Anton Ep 2 : L'accident
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Anton Ep 2 : L'accident
Anton Ep 2 : L'accident
Pour la première fois, depuis l'invention de l'écriture, l'histoire que je vous propose a été écrite en collaboration avec Junior. Le scénario est de Junior, la réalisation et la mise en scène sont de Charly Chast !
S'il y en a qui sont un peu surpris par le début de l'histoire … Je suis obligé de reconnaître que le début est un peu loufoque … En effet !
. . . . . .
L'accident aurait pu être évité, il fut terrible mais il aurait fallu si peu, un rien, pour que rien ne se passe.
L'arbre était immense, il aurait été plus petit et tout se serait bien passé. Une branche, même de petite taille, aurait évité le drame. Quelques feuilles auraient suffi pour que la catastrophe ne se produise pas. Ou encore une casquette, Anton avait la tête nue, une casquette, une simple casquette l'aurait sauvé de sa terrible destinée.
C'est probablement au départ un mouvement d'air, pas une bourrasque, juste une petit mouvement d'air, un presque rien comme je l'ai dit, un trois fois rien ( remarquez trois fois rien, c'est déjà pas rien ! ) …
Oui je sais, je devrais avoir honte, c'est un drame que je vous raconte et moi, je fais des jeux de mots … (Note de l'Auteur )
Cet arbre magnifique avec ses dimensions impressionnantes laissait tomber un fruit de son sommet et rien comme je vous le disais, rien n'a freiné sa chute, rien sur sa trajectoire n'a pu le ralentir et avec la hauteur il ne cessait d'accélérer. C'est à pleine vitesse qu'il venait s'écraser sur le sommet du crane d'Anton.
Poc !
Sur le coup Anton a ressenti une terrible douleur, puis il a perdu l'équilibre et il s'est effondré de tout son poids sur le dos, et là, la nuque baignant dans le frais cresson bleu, il était étendu dans l'herbe sous la nue, pâle dans son lit vert ou pleuvait la lumière du jour naissant …
Oui bon d'accord là j'ai plagié, mais promis je ne le referai plus ! C'était pour détendre un peu la tension du drame ! (Note de l'auteur)
Tous ses camarades se sont alors précipités. Un le touchait du bout du doigt, un autre le poussait du pied …
– Il ne bouge plus. Disait l'un.
– Bon ça c'est ballot. Répondait un autre.
– Il ne dit plus rien …
– Par contre ça c'est bien …
– Mais pourquoi tu dis ça ?
– Bein hier il a râlé toute la journée !
– Traînez pas les mecs, il n'y aura pas de chocolat chaud pour tout le monde. Qu'est-ce qu'il fait par terre celui là ? Intervenait un des moniteurs.
Bon après cet élan dramatique et lyrique auquel je me suis laissé aller, si on reprenait le cours normal de notre histoire ...
Anton avait encore mal à la tête, c'est une tête inconnue qui était penchée sur lui, inconnue mais il la reconnaissait au bout de quelques instant. C'était un ami, c'était Théo. Il était un peu sonné le pauvre Anton …
– Et bien Tooni qu'est-ce qui t'arrive ? Lui demandait Théo.
– C'est rien Théo, je crois que j'ai reçu un gland sur la tête.
– Ah oui ? Il ne te faut pas grand chose à toi !
– Ils sont ou les autres ? Demandait Tooni .
– Quels autres ? Nous sommes seuls, et il faudrait que tu te réveilles un peu sinon on va être en retard à ta validation … Tu sais que l'ordre d'arrivée est aussi pris en compte. Les derniers seront les moins bien servis.
– Oui tu as raison mais on va ou exactement ?
– Dis donc tu as fait la fête toi hier soir ! Tu m'avais pourtant promis de ne pas exagérer.
– On n'était pas très nombreux, il y avait Bobby, il y avait Julien, il y avait aussi … bon là je sais plus …
Pour ceux qui auraient du mal à suivre. Anton a eu un terrible accident sur lequel je ne reviendrai pas et quand il reprend ses esprits, il est toujours au même endroit mais seul avec un ami qu'il ne reconnaît pas tout de suite. Le campement à disparu. C'est un peu comme s'il sortait d'un rêve, il ne reconnaît les choses qui l'entourent qu'avec un petit temps de retard.
