Anton Ep 4 : Les fiançailles
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2021 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Anton Ep 4 : Les fiançailles
Anton Ep 4 : Les fiançailles
Pour la première fois, depuis l'invention de l'écriture, l'histoire que je vous propose aujourd'hui a été écrite en collaboration avec Junior. Le scénario et les cascades sont de Junior, la réalisation et la mise en scène sont de Charly Chast !
. . . . . .
Le chef des gardes avait payé généreusement ses fruits à Tooni. C'est satisfait de sa transaction qu'il repartait, il avait toujours un peu mal au cul, d'accord, mais il était satisfait. Juste avant de sortir de la caserne il croisait un gars, épaules larges, plein de muscles un peu partout, cuisses épaisse mais élégant avec un visage très fin et un sourire radieux. Les gardes s'écartaient pour le laisser passer et le saluaient. Il avait une tunique, un peu comme comme la sienne mais elle était blanche et présentait très bien.
''Encore un de ceux que la nature à bien doté '' se disait Tooni, mais en s'approchant il remarquait son tatouage sur son épaules gauche … Tooni pouvait lire distinctement '' Dix-moins ''. Tooni regardait plusieurs fois le tatouage et ne parvenait pas à comprendre. Les gardes l'avaient salué et lui avaient montré du respect et même plus. Tooni ne parvenait pas a comprendre. En s'éloignant il se retournait régulièrement, histoire d'être sûr qu'il n'avait pas rêvé. Ça le dépassait cette histoire.
Dans les jours qui suivaient Tooni avait de la visite. Il était en train de travailler dans son champ, c'était le mec qu'il avait vu en repartant de la caserne trois jours plus tôt venait le voir …
– Salut Tooni, moi c'est Addji. Ne cherche pas tu ne me connais pas. Je viens de la part du chef de la garde. Le grand chef a beaucoup aimé tes fruits l'autre jour. Et il voudrait t'en commander d'autres.
Addji portait une tunique de luxe, blanche, pas la couleur écru que les petites bites portaient habituellement, en plus la sienne avait un liseré noir cousu avec soin, ce qui lui donnait une très belle allure. Sa tunique était aussi équipée, à gauche, d'une épaulette qu'il pouvait rabaisser ou relever comme il l'entendait, rabaissée elle cachait son tatouage … '' Dix-moins '' ce n'était pas très glorieux, l'épaulette baissée on ne voyait plus rien. Mais Tooni, de nouveau, se posait des questions, il pensait que ce genre d'épaulette était interdite. Addji continuait.
– Guss, c'est le nom du chef de la garde, m'a également demandé de t'apporter ce petit cadeau.
Il tendait alors à Tooni une tunique blanche, avec une ceinture noire. Tooni était surpris, ce genre de tunique n'est pas donné, surtout pour ses modestes revenus. C'est le genre de tenue que les personnes importantes portent, les personnes qui en ont les moyens … et une grosse bite !
– Mais je ne comprends pas, il m'a déjà bien payé l'autre jour, là, c'est trop, c'est beaucoup trop !
– Tu lui a tapé dans l’œil tu sais. Remarque je le comprends, tu as un corps magnifique.
– Je ne peux pas accepte, c'est trop !
– Un conseil, ne te pose pas de questions, accepte et d'ici quelques temps tout le monde te montrera bien plus de respect que tu n'imagines.
Ils discutaient un moment. Et c'est un moment plus tard que Tooni remarquait la présence d'un garde devant son jardin.
– Je me demande ce que veux ce garde là, il est arrivé en même temps que toi … Je vais lui demander si … Disait Tooni.
– Non, laisse il est avec moi. Il m'accompagne. Il attendra ! Rajoutais Addji.
Tooni le regardait, encore une fois il ne comprenait plus rien. Addji rigolait à voir sa surprise.
– Je suis le mari de Maaro, le 1er lieutenant de la caserne. C'est avec lui que Guss dirige le région. Mon mari est le numéro deux dans la caserne.
Tooni ouvrait de grand yeux. Et regardait son interlocuteur avec une certaine admiration.
– C'est le seul moyen que nous avons nous les petites bites pour nous hisser sur l'échelle sociale.
– Oui mais eux, ils ont …– Et tu penses que forcément, les grosses queues se marient avec des grosses queues. Oui ça arrive, il en faut pour tous les goûts. Le Chef Gus et mon mari sont uniquement actif, ils préfèrent un mari avec une petite bite. Et puis tu sais quand tu portes un dispositif de chasteté, la taille n'a plus d'importance.
En disant cela il soulevait sa tunique et laissait apparaître un joli dispositif en os.
– Réfléchi à ce que je te dis. Ton mari va vouloir t'en faire porté un, et avec Guss comme mari tu y gagnerais vraiment au niveau social … Il insistait sur le mot ' vraiment '.
