Anthony - Chapitre II
Récit érotique écrit par Gay30a18 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Anthony - Chapitre II
Anthony
Les jours passèrent et mes sentiments pour Anthony s’amplifiaient follement. Je n’avais aucune crainte face à ce que je ressentais car ce n’était pas la première fois que je m’éprenais d’un garçon. Néanmoins, une chose nouvelle s’est produite et je n’en étais pas peu fier. Cette fois, non seulement j’étais amoureux d’un homme et j’ai pu satisfaire cette émotion en m’ébattant sexuellement avec ce dernier. Me trouvant désormais que sur un terrain conquis, je nourrissais désormais qu’un seul souhait : recommencer avec lui dès que l’occasion s’y prêterait.
Les jours passèrent et je retrouvai très vite mon rythme habituel et mon train de vie monotone. Chaque matin, je me levais à cinq heures du matin pour avoir le temps de me doucher, de m’habiller et de déjeuner avant de quitter le nid familial. Il me restait plus qu’à avaler les cinq kilomètres qui me séparent du premier arrêt de bus de cette ville dans laquelle je me sentais si bien. C’était d’ailleurs la première fois de mon existence que je me sentais aussi joyeux. Un sourire stupide aux lèvres, des pensées sur l’être aimé et désiré, j’affrontais ces journées sur un très bon pied.
Désormais, la seule crainte que je nourrissais était que mon petit frère cesse d’être ami avec cet Anthony. Néanmoins, si leur relation devait cesser, je savais où trouver le garçon qui faisait battre mon cœur pour l’inviter le temps d’un week-end. Ainsi, j’aurais à loisir suffisamment de temps pour profiter de sa compagnie mais surtout, de son entre-jambe. Puis vint le jour où mon frangin invita une nouvelle fois mon amant à la maison. Là encore, petit séjour de deux jours mais pour moi, c’était amplement suffisant.
Rapidement, Anthony délaissa mon frère pour venir me voir dans ma chambre. On se fit des bisous puisque notre relation restait tout de même de nature fraternelle même si nous n’avons aucun sang identique dans nos veines et on discuta de tout et de rien. Toujours protecteur, je lui demandai si tout se passait de son côté, si son père daignait s’occuper un minimum de lui et bien sûr, la réponse fut négative. Au moment où j’allais lui poser la question concernant ce soir, mon frère l’appela et Anthony sorti très vite de ma chambre. Première tentative soldée.
Loin de me décourager, je décidai de l’attendre en me posant devant la console de jeux vidéo. A cette époque, je passais beaucoup de jeu que j’aimais par-dessus tout, celui d’un certain petit bonhomme vert venant d’un pays imaginaire, celui d’Hyrule. Je fais parti de ceux qui ont eu la chance de découvrir Ocarina of time sur une certaine console comprenant le chiffre soixante-quatre. Je me plaisais de le recommencer à chaque fois que je le terminais et il est toujours mon jeu favori à l’heure actuelle. Tout en enfonçant les différents boutons et en tournant l’unique joystick de la manette, j’attendais fébrilement que mon amant vienne me rejoindre.
Je l’entendais chahuter de l’autre côté du mur et le savoir si heureux me remplissait de bonheur. Dans peu de temps, s’il est partant, c’est moi qui pourrait le rendre joyeux mais d’une autre façon. Je devais juste attendre qu’il me fasse signe, me fasse savoir que le moment était le bon. Un moment, la porte de la chambre de mon frère se fit entendre par son ouverture, en émettant un grincement caractéristique. Reconnaissant la voix d’Anthony dans le petit couloir, j’espérais fortement qu’il vienne me voir et c’était le cas.
Cette fois, c’était l’unique issue de ma pièce intime qui venait de s’ouvrir et continuant tranquillement ma partie, j’avais hâte. Une fois qu’Anthony referma la porte derrière lui, en prenant soin de fermer la serrure à double-tour, j’ai su qu’il venait me voir pour une bonne raison. Naturellement, il vint s’installer dans mes bras et déposa un premier baiser sur l’une de mes joues. Je lui rendis très vite et dans cette position, je poursuivais le jeu comme je le pouvais. A l’intérieur de ma cage thoracique, mon cœur battait la chamade et j’avais envie que d’une seule chose, caresser son corps ardent et le recouvrir de tendres baisers ou de plusieurs coups de langue.
Nous discutions tranquillement lorsque la voix de mon frère à son intention se manifesta une nouvelle fois. Anthony, docile, se leva et regagna l’entrée de ma chambre lorsque je lui posai la question pour ce soir. Là, il répondit qu’il ne recommencerait plus jamais. A l’entente de ces mots, j’avais l’impression que tout un univers s’écroulait. J’avais l’impression de suffoquer, que mon cœur se serrait en ressentant une tristesse qui m’effrayait tant elle était si forte.
