Anniversaire de mariage - chapitre 3
Récit érotique écrit par Abdul75 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Anniversaire de mariage - chapitre 3
Le lendemain matin, Marie passa plus de temps que d'habitude dans la salle de bains. Puis, elle retourna dans la chambre et fit une large sélection de vêtements dans sa penderie avant de les poser sur le lit.
- Alors que vas tu porter comme lingerie aujourd'hui ma chérie? demanda Yann en admirant le corps nu de son épouse.
- Tu es bien curieux mon amour. Je ne sais pas encore, des bas sûrement mais j'hésite entre le porte jarretelle et les auto fixants. D'après toi lesquels iront le mieux avec ma jupe plissée.
- Tu n'as pas peur qu'elle soit un peu courte pour porter des bas s'étonna Yann.
- Pourquoi ? si je porte des bas, c'est aussi un peu pour qu'un oeil exercé puisse voir le liseré non ?
La remarque de Marie scotcha Yann qui se mit à bander et vint se coller à sa femme.
- Ohhh mais tu as la trique mon chéri; tu n'as pas honte coquin ajouta t-elle en posant sa main sur la bosse apparue dans le pantalon de son mari. Yann répondit en plaquant ses mains sur les seins de Marie et en l'embrassant dans le cou. Mais elle le repoussa gentiment.
- Allons allons, du calme, tu vas te mettre en retard et tu vas me décoiffer.
Il était non loin de 9:30 lorsque Marie émergea de la bouche de métro située à proximité de son travail. Yassine patientait depuis près d'une demie heure appuyé nonchalamment contre la rambarde métallique. Il poussa un sifflement d'admiration lorsqu'il aperçut la belle blonde. Celle-ci se retourna vivement et blêmit en reconnaissant le grand type. Yassine se dirigea alors vers la jeune femme.
- Je vois que tu m'as écouté. T'es bandante comme j'aime déclara t-il. Je t'attendrai au même endroit qu'hier à midi pétante ajouta-t-il en pelotant rapidement le cul de la jolie blonde. Puis il disparut dans la foule laissant Marie rouge de honte.
La femme de l'accueil remarqua le visage coloré de sa jeune collègue lorsqu'elle entra dans les locaux de l'entreprise et elle lui en fit la remarque.
- Ce n'était pas la peine de courir pour arriver à l'heure ma belle lâcha t-elle d'un ton amusé. Tu es largement dans les temps.
Marie salua la femme d'un vague gargouillis avant de se diriger vers les toilettes. Le reflet de son visage dans le miroir lui renvoya effectivement son trouble profond accentué par la lubrification incontrôlable de son vagin. Elle entra alors dans la cabine des WC et baissa son slip jusqu'aux chevilles avant de s'asseoir sur la lunette espérant retrouver une respiration normale.
Une puissante odeur de femelle en chaleur envahit le minuscule local et lorsque Marie jambes écartées souleva sa jupe elle découvrit son bouton intime décalotté et gonflé de sang. Elle le saisit délicatement entre ses doigts et se mit à le faire rouler générant des ondes bienfaisantes dans tout son bassin. Les yeux clos, Marie se caressa ainsi pendant près de deux minutes jusqu'à ce qu'un puissant orgasme agite son corps et lui fasse lâcher un cri qu'elle tenta de masquer en simulant une quinte de toux.
La matinée parut interminable à la jolie blonde. Sa masturbation matinale l'avait à peine calmée et elle était incapable de se concentrer sur une tâche quelconque ne sachant pas comment gérer le trouble qui ne l'avait pas quittée depuis que Yassine avait posé ses larges mains sur ses fesses pratiquement nues sous la fine étoffe de la jupe.
À 11:30, n'y tenant plus Marie prétexta une course urgente auprès de ses collègues puis elle quitta le bureau.
Le soleil brillait et la température était plutôt clémente pour la saison. Machinalement, Marie se dirigea vers le petit square où elle avait rencontré Yassine la veille. Sa chatte s'était remise à mouiller et son slip Tanga était trempé de cyprine.
Après avoir franchi la grille d'accès à l'espace vert, elle aperçut aussitôt le grand noir affalé jambes écartées sur un banc situé à l'ombre d'un marronnier. Le mâle l'examina avec un air satisfait. La belle blonde aux formes épanouies était tombée dans ses filets avec une facilité déconcertante. Il se redressa attendant que Marie vienne sagement s'asseoir à ses côtés puis il passa son bras puissant autour de son cou avant d'approcher ses lèvres épaisses de celles de la jeune femme pour l'embrasser à pleine bouche. Marie ne le repoussa pas. Au contraire, elle répondit avec fougue à la grosse langue agile qui se mêlait à la sienne. Yassine avait glissé sa main sous la jupe de la jeune femme caressant le haut dénudé de ses cuisses tout en titillant de son index le bord des grandes lèvres sous le triangle du slip.
