Anton Ep 3 : Les grottes de non retour

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Anton Ep 3 : Les grottes de non retour Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Anton Ep 3 : Les grottes de non retour
Anton Ep 3 : Les grottes de non retour


Pour la première fois, depuis l'invention de l'écriture, l'histoire que je vous propose aujourd'hui a été écrite en collaboration avec Junior. Le scénario est de Junior, la réalisation et la mise en scène sont de Charly Chast !

. . . . . .

Théo et Tooni ont dormi ensemble cette nuit là. Théo est resté chez Tooni. Son but était clair maintenant que son cran social n'était plus menacé par son copain, il voulait l'épouser, si possible le voir enfiler un de ces dispositifs de chasteté, le voir gagner un cran dont il profiterait lui aussi … Et par le jeux du mariage, et de l'attribution d'un enfant voir sa situation sociale augmenter encore. Pour dire simplement …
Théo voulait faire un bon mariage ! Et tout le monde sait qu'un bon mariage est un mariage de raison ...

Tooni ne voulait pas se marier, enfin pas encore. Pour le moment il fallait qu'il digère sa déception … Quinze-Moins, l'aurait fait entrer dans une autre classe sociale, il n'était que Quatorze-Plus, il n'y a presque pas de différence entre les deux et sans le tatouage dénonciateur il aurait pu donner le change. Il était dégoûté Tooni. Il se blottissait entre les bras de son camarade et tentait de se réconforter.

– Il n'y a finalement pas une si grande différence entre nous. Se disait Tooni. Et lui est respecté, enfin un peu plus respecté que moi !

Il comparait leurs deux queues. C'est vrai que Théo était un peu plus gros, un peu plus long mais pas tellement en fait. Il s'approchait pour bien comparer et commençait à sucer la queue de son camarade qui rapidement prenait sa taille maximum. Il la faisait rentrer dans sa gorge, il la caressait avec sa langue en insistant sur son gland.

Théo s'était réveillé, il avait relevé la tête et lui caressait les cheveux. Il y allait tout doucement, il appuyait sur la tête de Tooni mais en douceur, tout en retenue et le laissait faire. Il soupirait, puis soupirait de nouveau un peu plus fort.

Tooni caressait le corps de Théo avec ses lèvres, il ressortait la langue de temps en temps pour lui faire un petit guili-guili et le faire frissonner. Il caressait tout le corps de son camarade, ses mains insistaient sur les zones les plus sensibles, et là, il faisait preuve de beaucoup de délicatesse. Il savait que Théo n'aimait pas pratiquer la sodomie, enfin la sodomie passive. Pour ce qui est de la sodomie active, il n'avait rien contre et Tooni le savait. Pour Tooni c'était plutôt le contraire, lui était passif. Remarquez c'était mieux vu la taille qu'il pouvait afficher. Personne ne le prendrait au sérieux comme actif.

Alors il câlinait son camarade, il le couvrait de baisers, il le caressait, il lui suçait la queue. Et Théo se laissait faire. Il encourageait son partenaire par des caresses, il le dirigeait puis, sans prévenir il le retournait sur le ventre, s'allongeait sur lui et se lubrifiait la queue et la lui enfonçait vigoureusement bien à fond dans le cul.

Tooni gémissait mais laissait faire, c'était tellement agréable, il aimait ce plaisir. C'est à la fois ferme et doux, c'était une caresse sur le corps, contre ses fesses et une caresse pleine de douceur que de se faire pénétrer par cette queue, la petite taille rendait la chose plus facile. Même quand Théo le pénétrait sans ménagement Tooni ne ressentait aucune douleur. Que du plaisir !

Il savait en redemander mais ce jour là il se demandait ce que ça faisait que de se faire pénétrer par un … dix-huit … ou un vingt … ou un … Plus … Mais là, il préférait penser à autre chose, brusquement cette image lui faisait peur. Théo lui limait le cul avec douceur, il gémissait de plaisir mais l'idée de se faire défoncer le cul par un mec, le mec qu'il avait vu dans les bains du bureau de la validation par exemple. Cette idée revenait dans sa tête, il était beau, il avait l'air fier, et quand il est sorti du bain il faisait peur !

Il faisait peut être peur mais c'est à lui que Tooni pensait en laissant son ami prendre du plaisir sur son dos !