– Oui mais il faut pouvoir les prendre … Tooni se caressait les fesses en disant cela.
– Mais tu sais que tu peux te les prendre dans le cul, tu les as essayé tous les deux l'autre jour. Enfin c'est plutôt eux qui t'ont essayé.
– C'était ton mari l'autre jour avec le chef des gardes ?
– Eh oui, je me souviens t'avoir vu sortir de la caserne, tu n'as pas du me remarquer .
– Si je t'ai remarqué mais j'ai cru que j'avais mal vu quand on t'a salué , j'ai cru que j'avais mal lu ton tatouage.
Les deux hommes parlaient encore un moment puis Addji repartait. Tooni restait là il réfléchissait. Il se disait que s'il se mariait avec Guss il n'aurait même pas à demander un terrain juste un peu plus grand, on lui en attribuerait un immense, il aurait plusieurs employés qui pourraient même être d'un cran plus élevé que le sien. En fait il profiterait du cran de chef des gardes et de tous les avantages qu'il donne.
Son cœur battait très fort. Surtout que ce fameux Guss lui plaisait, il lui plaisait même beaucoup. Il avait encore un peu mal au cul mais il s'y ferait.
Deux jours plus tard, comme prévu, il se rendait à la caserne avec sa charrette à bras. On le recevait avec beaucoup de respect, ça lui faisait tout drôle, il appréciait mais ça lui faisait tout drôle. Guss envoyait Addji pour l'accueillir.
– Salut ! Alors tu as réfléchi à notre dernière discussion ?
– Je ne sais pas, c'est si subite.
– Il va faire sa demande tout à l'heure, si tu as l'intention de refuser dis le moi tout de suite, je l'avertirai, ça évitera un incident que Guss n'apprécierait pas du tout. Il est très gentil mais se faire rembarrer devant ses hommes risquerait de le mettre en colère … – Je sais pas quoi dire …– Ne réfléchis pas. Dis juste ' Oui ' ! Ou dis non tout de suite, je le préviendrai.
Ils montaient les fruits et Tooni se rendait au bureau du chef de la garde Guss. Il était très bien reçu, on lui proposait de s’asseoir et on lui servait un verre de vin. Pas de cette saloperie qui n'a pas de goût, ce vin venait de loin, il venait des vignes du gouverneur, des vignes princières. C'était une merveille. Tooni n'en avait jamais bu un aussi bon.
Guss commençait en félicitant Tooni sur la qualité de ses produits, puis continuait en lui parlant de son physique avantageux. C'est très rapidement qu'il en arrivait à ce qu'il avait prévu.
– Tu sais que si tu m'épouses …– Je le veux. Lui répondait Tooni .
– Tu gagnerais beaucoup …– Je le veux.
– Tu aurais …– Je le veux .
Tooni ne réfléchissait plus, il suivait le conseil d'Addji.
Guss regardait alors Tooni avec un grand sourire en se relevant.
– Tu accepte de porter un dispositif de chasteté. Dans notre …– Je le veux !
– Milieu c'est une tradition et …– Je le veux !
– Bien ! Maaro s'il te plaît …
Maaro était là, il regardait la scène, il se levait alors …
– Je proclame les fiançailles entre notre Chef Guss et le Jardinier Tooni ouvertes.
Guss se levait et donnait à Tooni une nouvelle tunique, elle était blanche avec un liserer noir. Comme celle que portait Addji quand il sortait. Le chastisan du village était là. '' En effet se disait Tooni, si j'avais dit non, ça aurait posé un problème .. ''. Le chastisant, c'était l’artisan qui fabriquait les dispositif de chasteté, il intervenait.
Il demandait à Tooni de retirer sa tunique, Tooni se retrouvait alors nu au milieu de tout un tas de monde. Il y avait Gus, avec juste une cape sur le dos. Maaro qui portait une tunique ouverte sur le devant et qui descendait jusqu'en haut des cuisse, on pouvait voir sa queue se balancer, elle dépassait en dessous. Deux autres gardes, des gradés, avec une sorte de kilt très court retenu par des bretelles croisées en cuir clouté.
Tooni était très intimidé quand le chastisan se penchait vers lui. C'est naturellement qu'il lui tripotait la bite, la mesurait puis posait un anneau autour de son sexe, juste derrière ses couilles. Il lui glissait ensuite la queue dans une sorte de cage, le tout était en bambou tressé. Tooni commençait à s’inquiète mais on le rassurait.
– Tu passeras me voir tous les jours, pour que je m'assure que tout va bien. Tu peux aussi venir à n'importe quel moment si tu as le moindre problème ou la moindre inquiétude. Tu sais ou est mon échoppe ?
– Tooni faisait oui de la tête.