Ah également avant que j'oublie … On l'appelle désormais Tooni. Ne m'en demandez pas plus, l'idée de cette histoire n'était pas de moi même si c'est moi qui l'ai rédigée … ( Note de l'Auteur )
Les deux garçons reprenaient la route. Tooni (C'est bien clair dans la tête de tout le monde, c'est celui qu'on appelait Anton au début de l'histoire ) voulait réajuster son pantalon et là il remarquait qu'il n'en avait pas. C'est seulement à ce moment qu'il remarquait ses vêtements. Il portait une tunique en laine écrue qui descendait jusqu'au niveau de ses genoux. Aux pieds il portait des sandales en cuir, il avait sur le dos un sac en corde. Son ami Théo était habillé de la même manière.
Tooni avait encore l'esprit embué. Il reconnaissait la clairière, et il lui semblait se souvenir de tentes, d'un campement à cet endroit. Il avait du mal à se rappeler de plus … Toutefois le visage de Jean François revenait dans sa mémoire mais il ne savait plus qui c'était !
Il suivait son ami Théo. Ils prenaient le chemin qui continuait, ils s'enfonçaient dans la partie sombre de la forêt. Ils continuaient à monter en altitude.
– Tu sais que tu n'est pas en très bien placé, si j'étais toi je ne traînerais pas, si jamais tu arrives en retard … Faisait remarquer Théo.
– Bein oui je sais …
– Tu sais Nastaze à réussi son passage.
– Il a été classé dans les seize ? Demandait Tooni.
– Dans les Dix-Sept !
– La vache, il y en a qui sont vernis .
– Il rentre dans la garde armée …
– Bein moi j'espère bien me faire classer dans les seize.
– Tu es plus petit que lui … Rajoutait Théo.
A cet instant Tooni n'était pas vraiment sûr de ce dont il parlait, mais il ne s'en rendait pas vraiment compte non plus … C'était confus ! Quelques heures plus tard ils arrivaient.
Les nouveaux arrivants étaient dirigés vers un espace bain douche. L'endroit était très bien chauffé, ils laissaient tous leurs vêtements à l'entrée. C'était un grand moment de détente, certains se masturbaient un peu, juste un petit peu. C'était surtout pas le moment de juter et de débander après, ils auraient facilement pu perdre un cran.
Tooni se détendait, il allait chercher la petite fiole qu'il avait pris soin de mettre dans son sac en corde avant de partir de la maison. C'était un aphrodisiaque, l’apothicaire herboriste lui avait garanti qu'avec ça il aurait la '' trique '', qu'il serait au mieux de sa forme.
Il disait à tous qu'il espérait se faire classer parmi les Seize, en fait un Quinze lui aurait déjà plaisir, il espérait seulement ne pas être classé dans les Quatorze.
Ah pardon ! On me dit qu'il y en a qui ont du mal à suivre cette histoire de nombre … Il s'agit de la taille de la bite en érection tout simplement ! Bein oui c'est un critère social, tout le monde sait ça voyons ! ( Note de l'Auteur)
Tooni ne le savait que trop. En dessous de quinze, les personnes concernées sont invitées à porter un dispositif de chasteté permanent. Ce n'est pas une obligation mais avec ils peuvent gagner un cran social.
Un Quinze et c'était la classe moyenne, en dessous c'était la misère. Avec un dispositif de chasteté permanent le porteur pouvait gagner un cran social. Au delà de dix sept, ce n'était plus prévu. On pouvait aussi gagner un cran ou plus si on se retrouvait père d'un enfant d'une classe supérieure. Pour cela, il fallait être marié, en faire la demande et attendre son attribution ( l'attribution de son fils quoi ! ). Bien sûr, on ne pouvait pas choisir, personne ne choisi ses enfants.
Théo lui avait déjà passé l'épreuve et était classé Quinze plus, il en avait le tatouage sur l'épaule gauche. Il s'en satisfaisait, il pouvait encore gagner un cran, avec le dispositif de chasteté, mais n'avait pas envie d'en payer ce prix.
On ne pourra pas dire que les responsables de l'épreuve voulaient défavoriser les candidats. Si la salle était très bien chauffée, s'ils pouvaient de détendre dans un bain chaud, c'était justement pour être au mieux de leur forme, pas question de les prendre en traître avec un bain d'eau froide. Et on ne leur faisait aucun reproche s'ils se masturbaient pour se présenter à leur avantage. C'est d'ailleurs en érection que la mesure était faite.
