ANTOINETTE LA BRUNE AUX GROS SEINS - Dévergondages 13

- Par l'auteur HDS VIEULOU -
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Auteur homme.
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Récit libertin : ANTOINETTE LA BRUNE AUX GROS SEINS - Dévergondages 13 Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2016 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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ANTOINETTE LA BRUNE AUX GROS SEINS - Dévergondages 13
ANTOINETTE LA BRUNE AUX GROS SEINS - Dévergondages 13
Odile Laribeau, née de Rissac, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile s’est laissée embrasser par son hôte. Victime d’un chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.

De quelle adresse une femme n’a-t-elle pas besoin pour faire qu’on lui dérobece qu’elle brûle d’accorder ! (Jean-Jacques Rousseau)
Odile est contrainte de se faire prendre en levrette par Edmond dans les toilettes d’un restaurant. Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour qu’elle puisse y ranger ses tenues affriolantes. C’est dans ce lieu surprenant qu’il la prend en photo dans des poses plus qu’osée et qu’il la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud. Le soir même, son mari la trousse à la hussarde dans le vestibule de leur maison sans qu’elle ne proteste, jouissant tout de même de cette situation. Le lendemain, lorsqu’elle retrouve Edmond, celui-ci la doigte, la révélant à sa plus grande confusion « femme fontaine ». Il lui introduit un rosebud d’une taille supérieure dans l’anus. Puis, Edmond oblige Odile à s’exhiber sur une terrasse de restaurant, où un couple en fait de même. Dans les buissons d’un parc les deux hommes prennent leur femme et pour finir les deux filles font l’amour entre elles.

Le lendemain matin, au réveil, Odile est presque violée par Michel, son mari, mais surtout il lui déflore le trou du cul sans vergogne… La journée se passe à faire l’amour, comme cela ne leur était jamais arrivé en vingt-cinq ans de mariage. Lorsqu’elle retrouve Edmond trois jours après, il commence à la soumettre en la flagellant, puis, à sa grande confusion, elle est surprise par sa fille à la terrasse du restaurant où le couple se restaure.

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Lorsque Odile rentre chez elle le soir, elle est surprise de ne pas voir la voiture de sa fille qui devait revenir de bonne heure. En fait, elle trouve un mot de Muriel dans la cuisine, prévenant ses parents qu’elle s’en va avec des amis à une soirée qui n’était pas prévue et qu’elle restera chez une de ses copines pour passer la nuit. La belle mature est soulagée de n’avoir pas à s’expliquer avec sa fille sur la rencontre imprévue du déjeuner et surtout de ne pas avoir à supporter son regard. Cependant, elle soupçonne que sa fille n’a pas voulu non plus se trouver face à sa mère, certainement gênée de l’avoir vu en mini-jupe, tenue inhabituelle de sa mère, mais surtout de la voir en compagnie de ce vieux Monsieur, alors qu’elle portait un corsage transparent, et que ses seins étaient par trop visibles, car non recouverts d’un soutien-gorge.

Odile se prépare à passer une mauvaise soirée, son mari étant aussi absent, car il est d’astreinte pour la nuit pour son entreprise de transport. Elle laisse donc son esprit vagabonder, évaluant ce qu’elle est en train de devenir sous la domination érotique d’Edmond Gardel, le notaire qui l’a piégée, ça, elle en est maintenant persuadée ! Pourtant, elle n’arrive pas à lui en vouloir, il a tellement changé sa vie et surtout, il lui a fait découvrir des sensations dont elle ne peut plus se passer. Elle a découvert jouissance et orgasme, choses qu’elle n’avait jamais éprouvées. Elle prend même du plaisir à faire l’amour avec son mari, ce qui ne lui était jamais arrivé en vingt-cinq ans de mariage. Il y a quelques jours, il l’a même sodomisée pour la première fois de sa vie et après les premières douleurs insupportables, elle a été heureuse de lui offrir son cul ! Incroyable qu’elle puisse prononcer ce mot, même dans son subconscient. À présent, elle reconnaît qu’elle trouve du plaisir à se faire baiser, à faire des pipes à Edmond et même à des étrangers, à se faire fesser et fouetter les fesses et se faire tordre les tétons, retirant de la douleur une jouissance étrange. Puis, cette étrange attirance pour sa collègue Antoinette qu’elle a eu envie d’embrasser hier, pas seulement sur les lèvres, mais aussi sur celles de sa vulve, de sa chatte, de son con. Elle se souvient aussi de Myriam, cette blonde plantureuse avec laquelle elles s’est gouinée dans le jardin public, chacune tordant les tétons de l’autre jusqu’à en défaillir.

