Anniversaire de mariage
Récit érotique écrit par Ecrivain [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-12-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Anniversaire de mariage
Ca y est, ça le reprenait, elle avait bien vu depuis quelques jours qu’il était nerveux, elle sentait bien qu’il n’était pas comme d’habitude. Il la négligeait lui qui pourtant était assez porté sur la chose et il y avait bien quinze longs jours qu’il ne l’avait pas honoré et elle commençait à ressentir le besoin qui montait en elle, ce sourd fourmillement qui lui démangeait la foufoune. Elle commençait à ne plus pouvoir regarder les hommes sans baisser discrètement le regard sur la bosse de leur pantalon, cherchant à imaginer la position de leur kiki, et la grosseur de leurs roudoudous.
C’est en rangeant un outil, qu’elle avait découvert des magazines qui traînaient au fond d’un tiroir dans le garage, ils étaient couverts de photos de partouze mais, ce qui était bizarre c’est que sur chaque cliché, il n’y avait qu’une femme qui était entourée de mâles en rut, leurs queues tendues comme des bourricots.
Et, le pire c’est qu’en lisant l’histoire qui les accompagnait elle apprit que le mari de la dame faisait parti du troupeau et que c’était même lui qui avait invité ses 2 copains à venir déguster son épouse!
Il y en avait un qui avait planté son gros saucisson dans le petit derrière de la dame pendant qu’un des autres s’activait dans sa foufoune sa grosse queue toute baveuse allant et venant dans sa petite chatte trempée de cyprine. La pauvre, comment résister à un tel assaut. Et elle referma vite les magazines en serrant les cuisses car, ma petite culotte commençait à être trempée…
Comme c’était leur anniversaire de mariage le dimanche soir suivant, ils allèrent au restaurant, Jean qui semblait avoir retrouvé la forme, n’arrêta pas de l’exciter pendant tout le repas et à peine dans la voiture, passant sa grosse paluche sous ma petite jupette et trouvant que la petite culotte le gênait, il la balança sans façon sur le siège arrière. Alors pour le faire cesser de peur d'un accident, elle se pencha sur sa braguette qui allait bientôt craquer et dégageant la queue tendue comme un arc, elle commença à la sucer tout en long d’une langue experte puis, serrant les lèvres sur le bout du gland, elle se l’avala doucement, la dégustant avec délice pendant qu’il conduisait.
Comme la voiture ralentissait, elle pensa qu’il ne pouvait plus tenir sous le traitement de choc qu’elle lui faisait subir et qu’il était à point pour la prendre avant de cracher.
Il s’était arrêté devant un chantier de construction et il l'entraînât tout excité dedans et elle se retrouva bientôt haletante acculée entre deux baraques blanches, les cuisses écartées offerte attendant impatiemment ses gros doigts qui n’en finissaient pas de lui caresser ses mamelons qu’il avait libéré de son corsage les exposant au petit vent du soir; impatiente qu’elle était que sa queue noueuse écarte ses gosses lèvres pour s‘enfoncer dans son antre qui l’attendait avec impatience mais, elle tremblait en même temps de peur d’être surprise dans cette position obscène par un inconnu et ce cochon savait bien que la peur la faisait mouiller de plus belle !!!
C’est alors qu’elle les vit tous les deux, ils étaient appuyés contre la baraque d’en face les yeux exorbités fixés sur la main de Jean qui abandonnant ses seins commença à relever la jupe pour les rendre encore plus fous en leur exposant la chatte poilue pour qu’ils puissent se branler… Ce salaud avait bien préparé son coup.
Elle essaya bien de retenir le fragile tissu avec ses deux mains serrées sur les gros doigts plantés entre ses cuisses mais ce salaud se mettant sur le côté pour leur dégager la vue se mit à accélérer la cadence pour les exciter encore plus en lui faisant écarter les cuisses, et quand ils l’entourèrent tous les deux, il lui susurra bon anniversaire chérie au creux de l’oreille en l’embrassant dans le cou et il leur céda la place…
C’est vrai qu’ils avaient de belles queues ! Ils les frottaient contre ses deux mains qui essayaient encore de défendre faiblement sa foufoune, les deux glands déjà baveux cherchaient à forcer ses paumes pour se faire câliner. Comment résister à ces deux matraques bouillantes et palpitantes qui forçaient ses petites mains, avides de son corps et quand ils commencèrent à frotter leurs poitrines velues et odorantes contre la pointe de ses seins, elle s’imagina écrasée sous eux les jambes écartelées par les grosses cuisses musclées et oubliant tout, elle laissa sa jupe tombée entres ses pieds, s'abandonnant en leur dévoilant sa foufoune et s’emparant des deux colonnes bouillantes, elle se mit à les branler frénétiquement en les traitant de bande de salauds.
