Anton Ep 01 : A la montagne
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Anton Ep 01 : A la montagne
Anton Ep 01 : A la montagne
Pour la première fois, depuis l'invention de l'écriture, l'histoire que je vous propose aujourd'hui a été écrite en collaboration avec Junior. Le scénario est de Junior, la réalisation et la mise en scène sont de Charly Chast !
. . . . . .
'' Mais qu'est ce que je suis venu faire dans cette galère ? '' se demandait le jeune Anton. '' Si j'avais su, j'aurais pas venu comme on dit '' …
Le bus les avait laissé un peu plus bas dans la vallée et depuis maintenant plus d'une heure il marchait. Il avait son sac à dos sur les épaules et il râlait.
Il n'était pas seul le petit Anton, il y avait toute une équipe avec lui mais c'est lui qui râlait le plus fort. '' Et il reste encore combien de kilomètres avant d'arriver ? '' . On leur avait promis qu'ils seraient arrivés avant la nuit. Pour l'instant on n'était que le matin …
C'était à cause de son copain Michael qu'il s'était inscrit. Il aimait bien Michael, il le trouvait tellement beau et tellement sexy. C'est vrai qu'il était musclé Michael et toutes les filles lui tournaient autour, ça ne plaisait pas vraiment à Anton cette affaire mais bon personne ne lui demandait son avis. Il s'était dit que là pendant ce stage de survie dans la nature, comme il n'y aurait aucune fille, il serait tranquille de ce côté ... Il avait l'intention d'avancer un peu dans cette aventure. Avec Michael je veux dire, ils avaient prévu de partager la même tente, de passer du temps ensemble. Et Anton avait prévu de se rapprocher un peu plus physiquement.
Mais voilà, Anton n'avait pas vraiment compris ce qui se passait. Michael n'était pas dans le bus. Pas moyen de le joindre au téléphone, pas d'explication, du coup, Anton ne voulait plus y aller à ce stage de survie, il a voulu descendre du bus mais c'était trop tard … Il roulait déjà …
Alors forcément depuis son arrivée … Anton râlait !
Le midi ils ont fait une pause, pour manger. Les organisateurs avaient prévu des sandwich.
– La survie est organisée, se disaient Anton, mais bon de toutes façons les organisateurs sont responsables de nous, ils ne vont pas nous laisser mourir de faim, ou de froid, ou d'autre chose d'ailleurs. Enfin d'ennui peut être ? Le téléphone ne passe même pas ici ! Je ne savais pas qu'à notre époque il restait encore des endroits comme ça …
L'après midi était bien avancé quand ils arrivaient à destination. Une sorte de petit plateau, ils étaient maintenant en altitude, d'un côté ça montait encore, ils était aux pieds d'une falaise qu'on pouvait encore escalader mais là ça montait fort. De l'autre côté une petite forêt, elle n'était pas bien large, moins d'un kilomètres et se terminait par une autre falaise, mais là ils étaient en haut de la falaise et le panorama était à couper le souffle … Ils étaient arrivés par un chemin et le chemin continuait, il s'enfonçait dans la forêt, cette partie de la forêt était plus épaisse, plus sombre …
Anton partagerait sa tente avec Jean François, un des membre du groupe d'encadrement. En fait Jean François était un étudiant plus âgé, il avait déjà participé à ce stage de survie et comme ils manquaient de moniteurs, il s'était porté volontaire. Anton ronchonnait dans sa barbe, il était imberbe mais bon c'est une façon de parler …
– Allez bonhomme tu sais comment monter une tente ? Lui demandait Jean François.
– C'est à la portée du premier idiot venu.
– Ça tombe bien, tu es là !
– Ah c'est malin !
– Soit mignon Anton, arrête de te plaindre. Depuis qu'on est arrivé tu n'arrêtes pas de râler !
– Depuis que le Bus est parti pour être exact !
– Raison de plus, tu n'avais qu'à pas monter dans ce bus. Maintenant que tu es là, dis toi bien que c'est pas en râlant que tu rendras le séjour plus agréable.