Il avait la tête en feu, il avait l'impression que son cœur allait exploser. La tête lui tournait, il avait le vertige, il se sentait partir en arrière …
Quand il ouvrait les yeux un peu plus tard, il y avait Guss et Addji penchés sur lui. Guss lui posait la main sur l'épaule.
– Ça va mon prince ?
– Ça va, je sais pas, ça va aller. Lui répondait Tooni.
– Je te le laisse. Addji, occupe toi bien de lui.
Tooni était sonné, il était nu allongé sur une sorte de sofa, il n'avait que sa nouvelle cage de chasteté sur lui. Addji laissait à Tooni tout le temps qu'il fallait pour reprendre ses esprits.
– J'ai été ridicule. Disait Tooni.
– Ils ont trouvé ça trop mignon. Lui répondait Addji avec le sourire. Tu as maintenant une semaine pour régler les petits détail, ton déménagement, enregistrer ton terrain pour une nouvelle attribution, tu ne peux pas le garder on va t'en attribuer un autre, et ensuite démissionner de ton second boulot.
Tous les jours Tooni passait à l'atelier du chastisan qui pendant un long moment lui prenait des mesure et vérifiait que tout allait bien. Une semaine, jour pour jour après l'ouverture des fiançailles Tooni revenait à la caserne avec sa tunique à liserer et un petit bagage. Les gardes le saluait quand il entrait dans la caserne. Il n'en revenait pas, c'est donc comme ça que ça se passerait maintenant !
Le parrain du mariage, c'était Maaro, arrivait pour accueillir Tooni.
– Guss est en réunion, ce n'était pas prévu mais ce sont les contretemps de notre métier. Addji s'en plaint quelquefois, mais il faut faire avec.
Maaro laissait Thommy avec Addji qui le conduisait vers son nouveau logement. En cas de mariage, sauf pour les mariage égalitaire, quand les deux époux ont une taille de bite proche ou identique, le plus petit vient habiter chez son futur époux à la fin de la première semaine des fiançailles. Addji installait Tooni dans les appartements prévus, il le guidait, le faisait visiter. Il y avait un employé. Addji le sonnait et faisait servir une boisson fraîche. Tooni croyait rêver.
Addji ne se retirait que quand Guss arrivait, il n'attendait pas qu'on le lui demande, il s'éclipsait discrètement.
– Alors beau prince, Addji t'a fait visité ta nouvelle maison ?
– Oui mon maître.
– Penses-tu que tu vas te plaire ici ?
– C'est encore mieux que tout ce que je pouvais imaginer.
D'un geste Gus décrochait sa cape. Il tirait Tooni vers lui et le prenait dans ses bras. C'est avec force et douceur qu'il prenait son fiancé dans ses bras, lui retirait sa tunique, lui caressait le corps et l'embrassait.
Tooni restait tétanisé, mais pas longtemps. Il embrassait le torse de Guss. Le caressait avec douceur. Lui mordillait les téton. Guss avait déjà commençé à bander, avec ce traitement sa queue se relevait avec force. Tooni se mettait à genoux et lui suçait la queue avec passion. Il bandait Tooni, il bandait et le dispositif lui faisait un peu mal. Il ne s'en plaignait pas, il continuait comme si tout était normal. Il irait consulter le Chastisan plus tard …
La queue de Guss entrait avec beaucoup de difficultés dans sa bouche. Guss laissait faire au début. Il laissait Tooni s'activer et faire tout ce qu'il pouvait. Il ne s'en sortait pas si mal que cela, le prince, et Guss gémissait de plaisir. Il caressait la tête de Tooni avec douceur.
– Tu devrait te faire couper les cheveux très court, je pense que j'aimerais davantage.
Tooni se souviendrait de la requête, il se disait qu'il le ferait dès le lendemain. En attendant il était dans le présent, et le présent c'était de prendre la queue de Guss jusque dans la gorge. Il se concentrait et s'appliquait de son mieux. Guss gémissait plus fort.
C'est sans prévenir que Guss appuyait sur le dos de la tête de Toony, son visage venait s'écraser sur le ventre de Guss et Tooni a bien cru qu'il allait s'étouffer. Guss ne lâchait pas, et le maintenait ainsi pendant plusieurs minutes. Quand Guss lâchait Tooni relevait la tête rapidement et tentait de reprendre son souffle, il respirait très fort, il suffoquait.
Guss lui caressait la joue avec douceur.
– Pour un début, c'est prometteur … C'est bien la première fois que tu avale une queue comme celle là mon prince ?
Tooni faisait oui de la tête.
– Retournes-y. Promis je ne te retiendrai pas ta tête.
Tooni y retournait, il y retournais si bien que après quelques efforts, il reprenait la queue de Guss presque en entier… Bon il en était encore à presque.