Pourquoi Anthony me priva-t-il de ce que j’aimais lui faire sans que je lui demande le moindre retour ? Est-ce qu’il pensait que c’était étrange que deux garçons se fassent plaisir ou du moins, expriment leurs sentiments de cette façon ? A moins que notre première fois mutuelle se soit si mal passé à ses yeux ? Les yeux humectés de larmes, je perdis le goût à tout. Bien que l’heure du dîner approcha à grande vitesse, mon estomac était si noué que je ne tenais pas à le sustenter.
De plus, si c’était pour me retrouver aux côtés d’Anthony, ce n’était pas la peine. J’aurais du mal à être normal, de sourire bêtement pour ne rien laisser paraître. Connaissant ma mère, elle aurait vite comprit que quelque chose me tracassait et elle m’aurait fait chier jusqu’au bout pour que je crache le morceau. En agissant de la sorte, mon mal aurait emparé ainsi que l’état dans lequel je me trouvais. Avec cette crainte dans la tête, je décidai que ce soir, je n’aurais pas faim et que je sauterai volontiers ce repas.
Lorsque j’entendis sa voix dans la pièce d’en bas pour nous annoncer que le dîner était prêt, Anthony vint me trouver pour me demander de venir. Toutefois, de ma bouche, il ne reçu qu’un refus. Cette négativité l’étonna mais mon ami décida de ne pas trop insister. Par contre, je savais très bien qu’il allait le reporter à ma mère et quelques minutes plus tard, c’est elle qui vient me rejoindre dans ma chambre. Etant une maman, elle exprima très vite de l’inquiétude à mon sujet et me demanda ce que j’avais.
Je lui répondis juste que je n’avais pas faim et que cela pouvait arriver. Insistant pour être sûr que je n’avais pas autre chose en tête, causant mon manque d’appétit par la même occasion, j’ai dû la rassurer plusieurs fois pour la voir enfin partir de ma chambre. Désormais seul, je pouvais exprimer mon désarroi sans pour autant verser la moindre larme. Je me contentai de regarder droit devant moi, sans prononcer le moindre mot. A l’étage, j’étais seul tandis que tout le monde se restaurait au rez-de-chaussée.
Par moment, j’entendais mon ventre gargouiller mais j’étais bien décidé à ne pas descendre pour revenir sur ma décision. De toute façon, je n’aurais pu affronter le regard d’Anthony ou pire, lui répondre sans être agressif. Tandis que le silence régnait dans la pièce, malgré le jeu qui continuait sans moi, je fus un peu surpris d’entendre des pas dans l’escalier. Je regardai vite l’heure à mon réveil et je me rendis compte qu’il était déjà bientôt vingt heures. Je ne pensais pas que d’être triste pouvait jouer sur la perception temporelle mais visiblement, j’étais en train d’en faire l’expérience.
Soudain, j’entendis cogner à la porte d’entrée de ma chambre. Je répondis oui et voilà qu’Anthony entra de nouveau dans la pièce. Tracassé par mon état, il voulait savoir ce que j’avais et rapidement, il s’installa dans le creux de mes bras, provoquant une multitude de questions dans ma tête. Pourquoi agissait-il comme si de rien n’était alors que quelques minutes auparavant, ce dernier me disait qu’il ne voulait pas recommencer ? A moins voulait-il qu’on arrête de coucher ensemble mais de continuer à agir comme des frangins.
S’il m’avait demandé de faire un pas en arrière dans notre relation, je lui aurais répondu oui mais au fond de moi, je l’aurais regretté. Maintenant que je le connaissais dans l’intimité, je voulais poursuivre et ne plus pouvoir le toucher comme je le voulais aurait été à mes yeux, une situation des plus pénibles à vivre. Je ne disais rien et Anthony se montra curieux.
« Pourquoi tu n’es pas venu manger ?
- Parce que je n’étais pas d’humeur.
- Pourquoi ?
- A cause de ce que tu avais dit tout à l’heure en sortant de la chambre.
- A propos de quoi ? »
Anthony semble jouer à l’amnésique.
« Lorsque je t’avais demandé s’il y avait moyen qu’on puisse renouveler notre jeu.
- Et je t’avais répondu quoi ?
- Que tu ne voulais pas recommencer. »
A ce moment, Anthony éclata de rire. Le regardant avec de l’incompréhension, j’attendais qu’il se calma pour connaître la raison de cet état. Lorsqu’il redevient sérieux, mon bel amant s’empressa de me rassurer.
« Tu es con. Ce n’était pas à toi que je disais ça mais à ton frère. Il voulait que je fasse une partie de console avec lui mais les jeux de bagnoles, ce n’est pas trop mon truc.
- Donc, toi et moi ….
- Ben bien sûr. »
Et gentiment, Anthony m’embrassa. En éloignant son visage du mien, mon compagnon me fit une confidence.
