Annie toujours aussi salope - histoire érotique

- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS -
Coucou , c'est Annie .
Pour ceux qui ne me connaissent pas je suis un petit bout femme mariée , ont me dit mignonne , attirante avec du charme . Je m'habille toujours court, mes cuisses sont un appel au viol paraît- il . Je suis volage avec un mari cocu consentant . Mon homme me dit nymphomane et il m' encourage dans la débauche . Il aime avoir une salope a la maison, je suis devenue une vraie petite pute aujourd'hui. Une petite salope vicieuse et gourmande , ouverte et libre , pute occasionnelle , soumise .


Hier en fin de journée je faisais du shopping . Dans la galerie marchande , je devais être la seule femme en minijupe , avec une veste qui arrive juste au ras de ma jupe. Perchée sur mes hauts talons , je peux vous dire que je ne laisse pas les hommes insensibles. J'adore me faire remarquer de la sorte par tout les pervers et vicieux qui ne pensent qu’à me baiser .
J'ai remarqué qu’un jeune et beau black me suivait depuis un moment. Je suis rentrée dans un magasin de chaussure il me suivait toujours. Comme il me matait discrètement je me suis assise pour essayer des chaussures et J’ai négligemment écartée plusieurs fois les cuisses afin qu'il voit ma petite chatte toute nue et bien lisse sous ma jupe. Les hommes sont encouragés quand il constate que je suis nue sous ma jupe.
Je suis rentrée dans une boutique de fringues, il me suivait toujours . Nos regards se croisaient de plus en plus s’ouvrant , je lui faisais des sourires enjôleurs . A un moment il était à trois mètre de moi , il me regardait de haut en bas , mes yeux de salope se son attardé sur sa braguette , il commençait à bander . Quand J’ai relevé la tête il m'a fait les gros yeux et un sourire comme pour me dire : tu semble aimer la bite petite coquine. Je me suis sentie rougir, je réalisais que je m'étais beaucoup attardé sur sa braguette , c'est un défaut chez moi quand je vois un homme qui me plaît je regarde machinalement a ce niveaux. Je le fais sans m'en rendre compte , mon mari me l'a fait remarqué , je ne le croyais pas , mais plusieurs hommes m'ont dit la même chose et J’ai finie par admettre cette pratique qui est naturelle chez moi, surement pacque je suis une salope .
Enfin ça a l'avantage de donner le ton , les hommes savent immédiatement que c'est de la bite que je veux . Ce noir, n'avait plus de doute sur moi , il a compris avec mes regards et m’a tenue que tout est possible avec moi .


J'ai pris trois petites robes courtes pour le réveillons et me suis dirigée aux cabines essayage . L'homme m'a suivie . J'ai quitté mon manteau , mon pulls et m’a jupe . Il ne me restait que ma guêpière mes bas ,mes chaussures et mon soutien-gorge . J'ai regardé a l'extérieur par le rideau, il était la , à deux pas . J'ai alors tiré un peut le rideau qu'il puisse se rincer l'œil . Et me suis retournée pour attraper une des petits robe pour essayage. A ce moment J’ai sentie l'intrusion de L’homme dans ma cabine . Il m'a attrapé par la croupe et m'a plaqué contre lui , puis il m'a embrassé dans le cou . Je sentais a travers son pantalon sa grosse chose contre mes fesses, sa main gauche sur mon seins et la droite sur mon minou déjà bien humide. Il m'a fouillé la chatte avec deux gros doigts et il triturait mes nichons avec l'autre . Il mordillait mon cou , il m'a dit de tourner la tête et il m'a roulé un patin . Ses grosses lèvres contre les miens et sa langue dans ma bouche . Tu es une sacrée petite salope m'a-t-il dit , je te vois souvent je t'ai observé . Tu es toujours en mini et tu porte jamais de culotte ! Mes copains et moi t'observons depuis plusieurs semaines , je suis vigile ici . Aujourd'hui je ne suis pas en service et quand je t'ai vu , toute seule, j’ai dit voilà une occasion a ne pas manquer. Mes potes ont du nous voir avec les caméras , il y en a partout dans la galerie.