Disant cela, Jean François retirait son T-shirt … Anton faisait des yeux tout rond, c'est vrai qu'il est bien musclé le Jean François. Un petit peu plus vieux, un peu plus mature, et là, devinez mais, Anton ne râlait plus du tout !
Il terminait même de monter la tente avec le sourire le petit Anton. C'était une petite tende genre canadienne, ils y seraient à l'étroit mais c'était mieux pour se tenir chaud.
Pour ce qui est de la partie survie, c'était très bien organisé, il y avait une source d'eau, fraîche et délicieusement pure, directement filtrée par la roche, chacun devait faire ses propres réserves mais pour la nourriture c'était encore mieux organisé, quelques conserves et des produits lyophilisés …
– Et comment qu'on fait si on est perdu dans la nature et qu'il n'y a pas de magasin à proximité, on se rabat sur les surgelés ou sur les conserves … ? Demandait Anton à Jean François. Ce qui le faisait rire.
Il n'avait pas voulu se faire remarqué, et il s'était rapproché de son camarade de tente pour pouvoir lui poser la question discrètement. Il ne râlait plus du tout et ne faisait plus la gueule. La soirée avançait et avait du mal à ne pas fixer des yeux les muscles de son nouvel ami. Il faisait un peu frais et tout le monde avait enfilé une sorte de doudou pour se tenir au chaud. Jean François restait toujours aussi sexy aux yeux d'Anton.
Jean François ne repoussait pas Anton, au contraire même semblait-il.
La soirée s'avançait autour d'un feu, tout le groupe s'était attroupé en cercle et se racontait des histoires. L'ambiance était bonne. Jean François faisait signe à Anton qu'il allait se coucher. Le cœur d'Anton battait fort et vite d'un coup. Il s'imaginait déjà ce magnifique gaillard endormi à côté de lui. Sans oser se l'avouer, il se demandait en fait s'il pourrait … Si seulement il pourrait. Malgré tout il n'osait pas foncer vers la tente pour s'allonger, pour pouvoir regarder Jean François se déshabiller, il l'imaginait faire.
Dort-il nu ? Vais-je pouvoir dormir nu ? Avec Michael j'aurais osé. Torse nue ? Il fait pas trop froid sous la tente ? Bein oui il faut bien se dire que notre ami Anton, c'est avant tout un citadin. Ses grands espaces sauvages, pour lui, ce sont les grands boulevards … Ses étendues d'eau sauvages ce sont les piscine, éventuellement la plage des Sables d'Olonne mais en été uniquement ! C'est un aventurier des clubs de vacances, et là, il faut bien se dire que ça faisait un peu sauvage pour lui. Un tente … en forêt … Mon dieu !
En se glissant dans la tente, Anton était agréablement surpris de découvris un torse musclé, deux bras musclés, et la belle gueule de Jean François qui dépassaient de son sac de couchage. Il y allait doucement, c'est pas qu'il ne voulait pas le réveiller mais il ne voulait surtout pas que ça paresse volontaire. Donc il tentait de réveiller accidentellement son camarade … C'est futé, je sais !
Ça a marché. Jean François à relevé la tête.
– Tu devrais dormir entièrement à poil. Tu verras, tu te réchauffes bien mieux comme ça !
Là Anton ouvrait à nouveau des yeux tout rond. C'est vrai que dans le noir ça ne se voyait pas. C'est vrai aussi que ça lui simplifiait sa prise de décision … Sitôt dit, sitôt fait … C'est entièrement nu qu'il se glissait dans son sac de couchage. Rapidement il sentait la main de Jean François lui caresser l'avant bras. Jusque là il avait réussi à se contrôler mais brusquement, il ne contrôlait plus rien. Il bandait !
Il caressait la main de Jean François, comme ça l'air de rien … Presque par distraction.
– Hmmm . Hmmm ! Murmurait Jean François.