« Je serais idiot de ne plus vouloir recommencer avec toi sachant que j’avais aimé. D’ailleurs, je viens dormir avec toi ce soir.
- Tu es sérieux ?
- Ouais et si ton frère me dit quelque chose, compte sur moi pour l’envoyer chier. »
Et en me disant ces mots, Anthony posa ses lèvres sur les miennes et nous prolongeons cet échange affectif. Pour le remercier de cette importance qu’il m’accorda, je lui susurrai à l’oreille que s’il le voulait que je le masturbe un peu en attendant, qu’il ne se prive pas pour me le demander. Avec un joli sourire qui me faisait fondre, Anthony glissa ses doigts sous la ceinture de son pantalon pour l’éloigner de son ventre en le tendant au maximum.
« Vas-y.
- Merci. »
Nouveau baiser et cette fois, ma main droite se glissa à son tour dans son vêtement pour commencer à lui caresser le devant de son caleçon. Très vite, mes phalanges frôlèrent ce qui se cachait sous le tissu et d’une verge endormie, son sexe fut très vite animé d’une certaine vigueur. Maintenant qu’on se connaissait plutôt bien, il était normal qu’Anthony se sente bien sous mes caresses et réciproquement. Alors que nos langues se câlinèrent l’une contre l’autre, ma main ne tarda pas à le masturber franchement. Bien sûr, pour pouvoir exécuter cette tâche, il était plus qu’évident que je me devais de faire disparaitre ma main à l’intérieur de son caleçon.
Alors que sa bouche resta entre-ouverte devant la mienne, je ressenti de l’excitation m’envahir le bas-ventre à mon tour, au fur et à mesure où son souffle chaud s’échoua sous mes narines. Son haleine n’était pas désagréable du tout et c’était surtout le trouble de sa respiration qui me perturba autant. Alors qu’Anthony se laissa complètement aller à mes caresses, la voix de mon frère dans la pièce d’à côté le ramena à la réalité. La magie du moment s’estompa très vite et je sentais le membre de mon amant perdre en force. Pour n’éveiller aucun soupçon, le garçon se retira de mon étreinte et se mit debout très vite.
« Désolé, je reviens plus tard, m’informa-t-il.
- Entendu. »
Anthony quitta ma chambre et me voilà une nouvelle fois seul au sein de ma chambre. Comme j’étais rassuré, j’allais beaucoup mieux et la tristesse qui habitait mon cœur quelques temps plutôt avait totalement disparu. Désormais, j’étais de nouveau sur mon petit nuage et j’espérais ne pas le quitter avant bien longtemps. Cette fois, j’avais la motivation et le courage nécessaire pour reprendre la partie là où je l’avais laissé et le jeu évolua plutôt bien. Suffisamment en tout cas pour que j’en fasse une sauvegarde sur la cartouche lorsque je jugeai avoir assez joué pour la journée.
Pour m’occuper, je décidai de faire mes devoirs, ce qui était très rare venant de ma part. Alors que je m’exerçai sur un cahier afin de bien comprendre un actif et un passif dans le domaine de la comptabilité, j’entendais Anthony rigoler de l’autre côté du mur. Ses expressions de joie me faisaient sourire et j’avais du mal à me concentrer, tellement je pensais à lui. Une fois ma comptabilité terminée, je passai au français. Pour cette matière, pas trop de difficulté puisque j’avais toujours de bonnes notes sans trop me forcer, ce qui n’était pas le cas pour d’autres cours, comme les mathématiques.
Malgré le fait que je cherchai à m’occuper comme je le pouvais, je ne pouvais m’empêcher de trouver le temps long. En regardant de temps en temps la pendule, je voyais que ses aiguilles n’allaient pas tarder à s’arrêter sur le douze. Bientôt minuit. Logiquement, on devrait entendre ma mère en bas nous demander d’aller au lit. Pour ma part, je le ferais puisque je suis claqué mais si je peux m’amuser avant avec Anthony, cette nuit s’annoncera des plus excellentes.
Comme je l’avais deviné, la voix de ma mère résonna en bas de l’escalier. L’ordre donné, je m’empressai de fermer mes bouquins et de les glisser à l’intérieur de mon sac. Ensuite, je me mis à genoux pour retirer mon sweat, mon pantalon et mes chaussettes avant de placer mon corps sous la couette. J’attrapai l’interrupteur de ma lampe de chevet et appuya sur le bouton pour que son ampoule cesse de briller. Le cœur battant la chamade, j’attendais désespérément que mon bel étalon vienne me rejoindre.
Et c’est ce qui se passa au bon de dix minutes. Le plus discrètement possible, Anthony ouvrit la porte de ma chambre, se glissa à l’intérieur tout en prenant soin de refermer l’issue à clef. Ensuite, en réalisant quelques pas, ce dernier se déplaça dans le noir jusqu’à mon matelas sur lequel il tomba sans faire exprès. Si j’avais su, j’aurais dû rallumer la lampe pour lui permettre de se déplacer jusqu’ici. Par contre, comme il était allongé sur moi, Anthony en profita pour chercher mes lèvres. Celles-ci se collèrent les unes contre les autres avant de se séparer pour discuter à voix basse.