Pour plus d'un participant c'était une épreuve, parfois une humiliation. Pour ceux qui choisissaient le dispositif de chasteté par manque de meilleure option par exemple. Pour d'autre c'était le jour de gloire.
Justement il y en avait un là, juste en face de Tooni dans la baignoire, Tooni ne l'avait pas vu dans les détails, seul son torse ressortait de l'eau. mais il devinait à cette allure assurée et fière. Ce devait être au moins un dix sept. Quand il était appelé, il se relevait de l'eau, sûr de lui, il prenait son temps, il laissait tout le temps aux autres de bien l'admirer sa grosse bite en érection, il se dirigeait vers la salle des mesures, il ne mettait pas sa serviette autour de sa ceinture, il avançait d'un pas assuré.
Tooni pâlissait en le voyant, lui et sa nouille n'aurait pas le même résultat, c'est sûr ! '' Pourvu que je fasse plus de Quinze ! '', ne cessait de se répéter Tooni dans sa tête. Il regardait sa nouille qui dans l'eau avait pris toute sa taille, finalement il n'est pas certain que la potion donne une grosse queue, elle donne un belle érection, ça c'est sûr mais pas d'avantage !
Quelques instants plus tard, l'homme ressortait, la marque sur son épaule annonçait la couleur Dix Huit, il se rendait au salon de tatouage … Tooni soupirait, c'était son tour. Il se relevait, sortait de l'eau. Sa queue se relevait fièrement mais elle était toute petite à côté de celle qui venait de passer.
La mesure en elle même ne dure que quelques instants, on glisse sa queue dans un tube ouvert sur le dessus, il existe plusieurs largeurs, un piston coulisse et au moment ou il touche le gland on a la mesure. C'est rudimentaire mais c'est efficace.
C'est surtout sans appel … Quatorze-Plus … C'est moins que Quinze-Moins ça ! En fait Tooni s'en doutait mais ne voulait pas se l'avouer, il avait préféré espérer que les mesures maison soient pessimistes. Il passait au tatouage, l'humiliation était totale et définitive. Il aurait le choix de mettre un dispositif de chasteté quand il voudrait … Pour l'instant il préférait y réfléchir. Ce choix deviendrait irréversible en cas de mariage.
De retour à la maison il faisait la gueule. Oui je sais il y en a toujours un qui fait la gueule, soit Tooni, soit Anton, mais enfin là on peut le comprendre … (NdlA)
Théo était là, il n'avait pas voulu le laisser seul. Il voyait la tristesse de son amis, il n'aurait jamais la position sociale, le travail qu'il espérait avoir. Pourtant Tooni ne demandait pas grand chose, juste une étale au marché du village, pour y vendre ses fruits, ses légumes et ses quelques fromages qu'il produisait. Rien que cela aurait amélioré son ordinaire.
Théo le prenait dans ses bras. Tooni était triste et se réfugiait dans les bras de son ami, c'était pas la première fois qu'ils se faisaient un câlin ces deux là, ils se connaissaient depuis l'enfance, à l'école communale, ils avaient tout de même appris à lire à écrire et à compter.
Théo l'embrassait avec tellement de douceur … C'est justement ce dont avait besoin Tooni. Ils étaient rapidement nus, juste une tunique à retirer, elle tombait vite dans un coin de la pièce. Ensuite ils s'écroulaient sur la paillasse, elle sentait bon le foin, Tooni aimait changer la paille régulièrement. Il avait un champ qu'il cultivait, enfin il avait une petit champs. Avec un cran social de plus son champ aurait été plus grand. Il se laissait tomber à genoux devant son ami Théo, les genoux sur le sol en terre battue.
Théo le laissait faire, lui prenait la tête et rapidement le guidait avec autorité. Il ne fallait que quelques instants pour que Théo se lâche, il balançait de violents coups de bassin, de violents coups de bite dans la gorge de Tooni.
Il encaissait Tooni, il encaissait, il était d'un cran inférieur, il devait d'une certaine manière un certains respect à son camarade. Bon ce n'était pas son esclave il aurait pu refuser, surtout qu'ils n'avaient qu'un cran d'écart, mais il aimait bien se prendre une bite bien à fond dans la gorge et il faut bien se dire que Théo n'était pas un géant, il était dans la moyenne, c'est tout …
– Gobe moi les couilles, et vas y avec douceur j'y tiens ! Ordonnait Théo.