Anton se retournait vers son voisin de tente, ses yeux ne s'étaient pas encore habitué à l'obscurité et il n'a pas vu venir le visage de Jean François, il a senti par contre ce baiser très tendre qu'on lui donnait, il n'a pas résisté. Il la rendu ce baiser. Et quelques instants plus tard, le sac de couchage bien ouvert, il n'avait pas froid, le torse de son colocataire le réchauffait, ses bras le caressaient et il en faisait de même. Les deux corps se rapprochaient, la main de l'un caressait les fesses de l'autre et Anton sentait les lèvre de son camarade sur sa queue. Il sentait la langue de Jean François lui caresser le gland puis il sentait sa queue lui rentrer dans la bouche. C'était doux, c'était chaud et Anton frémissait de plaisir.
Anton caressait les cheveux de Jean François, par moment un mouvement de son bassin lui échappait, au début Jean François relevait la tête puis peu à peu il appuyait son visage et avalait la queue de son compagnon bien à fond. Dans un même temp il s'allongeait à côté de Anton, il se plaçait bien pour lui permettre de lui rendre la politesse.
Anton commençait alors à tripoter, à masturber son compagnon puis se décidait à son tout à lui sucer la queue. On aurait pu le croire dégourdi le petit Anton mais en fait non, il n'était pas dégourdi du tout. Pour lui c'était une première, une découverte.
C'est timidement qu'il prenait le gland de son camarade dans la bouche, il était mieux monté que lui et Anton était impressionné. Ce n'était pas un géant non plus et rapidement Anton parvenait à prendre cette queue en entier, bien à fond dans sa gorge. C'était une première pour lui mais il y prenait goût.
Pendant un long, un très long moment les deux garçons se donnaient du plaisir. Leurs mains découvraient le corps de l'autre. Anton insistait sur les fesses de son camarade alors que son camarade, peut être plus entreprenant, avait déjà glissé une doigt entre ses fesses. Il insistait alors avec un mouvement circulaire sur la petite ouverture bien refermée, bien resserrée entre elles.
Anton couinait de plaisir, ou alors c'est parce qu'il ne pouvait pas parler !
Jean François se redressait et c'est face à face qu'ils se retrouvaient. Anton devinait le sourire de son partenaire. Les deux torses se caressaient l'un l'autre. Les deux sexes se trouvaient. Chacun tirait l'autre contre lui. Les jambes se mêlaient et les deux corps roulaient l'un sur l'autre.
Jean François se retrouvaient dessus et avec son visage couvrait de baisers le corps de son partenaire. Il lui mordillait les tétons et Anton avait du mal à retenir de vrai gémissements mais les bruits à l'extérieur de la tente le rappelait à l'ordre. Il entendait le reste du groupe qui de loin continuait à discuter, et il serrait la mâchoire pour retenir ses gémissements de plaisir. Jean François lui suçait la queue un petit moment mais pour faire durer le plaisir arrêtait avant de faire jouir son camarade. Il remontait alors la tête et de nouveau l’étreignait et l'embrassait. Ils roulaient de nouveau l'un sur l'autre.
C'est Athon qui se retrouvait en position dominante. Il ne lui restait plus qu'à montrer à son guide qu'il avait bien compris ce qu'il fallait faire. A son tour , il parcourait le corps de son camarade avec ses lèvres, avec le bout de son nez. Il s'arrêtait régulièrement pour déposer un baiser ou une petite caresse de la langue en insistant bien sur les téton. Par moment il montrait les dents. Oh en douceur, rassurez vous, il mordillait son camarade avec douceur, pour les tétons par exemple, il avait compris qu'en y mettant la langue on était sûr de ne jamais mordre trop fort. On place alors ses dents du haut, le téton de son partenaire, sa langue puis les dents du bas. Si on mord trop fort on se fait mal à la langue … Là on peut y aller on ne fera pas mal à son partenaire .