« Tu ne t’es pas fait mal en tombant ? Lui demandai-je, légèrement inquiet.
- Non, ça va. »
Anthony se roula sur le côté pour se poser sur mon lit et aussitôt, j’entendis le froissement de ses vêtements. Peu après, à l’écoute des bruits sur ma gauche, je devinai facilement qu’il était en train de les jeter au loin en guise de « rangements ». Ensuite, il vint se glisser sous le drap à son tour et posa sa tête sur mon pectoral droit. Tendrement, il me caressa le ventre et semblait serein suite à ce qui se préparait tout doucement. L’ayant tout contre moi, mon bonheur était complet et bien sûr, le sentir me caresser commença à jouer sur mon bas-ventre.
Celui-ci s’allongea tout doucement à l’intérieur de mon caleçon et je n’attendais plus qu’une chose, avoir le feu vert pour m’occuper de celui que j’aimais par-dessus tout. C’est d’ailleurs après un nouveau baiser qu’il me le fit comprendre. Ne voulant pas le faire attendre, je descendis très vite jusqu’à son bassin, inséra l’une de mes mains à l’intérieur de son sous-vêtement et attrapa sa verge qui bandait déjà bien. Sans perdre de temps, son boxer parti rejoindre son pantalon et son haut à plusieurs centimètres de là avant que son gland disparaisse à l’intérieur de ma bouche. Avoir la chance de pouvoir jouer de ma langue sur son extrémité sexuelle éveilla une multitude de papillons dans mon esprit. Je me sentais heureux et combler. Pour le satisfaire et être sûr de le garder auprès de moi les jours suivant, je m’appliquai à mieux le sucer que la première fois. Par moment, les poils noirs et bouclés de son pubis me chatouillaient les narines, ce qui m’obligea de lâcher sa queue pour éternuer. Anthony trouva cette scène plutôt comique et ne se priva pas pour en rigoler.
« Tu voudras que je rase tout ça la prochaine fois ? S’amusa-t-il à me dire.
- Pas la peine. »
Je repris mon devoir et poursuivis calmement cette fellation, oubliant le petit incident qui a eu lieu quelques secondes auparavant. Les premiers gémissements se manifestèrent mais comme cette fois, on n’était pas seul à l’étage, Anthony se devait d’être discret pour n’éveiller aucune interrogation dans la pièce d’à côté. J’espérai que mon petit frère dormait à poings fermés car malgré ma recommandation auprès de mon partenaire, ses râles étaient forts à certaines occasions. Ma gourmandise envers son sexe se faisait de plus en plus grande et sa hampe s’enfonçait de plus en plus profondément dans ma bouche. De temps à autre, son gland franchissait la limite pour se retrouver dans ma gorge. Lorsque je renouvelai cette opération, je prenais soin d’inspirer de grandes bouffés d’air comme pour me donner du courage. A chaque fois, sa verge entra entièrement sans la moindre difficulté et je m’amusai à la conserver de longues secondes, avant de remonter jusqu’à son gland. En posant ma main sur sa base, je pouvais remarquer à quel point sa queue était recouverte de ma salive. Je n’étais pas dégoûté et je me serais bien demandé pourquoi d’ailleurs lorsque tout à coup, je perçus la phrase suivante :
« Mon sperme arrive. »
Et toujours aussi amoureux et attentionné, je conservai son organe sur ma langue pour y recevoir ses jets. J’étais satisfait de ce résultat car la première fois, je n’avais pu recueillir son sperme mais ce soir, personne n’était venu nous déranger. Du coup, j’ai pu lui faire plaisir comme je le désirais et lui m’a offert ce que je souhaitais tant : consommer sa semence. Même si cet acte était tout nouveau pour moi, je dois bien avouer que je ne raffolais pas du goût de son sperme. Par contre, je ne détestais pas le fait de l’avaler car je voulais vraiment le satisfaire.
Même si mon bas-ventre me tiraillait, je ne voulais pas obligé Anthony à me rendre la pareil. S’il voulait me le faire, je n’aurais pas dit non mais lui faire plaisir était ce qui comptait le plus à mes yeux. Fier de moi, je m’allongeai à ses côtés et le prit une nouvelle fois dans mes bras. Dans le creux de mon oreille, Anthony m’exprima sa joie et se permit tout de même de me masturber jusqu’à l’éjaculation. Ensuite, avant de nous endormir, il me dit « vivement la prochaine fois », à laquelle je lui ai répondu « mais quand tu veux ». Toutefois, j’ignorai qu’il prendrait à cœur cette réponse car dès le lendemain matin, au réveil...