Quand elle sentie la porte céder derrière elle, elle se laissa porter à l'intérieur, bousculée sur un matelas couvert de taches de sperme pendant que des grosses lèvres piquantes écrasaient les siennes, violant sa bouche à la recherche de la sienne…
Deux mains s’étaient refermées sur ses seins bouillants les caressant comme un trésor de guerre, deux autres s’étaient positionnées entre ses cuisses, remontant et descendant en frôlant seulement sa toison pour la faire mouiller. Elle qui pensait qu’ils allaient la prendre là, à la cosaque, depuis le temps qu’ils n’avaient pas vu de femmes, mais non, ils ne semblaient pas pressés, les deux pines se frottaient contre ses cuisses, ils la respiraient, se soulant de son odeur femelle et quand elle sentie une tête toute crépue forcer ses jambes, elle releva les genoux écartant ses cuisses les ouvrant pour, offrir sa chatte en feu à la langue gourmande pendant que l’autre homme qui la chevauchait comme une monture promenait sa queue entre ses seins, le gland baveux de foutre venant frôler ses lèvres à chaque poussée en y marquant un petit arrêt avant de redescendre entre les deux mamelons affolés. Ce n’était pas possible, il allait voir et le tirant soudain par ses poignées d’amour, elle réussie toute contente d'elle à refermer sa bouche sur la queue bien décidé à la faire cracher son jus.
Elle adorait tourner les glands dans sa bouche les enroulant de sa langue experte, ils étaient si lisses et si chauds et puis, cette saveur de sperme qui suintait était si agréable et quand elle entendit le mâle commencer à haleter en se crispant, elle relâcha le gland, et emprisonna la queue dans la vallée de ses seins et les giclées de sperme commencèrent à s’écrasèrent chaudes et gluantes sur ses deux mamelons qu’elle s’empressa de pétrir, étalant la précieuse semence odorante jusqu’à la pointe de ses tétons qui disparurent bientôt noyés dans le foutre…
Elle essaya d’écarter la tête collée à sa foufoune qui la rendait folle, mais, depuis le temps qu’il n’avait goûté le jus qui bavait de la chatte affolée, l'homme ne voulait pas lâcher sa vulve poilue, sa langue fouillant le trou adoré, titillant le clito en tout sens. Alors, comme elle sentait la queue palpiter entre ses genoux, elle essaya de l'activer en la serrant entre ses deux cuisses nerveuses et, enfin il se redressa la queue gonflée de désir battant l’air et elle sentie enfin le gland bouillant se mettre à fourrager entre les poils de sa chatte, les écartant à la recherche du trou qu'il força de son nœud violacé et impatient et quand elle sentie la queue s'enfoncer jusqu'à la garde, elle se mit à gémir, sa tête battant de droite et de gauche se laissant aller au spasme qui montait en elle à chaque fois que la grosse queue toute grasse de son jus s’enfonçait dans son antre affolé.
Le salaud savait travailler, il s’enfonçait d’abord en tortillant dans la chatte brûlante écartant les grosses lèvres toutes poilues puis, secouant son pieu au fond de son trou, il se retirait doucement sur le bord de la minette avant de se renfoncer d’une violente secousse la faisant tant mouiller qu’un bruit de gargouillis s’élevait à chaque fois tant sa mouille coulait.
Elle sentait ses mains puissantes qui se cramponnaient, la collant contre son corps musclé et, quand il la basculât sur le côté, elle regretta de ne plus être écrasée sous lui mais en sentant soudain la chaleur d’un autre corps venir se coller contre son dos, elle comprit pourquoi il lui écartait tant les fesses, dégageant son petit trou tout gluant de sa mouille qui avait coulée dessus en le graissant, et quand elle sentie la chaleur de l’autre gland sur sa rosette, elle ferma les yeux pendant que la langue poisseuse du premier mâle se mettait à farfouiller dans sa bouche.