Plus tard ils se sont endormis de nouveau. Le lendemain Théo ne manquait pas de faire un gros câlin à son partenaire et avant de le laisser partir …
– Tu es sûr que tu ne veux pas qu'on se mari ? Penses-y tu verras ça sera chouette.
– Et le dispositif de chasteté ?
– C'est ce qu'il y a de mieux, en plus tu es passif alors …
Tooni n'était pas convaincu, vraiment pas convaincu. De nouveau il revoyait passer devant ses yeux la silhouette du garçon de la veille. Il était tôt et Tooni avait encore du travail au champ avant de se rendre à son second travail. Il lui en fallait deux, son champ ne donnait pas grand chose et son statut social maintenant confirmé ne lui permettait pas d'espérer un gros salaire, juste un travail pas très bien payé. Il n'avait pas d'autre choix.

En plus c'était le jour de l'offrande. Pour lui ce serait le premier, il fallait avoir passé sa validation et précisément c'est ce qu'il avait fait la veille. Par roulement tous les hommes participaient à l'offrande. Il y avait une offrande par jour, chaque ville, chaque canton participaient à cette cérémonie, et chacun son tour par groupe tous les hommes participaient.

Des chariots étaient remplis de nourriture, un peu de tout mais c'était pas fait au hasard, c'était très bien organisé. Puis un groupe d'homme se mettait en marche vers les grottes, ils tiraient les chariots et prenaient la route des grotte de non retour. Sur le chemin ils rencontraient ceux qui venaient de plus loin et tous les jours, c'était une caravane qui avançait vers ce lieu saint.

Sur place toujours le même rituel. Il y avait la garde qui pour une fois mettait la main à la pâte, ils poussaient eux aussi les chariot quand ça s'avérait nécessaire, il ne fallait surtout pas être en retard. La cérémonie devait absolument être terminée avant le cadeau … Là c'étaient les couples qui intervenaient. Oui il y avait aussi les couples qui venaient pour le cadeau. Eux aussi aidaient à faire avancer la caravane.

Pour l'offrande, les hommes rentraient dans les premières salles des grottes, allumaient des torches puis déposaient toute la nourriture qu'ils avaient apportée sur les bancs et les tables de pierre. Ils ouvraient pour cela les grand portails qui gardaient l'entrée des grottes puis les refermaient soigneusement derrière eux. Une groupe restait alors devant la grotte à faire de la musique avec des tambours et des flûtes. Les autres passaient à la grotte suivante. Personne ne devait rester à l'intérieur.

C'était la garde qui organisait tout. Elle veillait au bon déroulement. Le premier garde celui qui avait la plus grosse bite, ce jour là avait une tunique qui s'arrêtait juste en dessous de la ceinture et de fait qui ne cachait rien. On pouvait admirer sa queue se balancer alors qu'il se déplaçait de groupe en groupe pour donner ses consignes. Autour de lui les autre gardes tous très bien montés également, veillaient à ce que tout se passe bien.

Tooni était en transe, il reconnaissait le gars qu'il avait vu la veille. Il bandait le petit Tooni et là il se demandait si finalement le dispositif de chasteté ne serait pas une bonne idée. Il était tellement embarrassé. Heureusement qu'il avait une petite bite, ça ne se voyait pas trop sous la tunique un peu ample. La dernière grotte remplie, les torches de la première s'étaient éteintes. C'était le signe.

Le garde ouvrait de nouveau le portail, il entrait et commençait à appeler les couples chacun leur tour. Ils entraient et ressortaient quelques instants plus tard, ils avait un bébé dans les bras et semblaient illuminés de bonheur.

( alors ça vous, vous y attendiez pas ! Note de l'Auteur).

On ouvrait la seconde grotte, puis la suivante. Il n'y avait pas d'enfants dans toutes les grottes. Il y avait autant d'enfants en cadeau qu'il y avait de couples. Les hommes y entraient sans tenir compte de leur grade ( taille de la bite ) et allaient se masturber, il prenaient soin de récupérer leur semence dans des coupes en verre qui avaient été déposées sur les hôtel en pierre.

Là Tooni se faufilait à la suite du chef, il voulait le voir, il n'avait jamais vu un bite pareil en plein travail. Il se plaçait un peu en retrait mais d’où il était il pouvait voir tout ce qui se passait. Le chef de la garde n'avait pas besoin de retirer sa tunique, elle était tellement courte qu'on pouvait voir la moitié de sa bite pendre lourdement entre ses cuisses et quand il commençait à se stimuler, quand il commençait à se la caresser avec la main, sa queue devenait rapidement plus grosse et encore plus grosse.

