Anton Ep 5 : Un mariage d'amour - histoire érotique

Anton Ep 5 : Un mariage d'amour


Pour la première fois, depuis l'invention de l'écriture, l'histoire que je vous propose aujourd'hui a été écrite en collaboration avec Junior. Le scénario est de Junior, la réalisation et la mise en scène sont de Charly Chast !

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Tous les militaires gradés se joignaient à la petite fête qui suivaient. Ils étaient accompagnés de leurs maris. Tooni était présenté à tout ce joli monde, une petite cérémonie dans laquelle son futur époux l'introduisait officiellement, Tooni était là au milieu de la salle et qui ne savais plus ou se mettre. Sa tunique ouverte le mettait très en valeur, elle était ouverte et on voyait son torse. Il n'y avait pas de manches et ses épaules étaient nues, son tatouage était parfaitement visible mais la moitié des participants avaient un tatouage du même genre que le sien.

En fait, Tooni était rapidement rassuré. Il ne dénotait pas, seuls les militaires avaient une grosse bite. Leurs époux étaient soit dans la petite moyenne soit en dessous, un d'entre eux était même bien en dessous. Sans ce mariage qui socialement lui assurait le plus grand respect il aurait eu droit au plus grand mépris … Un petit Neuf-Moins ? Vous vous rendez comte !… A part ça il avait belle allure, bien bâti, épaules bien larges, belle musculature … Tooni aurait été attiré par ce genre de garçon, s'il n'avait pas eu une toute petite bite. C'est d'ailleurs ce que devaient se dire plus d'un homme.

Gus avait fait préparé un banquet, un truc très moderne, personne ne servait personne, les mets étaient présentés sur une table et chacun venait se servir. Il y avait toutefois quelques serviteurs. Tooni reconnaissait Rapid, c'était le valet qui était au service de Guss, il était d'un grade légèrement supérieur à Tooni mais maintenant ça n'aurait plus d'importance, le maître de maison ce serait Tooni et c'est lui qui le commanderait.

Tooni ne savait pas comment réagir, heureusement il y avait Addji pour le guider dans ce nouveau monde, pour lui expliquer comment marchait ce nouveau monde et comment il devait agir.

Tooni avait de nombreuses tapes sur l'épaule, des tapes amicale. De toutes évidences il plaisait aux militaires.

Guss venait le voir et lui glissait à l'oreille …
– Il y a là mon ami Rédy qui aimerait bien te connaître un peu mieux. Accompagne le et n'hésite pas lui faire plaisir. Tu fais tout ce qu'il te demande !

Rédy le prenait par la main et l'entraînait dans une salle à l'écart.

– Je serai ton second témoin lors de ton mariage, et à ce titre j'ai un petit privilège avant ton mariage … Disais Redy … Maintenant retire ta tunique !

Tooni ne comprenait pas les règles mais il obtempérait, il se retrouvait nu devant Rédy qui déjà commençait à bander. Il s'approchait et commençait à tâter Tooni, un peut partout. Tooni avait vraiment l'impression qu'il tâtait la marchandise.

– Je comprends que tu plaises à Guss. Tu as vraiment un corps magnifique.

Rédy caressait Toony, il posait doucement sa main sur la joue de Toony puis l'embrassait avec douceur.

– Suce moi la queue !

Tooni s'accroupissait sans hésiter, il ne se posait plus de question. Addji lui avait déjà expliqué un bon nombre de règles. La queue de Rédy se relevait déjà et soulevait le bas de sa tunique, elle était très courte, et au repos sa queue dépassait en dessous.

Tooni la prenait dans sa bouche et la massait avec douceur. Il passait sa langue sur le gland de Rédy qui affichait un large, un très large sourire de satisfaction. Son gland bien lubrifié avec la salive la main de Toony passait et repassait dessus, et Rédy frémissais de plaisir.

– On m'avait dit que tu était très doux. J'aime bien ce que tu me fais là. Attend, je vais m'asseoir.

Rédy s'installait confortablement, les cuisses bien écartées et les jambes allongées. Tooni se glissait entre ses cuisses et penchait la tête en avant, il ouvrait alors bien large sa bouche et laissait entrer cette très belle queue le plus loin possible. Il coupait sa respiration, se concentrait et appuyait sa tête. La queue de Rédy s'enfonçait de plus en plus. Sous l'effort Tooni versait une larme, c'était pas facile. Elle n'était pas plus grosse que celle de son époux mais c'était déjà du gros calibre. Toony avait toujours rêver de sucer des grosses queues, et là il était aux anges. Il comprenait que maintenant il n'aurait plus que des grosses queues à sa disposition. Il y aurait bien sûr celle de son futur époux Guss, et de temps en temps … Bon là c'est pas lui qui décideraient mais c'était pas bien grave, c'est le cas de tous les hommes mariés avec des hommes d'un cran très supérieur.