À cette évocation, elle se sent fondre, son bas-ventre tressaute de lui-même et n’en pouvant plus du désir qui la prend toute entière, elle arrache son pantalon de tailleur et son shorty, puis, plonge une main sur son pubis, crispant ses doigts sur la toison, écartant les poils des grandes lèvres, tout en caressant les chairs suintantes de mouille. Elle se masturbe avec frénésie, rêvant de la chatte certainement broussailleuse de la très brune Antoinette, brûlant de l’envie de goûter de sa langue les chairs intimes de sa collègue. Elle sait qu’elle vend son âme au Diable, mais les envies charnelles qu’elle ne peut plus ignorer et surtout éviter, la rendent folle. Elle s’écroule sur le tapis de son salon, à genoux, les jambes écartées et les mains enfouies au plus profond de sa moule, dans les spasmes d’un orgasme dévastateur qui la laisse anéantie.

Lorsqu’elle reprend conscience, des minutes plus tard, elle a honte de son comportement et des songes diaboliques qui la taraudent à présent trop souvent. Comme elle est seule ce soir et que cette nuit son mari ne rentre pas, elle ose prendre son téléphone et appelle Antoinette sur son portable. Elle sait que celle-ci vient de divorcer, qu’elle n’a pas d’enfant et qu’elle n’est pas trop attirée par la gent masculine dans l’instant présent.

- Allo Antoinette ? Je ne te dérange pas ?
- ……………….
- - Non, j’ ai repensé à notre conversation, je suis seule ce soir, veux-tu que nous dinions ensemble ?
- ………………- - Oui ! Je te remercie, j’ai un peu de vague à l’âme et cela me fera du bien de discuter avec toi. À tout de suite
Odile se sent fébrile, elle va dans la salle de bains, prend rapidement une douche, elle se recoiffe et passe un corset rouge un peu coquin qui laisse la moitié de ses seins à l’air ; comme il fait aussi porte jarretelles, elle enfile une paire de bas fins fumés qu’elle attache aux bretelles noires du corset. Elle ne met pas de culotte, voulant se faire la plus salope possible. Une jupe blanche, assez ample qui lui arrive aux genoux et un top noir très décolleté pour que l’on voit la naissance de sa poitrine. Elle a donné rendez-vous à la belle brune dans un petit caboulot près des quais, pas très loin de la garçonnière qu’Edmond a mise à sa disposition. On ne sait jamais, même si elle n’ose penser pouvoir entraîner sa jeune collègue à des amours interdites !.........