Marie avait posé sa main sur sa jupe voulant empêcher le noir de dévoiler sa lingerie intime aux personnes qui commençaient à s'installer dans le square pour déjeuner. Yassine se leva alors et prit la blonde par la main pour l'aider avant de passer son bras autour de la taille de sa conquête et de l'emmener d'un pas assuré vers un hôtel sans charme situé à proximité.
À 12:30 Marie était étendue sur le grand lit défoncé d'une chambre défraichie de l'établissement. Vêtue de ses bas, son porte-jarretelle et ses talons hauts, elle avait les jambes relevées et solidement maintenues par Yassine. Ainsi positionnée, elle encaissait en gémissant bruyamment les puissants coups de boutoir de son amant. Dans un premier temps, le noir avait branlé Marie sans ménagement quelques minutes en faisant coulisser trois doigts dans sa chatte trempée. Puis la jeune femme avait ressenti un premier orgasme dès que le noir estimant le conduit suffisamment dilaté l'avait pénétrée avec son formidable rondin aux veines saillantes. Malgré les dimensions phénoménales de la mentule ébène qui l'écartelait et la remplissait comme jamais auparavant, la jolie blonde aspirait à recevoir l'intégralité du tenon dans ses chairs. Un nouvel orgasme fulgurant la submergea lorsque le pieu fut enfoncé jusqu'à la garde. Mais l'étalon noir continuait son pilonnage intensif élargissant conscienceusement l'orifice de sa maîtresse. Les mains accrochés aux montants du lit, Marie se tortillait de plaisir en lâchant des cris stridents.
- On dirait que tu l'aimes ma grosse queue noire pas vrai ma jolie. Ça te change du vermicelle de ton mec déclara Yassine dominateur. Marie ne répondit rien.
- Allez salope avoue le ajouta-t-il en haussant le ton et en appuyant ses coups de boutoir.
- Oui... répondit timidement Marie.
- Plus fort chienne s'emporta le noir.
- Oh ouiiii, j'aime ta grosse queue gémit la belle blonde au bord de la jouissance. Yassine baisa ainsi sa conquête pendant plus d'une heure lui procurant de fabuleux orgasmes en remplissant sa chatte de sa sève abondante.
- Ce soir, je te retrouve à la sortie de ton boulot déclara l'étalon après avoir inondé une dernière fois l'intimité de sa maîtresse. Ensuite on ira baiser chez toi et on passera la nuit ensemble. Marie blêmit, - Mais c'est pas possible. Je ne peux pas faire ça à Yann s'offusqua la belle blonde.
- T'occupes pas de ton cocu. Il est temps qu'il comprenne que c'est moi ton nouveau mâle. Je t'attendrai au bar en face de ton bureau à partir de 17:30 conclut Yassine en finissant de se rhabiller.
- Alors que vas tu porter comme lingerie aujourd'hui ma chérie? demanda Yann en admirant le corps nu de son épouse.
- Tu es bien curieux mon amour. Je ne sais pas encore, des bas sûrement mais j'hésite entre le porte jarretelle et les auto fixants. D'après toi lesquels iront le mieux avec ma jupe plissée.
- Tu n'as pas peur qu'elle soit un peu courte pour porter des bas s'étonna Yann.
- Pourquoi ? si je porte des bas, c'est aussi un peu pour qu'un oeil exercé puisse voir le liseré non ?
La remarque de Marie scotcha Yann qui se mit à bander et vint se coller à sa femme.
- Ohhh mais tu as la trique mon chéri; tu n'as pas honte coquin ajouta t-elle en posant sa main sur la bosse apparue dans le pantalon de son mari. Yann répondit en plaquant ses mains sur les seins de Marie et en l'embrassant dans le cou. Mais elle le repoussa gentiment.
- Allons allons, du calme, tu vas te mettre en retard et tu vas me décoiffer.
Il était non loin de 9:30 lorsque Marie émergea de la bouche de métro située à proximité de son travail. Yassine patientait depuis près d'une demie heure appuyé nonchalamment contre la rambarde métallique. Il poussa un sifflement d'admiration lorsqu'il aperçut la belle blonde. Celle-ci se retourna vivement et blêmit en reconnaissant le grand type. Yassine se dirigea alors vers la jeune femme.
- Je vois que tu m'as écouté. T'es bandante comme j'aime déclara t-il. Je t'attendrai au même endroit qu'hier à midi pétante ajouta-t-il en pelotant rapidement le cul de la jolie blonde. Puis il disparut dans la foule laissant Marie rouge de honte.
La femme de l'accueil remarqua le visage coloré de sa jeune collègue lorsqu'elle entra dans les locaux de l'entreprise et elle lui en fit la remarque.
- Ce n'était pas la peine de courir pour arriver à l'heure ma belle lâcha t-elle d'un ton amusé. Tu es largement dans les temps.
Marie salua la femme d'un vague gargouillis avant de se diriger vers les toilettes. Le reflet de son visage dans le miroir lui renvoya effectivement son trouble profond accentué par la lubrification incontrôlable de son vagin. Elle entra alors dans la cabine des WC et baissa son slip jusqu'aux chevilles avant de s'asseoir sur la lunette espérant retrouver une respiration normale.