Les jours passèrent et mes sentiments pour Anthony s’amplifiaient follement. Je n’avais aucune crainte face à ce que je ressentais car ce n’était pas la première fois que je m’éprenais d’un garçon. Néanmoins, une chose nouvelle s’est produite et je n’en étais pas peu fier. Cette fois, non seulement j’étais amoureux d’un homme et j’ai pu satisfaire cette émotion en m’ébattant sexuellement avec ce dernier. Me trouvant désormais que sur un terrain conquis, je nourrissais désormais qu’un seul souhait : recommencer avec lui dès que l’occasion s’y prêterait.
Les jours passèrent et je retrouvai très vite mon rythme habituel et mon train de vie monotone. Chaque matin, je me levais à cinq heures du matin pour avoir le temps de me doucher, de m’habiller et de déjeuner avant de quitter le nid familial. Il me restait plus qu’à avaler les cinq kilomètres qui me séparent du premier arrêt de bus de cette ville dans laquelle je me sentais si bien. C’était d’ailleurs la première fois de mon existence que je me sentais aussi joyeux. Un sourire stupide aux lèvres, des pensées sur l’être aimé et désiré, j’affrontais ces journées sur un très bon pied.
Désormais, la seule crainte que je nourrissais était que mon petit frère cesse d’être ami avec cet Anthony. Néanmoins, si leur relation devait cesser, je savais où trouver le garçon qui faisait battre mon cœur pour l’inviter le temps d’un week-end. Ainsi, j’aurais à loisir suffisamment de temps pour profiter de sa compagnie mais surtout, de son entre-jambe. Puis vint le jour où mon frangin invita une nouvelle fois mon amant à la maison. Là encore, petit séjour de deux jours mais pour moi, c’était amplement suffisant.
Rapidement, Anthony délaissa mon frère pour venir me voir dans ma chambre. On se fit des bisous puisque notre relation restait tout de même de nature fraternelle même si nous n’avons aucun sang identique dans nos veines et on discuta de tout et de rien. Toujours protecteur, je lui demandai si tout se passait de son côté, si son père daignait s’occuper un minimum de lui et bien sûr, la réponse fut négative. Au moment où j’allais lui poser la question concernant ce soir, mon frère l’appela et Anthony sorti très vite de ma chambre. Première tentative soldée.
Loin de me décourager, je décidai de l’attendre en me posant devant la console de jeux vidéo. A cette époque, je passais beaucoup de jeu que j’aimais par-dessus tout, celui d’un certain petit bonhomme vert venant d’un pays imaginaire, celui d’Hyrule. Je fais parti de ceux qui ont eu la chance de découvrir Ocarina of time sur une certaine console comprenant le chiffre soixante-quatre. Je me plaisais de le recommencer à chaque fois que je le terminais et il est toujours mon jeu favori à l’heure actuelle. Tout en enfonçant les différents boutons et en tournant l’unique joystick de la manette, j’attendais fébrilement que mon amant vienne me rejoindre.
Je l’entendais chahuter de l’autre côté du mur et le savoir si heureux me remplissait de bonheur. Dans peu de temps, s’il est partant, c’est moi qui pourrait le rendre joyeux mais d’une autre façon. Je devais juste attendre qu’il me fasse signe, me fasse savoir que le moment était le bon. Un moment, la porte de la chambre de mon frère se fit entendre par son ouverture, en émettant un grincement caractéristique. Reconnaissant la voix d’Anthony dans le petit couloir, j’espérais fortement qu’il vienne me voir et c’était le cas.
Cette fois, c’était l’unique issue de ma pièce intime qui venait de s’ouvrir et continuant tranquillement ma partie, j’avais hâte. Une fois qu’Anthony referma la porte derrière lui, en prenant soin de fermer la serrure à double-tour, j’ai su qu’il venait me voir pour une bonne raison. Naturellement, il vint s’installer dans mes bras et déposa un premier baiser sur l’une de mes joues. Je lui rendis très vite et dans cette position, je poursuivais le jeu comme je le pouvais. A l’intérieur de ma cage thoracique, mon cœur battait la chamade et j’avais envie que d’une seule chose, caresser son corps ardent et le recouvrir de tendres baisers ou de plusieurs coups de langue.
Nous discutions tranquillement lorsque la voix de mon frère à son intention se manifesta une nouvelle fois. Anthony, docile, se leva et regagna l’entrée de ma chambre lorsque je lui posai la question pour ce soir. Là, il répondit qu’il ne recommencerait plus jamais. A l’entente de ces mots, j’avais l’impression que tout un univers s’écroulait. J’avais l’impression de suffoquer, que mon cœur se serrait en ressentant une tristesse qui m’effrayait tant elle était si forte.