J'étais maintenant face à lui , il suçait mes petits seins, sa bouche allait de l‘un a l’autre , il aspirait mes mamelons . Il revenait sur ma bouche avec ses grosses lèvres et nos langues se mêlaient. Il me dit de le sucer , que ma bouche doit sûrement bien faire ça. Je ne me suis pas faite prier , je lui est immédiatement montré ma nature de bonne pute soumise . Je me suis mise à genoux devant ce bel étalon et J’ai sortie celle grosse bite circoncise qui n'attendait que ça . J'admirai la chose , un bon calibre et très long , un splendide phallus d’ébène. Je lui fis des petits bisou partout , je caressai ces deux grosses couilles bien remplis semble-il . Je léchais son gland visqueux , l'odeur forte ne m'incomodait pas bien au contraire, j'aime cette odeur de bites je me suis remplie les narines . Mon nez se promenait sur toute la tige , puis sur les couilles que je soupesai , ma petites mains ne faisait pas le tour de la bite que je remontait pour enfouir ma tête dans ses couilles que je commençais à gober et à lécher comme une bonne chienne. Les hommes adorent ce traitement ou je m’applique beaucoup , je lèche et caresse en douceur . Quand je suce un homme pour la première fois , je veux le satisfaire comme personne n'a pu le faire avant.

Je peux dire sans me vanter que je suis une bonne suceuse, beaucoup m'ont dit que personne ne suce comme moi . J'y met tout mon cœur , je lève régulièrement la tête pour montrer mon visage à L’homme que je suce . Mon regard se trouble , un mélange de honte et de soumission peut se détecter parait-il sur mon visage à ce moment la. Il y a ceux qui disent des mots comme salope, d'autre qui m'encourage et ceux qui ne parlent pas mais qui ont des yeux qui parlent pour eux . Il m'arrive de me sentir rougir au moment où je lève la tête , la bite en bouche et que nos regard se croise un long moment.

Je pompais mon inconnu sans ménager ma peine, jusqu'au moment où n'y tenant plus mon bienfaiteur vida sa semence dans le fond de ma gorge . Il me tenait la tête pour pas que je puisse me retirer , j'en avais plein la bouche . Je croyais étouffé , je me débarrassai de la bite pour déglutir xjle jus doucement . Il frottait sa bite contre mon visage pendant que j’avalais son jus .
Le visage souillé par le frottement de sa bite je me relevais. Je me sentais toute petite devant ce grand gaillard, j’étais honteuse de ce que je venais de faire mais satisfaite .

Comment tu t'appelle me dit-il ? Annie ! Tu es mariée ? En pinçant mes élèves je faisais signe de la tête pour dit oui. J'adore les salopes mariées , tu es une sacrée suceuse Annie , tu aime les sucette . Tu as des petits nichons mais un beau petit cul et des belles jambes . Tu as raison de montrer tes cuisses avec tes courtes jupes, mes collègues et moi t'avons remarqué et nos fantasmons sur tes cuisses . On te regardent derrière les caméras quand tu viens ici , tu nous fais tous bander . Quand je vais raconter comment tu suce ils vont être jaloux . Vous n'allez pas raconter ça a vos collègues ! Bien sûr que si ! Et il vont aimer, je vais aussi raconter que tu ne porte pas de culottes . Je devais être écarlate , je lui demandait de ne rien dire , mais il me dit que même si il ne disais rien ses collègues nous ont vu et il va se faire questionner. Il me dit s'appeler Karim et il disparut me laissant presque nue et sans m'avoir satisfaite . Ça m’apprendra à trop bien sucer , les mecs, certain disparaisse quand il se sont purgé et moi je reste sur ma faim . J'avais envie de sentir sa grosse bite dans mon ventre. Je me rhabillai sans essayer mes petites robes de soirée.

De retour dans la galerie je regardais les caméras, je pensais à ces vigiles qui devaient me regarder . Maintenant quand je viendrai dans cette galerie je sais que je me ferai mater derrière les écrans. Karim va se vanter et raconter que je suis mariée mais que je suis une vraie pute . Comme je viens très souvent dans cette galerie , et parfois avec mon mari et mes enfants, j'éprouvai un drôle de sentiment de la honte et du plaisir .

Je flânais encore une heure je suppose avant de retourner à ma voiture au troisièmes sous sol. Personne ne me suivait , juste un pépé et sa femme dans l'ascenseur. J’étais très excitée , Ce salop de Karim m'a mis le feu sans l'éteindre. Je repensais a certains bon coup de bites qu'il m'est arrivé de prendre dans ce parking avec des amants . Mon mari qui veut toujours que je le suce avant de partir quand nous n'avons pas les enfants. Mais ce qui m'excite le plus est quand je me souviens des trois arabes .


Ce soir la, mon mari et moi avions fait plus de 4 heures de shopping . Plusieurs mecs m'avaient maté et nous étions très excités. Mon homme qui adore que les hommes me regardent était ravis. N'y tenant plus, dans l'après Midi , il m’avait accompagné aux toilettes et après lui avoir sucé la bite il avait ramoné mon petit cul . J'avais achetée deux petites jupes ras des fesses et mon homme avait voulu que j’en porte immédiatement .