Une puissante odeur de femelle en chaleur envahit le minuscule local et lorsque Marie jambes écartées souleva sa jupe elle découvrit son bouton intime décalotté et gonflé de sang. Elle le saisit délicatement entre ses doigts et se mit à le faire rouler générant des ondes bienfaisantes dans tout son bassin. Les yeux clos, Marie se caressa ainsi pendant près de deux minutes jusqu'à ce qu'un puissant orgasme agite son corps et lui fasse lâcher un cri qu'elle tenta de masquer en simulant une quinte de toux.
La matinée parut interminable à la jolie blonde. Sa masturbation matinale l'avait à peine calmée et elle était incapable de se concentrer sur une tâche quelconque ne sachant pas comment gérer le trouble qui ne l'avait pas quittée depuis que Yassine avait posé ses larges mains sur ses fesses pratiquement nues sous la fine étoffe de la jupe.
À 11:30, n'y tenant plus Marie prétexta une course urgente auprès de ses collègues puis elle quitta le bureau.
Le soleil brillait et la température était plutôt clémente pour la saison. Machinalement, Marie se dirigea vers le petit square où elle avait rencontré Yassine la veille. Sa chatte s'était remise à mouiller et son slip Tanga était trempé de cyprine.
Après avoir franchi la grille d'accès à l'espace vert, elle aperçut aussitôt le grand noir affalé jambes écartées sur un banc situé à l'ombre d'un marronnier. Le mâle l'examina avec un air satisfait. La belle blonde aux formes épanouies était tombée dans ses filets avec une facilité déconcertante. Il se redressa attendant que Marie vienne sagement s'asseoir à ses côtés puis il passa son bras puissant autour de son cou avant d'approcher ses lèvres épaisses de celles de la jeune femme pour l'embrasser à pleine bouche. Marie ne le repoussa pas. Au contraire, elle répondit avec fougue à la grosse langue agile qui se mêlait à la sienne. Yassine avait glissé sa main sous la jupe de la jeune femme caressant le haut dénudé de ses cuisses tout en titillant de son index le bord des grandes lèvres sous le triangle du slip.
Marie avait posé sa main sur sa jupe voulant empêcher le noir de dévoiler sa lingerie intime aux personnes qui commençaient à s'installer dans le square pour déjeuner. Yassine se leva alors et prit la blonde par la main pour l'aider avant de passer son bras autour de la taille de sa conquête et de l'emmener d'un pas assuré vers un hôtel sans charme situé à proximité.
À 12:30 Marie était étendue sur le grand lit défoncé d'une chambre défraichie de l'établissement. Vêtue de ses bas, son porte-jarretelle et ses talons hauts, elle avait les jambes relevées et solidement maintenues par Yassine. Ainsi positionnée, elle encaissait en gémissant bruyamment les puissants coups de boutoir de son amant. Dans un premier temps, le noir avait branlé Marie sans ménagement quelques minutes en faisant coulisser trois doigts dans sa chatte trempée. Puis la jeune femme avait ressenti un premier orgasme dès que le noir estimant le conduit suffisamment dilaté l'avait pénétrée avec son formidable rondin aux veines saillantes. Malgré les dimensions phénoménales de la mentule ébène qui l'écartelait et la remplissait comme jamais auparavant, la jolie blonde aspirait à recevoir l'intégralité du tenon dans ses chairs. Un nouvel orgasme fulgurant la submergea lorsque le pieu fut enfoncé jusqu'à la garde. Mais l'étalon noir continuait son pilonnage intensif élargissant conscienceusement l'orifice de sa maîtresse. Les mains accrochés aux montants du lit, Marie se tortillait de plaisir en lâchant des cris stridents.
- On dirait que tu l'aimes ma grosse queue noire pas vrai ma jolie. Ça te change du vermicelle de ton mec déclara Yassine dominateur. Marie ne répondit rien.
- Allez salope avoue le ajouta-t-il en haussant le ton et en appuyant ses coups de boutoir.
- Oui... répondit timidement Marie.
- Plus fort chienne s'emporta le noir.
- Oh ouiiii, j'aime ta grosse queue gémit la belle blonde au bord de la jouissance. Yassine baisa ainsi sa conquête pendant plus d'une heure lui procurant de fabuleux orgasmes en remplissant sa chatte de sa sève abondante.
- Ce soir, je te retrouve à la sortie de ton boulot déclara l'étalon après avoir inondé une dernière fois l'intimité de sa maîtresse. Ensuite on ira baiser chez toi et on passera la nuit ensemble. Marie blêmit, - Mais c'est pas possible. Je ne peux pas faire ça à Yann s'offusqua la belle blonde.
- T'occupes pas de ton cocu. Il est temps qu'il comprenne que c'est moi ton nouveau mâle. Je t'attendrai au bar en face de ton bureau à partir de 17:30 conclut Yassine en finissant de se rhabiller.
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