Antoine et Sophie 2
Récit érotique écrit par Maitre A [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Antoine et Sophie 2
La deuxième fois
Sophie s’était organisée pour disposer de son samedi après midi. Son mari avait un peu râlé, car il envisageait d’aller faire du shopping avec elle ! Elle aurait adoré cela, mais dés le jeudi matin, elle avait reçu, sur sa messagerie personnelle, un extrait de la vidéo. Antoine lui demandant si elle pensait que le cocu aimerait la voir… Ce salaud ne lâcherait pas le morceau de si tôt ! Il voulait faire d’elle son jouet sexuel et elle allait devoir accepter. Bien sûr, elle y trouverait son compte. Son mari l’ignorait, mais quelques années plus tôt, elle avait eu une relation de totale soumission, avec sa meilleure amie et collègue de travail. Bi depuis toujours, Sophie avait facilement cédé aux avances d’Aurélie, une vraie lesbienne, qui avait instauré une domination contraignante pour Sophie. A cette époque, le mariage de la jeune femme avait été en danger, car Aurélie avait accepté un autre poste dans une autre région et elle voulait emmener Sophie avec elle. Il s’en était fallu de très peu qu’elle accepte… Y repenser la déchirait, surtout qu’Aurélie avait trouvé une jolie fille pour la remplacer et qu’elle lui avait régulièrement envoyé des photos de leurs exploits. Sophie les enviait souvent !
Le vendredi soir, Antoine lui téléphona. Le RDV était confirmé, mais il lui demanda de se libérer pour la nuit et une partie du dimanche… Elle protesta, expliquant que son mari allait trouver cela louche. Antoine répondit qu’il serait renseigné s’il recevait la vidéo et que lorsqu’elle partait en WE avec Aurélie, le cocu ne bronchait pas. Il avait raison, plusieurs fois, les deux jeunes femmes s’étaient offertes un WE à deux et son mari, qui se doutait un peu que leur complicité n’était pas tout à fait innocente, ne s’y était jamais opposé ! Elle informa, donc, le cocu qu’elle ne rentrerait pas le samedi soir, car une collègue l’avait invitée à diner et que la distance étant importante, il serait préférable qu’elle dorme chez cette collègue… Sophie se rendit compte que son mari n’avalait pas l’affaire très facilement. Il posa une question qui le confirma :
« C’est le même genre qu’Aurélie, cette collègue ? »
Sophie rougit un peu et finit par dire :
« Pas du tout. Elle est mariée et elle a un enfant… Mais cela fait longtemps qu’elle veut m’inviter pour un diner entre filles… »
« Son mari ne sera pas là ? »
« Non, il est arbitre de basket et il sera en déplacement… Et sa fille est chez les parents de ma collègue… »
« Ok, elle a quel âge cette copine ? »
« Dans les trente ans. Pourquoi ? »
« Pour rien, je n’en avais jamais entendu parler… C’est bizarre ! »
« Ben non, elle est assez nouvelle et nous n’étions pas dans le même service jusque là… »
« Sois sage. Je compte sur toi pour ne pas faire de folies… »
« Comme toujours, mon amour.. »
« Tien, pour te faire pardonner, tu devrais me sucer ! »
Sophie fut surprise de cette demande, mais soulagée de s’en tirer comme ça… Elle s’agenouilla devant son homme, qui venait de sortir sa bite. Vraiment, elle était beaucoup moins impressionnante que celle d’Antoine. Avec application, elle le prit en bouche et lui tailla une magnifique pipe, qu’il laissa aller jusqu’à son terme, ce qui était plutôt rare. La bouche pleine de sperme, elle avala et se releva.
« Mets toi à poil que je t’envoie en l’air, ma jolie salope… »
Ce fut la première fois, depuis longtemps, qu’il la fit jouir… Le plus curieux étant qu’il se montra un peu brutal et très directif…
Le samedi matin, elle se prépara pour son RDV, avec autant d’appréhension que d’envie. Elle se doutait qu’Antoine allait lui faire franchir un nouveau cap. Cela la rendait anxieuse et l’excitait indiscutablement !