Pourquoi Anthony me priva-t-il de ce que j’aimais lui faire sans que je lui demande le moindre retour ? Est-ce qu’il pensait que c’était étrange que deux garçons se fassent plaisir ou du moins, expriment leurs sentiments de cette façon ? A moins que notre première fois mutuelle se soit si mal passé à ses yeux ? Les yeux humectés de larmes, je perdis le goût à tout. Bien que l’heure du dîner approcha à grande vitesse, mon estomac était si noué que je ne tenais pas à le sustenter.
De plus, si c’était pour me retrouver aux côtés d’Anthony, ce n’était pas la peine. J’aurais du mal à être normal, de sourire bêtement pour ne rien laisser paraître. Connaissant ma mère, elle aurait vite comprit que quelque chose me tracassait et elle m’aurait fait chier jusqu’au bout pour que je crache le morceau. En agissant de la sorte, mon mal aurait emparé ainsi que l’état dans lequel je me trouvais. Avec cette crainte dans la tête, je décidai que ce soir, je n’aurais pas faim et que je sauterai volontiers ce repas.
Lorsque j’entendis sa voix dans la pièce d’en bas pour nous annoncer que le dîner était prêt, Anthony vint me trouver pour me demander de venir. Toutefois, de ma bouche, il ne reçu qu’un refus. Cette négativité l’étonna mais mon ami décida de ne pas trop insister. Par contre, je savais très bien qu’il allait le reporter à ma mère et quelques minutes plus tard, c’est elle qui vient me rejoindre dans ma chambre. Etant une maman, elle exprima très vite de l’inquiétude à mon sujet et me demanda ce que j’avais.
Je lui répondis juste que je n’avais pas faim et que cela pouvait arriver. Insistant pour être sûr que je n’avais pas autre chose en tête, causant mon manque d’appétit par la même occasion, j’ai dû la rassurer plusieurs fois pour la voir enfin partir de ma chambre. Désormais seul, je pouvais exprimer mon désarroi sans pour autant verser la moindre larme. Je me contentai de regarder droit devant moi, sans prononcer le moindre mot. A l’étage, j’étais seul tandis que tout le monde se restaurait au rez-de-chaussée.
Par moment, j’entendais mon ventre gargouiller mais j’étais bien décidé à ne pas descendre pour revenir sur ma décision. De toute façon, je n’aurais pu affronter le regard d’Anthony ou pire, lui répondre sans être agressif. Tandis que le silence régnait dans la pièce, malgré le jeu qui continuait sans moi, je fus un peu surpris d’entendre des pas dans l’escalier. Je regardai vite l’heure à mon réveil et je me rendis compte qu’il était déjà bientôt vingt heures. Je ne pensais pas que d’être triste pouvait jouer sur la perception temporelle mais visiblement, j’étais en train d’en faire l’expérience.
Soudain, j’entendis cogner à la porte d’entrée de ma chambre. Je répondis oui et voilà qu’Anthony entra de nouveau dans la pièce. Tracassé par mon état, il voulait savoir ce que j’avais et rapidement, il s’installa dans le creux de mes bras, provoquant une multitude de questions dans ma tête. Pourquoi agissait-il comme si de rien n’était alors que quelques minutes auparavant, ce dernier me disait qu’il ne voulait pas recommencer ? A moins voulait-il qu’on arrête de coucher ensemble mais de continuer à agir comme des frangins.
S’il m’avait demandé de faire un pas en arrière dans notre relation, je lui aurais répondu oui mais au fond de moi, je l’aurais regretté. Maintenant que je le connaissais dans l’intimité, je voulais poursuivre et ne plus pouvoir le toucher comme je le voulais aurait été à mes yeux, une situation des plus pénibles à vivre. Je ne disais rien et Anthony se montra curieux.
« Pourquoi tu n’es pas venu manger ?
- Parce que je n’étais pas d’humeur.
- Pourquoi ?
- A cause de ce que tu avais dit tout à l’heure en sortant de la chambre.
- A propos de quoi ? »
Anthony semble jouer à l’amnésique.
« Lorsque je t’avais demandé s’il y avait moyen qu’on puisse renouveler notre jeu.
- Et je t’avais répondu quoi ?
- Que tu ne voulais pas recommencer. »
A ce moment, Anthony éclata de rire. Le regardant avec de l’incompréhension, j’attendais qu’il se calma pour connaître la raison de cet état. Lorsqu’il redevient sérieux, mon bel amant s’empressa de me rassurer.
« Tu es con. Ce n’était pas à toi que je disais ça mais à ton frère. Il voulait que je fasse une partie de console avec lui mais les jeux de bagnoles, ce n’est pas trop mon truc.
- Donc, toi et moi ….
- Ben bien sûr. »
Et gentiment, Anthony m’embrassa. En éloignant son visage du mien, mon compagnon me fit une confidence.
« Je serais idiot de ne plus vouloir recommencer avec toi sachant que j’avais aimé. D’ailleurs, je viens dormir avec toi ce soir.