Tooni n'avait jamais vu en action une bite aussi grosse, et il était impressionné. Dans sa main, il tripotait sa virgule et commençait déjà à respirer plus fort. Le chef des gardes prenait tout son temps … '' Le frimeur ! '' se disait Tooni. De sa main il se frictionnait le manche, il dégageait son gland, se le caressait, le recouvrait de nouveau et jouait un moment avec son gland. Il s'astiquait tout le corps de sa bite, en la serrant fort dans la main puis plus lentement.

Tooni bavait d'envie de se la prendre dans la bouche. Dans le cul ? Oui il y pensait aussi mais là ça lui faisait peur, il en avait envie mais il en avait aussi terriblement peur. Il se masturbait et sentais le plaisir monter. Juste à côté de lui un homme il y avait un garde, bien monté aussi mais il l'avait à peine remarqué tant il était attiré par le chef, celui qui avait la plus grosse.

Juste à côté de lui, le garde respirait plus fort et Tooni le sentait trembler, ils étaient coude à coude et se touchaient, le garde prenait une coupe sur ma table de pierre et éjaculait dedans. Sa respiration redevenait plus lente. Ensuite c'est Tooni qui se mettait à trembler, le garde lui tendait la coupe. Tooni ne réagissait pas ou plutôt ne savait pas comment réagir. Il se masturbait fébrilement, de plus en plus vite, et arrivait à diriger le jet au dernier moment, il loupait à moitié la coupe et une grosse partie de son sperme s'étalait sur la main du garde qui avec le sourire reposait la coupe et se léchait la main en le regardant avec le sourire. Tooni tremblait de plaisir et d'excitation. Il avait la tête en feu le petit Tooni. Et continuait à regarder le chef des gardes qui n'en finissait pas de se tripoter. C'était terriblement beau à voir, une bite géante en action, c'était un spectacle que de la voir cracher toute sa charge, il ne loupait pas sa coupe lui. Il avait un peu plus l'habitude, Tooni en était à sa première cérémonie. Pour pouvoir y participer il fallait d'abord être être passé par la validation, c'est justement ce qu'avait fait Tooni la veille.

Ceux qui avaient éjaculé laissaient la place aux autres. Cette partie de la cérémonie était plus courte. Ensuite tout le monde se préparait pour repartir. Les couples avec enfant avaient pris place dans les chariots et c'est ainsi qu'ils allaient repartir. Le confort des enfants était une priorité, et les pères étaient tellement heureux de cet heureux-événement qu'ils ne s'occupaient plus de rien. Ils ne s'étaient pas branlé eux. Ils donneraient à leur prochain passage.

Tooni ne pouvait pas détourner le regard du chef des gardes, il était beau, musclé, et surtout il avait une super grosse bite. Il faut bien voir les choses comme elles sont. Tooni n'était pas ridicule, il était musclé et avait une très belle allure, il avait une petite bite c'est tout et dans ce monde c'est la principale chose que tout le monde remarquait. Il faut dire aussi que le travail manuel qui était la règle en ce moyen-âge éclairé formait les corps. Tous ces hommes avaient une très belle allure, une très belle musculature et ce qui les différenciaient socialement c'était uniquement la taille de leur bite. Mais ça, vous l'aviez compris.

Le retour était plus décontracté, les chariots étaient vides et donc bien moins lourds. Le chef des gardes venait au niveau de Tooni.

– C'était ta première cérémonie garçon ? Demandait-il à Tooni.
– Oui, Monsieur, j'ai reçu ma validation seulement hier.
– Quatorze-Plus, hum, hum … Et tu fais quoi comme travail ?
– J'ai un petit champ et je produit des légumes, ça m'arrondit mes fin de mois et … Vous savez je propose les meilleurs légumes de la province …
Le chef des gardes riait de bon cœur en entendant son argument commercial. Il lui passait une commande de fruits pour le lendemain, au bureau de la garde, sans faute.

Le retour se passait tranquillement et tout le monde était arrivé avant le soir. Tooni allait travailler à l'auberge, c'était ça son deuxième travail. Ils étaient le dernier village avant les grottes de non retour et ceux qui venaient de loin s'arrêtaient pour y faire escale. Surtout que maintenant il y avait des couples avec des enfants. Les deux pères se serraient l'un contre l'autre avec leur enfant entre eux, ils ne voulaient pas le lâcher .

Le lendemain matin, Tooni préparait la commande pour le garde et se rendait chez son client avec une brouette à main pour faire la livraison. les gardes le laissaient passer sans problème, on le faisait attendre dans l'entrée du bureau, une grande salle ouverte. Le chef des garde était dans la salle d'à côté, d’où il était Tooni pouvait le voir de dos, il avait très belle allure, il portait une longue cape qui lui retombait jusqu'à ses genoux.