Il s'efforçait de donner le plus de plaisir possible à son époux. Ça faisait partie du contrat de mariage vu que c'est lui qui porterait le dispositif de chasteté, vu que c'est lui qui resterait définitivement sou clé. C'était la première fois qu'il y pensait. C'était la première fois qu'il prenait conscience de son nouveau statut.
La queue de Guss entrait et ressortait de sa bouche. Il la caressait avec sa langue et Guss ne cachait pas son plaisir, il lui posait une main sur la tête mais comme prévu il ne retenait pas Tooni.
– Relève toi et retourne toi !
Tooni s'exécutait. Il avait encore cette boule qui se formait dans son ventre et il sentait son ventre trembler, tout son corps tremblait. Guss l'attrapait par le cou et le tirait vers lui. Il lui caressait le torse, lui pinçait les tétons avec force. Tooni gémissait, il avait la trouille mais il ne tentait même pas de se dégager. C'est vrai que s'il voulait rompre les fiançailles maintenant il avait intérêt à disparaître, à quitter la région et à aller loin, très loin. Le Chef des gardes ne supporterait pas une telle humiliation. Par instant Tooni y pensait mais il n'avait pas l'intention de le faire.
Il voulait maintenant connaître les limites des cette aventure. Il tournait le visage, Guss avançait le sien sur l'épaule de Tooni et ils s'embrassaient. Tooni était debout, cambré légèrement en arrière. Aussi quand Guss voulait s'introduire en lui, cette position n'était pas la plus confortable. Thommy a hurlé.
Il se souvenait que la première fois, ça lui avait fait mal, très mal mais que par la suite il avait joui. Il lui semblait même avoir joui comme jamais. Il hurlait mais ne faisait pas un geste pour se dégager. Il sentait la queue de Guss appuyer contre son cul. Ça ne passait pas, ça ne pourrait pas passer. Il avait les jambes jointes et son cul était serré, bien serré. Ça n'aidait pas vraiment avec la taille énorme de la queue de Guss.
Guss n'avait pas l'intention de laisser les choses ainsi. Il avait généreusement lubrifié le cul de Tooni, il s'était généreusement lubrifié la bite, il poussait. Ça résistait. Il poussait plus fort. Tooni respirait bien à fond et tentait de se détendre. Brusquement il sentait son cul se dilater, il avait l'impression que ça allait déchirer. Il hurlait, il tremblait, il aurait voulu se retenir à quelque chose mais il n'y avait rien, il avait peur de tomber mais là encore Guss le retenait tellement fort que ça ne risquait pas de se produire non plus.
Là Tooni paniquait, il souffrait, il aurait fait n'importe quoi pour que ça cesse. Il ne voulait rien lâcher. La sensation était des plus étrange, il avait mal mais il y avait aussi cette sensation qui le poussait à en redemander. C'était trop gros, il hurlait '' Assez ''. C'était énorme il criait '' Encore ''. Il ne savait plus ce qui se passait dans sa tête. Il était au bord de l'explosion et c'est pas seulement à cause de cette énorme bombe dans son cul.
Gus jutait dans le cul de Tooni. Tooni jouissait comme un fou. Quand Guss se retirait Tooni jutait comme une fontaine. Il n'éjaculait pas il jutait longuement, abondement et c'était bon, terriblement bon.
Tooni tombait sur le sofa. Il se sentait bien et mal à la fois. Il ne savait plus …
Guss appelait un serviteur qui leur préparait un bain. Ils se détendaient un long moment. Tooni se remettait de ses émotions. Quand ils ressortaient, un valet venait les sécher. Tooni se sentait bien maintenant. Quand il avait la queue de Guss dans cul, c'était à la fois l'enfer et le paradis.
On donnait à Tooni une tunique courte en tissu, très élégant avec ceinturon mais qui s'arrêtait juste en dessous le la ceinture ainsi que des sandales avec lanières. Gus se contentait des sandales. Tooni se disait que décidément Guss aimait bien se balader à poil. Mais c'est vrai que son corps était superbe, aussi qui s'en plaindrait.
Une petite cérémonie était organisée un peu plus tard. Il y avait un banquet, tous les gradés de la caserne étaient là, Tooni n'en connaissait qu'un. Le chastisan était là. Il retirait le dispositif qu'avait Tooni, il s'assurait que tout se passait bien. Tooni ne bandais pas du tout à ce niveau. Il portait un dispositif de chasteté depuis une semaine mais là, il ne bandait pas.
Le chastisan installait alors à Tooni un autre dispositif, il était en bois. Une étrange matière. C'était un bois très léger, très facile à travailler et pour le rendre plus solide, très solide même, il était plongé dans une résine faite à partir de sève d'arbres résineux. L'objet s'imbibait alors et devenait très résistant.