- Tu es sérieux ?
- Ouais et si ton frère me dit quelque chose, compte sur moi pour l’envoyer chier. »
Et en me disant ces mots, Anthony posa ses lèvres sur les miennes et nous prolongeons cet échange affectif. Pour le remercier de cette importance qu’il m’accorda, je lui susurrai à l’oreille que s’il le voulait que je le masturbe un peu en attendant, qu’il ne se prive pas pour me le demander. Avec un joli sourire qui me faisait fondre, Anthony glissa ses doigts sous la ceinture de son pantalon pour l’éloigner de son ventre en le tendant au maximum.
« Vas-y.
- Merci. »
Nouveau baiser et cette fois, ma main droite se glissa à son tour dans son vêtement pour commencer à lui caresser le devant de son caleçon. Très vite, mes phalanges frôlèrent ce qui se cachait sous le tissu et d’une verge endormie, son sexe fut très vite animé d’une certaine vigueur. Maintenant qu’on se connaissait plutôt bien, il était normal qu’Anthony se sente bien sous mes caresses et réciproquement. Alors que nos langues se câlinèrent l’une contre l’autre, ma main ne tarda pas à le masturber franchement. Bien sûr, pour pouvoir exécuter cette tâche, il était plus qu’évident que je me devais de faire disparaitre ma main à l’intérieur de son caleçon.
Alors que sa bouche resta entre-ouverte devant la mienne, je ressenti de l’excitation m’envahir le bas-ventre à mon tour, au fur et à mesure où son souffle chaud s’échoua sous mes narines. Son haleine n’était pas désagréable du tout et c’était surtout le trouble de sa respiration qui me perturba autant. Alors qu’Anthony se laissa complètement aller à mes caresses, la voix de mon frère dans la pièce d’à côté le ramena à la réalité. La magie du moment s’estompa très vite et je sentais le membre de mon amant perdre en force. Pour n’éveiller aucun soupçon, le garçon se retira de mon étreinte et se mit debout très vite.
« Désolé, je reviens plus tard, m’informa-t-il.
- Entendu. »
Anthony quitta ma chambre et me voilà une nouvelle fois seul au sein de ma chambre. Comme j’étais rassuré, j’allais beaucoup mieux et la tristesse qui habitait mon cœur quelques temps plutôt avait totalement disparu. Désormais, j’étais de nouveau sur mon petit nuage et j’espérais ne pas le quitter avant bien longtemps. Cette fois, j’avais la motivation et le courage nécessaire pour reprendre la partie là où je l’avais laissé et le jeu évolua plutôt bien. Suffisamment en tout cas pour que j’en fasse une sauvegarde sur la cartouche lorsque je jugeai avoir assez joué pour la journée.
Pour m’occuper, je décidai de faire mes devoirs, ce qui était très rare venant de ma part. Alors que je m’exerçai sur un cahier afin de bien comprendre un actif et un passif dans le domaine de la comptabilité, j’entendais Anthony rigoler de l’autre côté du mur. Ses expressions de joie me faisaient sourire et j’avais du mal à me concentrer, tellement je pensais à lui. Une fois ma comptabilité terminée, je passai au français. Pour cette matière, pas trop de difficulté puisque j’avais toujours de bonnes notes sans trop me forcer, ce qui n’était pas le cas pour d’autres cours, comme les mathématiques.
Malgré le fait que je cherchai à m’occuper comme je le pouvais, je ne pouvais m’empêcher de trouver le temps long. En regardant de temps en temps la pendule, je voyais que ses aiguilles n’allaient pas tarder à s’arrêter sur le douze. Bientôt minuit. Logiquement, on devrait entendre ma mère en bas nous demander d’aller au lit. Pour ma part, je le ferais puisque je suis claqué mais si je peux m’amuser avant avec Anthony, cette nuit s’annoncera des plus excellentes.
Comme je l’avais deviné, la voix de ma mère résonna en bas de l’escalier. L’ordre donné, je m’empressai de fermer mes bouquins et de les glisser à l’intérieur de mon sac. Ensuite, je me mis à genoux pour retirer mon sweat, mon pantalon et mes chaussettes avant de placer mon corps sous la couette. J’attrapai l’interrupteur de ma lampe de chevet et appuya sur le bouton pour que son ampoule cesse de briller. Le cœur battant la chamade, j’attendais désespérément que mon bel étalon vienne me rejoindre.
Et c’est ce qui se passa au bon de dix minutes. Le plus discrètement possible, Anthony ouvrit la porte de ma chambre, se glissa à l’intérieur tout en prenant soin de refermer l’issue à clef. Ensuite, en réalisant quelques pas, ce dernier se déplaça dans le noir jusqu’à mon matelas sur lequel il tomba sans faire exprès. Si j’avais su, j’aurais dû rallumer la lampe pour lui permettre de se déplacer jusqu’ici. Par contre, comme il était allongé sur moi, Anthony en profita pour chercher mes lèvres. Celles-ci se collèrent les unes contre les autres avant de se séparer pour discuter à voix basse.