Rédi appuyait maintenant sur la tête de Tooni qui se déboîtait la mâchoire pour pouvoir la recevoir cette énorme bite. Il ne résistait pas Tooni, non il ne résistait pas il s'efforçait d'encaisser. Le gland s'écrasait contre sa glotte, il était tout rouge le Tooni, il bavait, il étouffait mais il ne lâchait pas. C'était comme un défi, un examen, il devait être approuvé par son second témoin sous peine de voir son mariage invalidé. Bien sûr il savait que c'est Guss qui avait décidé mais il voulait vraiment que Rédi approuve.

Et là une chose était sûr, Rédy appréciait. Il ne pouvait plus retenir des coups de bassin réflexes ... Tooni paniquait et tentait de se relever mais son partenaire lui retenait la tête, le visage appuyé sur son ventre. Tooni s'agitait il tentait de s'accrocher quelque part, il étouffait et c'est seulement quand il commençait à se sentir mal que Rédi le lâchait.

Tooni se dégageait ! Il se dégageait, s'écartait, se détournait. Il toussait, il pleurait et tentait de reprendre son souffle. C'est pas tout les jours facile de sucer une grosse bite quand celui qui la porte est une brute.

Tooni se retrouvait à quatre pattes au milieu de la salle. Rédy lubrifiait le cul de Tooni rapidement et sans attendre qu'il ne réagisse se plaçait et lentement mais sûrement lui enfonçait sa grosse queue dans le cul. Tooni toussait encore à ce moment mais ça ne l'a pas empêché de hurler. Rédi y allait, il était bien décidé, il poussait, sa queue entrait, Tooni hurlait, gémissait, pleurait, il avait maintenant un visage tout rouge.

Puis Rédi se retirait avant de revenir. De nouveau Tooni suffoquait et gémissait. Il était encore très étroit le petit Tooni, la queue de Rédi passait et passait encore, dans un sens puis dans l'autre. Ça résistait bien un peu mais ça glissait, il faut dire qu'il avait bien lubrifié le passage. Et puis si ça résistait, il forçait, Tooni hurlait mais ça passait.

Au bout d'un moment Tooni devait commencer à se détendre, et là, ça passait mieux, ça glissait bien maintenant. Il sanglotait bien encore un peu mais il tenait le coup.

– On dirait que tu aimes bien ça toi ?

Et c'est vrai qu'il aimait ça Tooni. Quand ça lui faisait mal il aimait moins, mais ça ne durait pas et quand ça ne lui faisait plus mal il aimait bien, il en redemandait.

– Heureusement que tu aimes ça, tu sais qu'avec Guss ça ne serait pas facile autrement.

Tooni pensait à Guss, il lui plaisait vraiment, il l'avait dans la peau et acceptait de se faire défoncer le cul par quelqu'un d'autre que lui juste parce qu'il le lui avait demandé. Bon, là c'était aussi une obligation, une sorte de tradition de la caserne. Quand un militaire se mariait il lui fallait deux témoins et chacun des deux témoins devait pouvoir témoigner que l'époux pouvait encaisser, que c'était sérieux.

Les mouvements de Rédi devenaient violents, le changement était rapide, brusquement Rédi lui cognait fort dans le cul. Tooni encaissait toujours, il avait maintenant un air décidé sur le visage puis Rédi à juté, il a juté tort, très fort et le coup qui a précédé était très violent. Tooni à hurlé de nouveau puis est tombé allongé sur le sol. Rédi était debout à ses pieds.

Addji était dans l'ouverture de la porte, il regardait et attendait patiemment que Rédi en ait fini.

Rédi allait se laver rapidement puis il allait rejoindre le reste du groupe. En entrant dans la salle il faisait un clin d’œil et acquiesçait de la tête. On attendait maintenant le retour du fiancé pour terminer la cérémonie.

Addji avait emmené Tooni dans la baignoire, bein oui il y avait des bains des douches et différent lieux de ce genre … A la caserne bien sûr mais pas uniquement, il y avait dans la ville plusieurs installations de ce genre.

Toony se lavait mais surtout il se rafraîchissait le cul, il reprenait ses couleurs. Il demandait des explications sur les coutumes à Addji.

Les règles étaient étranges, Tooni devait apprendre qu'il pourrait aussi servir de vide couille, mais uniquement à la demande de son mari. Si un militaire voulait l'enfiler il devrait refuser …
Un peu plus tard ils revenaient dans la grande salle de réception. Rédi prenait alors la parole.

– En temps que second témoin, je valide les fiançailles entre notre Cher Guss et le jardinier Tooni.

La petite fête pouvait commencer, les militaires pouvaient enfin commencer à boire ( en fait ils avaient déjà commencé mais ça, ça ne se dit pas ), ils parlaient très fort et rapidement, tous oubliaient leur maris. C'était la seconde partie du mariage qui commençait. Le nouvel époux du militaire s'installait avec son fiancé. Il devait garder pendant deux semaines le dispositif de chasteté en bois qu'on lui avait donné en attendant la troisième et dernière partie du mariage qui durerait elle trois semaines.

