. Je viens de t’envoyer notre adresse, on se retrouve demain soir pour l’apéritif et on soupera ensemble. Jean te fait ses amitiés et te remercies d’avoir été mon chaperon dans cette folle journée. Je n’ai pas tout raconté encore, mais Jean aime beaucoup ce que je lui ai déjà raconté. Toi des nouvelles d’Arielle ?

- Oui ne t’en fais pas l’oiseau c’est envolé pour Londres et malgré ce qu’elle a dit elle ne rappellera sans doute pas.

- Oh c’est bête, ça va toi ? Pas trop déçu ?

- Moi ?? Oh mais cela m’évitera de lui dire de ne pas rappeler.

- Oh à cause de moi ?

- Non, grâce à toi c’est différent ma chérie, je vais avoir plein de temps a te consacrer je vais avoir tant de choses a te faire découvrir. Je ferais de toi la femme la plus perverse et osée de Paris.

- Décidément j’ai eu de la chance de te rencontrer. Jean me disait que tu étais parfait pour moi. Même mon mari trompé t’aime bien.

- Mais je le trouve charmant, et je pense que l’on s’entendra bien. Peut-être plus même qui sait, tu aimerais çà hein ?

- Oui surement, je t’embrasse Gilles, mon chéri j’ai hâte d’être a demain.

- Bisous ma belle.

Sa voix m’a fait du bien, bête à dire mais la présence d’Annie me manque, son parfum me manque, tout me manque son corps et son esprit sont devenu des besoins vitaux. Mon esprit me repasse les images de ces 2 jours. Son visage, la douceur de sa voix, ce sourire coquin et cet aplomb qui cache ses doutes et ses inquiétudes. Et ce corps, elle est diablement belle, ses magnifiques seins si lourds et pourtant si fringants, ses gros tétons que j’ai adoré mordiller, lécher. J’adore ce corps de vraie femme, pas ces enveloppes aseptisées des minettes que je trouve habituellement. Je vieillis et je me trompe en ayant toujours des nanas qui pourraient être mes filles. Cette fois c’est une vraie femme, elle me tourne la tête et pas que. Je remarque que songeant à elle, j’ai glissé ma main dans mon pantalon et je caresse ma queue qui gonfle. Sur mon portable je vais chercher les photos d’Annie et quelques petits bouts de vidéo. Si seulement elle était là, je me caresse en la regardant. Ma queue est gonflée, elle aimerait la prendre dans sa bouche me sucer et me faire jouir dans sa gorge. Je me laisse aller je me branle comme un collégien, ma queue est raide, je me décalotte lentement. Je gémis quand mon gland est totalement décalotté. Et j’insiste en tirant plus que de raison sur la peau, le frein se tend comme si je voulais le briser. Je me surprends a murmurer Annie. La voilà écartelée dans les toilettes du restaurant la chatte grande ouverte face aux miroirs et moi dans son petit trou . Mon gland commence a suinter une grosse goutte de liqueur se forme au bout de mon méat. Je me branle doucement, petit bout de vidéo sur la plage elle suce un de nos amis. le jeune qui jouit dans sa bouche avec délice Et Annie qui ouvre largement sa bouche face à la caméra montrant le sperme avant de l’avaler avec une mimique de chatte devant une soucoupe de lait. J’ai dégrafé ma chemise et je caresse les tétons, les pinces et les fait rouler entre le pouce et l’index. Je bande comme un dingue. Je serre ma queue et remontre vers le gland, une grosse goutte se forme et un long fil transparent nait quand cette goutte tombe lentement sur mon pubis Je récupère du bout du doigt et pose celui-ci sur ma langue je suce mon doigt, saveur salée. Annie me manque vraiment, j’ai une furieuse envie de l’avoir près de moi, envie de son corps. En deux jours Annie a mis son empreinte sur moi, notre pérégrination à Palma a créé un lien solide. Je ne sais pas si les sentiments qui nous lient sont si forts en si peu de temps. Dans ma tête je retrouve les images de nos instants coquins récents. J’ai vraiment envie de jouir avec elle, enfin pour elle en pensant à elle. Et je sens que le déferlement de plaisir arrive, c’est soudain, je jouis et j’éjacule copieusement jusqu’à mon visage. Mes sens sont en feu et je ne m’arrête pas après cette première éjaculation. Je continue la masturbation presque avec rage et rapidement j’arrive a un second orgasme aussi violent. J’ai hâte de revoir ses yeux de toucher sa peau je ne sais pas ce qui se passera demain mais je vais la désirer comme un dingue.