Anton était bon élève. Le maître, le guide, Jean François savait apprécier. De nouveau Jean François replongeait sur la queue de Anton qui avait tout compris et suivait le mouvement. Chacun suçait l'autre. Anton n'avait plus aucune timidité, il y allait de bon cœur, il y prenait du plaisir. Il prenait du plaisir dans les deux positions, sucé ou suceur !
Jean François s'attardait de nouveau longuement, sur le petite ouverture entre les fesses d'Athon. Là Anton n'osait pas, il n'osait pas encore. Et ce contact l'inquiétait il resserrait son cul par réflexe de toutes ses forces. Jean François le devinait. Il lui lubrifiait toutefois le cul avec sa salive alors qu'il sentait le plaisir monter. Anton le suçait maintenant avec passion, il faisait ça bien en plus. Jean François ne comprenait plus. Au début il avait pensé que c'était un première pour Anton, là il en était moins sûr. Le plaisir montait et il finissait par éjaculer dans la bouche d'Anton, qui ne s'y attendait pas.
C'est à ce moment qu'il enfonçait son doigt dans le cul d'Anton qui éjaculait à son tour et Jean François recevait tout dans la bouche. Anton n'avait pas arrêté de sucer son camarade. Jean François faisait de même. Ils avalaient, ils respiraient fort, ils ne bougeaient plus.
Plus tard ils reprenaient leur position face à face et continuaient à échanger beaucoup de douceur, beaucoup de tendresse. L'un caressait le visage de l'autre en le tenant bien dans bras. Les deux sacs de couchage étaient ouverts, et devenaient une sorte de lit étroit, la tente n'était pas large, mais douillet.
C'est ainsi qu'ils se sont endormis. Finalement Anton ne regrettait pas, ne regrettait plus que son camarade Michael ne soit pas venu … Au contraire peut être même .
C'est la lumière, le chant des oiseaux, les discussions de leurs voisins qui les réveillaient le lendemain matin. Ils avaient installé leur tente au pied d'un chêne magnifique, large, fort et haut. Anton sortait de la tente, il suivait son camarade, ils avaient un short sur eux et c'est là que le drame … C'est là que le terrible accident s'est produit …
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Pour la première fois, depuis l'invention de l'écriture, l'histoire que je vous propose aujourd'hui a été écrite en collaboration avec Junior. Le scénario est de Junior, la réalisation et la mise en scène sont de Charly Chast !
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'' Mais qu'est ce que je suis venu faire dans cette galère ? '' se demandait le jeune Anton. '' Si j'avais su, j'aurais pas venu comme on dit '' …
Le bus les avait laissé un peu plus bas dans la vallée et depuis maintenant plus d'une heure il marchait. Il avait son sac à dos sur les épaules et il râlait.
Il n'était pas seul le petit Anton, il y avait toute une équipe avec lui mais c'est lui qui râlait le plus fort. '' Et il reste encore combien de kilomètres avant d'arriver ? '' . On leur avait promis qu'ils seraient arrivés avant la nuit. Pour l'instant on n'était que le matin …
C'était à cause de son copain Michael qu'il s'était inscrit. Il aimait bien Michael, il le trouvait tellement beau et tellement sexy. C'est vrai qu'il était musclé Michael et toutes les filles lui tournaient autour, ça ne plaisait pas vraiment à Anton cette affaire mais bon personne ne lui demandait son avis. Il s'était dit que là pendant ce stage de survie dans la nature, comme il n'y aurait aucune fille, il serait tranquille de ce côté ... Il avait l'intention d'avancer un peu dans cette aventure. Avec Michael je veux dire, ils avaient prévu de partager la même tente, de passer du temps ensemble. Et Anton avait prévu de se rapprocher un peu plus physiquement.
Mais voilà, Anton n'avait pas vraiment compris ce qui se passait. Michael n'était pas dans le bus. Pas moyen de le joindre au téléphone, pas d'explication, du coup, Anton ne voulait plus y aller à ce stage de survie, il a voulu descendre du bus mais c'était trop tard … Il roulait déjà …
Alors forcément depuis son arrivée … Anton râlait !