Ensuite le petit époux se verrait offrir un nouveau dispositif, celui qu'il porterait définitivement. La qualité de ce dernier dispositif serait à la hauteur de l'amour que lui portait le chef de couple. Tooni ne savait pas ce qu'il aurait. Addji avait un dispositif en os, c'était un objet de grande valeur. Il ne pourrait jamais le retirer mais … C'était un objet de grande valeur. Ces dispositifs étaient fabriqués sur mesure, ils étaient offerts à la fin de la deuxième partie du mariage. Le petit époux aurait alors trois semaines pour s'assurer que le dispositif était parfaitement ajusté, il consulterait le chastisan régulièrement pour que le dispositif soit parfaitement ajusté. Ensuite il serait scellé !

C'est tous les jours que Guss voulait consommer son mariage. Rien ne l'interdisait, les époux habitaient ensemble, Tooni s'installait, dans la journée il rencontrait les autres époux de militaires, il sortaient, faisaient les achats pour le foyer, il arborait toujours son tatouage qui au début était le tatouage de l’humiliation et qui devenait peu à peu le tatouage de la fierté.

Guss retirait sa cape quand il revenait dans ses appartements. Un repas était prêt. Tooni n'avait pas fait grand chose, il avait seulement veillé à ce que tout se passe bien. C'est lui qui donnait les ordres désormais dans la maison. Quelquefois Guss portait un plastron ou un harnais avec un kilt en cuir qui ne descendait que rarement en dessous du bout de sa queue. On voyait alors le bout de sa queue se balancer juste en dessous de son kilt.

Tooni venait le débarrasser, il lui servait ensuite une rafraîchissement puis un câlin. Guss se laissait détendre sous les caresses de Tooni, sous les baiser que Tonni lui donnait partout sur le corps. Guss s'installait les jambes écartées, c'était le signe. Il commençait par sucer son époux, par le masturber et lui donner du plaisir. Ensuite, c'était selon le jours, l'envie ou encore la demande de Guss.

Tooni pouvait masturber son mari jusqu'à ce qu'il prenne son plaisir, lui servir à manger et continuer à lui donner du plaisir pendant qu'il soupait. Ou quelquefois encore, même s'il préférait éviter au début, il pouvait tout simplement s'empaler sur la queue de Guss.

Alors ça Guss, il aimait bien. Au début, surtout au début Tooni aimait bien moins lui … Il essayait d'éviter cette position en se donnant tant qu'il pouvait avec sa bouche, ses lèvres, sa langue, ses mains. Il est rapidement devenu un spécialiste pour ce qui est des fellation profonde grande largeur. Mais de là à s'asseoir tranquillement sur la chose … Il y avait encore du boulot.

Gus était amoureux, ça ne faisait aucun doute, il était autant sensible à l'expertise de Tooni qu'à sa maladresse, mais c'est vrais que sa maladresse disparaissait.

Les deux semaines ont passée très vite. Tout le monde se demandait quel modèle de dispositif de chasteté Guss allait offrir à son mari. C'était là, la marque d'amour qu'il allait montrer, le modèle se devait d'être de grand prix.

La cérémonie se passait entre proche, en petit comité. Il y avait le chastisant ( vous savez, l'artisan qui fabriquait les dispositifs de chasteté ), les deux témoins, leurs maris qui étaient devenus amis avec Tooni. Et là, c'était la consternation ! …
Le modèle que Toony était en bois léger, le même que celui qu'il portait depuis deux semaines, il était un peu mieux décoré c'est tout. Gus lui disait simplement …
– Tu en aura bientôt un autre à la hauteur de mon amour, là, nous avons manqué de temps .

Tooni ne disait rien mais une heure plus tard c'est en larme que Addji le retrouvait au fond du jardin.

– Il ne m'aime pas, je n'aurais jamais du accepter ce mariage, il ne m'aime pas !
– Mais si je t'assure il est fou de toi .
– Alors pourquoi il m'a offert cette horreur ?
– J'ai demandé à mon mari Maaro ( le sous chef de la caserne ), il m'a assuré que c'était vrai que Guss était catastrophé de ce retard, mais que c'était très sérieux.
– Mais quel modèle peut justifier un tel retard ?
– J'aimerais bien le savoir, mais je te jure que Maaro m'a confirmé que le modèle en cours de préparation était exceptionnel !

Tooni retrouvait peu à peu le sourire et se laissait réconforter. Dans les trois semaines qui ont suivi, Guss a couvert Tooni de cadeaux, bracelets, collier, boucles d'oreille, le tout en or bien sûr. C'était pour se faire pardonner du retard, Tooni ne savait toujours pas quel modèle de dispositif il aurait mais il était convaincu que, oui, Gus devait beaucoup l'aimer .


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