Il était à peine 14h quand elle sonna au portail de la maison de son amant. Il lui ordonna de relevé sa jupe (très courte) pour qu’il voit si elle avait obéi à la consigne. Elle hésita, s’assura qu’on ne pouvait pas la voir et se plaça face à la caméra de surveillance pour exécuter l’ordre. Antoine déclencha l’ouverture et elle s’engouffra à l’intérieur, laissant sa jupe à demi relevée. La porte de la maison s’ouvrit et elle vit Karine. Quelque part, elle n’en fut pas surprise… Cette fille devait être une complice de son amant et leurs propos du mercredi, laissaient clairement entendre que Sophie lui serait livrée ! Mais elle croyait qu’Antoine attendrait quelques temps avant cette étape. La tenue de Karine était on ne peut plus révélatrice de ce qui attendait Sophie. Une robe courte, en cuir, des bottes à haut talon et une cravache, qui n’inspirait que de la crainte…
« Entres. Je ne te présente pas Karine ! Elle va, dès aujourd’hui, devenir ta Maîtresse et l’ordonnatrice de ta vie sexuelle. Que ce soit clair. Je ne t’ai dévoyée que dans ce but. Je vais être ton mâle régulier, mais Karine disposera de toi en primeur. Elle sait ce qu’elle va devoir et paiera, par ton intermédiaire, le tribut qui me revient. Si tu ne veux pas accepter cet engagement, libre à toi de partir immédiatement. Mais, bien entendu, cela suppose que tu t’exposes à voir ton cocu informé de notre après midi de mercredi !!! Que décides-tu ? »
Que pouvait-elle bien répondre ? Partir signifiait briser le cœur de son mari, ce qui était exclu ! Partir, c’était refuser de vivre une expérience qui la faisait mouiller comme une salope, en cet instant même ! Rester, bien évidement ! et espérer qu’elle ne se perde pas en faisant ce choix ! Qu’allait-elle devenir ? Karine serait elle une nouvelle Aurélie, en plus dominante ? Pour toute réponse, elle enleva son tee-shirt, dévoilant ses seins nus, en gardant les yeux baissés, comme Aurélie le lui avait apprit !!!
« Bien, tu as compris la situations. Ote ta jupe et fait ce que Karine va t’ordonner… »
Dans un premier temps, elle fut emmenée dans une chambre qui, visiblement, était préparée et équipée pour la pratique du SM. Karine lui ordonna de sucer Antoine, jusqu’à avaler le foutre. Pour cela, elle demanda à Antoine de s’assoir dans un fauteuil et à Sophie de s’agenouiller entre les jambes du mâle, pour bien le pomper… Il ne fallut qu’environ 5 minutes pour que le sperme inonde sa bouche. Durant tout ce temps, elle sentit la caresse troublante de la cravache, que Karine promenait sur son dos, entre ses cuisses et même à l’orée de sa chatte !!! Elle mouillait tellement, qu’elle sentait le liquide couler sur ses cuisses. Au moment où le foutre se répandait dans sa bouche, Karine lui donna un coup de cravache sur le cul, qui la fit sursauter. Le coup était léger, mais tout de même cuisant !
« Avales bien, petite salope. Maintenant, je vais t’apprendre ce qu’il t’en coûtera si tu t’avises de sucer une queue sans mon accord ! Et ceci est valable pour toutes les bites, même celle de ton cocu !!! »
Sophie fut amenée sur le lit. Disposée à plat ventre, elle vit Karine lui attacher les poignets au montant, avec des menottes, certainement prévues pour la besogne. Du coin de l’œil, elle constata qu’Antoine restait dans son fauteuil. Le premier coup lui cingla le haut du dos. Elle poussa un petit cri, tant de surprise que de douleur. Une bonne dizaine de coups, relativement légers, lui furent donnés. La majeure partie sur ses fesses, qui la cuisaient. Le dernier, tomba sur l’entre cuisses.