Le midi ils ont fait une pause, pour manger. Les organisateurs avaient prévu des sandwich.
– La survie est organisée, se disaient Anton, mais bon de toutes façons les organisateurs sont responsables de nous, ils ne vont pas nous laisser mourir de faim, ou de froid, ou d'autre chose d'ailleurs. Enfin d'ennui peut être ? Le téléphone ne passe même pas ici ! Je ne savais pas qu'à notre époque il restait encore des endroits comme ça …
L'après midi était bien avancé quand ils arrivaient à destination. Une sorte de petit plateau, ils étaient maintenant en altitude, d'un côté ça montait encore, ils était aux pieds d'une falaise qu'on pouvait encore escalader mais là ça montait fort. De l'autre côté une petite forêt, elle n'était pas bien large, moins d'un kilomètres et se terminait par une autre falaise, mais là ils étaient en haut de la falaise et le panorama était à couper le souffle … Ils étaient arrivés par un chemin et le chemin continuait, il s'enfonçait dans la forêt, cette partie de la forêt était plus épaisse, plus sombre …
Anton partagerait sa tente avec Jean François, un des membre du groupe d'encadrement. En fait Jean François était un étudiant plus âgé, il avait déjà participé à ce stage de survie et comme ils manquaient de moniteurs, il s'était porté volontaire. Anton ronchonnait dans sa barbe, il était imberbe mais bon c'est une façon de parler …
– Allez bonhomme tu sais comment monter une tente ? Lui demandait Jean François.
– C'est à la portée du premier idiot venu.
– Ça tombe bien, tu es là !
– Ah c'est malin !
– Soit mignon Anton, arrête de te plaindre. Depuis qu'on est arrivé tu n'arrêtes pas de râler !
– Depuis que le Bus est parti pour être exact !
– Raison de plus, tu n'avais qu'à pas monter dans ce bus. Maintenant que tu es là, dis toi bien que c'est pas en râlant que tu rendras le séjour plus agréable.
Disant cela, Jean François retirait son T-shirt … Anton faisait des yeux tout rond, c'est vrai qu'il est bien musclé le Jean François. Un petit peu plus vieux, un peu plus mature, et là, devinez mais, Anton ne râlait plus du tout !
Il terminait même de monter la tente avec le sourire le petit Anton. C'était une petite tende genre canadienne, ils y seraient à l'étroit mais c'était mieux pour se tenir chaud.
Pour ce qui est de la partie survie, c'était très bien organisé, il y avait une source d'eau, fraîche et délicieusement pure, directement filtrée par la roche, chacun devait faire ses propres réserves mais pour la nourriture c'était encore mieux organisé, quelques conserves et des produits lyophilisés …
– Et comment qu'on fait si on est perdu dans la nature et qu'il n'y a pas de magasin à proximité, on se rabat sur les surgelés ou sur les conserves … ? Demandait Anton à Jean François. Ce qui le faisait rire.
Il n'avait pas voulu se faire remarqué, et il s'était rapproché de son camarade de tente pour pouvoir lui poser la question discrètement. Il ne râlait plus du tout et ne faisait plus la gueule. La soirée avançait et avait du mal à ne pas fixer des yeux les muscles de son nouvel ami. Il faisait un peu frais et tout le monde avait enfilé une sorte de doudou pour se tenir au chaud. Jean François restait toujours aussi sexy aux yeux d'Anton.
Jean François ne repoussait pas Anton, au contraire même semblait-il.
La soirée s'avançait autour d'un feu, tout le groupe s'était attroupé en cercle et se racontait des histoires. L'ambiance était bonne. Jean François faisait signe à Anton qu'il allait se coucher. Le cœur d'Anton battait fort et vite d'un coup. Il s'imaginait déjà ce magnifique gaillard endormi à côté de lui. Sans oser se l'avouer, il se demandait en fait s'il pourrait … Si seulement il pourrait. Malgré tout il n'osait pas foncer vers la tente pour s'allonger, pour pouvoir regarder Jean François se déshabiller, il l'imaginait faire.