Il est à peine vingt et une heures quand elle pénètre dans le bistrot à l’atmosphère feutrée. Antoinette est déjà là, dans un petit recoin discret, où il y a une minuscule banquette d’angle. La brune est en minijupe de cuir noir, et arbore un chemisier presque transparent où ses lourdes mamelles attirent le regard. Odile a très chaud d’un seul coup, elle se glisse sur la banquette et prenant dans ses bras sa collègue, elle l’embrasse sur les joues comme à son habitude, même si l’envie est présente de lui prendre sa bouche. Odile, attirée par les gros nichons de sa compagne, effleure inopinément le chemisier flottant, se troublant d’avoir senti le renflement prononcé d’un sein.
Elles se serrent l’une contre l’autre et se ont des confidences à voix basse. On pourrait croire ainsi qu’elles sont plus proches charnellement qu’il est convenable. D’un seul coup, elles sont interrompues par le « Hum » que le garçon de salle qui vient prendre la commande a lâché, ne se sentant absolument pas gêné. Il est vrai que notre époque voit de plus en plus de couples homosexuels des deux sexes et cela ne choque plus guère. Les deux femmes consultent rapidement la carte et commandent deux salades avec une bouteille de Sauvignon fraiche, en espérant, du moins pour Odile que le vin va faire tomber ses inhibitions. Lorsque le garçon vient les servir, elles mangent rapidement tout en gloussant et en se racontant, par bribes, ce que chacune a vécu. Odile ne cache rien de sa vie prude d’antan et de la vie dissolue qu’elle mène à présent, après s’être laissé aller avec le notaire. Elle avoue qu’elle prend de plus en plus de plaisir à se dévergonder et qu’Antoinette l’a attirée charnellement, par ses seins et ses fesses qui l’impressionnent ainsi que son corps bien fait et musclé.

La brune qui n’a que trente-quatre ans, avoue que le mec avec lequel elle s’est mariée, amoureuse à vingt-deux ans, l’a déçue sur la longueur de leur relation. Rapidement après les premiers mois de leur union, il est retourné voir ses copains d’une équipe sportive de vélo, puis les soirées de foot entre potes et petit à petit, il ne s’est plus intéressé à sa femme, ne lui faisant l’amour que deux ou trois fois par mois. Antoinette a bien pensé prendre un amant au bout de douze ans de mariage. En fait, elle a préféré divorcer il y a trois mois et mettre en stand-by une rencontre avec un autre homme, de peur de se retrouver dans la même situation. Elle n’a aucune tendance lesbienne, mais elle a eu des copines avec lesquelles elle a couché au Lycée et elle avoue qu’Odile l’attirait depuis longtemps au boulot. Alors pourquoi pas se connaître un peu mieux, pour voir ! Tout en finissant leur dîner, elles se sont emmêlées leurs mains, se les embrassant tout en devisant et en se regardant dans les yeux. Antoinette soudain, questionne Odile, la plus âgée des deux ?

- Alors chérie, puisque ton mari ne rentre pas cette nuit, tu veux venir chez moi ou tu as une autre idée
- À trois cents mètres, j’ai l’appartement que mon coquin d’Edmond a mis à ma disposition, tu veux que nous y allions ?

Allons-y vite, j’ai envie de te voir nue, nous pourrions faire pleins de cochonneries ma belle, tu ne crois pas ?

Odile rougit comme une collégienne, ne sachant si elle sera capable de se dénuder comme le souhaite sa collègue. Elle a l’impression d’être dépassée par les évènements. Les deux donzelles payent bien vite leur écot et filent vers le baisodrome qui les attend. En montant l’escalier, ayant mis Antoinette devant elle, Odile ne peut qu’admirer les jambe parfaites et les cuisses musclées de sa compagne, mais surtout elle est scotchée par les fesses rebondies qu’elle admire tout en montant les marches, découvrant ainsi une moule cuivrée et garnie d’une forêt brune. La coquine non plus n’a pas mis de culotte. Elle ne peut s’empêcher d’être tentée de la prendre entre ses lèvres. Se reprenant, Odile se relève et entraine sa jeune collègue vers la porte du loft coquin qu’elle ouvre rapidement. La porte refermée, Antoinette, plus hardie, ne laisse pas Odile respirer. Elle l’enlace et lui prend les lèvres dans un baiser passionné. Odile fond sous le patin que lui octroie sa jeune collègue. Bien que se disant que c’est mal de se laisser entrainer dans des amours défendues, elle laisse la langue de la jolie brune aller chercher la sienne, et elle gémit, lorsque sa compagne caresse un sein qu’elle a sorti du corset en glissant sa main sous le top.