Jean n'en pouvait plus du spectacle, il s'était assis face aux douces cuisses écartelées et voir les pieux qui s'enfonçaient tous les deux en cadence, ressortant tout gras de jus, dans Denise qui gémissait de plaisir le rendait fou d'excitation et il ne pouvait plus se contrôler, sa main secouant son mat en mesure, prêt à cracher. Aussi, quand l'homme se planta devant lui, l'empêchant de voir le spectacle, il essaya d'abord de l'écarter mais, apparemment, il ne l'entendait pas de la même oreille et quand il lui présenta sa bite devant les lèvres après l'avoir fait s'agenouiller devant lui en le prenant par les cheveux, il comprit que c'était sa punition pour avoir livré madame et fermant les yeux, il ouvrit la bouche, refermant ses lèvres sur la queue puante…
C’est en rangeant un outil, qu’elle avait découvert des magazines qui traînaient au fond d’un tiroir dans le garage, ils étaient couverts de photos de partouze mais, ce qui était bizarre c’est que sur chaque cliché, il n’y avait qu’une femme qui était entourée de mâles en rut, leurs queues tendues comme des bourricots.
Et, le pire c’est qu’en lisant l’histoire qui les accompagnait elle apprit que le mari de la dame faisait parti du troupeau et que c’était même lui qui avait invité ses 2 copains à venir déguster son épouse!
Il y en avait un qui avait planté son gros saucisson dans le petit derrière de la dame pendant qu’un des autres s’activait dans sa foufoune sa grosse queue toute baveuse allant et venant dans sa petite chatte trempée de cyprine. La pauvre, comment résister à un tel assaut. Et elle referma vite les magazines en serrant les cuisses car, ma petite culotte commençait à être trempée…
Comme c’était leur anniversaire de mariage le dimanche soir suivant, ils allèrent au restaurant, Jean qui semblait avoir retrouvé la forme, n’arrêta pas de l’exciter pendant tout le repas et à peine dans la voiture, passant sa grosse paluche sous ma petite jupette et trouvant que la petite culotte le gênait, il la balança sans façon sur le siège arrière. Alors pour le faire cesser de peur d'un accident, elle se pencha sur sa braguette qui allait bientôt craquer et dégageant la queue tendue comme un arc, elle commença à la sucer tout en long d’une langue experte puis, serrant les lèvres sur le bout du gland, elle se l’avala doucement, la dégustant avec délice pendant qu’il conduisait.
Comme la voiture ralentissait, elle pensa qu’il ne pouvait plus tenir sous le traitement de choc qu’elle lui faisait subir et qu’il était à point pour la prendre avant de cracher.
Il s’était arrêté devant un chantier de construction et il l'entraînât tout excité dedans et elle se retrouva bientôt haletante acculée entre deux baraques blanches, les cuisses écartées offerte attendant impatiemment ses gros doigts qui n’en finissaient pas de lui caresser ses mamelons qu’il avait libéré de son corsage les exposant au petit vent du soir; impatiente qu’elle était que sa queue noueuse écarte ses gosses lèvres pour s‘enfoncer dans son antre qui l’attendait avec impatience mais, elle tremblait en même temps de peur d’être surprise dans cette position obscène par un inconnu et ce cochon savait bien que la peur la faisait mouiller de plus belle !!!
C’est alors qu’elle les vit tous les deux, ils étaient appuyés contre la baraque d’en face les yeux exorbités fixés sur la main de Jean qui abandonnant ses seins commença à relever la jupe pour les rendre encore plus fous en leur exposant la chatte poilue pour qu’ils puissent se branler… Ce salaud avait bien préparé son coup.
Elle essaya bien de retenir le fragile tissu avec ses deux mains serrées sur les gros doigts plantés entre ses cuisses mais ce salaud se mettant sur le côté pour leur dégager la vue se mit à accélérer la cadence pour les exciter encore plus en lui faisant écarter les cuisses, et quand ils l’entourèrent tous les deux, il lui susurra bon anniversaire chérie au creux de l’oreille en l’embrassant dans le cou et il leur céda la place…
C’est vrai qu’ils avaient de belles queues ! Ils les frottaient contre ses deux mains qui essayaient encore de défendre faiblement sa foufoune, les deux glands déjà baveux cherchaient à forcer ses paumes pour se faire câliner. Comment résister à ces deux matraques bouillantes et palpitantes qui forçaient ses petites mains, avides de son corps et quand ils commencèrent à frotter leurs poitrines velues et odorantes contre la pointe de ses seins, elle s’imagina écrasée sous eux les jambes écartelées par les grosses cuisses musclées et oubliant tout, elle laissa sa jupe tombée entres ses pieds, s'abandonnant en leur dévoilant sa foufoune et s’emparant des deux colonnes bouillantes, elle se mit à les branler frénétiquement en les traitant de bande de salauds.