« Voilà ! Ceci n’est qu’un aperçu… Maintenant, Antoine va t’enculer et t’éclater le fion, pour bien te montrer que tu n’es qu’une sorte de sex-toy pour lui ! »
Antoine lui écarta les fesses et positionna son gland sur sa rondelle, toute resserrée. Il força, brutalement, la faisant hurler de douleur. Puis il laboura cet étroit passage, entraînant douleur et pleurs. Sophie dû subir se traitement jusqu’à ce qu’il se vide dans son cul. Elle n’en tira que d’atroces douleurs et ne cessa de pleurer.
« Tu vois, comme tous les mâles, il se fout de toi et ne cherche que son plaisir. Si tu t’avises de te faire prendre le cul ou la chatte par un mec sans mon autorisation, je te punirais bien plus sévèrement que tout à l’heure. Saches que ce seront ta chatte et tes seins qui seront cravachés et jusqu’au sang ! Mais, comme tu viens d’être sodomisée sous ma responsabilité, je vais te récompenser. »
Karine lui détacha les mains et la retourna sur le dos. Puis, elle lui releva les jambes en les écartant, avant de venir s’agenouiller et d’entamer un cunnilingus qui raviva le souvenir intense de ceux qu’Aurélie lui accordait. Karine la fit jouir à trois reprises, avec une tendresse et une application qui montraient clairement combien elle lui voulait du bien ! Ensuite, ce fut à Sophie de montrer comme elle savait faire jouir une femme. Karine fut enchantée de constater qu’elle n’était pas novice et, bien plutôt experte… Sophie s’aperçue qu’Antoine avait disparu. Mais, cela ne l’empêcha pas de profiter au maximum de ce long moment d’amour féminin.
Karine décida qu’il était temps de faire une pause. Elle ordonna à Sophie de rester couchée et, même, de dormir si elle en avait besoin.
« Après le diner, tu vas avoir besoin de beaucoup d’énergie… »
Sophie s’était organisée pour disposer de son samedi après midi. Son mari avait un peu râlé, car il envisageait d’aller faire du shopping avec elle ! Elle aurait adoré cela, mais dés le jeudi matin, elle avait reçu, sur sa messagerie personnelle, un extrait de la vidéo. Antoine lui demandant si elle pensait que le cocu aimerait la voir… Ce salaud ne lâcherait pas le morceau de si tôt ! Il voulait faire d’elle son jouet sexuel et elle allait devoir accepter. Bien sûr, elle y trouverait son compte. Son mari l’ignorait, mais quelques années plus tôt, elle avait eu une relation de totale soumission, avec sa meilleure amie et collègue de travail. Bi depuis toujours, Sophie avait facilement cédé aux avances d’Aurélie, une vraie lesbienne, qui avait instauré une domination contraignante pour Sophie. A cette époque, le mariage de la jeune femme avait été en danger, car Aurélie avait accepté un autre poste dans une autre région et elle voulait emmener Sophie avec elle. Il s’en était fallu de très peu qu’elle accepte… Y repenser la déchirait, surtout qu’Aurélie avait trouvé une jolie fille pour la remplacer et qu’elle lui avait régulièrement envoyé des photos de leurs exploits. Sophie les enviait souvent !