Maladroitement, elle ose caresser la poitrine qui déborde du corsage, osant même sortir une mamelle énorme qu’elle malaxe avec douceur. Elle se risque à prendre le mamelon entre ses lèvres, bécotant le renflement avant de lécher le téton saillant et de le sucer en l’aspirant. Antoinette, est parvenue à lui ôter son top, et abaissant le haut du corsage d’Odile, elle saisit les tétons entre ses doigts et, progressivement, elle les pince jusqu’à ce que sa compagne pousse un feulement de douleur, mordant même jusqu’au sang le téton qu’elle tenait entre ses lèvres. Se redressant, les deux femmes s’embrassent à nouveau. Leurs mains ne tardent pas à se glisser sous les jupes. Elles ont chacune l’entrejambe nue et les doigts se glissent dans les chattes déjà détrempées. Elles ont envie aussi bien l’une que l’autre et c’est à moitié dépoitraillées et retroussées qu’elle se couchent sur le grand lit rond. Antoinette avoue à sa compagne qu’elle a envie de la manger toute crue.

Les deux femmes se déshabillent en un tour de main. Antoinette est immédiatement nue comme au premier jour, exposant ses seins imposants et un cul de déesse, ainsi qu’une toison luxuriante d’un noir de jais sur laquelle une fente rouge vif se détache et attire le regard. Odile reste en bas avec son corset rouge qui met en valeur sa vulve couronnée d’une toison blonde clairsemée. Antoinette l’enlace à nouveau et sort entièrement les mignons nénés de la coque du corset, les suçant aussitôt, mordillant les tétons, les allongeant en les tirant avec les dents, faisant défaillir la belle mature. Celle-ci, qui caressait les mamelles de la jeune brune, s’empare aussi des gros tétons avec ses doigts et les pincent longuement à son tour, si fortement, que sa compagne pousse un hurlement sous la douleur et le plaisir qu’elle ressent. Les deux femmes s’embrassent comme des goulues, entremêlant leurs jambes et se frottant leur entrecuisse, enlacées étroitement dans leur folie amoureuse.

Odile a une furieuse envie de toucher et d’embrasser l’intimité de sa collègue, aussi elle se laisse glisser jusqu’au ventre légèrement rebondi tout en lui appliquant de petits bécots, puis elle atteint le pubis et sa toison épaisse et très fournie de poils bruns. La jeune femme écarte son entrecuisse pour que la tête de la mature blonde puisse s’y aventurer. Odile lèche et hume les chairs intimes qui dégoulinent de la liqueur vaginale. Elle est étonnée de trouver des chairs si foncées et fortement odorantes, alors qu’elle, avec sa peau si blanche presque diaphane, possède une vulve à peine colorée, devenant tout de même orangée sous l’excitation. S’enhardissant, la belle bourgeoise aventure sa langue dans le sillon profond, léchant les chairs intimes de la belle brune qui s’offre avec volupté à la caresse linguale qui la fait frémir de tout son être. Surtout lorsque la blonde prend entre ses lèvres l’énorme clitoris sorti de son capuchon, le suce, le mordille, entrainant Antoinette dans un délire et un orgasme incroyable.

À son tour, Odile se prête aux lèvres et aux mains de sa compagne qui lui rend le même traitement qu’elle vient de recevoir, Antoinette la doigte, comme l’a fait Edmond mais avec plus d’habileté, déclenchant encore une fois, les jets de sa jouissance de femme-fontaine. Épuisée, Odile se repose, alors qu’Antoinette l’essuie, avec un drap de bains qu’elle est allée chercher dans la salle de bains. Intriguée par le bouchon d’acier qui obstrue la rosette anale d’Odile, elle ne peut s’empêcher de la questionner.

- Tu as quelque chose entre tes fesses ma chérie qui m’intrigue ?