Dort-il nu ? Vais-je pouvoir dormir nu ? Avec Michael j'aurais osé. Torse nue ? Il fait pas trop froid sous la tente ? Bein oui il faut bien se dire que notre ami Anton, c'est avant tout un citadin. Ses grands espaces sauvages, pour lui, ce sont les grands boulevards … Ses étendues d'eau sauvages ce sont les piscine, éventuellement la plage des Sables d'Olonne mais en été uniquement ! C'est un aventurier des clubs de vacances, et là, il faut bien se dire que ça faisait un peu sauvage pour lui. Un tente … en forêt … Mon dieu !
En se glissant dans la tente, Anton était agréablement surpris de découvris un torse musclé, deux bras musclés, et la belle gueule de Jean François qui dépassaient de son sac de couchage. Il y allait doucement, c'est pas qu'il ne voulait pas le réveiller mais il ne voulait surtout pas que ça paresse volontaire. Donc il tentait de réveiller accidentellement son camarade … C'est futé, je sais !
Ça a marché. Jean François à relevé la tête.
– Tu devrais dormir entièrement à poil. Tu verras, tu te réchauffes bien mieux comme ça !
Là Anton ouvrait à nouveau des yeux tout rond. C'est vrai que dans le noir ça ne se voyait pas. C'est vrai aussi que ça lui simplifiait sa prise de décision … Sitôt dit, sitôt fait … C'est entièrement nu qu'il se glissait dans son sac de couchage. Rapidement il sentait la main de Jean François lui caresser l'avant bras. Jusque là il avait réussi à se contrôler mais brusquement, il ne contrôlait plus rien. Il bandait !
Il caressait la main de Jean François, comme ça l'air de rien … Presque par distraction.
– Hmmm . Hmmm ! Murmurait Jean François.
Anton se retournait vers son voisin de tente, ses yeux ne s'étaient pas encore habitué à l'obscurité et il n'a pas vu venir le visage de Jean François, il a senti par contre ce baiser très tendre qu'on lui donnait, il n'a pas résisté. Il la rendu ce baiser. Et quelques instants plus tard, le sac de couchage bien ouvert, il n'avait pas froid, le torse de son colocataire le réchauffait, ses bras le caressaient et il en faisait de même. Les deux corps se rapprochaient, la main de l'un caressait les fesses de l'autre et Anton sentait les lèvre de son camarade sur sa queue. Il sentait la langue de Jean François lui caresser le gland puis il sentait sa queue lui rentrer dans la bouche. C'était doux, c'était chaud et Anton frémissait de plaisir.
Anton caressait les cheveux de Jean François, par moment un mouvement de son bassin lui échappait, au début Jean François relevait la tête puis peu à peu il appuyait son visage et avalait la queue de son compagnon bien à fond. Dans un même temp il s'allongeait à côté de Anton, il se plaçait bien pour lui permettre de lui rendre la politesse.
Anton commençait alors à tripoter, à masturber son compagnon puis se décidait à son tout à lui sucer la queue. On aurait pu le croire dégourdi le petit Anton mais en fait non, il n'était pas dégourdi du tout. Pour lui c'était une première, une découverte.
C'est timidement qu'il prenait le gland de son camarade dans la bouche, il était mieux monté que lui et Anton était impressionné. Ce n'était pas un géant non plus et rapidement Anton parvenait à prendre cette queue en entier, bien à fond dans sa gorge. C'était une première pour lui mais il y prenait goût.
Pendant un long, un très long moment les deux garçons se donnaient du plaisir. Leurs mains découvraient le corps de l'autre. Anton insistait sur les fesses de son camarade alors que son camarade, peut être plus entreprenant, avait déjà glissé une doigt entre ses fesses. Il insistait alors avec un mouvement circulaire sur la petite ouverture bien refermée, bien resserrée entre elles.
Anton couinait de plaisir, ou alors c'est parce qu'il ne pouvait pas parler !