Tooni s'exécutait, si ça surprend certains d'entre-vous rappelez vous que Théo est un Quinze-Plus alors que Tooni est un quatorze-plus. C'est cette différence qui fait que si Théo dit '' Suce ! '' Tooni suce.
Théo s'allongeait sur la paillasse, Tooni le chevauchait pour le câliner, le caresser. Il le caressait avec son visage en déposant un baiser tous les centimètres, et des caresses sur les parties du corps qu'il n'embrassait pas. Théo le guidait, toujours avec autorité, appuyait bien sur sa tête pour lui faire gober sa bite.
– On devrait se marier !
Tooni ne répondait rien et continuait à faire gémir de plaisir son camarade. Il se branlait.
– Tu arrêtes de te branler tout de suite, occupe toi de moi plutôt ! Tu sais, si tu m'épouses, que tu acceptes de porter un dispositif de chasteté, on gagne un cran de plus. Notre couple se retrouverait équivalent Seize … Il faut y penser.
Tooni ne répondait pas, et se contentait d'embrasser son camarade, c'est vrai qu'il connaissait bien ce corps, il l'avait déjà souvent caressé. Les calculs des crans sont souvent obscurs pour plus d'un mais Théo maîtrisait bien son affaire et continuait.
– On aurait droit à un terrain plus grand, presque le triple, on pourrait avoir un enfant, et là ce serait le bonheur …
Tooni mordillait les tétons de Théo et lui arrachait des gémissements bruyants. Théo tremblait, Théo se tortillait dans tous les sens, il sentait le plaisir monter et voulait faire durer.
– Suce moi ! Prends ma queue dans ta bouche !
Tooni s'exécutait, et aussitôt Théo lui retenait la tête avec force, lui appuyait le visage contre son ventre et le bloquait totalement quand il lui jutait dans la bouche.
– Maintenant tu avales.
Tooni avalait. Il ne faisait que Quatorze-Plus ! Il avait accepté sa position sociale.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Pour la première fois, depuis l'invention de l'écriture, l'histoire que je vous propose a été écrite en collaboration avec Junior. Le scénario est de Junior, la réalisation et la mise en scène sont de Charly Chast !
S'il y en a qui sont un peu surpris par le début de l'histoire … Je suis obligé de reconnaître que le début est un peu loufoque … En effet !
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L'accident aurait pu être évité, il fut terrible mais il aurait fallu si peu, un rien, pour que rien ne se passe.
L'arbre était immense, il aurait été plus petit et tout se serait bien passé. Une branche, même de petite taille, aurait évité le drame. Quelques feuilles auraient suffi pour que la catastrophe ne se produise pas. Ou encore une casquette, Anton avait la tête nue, une casquette, une simple casquette l'aurait sauvé de sa terrible destinée.
C'est probablement au départ un mouvement d'air, pas une bourrasque, juste une petit mouvement d'air, un presque rien comme je l'ai dit, un trois fois rien ( remarquez trois fois rien, c'est déjà pas rien ! ) …
Oui je sais, je devrais avoir honte, c'est un drame que je vous raconte et moi, je fais des jeux de mots … (Note de l'Auteur )
Cet arbre magnifique avec ses dimensions impressionnantes laissait tomber un fruit de son sommet et rien comme je vous le disais, rien n'a freiné sa chute, rien sur sa trajectoire n'a pu le ralentir et avec la hauteur il ne cessait d'accélérer. C'est à pleine vitesse qu'il venait s'écraser sur le sommet du crane d'Anton.
Poc !
Sur le coup Anton a ressenti une terrible douleur, puis il a perdu l'équilibre et il s'est effondré de tout son poids sur le dos, et là, la nuque baignant dans le frais cresson bleu, il était étendu dans l'herbe sous la nue, pâle dans son lit vert ou pleuvait la lumière du jour naissant …
Oui bon d'accord là j'ai plagié, mais promis je ne le referai plus ! C'était pour détendre un peu la tension du drame ! (Note de l'auteur)
Tous ses camarades se sont alors précipités. Un le touchait du bout du doigt, un autre le poussait du pied …
– Il ne bouge plus. Disait l'un.
