Anniversaire inattendu - histoire érotique

« Bonjour, mon chéri, bon anniversaire ». Je venais à peine d’ouvrir les yeux ce matin et je sentais que cette journée allait être très belle. Elle s’est tournée vers moi et a posé ses lèvres sur ma bouche et nous avons échangé un baiser torride.
« Je vais aller te préparer ton petit déjeuner » dit-elle en sortant du lit. Comme j’aimais la voir se lever le matin, nue, regarder son petit cul se dandiner. J’avais vraiment de la chance, une femme superbe. Bon, ses 45 ans l’avaient un peu marquée, mais je la trouvais vraiment superbe. Elle a enfilé sa robe de chambre et a quitté la chambre.
Je suis allé prendre une douche et je l’ai rejointe dans la cuisine. Mon jus d’orange, mon café, les tartines, tout était prêt. Je me suis installé et ai commencé mon petit dej.
Elle s’est installée en face de moi pour fumer une cigarette.
« Mon chéri, je voudrais te faire une surprise pour ce soir. Il y a quelques années, tu m’avais demandé pour mon anniversaire de me raser intégralement, tu ne travailles pas aujourd’hui, j’aimerais que tu le fasses également pour me faire plaisir »
« Ben, pourquoi pas, si cela te fait plaisir, ma chérie »
« Super » dit-elle en se levant, « je vais me préparer pour aller au bureau » poursuit-elle en déposant un bisou sur mon front. J’en profitai pour poser une main sur ses fesses, que c’est bon.
Quelques minutes plus tard, elle quittait la maison en m’embrassant fougueusement.
« Bonne journée, ma chérie, à tout à l’heure »
« Bisous, mon amour, et n’oublie pas, fais toi beau. Bonne journée et encore bon anniversaire »
J’avais vraiment envie de lui faire plaisir ; je me suis donc dépêché de retourner à la salle de bains et j’ai récupéré tout le matériel de ma femme, rasoir, mousse, ciseaux. J’ai commencé à dégager aux ciseaux, puis un coup de tondeuse pour finir avec le rasoir. Bon, je ne m’étais pas trop mal débrouillé, malgré 2 ou 3 coupures, mais rien de grave. Je me suis regardé dans la glace, étrange de voir ma bite sans poil. Néanmoins, je me suis rappelé que j’avais alors demandé à ma femme de ne pas oublier ses fesses, que je la voulais entièrement lisse. Mais comment m’y prendre. J’ai présenté mon postérieur à la glace et j’ai essayé de faire de mon mieux. Pas facile de jouer du rasoir, courbé, le cul tendu vers la glace, à me contorsionner pour préparer mes fesses.
J’ai écarté mes fesses pour voir le résultat. C’est la première fois que je me regardais le trou du cul : moins attirant que celui de ma femme et de tous les autres que j’avais vus. J’ai fait un peu de ménage sur les quelques poils de ma poitrine et j’ai fini par mes aisselles. J’ai bien pensé à mes jambes et mes bras, mais j’ai abandonné l’idée. Une bonne douche pour effacer toutes les traces de mousse et j’étais fin prêt. Je n’avais plus qu’à attendre la fête de ce soir, j’avais le sentiment que cela serait torride, que ma chérie allait me régaler.
A 17 heures, elle est arrivée avec 2 grands sacs de courses remplis à ras bord.
« Ne bouge pas, mon chéri, je range les courses et je te rejoins. Ta journée s’est bien passée ? »
J’étais enfoncé dans un fauteuil du salon à regarder la télé.
« Merci mon chéri d’avoir fait le ménage, c’est super ».
10 minutes après, elle me rejoignait dans le salon pour m’embrasser.
« J’ai envie de toi, ma chérie, j’ai envie de te faire l’amour. Tu n’as pas envie ? »
« Calme-toi, mon chéri, la soirée n’a pas encore commencé et tu vas avoir besoin de toute ton énergie ce soir. Continue à regarder ton émission, je vais à la cuisine préparer la soirée »
Elle s’est retournée, est partie direction cuisine et comme à chaque fois, j’ai maté son petit cul en pensant « toi, tout à l’heure, tu vas prendre bon »
Une heure passée. Je me suis demandé plusieurs fois si je n’aurais pas du lui proposer mon aide pour les préparatifs.
« Chéri, tu peux venir à la cuisine, s’il te plait ».
J’ai éteint la télé et me suis précipité à la cuisine pour la rejoindre.
« Chéri, tu vas me monter comment tu t’es préparé. Déshabille-toi »
Je me suis rapidement trouvé à poil.
« Mais tu es tout mignon, mon chéri » me dit-elle en passant sa main sur mes couilles et ma bite, « on dirait un gamin prépubère. « Retourne –toi et présente moi tes fesses. Fais le comme tu m’avais demandé de le faire, tu te rappelles ? »
« Oui, ma chérie, je m’en souviens bien » dis-je en me retournant, me penchant en avant. J’écartai un peu les jambes et j’ai ouvert mes fesses avec les 2 mains.
« C’est presque parfait, mon chéri, mais tu as oublié quelques poils, je vais m’en occuper »
J’ai senti un objet froid dans ma raie et j’ai ensuite poussé un grand cri.
« En voilà un de moins ». Je venais de comprendre, elle arrachait mes derniers poils avec une pince à épiler. Effectivement, les poils du cul doivent être reliés aux yeux car ils étaient plein de larmes quand la séance s’est terminée.
« Bon, tu as ¼ d’heure pour me virer les poils de tes bras et de tes jambes. Je te veux lisse, comme tu me l’avais demandé. Allez, ouste, me dit-elle en me donnant une claque sur les fesses. J’ai ramassé mes habits et suis retourné une nouvelle fois à la salle de bains pour finir le travail. Puis je suis retourné en tenue d’Adam à la cuisine pour montrer mon œuvre.
Elle a de nouveau laissé traîner ses mains sur mon torse, mes jambes, puis a pris mes couilles dans sa main et les a serrées.
« Je crois que tu vas être comblé ce soir, mon chéri ». Puis, elle m’a lâché et m’a embrassé. J’ai cru sentir une intonation étrange dans cette dernière phrase mais peut être est-ce la surprise complète de cette soirée qui m’avait donné cette impression.
Elle a ensuite sorti un bandeau de sa poche.
« Mon chéri, je vais te bander les yeux pour la surprise qui va bientôt commencer » dit-elle en me bandant les yeux.
« Mets les mains dans le dos maintenant » ce que je fis de suite. « Clic, clic » et me voilà menotté, prisonnier.
« Ne bouge pas, je finis les préparatifs, la fête commence dans 5 minutes » et je l’ai entendue quitter la cuisine.
J’ai entendu quelques bruits dont je ne pouvais pas y attribuer une cause. Puis, de nouveau ses pas, elle me rejoignait dans la cuisine. Elle a pris ma bite dans sa main et a commencé à me branler. Il n’a pas fallu bien longtemps pour qu’elle se dresse fière.
« Nous allons aller au salon pour la surprise » et elle a tiré sur ma bite pour m’entraîner. Arrivé au salon, elle est passée derrière moi et m’a retiré mon bandeau. Le temps que mes yeux s’habituent à la lumière
« Bon anniversaire, mon chéri »