On passait ensuite aux festivités. Il y avait à boire et à manger …
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Pour la première fois, depuis l'invention de l'écriture, l'histoire que je vous propose aujourd'hui a été écrite en collaboration avec Junior. Le scénario et les cascades sont de Junior, la réalisation et la mise en scène sont de Charly Chast !
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Le chef des gardes avait payé généreusement ses fruits à Tooni. C'est satisfait de sa transaction qu'il repartait, il avait toujours un peu mal au cul, d'accord, mais il était satisfait. Juste avant de sortir de la caserne il croisait un gars, épaules larges, plein de muscles un peu partout, cuisses épaisse mais élégant avec un visage très fin et un sourire radieux. Les gardes s'écartaient pour le laisser passer et le saluaient. Il avait une tunique, un peu comme comme la sienne mais elle était blanche et présentait très bien.
''Encore un de ceux que la nature à bien doté '' se disait Tooni, mais en s'approchant il remarquait son tatouage sur son épaules gauche … Tooni pouvait lire distinctement '' Dix-moins ''. Tooni regardait plusieurs fois le tatouage et ne parvenait pas à comprendre. Les gardes l'avaient salué et lui avaient montré du respect et même plus. Tooni ne parvenait pas a comprendre. En s'éloignant il se retournait régulièrement, histoire d'être sûr qu'il n'avait pas rêvé. Ça le dépassait cette histoire.
Dans les jours qui suivaient Tooni avait de la visite. Il était en train de travailler dans son champ, c'était le mec qu'il avait vu en repartant de la caserne trois jours plus tôt venait le voir …
– Salut Tooni, moi c'est Addji. Ne cherche pas tu ne me connais pas. Je viens de la part du chef de la garde. Le grand chef a beaucoup aimé tes fruits l'autre jour. Et il voudrait t'en commander d'autres.
Addji portait une tunique de luxe, blanche, pas la couleur écru que les petites bites portaient habituellement, en plus la sienne avait un liseré noir cousu avec soin, ce qui lui donnait une très belle allure. Sa tunique était aussi équipée, à gauche, d'une épaulette qu'il pouvait rabaisser ou relever comme il l'entendait, rabaissée elle cachait son tatouage … '' Dix-moins '' ce n'était pas très glorieux, l'épaulette baissée on ne voyait plus rien. Mais Tooni, de nouveau, se posait des questions, il pensait que ce genre d'épaulette était interdite. Addji continuait.
– Guss, c'est le nom du chef de la garde, m'a également demandé de t'apporter ce petit cadeau.
Il tendait alors à Tooni une tunique blanche, avec une ceinture noire. Tooni était surpris, ce genre de tunique n'est pas donné, surtout pour ses modestes revenus. C'est le genre de tenue que les personnes importantes portent, les personnes qui en ont les moyens … et une grosse bite !
– Mais je ne comprends pas, il m'a déjà bien payé l'autre jour, là, c'est trop, c'est beaucoup trop !
– Tu lui a tapé dans l’œil tu sais. Remarque je le comprends, tu as un corps magnifique.
– Je ne peux pas accepte, c'est trop !
– Un conseil, ne te pose pas de questions, accepte et d'ici quelques temps tout le monde te montrera bien plus de respect que tu n'imagines.
Ils discutaient un moment. Et c'est un moment plus tard que Tooni remarquait la présence d'un garde devant son jardin.
– Je me demande ce que veux ce garde là, il est arrivé en même temps que toi … Je vais lui demander si … Disait Tooni.
– Non, laisse il est avec moi. Il m'accompagne. Il attendra ! Rajoutais Addji.
Tooni le regardait, encore une fois il ne comprenait plus rien. Addji rigolait à voir sa surprise.
– Je suis le mari de Maaro, le 1er lieutenant de la caserne. C'est avec lui que Guss dirige le région. Mon mari est le numéro deux dans la caserne.
Tooni ouvrait de grand yeux. Et regardait son interlocuteur avec une certaine admiration.
– C'est le seul moyen que nous avons nous les petites bites pour nous hisser sur l'échelle sociale.
– Oui mais eux, ils ont …– Et tu penses que forcément, les grosses queues se marient avec des grosses queues. Oui ça arrive, il en faut pour tous les goûts. Le Chef Gus et mon mari sont uniquement actif, ils préfèrent un mari avec une petite bite. Et puis tu sais quand tu portes un dispositif de chasteté, la taille n'a plus d'importance.
En disant cela il soulevait sa tunique et laissait apparaître un joli dispositif en os.
– Réfléchi à ce que je te dis. Ton mari va vouloir t'en faire porté un, et avec Guss comme mari tu y gagnerais vraiment au niveau social … Il insistait sur le mot ' vraiment '.