Il se retournait et Tooni était saisi par sa beauté. Il était nu, enfin pas totalement, il portait une cape qui de dos l'habillait jusqu'aux genoux, pour le reste il était nu. Tooni admirait sa queue énorme qui se balançait lourdement. Le garde venait vers lui pour constater par lui même si la marchandise était aussi bonne que promis. On l'envoyait alors porter sa livraison dans les appartements privés du chef.

Tooni traversait une cour fermée, tous les gardes étaient nus ou presque. Certains portait une cape, ou un plastron mais à part des sandales, personne ne portait rien en dessous de la ceinture. Tooni avait le vertige, il voyait ces corps magnifiques, toutes ces queues qui se balançaient librement à l'air. Il déposait sa marchandise et revenait au bureau des gardes. Le chef le recevait et prétextant vouloir parler avec lui, il faisait tirer tous les rideaux de son bureau.

Le militaire était assis sur son fauteuil, détendu, nu, entièrement nu il regardait Tooni, qui ne cachait pas qu'il était intimidé. Au niveau carrure Tooni était très bien bâti un peu moins que le militaire mais celui-ci avait surtout une queue longue et bien large, j'ai envie de dire musclée, qui s'étalait sur sa cuisse.

– Retire ta tunique. Ordonnait le militaire.

C'est en hésitant que Tooni s'exécutait. Il se retrouvait nu devant le garde, les jambes légèrement écartées, le garde le regardait, il le trouvait très beau.

– Tu es bien bâti mon garçon.
– C'est mon travail, ça muscle. Par contre, j'ai … une petite … Enfin je suis classé Quatorze …– Si tu avait seulement Dix Sept tu serait parfait. Peu de mes gardes sont aussi beau que toi. Là le militaire exagérait un peu et Tooni le savait et baissait les yeux. Le garde bandait maintenant. Suce moi la queue reprenait la militaire !

Un officier de ce grade et de ce cran social à un total droit de cuissage. Tooni se mettait à genoux entre les jambes du militaire et le suçait. Il se sentait tout chose le Tooni, il n'avait pas souvent vu une queue pareil et n'en avait jamais touché une. Il s'efforçait de ne pas décevoir son partenaire. Il s'appliquait. C'était pas facile, il avait une queue bien large, bien ' musclée ', elle était bien ferme et si Tooni pouvait en faire le tour avec ses doigts c'était juste.

Tooni parvenait à prendre le gland du militaire dans la bouche, il passait sa langue dessus, il le caressait en passant sa langue tout autour, avec douceur, avec force, avec tendresse et rapidement avec passion. Tooni tentait d'enfoncer cette magnifique queue un peu plus profond dans sa gorge, il avait du mal. Brusquement le militaire lui appuyait sur la tête, sans prévenir et avec force. Tooni tentait de se retenir mais c'était inutile, il n'y parvenait pas, pris par la surprise la queue du militaire entrait entièrement et se calait au fond de la gorge de Tooni qui ne pouvait plus respirer.

Quand il relevait la tête il toussait et tentait de cracher pour se dégager la gorge.

– Alors c'est qui celui-là ? Demandait une voie.
– Le marchant de légumes. Répondait le chef des militaires.
– Et il s'en sort comment ?
– Plutôt bien, je suis agréablement surpris.
– Dommage qu'il ait une petite bite, il aurait fait une recrue parfaite pour notre caserne, il est bien bâti.
– Allez on reprend. Ordonnait le chef.

Tooni reprenait. Puis le chef demandait à Tooni de s'occuper de son ami. Elle était à peine plus petite que celle du chef et ce n'était pas vraiment plus facile pour Tooni. Une grosse bite, ça reste une grosse bite et dans tous les cas, il faut s'y habituer. Le chef des gardes avait disparu, il était parti sans faire de bruit. Le second militaire intervenait.

– Bon, maintenant tu te relèves, tu te retournes et tu te penches en avant !

Tooni devenait tout pâle, il avait compris. C'est cette queue énorme qu'il allait se prendre dans le cul. Il hésitait entre, se sauver en criant, en pleurant ou exprimer sa joie. Pour ce qui est de sa joie, il n'en était pas question. Un nœud se formait dans son ventre au moment ou il se penchait en avant contre une table. Sans plus de formalité le militaire prenait position, le lubrifiait. Tooni sentait la panique monter en lui. Le militaire appuyait sa queue sur le cul de Tooni et poussait. Tooni a hurlé, le militaire ne s'en inquiétait pas et continuait, son ventre s'écrasait sur les fesses de Tooni qui continuait à gémir.