– Bon ça c'est ballot. Répondait un autre.
– Il ne dit plus rien …
– Par contre ça c'est bien …
– Mais pourquoi tu dis ça ?
– Bein hier il a râlé toute la journée !
– Traînez pas les mecs, il n'y aura pas de chocolat chaud pour tout le monde. Qu'est-ce qu'il fait par terre celui là ? Intervenait un des moniteurs.
Bon après cet élan dramatique et lyrique auquel je me suis laissé aller, si on reprenait le cours normal de notre histoire ...
Anton avait encore mal à la tête, c'est une tête inconnue qui était penchée sur lui, inconnue mais il la reconnaissait au bout de quelques instant. C'était un ami, c'était Théo. Il était un peu sonné le pauvre Anton …
– Et bien Tooni qu'est-ce qui t'arrive ? Lui demandait Théo.
– C'est rien Théo, je crois que j'ai reçu un gland sur la tête.
– Ah oui ? Il ne te faut pas grand chose à toi !
– Ils sont ou les autres ? Demandait Tooni .
– Quels autres ? Nous sommes seuls, et il faudrait que tu te réveilles un peu sinon on va être en retard à ta validation … Tu sais que l'ordre d'arrivée est aussi pris en compte. Les derniers seront les moins bien servis.
– Oui tu as raison mais on va ou exactement ?
– Dis donc tu as fait la fête toi hier soir ! Tu m'avais pourtant promis de ne pas exagérer.
– On n'était pas très nombreux, il y avait Bobby, il y avait Julien, il y avait aussi … bon là je sais plus …
Pour ceux qui auraient du mal à suivre. Anton a eu un terrible accident sur lequel je ne reviendrai pas et quand il reprend ses esprits, il est toujours au même endroit mais seul avec un ami qu'il ne reconnaît pas tout de suite. Le campement à disparu. C'est un peu comme s'il sortait d'un rêve, il ne reconnaît les choses qui l'entourent qu'avec un petit temps de retard.
Ah également avant que j'oublie … On l'appelle désormais Tooni. Ne m'en demandez pas plus, l'idée de cette histoire n'était pas de moi même si c'est moi qui l'ai rédigée … ( Note de l'Auteur )
Les deux garçons reprenaient la route. Tooni (C'est bien clair dans la tête de tout le monde, c'est celui qu'on appelait Anton au début de l'histoire ) voulait réajuster son pantalon et là il remarquait qu'il n'en avait pas. C'est seulement à ce moment qu'il remarquait ses vêtements. Il portait une tunique en laine écrue qui descendait jusqu'au niveau de ses genoux. Aux pieds il portait des sandales en cuir, il avait sur le dos un sac en corde. Son ami Théo était habillé de la même manière.
Tooni avait encore l'esprit embué. Il reconnaissait la clairière, et il lui semblait se souvenir de tentes, d'un campement à cet endroit. Il avait du mal à se rappeler de plus … Toutefois le visage de Jean François revenait dans sa mémoire mais il ne savait plus qui c'était !
Il suivait son ami Théo. Ils prenaient le chemin qui continuait, ils s'enfonçaient dans la partie sombre de la forêt. Ils continuaient à monter en altitude.
– Tu sais que tu n'est pas en très bien placé, si j'étais toi je ne traînerais pas, si jamais tu arrives en retard … Faisait remarquer Théo.
– Bein oui je sais …
– Tu sais Nastaze à réussi son passage.
– Il a été classé dans les seize ? Demandait Tooni.
– Dans les Dix-Sept !
– La vache, il y en a qui sont vernis .
– Il rentre dans la garde armée …
– Bein moi j'espère bien me faire classer dans les seize.
– Tu es plus petit que lui … Rajoutait Théo.
A cet instant Tooni n'était pas vraiment sûr de ce dont il parlait, mais il ne s'en rendait pas vraiment compte non plus … C'était confus ! Quelques heures plus tard ils arrivaient.
Les nouveaux arrivants étaient dirigés vers un espace bain douche. L'endroit était très bien chauffé, ils laissaient tous leurs vêtements à l'entrée. C'était un grand moment de détente, certains se masturbaient un peu, juste un petit peu. C'était surtout pas le moment de juter et de débander après, ils auraient facilement pu perdre un cran.