Jean François se redressait et c'est face à face qu'ils se retrouvaient. Anton devinait le sourire de son partenaire. Les deux torses se caressaient l'un l'autre. Les deux sexes se trouvaient. Chacun tirait l'autre contre lui. Les jambes se mêlaient et les deux corps roulaient l'un sur l'autre.
Jean François se retrouvaient dessus et avec son visage couvrait de baisers le corps de son partenaire. Il lui mordillait les tétons et Anton avait du mal à retenir de vrai gémissements mais les bruits à l'extérieur de la tente le rappelait à l'ordre. Il entendait le reste du groupe qui de loin continuait à discuter, et il serrait la mâchoire pour retenir ses gémissements de plaisir. Jean François lui suçait la queue un petit moment mais pour faire durer le plaisir arrêtait avant de faire jouir son camarade. Il remontait alors la tête et de nouveau l’étreignait et l'embrassait. Ils roulaient de nouveau l'un sur l'autre.
C'est Athon qui se retrouvait en position dominante. Il ne lui restait plus qu'à montrer à son guide qu'il avait bien compris ce qu'il fallait faire. A son tour , il parcourait le corps de son camarade avec ses lèvres, avec le bout de son nez. Il s'arrêtait régulièrement pour déposer un baiser ou une petite caresse de la langue en insistant bien sur les téton. Par moment il montrait les dents. Oh en douceur, rassurez vous, il mordillait son camarade avec douceur, pour les tétons par exemple, il avait compris qu'en y mettant la langue on était sûr de ne jamais mordre trop fort. On place alors ses dents du haut, le téton de son partenaire, sa langue puis les dents du bas. Si on mord trop fort on se fait mal à la langue … Là on peut y aller on ne fera pas mal à son partenaire .
Anton était bon élève. Le maître, le guide, Jean François savait apprécier. De nouveau Jean François replongeait sur la queue de Anton qui avait tout compris et suivait le mouvement. Chacun suçait l'autre. Anton n'avait plus aucune timidité, il y allait de bon cœur, il y prenait du plaisir. Il prenait du plaisir dans les deux positions, sucé ou suceur !
Jean François s'attardait de nouveau longuement, sur le petite ouverture entre les fesses d'Athon. Là Anton n'osait pas, il n'osait pas encore. Et ce contact l'inquiétait il resserrait son cul par réflexe de toutes ses forces. Jean François le devinait. Il lui lubrifiait toutefois le cul avec sa salive alors qu'il sentait le plaisir monter. Anton le suçait maintenant avec passion, il faisait ça bien en plus. Jean François ne comprenait plus. Au début il avait pensé que c'était un première pour Anton, là il en était moins sûr. Le plaisir montait et il finissait par éjaculer dans la bouche d'Anton, qui ne s'y attendait pas.
C'est à ce moment qu'il enfonçait son doigt dans le cul d'Anton qui éjaculait à son tour et Jean François recevait tout dans la bouche. Anton n'avait pas arrêté de sucer son camarade. Jean François faisait de même. Ils avalaient, ils respiraient fort, ils ne bougeaient plus.
Plus tard ils reprenaient leur position face à face et continuaient à échanger beaucoup de douceur, beaucoup de tendresse. L'un caressait le visage de l'autre en le tenant bien dans bras. Les deux sacs de couchage étaient ouverts, et devenaient une sorte de lit étroit, la tente n'était pas large, mais douillet.
C'est ainsi qu'ils se sont endormis. Finalement Anton ne regrettait pas, ne regrettait plus que son camarade Michael ne soit pas venu … Au contraire peut être même .
C'est la lumière, le chant des oiseaux, les discussions de leurs voisins qui les réveillaient le lendemain matin. Ils avaient installé leur tente au pied d'un chêne magnifique, large, fort et haut. Anton sortait de la tente, il suivait son camarade, ils avaient un short sur eux et c'est là que le drame … C'est là que le terrible accident s'est produit …
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