– Oui mais il faut pouvoir les prendre … Tooni se caressait les fesses en disant cela.
– Mais tu sais que tu peux te les prendre dans le cul, tu les as essayé tous les deux l'autre jour. Enfin c'est plutôt eux qui t'ont essayé.
– C'était ton mari l'autre jour avec le chef des gardes ?
– Eh oui, je me souviens t'avoir vu sortir de la caserne, tu n'as pas du me remarquer .
– Si je t'ai remarqué mais j'ai cru que j'avais mal vu quand on t'a salué , j'ai cru que j'avais mal lu ton tatouage.
Les deux hommes parlaient encore un moment puis Addji repartait. Tooni restait là il réfléchissait. Il se disait que s'il se mariait avec Guss il n'aurait même pas à demander un terrain juste un peu plus grand, on lui en attribuerait un immense, il aurait plusieurs employés qui pourraient même être d'un cran plus élevé que le sien. En fait il profiterait du cran de chef des gardes et de tous les avantages qu'il donne.
Son cœur battait très fort. Surtout que ce fameux Guss lui plaisait, il lui plaisait même beaucoup. Il avait encore un peu mal au cul mais il s'y ferait.
Deux jours plus tard, comme prévu, il se rendait à la caserne avec sa charrette à bras. On le recevait avec beaucoup de respect, ça lui faisait tout drôle, il appréciait mais ça lui faisait tout drôle. Guss envoyait Addji pour l'accueillir.
– Salut ! Alors tu as réfléchi à notre dernière discussion ?
– Je ne sais pas, c'est si subite.
– Il va faire sa demande tout à l'heure, si tu as l'intention de refuser dis le moi tout de suite, je l'avertirai, ça évitera un incident que Guss n'apprécierait pas du tout. Il est très gentil mais se faire rembarrer devant ses hommes risquerait de le mettre en colère … – Je sais pas quoi dire …– Ne réfléchis pas. Dis juste ' Oui ' ! Ou dis non tout de suite, je le préviendrai.
Ils montaient les fruits et Tooni se rendait au bureau du chef de la garde Guss. Il était très bien reçu, on lui proposait de s’asseoir et on lui servait un verre de vin. Pas de cette saloperie qui n'a pas de goût, ce vin venait de loin, il venait des vignes du gouverneur, des vignes princières. C'était une merveille. Tooni n'en avait jamais bu un aussi bon.
Guss commençait en félicitant Tooni sur la qualité de ses produits, puis continuait en lui parlant de son physique avantageux. C'est très rapidement qu'il en arrivait à ce qu'il avait prévu.
– Tu sais que si tu m'épouses …– Je le veux. Lui répondait Tooni .
– Tu gagnerais beaucoup …– Je le veux.
– Tu aurais …– Je le veux .
Tooni ne réfléchissait plus, il suivait le conseil d'Addji.
Guss regardait alors Tooni avec un grand sourire en se relevant.
– Tu accepte de porter un dispositif de chasteté. Dans notre …– Je le veux !
– Milieu c'est une tradition et …– Je le veux !
– Bien ! Maaro s'il te plaît …
Maaro était là, il regardait la scène, il se levait alors …
– Je proclame les fiançailles entre notre Chef Guss et le Jardinier Tooni ouvertes.
Guss se levait et donnait à Tooni une nouvelle tunique, elle était blanche avec un liserer noir. Comme celle que portait Addji quand il sortait. Le chastisan du village était là. '' En effet se disait Tooni, si j'avais dit non, ça aurait posé un problème .. ''. Le chastisant, c'était l’artisan qui fabriquait les dispositif de chasteté, il intervenait.
Il demandait à Tooni de retirer sa tunique, Tooni se retrouvait alors nu au milieu de tout un tas de monde. Il y avait Gus, avec juste une cape sur le dos. Maaro qui portait une tunique ouverte sur le devant et qui descendait jusqu'en haut des cuisse, on pouvait voir sa queue se balancer, elle dépassait en dessous. Deux autres gardes, des gradés, avec une sorte de kilt très court retenu par des bretelles croisées en cuir clouté.
Tooni était très intimidé quand le chastisan se penchait vers lui. C'est naturellement qu'il lui tripotait la bite, la mesurait puis posait un anneau autour de son sexe, juste derrière ses couilles. Il lui glissait ensuite la queue dans une sorte de cage, le tout était en bambou tressé. Tooni commençait à s’inquiète mais on le rassurait.
– Tu passeras me voir tous les jours, pour que je m'assure que tout va bien. Tu peux aussi venir à n'importe quel moment si tu as le moindre problème ou la moindre inquiétude. Tu sais ou est mon échoppe ?
– Tooni faisait oui de la tête.