Tooni se détendait, il allait chercher la petite fiole qu'il avait pris soin de mettre dans son sac en corde avant de partir de la maison. C'était un aphrodisiaque, l’apothicaire herboriste lui avait garanti qu'avec ça il aurait la '' trique '', qu'il serait au mieux de sa forme.
Il disait à tous qu'il espérait se faire classer parmi les Seize, en fait un Quinze lui aurait déjà plaisir, il espérait seulement ne pas être classé dans les Quatorze.
Ah pardon ! On me dit qu'il y en a qui ont du mal à suivre cette histoire de nombre … Il s'agit de la taille de la bite en érection tout simplement ! Bein oui c'est un critère social, tout le monde sait ça voyons ! ( Note de l'Auteur)
Tooni ne le savait que trop. En dessous de quinze, les personnes concernées sont invitées à porter un dispositif de chasteté permanent. Ce n'est pas une obligation mais avec ils peuvent gagner un cran social.
Un Quinze et c'était la classe moyenne, en dessous c'était la misère. Avec un dispositif de chasteté permanent le porteur pouvait gagner un cran social. Au delà de dix sept, ce n'était plus prévu. On pouvait aussi gagner un cran ou plus si on se retrouvait père d'un enfant d'une classe supérieure. Pour cela, il fallait être marié, en faire la demande et attendre son attribution ( l'attribution de son fils quoi ! ). Bien sûr, on ne pouvait pas choisir, personne ne choisi ses enfants.
Théo lui avait déjà passé l'épreuve et était classé Quinze plus, il en avait le tatouage sur l'épaule gauche. Il s'en satisfaisait, il pouvait encore gagner un cran, avec le dispositif de chasteté, mais n'avait pas envie d'en payer ce prix.
On ne pourra pas dire que les responsables de l'épreuve voulaient défavoriser les candidats. Si la salle était très bien chauffée, s'ils pouvaient de détendre dans un bain chaud, c'était justement pour être au mieux de leur forme, pas question de les prendre en traître avec un bain d'eau froide. Et on ne leur faisait aucun reproche s'ils se masturbaient pour se présenter à leur avantage. C'est d'ailleurs en érection que la mesure était faite.
Pour plus d'un participant c'était une épreuve, parfois une humiliation. Pour ceux qui choisissaient le dispositif de chasteté par manque de meilleure option par exemple. Pour d'autre c'était le jour de gloire.
Justement il y en avait un là, juste en face de Tooni dans la baignoire, Tooni ne l'avait pas vu dans les détails, seul son torse ressortait de l'eau. mais il devinait à cette allure assurée et fière. Ce devait être au moins un dix sept. Quand il était appelé, il se relevait de l'eau, sûr de lui, il prenait son temps, il laissait tout le temps aux autres de bien l'admirer sa grosse bite en érection, il se dirigeait vers la salle des mesures, il ne mettait pas sa serviette autour de sa ceinture, il avançait d'un pas assuré.
Tooni pâlissait en le voyant, lui et sa nouille n'aurait pas le même résultat, c'est sûr ! '' Pourvu que je fasse plus de Quinze ! '', ne cessait de se répéter Tooni dans sa tête. Il regardait sa nouille qui dans l'eau avait pris toute sa taille, finalement il n'est pas certain que la potion donne une grosse queue, elle donne un belle érection, ça c'est sûr mais pas d'avantage !
Quelques instants plus tard, l'homme ressortait, la marque sur son épaule annonçait la couleur Dix Huit, il se rendait au salon de tatouage … Tooni soupirait, c'était son tour. Il se relevait, sortait de l'eau. Sa queue se relevait fièrement mais elle était toute petite à côté de celle qui venait de passer.
La mesure en elle même ne dure que quelques instants, on glisse sa queue dans un tube ouvert sur le dessus, il existe plusieurs largeurs, un piston coulisse et au moment ou il touche le gland on a la mesure. C'est rudimentaire mais c'est efficace.
C'est surtout sans appel … Quatorze-Plus … C'est moins que Quinze-Moins ça ! En fait Tooni s'en doutait mais ne voulait pas se l'avouer, il avait préféré espérer que les mesures maison soient pessimistes. Il passait au tatouage, l'humiliation était totale et définitive. Il aurait le choix de mettre un dispositif de chasteté quand il voudrait … Pour l'instant il préférait y réfléchir. Ce choix deviendrait irréversible en cas de mariage.