Le lendemain, la journée fut longue a passer, une vraie punition. Je ne pensais pas être aussi accro en si peu de temps. D’un côté cela m’inquiétais de me mettre dans cet état alors que j’allais la retrouver ce soir. Avec son mari certes. Mais Jean me semblait un type vraiment bien. Se réaction quand il nous a trouvé en train de copuler alors qu’il était dans la chambre à côté. Beau joueur et surtout lucide il semblait tout a fait prêt à accepter les choses pourvu que Annie soit heureuse. Son désintérêt pour le sexe avec sa femme était sans doute du à la vision qu’il avait de lui-même. Il se sentait surement diminué et que c’était sans espoir. J’avais la vague sensation qu’il avait un peu vite baissé la garde et que si , avec Annie nous pouvions lui redonner gout à la vie ce serait un bonheur pour lui et Annie. Restait à voir ce que moi je devenais dans l’équation. Car je sentais qu'entre Annie et moi était né un attachement très fort, partagé ou pas on verrait vite ce qu’il en était.

L’adresse qu’Annie ‘avait donnée était à Saint Germain en Laye, ouest parisien. Bonne nouvelle je n’avais pas a traverser la capitale pour aller la retrouver. Cela peut sembler mesquin mais si vous étiez 24/24 dans la capitale vous comprendriez le poids des distances dans votre vie de tous les jours. Et encore la folle gauchiste qui préside aux destinées de la capitale n’avais pas encore foutu le bordel comme de nos jours.

18h30 j’étais devant l’adresse d’Annie. Joli parc, belle maison

Petit coup de sonnette à la porte. En moins d’une minute elle s’ouvre C’est Jean qui vient me faire entrer dans sa maison.

- Bonjour, Gilles tu vas bien ? Ah çà c’est pour Annie je suppose ?

- Oui a moins que l’on t’offre souvent des fleurs ?

- Oh non, elle va adorer çà crois moi

Bruits de talons dans l’escalier qui monte à l’étage. Voilà ma belle amie qui arrive presque en courant. Elle m’enlace et prends mes lèvres avec passion. Jean attrape le bouquet pour le sauver.

- Gilles, mon chéri tu m’a manqué !!

Et elle reprend le baiser, je suis un peu gêné Jean est là elle me roule une pelle d’enfer. J’adore mais je pense à son mari, mais je le vois du coin de l’œil hilare et réjouis il me fait un clin d’œil quand il se rend compte que je le vois. Le baiser s’arrête quand Annie est rassasiée de mes lèvres.

- Annie, tu sais J’adore que tu me saute au cou et m’embrasse comme çà mais Jean est là quand même.

- Ne t’en fais pas Gilles, j’ai accepté la situation totalement et surtout ne vous gênez pas pour moi. Il y avait longtemps que je n’avais pas vu Annie aussi heureuse. Alors je ne vais pas lui gâcher çà. Mais tu vois ça prouve que tu es un gars bien, te soucier de moi c’est sympa. Mais tu sais on est deux à vouloir qu’Annie ai ce sourire radieux.

Annie buvait du petit lait, en voyant ma tête. J’étais assez surpris par Jean. Je l’avais trouvé sympa, mais là c’était incroyable.

- Allez viens on va prendre l’apéro j’ai un peu de mal a rester debout tu sais. Me tendant le bouquet, offre lui tes fleurs avant qu’elle ne marche dessus. !!

- Oh Gilles tu es un amour. J'ai vraiment rencontré un homme exceptionnel. Même deux ajoutât- elle en faisant un baiser sur les lèvres de Jean.

Je suivis Annie et Jean dans le salon. Jolie pièce très anglaise, cosy meublée avec gout.

- Annie m’a raconté vos aventures et combien elle a aimé çà. Dit Jean. Va le rejoindre dans son fauteuil tu en meurs d’envie.

- Annie vint s’installer sur mes genoux, son bras autour de mon cou. Caressant mes cheveux et ma nuque.

- Annie m’a raconté vos fredaines au restaurant, sur la plage en voiture. Jamais je n’ai fait ce genre de choses et je n’aurais pas osé proposer çà à ma femme. Mais quel idiot je fais ! C’est toi qui es dans le vrai regarde là elle rajeunit à vue d’œil.

- Cette belle enfant n’a pas besoin de rajeunir, elle est parfaite et tellement curieuse je pourrais lui faire faire des tas de découvertes. Dis-je.

- Gilles commença Jean avec un ton sérieux. On avait évoqué la possibilité de pratiquer certaines choses à plusieurs. Je n’ai pas l’habitude d’évoquer çà comme toi aussi simplement. Mais Annie a été persuasive et m’a dit que tu serais ouvert a certaines choses.