Odile est à présent à l’aise avec cet olisbos, le plus gros qu’elle porte en permanence, sauf chez elle, et encore…. Car elle sait qu’Edmond va un jour la prendre dans son anus et qu’il aura du mal à fourrer son gros sexe dans son cul si délicat.

- Tu sais, c’est Edmond qui me dilate progressivement l’anus avec ce rosebud pour qu’il puisse m’enculer lorsque je serai suffisamment élargie. Celui que je porte est très gros, mais veux-tu essayer avec le plus petit. J’ai l’habitude à présent et je serai ravie de t’initier et de découvrir ton adorable lune, afin de pouvoir explorer ton anneau de Vénus.

Antoinette embrasse langoureusement sa compagne et lui souffle à l’oreille qu’elle veut bien faire toutes les cochonneries qu’elle voudra. Si elle n’a jamais voulu goûter à la sodomisation avec son homme, elle meure d’envie d’essayer avec sa complice en amours lesbiennes. Odile va chercher dans la salle de bains la boite aux rosebud et le gel émollient, afin de faciliter la pénétration. Elle fait allonger Antoinette sur le lit, et lui met un gros coussin sous le ventre afin que les fesses soient rehaussées. Elle lui demande de disjoindre les cuisses le plus possible, puis, elle écarte les fesses dodues de ses deux mains et contemple avec ravissement l’entrecuisse de sa compagne. La vulve, après tous les attouchements de la soirée est largement ouverte alors que les chairs violacées palpitent d’excitation. Tout est humide et Odile ne peut s’empêcher de lécher le suc délicieux qui s’écoule du vagin, dans lequel elle pointe sa langue le plus loin possible. Mais son attention est aussi attirée par l’œil de bronze, plissé et entouré d’une couronne de poils noirs, objet de son désir. Elle se met un peu de gel sur l’index et l’applique sur la rosette qui fronce en se contractant sous le doigt qui en fait le tour en appuyant légèrement. La chair palpite lorsque le doigt s’enfonce doucement dans le sphincter qui se resserre étroitement, lorsque Odile le fait pénétrer dans le goulet étroit jusqu’au plus profond de l’intimité rectale de sa proie, ce qui lui fait pousser un gémissement de surprise.

Pourtant, elle pousse sa croupe au-devant du doigt qui la perfore, attendant plus sans aucun doute. Odile s’est bien rendu compte que la jeune femme prend du plaisir, aussi, elle enduit le plus petit des rosebud avec le gel, puis, elle le présente devant l’œillet à peine dilaté par son doigt. La pointe d’acier perfore doucement les chairs du cul inviolé. Odile sens son jus couler entre ses cuisses, tellement cette situation est excitante pour elle, se rappelant que lorsqu’Edmond l’a introduit pour la première fois, il devait prendre autant de joie à voir son cul se dilater qu’elle en prend elle à voir l’engin en acier se glisser dans l’orifice anal qui s’ouvre sous la pression continu du rosebud. Jusqu’à ce que dans un « flop » il se retrouve à l’intérieur, arrêté par le large aplat qui lui permet de ne pas sortir inopinément, ni non plus, de se perdre dans le cratère anal. Odile, tout en faisant aller et venir l’olisbos dans le cul d’Antoinette, lui bouffe sa chatte qui dégouline sans discontinuer…………..

La jeune brune plantureuse et la fine mature blonde s’aiment ainsi une bonne partie de la nuit. Antoinette, après un copieux petit-déjeuner, part de bonne heure pour aller se changer chez elle avant d’aller travailler. Odile, n’ayant pas à revenir chez elle, puisque sa fille a découché et que son mari est toujours d’astreinte, elle profite de la garde-robe éclectique qu’elle a rassemblé et revêt comme à son habitude pour aller au bureau, un ensemble tailleur-pantalon très strict. Comment pourrait-on reconnaître la cavale de cette nuit d’amour féminin !...............

À suivre…

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