Le vendredi soir, Antoine lui téléphona. Le RDV était confirmé, mais il lui demanda de se libérer pour la nuit et une partie du dimanche… Elle protesta, expliquant que son mari allait trouver cela louche. Antoine répondit qu’il serait renseigné s’il recevait la vidéo et que lorsqu’elle partait en WE avec Aurélie, le cocu ne bronchait pas. Il avait raison, plusieurs fois, les deux jeunes femmes s’étaient offertes un WE à deux et son mari, qui se doutait un peu que leur complicité n’était pas tout à fait innocente, ne s’y était jamais opposé ! Elle informa, donc, le cocu qu’elle ne rentrerait pas le samedi soir, car une collègue l’avait invitée à diner et que la distance étant importante, il serait préférable qu’elle dorme chez cette collègue… Sophie se rendit compte que son mari n’avalait pas l’affaire très facilement. Il posa une question qui le confirma :
« C’est le même genre qu’Aurélie, cette collègue ? »
Sophie rougit un peu et finit par dire :
« Pas du tout. Elle est mariée et elle a un enfant… Mais cela fait longtemps qu’elle veut m’inviter pour un diner entre filles… »
« Son mari ne sera pas là ? »
« Non, il est arbitre de basket et il sera en déplacement… Et sa fille est chez les parents de ma collègue… »
« Ok, elle a quel âge cette copine ? »
« Dans les trente ans. Pourquoi ? »
« Pour rien, je n’en avais jamais entendu parler… C’est bizarre ! »
« Ben non, elle est assez nouvelle et nous n’étions pas dans le même service jusque là… »
« Sois sage. Je compte sur toi pour ne pas faire de folies… »
« Comme toujours, mon amour.. »
« Tien, pour te faire pardonner, tu devrais me sucer ! »
Sophie fut surprise de cette demande, mais soulagée de s’en tirer comme ça… Elle s’agenouilla devant son homme, qui venait de sortir sa bite. Vraiment, elle était beaucoup moins impressionnante que celle d’Antoine. Avec application, elle le prit en bouche et lui tailla une magnifique pipe, qu’il laissa aller jusqu’à son terme, ce qui était plutôt rare. La bouche pleine de sperme, elle avala et se releva.
« Mets toi à poil que je t’envoie en l’air, ma jolie salope… »
Ce fut la première fois, depuis longtemps, qu’il la fit jouir… Le plus curieux étant qu’il se montra un peu brutal et très directif…
Le samedi matin, elle se prépara pour son RDV, avec autant d’appréhension que d’envie. Elle se doutait qu’Antoine allait lui faire franchir un nouveau cap. Cela la rendait anxieuse et l’excitait indiscutablement !
Il était à peine 14h quand elle sonna au portail de la maison de son amant. Il lui ordonna de relevé sa jupe (très courte) pour qu’il voit si elle avait obéi à la consigne. Elle hésita, s’assura qu’on ne pouvait pas la voir et se plaça face à la caméra de surveillance pour exécuter l’ordre. Antoine déclencha l’ouverture et elle s’engouffra à l’intérieur, laissant sa jupe à demi relevée. La porte de la maison s’ouvrit et elle vit Karine. Quelque part, elle n’en fut pas surprise… Cette fille devait être une complice de son amant et leurs propos du mercredi, laissaient clairement entendre que Sophie lui serait livrée ! Mais elle croyait qu’Antoine attendrait quelques temps avant cette étape. La tenue de Karine était on ne peut plus révélatrice de ce qui attendait Sophie. Une robe courte, en cuir, des bottes à haut talon et une cravache, qui n’inspirait que de la crainte…
« Entres. Je ne te présente pas Karine ! Elle va, dès aujourd’hui, devenir ta Maîtresse et l’ordonnatrice de ta vie sexuelle. Que ce soit clair. Je ne t’ai dévoyée que dans ce but. Je vais être ton mâle régulier, mais Karine disposera de toi en primeur. Elle sait ce qu’elle va devoir et paiera, par ton intermédiaire, le tribut qui me revient. Si tu ne veux pas accepter cet engagement, libre à toi de partir immédiatement. Mais, bien entendu, cela suppose que tu t’exposes à voir ton cocu informé de notre après midi de mercredi !!! Que décides-tu ? »
Que pouvait-elle bien répondre ? Partir signifiait briser le cœur de son mari, ce qui était exclu ! Partir, c’était refuser de vivre une expérience qui la faisait mouiller comme une salope, en cet instant même ! Rester, bien évidement ! et espérer qu’elle ne se perde pas en faisant ce choix ! Qu’allait-elle devenir ? Karine serait elle une nouvelle Aurélie, en plus dominante ? Pour toute réponse, elle enleva son tee-shirt, dévoilant ses seins nus, en gardant les yeux baissés, comme Aurélie le lui avait apprit !!!