Il avait la tête en feu, il avait l'impression que son cœur allait exploser. La tête lui tournait, il avait le vertige, il se sentait partir en arrière …
Quand il ouvrait les yeux un peu plus tard, il y avait Guss et Addji penchés sur lui. Guss lui posait la main sur l'épaule.
– Ça va mon prince ?
– Ça va, je sais pas, ça va aller. Lui répondait Tooni.
– Je te le laisse. Addji, occupe toi bien de lui.
Tooni était sonné, il était nu allongé sur une sorte de sofa, il n'avait que sa nouvelle cage de chasteté sur lui. Addji laissait à Tooni tout le temps qu'il fallait pour reprendre ses esprits.
– J'ai été ridicule. Disait Tooni.
– Ils ont trouvé ça trop mignon. Lui répondait Addji avec le sourire. Tu as maintenant une semaine pour régler les petits détail, ton déménagement, enregistrer ton terrain pour une nouvelle attribution, tu ne peux pas le garder on va t'en attribuer un autre, et ensuite démissionner de ton second boulot.
Tous les jours Tooni passait à l'atelier du chastisan qui pendant un long moment lui prenait des mesure et vérifiait que tout allait bien. Une semaine, jour pour jour après l'ouverture des fiançailles Tooni revenait à la caserne avec sa tunique à liserer et un petit bagage. Les gardes le saluait quand il entrait dans la caserne. Il n'en revenait pas, c'est donc comme ça que ça se passerait maintenant !
Le parrain du mariage, c'était Maaro, arrivait pour accueillir Tooni.
– Guss est en réunion, ce n'était pas prévu mais ce sont les contretemps de notre métier. Addji s'en plaint quelquefois, mais il faut faire avec.
Maaro laissait Thommy avec Addji qui le conduisait vers son nouveau logement. En cas de mariage, sauf pour les mariage égalitaire, quand les deux époux ont une taille de bite proche ou identique, le plus petit vient habiter chez son futur époux à la fin de la première semaine des fiançailles. Addji installait Tooni dans les appartements prévus, il le guidait, le faisait visiter. Il y avait un employé. Addji le sonnait et faisait servir une boisson fraîche. Tooni croyait rêver.
Addji ne se retirait que quand Guss arrivait, il n'attendait pas qu'on le lui demande, il s'éclipsait discrètement.
– Alors beau prince, Addji t'a fait visité ta nouvelle maison ?
– Oui mon maître.
– Penses-tu que tu vas te plaire ici ?
– C'est encore mieux que tout ce que je pouvais imaginer.
D'un geste Gus décrochait sa cape. Il tirait Tooni vers lui et le prenait dans ses bras. C'est avec force et douceur qu'il prenait son fiancé dans ses bras, lui retirait sa tunique, lui caressait le corps et l'embrassait.
Tooni restait tétanisé, mais pas longtemps. Il embrassait le torse de Guss. Le caressait avec douceur. Lui mordillait les téton. Guss avait déjà commençé à bander, avec ce traitement sa queue se relevait avec force. Tooni se mettait à genoux et lui suçait la queue avec passion. Il bandait Tooni, il bandait et le dispositif lui faisait un peu mal. Il ne s'en plaignait pas, il continuait comme si tout était normal. Il irait consulter le Chastisan plus tard …
La queue de Guss entrait avec beaucoup de difficultés dans sa bouche. Guss laissait faire au début. Il laissait Tooni s'activer et faire tout ce qu'il pouvait. Il ne s'en sortait pas si mal que cela, le prince, et Guss gémissait de plaisir. Il caressait la tête de Tooni avec douceur.
– Tu devrait te faire couper les cheveux très court, je pense que j'aimerais davantage.
Tooni se souviendrait de la requête, il se disait qu'il le ferait dès le lendemain. En attendant il était dans le présent, et le présent c'était de prendre la queue de Guss jusque dans la gorge. Il se concentrait et s'appliquait de son mieux. Guss gémissait plus fort.
C'est sans prévenir que Guss appuyait sur le dos de la tête de Toony, son visage venait s'écraser sur le ventre de Guss et Tooni a bien cru qu'il allait s'étouffer. Guss ne lâchait pas, et le maintenait ainsi pendant plusieurs minutes. Quand Guss lâchait Tooni relevait la tête rapidement et tentait de reprendre son souffle, il respirait très fort, il suffoquait.
Guss lui caressait la joue avec douceur.
– Pour un début, c'est prometteur … C'est bien la première fois que tu avale une queue comme celle là mon prince ?
Tooni faisait oui de la tête.
– Retournes-y. Promis je ne te retiendrai pas ta tête.
Tooni y retournait, il y retournais si bien que après quelques efforts, il reprenait la queue de Guss presque en entier… Bon il en était encore à presque.