- Oh je suis ouvert a des tas de choses dans ce domaine, et j’ai en effet l’habitude de ces choses. Annie à du te dire que j’avais un large spectre de relations possibles. Et quelle que soit ton idée, ton envie je pense pouvoir dire que ce sera possible. Je ne pense pas que tu puisse désirer des choses hors de mes propres usages ou alors tu a une double vie. Mais avec une telle femme je pense que cela aurait été idiot.

- Je suis bien d’accord, mais depuis que je te connais donc très peu de temps en fait je me rends compte que j’ai du passer à côté de pas mal de choses agréables.

- Bon les garçons dit Annie on passe a table, on continuera a parler de tout çà.

Durant le repas, je m’habituais à l’attitude d’Annie qui ne se gênait pas devant Jean à me gratifier de marques de tendresse plus qu’appuyées. Ce qui me permettait de ne pas être trop mal à l’aise c’est qu’elle faisait de même avec Jean.

- Gilles me dit Jean, tu a l’air presque gêné quand Annie vient t’embrasser te faire une caresse, ou une agacerie. J’ai fait le tour de la question et j’accepte la situation. Dis-toi que Annie n’est ni à moi, ni à toi c’est notre femme si tu veux. A ce sujet, Annie a dans la tête que je participe a la soirée avec vous. Comme tu l’avais évoqué.

- Oui, bien sûr je pense qu’elle va beaucoup apprécier qu’on s’occupe d’elle toi et moi. Dis-je

- Ah je ne sais pas comment le dire, elle a une envie particulière...

- Laisse moi le dire Jean fit Annie, j’aimerais beaucoup vous voir tous les deux faire des choses voilà. Jean est d’accord mais il a du mal à le dire.

- Ah bien sûr, rassure toi Jean au début j’étais comme toi je ne pouvais pas énoncer à haute voix ce genre de choses. On commencera en douceur et on va s’appliquer car on va avoir une spectatrice importante pour toi et moi.

- Oh oui diablement importante dit Jean, pour moi c’est certain voilà des années que je suis fou d’elle. Et je crois bien que tu prends le même chemin que moi, non?

- Justement à ce sujet. Depuis notre rencontre je me pose des questions, j’ai l'impression que j’ai fait fausse route. Mes compagnes étaient toutes bien plus jeunes que moi, a part le lit on avait assez peu de points communs on ne partageait pas grand-chose en fait. Avec Annie tout change j’ai l’impression d’avoir plus à partager et elle a tellement besoin de découvrir ce monde que je connais et qu’elle soupçonne et si je regarde bien, il n’y a pas qu’elle, il y a toi aussi Jean tu es entrainé par ce même appétit qu’a Annie de la vie et des aspects qu’elle n’a pas exploré. Je veux bien être guide. J’ai commencé à entrainer ta magnifique femme dans les allées de la débauche et elle adore ça, elle a les atouts pour. Alors oui j’ai pour Annie une amitié et un intérêt qui va plus loin qu’une simple relation basée sur le sexe pur. Qu’on s’entende bien il n’est pas question pour moi de l’éloigner de toi et je crois qu’elle ne me laisserait pas faire.

- Oh non !! Dit Annie, Jean est mon mari et je n’ai pas l’intention de le remplacer même par toi Gilles.

- C’est bien comme çà que j’avais vu les choses dit Jean. Et je profiterais de tes leçons Gilles pour faire que Annie soit comblée, ce que je ne peux vraiment plus lui offrir comme tu le fait.

- C’est ce qu’on verra Jean, tu risques de te surprendre toi-même. Et il faut peut-être vivre les choses au lieu d’en parler. Non ?

- Tu as raison, place au plaisir. À table.

Annie était très jolie ce soir, une jolie robe prune avec un décolleté qui atteignait presque son nombril. Elle avait osé ne pas porter de soutien-gorge. Pour autant ses seins étaient aussi appétissants qu’avec un soutien-gorge pigeonnant. Ce qui était magnifique c’était la forme de ses tétons qui déformaient le tissu léger de sa robe. Je le lui faisais remarquer. Elle fut agréablement surprise de ma remarque.

- Oui j’ai osé, vous trouvez comment ? Mes hommes ?

- Magnifique ma chérie dis-je

- Superbe ma ..Ma femme. Dit Jean ajoutant Il va y avoir des cas ou ‘on vas manquer de mots mon cher Gilles.

- Peu importe moi j’ai vraiment hâte qu’on passe à la pratique la théorie c’est barbant.