De retour à la maison il faisait la gueule. Oui je sais il y en a toujours un qui fait la gueule, soit Tooni, soit Anton, mais enfin là on peut le comprendre … (NdlA)
Théo était là, il n'avait pas voulu le laisser seul. Il voyait la tristesse de son amis, il n'aurait jamais la position sociale, le travail qu'il espérait avoir. Pourtant Tooni ne demandait pas grand chose, juste une étale au marché du village, pour y vendre ses fruits, ses légumes et ses quelques fromages qu'il produisait. Rien que cela aurait amélioré son ordinaire.
Théo le prenait dans ses bras. Tooni était triste et se réfugiait dans les bras de son ami, c'était pas la première fois qu'ils se faisaient un câlin ces deux là, ils se connaissaient depuis l'enfance, à l'école communale, ils avaient tout de même appris à lire à écrire et à compter.
Théo l'embrassait avec tellement de douceur … C'est justement ce dont avait besoin Tooni. Ils étaient rapidement nus, juste une tunique à retirer, elle tombait vite dans un coin de la pièce. Ensuite ils s'écroulaient sur la paillasse, elle sentait bon le foin, Tooni aimait changer la paille régulièrement. Il avait un champ qu'il cultivait, enfin il avait une petit champs. Avec un cran social de plus son champ aurait été plus grand. Il se laissait tomber à genoux devant son ami Théo, les genoux sur le sol en terre battue.
Théo le laissait faire, lui prenait la tête et rapidement le guidait avec autorité. Il ne fallait que quelques instants pour que Théo se lâche, il balançait de violents coups de bassin, de violents coups de bite dans la gorge de Tooni.
Il encaissait Tooni, il encaissait, il était d'un cran inférieur, il devait d'une certaine manière un certains respect à son camarade. Bon ce n'était pas son esclave il aurait pu refuser, surtout qu'ils n'avaient qu'un cran d'écart, mais il aimait bien se prendre une bite bien à fond dans la gorge et il faut bien se dire que Théo n'était pas un géant, il était dans la moyenne, c'est tout …
– Gobe moi les couilles, et vas y avec douceur j'y tiens ! Ordonnait Théo.
Tooni s'exécutait, si ça surprend certains d'entre-vous rappelez vous que Théo est un Quinze-Plus alors que Tooni est un quatorze-plus. C'est cette différence qui fait que si Théo dit '' Suce ! '' Tooni suce.
Théo s'allongeait sur la paillasse, Tooni le chevauchait pour le câliner, le caresser. Il le caressait avec son visage en déposant un baiser tous les centimètres, et des caresses sur les parties du corps qu'il n'embrassait pas. Théo le guidait, toujours avec autorité, appuyait bien sur sa tête pour lui faire gober sa bite.
– On devrait se marier !
Tooni ne répondait rien et continuait à faire gémir de plaisir son camarade. Il se branlait.
– Tu arrêtes de te branler tout de suite, occupe toi de moi plutôt ! Tu sais, si tu m'épouses, que tu acceptes de porter un dispositif de chasteté, on gagne un cran de plus. Notre couple se retrouverait équivalent Seize … Il faut y penser.
Tooni ne répondait pas, et se contentait d'embrasser son camarade, c'est vrai qu'il connaissait bien ce corps, il l'avait déjà souvent caressé. Les calculs des crans sont souvent obscurs pour plus d'un mais Théo maîtrisait bien son affaire et continuait.
– On aurait droit à un terrain plus grand, presque le triple, on pourrait avoir un enfant, et là ce serait le bonheur …
Tooni mordillait les tétons de Théo et lui arrachait des gémissements bruyants. Théo tremblait, Théo se tortillait dans tous les sens, il sentait le plaisir monter et voulait faire durer.
– Suce moi ! Prends ma queue dans ta bouche !
Tooni s'exécutait, et aussitôt Théo lui retenait la tête avec force, lui appuyait le visage contre son ventre et le bloquait totalement quand il lui jutait dans la bouche.
– Maintenant tu avales.
Tooni avalait. Il ne faisait que Quatorze-Plus ! Il avait accepté sa position sociale.
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