Quand elle sentie la porte céder derrière elle, elle se laissa porter à l'intérieur, bousculée sur un matelas couvert de taches de sperme pendant que des grosses lèvres piquantes écrasaient les siennes, violant sa bouche à la recherche de la sienne…
Deux mains s’étaient refermées sur ses seins bouillants les caressant comme un trésor de guerre, deux autres s’étaient positionnées entre ses cuisses, remontant et descendant en frôlant seulement sa toison pour la faire mouiller. Elle qui pensait qu’ils allaient la prendre là, à la cosaque, depuis le temps qu’ils n’avaient pas vu de femmes, mais non, ils ne semblaient pas pressés, les deux pines se frottaient contre ses cuisses, ils la respiraient, se soulant de son odeur femelle et quand elle sentie une tête toute crépue forcer ses jambes, elle releva les genoux écartant ses cuisses les ouvrant pour, offrir sa chatte en feu à la langue gourmande pendant que l’autre homme qui la chevauchait comme une monture promenait sa queue entre ses seins, le gland baveux de foutre venant frôler ses lèvres à chaque poussée en y marquant un petit arrêt avant de redescendre entre les deux mamelons affolés. Ce n’était pas possible, il allait voir et le tirant soudain par ses poignées d’amour, elle réussie toute contente d'elle à refermer sa bouche sur la queue bien décidé à la faire cracher son jus.
Elle adorait tourner les glands dans sa bouche les enroulant de sa langue experte, ils étaient si lisses et si chauds et puis, cette saveur de sperme qui suintait était si agréable et quand elle entendit le mâle commencer à haleter en se crispant, elle relâcha le gland, et emprisonna la queue dans la vallée de ses seins et les giclées de sperme commencèrent à s’écrasèrent chaudes et gluantes sur ses deux mamelons qu’elle s’empressa de pétrir, étalant la précieuse semence odorante jusqu’à la pointe de ses tétons qui disparurent bientôt noyés dans le foutre…
Elle essaya d’écarter la tête collée à sa foufoune qui la rendait folle, mais, depuis le temps qu’il n’avait goûté le jus qui bavait de la chatte affolée, l'homme ne voulait pas lâcher sa vulve poilue, sa langue fouillant le trou adoré, titillant le clito en tout sens. Alors, comme elle sentait la queue palpiter entre ses genoux, elle essaya de l'activer en la serrant entre ses deux cuisses nerveuses et, enfin il se redressa la queue gonflée de désir battant l’air et elle sentie enfin le gland bouillant se mettre à fourrager entre les poils de sa chatte, les écartant à la recherche du trou qu'il força de son nœud violacé et impatient et quand elle sentie la queue s'enfoncer jusqu'à la garde, elle se mit à gémir, sa tête battant de droite et de gauche se laissant aller au spasme qui montait en elle à chaque fois que la grosse queue toute grasse de son jus s’enfonçait dans son antre affolé.
Le salaud savait travailler, il s’enfonçait d’abord en tortillant dans la chatte brûlante écartant les grosses lèvres toutes poilues puis, secouant son pieu au fond de son trou, il se retirait doucement sur le bord de la minette avant de se renfoncer d’une violente secousse la faisant tant mouiller qu’un bruit de gargouillis s’élevait à chaque fois tant sa mouille coulait.
Elle sentait ses mains puissantes qui se cramponnaient, la collant contre son corps musclé et, quand il la basculât sur le côté, elle regretta de ne plus être écrasée sous lui mais en sentant soudain la chaleur d’un autre corps venir se coller contre son dos, elle comprit pourquoi il lui écartait tant les fesses, dégageant son petit trou tout gluant de sa mouille qui avait coulée dessus en le graissant, et quand elle sentie la chaleur de l’autre gland sur sa rosette, elle ferma les yeux pendant que la langue poisseuse du premier mâle se mettait à farfouiller dans sa bouche.
Jean n'en pouvait plus du spectacle, il s'était assis face aux douces cuisses écartelées et voir les pieux qui s'enfonçaient tous les deux en cadence, ressortant tout gras de jus, dans Denise qui gémissait de plaisir le rendait fou d'excitation et il ne pouvait plus se contrôler, sa main secouant son mat en mesure, prêt à cracher. Aussi, quand l'homme se planta devant lui, l'empêchant de voir le spectacle, il essaya d'abord de l'écarter mais, apparemment, il ne l'entendait pas de la même oreille et quand il lui présenta sa bite devant les lèvres après l'avoir fait s'agenouiller devant lui en le prenant par les cheveux, il comprit que c'était sa punition pour avoir livré madame et fermant les yeux, il ouvrit la bouche, refermant ses lèvres sur la queue puante…
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