« Bien, tu as compris la situations. Ote ta jupe et fait ce que Karine va t’ordonner… »
Dans un premier temps, elle fut emmenée dans une chambre qui, visiblement, était préparée et équipée pour la pratique du SM. Karine lui ordonna de sucer Antoine, jusqu’à avaler le foutre. Pour cela, elle demanda à Antoine de s’assoir dans un fauteuil et à Sophie de s’agenouiller entre les jambes du mâle, pour bien le pomper… Il ne fallut qu’environ 5 minutes pour que le sperme inonde sa bouche. Durant tout ce temps, elle sentit la caresse troublante de la cravache, que Karine promenait sur son dos, entre ses cuisses et même à l’orée de sa chatte !!! Elle mouillait tellement, qu’elle sentait le liquide couler sur ses cuisses. Au moment où le foutre se répandait dans sa bouche, Karine lui donna un coup de cravache sur le cul, qui la fit sursauter. Le coup était léger, mais tout de même cuisant !
« Avales bien, petite salope. Maintenant, je vais t’apprendre ce qu’il t’en coûtera si tu t’avises de sucer une queue sans mon accord ! Et ceci est valable pour toutes les bites, même celle de ton cocu !!! »
Sophie fut amenée sur le lit. Disposée à plat ventre, elle vit Karine lui attacher les poignets au montant, avec des menottes, certainement prévues pour la besogne. Du coin de l’œil, elle constata qu’Antoine restait dans son fauteuil. Le premier coup lui cingla le haut du dos. Elle poussa un petit cri, tant de surprise que de douleur. Une bonne dizaine de coups, relativement légers, lui furent donnés. La majeure partie sur ses fesses, qui la cuisaient. Le dernier, tomba sur l’entre cuisses.
« Voilà ! Ceci n’est qu’un aperçu… Maintenant, Antoine va t’enculer et t’éclater le fion, pour bien te montrer que tu n’es qu’une sorte de sex-toy pour lui ! »
Antoine lui écarta les fesses et positionna son gland sur sa rondelle, toute resserrée. Il força, brutalement, la faisant hurler de douleur. Puis il laboura cet étroit passage, entraînant douleur et pleurs. Sophie dû subir se traitement jusqu’à ce qu’il se vide dans son cul. Elle n’en tira que d’atroces douleurs et ne cessa de pleurer.
« Tu vois, comme tous les mâles, il se fout de toi et ne cherche que son plaisir. Si tu t’avises de te faire prendre le cul ou la chatte par un mec sans mon autorisation, je te punirais bien plus sévèrement que tout à l’heure. Saches que ce seront ta chatte et tes seins qui seront cravachés et jusqu’au sang ! Mais, comme tu viens d’être sodomisée sous ma responsabilité, je vais te récompenser. »
Karine lui détacha les mains et la retourna sur le dos. Puis, elle lui releva les jambes en les écartant, avant de venir s’agenouiller et d’entamer un cunnilingus qui raviva le souvenir intense de ceux qu’Aurélie lui accordait. Karine la fit jouir à trois reprises, avec une tendresse et une application qui montraient clairement combien elle lui voulait du bien ! Ensuite, ce fut à Sophie de montrer comme elle savait faire jouir une femme. Karine fut enchantée de constater qu’elle n’était pas novice et, bien plutôt experte… Sophie s’aperçue qu’Antoine avait disparu. Mais, cela ne l’empêcha pas de profiter au maximum de ce long moment d’amour féminin.
Karine décida qu’il était temps de faire une pause. Elle ordonna à Sophie de rester couchée et, même, de dormir si elle en avait besoin.
« Après le diner, tu vas avoir besoin de beaucoup d’énergie… »
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
hate de connaitre la suite ...
cela monte en intensité , le réel est présent
merci pour cette magnifique lecture
au plaisir
amicalement
B.
p.s. superbement bien écrit
merci pour cette magnifique lecture
au plaisir
amicalement
B.
p.s. superbement bien écrit