Anniversaire - histoire érotique

Elle désespérait de le voir arriver pour son anniversaire, elle pensait qu’il l’avait oublié. Mais il était arrivé, certes, en retard mais tenant dans ses mains un gigantesque bouquet de fleurs. Il y avait des roses rouges, des violettes des Rivières Pourpres et plein d'autres éblouissantes fleurs, le bouquet était magnifique. Il avait mis du temps à le préparer. Il lui tendit dès qu'elle ouvrit la porte, le sourire aux lèvres. Elle était émerveillée. La soirée allait bien se passer. Quelques heures magnifiques passèrent, mais une phrase un peu triste et emplie de regrets vint troubler la douce soirée…

"J'aurais aimé que tu m'amène au restaurant", avait-elle dit d'un ton triste. Loin de se démonter, il s’était lever en disant "Pour le resto, ça va être difficile, mais donne-moi une dizaine de minutes!". Et il était partit en coup de vent. Elle avait l'habitude. Dès qu'il avait une idée, il ne disait jamais rien à personne jusqu'à ce qu'il trouve tout ce qu'il lui fallait. Qu'allait-il inventer encore ? Il était déjà parti depuis dix minutes, elle s'ennuyait, elle se demandait ce qu'il faisait. Elle se leva et vérifia dans son grand miroir si elle était jolie. Elle entendit plein de bruits dans la cuisine. Elle s'inquiétait un peu, lui demanda si tout allait bien, il fit encore quelques bruits et cria "Tout va bien! Ne bouge surtout pas!". Elle resta donc dans sa chambre et en profita pour se faire encore plus belle. Elle enfila une robe noire et dorée très sexy et près du corps, se fit une jolie coiffure, se remaquilla et mit un joli collier pendant qu'il s'affairait à la cuisine. Il arriva en courant dans la chambre en courant et la vit dès qu'il ouvrit la porte. Elle était magnifique dans sa petite robe noire. "Woah!". Elle sourit et dit "Tu n’étais pas censé me voir tout de suite...", elle tourna sur elle-même en disant "Comment tu me trouve ?"

Il était émerveillé, elle était tellement belle. Il ne tarissait pas d'éloge et elle rougissait un peu plus à chaque fois. Il sourit et lui recommanda de fermer les yeux. Elle lui demanda d'attendre quelques secondes et se retourna pour mettre ses ballerines. Elle ferma les yeux et il la prit par la taille pour la faire avancer. Elle se laissa faire en souriant en sentant ses mains sur ses hanches. "Tu veux en profiter pour me caresser ?" - Il rigola en disant "Non, pas tout de suite." - Ils étaient arrivés, il lui dit qu'elle pouvait ouvrir les yeux. Elle les ouvrit doucement et vit qu'il avait préparé une magnifique table. Il avait déposé une nappe rouge très jolie et avait disposé dessus de belles assiettes et couverts. Il avait pensé à tout, du champagne aux roses. Elle était bouche bée. Elle se retourna et l'embrassa tendrement. "T'es vraiment génial toi." - Elle s'assit à la table en lui demandant "Tu nous as fait quoi de beau à manger ? A moins que ce ne soit moi qui sois à manger ?" En souriant en coin. "Tu dois être bonne", rigolât-il en lui mordillant l'oreille. Elle fit semblant de gémir pour l'exciter pendant qu'il continuait de lui mordiller l'oreille, tout doucement. Elle se frotta lui tout doucement, il lui chatouillait la nuque se ses lèvres. Elle se dégagea tout doucement en lui et lui promettant que le désert serait à la fin du repas, dans un sourire...

Ils allèrent s'asseoir et se servirent du champagne. "Tu vas me saouler pour mieux profiter de moi ?", rigolât-elle. Ils s’esclaffèrent et trinquèrent. "A cette merveilleuse soirée qui se finira on ne sait comment", trinqua-t-elle en lui faisant un clin d'œil. Elle but quelques gorgées, les yeux dans les siens. "Moi je sais", rigola-t-il en prenant un air fanfaron. Elle retira le verre de ses lèvres, "et comment ?", il rigola et lui refit un clin d'œil. Elle sourit un peu perversement et disant pensivement "Quelque chose me dit que cette robe ne va pas rester très longtemps sur moi..."

« Alors, qu'as-tu fais de bon manger ? » Il avait complètement oublié le repas. Il courut à la cuisine. Il arriva quelques minutes plus tard, un plateau dans les mains et dit d'un ton pompeux "Linguine e prosciutto di Pama". Elle le regarda en souriant en disant "Traduction, s'il vous plait.", d'un air faussement cérémonieux. Il lui montra en faisant une révérence et en disant "Des tagliatelles et du jambon de Parme pour Madame." Elle sentit l'odeur du plat et passa sa langue sur ses lèvres. "Appétissant." - "Je trouve aussi", dit-il en la regardant. Elle rigola. "Allez, sers- moi, beau parleur." - Il la servit, se servit et s'assit. "Bon appétit!" - "A toi aussi!". Ils commencèrent à manger. Au bout de quelques secondes, elle poussa un gémissement de plaisir "Oh mon Dieu! C'est délicieux! Tu es vraiment un super cuisinier.... j'espère que tu cuisine bien autre part..." –