Il s'efforçait de donner le plus de plaisir possible à son époux. Ça faisait partie du contrat de mariage vu que c'est lui qui porterait le dispositif de chasteté, vu que c'est lui qui resterait définitivement sou clé. C'était la première fois qu'il y pensait. C'était la première fois qu'il prenait conscience de son nouveau statut.
La queue de Guss entrait et ressortait de sa bouche. Il la caressait avec sa langue et Guss ne cachait pas son plaisir, il lui posait une main sur la tête mais comme prévu il ne retenait pas Tooni.
– Relève toi et retourne toi !
Tooni s'exécutait. Il avait encore cette boule qui se formait dans son ventre et il sentait son ventre trembler, tout son corps tremblait. Guss l'attrapait par le cou et le tirait vers lui. Il lui caressait le torse, lui pinçait les tétons avec force. Tooni gémissait, il avait la trouille mais il ne tentait même pas de se dégager. C'est vrai que s'il voulait rompre les fiançailles maintenant il avait intérêt à disparaître, à quitter la région et à aller loin, très loin. Le Chef des gardes ne supporterait pas une telle humiliation. Par instant Tooni y pensait mais il n'avait pas l'intention de le faire.
Il voulait maintenant connaître les limites des cette aventure. Il tournait le visage, Guss avançait le sien sur l'épaule de Tooni et ils s'embrassaient. Tooni était debout, cambré légèrement en arrière. Aussi quand Guss voulait s'introduire en lui, cette position n'était pas la plus confortable. Thommy a hurlé.
Il se souvenait que la première fois, ça lui avait fait mal, très mal mais que par la suite il avait joui. Il lui semblait même avoir joui comme jamais. Il hurlait mais ne faisait pas un geste pour se dégager. Il sentait la queue de Guss appuyer contre son cul. Ça ne passait pas, ça ne pourrait pas passer. Il avait les jambes jointes et son cul était serré, bien serré. Ça n'aidait pas vraiment avec la taille énorme de la queue de Guss.
Guss n'avait pas l'intention de laisser les choses ainsi. Il avait généreusement lubrifié le cul de Tooni, il s'était généreusement lubrifié la bite, il poussait. Ça résistait. Il poussait plus fort. Tooni respirait bien à fond et tentait de se détendre. Brusquement il sentait son cul se dilater, il avait l'impression que ça allait déchirer. Il hurlait, il tremblait, il aurait voulu se retenir à quelque chose mais il n'y avait rien, il avait peur de tomber mais là encore Guss le retenait tellement fort que ça ne risquait pas de se produire non plus.
Là Tooni paniquait, il souffrait, il aurait fait n'importe quoi pour que ça cesse. Il ne voulait rien lâcher. La sensation était des plus étrange, il avait mal mais il y avait aussi cette sensation qui le poussait à en redemander. C'était trop gros, il hurlait '' Assez ''. C'était énorme il criait '' Encore ''. Il ne savait plus ce qui se passait dans sa tête. Il était au bord de l'explosion et c'est pas seulement à cause de cette énorme bombe dans son cul.
Gus jutait dans le cul de Tooni. Tooni jouissait comme un fou. Quand Guss se retirait Tooni jutait comme une fontaine. Il n'éjaculait pas il jutait longuement, abondement et c'était bon, terriblement bon.
Tooni tombait sur le sofa. Il se sentait bien et mal à la fois. Il ne savait plus …
Guss appelait un serviteur qui leur préparait un bain. Ils se détendaient un long moment. Tooni se remettait de ses émotions. Quand ils ressortaient, un valet venait les sécher. Tooni se sentait bien maintenant. Quand il avait la queue de Guss dans cul, c'était à la fois l'enfer et le paradis.
On donnait à Tooni une tunique courte en tissu, très élégant avec ceinturon mais qui s'arrêtait juste en dessous le la ceinture ainsi que des sandales avec lanières. Gus se contentait des sandales. Tooni se disait que décidément Guss aimait bien se balader à poil. Mais c'est vrai que son corps était superbe, aussi qui s'en plaindrait.
Une petite cérémonie était organisée un peu plus tard. Il y avait un banquet, tous les gradés de la caserne étaient là, Tooni n'en connaissait qu'un. Le chastisan était là. Il retirait le dispositif qu'avait Tooni, il s'assurait que tout se passait bien. Tooni ne bandais pas du tout à ce niveau. Il portait un dispositif de chasteté depuis une semaine mais là, il ne bandait pas.
Le chastisan installait alors à Tooni un autre dispositif, il était en bois. Une étrange matière. C'était un bois très léger, très facile à travailler et pour le rendre plus solide, très solide même, il était plongé dans une résine faite à partir de sève d'arbres résineux. L'objet s'imbibait alors et devenait très résistant.
On passait ensuite aux festivités. Il y avait à boire et à manger …
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