« Tu ne t’es pas fait mal en tombant ? Lui demandai-je, légèrement inquiet.
- Non, ça va. »
Anthony se roula sur le côté pour se poser sur mon lit et aussitôt, j’entendis le froissement de ses vêtements. Peu après, à l’écoute des bruits sur ma gauche, je devinai facilement qu’il était en train de les jeter au loin en guise de « rangements ». Ensuite, il vint se glisser sous le drap à son tour et posa sa tête sur mon pectoral droit. Tendrement, il me caressa le ventre et semblait serein suite à ce qui se préparait tout doucement. L’ayant tout contre moi, mon bonheur était complet et bien sûr, le sentir me caresser commença à jouer sur mon bas-ventre.
Celui-ci s’allongea tout doucement à l’intérieur de mon caleçon et je n’attendais plus qu’une chose, avoir le feu vert pour m’occuper de celui que j’aimais par-dessus tout. C’est d’ailleurs après un nouveau baiser qu’il me le fit comprendre. Ne voulant pas le faire attendre, je descendis très vite jusqu’à son bassin, inséra l’une de mes mains à l’intérieur de son sous-vêtement et attrapa sa verge qui bandait déjà bien. Sans perdre de temps, son boxer parti rejoindre son pantalon et son haut à plusieurs centimètres de là avant que son gland disparaisse à l’intérieur de ma bouche. Avoir la chance de pouvoir jouer de ma langue sur son extrémité sexuelle éveilla une multitude de papillons dans mon esprit. Je me sentais heureux et combler. Pour le satisfaire et être sûr de le garder auprès de moi les jours suivant, je m’appliquai à mieux le sucer que la première fois. Par moment, les poils noirs et bouclés de son pubis me chatouillaient les narines, ce qui m’obligea de lâcher sa queue pour éternuer. Anthony trouva cette scène plutôt comique et ne se priva pas pour en rigoler.
« Tu voudras que je rase tout ça la prochaine fois ? S’amusa-t-il à me dire.
- Pas la peine. »
Je repris mon devoir et poursuivis calmement cette fellation, oubliant le petit incident qui a eu lieu quelques secondes auparavant. Les premiers gémissements se manifestèrent mais comme cette fois, on n’était pas seul à l’étage, Anthony se devait d’être discret pour n’éveiller aucune interrogation dans la pièce d’à côté. J’espérai que mon petit frère dormait à poings fermés car malgré ma recommandation auprès de mon partenaire, ses râles étaient forts à certaines occasions. Ma gourmandise envers son sexe se faisait de plus en plus grande et sa hampe s’enfonçait de plus en plus profondément dans ma bouche. De temps à autre, son gland franchissait la limite pour se retrouver dans ma gorge. Lorsque je renouvelai cette opération, je prenais soin d’inspirer de grandes bouffés d’air comme pour me donner du courage. A chaque fois, sa verge entra entièrement sans la moindre difficulté et je m’amusai à la conserver de longues secondes, avant de remonter jusqu’à son gland. En posant ma main sur sa base, je pouvais remarquer à quel point sa queue était recouverte de ma salive. Je n’étais pas dégoûté et je me serais bien demandé pourquoi d’ailleurs lorsque tout à coup, je perçus la phrase suivante :
« Mon sperme arrive. »
Et toujours aussi amoureux et attentionné, je conservai son organe sur ma langue pour y recevoir ses jets. J’étais satisfait de ce résultat car la première fois, je n’avais pu recueillir son sperme mais ce soir, personne n’était venu nous déranger. Du coup, j’ai pu lui faire plaisir comme je le désirais et lui m’a offert ce que je souhaitais tant : consommer sa semence. Même si cet acte était tout nouveau pour moi, je dois bien avouer que je ne raffolais pas du goût de son sperme. Par contre, je ne détestais pas le fait de l’avaler car je voulais vraiment le satisfaire.
Même si mon bas-ventre me tiraillait, je ne voulais pas obligé Anthony à me rendre la pareil. S’il voulait me le faire, je n’aurais pas dit non mais lui faire plaisir était ce qui comptait le plus à mes yeux. Fier de moi, je m’allongeai à ses côtés et le prit une nouvelle fois dans mes bras. Dans le creux de mon oreille, Anthony m’exprima sa joie et se permit tout de même de me masturber jusqu’à l’éjaculation. Ensuite, avant de nous endormir, il me dit « vivement la prochaine fois », à laquelle je lui ai répondu « mais quand tu veux ». Toutefois, j’ignorai qu’il prendrait à cœur cette réponse car dès le lendemain matin, au réveil...
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