Explosion de rire générale, ce souper promettait d’être agréable. Et il fut vraiment agréable. Après le repas retour au salon pour prendre le café. Jean s’installe dans son fauteuil et moi sur le Canapé. Annie vient m’y rejoindre m’embrasse voluptueusement en passant sa main partout sur moi, il ne faut pas 10 secondes pour que je bande comme un prêtre lâché dans une colonie de vacances. Elle ne se soucie pas de Jean qui nous regarde avec intérêt. Je me laisse aller et caresse Annie je glisse ma main dans son décolleté et je masse ses gros seins. JE sens sous mes doigts ses tétons durs et dressés. Elle tressaille quand j’attrape un de ses bouts de seins. Et que je le fais rouler entre mes doigts en le serrant un peu fort. Les pieds d’Annie sont sur le canapé, elle ouvre ses cuisses appuyant son genou droit contre le dossier, attrape l’ourlet de sa robe et se trousse jusqu’à la ceinture. Dévoilant sa chatte surmontée de ce triangle de poils si bien dessiné.

- Elle est chaude dit Jean ah il ne te fait pas longtemps pour la chauffer.

- Avec vous deux présents comme tu veux que je reste insensible.

- Viens nous rejoindre Jean dis-je.

- Non, je suis d’humeur contemplative. J’espère qu’il ne restera pas trop de vêtements pour me gâcher la vue.

Annie s’assieds un instant sur le bord du canapé, moment que je mets à profit pour tomber chemise pantalon et chaussettes. Annie et moi sommes nus. Annie regarde Jean et lui dit:

- Tu restes habillé Jean ?

-Pour le moment inutile de prendre froid fait-il en riant. Je vous vois bien. Toi ma chère je sais comment tu es faite. Mais Gilles a part l’avoir croisé brièvement nu l’autre soir. Là je peux voir et juger, même si je ne suis pas expert en hommes pour le moment. Je crois ma chère femme que ton goût est sûr. Tu n’a pas mal choisis je trouve, surtout face à moi. Gilles çà te dérange pas que je vous observe ?

- Non mon cher ami, mais avoues que nous avons de la chance d’avoir une telle femme pour nos plaisirs.

- Vous êtes trop mignons mes chéris, mais Jean tu seras encore plus mignon tout à l’heure. Promis ?

- Je devrais savoir quelque chose là ?

- Rien d’inquiétant Gilles, j’ai promis à Annie qu’elle pourrait nous regarder toi et moi nous “amuser” je suis de bonne volonté mais je n’ai jamais fait çà. Je compte sur toi mon ami pour m’aider.

- Ah la cachotière tu aurais pu me prévenir. Dis-je en lui mettant une petite claque sur son fessier si bien galbé.

- Gilles me dit Annie, vraiment j’ai envie de vous voir toi et Jean vous caresser pas forcément grand-chose, mais rien que vous voir. Mais je pense qu’il ne faut pas que tu essaie de l’embrasser.

- Jamais de la vie, ma chérie il fait le premier pas ça ira sinon je serais sage.

Ma queue était vraiment tendue, et Annie me caressait la tige et attrapais mes couilles avec ses doigts. Elle pressait ses seins contre ma poitrine, frottant ses tétons contre ma peau. Annie me poussa sur le dos et sa bouche descendais sur ma poitrine sa langue taquinant mes tétons tout durs et dressés. Elle les suça un instant, les mordillant également, tandis que sa main me décalottait totalement me faisant soupirer.

- Hull chéri je sens que tu a ton cockring, tu avais prévu la soirée.

- Oui j’en avais tellement envie ma belle, tu sais que je me suis encore branlé en rêvant de toi.

- C’était bon ? Murmura t’elle puis bien fort. Gilles branles toi pour moi

- Tout ce que tu veux chérie.

Elle s’installa assise sur ses talons les mains sur mes cuisses qu’elle caressait du bout des doigts.ma Main montant et descendant sur ma queue je me masturbais lentement, emplissant mes yeux de la plastique magnifique de mon amie, amoureuse, partenaire je ne savais pas, ma chérie, est bien plus simple et parlant.

- Oui comme çà doucement, tu es beau, ta queue est belle, je suis sur que Jean est d’accord avec moi. Oh regarde le.

Jean avait ouvert son pantalon et se masturbait lui aussi en nous regardant. Il semblait avoir une queue tout à fait correcte et il bandait bien a priori.

Les choses semblaient bien engagées pour la suite de notre aventure

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Prospero cette suite est super intéressante tu nous expliques bien et avec sincérité ton emoi pour Annie et en plus le mari accepte de partager sa femme car il veut son bonheur et elle rêve de voir son mari avec un homme apparemment tu vas te contenter et contenter tout le monde.Tu nous prouve s également qu’il n’y a pas d’âge pour être désirable et satisfaire ses besoins et envies sexuelles.Bravo Daniel

Histoire Erotique
la suite. j adore



Texte coquin : Annie Renaissance d'une Femme chap IV
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