Cette phrase l'avait déconcerté. Il bégaya "Euh... ça se pourrait..." pendant qu'elle lui faisait un sourire coquin... Elle avait presque fini son assiette qu'un bout de jambon tomba dans son décolleté. "Oups." - Il le vit tomber et se mit à rire. Elle croisa les bras sur sa poitrine et dit d'un ton autoritaire "Rigole pas et viens le chercher." - Il se leva et s'approcha d'elle en souriant. Elle le regarda "Tu n'es pas obligé, hein ? Je disais ça pour rigoler..." - Elle était un peu gênée. "Oui, je sais. Mais ça a l'air d'être rigolo par-là...", rigola-t-il. Elle explosa de rire. "C'est censé t’exciter cette zone, pas t'amuser." - Il rigola lui aussi. "Y a un peu des deux." - Il s'approcha un peu plus d'elle et passa juste derrière elle. Il lui caressa doucement la nuque en passant. Sensuellement. Ses mains descendirent un peu dans son dos. Puis remontèrent et partirent devant. Elle regardait ses mains aller et venir avec douceur. Il descendait et remontait tranquillement pendant qu'elle soupirait de plaisir. Il commençait à lui caresser la gorge. Sa poitrine se soulevait un peu. Il se releva tourna la chaise vers lui. Il s'accroupit pour continuer à la caresser. Elle commençait à fondre sous ses caresses. Pris d'une envie soudaine, il la chatouilla. Elle rigola mais lui dit tout de même "Tu gâches mon excitation, chou." - Il sourit en soutenant qu'il était désolé. "C'est rien." Elle l'embrassa sur le menton, en lui laissant sciemment une belle vue sur ses seins. Il ne pouvait détacher son regard d'elle. Elle était magnifique. Une déesse grecque sous forme humaine…

"Tu mate bien ? Ça va ?". Le ton était dur, froid. Il leva les yeux vers elle et bégaya "Euh... Euh..." - Elle rigola en disant "Tu peux regarder, t'inquiète pas.". Il lui répondit, toujours en bégayant "Tu... tu es si belle..." pendant qu'elle rougissait. Il continuait de la caresser. Il descendit encore et attrapa le bout de jambon "Je l'ai !" - Il rigola. "Merci." - Il la regarda et sourit. Elle prit le morceau de jambon et le passa près des lèvres du garçon. Il ouvrit un peu la bouche. Elle le glissa délicatement dans sa bouche en le regardant droit dans les yeux. Il sortit sa langue pour l'aider et caressa ses doigts avec. Elle frissonna et le rentra entièrement en rougissant face à la caresse de la langue de son partenaire. Il mangea le bout de jambon. Elle retira doucement ses doigts en souriant. Il avait les yeux fixés sur elle. Ils se regardaient droit dans les yeux. Elle se sentait attirée et hypnotisée par lui, elle se leva en continuant de le regarder. Il était toujours accroupi, elle le releva en continuant de le regarder dans les yeux. Elle posa une main sur son torse et l'autre derrière sa nuque. Leurs visages se rapprochèrent. Leurs lèvres s'effleurèrent. Leurs cœurs commencèrent à battre plus vite. Ils s'embrassèrent. Langoureusement. Passionnément. Longuement... une fois le baiser rompu, elle caressa tendrement sa joue "Fais-moi l'amour...". Il sourit et la prit dans ses bras pour l'amener dans la chambre. Elle noua ses bras autour de sa nuque. Comme une princesse dans les bras de son prince. C'était magique, c'était beau. Il la posa délicatement sur le grand lit en l'embrassant. Elle avait un peu peur, elle appréhendait un peu sa première fois, mais elle l'aimait, elle savait que c'était le bon. Il s'allongea à côté d'elle, tout en continuant ses embrassades. Ils se caressaient tendrement, amoureusement. Elle posa une main sur son torse et le tira un peu vers elle pour le mettre au-dessus d’elle. C’était magique. Digne des plus grands films ou romans. Du moins, c’est ce qu’ils pensaient… Il l’embrassa dans le cou. Comme il l’avait vu faire de si nombreuses fois, un peu partout. C’était bien…

Elle gémissait, en dessous de lui. Il lui faisait de petits bisous dans le cou. Elle tourna un peu la tête sur le coté, en respirant un peu plus vite, appréciant le contact. Elle soupira de plaisir et dit dans un souffle « Pas de préliminaires… je te veux tout de suite… j’ai assez attendu de t’avoir… ». Il sourit, sans parler, il n’avait pas besoin de parler. C’était un instant magique, et il avait peur de le troubler avec des mots. Il remonta doucement sa robe en la caressant. Elle sourit en le laissant faire. « Je savais qu’elle ne durerait pas très longtemps. » - Il sourit et enleva un par un ses vêtements. Il les jeta par terre, sans y faire attention, il n’y avait qu’une seule chose à laquelle il pensait : elle. Elle l’aida à enlever son tee-shirt, elle le caressait en même temps. Ils s’embrassaient en même temps. C’était magique. Il était à présent complètement nu, et était déjà au sommet de sa forme, si l’on peut dire. Elle le coucha et se mit sur lui. Il était totalement nu mais elle, elle était encore en sous-vêtements. Elle enleva son soutien-gorge d’un seul geste et tira sur les ficelles de sa petite culotte en le regardant perversement. Elle l’excitait de plus en plus. C’est fou comme cette fille était canon. Elle bougea doucement ses hanches pour frotter son sexe humide contre le sien. C’était si bon. Ils gémissaient en cadence. Elle se pencha vers lui pour l’embrasser et le fit tout doucement enter en elle…

Que d’émotions en quelques secondes ! C’était prodigieux, magique. Le paradis sur terre… ils allaient et venaient doucement, tranquillement… ils étaient jeunes, ils étaient beaux. Ils avaient toute la vie devant eux et, à cet instant, seul le moment présent comptait. Le temps s’était arrêté…