– Ferme la ! Tu vas allerter la garde ! Disait le militaire. Puis il rigolait de son bon mot !

Tooni serrait les dents. Il avait mal, très mal mais il en tirait aussi un incroyable plaisir. Dans sa tête c'était la folie, il avait la cervelle en feu. C'était à la fois horrible et génial. Il voulait demander grâce, il voulait supplier mais il serrait les dents et se laissait faire.

Le militaire enfonçait sa queue bien à fond et la ressortait, il accélérait le rythme, il avait commencé par une certaine violence il continuait par encore plus de violence. Tooni ne parvenait même plus à savoir s'il aimait ou s'il n'aimait pas.

Le chef des gardes revenait.

– Tu ne te gênes pas dis donc toi ? Tu aurais pu demander, tu es dans mon bureau tout de même !
– Je sais mais il avait l'air partant, alors …
Les deux militaires discutaient tranquillement sans s'inquiéter des gémissements et des plaintes de Tooni.

– Et il est comment le petit ? Demandait le chef.
– Étroit, il est étroit … Mais j'aime bien. Il suffit de forcer un peu.

En disant cela il poussait plus fort et faisait claquer son ventre contre le cul de Tooni, il recommençait encore plusieurs fois de suite. Tooni se cramponnait et serrait les dents, mais malgré ça il ne pouvait pas retenir ses gémissements.

Au bout de quelques instants, C'est le militaire qui gémissait, il gémissait doucement puis plus fort, puis très fort, il finissait par hurler de plaisir au moment ou il jouissait dans le cul de Tooni. Il tremblait le pauvre Tooni, il était tout rouge et il était en larmes. Mais il ne disait rien, il ne tentait même pas de se dégager. Au début il avait pensé se sauver, là il ne comprenait plus rien mais n'avait plus du tout envie de bouger.

Le chef de la garde avait l'air satisfait de voir ça. Il s'approchait écartait de la main son camarade et prenait sa place. Tooni paniquait, sa queue était encore beaucoup plus grosse, enfin peut être pas beaucoup plus mais elle n'était pas plus petite en tout cas et Tooni paniquait, son cœur battait très fort maintenant. Il avait de nouveau envie de se sauver en pleurant mais il ne bougeait pas.

Il sentait la queue du militaire appuyer contre son anus, il sentait les mains fortes de militaire le saisir par les hanches et le tirer vers lui. Il sentait son cul se dilater et se sentait envahir, submergé, remplir … Étrangement cette fois-ci il ne sentait pratiquement pas de douleur, ce n'était pas pour autant agréable mais là il était surpris ça ne lui faisait presque pas mal. Son souffle devenait rapide et fort et la queue du militaire s'enfonçait.

Quelques instant plus tard, le plaisir montait, c'était presque un orgasme qu'éprouvait Tooni au moment ou le ventre du militaire s'écrasait sur ses fesses. Le plaisir montait encore et maintenant c'était un orgasme un peu douloureux mais c'était un orgasme, il jouissait, un plaisir infini envahissait tout son corps. Là il n'avait plus du tout envie que ça s'arrête.

Les mouvements du militaires accéléraient, deux garçons bien musclé, bien baraqués, se mélangeaient, un des deux serrait l'autre dans ses bras très forts et lui enfonçait sa queue dans le cul sans se retenir. L'autre lui passait ses bras dans le dos pour le retenir et gueulait de plaisir. Là Tooni se lâchait, il ne comprenait pas ce qui lui arrivait mais il en redemandait, c'était toujours un peu douloureux mais c'était bon, tellement bon.

Tooni ne comprenait plus ce qui se passait, il n'avait jamais ressenti une telle chose avec ses partenaires précédents. C'est vrai qu'il avait toujours eu des partenaires qui avaient une petite bite et là, dans son dos il avait un partenaire monté comme un géant et c'est dans son cul qu'il avait sa queue, elle était énorme et ne cessait de rentrer, de sortir, de rentrer, de …
Tooni hurlait de plaisir, il tremblait, il se tordait de plaisir dans tous les sens et se serait dégagé si le militaire ne le retenait pas avec autant de force. Ils jouissaient ensemble, le militaire lui jutait dans le cul et lui aussi jouissait mais ne jutait que quand le garde se retirait.

À ce moment la queue du garde retombait lourdement entre les cuisses de Tooni. Le garde continuait à garder dans ses bras avec tendresse maintenant. Tooni tournait la tête et le garde en profitait pour lui donner un baiser passionné.



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Texte coquin : Anton Ep 3 : Les grottes de non retour
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