1. Dans l'ascenseur qui nous menait au sous sol pour récupérer notre voiture trois arabes nous accompagnaient . Je me suis prise deux mains sur les fesses discrètement avec mon mari a coté qui me tenait la main . Ils sont sorti de l'ascenseur au même étage que nous, mais se sont dirigés sur la gauche et nous la droite. Je racontais a mon homme les mains au cul , nous nous approchions de la voiture . Mon mari chargeait les paquets dans le coffre, j'étais assise dans la voiture côté passager. J’ai vu les trois arabes arrivé , ils m’ont jeté un petit sourire et ils se sont directement attaqué à mon mari. Rapidement il a été maîtrisé par ces trois gaillards les mains attachées dans le dos par une sangle que mon mari a toujours dans le coffre. Je ne pouvais rien faire j’ai voulu commencer à crier mais un des mecs a ouvert la porte et m’a collé deux claques en me disant ferme ta gueule sale pute . Tu fermes ta gueule et tu te laisse gentiment faire et on ne fait rien à ton mari sinon on lui défonce sa gueule et tu vas voir il ne va pas être beau à voir. Je pleurais, je dis , ne toucher pas a mon mari je ferais ce que vous vouliez . Très bien ma chérie, tu vas voir que ce que tu aimes . Le chef me prit par la main et nous partîmes a quelques mètres dans un box privé . Mon mari suivit accompagné des deux autres . Dans le boxe une passat y était stationnée, nous avons été derrière il n'y avait peux de place . Un des trois type a baissé a moitier la porte , pour avoir un peu de lumière. Le chef m’a dit de retirer mon manteau ma jupe et mon haut . Il a posé mon manteau sur la passat comme une couverture. Ils ont commencé a me tripoter partout . Un mec a fait remarquer que mon homme bandait . Le chef m'a prise sur le coffre de la voiture , il m'a empalée sur sa bite . Un des mecs a détaché mon mari en disant . : Ça te fait bander salop , branle moi et suce moi en attendant que j'encule ta femme. Le chef me défonçait le vagin . Je prenais mon pied , j'étouffais mes cris accrochée a son cou . Mon mari me regardait emmanchée sur cette tige longue et rigide profondément ancrée en moi . Je pouvais lire les insultes sur le regard de mon mari qui voyait bien le plaisir que je prenais. Salope comme je suis il n'avait pas eu de mal a me posséder. Toutes femmes se serait défendue, mais moi sous prétexte de protéger mon homme j'avais comme a mon habitude écartée gentiment les cuisses . Mon homme était réduit a l'état de lopette et il suçait celui qui voulait sodomiser sa femme . Aussitôt que le chefs a répandu sa semence dans mon ventre il dit a son pote : a toi , encule cette pute ! Mon mari totalement asservie guida lui-même la bite du type dans mon cul . Le troisième me tripotait les seins et fouillait ma chatte pendant que je me faisais défoncer le cul . Il vidait toute sa sauce dans mon cul , je restais contre le coffre de la voiture cuisses écartées , le cul toujours offert et dégoulinant de sperme . Le chef dit a mon homme de lécher tout , de nettoyer mes orifices de putain . Après le chef étala mon manteau ma jupe et mon pull au sol . Il s'allongea dessus et ordonnait de venir sur lui . J'obeie et sa tige reprit sa place dans mon ventre , il dit a son pote de venir derrière m'enculer en même temps. Le troisième me présentait sa bite devant ma bouche . Mon mari se branlait devant le spectrale, il regardait ces mecs me défoncer a trois en même temps. Les mecs m'ont bien défoncés, ils se sont vidé une foiis de plus en moi . Puis ils mon fait nettoyer leurs queues avant de partir . Mon mari qui avait déjà éjaculé a terre voulu que je le suce lui aussi . Pendant ce temps les trois arabes ont disparus . Mon mari se vidait dans ma gorge et me dit :Annie ,tu es une sacrée pute !

J'étais remplie et couverte de sperme , souillée par ces trois inconnues, ces trois violeurs. Je ramassai ma veste , mais le reste de mes affaires avait disparus . J'enfilai cette courte veste par-dessus ma nudité . Je n'étais pas belle a voir , toute décoiffé, le maquillage avait coulé, je sentais la bite , le sperme. Nous nous somme dirigé ver la voiture , et avons pris la route du chemin du retour.






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